#*avale difficilement ma salive*
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holy moly mother of god
#stephen sanchez#omgggg#*avale difficilement ma salive*#il a 20 ans just calm the fuck down gurl#but i can't
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Transylvanie express (46)
Épisodes précédents
Bien qu’il fût déjà jour, le brouillard s’étendait encore sur le village. Nous étions suffisamment reposés et devions partir pour quitter définitivement les terres du comte Dosza. Car nous étions encore sur ses terres.
Nous décidâmes d’emporter des provisions à base de viande séchée et de légumes trouvées dans ce qui ressemblait à un potager. De plus, je découvris une outre en peau et pus la remplir d’eau de la fontaine.
Nous allions partir lorsque je remarquai quelque-chose d’anormal sur le corps découvert la veille par Ludmilla. En effet, celui-ci, allongé sur le ventre, présentait une étrange blessure. Son dos était couvert de petits trous qui en encerclaient un plus large. Je compris qu’il avait fui, mais il fut abattu avec une arme à feu. Dès lors, je pris le temps d’imaginer la scène, de le voir courir puis s’effondrer. Je marchai en sens inverse, m’éloignant de mon amie qui, s’inquiéta. Elle me regarda marcher lentement et m’arrêter devant la grange.
Par instinct ou juste par curiosité, j’ouvris la porte. Lourde, elle était difficile à pousser. Je fus brutalement saisi de nausée en reniflant une forte odeur putride. Cependant, après avoir posé mon mouchoir sur le nez, j’entrai dans la remise. Après quelques pas, la terreur envahit mon esprit ; l’horreur s’affichait devant mes yeux ébahis ! J’étais en présence des autres habitants du village. Ils étaient tous là, hommes, femmes, enfants ! Mais ils n’étaient plus que des cadavres en état de décomposition. La plupart avait le corps meurtri, troué. Certains, pendus à des poutres, se balançaient au gré du vent provoqué par mon entrée. La grange avait préservé leurs corps des bêtes sauvages.
En me rejoignant, Ludmilla eut un haut de cœur. Elle sortit immédiatement pour vomir son petit-déjeuner. Je restai à comprendre ce qu’il s’était passé. Pourquoi un tel massacre ? Une mère au crâne fracassé, portait encore dans les bras son bébé. Il n’était pas mort de faim mais achevé à l’aide d’une lame. Leurs visages grimaçants, leurs yeux vitreux et leurs poings serrés, marquèrent mon esprit par toute l’horreur qu’ils vécurent. Je marchai sur un sol noir de sang séché. Toutefois, leurs silhouettes restaient encore accrochées aux murs. Tel un tableau en ombres chinoises, on devinait l’atrocité du spectacle.
N’en pouvant plus devant cette boucherie, je préférai sortir. Agenouillée devant l’unique point d’eau, mon amie se rinçait la bouche. Son regard était plein d’incompréhension.
- Il n’y a jamais eu de mal des méninges, ici. C’est bien ça ?
Je répondis en hochant la tête. Effectivement, personne n’était tombé malade. Ils ont été exterminés par plaisir ou par vengeance… Seul le commanditaire sait.
- Nous devons partir, annonçai-je.
Aussitôt, Ludmilla se leva. Elle avait encore le visage blême. De même, la découverte rendit ses joues plus creuses. Elle paraissait avoir maigri. Nous quittâmes le hameau sur le champ pour longer la voie de chemin de fer. Tout à coup, elle m’arrêta en posant sa main sur mon épaule :
- Ecoute !
Sur le moment, je pensai entendre le bruit d’un train ; un train qui approcherait ou s’éloignerait tout en attendant notre venue. Mais, il n’y avait rien de cela. J’entendis le vent, la cime des arbres bouger, quelques chants d’oiseaux. J’entendis mon cœur battre, ma gorge avaler ma salive et le silence. Puis, c’est arrivé comme une évidence : un aboiement…non, des aboiements ! La meute du comte Nichifor Dosza était à notre recherche !
Dès lors, je pressai le pas, continuant à marcher sur le ballast et les traverses. Nous devions impérativement trouver un endroit où se cacher ou nous devions fuir…parce qu’il était capable de nous faire dévorer par ses chiens. Nous marchâmes en faisant attention aux hurlements de la meute. Ludmilla s’inquiéta davantage lorsqu’ils furent plus proches, lorsqu’on pouvait entendre les cris des hommes qui l’accompagnaient.
Courir ne servait à rien ! Cependant, nous accélérâmes le pas tout en longeant les rails. Ils étaient rouillés, tellement abimés par endroits qu’il n’était plus possible de rouler dessus. La voie grimpait. Nous marchâmes longtemps sans nous arrêter, sans prendre le temps d’une pause. Et nous entendions toujours le groupe qui nous pourchassait. Tantôt, ils étaient proches, presqu’à côté de nous, tantôt, leurs voix n’était qu’un écho entre les montagnes.
Alors que le chemin de fer passait dans un bois, nous vîmes un ru à quelques pas. Immédiatement, nous profitâmes de cet écoulement pour cacher nos odeurs en marchant dans l’eau qui arrivait aux genoux. L’avancée fut pénible bien que dans le sens du courant. De plus, il était difficile de voir les cailloux glissants, d’éviter les morceaux de bois, les trous dans la vase noirâtre. Et le brouillard n’arrangea rien en se transformant en purée de pois. Les chiens continuèrent d’aboyer, cherchant, reniflant leurs proies. Quelques cris les encourageaient.
Après quelques minutes éprouvantes dans l’eau glacée, nous nous enfonçâmes dans une sorte de canyon. De temps en temps, je faisais attention à Ludmilla qui commençait à fatiguer. De plus, la rivière devenait plus profonde. Tout-à-coup, elle ralentit. Ses mains frôlèrent la surface de la rivière comme on polit un miroir. Je m’arrêtai afin de l’attendre. Un nuage de fumée, venu de nulle part, passa brusquement entre nous. Dès lors, son aspect devint plus terne. Elle baissa la tête, laissant ses cheveux noirs recouvrir son visage. Elle marcha dans l’eau toujours sombre. Sa respiration se fit plus lente et plus forte…plus sifflante.
La meute approchait de plus en plus. Chiens et chevaux galopaient en faisant un ramdam du tonnerre. Le ciel s’assombrit brusquement pendant que la fumée pesait dans l’atmosphère. Elle chauffait tellement que la rivière se mit à bouillir autours de ma copine. Elle marchait lentement, se retenant aux bulles qui se dégageaient. Ses bras devinrent blancs, marqués par d’horribles escarres purulentes. Sa respiration m’inquiéta au point de me faire peur. Dès lors, je reculai à son approche.
La rivière ne coulait plus. Elle noircissait de plus en plus, si bien que le fond disparut. Quelque-chose retint mes chevilles, et m’empêcha de courir. Je voulais l’appeler, lui demander si elle allait bien. Je voulais lui dire d’arrêter mais la peur paralysa ma gorge. Elle marcha doucement vers moi.
- Est-ce que tu me trouves belle ?
La voix provenait du brouillard accompagnant une horrible odeur de pourriture. Je reculai encore en cadence avec Ludmilla. Elle caressait toujours l’eau qui se calma, retrouvant sa surface lisse. Elle avançait sans remuer la flotte qui l’encerclait. Elle avançait la tête toujours penchée en avant, le visage caché par sa longue chevelure.
- Est-ce que tu me trouves belle ?
Les chiens étaient à côté. Ils couraient au-dessus de nous. Ils passèrent en haut du ravin qui formait la rive droite, sans se soucier de la rivière. Puis ce fut le tour des chevaux, des « taïaut » et des rires d’hommes. Je surveillai silencieusement leur progression. Finalement, ils nous dépassèrent, persuadés que nous étions bien plus loin.
Alors, le brouillard se retira aussi vite qu’il était apparu. Ludmilla releva ses cheveux. Sa peau retrouva une couleur plus vivante. Elle râla en réalisant qu’elle était trempée jusqu’à la taille. Elle me rejoignit tout en marchant difficilement dans la vase. Puis elle me dévisagea avant de demander :
- Qui-y-a-t-il ?
Je ne répondis pas et me contentai de sourire. Nous continuâmes d’avancer en utilisant la rivière pour masquer notre présence. Mais lorsque le niveau d’eau atteignit la poitrine de ma compagne, nous reprîmes les sentiers. Malgré nos habits trempés, nous ne nous arrêtâmes point. Nous n’entendîmes plus la chasse. Par contre, le bruit d’un train revint à nos oreilles.
Alex@r60 – janvier 2023
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Ethalia - Chapitre 7
Ethalia - Jongin
Paire : Jongin x OC (Yo Jeong)
Genre : Fantasy AU, Surnaturelle AU, Academy AU
Nombre de mots : 9315 mots.
Chapitre : 1 ; 2 ; 3 ; 4 ; 5 ; 6 ; 7 ; 8 ; 9 ; 10 ; 11 ; 12
A/N : Mon dieu, vous avez vu la longueur du chapitre ! Quand je l’ai écrit je ne pensais pas qui allait être aussi long ! C’est mon nouveau record !
Crédit au propriétaire de l’image
Chapitre 7:
Le soleil venait juste de se lever que je devais déjà faire de même, prendre mon petit déjeuner, et être préparer pour partir à Ethalia,
Ye Yag m'avait obligé à prendre la potion de changement d'apparence, après avoir mangé, c'était la pire chose que je n'avais jamais bu, j'ai bien failli vomir plusieurs fois. Mon corps n'a pas eu de réaction comme il avait fait la veille avec le biscuit que Man Yeo m'avait donné, c'est-à-dire de suite après l'avoir avaler, mais d'après Ye Yag, c'était normal, et que mon corps changera, avant notre arrivée à Ehtalia.
Je me trouvai maintenant sur une charrette avec Ye Yag, elle allait nous emmener à la '' gare '' pour que je puisse prendre le moyen de transport qui allait m'emmener jusqu'à l'académie.
Je posai ma tête contre la planche en bois de la charrette et regardai le soleil se levant doucement et tranquillement dans le ciel bleu, ma tête bougeant au rythme de la charrette, et de ses roues roulant sur les quelques pierres dépassant du sol.
Je baillai, ce qui était plutôt surprenant puisque je ne m'étais pas couchée très tard la veille et je ne m'étais pas réveillée pendant la nuit.
'' Ah les voilà! '' Je tournai mon regard vers Ye Yag, attirée par sa déclaration soudaine, je le regardai alors en levant un sourcil. '' Les premières réactions de ton corps à la potion. ''
'' Tu veux dire que mon corps commence à changer? ''
'' Oui, ensuite tu auras sûrement quelques frissons dans ton corps, et puis les parties changeantes de ton corps vont commencer à picoter, ça va se passer très vite, à ce rythme ton corps sera changé avant notre arrivée à la gare. '' J'acquiesçai alors comprenant plus clairement ce qui va se passer à mon corps.
'' Mais dis-moi, je me demande vraiment quel sera le moyen de transport qui m'emmènera à l'académie. ''
''Eh bien quand j'étais encore élève là-bas, on y allait en bateau puis on montait les escaliers à pied, mais à l'époque l'académie n'avait pas énormément de budget, donc ça ne m'étonnerait pas que vous vous envoliez jusqu'à l'académie à dos de Thunderbird *! '' rigola-t-il.
Un gigantesque oiseau, noir avec des motifs bleu foudre indescriptibles dessiné sur tout son corps, se tenait juste devant nous, il était caressé par un gros homme barbu, et musclé, qui ressemblait à un viking à cause de son casque décoré par deux grosses cornées, sur sa ta tête.
Je tournai la tête vers Ye Yag, il était absolument sous le choc, la bouche grande ouverte, les yeux aussi gros d'Amaryllis *, je le regardai comme si je ne croyais pas à ce qui arrivait.
'' Je ne savais pas que les humains avaient la capacité de lire dans le futur. '' remarquai-je le regardant tourner en tête vers moi, avec la même expression inscrite sur son visage.
'' Je te promets que c'était juste une simple coïncidence! '' jura-t-il. L'énorme oiseau qui était devant nous se trouve être un Thunderbird, il était le même qu'avait décrit ma mère dans son carnet de voyage.
'' Oui, oui, je te crois. '' répondis-je en fermant sa bouche. Je soupirai puis déclarai-je. '' C'est sûr que c'est complètement différent des bateaux de votre époque. '' il acquiesça doucement.
'' Bref, euh ... je pense que le changement d'apparence est terminé. '' déclara-t-il en reprenant ses esprits. J'écarquillai au souvenir, qu'il avait raison, je ne ressentais plus les picotements, les frissons et ne baillais plus, je passai ma main vers une de mes oreilles, et je ne les sentais presque pas, au touché, elles n'étaient plus longues et pointues, non elles avaient l'air comme celle de Ye Yag, petites et rondes. Je pris ma capuche entre mes mains, et la baissai difficilement, j'avais plutôt peur et que ce n'était qu'une illusion, je tournai la tête vers l'humain, et il me regardait, en écarquillant un peu les yeux, mais il reprit rapidement ses esprits, et moi sourit en levant son pouce en l'air. '' Parfait, la transformation s'est bien passée. Tu ne ressembles plus à un elfe. ''
'' C'est vrai?! Waouh c'est incroyable! '' m'exclamai-je en n'arrêtant pas de toucher mes oreilles, et sautant de joie.
'' A TOUS LES ÉLÈVES DE PREMIÈRE ANNÉE! QU'ILS VIENNENT VERS MOI! '' ordonna, un vieil homme relevé par une caisse en bois.
'' Vite c'est à toi qu'il parle! '' déclara soudainement Ye Yag, en me poussant le dos avec sa main. '' Ah non attends, tiens mets ça à ton poignet. '' dit-il en me tendant un petit bracelet, décoré par une pierre translucides blanche, et traversées par un fil en cuir marron. '' Ce bracelet deviendra opaque quand ta potion de changement commence à s'affaiblir dès qu'il change envoie moi une lettre que je t'envoie des potions. Et aussi rajoute ça dans ton sac. '' ajouta-t-il en me tendant un sachet des mêmes biscuits que m'avait donnée Man Yeo. '' Mange-en un quand le bracelet commence à devenir opaque, d'accord?'' Je hochai la tête en rangeant le paquet dans mon sac, et accroche le bracelet à mon poignet. '' Super, allez vas-y! ''
Je me suis retourné alors de lui, en lui disant au revoir et le remerciant pour ce qu'il avait fait pour moi, et me dirigeai vers l'homme sur la caisse en boite qui commença à parler:
'' Bien puisque tout le monde est là, je vais pouvoir vous expliquer comment va se passer le vol de Thunderbird! '' déclara-t-il en regardant minutieusement tout la foule, très extravertie, à l'intérieur, il y avait énormément de races différentes, allant de vampires, jusqu'à des fées en passant par des sirènes, et puis il y avait moi qui avait aucune caractéristique physique pouvant donnée un indice sur ma race. '' Mais tout d'abord, laissez-moi me présenter! Je suis Monsieur Jo Su *, je suis le directeur adjoint de l'académie, je suis en charge de vous, les premières années, et du bon fonctionnement de l'académie, je ne vous laisserai donc aucunement faire n'importe quoi ni à à l'intérieur ni à l'extérieur d'Ethalia, compris? '' demanda-t-il en nous lançant des regards meurtriers, me faisant presque penser à ceux que me lançaient ma grand-mère je ne sais comment, il me faisait penser à elle, il était petit, des cheveux gris bien soignée, le même air soigné collé sur le visage, les lunettes posées sur leur nez, et... la moustache. Bref, tout les deux se ressemblait surtout niveau pilosité.
Nous acquiesçâmes tous intimidés par son égard. '' Bien, donc les vols de Thunderbird, tout d'abord, ça ne sert à rien de se précipiter sur un Thunderbird, il y en aura pour tout le monde! Ensuite, chaque Tunderbird est assigné à un homme, il vous expliquera plus en profondeur comment le vol se passera, et comment le passer sans aucun problème. '' Puis il continue à tout nous expliquer, et ce que l'on fera après être arrivés à Ethalia.
Quand il finit de tout nous expliquer, il nous autorisa à aller vers les Thunderbirds, il eut malgré les paroles de Jo Su un mouvement de foule et tout le monde se précipita vers un énorme oiseau, je finis enfin à m'échapper de la foule , et cherchai un oiseau, malheureusement pour moi, les seuls, que je pouvais apercevoir, étaient déjà pris par quelqu'un, je me dirigeai vers le rivage, et par chance je vis un vieil barbu, en train de caresser un oiseau noir, celui-ci était plus petit que les autres que j'avais vu, mais je me dirigeai quand même vers lui sachant que c'était sûrement le seul de libre.
L'homme était dos à moi et beaucoup plus grand que la moyenne il devait facilement atteindre les 3 mètres, il portait un casque décoré par des cornes, des courts cheveux roux s'échappant de son casque.
Je serrai les bretelles de mon sac à dos, puis me dirigeai timidement vers le grand homme.
'' Euh ... euh, excusez-moi? '' L'homme roux se retourna, faisant apparaître : de petits yeux marrons acérés, un gros nez, une épaisse moustache et une barbe rousse, recouvrant presque tout le bas de son visage, à cause d'elles, nous ne pouvons presque pas voir ses lèvres. Il me regardait profondément dans mes yeux, me faisant avaler ma salive, puis tout à coup, il m'offrit un énorme sourire montrant des dents dont une qui semblait être en or.
'' Tu dois être une première année n'est-ce-pas? '' demanda-t-il me souriant toujours.
'' Ah euh ... oui ... '' répondis-je timidement. '' Je ... j'ai vu que vous étiez seul donc ... ''
'' Eh bien tu as bien vu! Enchanté, je suis Havard Abaran, mais tout le monde m'appelle Arban! '' se présente-t-il en me tendant sa main deux fois plus grosse que la mienne.
'' E-enchanté, je suis Cho Na Mu ... '' me présentai-je à mon tour, en lui tendant la main tremblante.
'' Bien! C'est ton premier vol en Thunderbird? '' me demanda-t-il en me lâchant la main, je hochai la tête. '' Bon ce n'est pas grave, je vais t'expliquer comment bien passer son vol. Tout d'abord, quand tu vas monter sur Lino, il faut que tu places de sorte de ne pas gêner ses ailes! '' expliqua-t-il.
'' Lino? ''
'' Ah oui ! J'ai oublié de te le présenter, voici Lino, un jeune Thunderbird! '' il me présente l'oiseau, qui sortit un petit cri, comme s'il me saluait. '' Bien aussi sache que les Thunderbird sont connus pour leur vitesse incroyable, donc il faudra bien t'accrocher. C'est tout! ''
'' C'est tout? '' répétai-je en écarquillant mes yeux. Il acquiesça en souriant, puis soudain il se baissa, et il passa ses mains en dessous de mes bras, et me souleva étonnamment facilement presque comme si j'avais le poids d'une mouche, il me posa à califourchon sur l'oiseau, je me trouvai devant les ailes noires de l'oiseau. Il plaça mes mains sur le cou de la créature, me crispant presque.
'' Accroche toi, bien à ses plumes, sinon tu peux dire adieu à la vie! '' m'avertit-t-il. '' Bien Lino, emmène Na Mu à Ethalia, et en chair et en os! '' lui ordonna-t-il, en lui souriant, et en lui tapotant l'épaule, puis sans que je puisse me préparer mentalement, il écarta ses ailes, et s'envola à la vitesse de la lumière dans les airs, pendant toute la montée je lâchai un long cri, et m'accrochai le plus fort possible aux plumes de Lino.
Je fermai mes yeux d'horreur, mais aussi à cause du vent dû à la vitesse de l'oiseau, je le sentis battre des ailes coupant facilement l'air, parfois il ne les bougeait même pas, se laissait juste porter dans le vide .
J'ouvris difficilement les yeux, nous nous trouvions dans un nuage, je tournai un peu la tête l'oiseau laissait derrière lui des éclairs turquoises, pendant qu'il volait les motifs qu'il avait sur tout son corps, s'illuminait d'une belle lumière bleu foudre, puis tout à coup tout s'éclaircit, nous étions au dessus des nuages, je ne pouvais plus voir la terre ferme, juste une mer grise, en face nous pouvions apercevoir un énorme château construit sur une montagne , il était construit en pierre marron, le toit se trouve juste être plus foncé que les murs, il était énorme, il était tellement grand, Lino faisait le tour de celui-ci, on pouvait voir un grand jardin à l'arrière du château , on pourrait presque le croire comme une énorme prairie, avec énormément de verdure, de différentes fleurs, arbres et arbustes et même voir un ruisseau coupant l'espace en deux.
Il faisait encore quelque fois le tour du château, descendant peu à peu, pour enfin atterrir, devant les portes du château, où se trouvaient d'autres Thunderbird, il écarta ses ailes, comme pour ralentir, pour enfin atterrir sur les pavés, je descendis faiblement de l'oiseau, en titubant un peu et en reprenant difficilement mon souffle.
Puis je levai la tête vers Lino qui me regardait comme s'il s'excusait, je lui souris doucement, et lui caressai la tête tendrement en le remerciant. Il fit un petit cri reconnaissant puis il se décolla du sol pour sûrement rejoindre Arban. Je soufflai et regardai l'énorme devanture du château, c'était tellement impressionnant, seulement le plus surprenant n'était pas le fait qu'il soit aussi grand, mais que malgré sa position au-dessus des nuages, nous puissions respirer aussi facilement qu'en bas, j'imagine que cet endroit est comme un magique ce qui est plutôt évident puisque c'était une académie dans un monde complètement magique.
Je continuai à admirer la devanture du château, quand j'entendis un cri et des battements d'ailes irréguliers venant d'au dessus de moi, je levai la tête vers le ciel, pour voir un Thunderbird encore plus petit que le mien, il était monté par une jeune fille aux cheveux roses, c'était d'elle que provenaient les cris, elle avait les yeux fermés, et serrait le plus possible les plumes du cou de son oiseau, les arrachant presque. Mais ce que je ne remarquai pas, était qu'ils s'approchaient de plus en plus de moi, j'écarquillai une énième fois mes yeux, et essayai de m'écarter le plus loin possible de l'oiseau, mais ce fut trop trop tard quand je sentis un lourd poids sur moi. Pendant ma course, j'avais enlevé mon sac au cas où il allait quand même moi foncer dessus - et j'avais bien raison - et qu'il n'abîme pas mes affaires et surtout mon trésor.
J'étais maintenant littéralement écrasée par un oiseau qui devrait sûrement faire trois fois mon poids, avec une fille aux cheveux roses dessus, qui étaient en train de pleurer toutes les larmes de son corps.
Je ne savais pas quand ni comment, mais l'oiseau était enfin levé de mon dos, j'étais vraiment sonnée par le coup, mes yeux se fermant presque, j'entendais en arrière-plan semblant être à des kilomètres de mon corps, des cris appartenant certainement aux autres élèves présents dans la cour, j'allais tomber dans les pommes, quand je sentis une soudaine et réconfortante chaleur, elle venait de ma gauche je tournais la tête vers la source de cette sensation, et vit la fille aux cheveux roses, les mains tendues vers moi, une étrange lueur verte s'échappant de ses paumes, c'était tellement ... apaisant, rafraîchissant, réconfortant, grâce à elle j'ouvris mes yeux et réussis à bouger - difficilement - mon corps, un gémissement sortit de ma bouche, quand je me suis assise par terre, la main contre mon front, c'était comme si j'avais reçu un marteau sur ma tête, quand j'entendis une douce voix:
'' C-ça va ? Je suis tellement désolée, il-enfin j'ai dû lui faire perdre le contrôle de son atterrissage. Je suis sincèrement désolée ! '' dit-elle en posant ses mains sur ses cuisses, en tournant ma tête vers elle j'en profitai pour la regarder. Ses cheveux roses étaient attachés en une longue tresse atterrissant au bas de son dos, elle possédait aussi une paire d'yeux mauves, remplis par des larmes, des petites lèvres rose pâle, un petit nez, et était habillée par une robe faite de feuilles et de fleurs roses, mais le plus surprenant était ses ailes à l'arrière de son dos, elle voulait sûrement être une fée, une vraie. Elle était vraiment belle, je reprends mes esprits en secouant ma tête et la regardai en lui souriant.
'' Je vais bien, grâce à toi, je te remercie et je te pardonne tant que je vais bien. '' la rassurai-je en lui envoyé le sourire le plus réconfortant que j'avais. Dans ma vie, au village, on m'a toujours dit que je pardonnai trop facilement les gens, je me rappelais encore, je devais avoir dans les alentours des six ans, et une elfe sûrement dans les alentours de mon âge,avait, sans faire exprès, fait tomber un bocal en vert sur ma tête, sur le coup, j'étais devenue inconsciente pendant quelques heures puis à mon réveil, on m'avait raconté ce qui c'était passé, et toute la scène qu'avait causé ma grand-mère contre la petite fille, seulement dès que j'ai été dans la capacité de pouvoir aller la voir, je l'ai pardonné, parce qu'elle était encore jeune, et qu'à cet âge là on ne faisait souvent pas attention.
Puis tout à coup j'ai été pris dans de chauds et petits bras, la petite fée était en train de pleurer sur mon épaule, pris par le dépourvu je lui tapai juste tendrement le dos.
'' Eh bien Mademoiselle Ilg Da*, vous savez vous faire reconnaître dès le premier jour. '' remarqua soudainement une voix, Ilg Da me lâcha et tourna la tête vers la voix, je fis de même, et découvris Monsieur Jo Su, les bras croisés dans son dos, et les sourcils fronçaient. '' Vous avez bien de la chance d'être une fée Mademoiselle, et que Mademoiselle Na Mu soit une personne compréhensive, enfin pour l'instant. '' remarqua-t-il une seconde fois en me regardant. '' Je compte sur vous pour que ceci ne recommence pas ! '' déclara-t-il en lançant un dernier regard vers Ilg Da, et nous en tournant le dos.
Je me relevai avec l'aide de Ilg Da, qui ensuite alla me chercher mon sac, puis me le tendit, je la remerciai, le mit sur mon dos, et commençai marcher vers les portes du château, avec la petite fée à mes côtés qui vérifiait que tout allait bien avec moi.
'' Ne t'inquiètes pas Ilg Da, je vais bien grâce à tes soins. ''
'' Oui mais on ne sait jamais! '' déclara-t-elle en vérifiant encore une fois. Puis tout à coup je m'arrêtai sur mon chemin et me tournai vers elle, et lui dis une dernière fois que tout allait bien, elle soupira, puis accepta, quand soudain elle tendit sa main. '' Recommençons depuis le début: je suis Kim Ilg Da, une fée venue des bois des fées tout au sud d'Esthéris, enchantée! '' Se présenta-t-elle, Esthéris ? Qu'est-ce-que c'était déjà, j'avais déjà attendu ça quelque part, ah oui, c'est vrai c'était notre royaume, dans le journal de ma mère, il disait que notre monde était divisé entre quatre royaume, Esthéris le royaume de l'Est, Ouesthéria, le royaume de l'Ouest, Nordaris, le royaume du nord et Sudéria, le royaume du Sud, la majorité d'entre eux sont en paix, seul le royaume du Nord qui lui était complètement coupé du monde, il n'acceptait ni venue d'autre royaume, ni accord de paix, on ne savait donc rien au sujet de Nordaris. Revenant à mes pensées, je haussai les sourcils par la soudaine présentation de la fée, mais je rigolai un peu et tendis ma main et pris la sienne.
'' Je suis Cho Na Mu, une el- je veux dire, une hybride humaine et fée, ravie de te rencontrer Ilg Da... '' me présentai-je, maladroitement.
'' Oh toi aussi tu es une fée, quelle surprise! ''
'' Oui enfin je ne suis pas tout à fait une fée, j'ai aussi du sang humain. '' remarquai-je.
'' Ce n'est pas grave, tu as quand même du sang de fée! '' elle sourit.
'' QUE TOUT LE MONDE SE RÉUNISSE DEVANT MOI! '' ordonna Monsieur Jo Su. Je lâchai la main de la fée et nous partîmes toute les deux vers Monsieur Jo Su. '' Bien je vous rassemble tous ici, pour vous dire certaines choses, tout d'abord, ce qui ne sont pas encore aller voir le concierge de l'école, Monsieur Gar Deu *, aller le voir dès que je fine ce que j'avais à vous dire pour qu 'il vous donne votre clef. Mais là n'est pas le sujet, je vais vous dire le règlement de l'académie, les premières années ont l'interdiction formelle d'accéder à la tour du château ni de sortir du domaine en pleine semaine de cours sans y être autorisés ou sans l'attestation de votre responsable, pendant le week-end, vous pouvez sortir de l'académie. Les dortoirs sont par quatre et seulement quatre, ils ont été à l'avance choisis en fonction du domaine que vous avez choisi au préalable lors de votre inscription. ''
A la fin de son discours, il nous libéra, Ilg Da et moi nous sommes parties rencontrer le concierge de l'académie, pendant le trajet j'ai beaucoup appris sur Ilg Da et sa famille. Elle a vécu une enfance heureuse en compagnie de ses parents et de son petit frère, c'est sa mère qui l'a inscrite à l'académie, à part son enfance nous avons beaucoup de point en commun, elle veut par exemple elle aussi devenir médecin, elle me dit qu'elle veut sauver le monde grâce à ses pouvoirs.
'' Et toi alors Na Mu? Parle-moi de toi. ''
'' Eh bien, je n'ai pas énormément à raconter, j'ai grandi sans mon père, je ne l'ai jamais vu, j'ai quelque fois vu ma mère quand j'étais petite, j'ai vécu la majeure partie de ma vie avec ma grand-mère et mon grand-frère, c'est d'ailleurs lui qui m'a inscrite ici. ''
'' Oh désolé Na Mu, cela doit être un sujet difficile. '' s'excusa la fée.
'' Oui, un peu, mais je me dis que là où mes parents sont, ils doivent être heureux. '' répondis-je. Nous continuâmes notre marche, puis nous vîmes soudain un homme, il y avait très peu de cheveux sur la tête, un visage visage creusé par les rides, des yeux fermés ne laissant même pas voir ses pupilles, un long pointu avec une verrue au bout et des poils sortant de ses narines, on ne voyait plus la couleur de ses lèvres, un corps voûté, ses jambes pliées comme si le haut de son corps pesait plusieurs tonnes, il s'appuyaient sur une vielle canne bois.
'' Ah il y en a encore! '' s'exclama-t-il d'une voix tremblante par la vieillesse . '' Bien qu'on en finisse rapidement, donnez moi le papier de votre chambre. Je déboutonnai alors rapidement la poche de mon long manteau, et sortis le papier où était écrit 1645, et lui tendis à deux mains, il me le prit agressivement, puis prit celui de Ilg Da de la même manière, et se retourna vers une haute étagère, où était rangées différentes clefs, Monsieur Gar Deu prit deux clefs et nous les tendis. '' Ça tombe bien vous êtes colocataires! '' s'exclama-t-il nous nous regardons en souriant, puis prîmes les clefs qu'il nous tendait. '' Maintenant partez, je n'ai pas que ça à faire! '' Nous le remerciâmes, puis sortîmes en trombe de la petite pièce.
Arrivées dans la grande cour, nous nous regardâmes soudain, Ilg Da me sauta dans les bras en criant de joie, je rigolai de sa réaction joyeuse, et souris en enroulant mes bras autour de sa fine taille, mais nous fîmes interrompues par une puissante voix féminine.
'' Que toutes les premières années, les filles étant dans le domaine médicinal viennent ici pour que je leur montre leur chambre! '' Nous partîmes vers la femme, elle était magnifique, elle possédait de longs cheveux blonds orangé aux racines se dégradant dans un rose fraise, ils étaient décorés par une belle fleur d'hibiscus rouge, ils encadraient un visage fin, composé par de grands et doux yeux bleu océan, de lèvres pulpeuses roses, sur son cou on pouvait apercevoir quelques écailles de la même couleur de la pointe de ses cheveux. Elle nous sourit apparaîtra des dents blanc nacré.
'' Waouh! Elle est magnifique! '' s'exclama Ilg Da en murmurant, je hochai la tête beaucoup trop aveuglée par une telle beauté pour pouvoir parler.
'' Bien je pense que tout le monde est là, je pense que je vais pouvoir vous montrer vos chambres, mais je vais d'abord me présenter, je suis Kim Taeyeon je serai votre professeur d'études de plantes médicinales, pendant toutes vos années à Ethalia, mais aussi votre responsable de dortoir, pour faire simple si vous avez un problème quelconque dans le dortoir, venez me voir, d'accord ? '' demanda-t-elle. Nous hochâmes toutes la tête. '' Super ! Alors suivez-moi ! '' déclara notre responsable, en se retournant, et commençant à se diriger vers nos futurs dortoirs. '' Ah oui, ça m'est complètement sorti de la tête, appelez-moi Madame Taeyeon, il y a énormément de professeurs s'appelant Kim ici, alors si on s'appelle tous par nos prénoms on ne va jamais se retrouver ! '' expliqua-t-elle riant doucement, ce son semblant être le plus beau que nous pouvions entendre sur cette Terre, et continua son chemin. En nous expliquant comment allait se passer ses cours, j'avais tellement hâte d'y participer, j'adore les plantes médicinales, c'est vraiment ma passion, ce sera surtout grâce à elles que je pourrais soigner mes patients, en tant que médecin, puisque je n'avais aucun pouvoirs comme ceux d'Ilg Da, je devais me débrouiller avec les moyens que j'aurai à ma disposition.
Pendant notre chemin, je regardai tout autour de moi, même les couloirs étaient beaux ! Le plafond était tellement que je me disais que même un géant ne pouvait le toucher, les murs semblant être tailler dans la pierre elle-même, des statues étant sûrement être de grands personnages de notre monde, étrangement, il n'y avait aucune elfe, cela est vraiment étrange, à un moment donné était bien encore libre, et non enfermé dans un dôme de ronces, ét ça pendant depuis la création dans notre monde, il y avait vraiment aucune elfe qui est entrée dans l'histoire ?
Nous tournâmes dans un des nombreux coins de l'établissement, quand nous croisâmes un groupe d'hommes, ils étaient plutôt intimidants, la majorité d'eux faisait plusieurs têtes de plus que moi, et pouvait sûrement m'écraser avec un seul de leurs doigts.
'' Bonjour Monsieur Seunghyun ! '' salua Madame Taeyeon, en faisant un signe à l'homme semblant être le responsable de ce groupe d'hommes, qui lui donna en réponse un simple hochement de tête, les hommes en question étaient d'ailleurs en train de fixer sans aucune honte Madame Taeyeon, bavant presque devant elle, leurs joues aussi rouges que la fleur dans les cheveux de celle-ci.
Après que leur responsable leurs criait dessus, ils partirent vers sûrement leur dortoir, et nous fîmes de même.
Après quelques minutes de marche, nous nous étions enfin arrêtées, nous nous trouvions devant un grand tableau d'une serre. Madame Taeyeon se retourna vers nous et nous dîmes :
'' Bien je vais vous dire la règle numéro 1 des dortoirs ! '' Elle leva son index. '' Il est strictement interdit, que des élèves d'un domaine autre que le vôtre entre dans le dortoir, compris ? '' demanda-t-elle, nous dîmes toute oui, elle nous sourit puis se retourna vers le tableau. '' Mais nous ne faisions pas confiance à tous les élèves, chaque dortoir possède un code spécial pour entrer, interdiction stricte de le donner à d'autres élèves que ce dans votre domaine. ''Elle posa alors une de ses mains sur l'une des fleurs sur le tableau, c'était une tulipe bleue, et appuya dessus, elle fit le même geste mais sur cette fois-ci un géranium étrangement devenue vert autrefois rose, puis elle tourna un motif de fleur sur le cadre de la peinture. Le tableau s'illumina, tous les motifs sur le cadre s'éclairèrent et le tableau s'ouvrit, laissant place, à un long et profond couloir sombre.
Madame Teayeon rentra dans le couloir, et nous fîmes comme elle et rentrâmes peu à peu dans le couloir sombre, le tableau se fermant ensuite derrière nous.
Je sentis soudain une main prenant la mienne, c'était celle de Ilg Da j'arrivais à la discerner malgré l'absence de lumière.
'' Qu'est-ce qu'il y a Ilg Da ? '' demandai-je en murmurant pendant que nous sentîmes des marches descendantes.
'' Les fées ont toutes peur du noir. '' déclara-t-elle murmurant à son tour. '' J'imagine que ça ne te fait pas ça à cause de ton sang humain. ''
'' O-oui ça doit être ça. '' déclarai-je serrant sa main pour la rassurer.
Nous descendîmes encore et encore dans les escaliers, je pensai personnellement que c'était une très mauvaise idée de faire descendre des escaliers à des jeunes adolescentes comme nous, dans le noir sans aucune lumière en sachant que certaines avaient peur du noir comme dans la situation d'Ilg Da.
Puis tout à coup une petite voix rompit le silence qui s'était installée :
'' Euh Madame, j'ai une question. ''
'' Oui laquelle ? '' demanda Madame Taeyeon.
'' Les prochaines fois que nous allons aller dans le dortoir, nous pourrons prendre de la lumière, n'est-ce-pas ? ''
'' Eh bien, en fait normalement le couloir est allumé, mais le seul jour où il ne l'est pas, c'est le celui de la rentrée. Donc pour celles qui ont peur du noir ou qui sont tout simplement mal à l'aise à devoir marcher et descendre des escaliers dans le noir, ça sera éclairé d'ici demain matin. '' Quelques soupirs de soulagement se firent entendre, par la déclaration de notre responsable, je sentis la main de Ilg Da se desserrait de la mienne, elle était sûrement soulagée elle aussi par ce que notre responsable avait annoncé.
Nous vîmes enfin une lumière à la fin de l'escalier, elle nous aveuglait toutes à cause de tout le chemin traverser dans le noir, mais c'était aussi très réconfortant de pouvoir enfin voir de la lumière, et celle-ci était tout simplement naturelle, car notre dortoir enfin en tout cas la pièce principale de celui-ci était exactement le même décor que la peinture au début du couloir, il y avait une grande baie vitrée donnant vue sur la mer de nuage que l'on aurait vu voir lors de notre vol de Thunderbird, c'était vraiment beau, il y avait plein de sortes de plante, de fleur, de plante médicinale, au milieu de l'énorme serre se trouvait une grosse jardinière faisant pousser une grosse et épaisse bignone, sûrement la plus grande que j'ai vu de toute ma vie, elle escaladait sur je ne sais quoi à cause de ses épaisses feuilles verte,et faisait comme un toit en s'accrochant à la vitre de la serre, et descendant parfois les sièges aux coussins rouges, jaunes, roses, verts, qui entourée la jardinière.
'' Voici votre dortoir! '' s'exclama Madame Taeyeon en se retournant vers nous, nous étions toutes stupéfaites par une telle salle, c'était magnifique. '' Venez je vais vous montrer où se trouvent vos chambres. '' dit-elle en commençant à descendre l'escalier en fer blanc nacré des motif de roses constituant les marches. Nous la suivîmes regardant tous les détails de la pièce qui sera un peu comme notre future maison. '' Bien tout d'abord celles dont leur numéro de chambre est en dessous de 1500 me suivent! '' Après ça, la moitié du groupe la suivit alors, disparaissant à la droite du dortoir, alors que l'autre partie du groupe seule dans cette énorme pièce.
La pièce était alors devenue silencieuse, aucune personne ne parlait.
Pour m'occuper, je regardai la grande et belle bignone au milieu de la salle, nous étions en pleine période floraison des bignones, on pouvait donc voir les belles fleurs en trompette rouges et oranges habituelles des bignones, mais seulement quelque chose m'a rendu curieuse, les couleurs normales des fleurs de bignone sont le rouge et l'orange, mais certes celle-ci en avait de cette couleur mais elle en avait aussi d'autres couleurs : du rose, du jaune, du vert, du bleu, du violet, du blanc et du noir, enfin qu'une seule en noire. C'était impensable comme couleur! mais pour dire vrai ça ne m'étonnait pas trop, puisque nous sommes dans une académie magique, je me disais qu'on lui a sûrement jeté un sort, ou qu'ils l'ont créé eux-même.
Je m'assis, sur un des bancs donnant face à cette étrange plante, en posant mon sac à dos par terre et posa ma tête contre l'immense vitre, me reposant de toute cette marche grâce au silence de la pièce, on avait tant marché, j'avais presque l'impression que mes pieds étaient devenus de la bouillie, l'activités n'a jamais été mon domaine de prédilection. Il fut malheureusement coupé par la même voix que celle dans les escaliers.
'' Euh ... est-ce-que ça vous direz que l'on présente? Je veux dire on va sûrement passer toutes nos années ensemble donc... '' Il y avait toujours le même silence, personne ne lui avait répondu, et maintenant elles la regardaient toutes. Elle avait des cheveux noirs avec des mèches bleu foncé, et des yeux gris clair, sa peau avait l'air d'être plus blanche que la moyenne, sa race devait sûrement faire partie des spectrales, dans notre monde il y a plusieurs types de races, les types naturae, celles qui sont liées à la nature donc les elfes, les fées, les gnômes etc... Les types spectrales, donc les fantômes, les esprits, les types advercum, ceux qui sont hostiles, même si c'est un grand mot puisque bon nombre des races dans cette catégorie ne sont en fait pas du hostiles envers les autres races, je pense notamment aux vampires ou aux démons, puis il y a les neutres, pour bien comprendre comment les races sont triées, il faut savoir que c'est avec ce qu'ils mangent, les naturae sont végétariens, les advercum sont carnivores, les spectrals ne mangent pas, en tout cas ils n'en ont pas besoin et les neutres sont omnivores, donc ce serait les humains, les deus et bien d'autres. '' Après si vous ne voulez pas vous n'êtes pas obligées! '' déclara-t-elle en levant ses mains mais elle fut suivie par l'accord de toutes les filles dans la pièce. '' C'est vrai? Alors, je commence! je m'appelle Kim Chae Won, je suis un esprit des bois, ravie de vous rencontrer! '' se présente-t-elle en s'inclinant. Un esprit des bois? J'ai déjà lu à leur sujet dans le carnet de ma mère, ils protègent les bois de tout être maléfiques, et faisaient donc bien parti des type spectrales.
'' Bien je continue alors! '' déclara Ilg Da. '' Je suis Kim Ilg Da, je suis une fée venue des bois des fées au sud d'Esthéris, j'ai hâte de passer mes années avec vous! '' finit-elle en nous souriant joyeusement.
'' Oh mais c'est toi, qui a écrasé la fille dans la grande cour avec le Thunderbird! '' remarqua une fille avec des cheveux châtains.
'' Je n'ai pas fait exprès! Je lui ai fait perdre sans faire exprès le contrôle pendant son vol! ''
'' Certes mais c'est toujours de ta faute! '' continua la même fille.
'' Arrrgh Na Mu, dis-leur! '' demanda Ilg Da, en se précipitant vers moi.
'' Oh mais tu es celle qui s'est faite écraser. ''
'' Ah euh oui, je suis Ch-cho Na Mu, je suis une hybride fée et humaine, en-enchantée. '' me présentai-je en déglutissant nerveusement suivie par plusieurs chuchotements de la part des autre filles dans la pièce.
'' Et malgré ce qui s'est passé, Na Mu et moi nous sommes devenues de très bonnes amies ! pas vrai ? '' demanda la fée en me regardant, je hochai alors la tête.
'' Eh bien tu es très compréhensive, Na Mu. '' remarqua une fille avec des courts cheveux bleu foncé, des yeux marrons chocolat, et avait quelques écailles noires sur le côté de son cou, en apparaissant du fond groupe, elle se dirigeait vers nous, puis arrivée devant moi, elle tendit sa main en souriant. '' Je suis Shin Ryujin, une Naga*. '' je lui serrai alors la main. Puis alors toutes les filles se présentèrent une par une, elles étaient principalement toutes des fées, ce qui se comprend puisque celles-ci sont spécialisées dans la botanique, et la médecine.
Après quelques temps, où nous discutions tranquillement, Madame Taeyeon sortit enfin du côté droit du dortoir, et nous sourit :
'' Je vois que vous avez fait connaissance ! C'est super ! Mais je dois malheureusement interrompre votre discussion, pour vous montrer vos chambres. '' Nous hochâmes la tête et commençâmes à la suivre. Je mis mon sac sur mon dos, et me dirigea à côté de Ilg Da, qui était en train de sautiller d'excitation.
'' Dis Na Mu, tu n'as pas hâte de savoir qui seront nos colocataires ? '' me demanda-t-elle en me regardant les yeux brillants de joie.
'' Si, j'ai vraiment hâte. '' lui répondis-je en lui souriant à mon tour.
La foule s'arrêta alors, notre responsable se retourna et sortit alors un papier de sa poche :
'' Alors, écoutez-moi, sur vos clefs se trouve un nombre, quand vous entendez le vôtre, venez à côté de moi, d'accord ? '' Nous hochâmes la tête. '' Super alors, le numéro 1510, 2080, 1762 et 1800. '' lista-t-elle et quatre jeunes filles se dirigea vers elle, et elle leur donna une seconde clef chacune. '' Voici la clef de votre chambre ! '' Puis elle leur ouvrit la porte, et les laissa rentrer. '' Installez-vous pendant que je fais les autres chambres, quand vous aurez fini aller dans la salle principale. '' Elle continua alors à faire les chambres une par une. Mais si les clefs données par le concierge n'était pas celles de nos chambres à quoi servaient-elles alors ? Elles étaient juste là pour savoir notre chambre ?
A la fin du couloir il ne restait, plus que Ilg Da, Ryujin, Chae Won et moi, alors voilà nos colocataires.
'' Eh bien voilà vous êtes les dernières ! Kim Ilg Da, Shin Ryujin, Kim Chae Won et Cho Na Mu ! '' nous appelâmes-t-elle, elle nous donna nos clefs de chambre, et l'ouvrit. '' Je sais que c'est un peu injuste, mais ne vous installez pas tout de suite, répartissez-vous juste les lits, d'accord, sinon nous n'aurons pas assez de temps pour la suite. '' dit-elle en nous ouvrant et nous laissa rentrer.
Notre chambre était vraiment énorme, et aussi très lumineuse. Elle avait un toit et un demi-cercle du fond tout en verre, donnant alors vue sur la mer de nuages et le ciel bleu, la vue devrait être incroyable de nuit. Deux lits se trouvaient sur une mezzanine donnant vue sur la grande fenêtre tandis que les deux derniers, se trouvaient en dessous, à côté de chaque lit était placé un bureau personnel, avec une multitude de livres et une petite lampe en fer doré. Sur le côté gauche de la pièce, il y avait plusieurs étagères vides, seule des pots de fleurs verts, avec leurs feuilles vertes pendant certaine même touchant le sol.
'' Waouh elle est incroyable ! '' s'exclamèrent Ilg Da et Chae Won en courant de partout dans la chambre. Ryujin soupira à côté de moi, et monta vers la mezzanine en déclarant :
'' Je prends un lit en haut. ''
'' Si ça ne vous gêne pas je vais en bas, j'ai le vertige. '' déclara Chae Won en se grattant l'arrière de sa tête gênée. A sa déclaration, je haussai un sourcil, un esprit avec le vertige que c'était étrange, en sachant que l'une de leur capacité était de voler, alors avoir le vertige, c'était vraiment.... étrange.
'' Moi aussi, je préfère être le plus proche possible de la porte, vous savez pipi noc- ''
'' C'est bon, on a compris pourquoi Ilg Da ! '' s'exclama Ryujin en la coupant.
'' Na Mu, ça ne te gêne pas d'aller en haut ? '' demanda Chae Won.
'' Non ça va. '' répondis-je en montant les escaliers en bois sombre, menant à la mezzanine, Ryujin avait déjà choisi son lit, il devait sûrement être celui le plus caché du soleil.
'' Désolé, mais ma race me l'oblige. '' déclara-t-elle dos à moi.
'' Ça va, ça me convient. '' la rassurai-je, en posant mon sac sur la chaise en bois de mon bureau, enlevant enfin mon manteau trop grand pour moi et le fit pendre à un petit porte manteau. J'avais maintenant une certaine affection pour lui, j'imagine que c'est parce qu'il m'a protégé d'une mort certaine en cachant mon ancienne apparence, et peut-être aussi car c'est Man Yeo qui me l'a offert enfin plutôt qui me l'a donné, en parlant d'elle je me demande vraiment ce qu'elle fait en ce moment, elle a sûrement dû rentrer au dôme, où grand-mère doit la harceler pour savoir pourquoi elle m'a aidée à sortir, et Hi Jin et Geom Jeong doit lui demander comment est l'extérieur, si je vais bien ou quelque chose comme ça.
A la pensée de mes deux meilleures amies je souris nostalgiquement et pris le collier qu'elles m'ont offert avant mon départ, je caressai alors doucement la pierre verte avec mon pouce. Mais je fus interrompu par une main sur mon épaule, je tournai la tête, c'était Ryujin.
'' Tu viens? Madame Taeyeon nous a dit de nous dépêcher. '' elle demanda.
'' Ah oui, j'arrive. '' Elle enleva sa main de mon épaule, et commença alors à descendre les escaliers en bois. Je soupirai alors, et suivis alors les filles dans le couloir, pour ensuite arriver dans la salle principale du dortoir. Toutes les filles étaient assises sur les sièges, alors nous fîmes de même et nous regardâmes notre responsable se trouvant au milieu de la pièce en nous voyant nous asseoir elle commença alors à parler.
'' Bien depuis tout le monde est là, je vais pouvoir commencer! '' déclara en s'adossant à la jardinière en pierre blanche. '' Tout d'abord je vais commencer par quelque chose que certaines d'entre vous ont déjà remarqué, dans chacune de vos armoires se trouve un uniforme, c'est celui de l'académie vous êtes dans l'obligation de le porter en dehors du dortoir, pour celles qui ont peur qu'il ne soit pas à votre taille, ne vous inquiétez pas de le mettre, il s'adapte directement à votre morphologie, il existe une autre tenue obligatoire, c'est celle de la pratique de combat vous avez beau être dans un domaine exclusivement théorique, vous devez quand même avoir les capacités de base pour vous battre et au moins pouvoir vous protéger, ah oui il y a une dernière quand vous aurez vos travaux dans la serre de l'académie, obligation de la porter celle-ci c'est pour votre sécurité. '' Elle expliqua en nous regardant toutes. '' Ensuite certaines me l'ont déjà demandé, les toilettes se trouvent au fond de chaque côté du couloir, ne vous inquiétez comparé à toutes les pièces dans votre dortoir, il n'y a pas de grosses baies vitrées. '' déclara-t-elle, ce qui nous fîmes soupirer de soulagement . '' Bien avant de vous laisser finir de vous installer, les horaires: le petit déjeuner est à 7 heures, les cours commencent à 8 heures et se finissent tous maximum à 17 heures, mais il peut y avoir des études du soir à la bibliothèque maximum 20 heures, le déjeuner est à midi, le dîner à 19 heures, et le couvre-feu à 22 heures. '' dit-elle listant tous les horaires. '' Bien maintenant je vous laisse vous préparez, sauf si vous avez des questions bien sûr. '' déclara-t-elle en tournant la tête pour trouver une fille du premier groupe, levez la main, elle hocha la tête pour lui donner la parole.
Tout le long de quand elle listait tous les horaires, je sentais une grosse boule nerveuse dans mon ventre, c'était la nuit, si le couvre-feu était aussi tard, je vais devoir me coucher encore plus tôt que d'habitude, bon pour l'instant puisque nous sommes en été les jours dure plus longtemps donc je pourrais dîner sans trop de problème, mais quand on va être en automne, ou même en hiver comment vais-je faire? La nuit va se lever plus tôt, et le jour plus tard, il faut juste prier pour que Ye Yag trouve une alternative.
'' Euh, est-ce-que nous sommes obligées de porter notre uniforme pour le dîner et le petit déjeuner? ''
'' Eh bien pour le petit déjeuner oui vous êtes obligées, mais le dîner non, ce n'est pas la peine. '' Elle vérifia sa montre je soupirai de soulagement, pour le dîner je pourrais porter mon manteau, et cachait mes oreilles, c'est déjà un bon point, bon certes j'aurai l'air bizarre, mais au moins mes oreilles seront cachées du monde. '' Bien, il vous reste pile une heure pour finir de vous installer ou de commencer à vous installez, quand vous aurez fini retrouvez-moi ici, pour que je vous emmène à la grande salle (A / N: Je sais ça fait Harry Potter mais je n'ai pas trouvé mieux.) '' Puis quand elle finit sa phrase, nous nous levâmes, et nous nous dirigeâmes vers nos chambres respectives.
Arrivée à la nôtre, je montai directement dans la mezzanine, et ouvris mon sac pour ranger mes affaires. Je plaçai d'abord mes livres, sur la bibliothèque vide parallèle à mon lit puis rangea le carnet de note de ma mère dans le tiroir de mon bureau, et le mien sur celui-ci. Pendant que je rangeai les livres restants, je regardai ceux qui étaient déjà rangés, j'en ouvris à une page au hasard, et découvris une page de recette, pour faire un remède contre les fortes fièvres, je tournai les pages de ce livre, il y avait plein de recette de remède, de pommades et autres. Ça devait être mes livres de cours.
J'ouvris mon armoire pour effectivement trouver un uniforme, il avait un blazer blanc avec des boutons dorés et un blason était cousu sur la poitrine gauche du blazer, c'était une épée grise entourée par un beau magnolia tout deux emprisonnés dans un globe, en dessous se trouvait une chemise blanche sans défauts avec une cravate à carreaux verts, comme la jupe aussi d'ailleurs.
'' Eh bien, c'est très.... '' Ryujin cherchait ses mots en regardant de haut en bas l'uniforme.
'' Clair ? '' proposai-je.
'' Un peu dire ça. '' dit–elle, en fixant l'uniforme en fronçant les sourcils.
'' Par contre, Ryujin, le blason, c'est celui de l'académie ? ''
'' Attends, tu veux dire, que tu ne reconnais pas le blason de ta propre académie ? '' demanda-t-elle en écarquillant les yeux.
'' Eh bien disons, que j'ai vécu un peu coupée du monde donc... '' expliquai-je en ayant toujours le réflexe de me gratter ma lèvre inférieure. Elle soupira, et recommença à ranger ses propres affaires.
Je fis alors de même en rangeant mes propres habits dans l'armoire.
Après plusieurs minutes de rangement, il ne restait plus qu'une seule chose dans mon sac, c'était tellement important pour moi, je fouillai alors à l'intérieur, puis sortit la photo.
Cette si belle photo, elle était à la fois magnifique et dangereuse, si quelqu'un la voit, je pourrais complètement abandonner mes rêves. Je réfléchis alors à où je devais la placer, enfin plutôt où la cacher. Je ne pouvais pas la mettre dans un de mes tiroirs, c'était beaucoup dangereux, n'importe qui dans ce dortoir pourrait la voir, la laissai dans mon sac peut-être ? non, il y avait le même danger, sous mon lit ? non, dans mon armoire ? non ce n'est que des cintres.
Je pensai encore et encore à où je pouvais la cacher, sans l'abîmer, quand nous entendîmes la voix de Madame Taeyeon, nous appeler, pour partir, je soufflai d'agacement et rangeai ma précieuse photo entre deux livres, dans un des tiroirs de mon bureau, et me dirigeai un nouvelle fois dans la salle principale du dortoir.
Arrivées nous suivîmes alors, notre responsable dans l'escaliers et le couloir, qui n'était toujours pas allumer avec la main de Ilg Da serrant la mienne à cause de sa peur du noir.
Sortie du couloir et retrouvant la lumière de l'académie, nous arpentâmes une nouvelle fois les longs couloirs de l'académie pour enfin nous trouver dans ce qui semblait être la grande salle (A/N : Dans la description, il y aura quelques similitudes avec Harry Potter, encore une fois désolé !).
Elle était à la fois grande et longue, on y trouvait quatre longues tables en bois sombre, chacune avec un tissu d'une couleur différente, les trois se s'étalant de la porte jusqu'au fond de la salle où se trouvait la dernière table perpendiculaire aux trois autres avec derrière elle 7 chaises placées côte à côte.
Elles étaient remplies de nourriture, et d'élèves en train d'apprécier leur nourriture, jusqu'à que nous entrâmes dans la salle, tous les hommes regardaient notre responsable ce qui était compréhensible en voyant sa beauté.
Nous marchâmes le long des tables, pendant la marche, je me faufilai le plus possible au milieu de mes camarades, j'étais étrangement intimidée par les regards qu'ils nous lançaient, et à ce que je voyais je n'étais pas la seule , puisque Chae Won se faufilait à côté de moi sûrement pour la même raison que moi, elle me sourit doucement et croisa mon regard, je lui souris en retour. Mais notre échange fut interrompu, par l'arrêt du groupe, et la voix de notre responsable, nous disant de nous asseoir et de commencer à manger, ce que le groupe fit sans aucune hésitation.
J'étais assise, entre Ilg Da et Chae Won, Ryujin quant à elle, elle se trouve juste à gauche de Chae Won. En face de moi se trouve un jeune homme aux cheveux bruns ondulés et aux yeux marron clair. Il était en train de boire une soupe ayant l'air à la fois chaude mais délicieuse, je baissai alors le regard, et commença moi aussi à me servir de la nourriture, ce qui était plutôt dur à faire à cause du grand nombre de plats proposés, ils avaient l'air tous tellement délicieux. Mais je choisis alors quelques plats et commença à manger en silence différemment à Ilg Da qui elle parlait et sympathisait avec ses voisins de plats, elle était tellement sociable, c'était incroyable, je l'enviais, j'ai toujours eu du mal pour me faire des amis, je suis en fait étrangement reconnaissante que Ilg Da m'ait percuté avec son Thunderbird. Chae Won parlait elle aussi tranquillement avec nos camarades de dortoirs, elle semblait être moins sociable que la petite fée. Ryujin, elle, faisait comme moi, elle mangeait silencieusement sans lever les yeux de son assiette.
Malheureusement pour moi, je me sentais vraiment mal à l'aise ici, je n'étais pas habituée à tant de personnes réunies dans une seule et même salle et autant près de moi. Je baissai alors la tête, prenant une grande respiration et serrant la fourchette dans ma main de toutes mes forces. J'essayai de faire le vide, de ne plus rien entendre, faire comme si j'étais seule dans cette pièce, et étrangement ça marchait, je n'entendais plus aucun bruit. Je relevai alors la tête en ouvrant les yeux pour continuer à manger, en regardant autour de moi, pour en fait remarquer, qu'il n'y avait aucun bruit, car tout simplement personne ne parlait et se concentrait plutôt sur quelque chose d'autre, je fis alors de même, et tournai mon regard vers là où ils regardaient, pour voir un groupe d'hommes, ils étaient vraiment imposants.
Je ne peux pas mentir, ils étaient vraiment beaux, tous sans exception, mais ils étaient aussi un peu effrayants. Je les regarde tous un peu plus en détail, quand trois d'entre eux se séparèrent du groupe, un aux cheveux noirs de jais, un autre avec la même couleur des cheveux mais se finissent par un dégradé bleu et s'assirent à la table la table la plus éloignée de la nôtre, et le troisième avait des cheveux marron chocolat se dirigeant à notre table, alors il faisait partie de notre domaine.
Le reste du groupe s'assirent à la longue table à côté de la nôtre .
Cet homme, ce deus, celui qui m'avait fait ressentir la vraie peur, la veille, il faisait partie lui aussi de l'académie.
Il leva le regard et regarda le droit dans mes yeux, je sentis un choc électrique à l'intérieur de mon corps, et me retournai lui faisant maintenant dos à lui et je passai mes mains dans mes cheveux anxieusement.
'' Pourquoi a-t-il fallu qu'il soit ici? Pourquoi?! '' me demandai-je dans ma tête. Je sentais toujours son regard sur moi, il me regardait toujours et ça me rendait encore plus anxieuse. Je commençai à respirer de plus en plus vite, prenant de plus grosses et de plus profondes respirations, ma vue devenait de plus en plus floue je ne pouvais presque rien reconnaître, la sueur apparaissant sur mon front, coulant dans mon dos, mes mains devenant moites et une boule se trouvant à l'intérieur de mon estomac avec l'impression qu'elle grossissait de plus en plus. Je n'en pouvais plus, je levai le regard et regardai autour de moi, tout le monde semblait avoir repris ses anciennes activités, c'est-à-dire parler, rire, boire et manger, ils étaient joyeux, ils rigolaient aux éclats ,
Tout était redevenu normal. Je pris alors une grande respiration ne sentant plus le regard dans mon dos, et revins à mon assiette, en repassant à ce qui mettait arriver juste à cause d'un simple regard.
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Bonjour !
J'espère comme toujours que ce chapitre vous avez plu, et que la longueur ne vous a pas trop ennuyé.
Alors dans ce chapitre, j'ai mis quelques détails comme par exemple les couleurs des fleurs, et elles ont toutes enfin presque une signification que je peux vous donner sans trop vous spoiler l'histoire.
Tout d'abord:
- la tulipe bleue dans le tableau à l'entrée du dortoir: les tulipes bleues symbolisent le respect, la tranquillité et la confiance, c'est tout simplement ce que veut faire ressentir l'académie aux élèves.
- le géranium devenu vert, le géranium est le symbole de la détermination, tandis que la couleur verte à plusieurs significations comme le bonheur, l'optimisme, la jeunesse, etc ... mais parmi toutes ses significations, j'ai choisi celle de la réussite, donc ce petit changement de couleur signifie que si vous avez de la détermination dans la vie vous obtenez la réussite.
- et le dernier symbole, le blason de l'académie, à l'intérieur est réunis les symboles des trois domaines d'Ethalia, le combat, médicinal et l'Etude Du Monde (EDM), le combat est représenté par une épée je sais, pas trop d'originalité, la médecine par une magnolia celle-ci symbolise l'amour de la nature et aussi connu pour ses remèdes contre l'anxiété, la nervosité et les troubles du sommeil, et ensuite EDM est symbolisé par un globe qui est le symbole du savoir.
* Ilg Da: Je sais plus la traduction de son nom, et je n'arrive plus à le retrouver, enfin des souvenirs que j'avais c'était une fleur.
Jo Su: Assistant
Gar Deu: Garde
Amaryllis: Ce sont des fleurs provenant d'un énorme bulbe, une légende de Noël raconte que lors de la naissance du Christ, elle fut annoncée par des trompettes et donc elle raconte que l'amaryllis fut créée à l'image des trompettes, ce qui a donné sa forme de trompette. Si vous offrez cette fleur à quelqu'un cela voudrait clairement dire '' Ne me résiste pas! ''
Thunderbird: c'est une légende amérindienne, il est l'origine des orages et des pluies. C'est lui qui est représenté en haut des totem indiens.
Naga: Ce sont des créatures mi-femme, mi-serpent, elles sont d'une grande patience et d'une grande intelligence, elles sont très pacifiques mais peuvent devenir agressives grâce à leur morsure toxique et mortelle. La légende des Nagas provient de l'Inde .
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Le rebeu marié
Histoire vraie Suis pas un écrivain mais quelques mots suite à une annonce cul passés le 16 juin 2010. Un avis aux lecteurs, Ce qui suit est vrai, Ce n'est pas un récit fantasmé. Aimant pomper à fond j'ai eu 6 appels dont 3 se sont concrétisés. Le premier mec le lendemain du passage de l'annonce :
-Allo , tu suces?
- bonjour, je réponds, ouais j'aime ça.
-Et t'avales ?
-oui c'est mon truc
-Mais je me fais que sucer je fais rien, moi.
-c'est OK pour moi.
-T'es où?
Je lui dis où je suis (je donne jamais l'adresse mais rencart à 200 mètres pour voir si tout est clair). Je lui précise tout ça et il me réponds :
-quand ?
-quand tu veux je fais .
Il est un peu sur la défensive aussi je lui dis :
-moi c'est Phil et toi?
-Moi c'est A......, J'suis algérien, je peux être là-bas dans une heure, tu poses pas un lapin, j'ai vraiment envie!
Bref je lui dis comment je suis , que j'attends à tel endroit, il me dit qu'il a un tee-shirt rouge et qu'il à 43 ans etc...Une heure plus tard , je vois un mec avec un tee-shirt rouge et jeans qui approche , hésite... Pour le mettre à l'aise je fais quelques pas vers lui :
-Salut , Moi c'est Phil. Salut , on va où ?
-Suis moi si t'es OK.
-Je te suis.
On monte. Il est plutôt pas mal, mince ,petit. Un beau visage et un petit ventre. Je le précède, J'ouvre la porte et m'efface pour le faire rentrer, je le suis et là il à déjà la queue à l'air.
-Ben t'es un rapide, je fais .
Et là la timidité fout le camp. J'suis là pour ça qu'il fait, Ben oui! Que je suis bête! Et me voilà à genoux. Je la prends en main, Il a une bite de taille normale mais épaisse et surtout dure comme une tige d'acier, Son gland est superbe. Ma langue s'attarde délicatement sur ce gland magnifique et il commence tout de suite à gémir: J'entends :
-"suce bien à fond"
et il me fourre sa queue bien profond. Je m'applique.J'ai le nez dans les boutons du jeans, il a toujours la queue qui sort de la braguette.
-Mets-toi à l'aise
je fais et je retourne au boulot, il ouvre sa ceinture et fait tomber le fût et le calbut. Le poil est taillé court et je découvre ses couilles bien pendantes et très sombres de couleur.Je le reprends en bouche cette fois en lui caressant les burnes . Il aime, il le dit avec beaucoup de mots et de gémissement . Il a les cuisses poilues . Je descends sur ses boules mais il me reprend la tête et la remet où elle était.
-T'arrêtes pas !
Cette fois il me tiens bien la tête à deux mains
-continues, c'est bon , Oh P......"
Je l'ai pas senti venir, Il jouit à longs jets en fond de gorge en me maintenant la tête. J'aime sentir les spasmes d'une queue qui se vide. Son foutre est agréable au goût, et je ne sais pas depuis quand il ne s'est pas vidé mais il n'est pas avare le bougre . En quelques minute je l'ai asséché (que je crois). Je prends un pied génial , j'avale en prenant mon temps et il a la bonté de me laisser sa bite en bouche alors que tant d'autres se retirent de suite. Je récupère les dernières perles de nectar et lui rends une queue toute nette mais plus molle. Il remonte le jeans en oubliant le calbute , ça nous fait marrer. Il me dit
-C'était bon , j'étais chaud, t'as aimé?
je ne peux que répondre par l'affirmative. Il s'assoit sur le canapé et me demande un verre d'eau :
-J'ai de la bière si tu veux?
-Oui je veux bien. Donc bibine pour deux!
Il me demande si je fais ça souvent, je lui réponds que je fais le plus souvent possible parce que j'aime ça. Il me dit :
-tu sais, j'suis pas PD , j'suis marié.
A mon tour de poser une petite question :
-Et toi, tu te fais souvent pomper ?
-J'aimerais bien qu'il fait mais c'est difficile de trouver un mec qui pose pas de lapin et j'aime les mecs qui avalent.
Un point pour moi. La parlotte tourne court et on boit nos bières en silence pendant quelques instant. Les bières sont bues, il me demande s'il peut aller pisser. Je lui indique la porte et il va faire son affaire, je l'entends pisser, il pisse dru.........ça fait quelques instant qu'il ne pisse plus mais toujours pas de bonhomme. Il sort enfin, et là surprise, le jeans débraguetté, il a la queue à la main et se caresse le gland de l'autre et me dit d'une manière qu'on ne saurait refuser
-tu veux bien me sucer encore ? Si t'as le temps ?
-Eh bien , dis-je, t'as pas jouit depuis quand?
-Je me suis branlé ce matin.
Je baisse son pantalon sur les chevilles, le pousse gentiment sur le canapé et m'agenouille entre ses cuisses. Sa bite est encore en semis repos et c'est une douceur exquise que de sentir un mec bander entre mes lèvres. Il est abandonné sur le canapé, tout détendu, il respire lentement, et soudain je sens couler sur ma langue un petit jet d'urine, juste un filet. Il ne s'en rend même pas compte, du moins , je crois. Tout se passe cette seconde fois beaucoup plus sensuellement du moins au début. Un petit quart d'heure plus tard, il fait sauter les godasses, le bénard et le calbute, il a gardé le tee-shirt, me fait m'allonger carrément sur le sol et se place au-dessus de ma bouche. Maintenant je ne pompe presque plus , mais il me lime avec force et douceur, il va loin et il parle beaucoup ce que j'aime bien :
-Oui, ouvres, ouvres bien, Oh, putain , je sens que ça vient, ouvres, je veux te voir avaler !
Je commence à avoir la mâchoire un peu raide. Je ne vois que son ventre, tout le haut de son corps est à l'arrière de ma tête. Ses bras tendus prennent appui sur le carrelage, j'ai mes mains sur ses cuisses.
-ouvre !! ( cette fois il me gueule dessus)
-t'aimes ça , hein ?
Maintenant, il me baise la gueule à grand coup de reins. Je commence à couiner. Toujours impeccablement habillé, je bande comme un malade, je commence à me caresser d'une main, mais il m'en empêche en disant:
-t'occupes!
Ses coups de reins ralentissent de temps à autre, il se retire presque pour repartir à la charge. Il est bavard et cela me pousse à être encore plus à sa disposition. Ses couilles me battent le menton. Il se lâche vraiment. Sa bite est épaisse, et j'ai du mal à tenir l'ouverture
-Ouvres bien, comme ça, oui, laisse moi faire , là, bien salope! Tu vas voir, j'vais t'faire jouir de la bouche
Ca y est le mot salope est lâché, du coup mes mains attrapent ses fesses qu'il a lisses, alors que les cuisses sont très velues, pour mieux le sentir en moi. Je couine de plus en plus.
-Ouais, prends ton pied salope, tu veux du foutre, j'en ai plein, MAIS OUVRES CONNARD! Ouais, putain, c'est bon! oh! putain
Il ralentit un peu la cadence. Ses coups de bites m'emportent quelque part, loin, loin. Il sent que je suis complètement parti (de l'expérience, c'est sûr). J'essaie de me caresser mais il m'en empêche à nouveau
-T'ES PAS LA POUR CA! Contentes-toi d'ouvrir ta p'tite gueule de salope! J'vais me branler en pensant à toi ce soir
Comme il a ralentit le mouvement, j'en profite pour refaire le plein de salive et commence à pomper bruyamment. Je le sens se raidir un instant
-Ouais , ça monte, tire bien, Oh! putain, j'vais bientôt cracher, mais j'veux te voir avaler le jus, fais gaffe, garde-le dans ta bouche, t'as compris ?
- MMMmmmhmhm
-Compris?
-MMmmmhmh !
Son va-et-vient est très lent maintenant mais toujours profond.
-Prends-moi les boules, ouais, putain, ça vient , continues, tu vas voir le cadeau. C'a y est, ouvre bien ma p'tite pute que j'te crache dans la gueule comme t'aime !
Tout mouvement arrêté, un premier jet abondant et puissant rebondit sur mon palais pour glisser sur ma langue, suivit d'un second. Il y en aura trois autres. Il jouit vraiment d'une manière puissante en poussant des Oh! putains! à chaque lâcher de foutre. J'essaies de tout garder en bouche et j'y parviens.
-Continues, aspires bien, j'en ai encore dans la bite
Cette phrase me fait jouir et je lâche tout dans les fringues sans même me toucher, c'est rare mais ça arrive. Je m'empresse de téter bien que cela ne soit pas aisé avec tout ce que j'essaies de garder. Il se retire doucement , se redresse et son regard vient se poser sur moi.
-T'es vraiment une salope, ouvre et montre moi comment je t'ai enfoutré, oui, pas mal ... Avale maintenant! Je me redresse et reprends mes esprits pendant qu'il va pisser. Il revient un instant après en me disant :
-'t'en ai gardé un peu, j'crois tu aimes aussi
Devant mon air étonné, il réplique "allez ouvre", et m'a envoyé deux bonnes rasades de pisse. Depuis ce 17 juin , il revient une à deux fois par semaine pour se vider. Pas plus de cinq à sept minutes . Il arrive , je pompe , il se vide, va pisser un peu et m'offre le reste. La vie est parfois simple.
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L’hemorragie, hello. De rien, pour tout. D rien.
Comment ferais-je maman, il y a le tournage. Entre tout doucement et allez dans ta chambre.
D’où faut-il partir pour n’arriver nulle part. Je me lèverais toujours quand tu enlèveras tes lentilles pour écrire. Je réciterais des lettres pour retrouver mes mots. Je glisserais dans ma dernière peau avant la peau, pour écrire.
C’est un enfant sans ventre. Faire les enfants sans ventre. Pas du tout sans ventre.
Moi je répondrais à toutes tes questions Et celles qui sont autres Nous les chercherons ensemble, Couturier des rondeurs.
Je vais vous conter l’histoire du courtier, insomniaque. C’est fait. Mimosa qui sort sur l’avenue. Ce n’est pas la première fois que vous entendez parler ?
Au repos connaître ta nudité Comparer les décès Sexe mâle, femelle Mal d’elfe, elfe gèle.
Pceaos En souffrir tous les jours Se glisse dans les os Projection au bain ta statue Chaussure bois long, je marche Adolphe de plaies, de palais ?
Édition carte grain de beauté, statue __ allonger, impossible à prononcer Un recueil sans titre. Chanson Être amant, c’est dire ce que tu aimes
Faire la poches trois : tu as mon briquet, je l’avais posé, je te faisais les poches pour prendre le briquet du côté de la table où j’étais, tu me l’avais demandé, il a pris mon briquet, qui était le tien, que j’avais pris, j’ai demandé de me le rendre j’avais vu sa couleur, c’était son ami qui l’avait dans sa poche, et à couleur égale.
On sait rien amour (Avant la mer, quand Dieu n’était amour) Tu me détesteras Leur amour ils savent Je reste et t’aime tout Et aime tout Le leur Comment était mon sommeil après l’ivresse Tu as mangé, oui et non, je déteste et aime Je te souhaite d’être malade demain Car tu as dis non Prends ton menton et embrasse-la, comme elle Bois comme elle Prends ton menton comme elle.
Retourne-toi et la lumière Fatigue dans tes bras Je dois choisir où arriver Et avec toi Peut-on être effrayant sans être mystérieux Écrabouiller Dans la poche la rose secouée sans épines. J’ai vu la fenêtre Mais nous n’avions rien oublié Moi je m’en fous parce que j’ai peur tout le temps Je perds tout le temps Et je viens, alors que lentement le temps pouvait se prendre, Dormir avec toi, à ces mots Où monte la statue peuplée.
Je dois me souvenir de tout. Je dois me souvenir du fait de me souvenir.
Quand tu perds la sensibilité, tu as gagné, l’ongle du voleur. Je suis né rage Appuyer doigt Statue s’approche du point lèvres, en hauteur Proche De la Rage famille.
Haine contre ceux dont tu tiens la main Colère Doigt ongle appuyer Né en rage Pas de colère à côté. Peur de toi Ou de l’autre Peur ou peine ? Peur de ce que provoque ma colère Et s’il m’abat, merci Pas d’espace pour respirer Je déteste
Doigt bébé je me sers. Toi le doigt du doigt de la main Tu me démaquilles dans le noir et tu me demandes si c’est bon Première fois que le garçon Et devient aveugle
Trouve papier pour noter ton doigt sur le mien Je sais aussi perdre le démaquillage Les difficiles sont les meilleurs Pourquoi serrer le doigt Je suis une vieille prostituée Moi aussi mais je suis jeune Coin de l’œil Ils montent sur la statue Meurent J’allais avoir froid.
Eau, chaude visage J’écris mon nom Tu portes déjà l’habit du prisonnier Les ongles Tous les enfants chantes bien, ont bien chanté La fille à œil étourdissait. Œil dans fille Tu as enlevé son habit.
L’habit Non, tu n’aimeras pas ça, le sperme, le boire, tu ne veux m’avaler, tu ne sais pas ce qui puis se faire, tu ne veux avaler ta salive. Tu embrasse bien Tu ne sais pas si tu aimes. Les enfants chantent tous bien, pour cela nous fouillons les poches des voleurs.
Le canard, radentèfle, le canard, hippygrume. On est mieux d’oublier Quand froid, tremble, vois Douceur de ta peau quand tu me caresses. Dire pour entendre dire Pour l’avoir dis Pour ralentir, pour la phrase Et dans le bouillon de mon sexe, ta salive.
J’ai froid Parti voleur comme annoncé Devant la statue Droite Que j’allongerais si je pouvais Rire devant la beauté Que j’écoute Que je n’ai pas envie d’avoir ton enfant long et pâle !
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Les gâteries dentaires et les produits à mâcher pour chiens, Ce que vous devez savoir sur la santé buccodentaire de votre chien
https://www.petohaku.com/les-gateries-dentaires-et-les-produits-a-macher-pour-chiens-ce-que-vous-devez-savoir-sur-la-sante-buccodentaire-de-votre-chien/
L’une des maladies les plus importantes et les plus évitables auxquelles votre chien (ou animal domestique) sera sans aucun doute confronté au cours de sa vie est la maladie dentaire. La maladie parodontale est la maladie infectieuse la plus courante chez les chiens adultes. Saviez-vous qu’il affecte plus de 87 % des chiens de plus de trois ans ? Ça fait beaucoup de chiens, vivant avec une maladie évitable !
La vérité est que l’hygiène bucco-dentaire et les soins des dents et de la bouche de votre chien sont tout aussi importants que votre hygiène bucco-dentaire et les soins des dents et de la bouche ! Non seulement une bonne hygiène bucco-dentaire jouera un rôle majeur dans le rafraîchissement de l’haleine, mais elle donnera à votre animal des dents plus saines et réduira la plaque et le tartre.
Pourriez-vous imaginer à quoi ressembleraient vos dents si vous ne vous brossiez les dents qu’une fois par mois, une fois toutes les 6 semaines, ou peut-être jamais du tout ?
J’entends souvent des propriétaires d’animaux me dire que le toiletteur brosse les dents de leur animal toutes les 6 semaines environ lorsqu’ils les emmènent chez le coiffeur ou pour un bain. Mais, laissez-moi vous dire que se soucier uniquement de l’haleine de votre chien ou de l’haleine de votre animal et de son hygiène buccale toutes les 6 semaines n’est pas suffisant pour que ses dents, sa bouche et tout son corps restent sains.
Vous voyez, à peu près immédiatement après que votre chien a mangé sa nourriture pour chien ou même une gâterie, les bactéries se combinent avec la salive, la nourriture et d’autres substances (qui étaient déjà dans sa bouche) pour former un film adhésif ou visqueux ; aussi appelé plaque. Cette plaque repose ensuite sur ses dents et ses gencives. Il est intéressant de noter que les chiens ont une bouche plus alcaline ou acide que ses homologues humains, ce qui favorise la formation de plaques. Si cette plaque n’est pas brossée ou traitée à l’aide de gâteries dentaires pour chiens ou de produits à mâcher pour chiens, elle forme un dépôt calcifié dur appelé tartre ou tartre dentaire.
La plaque dentaire qui conduit au tartre et au tartre dentaire peut causer de graves infections et des maladies des gencives.
Pourquoi ?
Une fois que la plaque commence à se former, à long terme, le corps de votre chien (ou le vôtre si on parle de maladie parodontale humaine) envoie des globules blancs pour défendre ou attaquer les matières étrangères qu’il ne reconnaît pas. En raison de la bactérie qui se trouve dans la plaque collante, les globules blancs libèrent des enzymes qui, à leur tour, décomposent même les tissus sains des gencives.
Cette bactérie et l’ajout de globules blancs peuvent entraîner de graves infections qui peuvent même affecter le cœur, les reins et le foie de votre chien.
Cette dégradation et cette infection entraînent la destruction de tissus sains et infectés, l’inflammation des gencives et la perte osseuse. Les infections peuvent dégénérer rapidement et provoquer un gonflement autour de la mâchoire et même sous l’orbite de l’œil, causant une douleur intense dans et autour du nerf oculaire et autour des tissus environnants. Cela conduit souvent au refus de manger et à la léthargie. L’enflure peut même atteindre le point où elle se rompt et suinte soit à l’extérieur du visage et des yeux, soit à l’intérieur de la bouche. Le conseil de santé bucco-dentaire vétérinaire peut également fournir plus d’informations pour les propriétaires d’animaux de compagnie qui veulent rester dans le « savoir ». Le conseil de santé bucco-dentaire vétérinaire a beaucoup d’informations intéressantes.
À ce stade, un nettoyage dentaire canin et l’extraction des dents est nécessaire pour soulager la douleur et la promotion d’habitudes alimentaires saines et régulières pour réémergence.
Les nettoyages dentaires efficaces nécessitent une anesthésie et souvent des radiographies dentaires. Ceux-ci aideront votre vétérinaire à localiser les problèmes et à nettoyer sous la ligne gingivale. Le nettoyage dentaire canin éveillé (dentiers sans sédation ni anesthésie ; souvent offert par des non vétérinaires) n’est pas sécuritaire et peut être dangereux si votre chien avale, respire ou ingère beaucoup de pâte ou d’eau. Votre vétérinaire se fera un plaisir de vous parler des risques et des avantages pour votre chien.
Saviez-vous que la maladie dentaire canine peut même entraîner un changement de comportement et augmenter les risques de morsures et d’agression ? Lorsque nous ou votre ami à fourrure souffrons, cela entraîne souvent un changement de comportement qui peut entraîner une fusée plus courte et plus de signes d’agressivité.
Signes courants de maladie dentaire
Mauvaise haleine
Accumulation de dépôts jaunes sur les dents par les gencives
Gonflement ou saignement des gencives rouges
Le sang dans l’eau potable
Pawing at face
Timidité de la tête ou envie de ne pas être touché à la tête ou au museau
Difficulté à manger et douleur évidente lors de la mastication
Salivation accrue (parfois écoulement sanguinolent)
Éternuements ou écoulement nasal (parfois sanguinolent) parce qu’une maladie avancée des gencives peut détruire l’os entre la cavité nasale et la cavité buccale.
La bonne nouvelle ?
Les maladies dentaires avancées sont presque entièrement évitables et évitables !
Une étude vétérinaire réalisée sur 53 Labrador Retrievers a permis de découvrir des informations très intéressantes ! Essentiellement l’âge, la race, le régime alimentaire et les nettoyages dentaires vétérinaires non réguliers des chiens ont largement contribué à la parodontite et aux effets durables ainsi qu’à la perte des dents. Il a également indiqué que certaines zones étaient difficiles à évaluer par les propriétaires de chiens et a recommandé une évaluation régulière par un vétérinaire qualifié (qui peut parfois inclure la sédation).
Que pouvez-vous faire ?
Le brossage quotidien des dents de votre animal de compagnie est la meilleure solution ! La plupart des gens se brossent les dents deux fois par jour !
Donnez-lui de la nourriture nutritive dure (aussi connue sous le nom de nourriture sèche). Certains régimes vétérinaires ou aliments pour chiens sont même formulés pour aider à brosser les dents de votre animal et prévenir la plaque et la carie.
Gâteries dentaires pour chiens
Les produits à mâcher pour les soins dentaires ou bucco-dentaires du chien
Rinçages buccaux
Additifs pour l’eau
Gels
Examens dentaires annuels et parfois semestriels (surtout pour les chiens plus âgés à risque) avec votre vétérinaire.
Non seulement ces choses aideront votre animal de compagnie à avoir une bonne santé buccodentaire et à réduire les bactéries, mais elles aideront aussi à garder son cœur, ses reins et son foie forts tout en lui procurant une haleine fraîche. Cette réduction des infections et des maladies peut contribuer à la longévité de votre animal et l’aider à vivre une vie plus longue et plus heureuse.
Habituez votre chiot ou chaton à un régime de brossage et à ces produits dès le plus jeune âge ; cela évitera une lutte avec un animal adulte ou adulte et conditionnez-le à ce que ces habitudes soient heureuses et fassent partie intégrante d’une vie saine ! Rappelez-vous que les chiens apprennent mieux et s’acclimatent mieux lorsqu’ils sont chiots.
Pour ma part, je ferais n’importe quoi pour améliorer la qualité de vie de mon chien et lui donner plus de jours, semaines, mois ou même années à passer avec moi. Après tout, nos animaux de compagnie ne vivent pas assez longtemps.
Nourriture pour chiens spécialement formulée pour les soins dentaires
La plupart des aliments pour chiens ou pour animaux de compagnie à formule dentaire sont vendus sur ordonnance ou dans votre cabinet vétérinaire, mais ils ont tendance à être légèrement plus efficaces. En cas de doute, ne serait-ce qu’une poignée d’un régime sur ordonnance comme le DT de Science Diet vous aidera à préserver la santé buccodentaire de votre animal.
Juste un mot. Évitez les régimes sans grains ! Il a été prouvé que les régimes sans grains causent des problèmes cardiaques majeurs chez les chiens que le monde vétérinaire vient de découvrir. Les régimes sans grains ne sont pas recommandés et ne sont pas sécuritaires. Restez avec les grandes compagnies et marques d’aliments pour chiens et évitez les promesses de petites réclamations.
Bon nombre de ces gâteries dentaires pour chiens comprennent des vitamines et des minéraux qui non seulement aident à rafraîchir l’haleine, mais qui sont également essentiels au développement de votre animal de compagnie. Beaucoup de ces vitamines, nutriments et minéraux peuvent ne pas se trouver à l’état naturel.
La chlorhexidine est l’un des autres ingrédients contenus dans les produits à mâcher pour chiens. Cet ingrédient peut être ingéré sans danger en petites doses et aide à combattre les bactéries qui peuvent se loger dans la bouche de votre meilleur ami. Cet ingrédient aide également à rafraîchir l’haleine et à empêcher la plaque d’adhérer et de former du tartre.
Les enzymes sont un autre ingrédient qui aide à décomposer la plaque et le tartre qui commencent à se former. Tout comme les nettoyants enzymatiques aident à décomposer l’urine des animaux de compagnie, les enzymes contenues dans les gâteries pour chiens, les produits à mâcher, les additifs pour l’eau, les gels et le dentifrice peuvent aider à éliminer la plaque et le tartre.
Le simple fait de mâcher quelque chose pendant une longue période de temps sera utile, comme des bâtons d’intimidation. Les chiens adorent les bâtons d’intimidation. Mâcher aide à réduire le tartre, mais si vous voulez en avoir pour votre argent, recherchez les ingrédients que chaque produit offre.
Différents ingrédients fournissent un niveau différent de soins pour traiter et réduire le tartre et traiter l’haleine de chien. Personne n’aime l’haleine de chien. Et, tous les bons produits vous fourniront une liste d’ingrédients. Les ingrédients peuvent également être recherchés en ligne.
Habituez votre chien au meilleur
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Hommage aux fellations R&C
Pour entamer la deuxième moitié de l’année, j’y vais non pas d’une claque, mais d’une caresse. Une caresse des plus douces, qui ne saurait être transcendée que par les délices ardents de la fellation. En effet, et je m’adresse principalement à la gente féminine, puisque les hommes, que vous ayez déjà donné ou non une fellation, vous savez ce que c’est que d’en recevoir. Si vous êtes du genre à donner des fellations, c’est aussi un hommage pour vous, messieurs gais, qui me comprenez assurément à ce sujet. Mesdames, ce pénis qui est nôtre a de multiples fonctions pour nous, vous le savez bien. Parfois un fidèle allié, parfois un traitre égoïste, il nous en fait vivre de toutes les couleurs. Il est la source de quelques conflits, mais surtout de grands bonheurs. Mais il y a un de ces moments, mesdames, où ce bonheur devient extase, et c’est lors d’une bonne fellation. Quand vos lèvres humectées se déposent doucement sur notre peau, que l’humidité de votre langue parcourt la rondeur de notre gland, tandis qu’une délicate main baladeuse nous masse le manche… Quand votre bouche s’ouvre et que votre tête s’avance, réduisant sublimement l’écart entre votre menton et notre scrotum… Quand vous reculez et qu’on se dit « oh non » pour tout de suite se réconforter par un doux « oh oui » alors que vous activez ce va-et-vient langoureux… Quand on entend ce léger bruit de succion qui témoigne de l’énergie que vous y mettez, et de l’enthousiasme que vous manifestez, qui nous allume encore plus en joignant la sensibilité du toucher à la réceptivité auditive… Quand vous replacez ces fins cheveux qui obstruent la voix du bonheur d’un sensuel mouvement de tête sec sur le côté, ramenant ainsi ces jolies mèches qui cachaient vos encore plus jolis yeux vers l’arrière… Quand on peut croiser votre regard, un bref instant, et ajouter l’enchantement visuel à ce délire déjà multisensoriel… Quand on décèle ne serait-ce qu’un léger trait de sourire en coin sur cette bouche généreuse et que l’on vous devine coquine et joueuse… Quand votre autre main vient nous caresser les testicules, consciemment prudente devant la fragilité aigüe de notre génératrice à enfants… Quand vous prenez une courte pause pour descendre votre langue le long de notre manche, puis remontez dans un savoureux élan de fraicheur rapidement rétabli par votre confort buccal si chaleureux…
Le ton de cette chronique détonne des autres. Considérant qu’il ne s’agit pas de critiquer, je ne trouve pas grand chose à commenter.
Et vous pourriez vous en tenir à ça, mais non. Votre splendeur dévouée vous donne parfois une énergie sexuelle d’une intensité remarquablement bandante. C’est soudainement à grands élans masturbatoires que votre main se fait aller, avec une ferme emprise qui vivifie notre circulation sanguine… Votre tête monte et descend dans une frénésie spectaculaire qui nous fait rouler les yeux vers le haut tellement ça nous fait du bien. Votre autre main délaisse un peu nos testicules pour aller empoigner le haut de notre cuisse où se plantent un brin vos ongles, et là où normalement on aurait le réflexe de se rétracter avec un son de douleur, on est plutôt en train d’en redemander avec un grognement appréciateur. Les bruits de succion s’intensifient, on vous sent complètement possédées par une force sexuelle magique, et notre corps est envahi d’un frisson grandissant qui se concentre directement sur notre sexe, en plus de créer un torrent de plaisir dans une communion paradisiaque entre votre bouche et notre gland… Et là, vient le moment fatidique. T’avales-tu ou t’avales pas? Oh, là ça se corse. Bon, une autre affaire… Si t’avales, y’en a pas de problème, le bonheur se poursuit, et tout le monde est heureux. Surtout nous, on le sait. T’es bin fine, on apprécie. Pour vrai. Compliment douteux. On aime sincèrement ça, mais “t’es bin fine”, c’est pas le meilleur compliment. Si t’avales pas, peut-être que tu vas faire la moitié du chemin, c’est-à-dire recevoir la livraison à l’interne, mais aller la cracher dans le lavabo le plus proche, en espérant qu’il y en ait un. Ou sinon, tu vas avaler mais en faisant la même grimace que si t’avais renifler l’anus d’un buffle. Tsé, on apprécie full l’effort, c’est sûr, parce que éjaculer dans une bouche, c’est vraiment agréable, la sensation est géniale. Mais on se sent toujours un peu mal, parce qu’on sait qu’au fond, ça te tentait pas vraiment, pis ça c’est plate. Nuance importante: on ne se sent pas mal si on sait que ça te tentait. On se sent mal si ça t’écoeure et que tu fais quelque chose que tu ne veux pas faire. Dans l’immédiat et la spontanéité du moment, c’est pas toujours évident de faire un tri éclairé et/ou deviner des intentions qui ne sont pas toujours discutées au préalable. Une troisième option, c’est que t’avales pas du tout. Si tu l’as dit avant, c’pas pire, on peut se préparer à l’éventualité, s’enligner dans une autre direction et éviter des déceptions. On est mentalement prêt. Par déception, lire ici: quand ça revole là où c’est difficile à nettoyer. L’autre option, la plus dommage, c’est qu’on le savait pas d’avance, ou qu’on a une « éjaculation surprise » pis là tu reçois ça en pleine bouche mais ça te surprend très désagréablement et tu recraches immédiatement. Pas l’fun pour personne. Si ça nous revient sur le ventre, c’pas pire, deux-trois kleenex pis c’est fini. Mais si ça va sur les draps, le plancher, le divan, l’ordi ou autre, un amas de sperme et de salive, ça ajoute un petit quelque chose de démotivant à nettoyer.
La notion d’éjaculation surprise serait à définir plus clairement. Suite à des discussions entre ami(e)s, parfois, c’est pas l’éjaculation qui est surprenante: c’est la quantité de sperme. Clairement, ça surprend si au lieu de recevoir une cuillerée tu te prends une chaudière. Mais tsé, au final, la seule bonne option, c’est celle qui te tente. Ouin mais vous insistez tout l’temps pour qu’on avale! Bin c’est sûr, c'est ça qui est le plus agréable. Si j’ai le choix entre aller voir le CH au centre Bell, magasiner chez American Apparel ou aller souper avec toi et tes chums de filles, fais pas ta surprise si la boutique pis le repas sont pas ma priorité. Ba-dum tss. -CD
La seule bonne option est celle qui te tente. La fellation, c’est déjà plaisant, qu’importe comment ça finit. La conclusion, c’est du glaçage sur la gâterie. Si t’as envie d’en mettre, ça ajoute au dessert, mais sinon, ça demeure un bon dessert! M’as te prendre une note: A-
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