#2024 Lexus TX350
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2024 Lexus TX|Lineup with Ambitious Pricing
Luxury automaker Lexus has recently introduced its highly anticipated 2024 LexusTX lineup, with an eye-catching pricing strategy that has set the automotive world abuzz. The new three-row SUV, comprising the TX350 and TX500h models, is poised to make a statement in the competitive mid-size luxury SUV market. 2024 Lexus TX350|Pricing That Commands Attention The 2024 Lexus TX350 kicks things off…
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Le nouveau Lexus TX350, le coupé Genesis GV 80, des lignes et Parnelli Jones!
Le 9 juin 2024
Au moment d’écrire ces lignes, je reviens tout de quelques jours à participer à l’ÉcoRandonnée de l’AJAC, un évènement très intéressant dont je vous parlerai plus tard. Cette semaine, il sera plutôt question du grand VUS TX350 de Lexus. Quoi? Un autre VUS de Lexus? Oui, car, semble-t-il, c’est ce que les consommateurs veulent. Et alors, que l’on serait porté à croire qu’il existait déjà un VUS (ou VUM, c’est selon) de ce calibre dans la gamme Lexus, il n’aurait pas connu le succès escompté. Le VUS dont il était question ici, c’était le RX-L, une version légèrement allongée du RX avec une troisième banquette qui n’aurait pas eu la grandeur espérée pour cette troisième rangée pour y accepter des passagers supplémentaires en tout confort.
Donc, l’été passé, Lexus nous dévoilait le TX350, un VUS (ou, encore une fois, VUM) plus ou moins basé sur son cousin Toyota Grand Highlander. Malgré un dessin plus approprié à la tâche, le TX présente un espace tout à l’arrière plus grand et mieux adapté à la tâche.
Le nouveau VUS de Lexus, le TX350. (Photo Éric Descarries)
Le design du TX pourra plaire aux amateurs de la marque comme il pourrait moins plaire à ceux qui voudraient un véhicule plus éclatant, plus luxueux avec plus de chrome (surtout de l’avant). À mes yeux, à première vue, il fait moins Lexus. Il devrait plus se démarquer du Grand Highlander…c’est tout simplement une question de goût, n’est-ce pas?
Le nouveau Lexus TX350 vu de l’arrière. (Photo Éric Descarries)
Autrement, le design fait plus que classique, le TX affichant une ligne moins « torturée » que celle de plusieurs nouveaux modèles du constructeur japonais Toyota. Il était évident que le but premier de Lexus (Toyota) était de plaire à une clientèle plus « sobre » qui aimerait aussi posséder un produit Lexus, ne serait-ce que pour sa réputation!
Évidemment, ce qui compte le plus avec ce véhicule, c’est d’obtenir un habitacle spacieux, très spacieux, plus que celui du RX-L dont il était question plus haut. Cet habitacle est non seulement spacieux, il est aussi très utile. Lexus a vu à lui donner beaucoup d’espace pour les quelque sept passagers qui pourraient y prendre place au besoin. Si les places d’avant sont confortables, celles de centre le sont encore plus. Pour atteindre la troisième banquette (à deux places), il faut manipuler les sièges du centre avec un peu de robustesse mais ce n’est pas si difficile. Par contre, je suis étonné de voir que Lexus n’a pu su mieux élaborer les mécanismes des sièges même si une partie se fait par des commandes électriques. Donc, la troisième banquette est nettement plus accueillante et offre plus d’espace pour les jambes que celle de plusieurs concurrents. Cependant, je me suis senti assis un peu bas.
Le tableau de bord du TX350 est très sobre mais aussi luxueux et efficace. (Photo Éric Descarries)
Le tableau de bord n’a pas, non plus, ce design encore une fois torturé de ceux de plusieurs concurrents. Toutefois, sa sobriété est plutôt « élégante ». Et tout y est bien disposé avec des commandes faciles à comprendre. L’écran au centre est suffisamment grand pour être facile à lire et, encore une fois, j’ai apprécié l’affichage du compteur de vitesse à l’intérieur du pare-brise.
Les sièges du centre sont très invitants. (Photo Éric Descarries)
Évidemment, avec une silhouette aussi rectangulaire, l’espace réservé aux bagages ou au cargo s’en trouve augmenté. Bon, peut-être pas tant que cela quand la troisième banquette est en place mais c’est nettement mieux quand elle est repliée. Sachez que l’on peut facilement accéder à cet espace cargo en passant le pied sous le pare-chocs arrière (avec les clés en poche) ce qui fera ouvrir le hayon automatiquement. Enfin, la radio avec chaîne audio Mark Levinson et ses 21 haut-parleurs mérite d’être soulignée pour la qualité de sa reproduction sonore.
Lorsque les dossiers de la dernière banquette sont en place, il reste quand même un bon espace de chargement. (Photo Éric Descarries)
Une fois abaissés (comme plusieurs utiliseront le VUS), on obtient encore plus d’espace cargo. Imaginez quand on abaisse aussi les dossiers des sièges du centre : un vrai pick-up! (Photo Éric Descarries)
Du côté mécanique, la nouvelle gamme TX de Lexus est disponible en version TX 350 avec un moteur à quatre cylindres turbocompressé mais aussi en TX 500 à configuration hybride électrique ou encore en TX 550 hybride branchable (PHEV). Ma voiture d’essai étant un modèle TX 350, son moteur était celui de base de 2,4 litres de 275 chevaux combiné à une boîte automatique à huit rapports et à la traction intégrale (le marché américain a droit à une version de base à traction avant). Notons que la configuration mécanique à traction intégrale est à préséance de traction avant avec régulateur automatique (TRAC) ce qui veut dire à gestion électronique avec des choix de mode incluant celui d’excursion hors-route…raisonnable, bien entendu. En effet, le choix des pneus limitera les capacités du véhicule. Incidemment, Toyota Canada avait équipé mon véhicule d’essai de pneus Continental de tourisme (255/55 R20).
Malgré le fait que ce ne soit qu’un moteur à quatre cylindres qui anime ce grand véhicule, ce « petit » moulin s’est montré à la hauteur de la situation. (Photo Éric Descarries)
Sur la route
Bien entendu, ce qui devrait vous intéresser le plus, ce sont mes impressions de conduite. Au départ, il faut savoir approcher ce véhicule de plus de 4400 livres avec une pincée de sel. Ce n’est certes pas une voiture de performance. Il peine à atteindre le cap des 100 km/h (départ arrêté) en moins de huit secondes et ses capacités de reprises modérées. Mais le véhicule est très silencieux et surtout très confortable. Il offre une visibilité exceptionnelle alors que ses sièges ont un support plaisant sans être trop raides.
Sur la route, la conduite est un peu tendre mais pas légère à outrance. Cependant, celui ou celle qui désire entreprendre de longs voyages avec sa famille ou ses amis sera superbement bien servi sur de longs trajets. La capacité de remorquage de ce VUS Toyota est de 2268 kilos.
Il ne faut pas s’attendre à ce que le TX 350 se comporte comme une sportive mais on peut considérer ses aptitudes de tenue de route comme étant respectable. En ce qui a trait à la consommation, mes chiffres à la pompe après une semaine en conditions urbaines et routières s’est soldé par une moyenne de 12,6 l./100 km ce qui est un bon résultat.
Le prix de base d’un Lexus TX 350 est de 71 500 $. Mon véhicule d’essai avait été équipé de l’option dite Groupe Exécutif (7P) de 8000 $ qui comprend plusieurs accessoires dont le moniteur d’angles morts à l’arrière, la compatibilité sans fil avec Apple CarPlay, les phares avec mise à niveau automatique, la radio XM Sirius, la sonorisation Mark Levinson, la caméra de surveillance du conducteur, l’alerte de circulation transversale (qui m’a été utile deux fois!) les lave-phares, les phares DEL à double faisceau et tellement plus. Ajoutez à cela quelques dollars de plus pour les Écofrais et les 100 $ pour la taxe du climatiseur en plus des 2 205 $ de frais de transport et la note finale sera de 81 838,50 $...plus taxes!
En conclusion, le Lexus TX 350 n’est certes pas le plus excitant véhicule à conduire en ce qui concerne ses performances mais il répondra certes à la demande de bien des conducteurs qui recherchent le VUS (ou VUM) idéal pour de longs trajets en groupe. Il sera aussi très agréable à conduire et à posséder pour plusieurs raisons incluant la fiabilité légendaire du constructeur. Sa concurrence proviendra certes de plusieurs véhicules américains comme le Lincoln Aviator et autres en plus de véhicules vedettes asiatiques et européens (dont certains sont même plus coûteux) comme le Genesis GV80, le Volvo XC90 et le BMW X5.
Premier contact avec la Fiat 500E
Mon bon ami Yves Perreault a récemment pris livraison de sa petite Fiat 500E toute électrique. On se souviendra de la silhouette familière des sympathiques 500 qui ne sont plus sur notre marché aujourd’hui. Cependant, le petit véhicule est de retour avec quelques retouches esthétiques qui lui vont bien. Ce qui est le plus excitant, c’est qu’avec le moteur électrique, la 500 E est nettement plus rapide que l’ancienne 500 à moteur thermique. Yves m’a suggéré de l’essayer sous peu ce que j’ai hâte de faire. Notons que cette Fiat demeure une voiture à traction avant et que, dans sa version un peu plus équipée, elle se vend autour des 40 000 $.
La nouvelle petite Fiat 500E n’est disponible qu’à certains endroits en Amérique dont la Californie…et le Québec. (Photo Éric Descarries)
Premier contact avec le coupé Genesis GV 80
Pas sur la route mais en concession! En effet, Genesis Canada a récemment invité un petit groupe de journalistes spécialisés à sa toute récente concession Genesis Saint-Laurent (du quartier du même nom à Montréal) afin de dévoiler la toute nouvelle version dite « coupé » de sa GV 80. Pour le moment, le véhicule vu ici était le seul de son espèce au Canada mais, d’ici quelques semaines, nous devrions le voir sur nos routes
Toutefois, malgré sa ligne superbe, on comprendra que l’on retrouvera une mécanique traditionnelle connue de la marque (en l’occurrence, un V6 turbocompressé de 3,5 litres avec transmission automatique mais avec plus de puissance que le même moteur qui anime la version VUS de la même auto). On peut s’attendre à ce que Genesis en produise une version toute électrique éventuellement
Cependant, ce qui plaira certes aux nouveaux propriétaires de cette voiture (qui auront pu l’essayer sur 50 kilomètres avant l’achat!), c’est qu’ils auront droit à cinq ans de service complet incluant la disponibilité de pneus (Michelin) et roues pour l’hiver, l’entreposage de leurs roues et pneus d’été durant la saison froide et un service personnalisé de valet pour le service. Le premier prix annoncé devrait être d’environ 104 000 $.
La nouvelle Genesis GV 80 en format coupé. (Photo Éric Descarries)
Les lignes blanches !
Enfin, Ville de Laval a vu à repeindre les lignes blanches sur le boulevard Saint-Martin, surtout à l’endroit où la situation pourrait s’avérer dangereuse (le soir et sous la pluie). Les mêmes services de Ville de Laval ont ajouté des dos d’âne à certaines rues (la Ville a de l’asphalte pour ces dos d’âne mais pas pour réparer les rues) alors que plusieurs autres de ces obstacles déjà établis n’ont pas encore eu des pointes de peinture jaune pour en avertir les automobilistes. D’accord, il y a de petites pancartes pour les signaler mais avec toutes les informations qui sont lancées aux conducteurs, certaines seraient mieux placées SUR la route que cachées derrière les arbres ou les haies!
Parnelli Jones (1933-2024)
Un autre grand nous a quitté, Parnelli Jones, vainqueur de nombreuses courses en Indy (Indy 500 1963), Trans-Am (Mustang 1969-70), Baja (Bronco) et combien d’autres. Malheureusement, il fait partie de cette cohorte de champions du passé que plusieurs jeunes ne connaissent pas nécessairement. Moi, je l’ai rencontré plusieurs fois lors d’évènements automobile, une fois même avec A.J. Foyt ! Ce que je retiens de lui, c’est qu’il conduisait en « maniaque » (il a même déjà effectué un dépassement par la droite en Alaska en roulant à toute épouvante…dans le champ ! J’étais son passager à droite!). Il était champion de courses de désert, après tout! Parnelli aimait aussi partager de bonnes farces!
Parnelli (g.) et moi au lancement du Ford Expedition en 1997 (Photo collection d’Éric Descarries)
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