#64 ans c'est non

[christophe76460]

LE VOYAGE DU CHRÉTIEN À LA CITÉ CÉLESTE !

CHAPITRE 1!

Rêve de l'auteur, — Chrétien, convaincu de péché, fuit la colère à venir. l'Évangile le conduit à Christ.

Comme je voyageais par le désert de ce monde, j'arrivai dans un lieu où il y avait une caverne, et je m'y couchai pour prendre un peu de repos.

M'étant endormi, je vis en songe un homme vêtu d'habits sales et déchirés (Esaïe 64 6. Nous sommes tous comme des impurs, Et toute notre justice est comme un vêtement souillé; Nous sommes tous flétris comme une feuille, Et nos crimes nous emportent comme le vent). Il était debout, tournant le dos à sa propre maison (Luc 14 33. Ainsi donc, quiconque d'entre vous ne renonce pas à tout ce qu'il possède ne peut être mon disciple). Il avait un livre à la main (Jean 5 39. Vous sondez les Écritures, parce que vous pensez avoir en elles la vie éternelle: ce sont elles qui rendent témoignage de moi.), et était chargé d'un pesant fardeau (Psaumes 38 4. Mon coeur brûlait au dedans de moi, Un feu intérieur me consumait, Et la parole est venue sur ma langue). Ayant ouvert son livre, et s'étant mis à lire, il commença bientôt à pleurer et à trembler, et, incapable de se contraindre plus longtemps, il s'écria avec l'accent de la douleur: « Que faut-il que je fasse » (Actes 16 30. il les fit sortir, et dit: Seigneurs, que faut-il que je fasse pour être sauvé ?)

Dans cet état, il retourna chez lui; et se contraignit aussi longtemps qu'il en fut capable devant sa femme et ses enfants, de peur qu'ils ne s'aperçussent de son angoisse. Mais, comme sa tristesse allait toujours en augmentant (2 Corinthiens 7 10. En effet, la tristesse selon Dieu produit une repentance à salut dont on ne se repent jamais, tandis que la tristesse du monde produit la mort.), il ne lui fut bientôt plus possible de garder le silence, et il leur parla en ces termes :

« Ma chère femme, et vous, mes chers enfants, ayez pitié de moi, car je succombe sous le poids du pesant fardeau qui m'accable. Je sais d'ailleurs, à n'en pouvoir douter, que la ville que nous habitons va être consumée par le feu du ciel (2Pierre 3 7 à 10. tandis que, par la même parole, les cieux et la terre d'à présent sont gardés et réservés pour le feu, pour le jour du jugement et de la ruine des hommes impies. Mais il est une chose, bien-aimés, que vous ne devez pas ignorer, c'est que, devant le Seigneur, un jour est comme mille ans, et mille ans sont comme un jour. Le Seigneur ne tarde pas dans l'accomplissement de la promesse, comme quelques-uns le croient; mais il use de patience envers vous, ne voulant pas qu'aucun périsse, mais voulant que tous arrivent à la repentance. Le jour du Seigneur viendra comme un voleur; en ce jour, les cieux passeront avec fracas, les éléments embrasés se dissoudront, et la terre avec les oeuvres qu'elle renferme sera consumée.), et que nous serons tous, sans exception, victimes de cet épouvantable embrasement, si nous ne trouvons pas un asile pour nous mettre à couvert, et, jusqu'à présent, je ne vois aucun moyen d'échapper au danger. »

Ce discours surprit au dernier point tous les membres de sa famille (1 Corinthiens 2 14. Mais l'homme animal ne reçoit pas les choses de l'Esprit de Dieu, car elles sont une folie pour lui, et il ne peut les connaître, parce que c'est spirituellement qu'on en juge.), non pas qu'ils ajoutassent foi à ce qu'il disait, mais ils s'imaginèrent qu'il avait le cerveau troublé, et que c'était ce qui lui mettait ces étranges idées dans l'esprit.

Espérant que le repos contribuerait à lui rendre la raison, ils l'engagèrent à se mettre au lit; mais au lieu de dormir, il passa la plus grande partie de la nuit à soupirer et à verser des larmes, et le lendemain matin, quand on vint lui demander de ses nouvelles, il répondit qu'il allait de mal en pis, et répéta tout ce qu'il avait déjà dit la veille. Mais bien loin de faire quelque impression sur ceux qui l'entouraient, ses discours ne firent que les irriter. Chacun se persuada bientôt que le véritable moyen de guérir la maladie de son esprit, c'était de le traiter avec dureté et mépris; en sorte que tantôt on se moquait de lui, tantôt on le reprenait sévèrement, et tantôt, enfin, on affectait de le négliger tout-à-fait, et de ne plus se mettre en peine de lui. Quant à lui, il se retirait dans sa chambre pour prier pour ceux qui le maltraitaient, et pour déplorer sa propre misère; ou bien il allait se promener seul dans la campagne, tantôt lisant, tantôt priant. Plusieurs jours s'écoulèrent de cette manière. Or, un matin qu'il se promenait ainsi solitairement, les yeux fixés, comme à l'ordinaire, sur son livre, il parut tout-à-coup fort troublé, et s'écria à haute voix, comme auparavant : « Que faut-il que je fasse » pour être sauvé » (Actes 16 30. il les fit sortir, et dit: Seigneurs, que faut-il que je fasse pour être sauvé?)

Puis il regarda d'un côté et d'autre, comme un homme qui cherche à fuir, et cependant il restait immobile, ne sachant quel chemin prendre. Alors, un homme appelé Évangéliste s'approcha de lui, et lui demanda pourquoi il se plaignait si amèrement. Monsieur, répondit Chrétien (c'était le nom de cet homme), je vois, par le livre que je tiens à la main, que je suis condamné à mourir (Hébreux 9 27. Et comme il est réservé aux hommes de mourir une seul fois, après quoi vient le jugement), et qu'il me faudra ensuite comparaître en jugement : or, je crains la mort (Job 16 20. Déjà maintenant, mon témoin est dans le ciel, Mon témoin est dans les lieux élevés.), et je ne suis nullement prêt à paraître devant mon juge.

Pourquoi craindriez-vous la mort? dit Évangéliste; cette vie est semée de tant de maux. C'est reprit Chrétien, que je crains que ce fardeau que je porte ne me fasse enfoncer plus bas que le sépulcre, et ne me précipite dans la Géhenne. Or, monsieur, si la seule idée de la prison me fait trembler, que deviendrai-je quand il me faudra comparaître en jugement, et subir l'exécution de la sentence? voilà ce qui me jette dans le désespoir.

- Si telles sont vos craintes, pourquoi restez-vous dans l'inaction?

- C'est que je ne sais de quel côté me tourner.

Alors Évangéliste lui donna un rouleau en parchemin, sur lequel était écrit ces paroles : « Fuyez la colère à venir » (Matthieu 3 7. Mais, voyant venir à son baptême beaucoup de pharisiens et de sadducéens, il leur dit: Races de vipères, qui vous a appris à fuir la colère à venir?). Après les avoir lues, il regarda attentivement Évangéliste et lui dit : Où dois-je fuir? — Voyez-vous cette petite porte étroite (Matthieu 7 13 et 14. Entrez par la porte étroite. Car large est la porte, spacieux est le chemin qui mènent à la perdition, et il y en a beaucoup qui entrent par là. Mais étroite est la porte, resserré le chemin qui mènent à la vie, et il y en a peu qui les trouvent.)? dit Évangéliste, en étendant la main, et en dirigeant ses regards de l'autre côté d'une vaste plaine.

— Non.

— Eh bien ! voyez-vous cette lampe qui jette une vive lumière (Psaumes 119 105; Ta parole est une lampe à mes pieds, Et une lumière sur mon sentier. 2 Pierre 1 19. Et nous tenons pour d'autant plus certaine la parole prophétique, à laquelle vous faites bien de prêter attention, comme à une lampe qui brille dans un lieu obscur, jusqu'à ce que le jour vienne à paraître et que l'étoile du matin se lève dans vos coeurs; )?

— Il me semble que oui.

— Dirigez-vous de ce côté; regardez toujours fixement cette lumière, et allez droit à elle; quand vous y serez arrivé, vous verrez la petite porte; vous n'aurez qu'à frapper, et l'on vous dira ce que vous aurez à faire.

Fin du chapitre 1.

Toute la gloire soit à Jésus Christ !

[raimeiha]

坂本 たつき - Sakamoto Tatsuki

22 ans || 21 mars Mesure 1 mètre 64

Humaine || A- || Kusari Ordre des Démons Impériaux || Armée Démoniaque Impériale du Japon || Colonelle de l'armée principale de Shibuya

Sakamoto Tatsuki est une colonelle de l'armée démoniaque impériale du Japon. Elle est la cheffe de la famille Sakamoto, une famille prestigieuse sous les ordres des Hiragi, depuis ses 14 ans.

C'est une personne méfiante, qui reste toujours sur ses gardes tant qu'elle n'est pas sûre d'être dans un lieu parfaitement sûr. Elle apprécie la lecture et souhaiterait voyager pour découvrir le monde quand les vampires auront disparu une bonne fois pour toute.

Sur le champ de bataille, elle préfère rester discrète et analyser la situation avant de passer à l'attaque. Elle profite de la distance ainsi que de l'éventail de possibilités que lui offre son arme démoniaque pour surprendre ses adversaires. Elle entretient, d'ailleurs, une surprenante relation de confiance avec son démon.

Bien qu'elle n'en ait pas l'air à première vue, en raison de son apparence soignée et de son calme, elle est une stratège hors pair qui n'hésiterait pas à remettre en question les décisions de ses supérieurs si elle les estime trop dangereuses. Elle est aussi une personne de confiance qui ne trahirait les siens pour rien au monde.

Fille unique des Sakamoto, elle a été éduquée très tôt pour prendre la relève en tant que cheffe de famille. Confrontée plus tôt que prévu à toutes les responsabilités que ce rôle engendre en devenant orpheline avec l'arrivée du virus, elle a continué son éducation seule en se plongeant dans des livres de politique, d'histoire, d'économie, ... qui traînaient dans la bibliothèque de l'armée. Un peu fleur bleue, elle apprécie aussi grandement les romans à l'eau de rose.

Tatsuki voue un grand respect et beaucoup d'admiration à Kureto, bien que derrière cela, se cache une attirance pour ce dernier. Elle arrive néanmoins à faire la part des choses, refusant de mélanger travail et vie privée, pour se concentrer sur l'anéantissement des vampires plutôt que sur ses sentiments.

Deux années seulement après l'arrivée du virus, elle a perdu ses plus proches amis qui formaient son escouade lors d'une mission dont elle-même n'est pas sortie indemne. Blessée gravement et laissée pour morte par le seul vampire noble qu'il restait après un combat acharné, elle s'est juré de l'éliminer de ses propres mains. Elle souhaite également offrir aux générations future une vie plus tranquille en aidant à l'élimination de ces créatures sanguinaires.

Tatsuki possède une longue chevelure noire régulièrement relevée en une queue de cheval, avec une frange coupée au-dessus de ses yeux azurs et quelques mèches encadrant son visage fin. Du haut de son mètre soixante-quatre, elle a de jolies courbes qui se dissimulent bien sous son uniforme. Elle a également une cicatrice laissée par la lame d'une épée entre ses deux omoplates.

Étant donné qu'elle aime garder une apparence soignée, elle a pour habitude d'arranger ses vêtements et ses cheveux quand elle en a l'occasion afin de rester présentable. Elle ne quitte presque jamais son uniforme et garde toujours son arme démonique, Kusari, à portée de main.

鎖 - Kusari

Kusari est l'arme démoniaque de Tatsuki. Il est de type manifestation et fait partie de la série des démons noirs.

Il y a bien longtemps, il a été scellé dans un katana noir décoré d'une fine bande violette sur le côté non-tranchant de la lame. La tsuka est en cuir tressé noir et rouge.

Le démon scellé dans cette arme a l'apparence d'un jeune homme ayant de courts cheveux argentés et des yeux couleur sang. Comme tous ses compères de l'époque, il a des oreilles pointues qu'il ne peut dissimuler sous sa chevelure. Des chaînes sont enroulées autour de ses bras musclés à découvert.

Il est vêtu de vêtements assez modernes, comme s'il avait laissé tomber son ancien accoutrement : une chemise noire aux manches déchirées et un pantalon de la même couleur. Sa chemise est déboutonnée suffisamment pour rendre son torse musclé visible.

Il semblerait qu'il ait assez mauvais caractère, mais il apprécie grandement son hôte pour diverses raisons.

Une fois appelé par son hôte, Kusari se manifeste sous la forme de chaînes aux extrémités pointues et tranchantes.

L'une de ses attaques phares consiste à relâcher, via ses chaînes, une substance semblable à du sang de démon dans le corps de ses victimes. Cette substance agit comme un poison corrosif et détruit la cible de l'intérieur en lui infligeant une douleur insupportable.

• Recherche :

- Hiragi Kureto → Son supérieur, mais aussi l’homme qu’elle aime secrètement. Partageant les mêmes desseins et Tatsuki prouvant sans cesse ses valeurs, Kureto pourrait bien lui confier une nouvelle mission périlleuse... à ses côtés. Les rapprochements se feraient naturellement, au fil du temps passé ensemble, des catastrophes évitées en coopérant.

• Je peux accepter des jeux avec Hiragi Shinya si le contexte me plaît, mais je ne souhaite aucune romance entre eux.

[arte-cinema]

Barbie n'a jamais été un grand symbole. Mais c'est un excellent miroir

Le film "Barbie" arrive aujourd'hui comme l'aboutissement d'un processus de près de 15 ans commencé lorsque Universal Pictures a acquis les droits sur le personnage - ce qui n'est pas inhabituellement long à Hollywood, où les scripts languissent régulièrement jusqu'à ce qu'une combinaison de gros les noms et les poches profondes leur donnent vie. Mais les débuts de Barbie au cinéma s'inscrivent également dans le contexte d'un voyage beaucoup plus long et plus tortueux avec une question existentielle en son cœur : Après toutes ces années, Barbie compte-t-elle encore ? Et si elle le fait, alors… pourquoi ?

À partir du moment où Barbara Millicent Roberts - Barbie - est entrée en scène en 1959, la poupée était controversée. Les cadres masculins du jouet, conditionnés à croire que les petites filles voulaient jouer avec les bébés, étaient déconcertés par cette représentation d'une femme adulte. Mais les petites filles, comme elles, comprenaient. Barbie est devenue une sensation. Et puis un paratonnerre. Ensuite un souci. Au cours des 64 dernières années, Barbie a été au centre d'innombrables débats sur qui sont les femmes, qui elles devraient être, à quoi elles ressemblent et ce qu'elles veulent.

Barbie se profile à la fois comme une tête de pont aux proportions irréalistes et comme une Everywoman qui s'efforce. La plupart du temps, elle ne peut pas prononcer un mot, mais on pense qu'elle parle au nom d'une masse critique d'entre nous. C'est peut-être pourquoi le film "Barbie" qui existe enfin est le seul qui puisse exister : celui qui reconnaît et embrasse cette bizarrerie sous le regard vigilant d'un chaperon d'entreprise. Le slogan de la bande-annonce ("Si vous aimez Barbie, ce film est pour vous. Si vous détestez Barbie, ce film est pour vous.") est la confirmation que Barbie est, de la manière la plus littérale, l'affaire de tout le monde.

Je comprends. A 6 ans, on m'a proposé de choisir entre deux poupées pour mon anniversaire : la Bionic Woman ou la Barbie. Je ne me voyais pas, dans le langage contemporain de la représentation des jouets, dans Barbie ; les cheveux bruns et la combinaison de la femme bionique reflétaient beaucoup plus fidèlement ma queue de cheval et ma salopette en velours côtelé d'occasion. Barbie, avec sa cascade de cheveux blonds comme du fil dentaire et sa robe rose à décolleté plongeant, ne ressemblait à aucune femme que j'avais jamais vue. N'était-ce pas le but ?

J'ai choisi Barbie.

Dans mon enfance, la poupée était toujours là - perchée sur ma commode, traînée lors de voyages en voiture, surfant sur les vagues de ma baignoire sur un peigne en écaille de tortue. Elle était plus distante à l'âge adulte, car Barbie était devenue un sujet de préoccupation féministe. J'ai suivi de nombreux auteurs, artistes, musiciens et divers brouilleurs de culture qui travaillaient publiquement sur leurs propres problèmes de Barbie de manière fascinante. En cours de route, j'ai réalisé ceci : Barbie est cette chose enfantine qu'aucun de nous ne peut abandonner, car depuis qu'elle existe, elle n'a jamais été une enfant. Au contraire, elle a été un emblème, un bouc émissaire, un paratonnerre, une cible et, surtout, un miroir. Cependant, ce que nous ressentons pour Barbie à un moment donné en dit beaucoup plus sur nous que sur Barbie.

Lorsque la réaction des années 1980 contre la libération des femmes s'est propagée dans les années 1990, les psychologues ont commencé à sonner l'alarme face à une crise de confiance des filles dans des livres à succès comme "Reviving Ophelia". Anita Hill expliquait le harcèlement sexuel au Comité judiciaire du Sénat, et les femmes sur les campus universitaires signalaient une incidence alarmante d'agressions sexuelles. Une nouvelle vague de féminisme atteignait son apogée, et elle entraînait Barbie vers le bas. Il y avait la question de ses proportions non naturelles, comme un rapport taille-hanche qui ne pouvait pas exister dans la vraie vie sans sacrifier des organes internes clés. Plus tard, ce fut sa blondeur et sa blancheur incontournables. Malgré l'introduction des Barbies noires et latines en 1980, ainsi que des collections spéciales comme les Barbies du monde des années 1980, tout le monde connaissait la vraie Barbie - l'icône, l'ur-Barbie,

Comme à chaque itération du féminisme, ceux d'entre nous de la troisième vague qui s'est levée dans les années 90 ont dû faire face aux faux pas, aux appréhensions et aux affaires inachevées des générations précédentes. Barbie n'était certainement pas le problème le plus important, mais elle était, après tout, juste là, nue et même fièrement ce que nous appellerions problématique. Nous avons donc enfilé nos chandails à cheveux rose vif.

Les seigneurs de Barbie étaient également humiliés. En 1992, Mattel a présenté Teen Talk Barbie, qui prononçait, entre autres phrases, un joyeux "Le cours de mathématiques est difficile!" confirmant que la marque historiquement tendance était en retard sur son temps – et suscitant les critiques de l'American Association of University Women. Les réponses litigieuses de Mattel à des choses comme la collection d'essais féministes intersectionnels sur l'image corporelle de 1998 "Adios, Barbie" et le ver d'oreille omniprésent d'Aqua "Barbie Girl" n'ont pas aidé son PR Mattel a célébré le 40e anniversaire de Barbie en 1999 avec une refonte de la marque qui a déplacé l'attention des poupées vers les vraies filles, en lançant une campagne publicitaire qui exhortait son jeune public à "devenir votre propre héros".

Le film "Barbie" consiste également à devenir votre propre héros ou au moins à faire le voyage d'un héros - un voyage qui mène Barbie dans un monde réel qui, pour la plupart, la trouve dangereuse ou non pertinente. C'est une approche appropriée, car la chose la plus intéressante à propos de Barbie a toujours été nos réactions à son égard. Certaines critiques ont déclaré que le film souffrait d'une tentative de la réalisatrice, Greta Gerwig, d'incorporer l'ampleur du discours de Barbie, provoquant une surcharge narrative. Mais comment pourrait-il en être autrement, compte tenu du discours que Barbie a inspiré pendant 64 ans ?

Il y a un film différent – ​​le documentaire de 2018 « Tiny Shoulders : Rethinking Barbie » – qui, pour moi, aide à mettre ce discours en contexte. "Tiny Shoulders" a décrit Mattel comme une entreprise en crise : face à la baisse des revenus et à la baisse de l'intérêt du public, l'entreprise était sur le point de présenter en 2016 une collection de poupées dont les tons de peau et les types de corps cochent quelques cases de diversité. J'ai été interviewée pour le film, aux côtés des historiennes de Barbie MG Lord et Amanda Foreman et des auteures féministes Roxane Gay (une rédactrice d'opinion) et Gloria Steinem, chacune de nous offrant un contexte et un commentaire sur la place de Barbie dans le passé, le présent et le futur. de la vie des femmes.

Je ne savais pas que le récit du film servirait essentiellement d'arc de rédemption Mattel. Quand j'ai vu le film fini, j'ai réalisé qu'au cours de ma vie, j'étais passé d'un consommateur de Barbie innocent à un renonciateur de Barbie éclairé à un propulseur de relations publiques Barbie involontaire.

Pourtant, pour toutes les façons dont Barbie a évolué, nos attentes à son égard le sont aussi. Comme l'a dit Michelle Chidoni, responsable des relations publiques de Mattel (ou, comme elle se décrit elle-même, "la publiciste de Barbie"), inspirant le titre du documentaire, Barbie porte le poids de plusieurs générations de normes de beauté et d'analyses féministes sur ses petites épaules. Ces épaules pourraient être remodelées occasionnellement – ​​pour les rendre plus athlétiques ou plus charnues ou plus diversifiées dans leurs teintes ou, dans le cas de ce nouveau film, plus conscientes du poids qu'elles ont été chargées de porter – mais cela ne change pas le fait que nous continuons à ajouter des normes pour qu'elle soit à la hauteur. En tant que symbole, Barbie est si compliquée qu'elle est inutile. Mais en tant que navire, elle s'est avérée remarquablement durable.

Je suis prête à reconnaître - même à me moquer - mon rejet féministe autrefois réflexif de tout Barbie: elle n'a jamais eu à être une figure à somme nulle, une chose avec ou contre laquelle vous étiez. Beaucoup d'entre nous l'ont définitivement vue ainsi. Ce que nous avons fait ne parle que des défis persistants d'un monde qui, même maintenant, n'est pas sûr que les femmes puissent être libres de stéréotypes ou d'attentes et être autorisées à simplement exister.

Andi Zeisler est l'auteur de "We Were Feminists Once: From Riot Grrrl to CoverGirl, the Buying and Selling of a Political Movement".

Images sources par Shelly Still et TomekD76/Getty Images

Le Times s'engage à publier une diversité de lettres à l'éditeur. Nous aimerions savoir ce que vous pensez de cet article ou de l'un de nos articles. Voici quelques conseils . Et voici notre e-mail : lettres@nytimes.com .

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[lerepondeurdesinsoumis]

via Attac France

[sebiblr]

Le conseil constitutionnel a rendu son avis le 14 avril maintenant la mesure des 64 ans inscrite dans la réforme des retraites. Dans les heures qui ont suivi, le président de la République a promulgué sa loi. Pour autant, la bataille n’est pas finie. Un nouvel avis du conseil constitutionnel doit être rendu le 3 mai sur un nouveau Référendum d’initiative partagée (RIP). Dans le même temps, le niveau de rejet de cette réforme ne faiblit pas. Les organisations syndicales appellent donc à une nouvelle journée de mobilisation le 1er mai ! En cette fête du Travail, la CFDT appelle l’ensemble des travailleurs et travailleuses à se mobiliser pour manifester leur refus des 64 ans et continuer à s’exprimer sur leur travail ✊

[journaldenimportequi]

Dimanche 7 novembre 2021

L'amour des animaux

C'est la paresse qui m'anime. Enfin, qui m'anime pas, du coup. Ma paresse est légendaire et je l'assume complément. Ne rien branler est un art chez moi. C'est un luxe que peu de gens peuvent se permettre d'avoir. La vie est beaucoup trop courte pour la gâcher à travailler ! Je refuse d'être un esclave et de vouer ma vie à enrichir des gens qui m'exploitent ! Ah, zut, je commence à parler comme un gauchiste, il va falloir que je me calme...

Mon plus vieil ami est Julien D. que je connais depuis environ 26 ans. Et bien qu'aujourd'hui nous n'avons plus rien en commun sinon nos souvenirs, j'essaye d'entretenir notre amitié, de stay in touch. En fait ça se passe comme ça : une fois tous les mois et demi ou deux mois, environ, l'un de nous envoie un message à l'autre sur messenger. En général un truc assez futile, ce qui crée alors une conversation tout aussi futile, et ainsi, nous ne nous perdons pas de vus. Nous nous sommes vus deux fois ces 21 dernières années. Ca n'a pas été ce que j'avais espéré. Nos souvenirs communs sont heureux, en ce qui me concerne, et je donnerais tout pour que l'on revive tout ça : les parties de jeux vidéos le week-end avec nos petits frères, ce genre de souvenirs qui ne m'ont jamais quittés car ils représentent les moments les plus heureux de ma vie. Je pense qu'il y a moyen que je me débrouille pour qu'on tente de revivre ça, ou du moins des semblables sensations, ce qu'il faudrait c'est qu'on se démerde pour choper un endroit avec de quoi jouer aux jeux vidéos (rétros, les jeux, c'est important), et qu'on se fasse une session de jeux en multijoueurs non stop en ne pensant à rien d'autre. Ce serait bien ! On se ferait des parties de Bomberman, Golden Eye 64, Mario Kart, Street Fighter... et ça pendant des heures et des heures. Et si le résultat et à la hauteur de mes espérances, on renouvellerait l'expérience chaque année. Ouais, je rêve de ça !

Vu le génial Fabrice Luchini à la télé l'autre soir. Comme d'habitude, il a fait son numéro. Je me suis fait cette réflexion : Fabrice Luchini, en fait, c'est le JCVD lettré !

Ces jours ci rien ne change, je continue de traîner sur Tinder quotidiennement et les jours passent sans que rien ne se passe, les matchs se font même, semble-t-il, de plus en plus rares... et je ne comprend pas pourquoi ! Non parce que, croyez le, je considère que mon profil est super intéressant et dans mon esprit, toutes les filles les plus chouettes et les plus intelligentes devraient se pâmer devant mon profil Tinder, elles devraient se dire « wow mais attends ce mec c'est THE mec que j'ai toujours rêvé de rencontrer ! Il est grand, passionné, passionnant, cultivé, il sait jouer de la musique en plus, mon dieu il faut absolument qu'on match !». D'ailleurs, dans mon esprit, ces filles là sont belles, puisque comme je l'ai toujours dis, je ne sortirais jamais avec une fille aussi vilaine que moi !

Bon, mais la triste réalité est celle-ci : aucune fille sensée ne voudrait sortir avec un mec moche, relativement pauvre, plus trop jeune, sous anti-dépresseurs et qui vit encore chez ses parents. C'est dommage, je pense, de s'arrêter à de si petits détails ! Alors oui, je persiste et passe chaque jour du temps sur Tinder en attendant de trouve LA fille jolie et cultivée qui va tomber amoureux de mon super profil. J'y crois de tout mon cœur.

J'ai de la chance de vivre à cette époque où les hommes ont le droit de ne pas forcément être virils. Bon, je n'irais pas jusqu'à dire que je suis efféminé, mais le fait est que je ne suis pas viril et que je suis loin d'être le parfait mec de base. Oh, j'ai bien essayé d'être un vrai mec, dans le passé, c'est allé si loin que j'ai joué au football pendant trois longues années. Mais c'était pas vraiment moi. Moi je suis maladroit et nul dans tous les sports. Ce n'est pas pour moi. Si je vibre au foot, c'est devant la télé. Et puis regardez-mes mains, ce sont des mains fines et délicate, des mains pas faites pour le sport ou le travail, ce sont des mains faites pour jouer du piano, de la guitare, tenir un crayon, un pinceau et caresser les courbes d'un corps de femme, qu'on se le dise !

Je suis sur Twitter depuis plus de 11 ans. Et cette année, après des années de stagnation, j'ai pris une bonne cinquantaine de followers en quelques mois. Je ne sais pas trop pourquoi. Je suis suivi par pas mal de vieux mecs avec qui je partage l'amour du rock et de la pop. Beaucoup bossent dans la presse rock, dans les médias, certains sont même fameux. Ainsi, je trouve toujours ça fou lorsque Pierre Lescure lui même réagit à l'un de mes tweets. Je suis assez actif en tout cas et je tweete toute sorte de choses parfois pertinentes, parfois drôles et souvent absurdes. J'aime ça et je compte bien continuer des années encore.

Sur Tinder, je tombe régulièrement sur des profil de motardes. Et le fait est qu'elles m'intimident. Non, vraiment, les filles à motos ce n'est pas pour moi.

J'ai observé ces dernières années une augmentation de la sensibilité et de l'amour que j'éprouve envers les animaux. Je ne compte plus le nombre de vidéos de chats ou de chiens, entre autres, que je regarde chaque jours et, c'est difficile à expliquer mais mes sentiments à leurs égards sont très forts et il m'arrive d'être très triste et réellement perturbé après avoir eu vent d'une histoire d'animal maltraité. J'en suis même venu à me demander si ce n'était pas raisonnable pour moi d'envisager de devenir vegan... Non, il y a peu de chance pour que ça arrive mais le fait est que je m'interroge tout de même, ce qui n'était pas le cas il y a encore quelques années.

Aujourd'hui en discutant avec Canel et Justine, on en est arrivé à se dire que ce serait chouette si elles venaient elles aussi à Paris durant le même week-end que moi. Et puis une chose en entraînant une autre, voilà qu'elles ont achetées des billets de train et qu'elles s'apprêtent à louer un logement près de chez Flora où je loge. C'est super ça ! Voilà une raison de plus de me réjouir de cette escapade à la capitale.

Bande son : Greatest Hits, The Cure

[claudehenrion]

L’éolien, un scandale d'Etat… et autres catastrophes en marche

  Pour commencer l'année en fanfare, parlons “énergie”. Tout le monde sait depuis peu que ce mot –et ce qu'il recouvre– cache un énorme hold-up planétaire. Et, à l'échelle de la France, un scandale d'Etat… C'est simple : tout ce qui touche à ce secteur (et surtout au nucléaire, à l'éolien et à ‘’la bagnole’’) n'est que mensonges énormes. Si ce n'était pas si catastrophique dans ses conséquences, ce pourrait être, dans son excès-même, un sujet de franche rigolade, et ce d'autant plus qu'Emmanuel Macron a annoncé son intention (?) de soumettre à référendum l’inscription dans la Constitution de la lutte contre le réchauffement climatique, ce qui ferait d’un gag triste un drame absolument...  ‘’indémerdable’’ (Pardon).

  Au-delà de l’enfumage électoraliste et d'une opération de comm’ à la limite du bon goût, on peut s’ interroger sur le fond : au nom d’une “transition écologiste” dénuée de bon sens et totalement déracinée du réel, le gouvernement prévoit, à travers une soi-disant “Programmation pluriannuelle de l’énergie”, un doublement du parc éolien français qui passerait de 8 000 “mâts” à 15 300 d’ici 2030. C’est une décision gravement structurante à laquelle les français n'ont pas été associés –à aucun moment, et même pas consultés, alors qu’ils y sont très majoritairement opposés.

  Or pendant que des idées qui étaient déjà absurdes lors de leur conception sont de plus en plus violemment démontrées fausses à l'expérience, il ne fait plus de doute pour toute personne bien renseignée et pas trop doctrinaire que l’éolien tel qu'il est (mal) conçu par des idéologues vivant dans leur bulle est un scandale économique majeur qui cumule d’énormes subventions publiques injustifiées, des augmentations massives de la facture d’électricité pour les consommateurs, et un désastre immobilier pour les riverains dont les maisons perdent 30 à 40 % de leur valeur à proximité des funestes ‘’aérogénérateurs’’… sans parler du coût, qui s’annonce faramineux, du démantèlement (inévitable à terme, il serait de 350 000 euros par unité, un coût dont personne ne parle, bien sûr, dans la “propaganda”).

  Mais l’idéologie du vent, qui peut se résumer à ‘’du vent, bâti sur du vent’’, est également une arnaque environnementale : elle contribue à la dégradation de la nature et des sites et à la ‘’bétonnisation’’ des sols (1 500 tonnes par structure, soit plusieurs millions de tonnes en France seulement. On va bientôt manquer de sable ! Attention à nos belles plages !) et elle menace sérieusement la biodiversité en décimant les populations d’oiseaux migrateurs, de rapaces et de chauves-souris… et parce que les éoliennes, qui ne fournissent qu'une énergie intermittente et assistée, brassent du vent, certes, mais, Chut ! brassent de la pollution, tout autant.

  La comparaison avec le voisin allemand, riche d’enseignements, est affligeante. L’Allemagne, qui s'était laissée piéger par la bêtise incommensurable de la première génération de ses faux écolos à elle, les dangereux “Grünen”, s'est privée de son énergie d'origine nucléaire. Elle a dû ériger 30 000 éoliennes, et doit DONC produire quelque 64 % de son électricité à partir du charbon et du gaz, envoyant dans l’atmosphère 36 000 tonnes de CO² par heure alors que la France, qui a résisté à cette recherche du pire jusqu'à Hollande et Macron, ne rejette que 7 500 tonnes de CO² par heure. Merci, le nucléaire. Le cri de guerre des stupides “grünen” des années 1960 / 70 aurait dû être : “Atomkraft ? Jawohl ! Danke !”

  Toute implantation systémique d’éoliennes est, en réalité, une accélération de ce réchauffement climatique que les idéologues disent vouloir combattre à grands coups de ces énergies qui sont faussement renouvelables mais réellement polluantes (visuellement à terme immédiat et économiquement à plus long terme) et en plus notoirement insuffisantes pour pouvoir être une alternative possible. Une volonté de réduire les émissions de CO² et d’éviter (c’est de la vraie écologie) le saccage irréversible de ces paysages qui font la beauté et l’attractivité de notre pays, n'a de sens qu'assortie d’un moratoire immédiat sur l’éolien, avant toute inscription dans notre Constitution d’un réchauffement climatique ainsi (mal) conçu. 

  Ironiquement, c'est outre-Rhin que deux figures historiques de l'écologie sèment la zizanie dans leur propre camp, depuis juillet dernier, en affichant un soutien inattendu à l'énergie nucléaire pour réduire la production de gaz à effet de serre. Cette bombe politique déchire les Grünen et bouscule toutes les fausses certitudes : Veronika Wendland, historienne des technologies, et Rainer Moormann, spécialiste de l'énergie atomique, fondateurs du vieux militantisme antinucléaire, ont changé d'avis, “devant l'urgence climatique’’ et ont demandé un report de la fin programmée de l'énergie nucléaire en Allemagne à 2030 (au lieu de 2022) et le maintien en fonctionnement des six centrales nucléaires restantes : sans l'atome, l'Allemagne est –et sera– obligée de recourir massivement au gaz et au charbon… ce qui est une monstruosité écologique. L’éolien ne pourra jamais suffire, mais il semblerait que cette ’‘chape de plomb” commence à se fissurer, en coulisse.

  L'abandon… de l’abandon du nucléaire, cet ancienne ‘’vache sacrée’’ des écologistes, “pour lutter contre le réchauffement climatique” (sic !) pourrait produire une onde de choc idéologique chez tous les Verts européens, et notamment les français, ce qui serait une merveilleuse nouvelle, car après Fessenheim, la France commence à refaire tourner… ses centrales à charbon ! On peut toujours rêver ! Mais nos écolodoules fanatisés (mot tiré du grec δουλος = doulos, ‘’qui vénère’’), dangereusement pervers, se battent, avec 50 ans de retard et contre toute logique, pour la fermeture de nos centrales nucléaires et pour la “charte de Programmation” citée plus haut. Ils ne semblent pas mûrs pour devenir, d’un coup, intelligents.

  Ce n'est pas du tout le cas du militant écologiste américain “historique” Michael Shellenberger, qui vient de publier un livre , “Confession d'un écologiste repenti”, dans lequel il reconnaît avoir menti, et où il dénonce toutes ses déclarations apocalyptiques antérieures sur le climat, “scientifiquement erronées et politiquement contre-productives”. “Au nom des écologistes du monde entier, je voudrais m’excuser pour la phobie climatique que nous avons créée au cours des 30 dernières années. Le changement climatique existe, mais ce n’est pas la fin du monde”. La question qui surgit aussitôt est : “Mais pourquoi nos pseudo écologistes sont-ils tellement rebelles à toute ouverture d'esprit ?”. C'est un autre des nombreux problèmes sans solution simple qui se posent, en ce début d'année si menacé .

  Mais bien d'autres sujets font que 2021 est (déjà!) “mal barrée”! Tout d'abord, il faut parler de l’immigration, qui a dépassé depuis des années toutes les limites normalement attribuées à ce mot… de la perte de tous les repères historiques, sociétaux, moraux et autres… d'un anti-catholicisme devenu pathologique… de la haine de ce que nous sommes, France et français confondus... et de la haine (parallèle, consécutive, ou corrélative ?) du beau, du bon, et du vrai, sous l'influence létale du politiquement correct –en attendant la folie furieuse de la non-pensée dite “woke” qu'il faut s'attendre à voir s’installer en force chez tous nos lamentables leaders, puisqu'elle est à la fois perverse, mauvaise et anti-humaine. 

  Et last but not least, toutes les dingueries liées à la véritable terreur qu'inspire à nos élites délitées le coronavirus, qui est loin d'avoir le pouvoir mortifère qu'ils lui ont donné “au nom des pouvoirs que nous leur avions conférés” imprudemment, et son dernier avatar en date, le dystopique “vaccin-miracle-qui-rattraperait-seul-toutes-les-conneries-qu'ils-ont-dites-ou-faites-depuis-bientôt-une-longue-année”…   Très bonne année 2021, malgré tout ! On en a vu d'autres !  

H-Cl.

[stephanedugast]

#j27 #lafranceréenchantée

LES FERMENTS DE L'AVENTURE

"Il n'y a jamais de hasard mais des rencontres", disait l'écrivain Paul Éluard, et mon amie Daphné.

Et j'ai été gâté en la matière aujourd'hui.

D'abord, il y a eu la rencontre au petit matin avec Thierry, le propriétaire du bar-restaurant qui nous a hébergés dans son jardin en friche.

Bon la nuit avait été courte.

Les derniers clients - les jeunes du comité des fêtes- bruyants, et le réveil à 4 heures du livreur de légumes brutal, mais quand on m'offre l'hospitalité, je ne me plains pas d'autant que le proprio était un personnage haut en couleurs, et le témoin derrière son comptoir et ses fourneaux de 34 ans de la vie de ce village.

- "Si tout va bien, je prends ma retraite à la fin de l'année. Faut dire que j'ai 64 ans mais je suis content il y a un petit jeune du coin qui veut reprendre mon affaire !".

3 expressos plus tard, il étzit temps de filer et de prendre la route vers Sarran, village très connu de Corrèze.

Non seulement, ce village va accueillir une arrivée lors du Tour de France en septembre prochain, mais cela a longtemps été le fief de Bernadette et de Jacques Chirac.

Et c'est dans ce territoire rural et vallonné que nous avons roulé ce matin.

Premières gouttelettes sur la route, juste histoire de nous rafraîchir.

La suite sera vallonné et les paysages enchanteurs. Aux forêts succéderont d'autres forêts. Les routes bordées de mûres et de fougères inciteront à la rêverie, et aux divagations.

Les mûres, c'était enfant la cueillette avec Maman-Papa en septembre dans l'immense potager, et les champs voisins de la minoterie et du moulin de Saint Savin, sur les hauteurs du Sillon de Bretagne à Saint-Etienne de Montluc, Loire-Atlantique. Je dois avouer qu'il y avait en fin de cueillette autant de mûres dans mon seau que dans... mon estomac !

Les fougères, ce sont les cabanes dans la forêt d'Hennebont, Morbihan. J'y passais enfant mes étés lors d'un camp à l'esprit très scout avec les Frères de l'Instruction chrétienne de Ploërmel. Le point d'orgue de ce camp-colonie, c'était la construction dune cabane avec ficelles et fougères au cœur de la forêt. La construction durait la journée, et ô bonheur suprême, nous pouvions passer la, nuit dans notre cabane, feu de camp et bivouac en prime.

C'est là que j'ai vécu mes premiers bivouacs. Esprit que j'ai toujours adoré.

Retour sur les routes de La France Réenchantée.

C'est vers midi quinze que nous avons finalement débarqué à Sarrans filant immédiatement au musée du président Jacques Chirac, installé au cœur du village.

Le musée fermant ses portes, nous déjeunerons au restaurant attenant, ne manquant pas de prendre une tête de veau sauce gribiche, l'un des plats préférés de feu le président. J'ai goûté, et servi avec des câpres, c'est délicieux.

La visite du musée, et des cadeaux offerts au président Chirac lors de ses déplacements et visites d'État, nous occupera 2 heures.

Bientôt 16 heures, il faut tracer. Et quitter Sarran.

- "JC, qu'est-ce tu fous ? Pourquoi tu contournes l'église par là ? "

Et c'est ainsi que dans une impasse, je vais tomber nez à nez avec un gars en tee-shirt jaune sortant les courses de sa voiture immatriculée 75.

Tiens un "bobo", mais non, c'est Nicolas Dubreuil, le monsieur glaces et icebergs de chez Ponant.

C'est suite à sa rencontre pendant les Étonnants Voyageurs que j'ai décidé de changer de vie, quittant un poste douillet de redacteur-en-chef salarié pour la dure vie d'indépendant. Et c'est grâce à Nico que j'ai effectué 6 croisieres-expéditions en péninsule antarctique.

Bref, la rencontre est incroyable, brève mais intense.

Nos bidons remplies d'eau froide, et d'Isostar parfum citron, nous repartons pour 47 kilomètres a priori faciles, et sans trop de dénivelé d'après l'application de l'ami JC.

Ça c'était la théorie, mais le relief très tourmenté, et l'absence de réseau téléphonique vont nous rendre chèvres, et nous donner l'occasion d'exercer nos talents de grimpeur.

Devinez quoi, j'aime ces longues montées que j'effectue à mon train, en moulinant.

J'en suis même arrivé à désirer que ces montees se prolongent, la faute à mes endorphines produites pendant l'effort.

Côtés descentes, ça a aussi été le panard. J'adore descendre et emprunter des courbes, il faut savoir doser sa vitesse, anticiper son freinage et bien virer.

Tout un Art surtout avec un Raymond chargé.

Rassurez-vous, je reste très concentré, et prudent car une chute et mon aventure stopperait nette.

Alors que je devrais roupiller sec, je vous écris ces lignes sous un platane décoré de lampions de couleurs. Ah les platanes qui bordaient la maison de Mamie et Papi Redor, toujours à Saint-Étienne de Montluc.

Décidément, je ramène aujourd'hui tout à mon enfance heureuse et insouciante. Pourquoi ? Comment ?

Là sont sûrement les ferments de l'homme épris d'aventures que je suis devenu...

Bon, une gorgée d'eau, se brosser les dents un petit pipi, et au lit !

La vie est belle !

Stéphane Dugast

Le mardi 11 août 2020, à Argentat -sur-Dordogne (Corrèze)

[christophe76460]

ÉTUDE BIBLIQUE~ESDRAS 1-2

👉Esdras 1:1-11

Par Jérémie, l'Éternel avait fixé d'avance à 70 années la durée de la captivité à Babylone. Ceux qui, comme Daniel, sondaient les Écritures avaient donc eu la possibilité d'en connaître la fin prochaine (Daniel 9:2).

Les 70 ans sont comptés de la première année de Nebucadnetsar, le responsable de la transportation, à la première année de Cyrus, celui qui y a mis fin (Jérémie 25:1 et 11).

Environ deux siècles plus tôt l'Éternel avait déjà désigné ce dernier roi par son nom (Ésaïe 44:28 et 45:1). Sans nul doute, Cyrus a eu connaissance de cette prophétie car il est conscient d'être l'instrument choisi par Dieu pour le rétablissement de Son culte.

En même temps, l'Éternel « réveille l'esprit » d'un certain nombre de Juifs captifs ; d'entre ceux qui se souvenaient en pleurant de Jérusalem et qui l'avaient mise « au-dessus de la première de leurs joies » (voir Psaumes 137:1, 5, 6).

Amis chrétiens, nous sommes aussi « sur un sol étranger ». Aspirons-nous aux joies de la sainte Cité ? Notre esprit a-t-il été « réveillé » pour attendre le Seigneur Jésus ? Il est le grand Roi, Centre de la prophétie, à qui Dieu donnera bientôt tous les royaumes de la terre (verset 2) afin qu'il rétablisse Sa louange et Sa gloire.

👉Esdras 2:1-70

La route de Jérusalem est ouverte. Quels sont ceux qui vont en profiter ? Un peu moins de 50000 personnes d'entre les diverses classes du peuple (versets 64, 65).

Et de plus, parmi ce faible résidu, un certain nombre n'est pas en mesure de prouver qu'ils font bien partie d'Israël. Même des sacrificateurs ont été négligents, ce qui va les empêcher d'exercer leurs saintes fonctions.

Or, beaucoup de chrétiens sont comme ces Israélites ! Ils ne peuvent affirmer avec certitude qu'ils sont des enfants de Dieu.

Si c’était le cas d’un de nos lecteurs, qu’il se reporte à son « inscription généalogique » (verset 62). Il la trouvera dans sa Bible. Qu’il s’appuie fermement sur des passages comme Jean 1:12; 5:24; 1 Jean 5:1, 13. Tant d'âmes incertaines ont trouvé dans ces versets, et dans d'autres, la preuve indiscutable qu'elles appartiennent à la famille de Dieu !

Dieu a les yeux sur ce résidu sans force. Il l'a compté avec soin et va veiller tendrement sur lui. Non seulement à cause de Sa miséricorde, mais aussi parce qu'Il a une grande pensée par devers Lui : C'est aux descendants de ces Juifs rentrés dans leur pays que doit être présenté, après quatorze générations, le Christ, le Messie d'Israël (Matthieu 1:17).

#BIBLIQUEST #PAROLEDEDIEU #JÉSUS

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[numberonerandomblogger]

Critique de la Gamecube

Donc, cela fait 18 ans que la Gamecube est sortie et maintenant, avec mon nouveau temps libre, je peux enfin critiquer ce que j’ai vécu avec sa bibliothèque de jeux. Premièrement, je voudrais dire que cette critique n’est que mon opinion, bien que cela puisse être un peu controversé puisque j’ai mes propres problèmes avec la bibliothèque. Deuxièmement, je diviserai les jeux en certaines catégories pour cette critique.

Jeux de plateformes

Gamecube avait une abondance de jeux de plateformes, la plupart étant en 3D. C’est un peu comme à l’ère N64, mais avec encore moins de jeux de plateformes 2.5 D ( mis à part Megaman, Viewtiful Joe ou Alien Hominid). J'ai fini par aimer la plupart de ces jeux sur la console et Donkey Kong: Jungle Beat reste un jeu m’ayant fortement impressionné, malgré sa difficulté quasi-inexistante. En raison de cette abondance, la plupart de ces jeux ont essayé très fort de se démarquer en utilisant une mécanique de jeu en plus de quelque chose de «cool» (armes à feu, voitures, etc.) pour plaire aux enfants et j’ai fini par ne pas trop aimer ceux-ci, comme Ty 3, Shadow The Hedgehog, Vexx, etc. Pendant ce temps, les autres jeux qui sont restés fidèles à eux-mêmes sont devenus des classiques toujours pris en compte par les fans, tels que Billy Hatcher & The Giant Egg, Pac-Man World 2, Super Mario Sunshine même si je n'aime pas ce jeu du tout, etc. Bien que je ne sois pas vraiment fan de la direction que prenaient les joueurs de plateforme à cette époque, ce qui affectait grandement leur qualité, il reste encore quelques bon jeux.

Jeux d'aventure / jeux de rôle

La Gamecube avait beaucoup de jeux d’aventure et, bien que les jeux du monde ouvert soient de plus en plus courants, celle-ci comportait très peu de jeux en monde ouvert. Seul The Incredible Hulk: Total Destruction, True Crime, ou même GUN avaient un monde ouvert sur cette console. Ainsi, des jeux d'aventure plus traditionnels ont été mis sur la console. J'ai vraiment adoré The Legend Of Zelda: Le Wind Waker pour ce qu'il était, malgré quelques problèmes. Starfox Adventures était également décent, mais loin d’être excellent. The Legend Of Zelda: Twilight Princess a trop essayé de plaire à ses fans «hardcore gamerz» et de paraître cool. J'ai donc trouvé l'expérience un peu décevante. Au moins quelques mécanismes de gameplay étaient vraiment intéressants. Les jeux Resident Evil étaient la seule source de jeux d'aventure et d'horreur sur la console, mis à part Eternal Darkness, qui, à mon avis, est un très excellent jeu d'horreur avec de nombreuses idées intéressantes. Les jeux de rôle sur la console étaient également assez rares, surtout par rapport à la Playstation 2. Ils étaient bien. Paper Mario: Thousand-Year Door était plutôt bon, bien qu’un peu surestimée en raison du manque de développement de certains personnages et de certaines mécaniques de jeu dont je ne suis pas un fan. Les jeux Baten Kaitos auraient pu être sur PS2 en terme de qualité et sont vraiment de bons jeux. Je pensais que les jeux Pokémon sur la Gamecube (XD, Colosseum) n’avaient vraiment rien de spécial, à la fois en termes d’histoire et de jouabilité et encore plus par rapport à d’autres jeux de rôle, même s’ils essayaient de plaire à un public plus âgé. Tales Of Symphonia était génial et pouvait rivaliser avec les RPG sur la PS2. Alors oui, j’ai aimé jeux d'aventure / jeux de rôle de la Gamecube, mais la plupart n’ont pas été vraiment extraordinaires.

Jeux de tir

En ce qui concerne les jeux de tir, il en existe une grande variété. Même en incluant certains en 2D, bien que la communauté ne se souvienne que d’Ikaruga. La grande quantité de jeux de tir à la première personne sur la console n’était pas vraiment surprenante et rarement l’un d’entre eux essayait de se démarquer. Metroid Prime 1 et 2 sont les deux titres qui m'ont le plus marqué. Plutôt que de se concentrer sur l'élimination des méchants, de nombreux efforts ont été consacrés à l'exploration. Bien que la vue d'un jeu Metroid 3D ne me rende pas automatiquement heureux, c'est quelque chose que je peux honnêtement encourager. Je suis heureux que Retro Studios ait pris son temps pour créer un univers plus profond pour Metroid. Ils étaient quelques autres jeux de tir à la troisième personne, tels que Metal Arms: Glitch in the System, mais je ne pense pas que beaucoup d’entre eux se soient démarqués sur la Gamecube mis à part Killer 7 et P.N. 03, mais ce dernier n’est pas le meilleur en raison de ses contrôles inhabituels. Star Fox: Assault n’était peut-être pas le meilleur jeu de la série, mais il était encore acceptable à jouer et conservait l’esprit d’arcade de la franchise. Oh, et il y a aussi Geist, un jeu de tir à la première personne fait par Nintendo. Dommage qu'il ait eu une excellente idée qui a été mieux exécutée ailleurs.

Jeux de combat

Contrairement à la N64, la Gamecube a quelques bons jeux de combat. Bien sûr, la plupart d’entre eux sont des jeux sous licence, mais la plupart étaient vraiment amusants. Encore mieux, Mortal Kombat est apparu sur la console en 2004. Le développement de Super Smash Bros. Melee a peut être été trop rapide, mais ce jeu fonctionne très bien. Custom Robo peut aussi être considéré comme un jeu de combat, mais il possède un mode histoire intéressant qui est un peu plus sombre comparé aux jeux originaux sur la Nintendo 64 et ressemble à un RPG en raison de sa structure. L’atmosphère des années 90 est ce qui m’a aidé à adopter ce jeu. En ce qui concerne les titres sous licence, les jeux d’animés basés sur Naruto ou Zatch Bell fonctionnaient bien, mais ils n’étaient pas non plus les meilleurs jeux de combat existants en raison d’un grand nombre de problèmes. Cette époque a vu naître un groupe de clones du jeu Power Stone (One Piece: Grand Battle, The Grim Adventures de Billy & Mandy, etc.), ce qui était une bonne chose, à mon avis. Le seul problème, c’est que Capcom ne produit toujours pas Power Stone 3, malgré le succès rencontré par la formule que d’autres compagnies lui ont volé.

Autre

Bien que le Gamecube ne dispose pas d'un simulateur de voiture réaliste, il propose une bonne quantité de jeux de course réalistes. Dommage qu’honnêtement, je ne me soucie d'aucun d'entre eux. F-Zero GX est un jeu de course futuriste amusant mais assez peu frustrant. Préparez-vous mentalement à affronter des difficultés époustouflantes et vous passerez un bon moment. Mario Kart: Double Dash !! a quelques bonnes idées qui m'ont intéressées pendant un moment, mais je préfère aujourd’hui jouer à Mario Kart 8. Kirby Air Ride est probablement mon jeu de course préféré sur la console: il utilise un seul bouton et le joystick pour offrir une expérience plutôt unique. Je le recommanderais assurément. Animal Crossing, en revanche, est soit quelque chose que vous aimez ou soit quelque chose à quoi vous ne portez pas attention. Personnellement, je pense que l’effet de nouveauté d’Animal Crossing s'estompe au bout de quelques semaines, mais je l'aime encore un peu. Mon jeu préféré sur la console doit être Chibi-Robo: un jeu de nettoyage / simulation / plate-forme dans lequel vous contrôlez un petit robot qui doit nettoyer la maison des Sanderson. Ce jeu est étrange, charmant et a une histoire unique qui finit par être très sombre. Luigi’s Mansion était également un peu sombre, mais il a fini par être vraiment charmant et intéressant grâce à son atmosphère agréable et à son gameplay soigné. En ce qui concerne les jeux rythmiques, la Gamecube n'en a que quelques-uns, dont Dance Dance Revolution: Mario Mix, qui propose des remix de chansons de Mario soignés. Rien d'autre concernant ce jeu ne vaut vraiment le gros prix à lequel il se vend. En parlant de spin-offs de Mario, je n’ai vraiment pas aimé certains de la Gamecube. Super Mario Strikers n’a qu’une seule équipe à débloquer, les mécaniques de Mario Superstar Baseball fonctionnent rarement bien et l’intelligence artificielle en profite pendant le mode solo, les terrains de Mario Power Tennis ne me divertissaient pas assez pour préférer ce jeu-ci à celui de la Nintendo 64, la manière dont les champignons de Mario Party 4 fonctionne était quelque peu ennuyeuse, et les mini-jeux utilisant le micro de Mario Party 7 et les conceptions des plateaux de jeu m'ont tout simplement énervés. C’est à ce moment-là que j’ai cessé de me préoccuper des spin-offs de Mario.

 Dans l’ensemble, j’ai aimé la bibliothèque de jeux de Gamecube, bien que je n’aie pas aimé beaucoup d’aspects de celle-ci et que j’ai passé un meilleur moment avec la PS2 ou même la Dreamcast. Je pense que la Gamecube est PEUT être un peu surestimée en raison du nombre élevé de joueurs grandissants avec celle-ci qui la voient en utilisant leurs lunettes nostalgiques roses afin de se plaindre de ce que leur époque était meilleure que l'ère actuelle, tout comme les précédents fans de Nintendo se plaignant de la Gamecube en disant que leur époque était meilleure. C’est un cycle éternel.

[udcgt46]

La Retraite à 64 ans: c'est toujours non ! Rassemblement le 28 Avril

L’union Locale CGT de Cahors appelle à un rassemblement Vendredi 28 Avril à 16h00 au Rond point de Leclerc auto  de Cahors Labéraudie – Distribution de tracts: appel à la manifestation du 1er Mai. Ci-joint le tract d’appel de la CGT hôpital de Cahors.

[lerepondeurdesinsoumis]

via Attac France

[luttesmuricoles]

Paris, 2023.

"Défendons nos retraites - Le 7 mars on arrête tout - 64 ans c'est non"

[news24fr]

L'historien Ramachandra Guha a déclaré mardi que pour "faire revivre" une démocratie saine en Inde dans laquelle un parti ne renverse pas l'opposition, beaucoup dépend du fait que le Congrès devienne plus compétitif, ce qui ne se fera pas simplement par une marche mais en remportant des votes. Guha s'exprimait lors du lancement de la troisième édition de son ouvrage phare, "L'Inde après Gandhi", ici. "Objectivement, seul le Congrès a une empreinte, dirons-nous, dans huit à 12 États. Donc, pour avoir une démocratie saine dans laquelle un parti n'écrase pas l'opposition, comme celle que l'Inde a connue de la fin des années 1970 à 2014, pour faire revivre cela, pour le restaurer, ce qui, je pense, serait très bon pour nous tous, cela dépendrait beaucoup du fait que le Congrès devienne plus compétitif », a-t-il affirmé. Pour étayer son propos, Guha a expliqué que, parmi tous les autres partis, c'est le Congrès qui a combattu le BJP en tête-à-tête avec pas moins de 191 sièges lors des élections de 2019 à Lok Sabha. Il a affirmé que la même chose se produirait aux élections générales de 2024 parce que des partis comme JD (U), AAP, DMK et TMC n'ont aucune chance contre le BJP dans des États tels que le Madhya Pradesh, le Chhattisgarh, le Rajasthan, l'Uttarakhand, le Karnataka et l'Himachal Pradesh. Le Congrès a remport�� 16 des 191 sièges avec un taux de réussite de 8% seulement, a déclaré Guha, ajoutant que les alliés auraient un rôle important à jouer, mais ce ne sera alors que "Congrès plus plus". "Donc, cela pourrait être RJD plus JD (U) dans le Bihar, NCP et Shiv Sena dans le Maharashtra, DMK dans le Tamil Nadu, qui est le Congrès plus plus. Mais il faudrait que ce soit la renaissance du Congrès", a-t-il expliqué. Se référant au Bharat Jodo Yatra récemment conclu par le chef du Congrès Rahul Gandhi, l'historien de 64 ans a déclaré que la renaissance du parti ne se ferait pas "simplement par une marche". "Cela dépend beaucoup de la façon dont ils peuvent se revitaliser (eux-mêmes), non seulement par le biais d'une marche, mais en remportant des votes", a-t-il déclaré. Le Bharat Jodo Yatra, parti de Kanyakumari au Tamil Nadu le 7 septembre, s'est terminé à Srinagar le 30 janvier après avoir parcouru plus de 4 000 kilomètres en 136 jours. Qualifiant Gandhi d '"homme décent", Guha a déclaré qu'il y avait un point d'interrogation sur le fait qu'il était un "politicien capable" ou sur la question de savoir si l'Inde méritait un "dynaste de cinquième génération", mais il pense que c'est "moralement répréhensible". "L'Inde après Gandhi", un tome de 980 pages, publié pour la première fois en 2007. Il est présenté comme un récit magistral des douleurs, des luttes, des humiliations et des gloires de la plus grande démocratie du monde. PTI MG DIV DIV(À l'exception du titre, cette histoire n'a pas été éditée par le personnel de NDTV et est publiée à partir d'un flux syndiqué.)

[reseau-actu]

À l'heure des festivités pour le cinquième anniversaire de l'annexion de la péninsule par Moscou, la popularité du président russe décline à la frontière avec l'Ukraine, dans les terres minières frappées par le dénuement et les désillusions.

Envoyé spécial à Almazny (Goukovo) et Krasny Souline

Plutôt que de participer sur commande aux manifestations officielles, Nikolaï Choulepov entend fêter avec simplicité le cinquième anniversaire de la «réunification» de la Crimée à la Russie. Cet ancien mineur de 64 ans - il en parait dix de plus - restera à la maison pour «trinquer» avec ses amis. Boire pour l'occasion, peut-être s'enivrer, mais surtout «oublier» le quotidien amer de sa vie de retraité et les malheurs qui frappent son village. Almazny, ancienne bourgade minière florissante, située tout proche de la frontière ukrainienne, se transforme irrésistiblement en ville fantôme. Après une lente agonie, l'exploitation des principaux gisements de charbon a brusquement cessé en 2015. Cette année-là, l'ancien directeur général de King Coal, un certain Vladimir Pojidaev, s'est volatilisé avant d'être condamné à cinq ans de prison pour «non-paiement des salaires et abus de pouvoir à l'encontre d'autrui». «C'est seulement dans un cauchemar que j'aurais pu imaginer une telle vie», résume Nikolaï Choulepov, ancien chef de brigade vêtu d'une doudoune élimée, en faisant visiter son ancien univers de pionnier soviétique.

» LIRE AUSSI - La Crimée, ce conflit oublié qui se rappelle aux Occidentaux

De la cantine d'Almazny, où l'on fêtait autrefois les noces des employés, il ne reste que des ruines. Quelques maisons surnagent au milieu des débris, et l'on ignore à l'œil nu si elles restent habitées. La rue principale - plutôt un chemin de terre - est totalement défoncée. Un millier d'habitants peuple le village, sept fois moins qu'à l'époque bénie, à la fin des années 1970, où le savon, les bottes des mineurs et même les appartements étaient offerts. Les gueules noires n'hésitaient pas à travailler sous terre jusqu'à vingt-quatre heures d'affilée pour compenser la pénurie de personnel, moyennant une majoration mensuelle de 1 000 roubles - une fortune. Aujourd'hui, dans la mine voisine de Zamtchalovskaya, suite à l'infiltration souterraine et sauvage de résidus industriels, les sols s'effondrent. L'accès à ces trous béants d'où suintent encore des flux polluants n'est protégé que par de symboliques fils de fer.

Des effets «tant utiles que néfastes» 

Face à un tel dénuement, le slogan «La Crimée à nous», qui fit vibrer les foules le 18 mars 2014, jour où Vladimir Poutine entérina l'annexion de la péninsule, apparaît désuet. Selon l'institut d'État FOM, 77 % des Russes jugent l'événement positif (contre 83 % en 2017) mais ils sont également 39 % à penser que l'opération a eu des effets «tant utiles que néfastes» sur leur pays. Elle fut suivie par la guerre du Donbass, nourrie en sous-main par Moscou, au risque de son isolement diplomatique. «La réunification», comme Nikolaï Choulepov la nomme, fut plutôt le produit d'un «miracle», comme celui de «la pluie qui tombe», et n'a pas grand-chose à voir, selon lui, avec une quelconque intervention humaine. D'ailleurs, pense-t-il, le chef du Kremlin, à qui l'ancien mineur apporte régulièrement son suffrage depuis 2000, ne peut rien pour stopper le déclin de son village. La Russie, répète-t-il, est «un trop grand pays» pour que le tsar, seul, puisse le contrôler. Et sur la carte, Almazny apparaît trop périphérique.

«Plutôt que de dépenser l'argent pour la Crimée, Poutine ferait mieux de nous aider, nous qui vivons ici de manière misérable»

Lioudmila

Géographiquement, l'argument est contestable. En réalité, le village est situé à seulement 70 km au nord de Rostov-sur-le-Don - la grande métropole régionale - avec son magnifique stade de football inauguré lors de la Coupe du monde et son aéroport flambant neuf. Restaurée en 2018, la nouvelle route à deux voies fait place à des chemins défoncés une fois entré dans le bassin minier. À l'ouest, la frontière ukrainienne, désormais contrôlée par Moscou et les rebelles du Donbass, n'est qu'à 20 kilomètres ; au pic des affrontements avec les forces de Kiev, les échos de la canonnade étaient incessants. Côté russe du bassin, deux mines employant 3 000 personnes restent en activité. Elles sont contrôlées par l'oligarque ukrainien Rinat Akhmetov, qui en possède une dizaine d'autres sur le territoire séparatiste.

Il y a un an, les habitants d'Almazny ont assisté devant leur petit écran à l'inauguration du pont de Kertch, reliant la Crimée à la Russie, pour un coût avoisinant les 3 milliards d'euros. Mais Nikolaï Choulepov semble bien le seul à penser que ce coûteux ouvrage permettra de faciliter «l'exportation» vers le continent des fruits et des alcools de Crimée et d'enrichir son village. «La Crimée et tout ça, ce sont des trucs uniquement pour Poutine», peste Lioudmila, qui ne partage pas l'analyse macroéconomique de son voisin. Sa fille Alexandra, qui promène son bébé de 4 mois sur les chemins cahoteux, acquiesce. «Plutôt que de dépenser l'argent pour la Crimée, Poutine ferait mieux de nous aider, nous qui vivons ici de manière misérable», plaide la jeune femme, abandonnée par son mari… et par l'État, dit-elle.

Inédit, ce discours se répand dans la province russe, naguère inconditionnellement acquise au chef du Kremlin. Au lendemain de l'annexion de la Crimée, la popularité de ce dernier avait explosé. En octobre 2014, au moment où tombaient les premières sanctions occidentales, son action était approuvée par 88 % de la population. C'était l'époque où des intellectuels et des artistes russes autrefois critiques professaient leur admiration pour ce président qui avait «relevé leur pays» et faisait jeu égal avec les puissances occidentales. La dernière enquête du centre Levada Centre, publiée en février, voit ce taux de popularité tomber à 64 %, et de surcroît plus grand monde ne croit à la fiabilité des sondages relatifs au président.

 «Les gens commencent à murmurer qu'on aide tout le monde, la Crimée, Donetsk, la Syrie, et qu'il ne leur reste plus rien à eux. Il y a une certaine injustice»

Galina Dereglazova, collaboratrice de Russie juste

L'annonce, l'été dernier, d'une hausse de l'âge du départ à la retraite, couplée à un retour de l'inflation et à une augmentation des tarifs communaux, tend à agir comme un miroir déformant des succès géopolitiques de Poutine, relégués, eux, au second plan. «Les gens commencent à murmurer qu'on aide tout le monde, la Crimée, Donetsk, la Syrie, et qu'il ne leur reste plus rien à eux. Il y a une certaine injustice», estime Galina Dereglazova, collaboratrice de Russie juste, un parti traditionnellement loyal à l'égard du président, en passe d'être repris en main par le Kremlin. Avec 14.000 roubles de retraite (190 euros), elle se considère mieux lotie, mais peste contre l'augmentation des tarifs communaux qui absorbent près d'un tiers de son budget. «Nous n'avons jamais vécu aussi mal», dit cette résidente de Chakhty, une métropole minière de 230.000 habitants, rendue célèbre en janvier par une explosion de gaz qui a fait cinq victimes dans un immeuble d'habitation. Le long de la rue de la Paix, près du monument de Lénine où Pavel et Natacha promènent leurs deux fillettes, le couple se plaint des «guerres de Poutine» qui, selon eux, les appauvrissent. «Et maintenant, on est passé au Venezuela!», soupire le père.

Poutine jugé responsable des problèmes du pays

Lors de son adresse à la nation, le 20 janvier, le président a tenté de rectifier le tir. Tout en attaquant Washington et en vantant la puissance de frappe des nouvelles armes balistiques nucléaires russes, il a promis une amélioration, dès 2019, du niveau de vie de ses concitoyens. Celle-ci devrait notamment concerner les familles à partir du troisième enfant. «La pauvreté écrase littéralement les gens», a dénoncé le chef du Kremlin, mais ses sages paroles n'ont pas permis d'inverser les courbes. 55 % des Russes jugent leur président personnellement «responsable» des problèmes du pays. «De plus en plus de gens commencent à comprendre qu'il n'y a pas de différence entre le bon tsar et ses boyards incompétents», ironise Elena, gérante d'un café de Krasny Souline, en référence à l'entourage qui constituait autrefois la cour du souverain.

Selon les sondages, les jeunes générations sont les moins enthousiastes à l'égard de l'annexion

Avec son cinéma rénové qui projette un blockbuster russe, cette autre bourgade minière de 38.000 habitants est un peu moins démunie qu'Almazny, mais les carcasses de l'ancienne usine de métallurgie, qui employait plus de 5000 personnes au lendemain de la chute de l'URSS, s'étendent comme des verrues à deux pas du centre-ville. Symbole tout aussi traumatisant, le monument érigé en mémoire des «travailleurs» tombés lors de la grande guerre patriotique est laissé à l'abandon. «Notre situation économique est meilleure que dans les territoires voisins, notre travail de recherche d'investisseurs se poursuit mais pas au rythme qu'on voudrait», reconnaît Larrissa Khiltchenko, première adjointe de la communauté minière. Cette fonctionnaire se félicite néanmoins d'avoir attiré deux PMI dans le bassin dont l'une, Guardian Glass, à capitaux américains, emploie 300 personnes. Parallèlement, l'une de ses collaboratrices, responsable des affaires sociales, détaille le menu des festivités du 18 mars: concert et manifestation devant la statue de Lénine, expositions de dessins dans les crèches et les écoles consacrées au thème «La Crimée russe et Sébastopol»… «Notre objectif est de faire participer les jeunes générations à ces actions patriotiques», insiste Lada Matvienko. Selon les sondages, ces dernières sont les moins enthousiastes à l'égard de l'annexion. En face du bureau municipal, sur la place de Krasny Souline quasi déserte, deux adolescents de 16 ans prénommés Sergueï tuent le temps en faisant cracher les décibels de leur enceinte portative. Difficile de savoir ce que ces jeunes Russes ont dans la tête. L'un récite sur commande une ode à Vladimir Poutine. L'autre prévoit de s'engager dans l'armée, tout en s'interrogeant: «Que faire d'autre?» En attendant, ils assisteront au concert anniversaire.

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POUVEZ-VOUS EMBALLER DES CADRES DE FENÊTRE?

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Vous pouvez changer les fenêtres UPVC brunes en blanches en les faisant peindre à la bombe. La peinture en aérosol à base de solvant se lie au plastique pour créer un changement de couleur qui durera environ 10 ans. Cela suppose que des étapes de préparation de surface appropriées soient prises et que la peinture elle-même soit appliquée par un professionnel avec un pistolet. 39 réponses aux questions connexes trouvées Puis-Je Changer Mes Fenêtres En PVC Blanc En GRIS ? Le changement de couleur de fenêtre le plus courant est du blanc au gris , en particulier en combinaison avec les produits de rendu crème K Rend. L' image ci-dessous montre un spray de fenêtre UPVC blanc peint en gris anthracite (RAL 7016) pour correspondre à K Rend. Comment Puis-Je Changer La Couleur De Mes Cadres De Fenêtres En PVC ? 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Évaluation du coût - Matériaux : les boiseries coûtent en moyenne 2 à 3 $ par pied linéaire. Les garnitures plus détaillées ont tendance à être plus chères (environ 3 $ à 4 $ par pied linéaire). - Main-d'œuvre : les charpentiers facturent généralement 70 $ de l'heure et peuvent prendre un à trois jours (8 à 24 heures de travail ou 560 $ à 1 700 $) pour terminer le projet. Comment Refaire Un Appui De Fenêtre ? Remplacer le rebord intérieur de la fenêtre. - Coupez entre le rebord de la fenêtre et la garniture pour couper le calfeutrage. - Faites glisser un couteau à mastic large entre le mur et la garniture sous le rebord de la fenêtre. - Ouvrez la fenêtre du bas. - Placez votre ancien rebord de fenêtre sur votre nouveau bois. - Appuyez sur le nouveau seuil en place à l'aide d'un maillet en caoutchouc. Combien De Temps Faut-Il Pour Envelopper Une Fenêtre ? Pliez le métal vers le bas et vers le haut et elle sortira tout de suite. Selon vos fenêtres et la façon dont elles sont encadrées, vous pouvez faire une fenêtre entre une demi-heure et une heure chacune. Si votre garniture est essentiellement composée de 4 planches plates, comptez 30 minutes par vous-même. Que Signifie Envelopper Une Fenêtre ? L' habillage de fenêtre fait référence au processus de découpe et d'ajustement de la bobine d'aluminium de vinyle le long de l'extérieur des fenêtres et d'autres zones de garniture en vinyle. Le film de fenêtre est une bobine de vinyle aluminium généralement vendue en rouleaux de 50 pieds par 2 pieds. Cette bobine d'aluminium est ensuite coupée pour s'adapter aux côtés des fenêtres et des zones de garniture. Combien Coûte L'installation D'une Plinthe Par Pied Linéaire? Les coûts des matériaux de plinthes sont généralement raisonnables, allant de 0,60 $ par pied linéaire pour les styles de base en panneaux de fibres à environ 1,20 $ par pied linéaire pour le bois. Combien Coûte L'installation D'un Bandeau En Aluminium ? Les coûts typiques des planches de rive et des soffites en vinyle ou en bois varient de 6 $ à 10 $ par pied linéaire, et le coût d'aménagement d'une simple maison à un niveau est de 600 $ à 2 000 $. Le prix du fascia en aluminium varie de 8 $ à 20 $ ou plus, et le budget d'une maison à un étage varie de 800 $ à 6 000 $. Les Enveloppes De Maison Passent-Elles Avant Windows ? La partie la plus importante de l'imperméabilisation commence avant que la fenêtre n'entre . Une fois l'habillage de la maison coupé, rentrez le rabat inférieur dans la maison et installez le solin de seuil. Ensuite, repliez les côtés de l' enveloppe de maison , mais laissez le rabat supérieur seul. Pouvez-Vous Installer De Nouvelles Fenêtres De Construction Dans Une Maison Existante? Les fenêtres de remplacement sont conçues pour remplacer les anciennes fenêtres d'une maison existante . Les nouvelles fenêtres de construction sont principalement conçues pour les maisons nouvellement construites ou d'autres nouvelles constructions telles qu'un ajout à la maison . Ils ont un composant appelé cadre à clous, qui permet de clouer les fenêtres directement sur la charpente de la maison . Installez-Vous Des Fenêtres De Remplacement De L'intérieur Ou De L'extérieur? La majorité de nos fenêtres de remplacement sont installées de l' extérieur . Dans certaines situations, il peut être nécessaire d'effectuer l' installation depuis l' intérieur . Le jour de l'installation, votre expert en installation évaluera votre situation unique et vous expliquera le processus qui conviendra le mieux à votre maison. L'enveloppement De La Maison Est-Il Nécessaire ? L'enveloppe de maison est une barrière contre l'humidité, mais elle n'est pas 100 % étanche. S'il est directement exposé à l'eau pendant trop longtemps, cette eau peut passer à travers. Puisqu'il se trouve sous le revêtement extérieur d'une maison, il n'est pas nécessaire d'être complètement étanche. Comment Installer Tyvek Sur Une Fenêtre Existante ? Des deux côtés de la fenêtre ou de la porte, coupez le film près du rebord de la fenêtre ou de la porte. Fixez l'enveloppe à la bride avec du ruban adhésif ou du mastic. Installez le solin latéral sur l'habillage. Installez le solin de tête et prolongez-le de 3 à 4 pouces de chaque côté. Combien Coûte L'habillage Des Fenêtres ? Qu'est-ce que l' habillage de fenêtre et combien cela coûte-t-il ? L'emballage est un autre terme pour le plafonnement. Dans ce processus, un matériau robuste comme l'aluminium s'adapte sur un cadre. Il en coûte environ 110 $ par unité en incluant à la fois les matériaux et la main-d'œuvre. Read the full article