#*avale difficilement ma salive*
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holy moly mother of god
#stephen sanchez#omgggg#*avale difficilement ma salive*#il a 20 ans just calm the fuck down gurl#but i can't
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Transylvanie express (46)
Ăpisodes prĂ©cĂ©dents
Bien quâil fĂ»t dĂ©jĂ jour, le brouillard sâĂ©tendait encore sur le village. Nous Ă©tions suffisamment reposĂ©s et devions partir pour quitter dĂ©finitivement les terres du comte Dosza. Car nous Ă©tions encore sur ses terres.
Nous dĂ©cidĂąmes dâemporter des provisions Ă base de viande sĂ©chĂ©e et de lĂ©gumes trouvĂ©es dans ce qui ressemblait Ă un potager. De plus, je dĂ©couvris une outre en peau et pus la remplir dâeau de la fontaine.
Nous allions partir lorsque je remarquai quelque-chose dâanormal sur le corps dĂ©couvert la veille par Ludmilla. En effet, celui-ci, allongĂ© sur le ventre, prĂ©sentait une Ă©trange blessure. Son dos Ă©tait couvert de petits trous qui en encerclaient un plus large. Je compris quâil avait fui, mais il fut abattu avec une arme Ă feu. DĂšs lors, je pris le temps dâimaginer la scĂšne, de le voir courir puis sâeffondrer. Je marchai en sens inverse, mâĂ©loignant de mon amie qui, sâinquiĂ©ta. Elle me regarda marcher lentement et mâarrĂȘter devant la grange.
Par instinct ou juste par curiositĂ©, jâouvris la porte. Lourde, elle Ă©tait difficile Ă pousser. Je fus brutalement saisi de nausĂ©e en reniflant une forte odeur putride. Cependant, aprĂšs avoir posĂ© mon mouchoir sur le nez, jâentrai dans la remise. AprĂšs quelques pas, la terreur envahit mon esprit ; lâhorreur sâaffichait devant mes yeux Ă©bahis ! JâĂ©tais en prĂ©sence des autres habitants du village. Ils Ă©taient tous lĂ , hommes, femmes, enfants ! Mais ils nâĂ©taient plus que des cadavres en Ă©tat de dĂ©composition. La plupart avait le corps meurtri, trouĂ©. Certains, pendus Ă des poutres, se balançaient au grĂ© du vent provoquĂ© par mon entrĂ©e. La grange avait prĂ©servĂ© leurs corps des bĂȘtes sauvages.
En me rejoignant, Ludmilla eut un haut de cĆur. Elle sortit immĂ©diatement pour vomir son petit-dĂ©jeuner. Je restai Ă comprendre ce quâil sâĂ©tait passĂ©. Pourquoi un tel massacre ? Une mĂšre au crĂąne fracassĂ©, portait encore dans les bras son bĂ©bĂ©. Il nâĂ©tait pas mort de faim mais achevĂ© Ă lâaide dâune lame. Leurs visages grimaçants, leurs yeux vitreux et leurs poings serrĂ©s, marquĂšrent mon esprit par toute lâhorreur quâils vĂ©curent. Je marchai sur un sol noir de sang sĂ©chĂ©. Toutefois, leurs silhouettes restaient encore accrochĂ©es aux murs. Tel un tableau en ombres chinoises, on devinait lâatrocitĂ© du spectacle.
Nâen pouvant plus devant cette boucherie, je prĂ©fĂ©rai sortir. AgenouillĂ©e devant lâunique point dâeau, mon amie se rinçait la bouche. Son regard Ă©tait plein dâincomprĂ©hension.
-         Il nây a jamais eu de mal des mĂ©ninges, ici. Câest bien ça ?
Je rĂ©pondis en hochant la tĂȘte. Effectivement, personne nâĂ©tait tombĂ© malade. Ils ont Ă©tĂ© exterminĂ©s par plaisir ou par vengeance⊠Seul le commanditaire sait.
-         Nous devons partir, annonçai-je.
AussitĂŽt, Ludmilla se leva. Elle avait encore le visage blĂȘme. De mĂȘme, la dĂ©couverte rendit ses joues plus creuses. Elle paraissait avoir maigri. Nous quittĂąmes le hameau sur le champ pour longer la voie de chemin de fer. Tout Ă coup, elle mâarrĂȘta en posant sa main sur mon Ă©paule :
-         Ecoute !
Sur le moment, je pensai entendre le bruit dâun train ; un train qui approcherait ou sâĂ©loignerait tout en attendant notre venue. Mais, il nây avait rien de cela. Jâentendis le vent, la cime des arbres bouger, quelques chants dâoiseaux. Jâentendis mon cĆur battre, ma gorge avaler ma salive et le silence. Puis, câest arrivĂ© comme une Ă©vidence : un aboiementâŠnon, des aboiements ! La meute du comte Nichifor Dosza Ă©tait Ă notre recherche !
DĂšs lors, je pressai le pas, continuant Ă marcher sur le ballast et les traverses. Nous devions impĂ©rativement trouver un endroit oĂč se cacher ou nous devions fuirâŠparce quâil Ă©tait capable de nous faire dĂ©vorer par ses chiens. Nous marchĂąmes en faisant attention aux hurlements de la meute. Ludmilla sâinquiĂ©ta davantage lorsquâils furent plus proches, lorsquâon pouvait entendre les cris des hommes qui lâaccompagnaient.
Courir ne servait Ă rien ! Cependant, nous accĂ©lĂ©rĂąmes le pas tout en longeant les rails. Ils Ă©taient rouillĂ©s, tellement abimĂ©s par endroits quâil nâĂ©tait plus possible de rouler dessus. La voie grimpait. Nous marchĂąmes longtemps sans nous arrĂȘter, sans prendre le temps dâune pause. Et nous entendions toujours le groupe qui nous pourchassait. TantĂŽt, ils Ă©taient proches, presquâĂ cĂŽtĂ© de nous, tantĂŽt, leurs voix nâĂ©tait quâun Ă©cho entre les montagnes.
Alors que le chemin de fer passait dans un bois, nous vĂźmes un ru Ă quelques pas. ImmĂ©diatement, nous profitĂąmes de cet Ă©coulement pour cacher nos odeurs en marchant dans lâeau qui arrivait aux genoux. LâavancĂ©e fut pĂ©nible bien que dans le sens du courant. De plus, il Ă©tait difficile de voir les cailloux glissants, dâĂ©viter les morceaux de bois, les trous dans la vase noirĂątre. Et le brouillard nâarrangea rien en se transformant en purĂ©e de pois. Les chiens continuĂšrent dâaboyer, cherchant, reniflant leurs proies. Quelques cris les encourageaient.
AprĂšs quelques minutes Ă©prouvantes dans lâeau glacĂ©e, nous nous enfonçùmes dans une sorte de canyon. De temps en temps, je faisais attention Ă Ludmilla qui commençait Ă fatiguer. De plus, la riviĂšre devenait plus profonde. Tout-Ă -coup, elle ralentit. Ses mains frĂŽlĂšrent la surface de la riviĂšre comme on polit un miroir. Je mâarrĂȘtai afin de lâattendre. Un nuage de fumĂ©e, venu de nulle part, passa brusquement entre nous. DĂšs lors, son aspect devint plus terne. Elle baissa la tĂȘte, laissant ses cheveux noirs recouvrir son visage. Elle marcha dans lâeau toujours sombre. Sa respiration se fit plus lente et plus forteâŠplus sifflante.
La meute approchait de plus en plus. Chiens et chevaux galopaient en faisant un ramdam du tonnerre. Le ciel sâassombrit brusquement pendant que la fumĂ©e pesait dans lâatmosphĂšre. Elle chauffait tellement que la riviĂšre se mit Ă bouillir autours de ma copine. Elle marchait lentement, se retenant aux bulles qui se dĂ©gageaient. Ses bras devinrent blancs, marquĂ©s par dâhorribles escarres purulentes.  Sa respiration mâinquiĂ©ta au point de me faire peur. DĂšs lors, je reculai Ă son approche.
La riviĂšre ne coulait plus. Elle noircissait de plus en plus, si bien que le fond disparut. Quelque-chose retint mes chevilles, et mâempĂȘcha de courir. Je voulais lâappeler, lui demander si elle allait bien. Je voulais lui dire dâarrĂȘter mais la peur paralysa ma gorge. Elle marcha doucement vers moi.
-         Est-ce que tu me trouves belle ?
La voix provenait du brouillard accompagnant une horrible odeur de pourriture. Je reculai encore  en cadence avec Ludmilla. Elle caressait toujours lâeau qui se calma, retrouvant sa surface lisse. Elle avançait sans remuer la flotte qui lâencerclait. Elle avançait la tĂȘte toujours penchĂ©e en avant, le visage cachĂ© par sa longue chevelure.
-         Est-ce que tu me trouves belle ?
Les chiens Ă©taient Ă cĂŽtĂ©. Ils couraient au-dessus de nous. Ils passĂšrent en haut du ravin qui formait la rive droite, sans se soucier de la riviĂšre. Puis ce fut le tour des chevaux, des « taĂŻaut » et des rires dâhommes. Je surveillai silencieusement leur progression. Finalement, ils nous dĂ©passĂšrent, persuadĂ©s que nous Ă©tions bien plus loin.
Alors, le brouillard se retira aussi vite quâil Ă©tait apparu. Ludmilla releva ses cheveux. Sa peau retrouva une couleur plus vivante. Elle rĂąla en rĂ©alisant quâelle Ă©tait trempĂ©e jusquâĂ la taille. Elle me rejoignit tout en marchant difficilement dans la vase. Puis elle me dĂ©visagea avant de demander :
-         Qui-y-a-t-il ?
Je ne rĂ©pondis pas et me contentai de sourire. Nous continuĂąmes dâavancer en utilisant la riviĂšre pour masquer notre prĂ©sence. Mais lorsque le niveau dâeau atteignit la poitrine de ma compagne, nous reprĂźmes les sentiers. MalgrĂ© nos habits trempĂ©s, nous ne nous arrĂȘtĂąmes point. Nous nâentendĂźmes plus la chasse. Par contre, le bruit dâun train revint Ă nos oreilles.
Alex@r60 â janvier 2023
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Ethalia - Chapitre 7
Ethalia - Jongin
Paire : Jongin x OC (Yo Jeong)
Genre : Fantasy AU, Surnaturelle AU, Academy AU
Nombre de mots : 9315 mots.
Chapitre : 1 ; 2 ; 3 ; 4 ; 5 ; 6 ; 7 ; 8 ; 9 ; 10 ; 11 ; 12
A/N : Mon dieu, vous avez vu la longueur du chapitre ! Quand je lâai Ă©crit je ne pensais pas qui allait ĂȘtre aussi long ! Câest mon nouveau record !Â
                                     CrĂ©dit au propriĂ©taire de lâimage
Chapitre 7:
Le soleil venait juste de se lever que je devais dĂ©jĂ faire de mĂȘme, prendre mon petit dĂ©jeuner, et ĂȘtre prĂ©parer pour partir Ă Ethalia,
Ye Yag m'avait obligé à prendre la potion de changement d'apparence, aprÚs avoir mangé, c'était la pire chose que je n'avais jamais bu, j'ai bien failli vomir plusieurs fois. Mon corps n'a pas eu de réaction comme il avait fait la veille avec le biscuit que Man Yeo m'avait donné, c'est-à -dire de suite aprÚs l'avoir avaler, mais d'aprÚs Ye Yag, c'était normal, et que mon corps changera, avant notre arrivée à Ehtalia.
Je me trouvai maintenant sur une charrette avec Ye Yag, elle allait nous emmener à la '' gare '' pour que je puisse prendre le moyen de transport qui allait m'emmener jusqu'à l'académie.
Je posai ma tĂȘte contre la planche en bois de la charrette et regardai le soleil se levant doucement et tranquillement dans le ciel bleu, ma tĂȘte bougeant au rythme de la charrette, et de ses roues roulant sur les quelques pierres dĂ©passant du sol.
Je baillai, ce qui était plutÎt surprenant puisque je ne m'étais pas couchée trÚs tard la veille et je ne m'étais pas réveillée pendant la nuit.
'' Ah les voilà ! '' Je tournai mon regard vers Ye Yag, attirée par sa déclaration soudaine, je le regardai alors en levant un sourcil. '' Les premiÚres réactions de ton corps à la potion. ''
'' Tu veux dire que mon corps commence Ă changer? ''
'' Oui, ensuite tu auras sûrement quelques frissons dans ton corps, et puis les parties changeantes de ton corps vont commencer à picoter, ça va se passer trÚs vite, à ce rythme ton corps sera changé avant notre arrivée à la gare. '' J'acquiesçai alors comprenant plus clairement ce qui va se passer à mon corps.
'' Mais dis-moi, je me demande vraiment quel sera le moyen de transport qui m'emmÚnera à l'académie. ''
''Eh bien quand j'étais encore élÚve là -bas, on y allait en bateau puis on montait les escaliers à pied, mais à l'époque l'académie n'avait pas énormément de budget, donc ça ne m'étonnerait pas que vous vous envoliez jusqu'à l'académie à dos de Thunderbird *! '' rigola-t-il.
Un gigantesque oiseau, noir avec des motifs bleu foudre indescriptibles dessinĂ© sur tout son corps, se tenait juste devant nous, il Ă©tait caressĂ© par un gros homme barbu, et musclĂ©, qui ressemblait Ă un viking Ă cause de son casque dĂ©corĂ© par deux grosses cornĂ©es, sur sa ta tĂȘte.
Je tournai la tĂȘte vers Ye Yag, il Ă©tait absolument sous le choc, la bouche grande ouverte, les yeux aussi gros d'Amaryllis *, je le regardai comme si je ne croyais pas Ă ce qui arrivait.
'' Je ne savais pas que les humains avaient la capacitĂ© de lire dans le futur. '' remarquai-je le regardant tourner en tĂȘte vers moi, avec la mĂȘme expression inscrite sur son visage.
'' Je te promets que c'Ă©tait juste une simple coĂŻncidence! '' jura-t-il. L'Ă©norme oiseau qui Ă©tait devant nous se trouve ĂȘtre un Thunderbird, il Ă©tait le mĂȘme qu'avait dĂ©crit ma mĂšre dans son carnet de voyage.
'' Oui, oui, je te crois. '' répondis-je en fermant sa bouche. Je soupirai puis déclarai-je. '' C'est sûr que c'est complÚtement différent des bateaux de votre époque. '' il acquiesça doucement.
'' Bref, euh ... je pense que le changement d'apparence est terminĂ©. '' dĂ©clara-t-il en reprenant ses esprits. J'Ă©carquillai au souvenir, qu'il avait raison, je ne ressentais plus les picotements, les frissons et ne baillais plus, je passai ma main vers une de mes oreilles, et je ne les sentais presque pas, au touchĂ©, elles n'Ă©taient plus longues et pointues, non elles avaient l'air comme celle de Ye Yag, petites et rondes. Je pris ma capuche  entre mes mains, et la baissai difficilement, j'avais plutĂŽt peur et que ce n'Ă©tait qu'une illusion, je tournai la tĂȘte vers l'humain, et il me regardait, en Ă©carquillant un peu les yeux, mais il reprit rapidement ses esprits, et moi sourit en levant son pouce en l'air. '' Parfait, la transformation s'est bien passĂ©e. Tu ne ressembles plus Ă un elfe. ''
'' C'est vrai?! Waouh c'est incroyable! '' m'exclamai-je en n'arrĂȘtant pas de toucher mes oreilles, et sautant de joie.
'' A TOUS LES ĂLĂVES DE PREMIĂRE ANNĂE! QU'ILS VIENNENT VERS MOI! '' ordonna, un vieil homme relevĂ© par une caisse en bois.
'' Vite c'est Ă toi qu'il parle! '' dĂ©clara soudainement Ye Yag, en me poussant le dos avec sa main. '' Ah non attends, tiens mets ça Ă ton poignet. '' dit-il en me tendant un petit bracelet, dĂ©corĂ© par une pierre translucides blanche, et traversĂ©es par un fil en cuir marron. '' Ce bracelet deviendra opaque quand ta potion de changement commence Ă s'affaiblir dĂšs qu'il change envoie moi une lettre que je t'envoie des potions. Et aussi rajoute ça dans ton sac. '' ajouta-t-il en me tendant un sachet des mĂȘmes biscuits que m'avait donnĂ©e Man Yeo. '' Mange-en un quand le bracelet commence Ă devenir opaque, d'accord?'' Je hochai la tĂȘte en rangeant le paquet dans mon sac, et accroche le bracelet Ă mon poignet. '' Super, allez vas-y! ''
Je me suis retourné alors de lui, en lui disant au revoir et le remerciant pour ce qu'il avait fait pour moi, et me dirigeai vers l'homme sur la caisse en boite qui commença à parler:
'' Bien puisque tout le monde est lĂ , je vais pouvoir vous expliquer comment va se passer le vol de Thunderbird! '' dĂ©clara-t-il en regardant minutieusement tout la foule, trĂšs extravertie, Ă l'intĂ©rieur, il y avait Ă©normĂ©ment de races diffĂ©rentes, allant de vampires, jusqu'Ă des fĂ©es en passant par des sirĂšnes, et puis il y avait moi qui avait aucune caractĂ©ristique physique pouvant donnĂ©e un indice sur ma race. '' Mais tout d'abord, laissez-moi me prĂ©senter! Je suis Monsieur Jo Su *, je suis le directeur adjoint de l'acadĂ©mie, je suis en charge de vous, les premiĂšres annĂ©es, et du bon fonctionnement de l'acadĂ©mie, je ne vous laisserai donc aucunement faire n'importe quoi ni Ă Ă l'intĂ©rieur ni Ă l'extĂ©rieur d'Ethalia, compris? '' demanda-t-il en nous lançant des regards meurtriers, me faisant presque penser Ă ceux que me lançaient ma grand-mĂšre je ne sais comment, il me faisait penser Ă elle, il Ă©tait petit, des cheveux gris bien soignĂ©e, le mĂȘme air soignĂ© collĂ© sur le visage, les lunettes posĂ©es sur leur nez, et... la moustache. Bref, tout les deux se ressemblait surtout niveau pilositĂ©.
Nous acquiesçùmes tous intimidĂ©s par son Ă©gard. '' Bien, donc les vols de Thunderbird, tout d'abord, ça ne sert Ă rien de se prĂ©cipiter sur un Thunderbird, il y en aura pour tout le monde! Ensuite, chaque Tunderbird est assignĂ© Ă un homme, il vous expliquera plus en profondeur comment le vol se passera, et comment le passer sans aucun problĂšme. '' Puis il continue Ă tout nous expliquer, et ce que l'on fera aprĂšs ĂȘtre arrivĂ©s Ă Ethalia.
Quand il finit de tout nous expliquer, il nous autorisa Ă aller vers les Thunderbirds, il eut malgrĂ© les paroles de Jo Su un mouvement de foule et tout le monde se prĂ©cipita vers un Ă©norme oiseau, je finis enfin Ă m'Ă©chapper de la foule , et cherchai un oiseau, malheureusement pour moi, les seuls, que je pouvais apercevoir, Ă©taient dĂ©jĂ pris par quelqu'un, je me dirigeai vers le rivage, et par chance je vis un vieil barbu, en train de caresser un oiseau noir, celui-ci Ă©tait plus petit que les autres que j'avais vu, mais je me dirigeai quand mĂȘme vers lui sachant que c'Ă©tait sĂ»rement le seul de libre.
L'homme était dos à moi et beaucoup plus grand que la moyenne il devait facilement atteindre les 3 mÚtres, il portait un casque décoré par des cornes, des courts cheveux roux s'échappant de son casque.
Je serrai les bretelles de mon sac Ă dos, puis me dirigeai timidement vers le grand homme.
'' Euh ... euh, excusez-moi? '' L'homme roux se retourna, faisant apparaĂźtre : de petits yeux marrons acĂ©rĂ©s, un gros nez, une Ă©paisse moustache et une barbe rousse, recouvrant presque tout le bas de son visage, Ă cause d'elles, nous ne pouvons presque pas voir ses lĂšvres. Il me regardait profondĂ©ment dans mes yeux, me faisant avaler ma salive, puis tout Ă coup, il m'offrit un Ă©norme sourire montrant des dents dont une qui semblait ĂȘtre en or.
'' Tu dois ĂȘtre une premiĂšre annĂ©e n'est-ce-pas? '' demanda-t-il me souriant toujours.
'' Ah euh ... oui ... '' répondis-je timidement. '' Je ... j'ai vu que vous étiez seul donc ... ''
'' Eh bien tu as bien vu! Enchanté, je suis Havard Abaran, mais tout le monde m'appelle Arban! '' se présente-t-il en me tendant sa main deux fois plus grosse que la mienne.
'' E-enchanté, je suis Cho Na Mu ... '' me présentai-je à mon tour, en lui tendant la main tremblante.
'' Bien! C'est ton premier vol en Thunderbird? '' me demanda-t-il en me lĂąchant la main, je hochai la tĂȘte. '' Bon ce n'est pas grave, je vais t'expliquer comment bien passer son vol. Tout d'abord, quand tu vas monter sur Lino, il faut que tu places de sorte de ne pas gĂȘner ses ailes! '' expliqua-t-il.
'' Lino? ''
'' Ah oui ! J'ai oublié de te le présenter, voici Lino, un jeune Thunderbird! '' il me présente l'oiseau, qui sortit un petit cri, comme s'il me saluait. '' Bien aussi sache que les Thunderbird sont connus pour leur vitesse incroyable, donc il faudra bien t'accrocher. C'est tout! ''
'' C'est tout? '' répétai-je en écarquillant mes yeux. Il acquiesça en souriant, puis soudain il se baissa, et il passa ses mains en dessous de mes bras, et me souleva étonnamment facilement presque comme si j'avais le poids d'une mouche, il me posa à califourchon sur l'oiseau, je me trouvai devant les ailes noires de l'oiseau. Il plaça mes mains sur le cou de la créature, me crispant presque.
'' Accroche toi, bien à ses plumes, sinon tu peux dire adieu à la vie! '' m'avertit-t-il. '' Bien Lino, emmÚne Na Mu à Ethalia, et en chair et en os! '' lui ordonna-t-il, en lui souriant, et en lui tapotant l'épaule, puis sans que je puisse me préparer mentalement, il écarta ses ailes, et s'envola à la vitesse de la lumiÚre dans les airs, pendant toute la montée je lùchai un long cri, et m'accrochai le plus fort possible aux plumes de Lino.
Je fermai mes yeux d'horreur, mais aussi Ă cause du vent dĂ» Ă la vitesse de l'oiseau, je le sentis battre des ailes coupant facilement l'air, parfois il ne les bougeait mĂȘme pas, se laissait juste porter dans le vide .
J'ouvris difficilement les yeux, nous nous trouvions dans un nuage, je tournai un peu la tĂȘte l'oiseau laissait derriĂšre lui des Ă©clairs turquoises, pendant qu'il volait les motifs qu'il avait sur tout son corps, s'illuminait d'une belle lumiĂšre bleu foudre, puis tout Ă coup tout s'Ă©claircit, nous Ă©tions au dessus des nuages, je ne pouvais plus voir la terre ferme, juste une mer grise, en face nous pouvions apercevoir un Ă©norme chĂąteau construit sur une montagne , il Ă©tait construit en pierre marron, le toit se trouve juste ĂȘtre plus foncĂ© que les murs, il Ă©tait Ă©norme, il Ă©tait tellement grand, Lino faisait le tour de celui-ci, on pouvait voir un grand jardin Ă l'arriĂšre du chĂąteau , on pourrait presque le croire comme une Ă©norme prairie, avec Ă©normĂ©ment de verdure, de diffĂ©rentes fleurs, arbres et arbustes et mĂȘme voir un ruisseau coupant l'espace en deux.
Il faisait encore quelque fois le tour du chĂąteau, descendant peu Ă peu, pour enfin atterrir, devant les portes du chĂąteau, oĂč se trouvaient d'autres Thunderbird, il Ă©carta ses ailes, comme pour ralentir, pour enfin atterrir sur les pavĂ©s, je descendis faiblement de l'oiseau, en titubant un peu et en reprenant difficilement mon souffle.
Puis je levai la tĂȘte vers Lino qui me regardait comme s'il s'excusait, je lui souris doucement, et lui caressai la tĂȘte tendrement en le remerciant. Il fit un petit cri reconnaissant puis il se dĂ©colla du sol pour sĂ»rement rejoindre Arban. Je soufflai et regardai l'Ă©norme devanture du chĂąteau, c'Ă©tait tellement impressionnant, seulement le plus surprenant n'Ă©tait pas le fait qu'il soit aussi grand, mais que malgrĂ© sa position au-dessus des nuages, nous puissions respirer aussi facilement qu'en bas, j'imagine que cet endroit est comme un magique ce qui est plutĂŽt Ă©vident puisque c'Ă©tait une acadĂ©mie dans un monde complĂštement magique.
Je continuai Ă admirer la devanture du chĂąteau, quand j'entendis un cri et des battements d'ailes irrĂ©guliers venant d'au dessus de moi, je levai la tĂȘte vers le ciel, pour voir un Thunderbird encore plus petit que le mien, il Ă©tait montĂ© par une jeune fille aux cheveux roses, c'Ă©tait d'elle que provenaient les cris, elle avait les yeux fermĂ©s, et serrait le plus possible les plumes du cou de son oiseau, les arrachant presque. Mais ce que je ne remarquai pas, Ă©tait qu'ils s'approchaient de plus en plus de moi, j'Ă©carquillai une Ă©niĂšme fois mes yeux, et essayai de m'Ă©carter le plus loin possible de l'oiseau, mais ce fut trop trop tard quand je sentis un lourd poids sur moi. Pendant ma course, j'avais enlevĂ© mon sac au cas oĂč il allait quand mĂȘme moi foncer dessus - et j'avais bien raison - et qu'il n'abĂźme pas mes affaires et surtout mon trĂ©sor.
J'étais maintenant littéralement écrasée par un oiseau qui devrait sûrement faire trois fois mon poids, avec une fille aux cheveux roses dessus, qui étaient en train de pleurer toutes les larmes de son corps.
Je ne savais pas quand ni comment, mais l'oiseau Ă©tait enfin levĂ© de mon dos, j'Ă©tais vraiment sonnĂ©e par le coup, mes yeux se fermant presque, j'entendais en arriĂšre-plan semblant ĂȘtre Ă des kilomĂštres de mon corps, des cris appartenant certainement aux autres Ă©lĂšves prĂ©sents dans la cour, j'allais tomber dans les pommes, quand je sentis une soudaine et rĂ©confortante chaleur, elle venait de ma gauche je tournais la tĂȘte vers la source de cette sensation, et vit la fille aux cheveux roses, les mains tendues vers moi, une Ă©trange lueur verte s'Ă©chappant de ses paumes, c'Ă©tait tellement ... apaisant, rafraĂźchissant, rĂ©confortant, grĂące Ă elle j'ouvris mes yeux et rĂ©ussis Ă bouger - difficilement - mon corps, un gĂ©missement sortit de ma bouche, quand je me suis assise par terre, la main contre mon front, c'Ă©tait comme si j'avais reçu un marteau sur ma tĂȘte, quand j'entendis une douce voix:
'' C-ça va ? Je suis tellement dĂ©solĂ©e, il-enfin j'ai dĂ» lui faire perdre le contrĂŽle de son atterrissage. Je suis sincĂšrement dĂ©solĂ©e ! '' dit-elle en posant ses mains sur ses cuisses, en tournant ma tĂȘte vers elle j'en profitai pour la regarder. Ses cheveux roses Ă©taient attachĂ©s en une longue tresse atterrissant au bas de son dos, elle possĂ©dait aussi une paire d'yeux mauves, remplis par des larmes, des petites lĂšvres rose pĂąle, un petit nez, et Ă©tait habillĂ©e par une robe faite de feuilles et de fleurs roses, mais le plus surprenant Ă©tait ses ailes Ă l'arriĂšre de son dos, elle voulait sĂ»rement ĂȘtre une fĂ©e, une vraie. Elle Ă©tait vraiment belle, je reprends mes esprits en secouant ma tĂȘte et la regardai en lui souriant.
'' Je vais bien, grĂące Ă toi, je te remercie et je te pardonne tant que je vais bien. '' la rassurai-je en lui envoyĂ© le sourire le plus rĂ©confortant que j'avais. Dans ma vie, au village, on m'a toujours dit que je pardonnai trop facilement les gens, je me rappelais encore, je devais avoir dans les alentours des six ans, et une elfe sĂ»rement dans les alentours de mon Ăąge,avait, sans faire exprĂšs, fait tomber un bocal en vert sur ma tĂȘte, sur le coup, j'Ă©tais devenue inconsciente pendant quelques heures puis Ă mon rĂ©veil, on m'avait racontĂ© ce qui c'Ă©tait passĂ©, et toute la scĂšne qu'avait causĂ© ma grand-mĂšre contre la petite fille, seulement dĂšs que j'ai Ă©tĂ© dans la capacitĂ© de pouvoir aller la voir, je l'ai pardonnĂ©, parce qu'elle Ă©tait encore jeune, et qu'Ă cet Ăąge lĂ on ne faisait souvent pas attention.
Puis tout à coup j'ai été pris dans de chauds et petits bras, la petite fée était en train de pleurer sur mon épaule, pris par le dépourvu je lui tapai juste tendrement le dos.
'' Eh bien Mademoiselle Ilg Da*, vous savez vous faire reconnaĂźtre dĂšs le premier jour. '' remarqua soudainement une voix, Ilg Da me lĂącha et tourna la tĂȘte vers la voix, je fis de mĂȘme, et dĂ©couvris Monsieur Jo Su, les bras croisĂ©s dans son dos, et les sourcils fronçaient. '' Vous avez bien de la chance d'ĂȘtre une fĂ©e Mademoiselle, et que Mademoiselle Na Mu soit une personne comprĂ©hensive, enfin pour l'instant. '' remarqua-t-il une seconde fois en me regardant. '' Je compte sur vous pour que ceci ne recommence pas ! '' dĂ©clara-t-il en lançant un dernier regard vers Ilg Da, et nous en tournant le dos.
Je me relevai avec l'aide de Ilg Da, qui ensuite alla me chercher mon sac, puis me le tendit, je la remerciai, le mit sur mon dos, et commençai marcher vers les portes du chùteau, avec la petite fée à mes cÎtés qui vérifiait que tout allait bien avec moi.
'' Ne t'inquiĂštes pas Ilg Da, je vais bien grĂące Ă tes soins. ''
'' Oui mais on ne sait jamais! '' dĂ©clara-t-elle en vĂ©rifiant encore une fois. Puis tout Ă coup je m'arrĂȘtai sur mon chemin et me tournai vers elle, et lui dis une derniĂšre fois que tout allait bien, elle soupira, puis accepta, quand soudain elle tendit sa main. '' Recommençons depuis le dĂ©but: je suis Kim Ilg Da, une fĂ©e venue des bois des fĂ©es tout au sud d'EsthĂ©ris, enchantĂ©e! '' Se prĂ©senta-t-elle, EsthĂ©ris ? Qu'est-ce-que c'Ă©tait dĂ©jĂ , j'avais dĂ©jĂ attendu ça quelque part, ah oui, c'est vrai c'Ă©tait notre royaume, dans le journal de ma mĂšre, il disait que notre monde Ă©tait divisĂ© entre quatre royaume, EsthĂ©ris le royaume de l'Est, OuesthĂ©ria, le royaume de l'Ouest, Nordaris, le royaume du nord et SudĂ©ria, le royaume du Sud, la majoritĂ© d'entre eux sont en paix, seul le royaume du Nord qui lui Ă©tait complĂštement coupĂ© du monde, il n'acceptait ni venue d'autre royaume, ni accord de paix, on ne savait donc rien au sujet de Nordaris. Revenant Ă mes pensĂ©es, je haussai les sourcils par la soudaine prĂ©sentation de la fĂ©e, mais je rigolai un peu et tendis ma main et pris la sienne.
'' Je suis Cho Na Mu, une el- je veux dire, une hybride humaine et fée, ravie de te rencontrer Ilg Da... '' me présentai-je, maladroitement.
'' Oh toi aussi tu es une fée, quelle surprise! ''
'' Oui enfin je ne suis pas tout à fait une fée, j'ai aussi du sang humain. '' remarquai-je.
'' Ce n'est pas grave, tu as quand mĂȘme du sang de fĂ©e! '' elle sourit.
'' QUE TOUT LE MONDE SE RĂUNISSE DEVANT MOI! '' ordonna Monsieur Jo Su. Je lĂąchai la main de la fĂ©e et nous partĂźmes toute les deux vers Monsieur Jo Su. '' Bien je vous rassemble tous ici, pour vous dire certaines choses, tout d'abord, ce qui ne sont pas encore aller voir le concierge de l'Ă©cole, Monsieur Gar Deu *, aller le voir dĂšs que je fine ce que j'avais Ă vous dire pour qu 'il vous donne votre clef. Mais lĂ n'est pas le sujet, je vais vous dire le rĂšglement de l'acadĂ©mie, les premiĂšres annĂ©es ont l'interdiction formelle d'accĂ©der Ă la tour du chĂąteau ni de sortir du domaine en pleine semaine de cours sans y ĂȘtre autorisĂ©s ou sans l'attestation de votre responsable, pendant le week-end, vous pouvez sortir de l'acadĂ©mie. Les dortoirs sont par quatre et seulement quatre, ils ont Ă©tĂ© Ă l'avance choisis en fonction du domaine que vous avez choisi au prĂ©alable lors de votre inscription. ''
A la fin de son discours, il nous libéra, Ilg Da et moi nous sommes parties rencontrer le concierge de l'académie, pendant le trajet j'ai beaucoup appris sur Ilg Da et sa famille. Elle a vécu une enfance heureuse en compagnie de ses parents et de son petit frÚre, c'est sa mÚre qui l'a inscrite à l'académie, à part son enfance nous avons beaucoup de point en commun, elle veut par exemple elle aussi devenir médecin, elle me dit qu'elle veut sauver le monde grùce à ses pouvoirs.
'' Et toi alors Na Mu? Parle-moi de toi. ''
'' Eh bien, je n'ai pas énormément à raconter, j'ai grandi sans mon pÚre, je ne l'ai jamais vu, j'ai quelque fois vu ma mÚre quand j'étais petite, j'ai vécu la majeure partie de ma vie avec ma grand-mÚre et mon grand-frÚre, c'est d'ailleurs lui qui m'a inscrite ici. ''
'' Oh dĂ©solĂ© Na Mu, cela doit ĂȘtre un sujet difficile. '' s'excusa la fĂ©e.
'' Oui, un peu, mais je me dis que lĂ oĂč mes parents sont, ils doivent ĂȘtre heureux. '' rĂ©pondis-je. Nous continuĂąmes notre marche, puis nous vĂźmes soudain un homme, il y avait trĂšs peu de cheveux sur la tĂȘte, un visage visage creusĂ© par les rides, des yeux fermĂ©s ne laissant mĂȘme pas voir ses pupilles, un long pointu avec une verrue au bout et des poils sortant de ses narines, on ne voyait plus la couleur de ses lĂšvres, un corps voĂ»tĂ©, ses jambes pliĂ©es comme si le haut de son corps pesait plusieurs tonnes, il s'appuyaient sur une vielle canne bois.
'' Ah il y en a encore! '' s'exclama-t-il d'une voix tremblante par la vieillesse . '' Bien qu'on en finisse rapidement, donnez moi le papier de votre chambre. Je dĂ©boutonnai alors rapidement la poche de mon long manteau, et sortis le papier oĂč Ă©tait Ă©crit 1645, et lui tendis Ă deux mains, il me le prit agressivement, puis prit celui de Ilg Da de la mĂȘme maniĂšre, et se retourna vers une haute Ă©tagĂšre, oĂč Ă©tait rangĂ©es diffĂ©rentes clefs, Monsieur Gar Deu prit deux clefs et nous les tendis. '' Ăa tombe bien vous ĂȘtes colocataires! '' s'exclama-t-il nous nous regardons en souriant, puis prĂźmes les clefs qu'il nous tendait. '' Maintenant partez, je n'ai pas que ça Ă faire! '' Nous le remerciĂąmes, puis sortĂźmes en trombe de la petite piĂšce.
Arrivées dans la grande cour, nous nous regardùmes soudain, Ilg Da me sauta dans les bras en criant de joie, je rigolai de sa réaction joyeuse, et souris en enroulant mes bras autour de sa fine taille, mais nous fßmes interrompues par une puissante voix féminine.
'' Que toutes les premiĂšres annĂ©es, les filles Ă©tant dans le domaine mĂ©dicinal viennent ici pour que je leur montre leur chambre! '' Nous partĂźmes vers la femme, elle Ă©tait magnifique, elle possĂ©dait de longs cheveux blonds orangĂ© aux racines se dĂ©gradant dans un rose fraise, ils Ă©taient dĂ©corĂ©s par une belle fleur d'hibiscus rouge, ils encadraient un visage fin, composĂ© par de grands et doux yeux bleu ocĂ©an, de lĂšvres pulpeuses roses, sur son cou on pouvait apercevoir quelques Ă©cailles de la mĂȘme couleur de la pointe de ses cheveux. Elle nous sourit apparaĂźtra des dents blanc nacrĂ©.
'' Waouh! Elle est magnifique! '' s'exclama Ilg Da en murmurant, je hochai la tĂȘte beaucoup trop aveuglĂ©e par une telle beautĂ© pour pouvoir parler.
'' Bien je pense que tout le monde est lĂ , je pense que je vais pouvoir vous montrer vos chambres, mais je vais d'abord me prĂ©senter, je suis Kim Taeyeon je serai votre professeur d'Ă©tudes de plantes mĂ©dicinales, pendant toutes vos annĂ©es Ă Ethalia, mais aussi votre responsable de dortoir, pour faire simple si vous avez un problĂšme quelconque dans le dortoir, venez me voir, d'accord ? '' demanda-t-elle. Nous hochĂąmes toutes la tĂȘte. '' Super ! Alors suivez-moi ! '' dĂ©clara notre responsable, en se retournant, et commençant Ă se diriger vers nos futurs dortoirs. '' Ah oui, ça m'est complĂštement sorti de la tĂȘte, appelez-moi Madame Taeyeon, il y a Ă©normĂ©ment de professeurs s'appelant Kim ici, alors si on s'appelle tous par nos prĂ©noms on ne va jamais se retrouver ! '' expliqua-t-elle riant doucement, ce son semblant ĂȘtre le plus beau que nous pouvions entendre sur cette Terre, et continua son chemin. En nous expliquant comment allait se passer ses cours, j'avais tellement hĂąte d'y participer, j'adore les plantes mĂ©dicinales, c'est vraiment ma passion, ce sera surtout grĂące Ă elles que je pourrais soigner mes patients, en tant que mĂ©decin, puisque je n'avais aucun pouvoirs comme ceux d'Ilg Da, je devais me dĂ©brouiller avec les moyens que j'aurai Ă ma disposition.
Pendant notre chemin, je regardai tout autour de moi, mĂȘme les couloirs Ă©taient beaux ! Le plafond Ă©tait tellement que je me disais que mĂȘme un gĂ©ant ne pouvait le toucher, les murs semblant ĂȘtre tailler dans la pierre elle-mĂȘme, des statues Ă©tant sĂ»rement ĂȘtre de grands personnages de notre monde, Ă©trangement, il n'y avait aucune elfe, cela est vraiment Ă©trange, Ă un moment donnĂ© Ă©tait bien encore libre, et non enfermĂ© dans un dĂŽme de ronces, Ă©t ça pendant depuis la crĂ©ation dans notre monde, il y avait vraiment aucune elfe qui est entrĂ©e dans l'histoire ?
Nous tournĂąmes dans un des nombreux coins de l'Ă©tablissement, quand nous croisĂąmes un groupe d'hommes, ils Ă©taient plutĂŽt intimidants, la majoritĂ© d'eux faisait plusieurs tĂȘtes de plus que moi, et pouvait sĂ»rement m'Ă©craser avec un seul de leurs doigts.
'' Bonjour Monsieur Seunghyun ! '' salua Madame Taeyeon, en faisant un signe Ă l'homme semblant ĂȘtre le responsable de ce groupe d'hommes, qui lui donna en rĂ©ponse un simple hochement de tĂȘte, les hommes en question Ă©taient d'ailleurs en train de fixer sans aucune honte Madame Taeyeon, bavant presque devant elle, leurs joues aussi rouges que la fleur dans les cheveux de celle-ci.
AprĂšs que leur responsable leurs criait dessus, ils partirent vers sĂ»rement leur dortoir, et nous fĂźmes de mĂȘme.
AprĂšs quelques minutes de marche, nous nous Ă©tions enfin arrĂȘtĂ©es, nous nous trouvions devant un grand tableau d'une serre. Madame Taeyeon se retourna vers nous et nous dĂźmes :
'' Bien je vais vous dire la rĂšgle numĂ©ro 1 des dortoirs ! '' Elle leva son index. '' Il est strictement interdit, que des Ă©lĂšves d'un domaine autre que le vĂŽtre entre dans le dortoir, compris ? '' demanda-t-elle, nous dĂźmes toute oui, elle nous sourit puis se retourna vers le tableau. '' Mais nous ne faisions pas confiance Ă tous les Ă©lĂšves, chaque dortoir possĂšde un code spĂ©cial pour entrer, interdiction stricte de le donner Ă d'autres Ă©lĂšves que ce dans votre domaine. ''Elle posa alors une de ses mains sur l'une des fleurs sur le tableau, c'Ă©tait une tulipe bleue, et appuya dessus, elle fit le mĂȘme geste mais sur cette fois-ci un gĂ©ranium Ă©trangement devenue vert autrefois rose, puis elle tourna un motif de fleur sur le cadre de la peinture. Le tableau s'illumina, tous les motifs sur le cadre s'Ă©clairĂšrent et le tableau s'ouvrit, laissant place, Ă un long et profond couloir sombre.
Madame Teayeon rentra dans le couloir, et nous fĂźmes comme elle et rentrĂąmes peu Ă peu dans le couloir sombre, le tableau se fermant ensuite derriĂšre nous.
Je sentis soudain une main prenant la mienne, c'était celle de Ilg Da j'arrivais à la discerner malgré l'absence de lumiÚre.
'' Qu'est-ce qu'il y a Ilg Da ? '' demandai-je en murmurant pendant que nous sentĂźmes des marches descendantes.
'' Les fĂ©es ont toutes peur du noir. '' dĂ©clara-t-elle murmurant Ă son tour. '' J'imagine que ça ne te fait pas ïżœïżœa Ă cause de ton sang humain. ''
'' O-oui ça doit ĂȘtre ça. '' dĂ©clarai-je serrant sa main pour la rassurer.
Nous descendßmes encore et encore dans les escaliers, je pensai personnellement que c'était une trÚs mauvaise idée de faire descendre des escaliers à des jeunes adolescentes comme nous, dans le noir sans aucune lumiÚre en sachant que certaines avaient peur du noir comme dans la situation d'Ilg Da.
Puis tout à coup une petite voix rompit le silence qui s'était installée :
'' Euh Madame, j'ai une question. ''
'' Oui laquelle ? '' demanda Madame Taeyeon.
'' Les prochaines fois que nous allons aller dans le dortoir, nous pourrons prendre de la lumiĂšre, n'est-ce-pas ? ''
'' Eh bien, en fait normalement le couloir est allumĂ©, mais le seul jour oĂč il ne l'est pas, c'est le celui de la rentrĂ©e. Donc pour celles qui ont peur du noir ou qui sont tout simplement mal Ă l'aise Ă devoir marcher et descendre des escaliers dans le noir, ça sera Ă©clairĂ© d'ici demain matin. '' Quelques soupirs de soulagement se firent entendre, par la dĂ©claration de notre responsable, je sentis la main de Ilg Da se desserrait de la mienne, elle Ă©tait sĂ»rement soulagĂ©e elle aussi par ce que notre responsable avait annoncĂ©.
Nous vĂźmes enfin une lumiĂšre Ă la fin de l'escalier, elle nous aveuglait toutes Ă cause de tout le chemin traverser dans le noir, mais c'Ă©tait aussi trĂšs rĂ©confortant de pouvoir enfin voir de la lumiĂšre, et celle-ci Ă©tait tout simplement naturelle, car notre dortoir enfin en tout cas la piĂšce principale de celui-ci Ă©tait exactement le mĂȘme dĂ©cor que la peinture au dĂ©but du couloir, il y avait une grande baie vitrĂ©e donnant vue sur la mer de nuage que l'on aurait vu voir lors de notre vol de Thunderbird, c'Ă©tait vraiment beau, il y avait plein de sortes de plante, de fleur, de plante mĂ©dicinale, au milieu de l'Ă©norme serre se trouvait une grosse jardiniĂšre faisant pousser une grosse et Ă©paisse bignone, sĂ»rement la plus grande que j'ai vu de toute ma vie, elle escaladait sur je ne sais quoi Ă cause de ses Ă©paisses feuilles verte,et faisait comme un toit en s'accrochant Ă la vitre de la serre, et descendant parfois les siĂšges aux coussins rouges, jaunes, roses, verts, qui entourĂ©e la jardiniĂšre.
'' Voici votre dortoir! '' s'exclama Madame Taeyeon en se retournant vers nous, nous Ă©tions toutes stupĂ©faites par une telle salle, c'Ă©tait magnifique. '' Venez je vais vous montrer oĂč se trouvent vos chambres. '' dit-elle en commençant Ă descendre l'escalier en fer blanc nacrĂ© des motif de roses constituant les marches. Nous la suivĂźmes regardant tous les dĂ©tails de la piĂšce qui sera un peu comme notre future maison. '' Bien tout d'abord celles dont leur numĂ©ro de chambre est en dessous de 1500 me suivent! '' AprĂšs ça, la moitiĂ© du groupe la suivit alors, disparaissant Ă la droite du dortoir, alors que l'autre partie du groupe seule dans cette Ă©norme piĂšce.
La piĂšce Ă©tait alors devenue silencieuse, aucune personne ne parlait.
Pour m'occuper, je regardai la grande et belle bignone au milieu de la salle, nous Ă©tions en pleine pĂ©riode floraison des bignones, on pouvait donc voir les belles fleurs en trompette rouges et oranges habituelles des bignones, mais seulement quelque chose m'a rendu curieuse, les couleurs normales des fleurs de bignone sont le rouge et l'orange, mais certes celle-ci en avait de cette couleur mais elle en avait aussi d'autres couleurs : du rose, du jaune, du vert, du bleu, du violet, du blanc et du noir, enfin qu'une seule en noire. C'Ă©tait impensable comme couleur! mais pour dire vrai ça ne m'Ă©tonnait pas trop, puisque nous sommes dans une acadĂ©mie magique, je me disais qu'on lui a sĂ»rement jetĂ© un sort, ou qu'ils l'ont crĂ©Ă© eux-mĂȘme.
Je m'assis, sur un des bancs donnant face Ă cette Ă©trange plante, en posant mon sac Ă dos par terre et posa ma tĂȘte contre l'immense vitre, me reposant de toute cette marche grĂące au silence de la piĂšce, on avait tant marchĂ©, j'avais presque l'impression  que mes pieds Ă©taient devenus de la bouillie, l'activitĂ©s n'a jamais Ă©tĂ© mon domaine de prĂ©dilection. Il fut malheureusement coupĂ© par la mĂȘme voix que celle dans les escaliers.
'' Euh ... est-ce-que ça vous direz que l'on prĂ©sente? Je veux dire on va sĂ»rement passer toutes nos annĂ©es ensemble donc... '' Il y avait toujours le mĂȘme silence, personne ne lui avait rĂ©pondu, et maintenant elles la regardaient toutes. Elle avait des cheveux noirs avec des mĂšches bleu foncĂ©, et des yeux gris clair, sa peau avait l'air d'ĂȘtre plus blanche que la moyenne, sa race devait sĂ»rement faire partie des spectrales, dans notre monde il y a plusieurs types de races, les types naturae, celles qui sont liĂ©es Ă la nature donc les elfes, les fĂ©es, les gnĂŽmes etc... Les types spectrales, donc les fantĂŽmes, les esprits, les types advercum, ceux qui sont hostiles, mĂȘme si c'est un grand mot puisque bon nombre des races dans cette catĂ©gorie ne sont en fait pas du hostiles envers les autres races, je pense notamment aux vampires ou aux dĂ©mons, puis il y a les neutres, pour bien comprendre comment les races sont triĂ©es, il faut savoir que c'est avec ce qu'ils mangent, les naturae sont vĂ©gĂ©tariens, les advercum sont carnivores, les spectrals ne mangent pas, en tout cas ils n'en ont pas besoin et les neutres sont omnivores, donc ce serait les humains, les deus et bien d'autres. '' AprĂšs si vous ne voulez pas vous n'ĂȘtes pas obligĂ©es! '' dĂ©clara-t-elle en levant ses mains mais elle fut suivie par l'accord de toutes les filles dans la piĂšce. '' C'est vrai? Alors, je commence! je m'appelle Kim Chae Won, je suis un esprit des bois, ravie de vous rencontrer! '' se prĂ©sente-t-elle en s'inclinant. Un esprit des bois? J'ai dĂ©jĂ lu Ă leur sujet dans le carnet de ma mĂšre, ils protĂšgent les bois de tout ĂȘtre malĂ©fiques, et faisaient donc bien parti des type spectrales.
'' Bien je continue alors! '' déclara Ilg Da. '' Je suis Kim Ilg Da, je suis une fée venue des bois des fées au sud d'Esthéris, j'ai hùte de passer mes années avec vous! '' finit-elle en nous souriant joyeusement.
'' Oh mais c'est toi, qui a écrasé la fille dans la grande cour avec le Thunderbird! '' remarqua une fille avec des cheveux chùtains.
'' Je n'ai pas fait exprĂšs! Je lui ai fait perdre sans faire exprĂšs le contrĂŽle pendant son vol! ''
'' Certes mais c'est toujours de ta faute! '' continua la mĂȘme fille.
'' Arrrgh Na Mu, dis-leur! '' demanda Ilg Da, en se précipitant vers moi.
'' Oh mais tu es celle qui s'est faite Ă©craser. ''
'' Ah euh oui, je suis Ch-cho Na Mu, je suis une hybride fée et humaine, en-enchantée. '' me présentai-je en déglutissant nerveusement suivie par plusieurs chuchotements  de la part des autre filles dans la piÚce.
'' Et malgrĂ© ce qui s'est passĂ©, Na Mu et moi nous sommes devenues de trĂšs bonnes amies ! pas vrai ? '' demanda la fĂ©e en me regardant, je hochai alors la tĂȘte.
'' Eh bien tu es trÚs compréhensive, Na Mu. '' remarqua une fille avec des courts cheveux bleu foncé, des yeux marrons chocolat, et avait quelques écailles noires sur le cÎté de son cou, en apparaissant du  fond groupe, elle se dirigeait vers nous, puis arrivée devant moi, elle tendit sa main en souriant. '' Je suis Shin Ryujin, une Naga*. '' je lui serrai alors la main. Puis alors toutes les filles se présentÚrent une par une, elles étaient principalement toutes des fées, ce qui se comprend puisque celles-ci sont spécialisées dans la botanique, et la médecine.
AprĂšs quelques temps, oĂč nous discutions tranquillement, Madame Taeyeon sortit enfin du cĂŽtĂ© droit du dortoir, et nous sourit :
'' Je vois que vous avez fait connaissance ! C'est super ! Mais je dois malheureusement interrompre votre discussion, pour vous montrer vos chambres. '' Nous hochĂąmes la tĂȘte et commençùmes Ă la suivre. Je mis mon sac sur mon dos, et me dirigea Ă cĂŽtĂ© de Ilg Da, qui Ă©tait en train de sautiller d'excitation.
'' Dis Na Mu, tu n'as pas hĂąte de savoir qui seront nos colocataires ? '' me demanda-t-elle en me regardant les yeux brillants de joie.
'' Si, j'ai vraiment hùte. '' lui répondis-je en lui souriant à mon tour.
La foule s'arrĂȘta alors, notre responsable se retourna et sortit alors un papier de sa poche :
'' Alors, Ă©coutez-moi, sur vos clefs se trouve un nombre, quand vous entendez le vĂŽtre, venez Ă cĂŽtĂ© de moi, d'accord ? '' Nous hochĂąmes la tĂȘte. '' Super alors, le numĂ©ro 1510, 2080, 1762 et 1800. '' lista-t-elle et quatre jeunes filles se dirigea vers elle, et elle leur donna une seconde clef chacune. '' Voici la clef de votre chambre ! '' Puis elle leur ouvrit la porte, et les laissa rentrer. '' Installez-vous pendant que je fais les autres chambres, quand vous aurez fini aller dans la salle principale. '' Elle continua alors Ă faire les chambres une par une. Mais si les clefs donnĂ©es par le concierge n'Ă©tait pas celles de nos chambres Ă quoi servaient-elles alors ? Elles Ă©taient juste lĂ pour savoir notre chambre ?
A la fin du couloir il ne restait, plus que Ilg Da, Ryujin, Chae Won et moi, alors voilĂ nos colocataires.
'' Eh bien voilĂ vous ĂȘtes les derniĂšres ! Kim Ilg Da, Shin Ryujin, Kim Chae Won et Cho Na Mu ! '' nous appelĂąmes-t-elle, elle nous donna nos clefs de chambre, et l'ouvrit. '' Je sais que c'est un peu injuste, mais ne vous installez pas tout de suite, rĂ©partissez-vous juste les lits, d'accord, sinon nous n'aurons pas assez de temps pour la suite. '' dit-elle en nous ouvrant et nous laissa rentrer.
Notre chambre Ă©tait vraiment Ă©norme, et aussi trĂšs lumineuse. Elle avait un toit et un demi-cercle du fond tout en verre, donnant alors vue sur la mer de nuages et le ciel bleu, la vue devrait ĂȘtre incroyable de nuit. Deux lits se trouvaient sur une mezzanine donnant vue sur la grande fenĂȘtre tandis que les deux derniers, se trouvaient en dessous, Ă cĂŽtĂ© de chaque lit Ă©tait placĂ© un bureau personnel, avec une multitude de livres et une petite lampe en fer dorĂ©. Sur le cĂŽtĂ© gauche de la piĂšce, il y avait plusieurs Ă©tagĂšres vides, seule des pots de fleurs verts, avec leurs feuilles vertes pendant certaine mĂȘme touchant le sol.
'' Waouh elle est incroyable ! '' s'exclamÚrent Ilg Da et Chae Won en courant de partout dans la chambre. Ryujin soupira à cÎté de moi, et monta vers la mezzanine en déclarant :
'' Je prends un lit en haut. ''
'' Si ça ne vous gĂȘne pas je vais en bas, j'ai le vertige. '' dĂ©clara Chae Won en se grattant l'arriĂšre de sa tĂȘte gĂȘnĂ©e. A sa dĂ©claration, je haussai un sourcil, un esprit avec le vertige que c'Ă©tait Ă©trange, en sachant que l'une de leur capacitĂ© Ă©tait de voler, alors avoir le vertige, c'Ă©tait vraiment.... Ă©trange.
'' Moi aussi, je prĂ©fĂšre ĂȘtre le plus proche possible de la porte, vous savez pipi noc- ''
'' C'est bon, on a compris pourquoi Ilg Da ! '' s'exclama Ryujin en la coupant.
'' Na Mu, ça ne te gĂȘne pas d'aller en haut ? '' demanda Chae Won.
'' Non ça va. '' rĂ©pondis-je en montant les escaliers en bois sombre, menant Ă la mezzanine, Ryujin avait dĂ©jĂ choisi son lit, il devait sĂ»rement ĂȘtre celui le plus cachĂ© du soleil.
'' Désolé, mais ma race me l'oblige. '' déclara-t-elle dos à moi.
'' Ăa va, ça me convient. '' la rassurai-je, en posant mon sac sur la chaise en bois de mon bureau, enlevant enfin mon manteau trop grand pour moi et le fit pendre Ă un petit porte manteau. J'avais maintenant une certaine affection pour lui, j'imagine que c'est parce qu'il m'a protĂ©gĂ© d'une mort certaine en cachant mon ancienne apparence, et peut-ĂȘtre aussi car c'est Man Yeo qui me l'a offert enfin plutĂŽt qui me l'a donnĂ©, en parlant d'elle je me demande vraiment ce qu'elle fait en ce moment, elle a sĂ»rement dĂ» rentrer au dĂŽme, oĂč grand-mĂšre doit la harceler pour savoir pourquoi elle m'a aidĂ©e Ă sortir, et Hi Jin et Geom Jeong doit lui demander comment est l'extĂ©rieur, si je vais bien ou quelque chose comme ça.
A la pensĂ©e de mes deux meilleures amies je souris nostalgiquement et pris le collier qu'elles m'ont offert avant mon dĂ©part, je caressai alors doucement la pierre verte avec mon pouce. Mais je fus interrompu par une main sur mon Ă©paule, je tournai la tĂȘte, c'Ă©tait Ryujin.
'' Tu viens? Madame Taeyeon nous a dit de nous dĂ©pĂȘcher. '' elle demanda.
'' Ah oui, j'arrive. '' Elle enleva sa main de mon Ă©paule, et commença alors Ă descendre les escaliers en bois. Je soupirai alors, et suivis alors les filles dans le couloir, pour ensuite arriver dans la salle principale du dortoir. Toutes les filles Ă©taient assises sur les siĂšges, alors nous fĂźmes de mĂȘme et nous regardĂąmes notre responsable se trouvant au milieu de la piĂšce en nous voyant nous asseoir elle commença alors Ă parler.
'' Bien depuis tout le monde est lĂ , je vais pouvoir commencer! '' dĂ©clara en s'adossant Ă la jardiniĂšre en pierre blanche. '' Tout d'abord je vais commencer par quelque chose que certaines d'entre vous ont dĂ©jĂ remarquĂ©, dans chacune de vos armoires se trouve un uniforme, c'est celui de l'acadĂ©mie vous ĂȘtes dans l'obligation de le porter en dehors du dortoir, pour celles qui ont peur qu'il ne soit pas Ă votre taille, ne vous inquiĂ©tez pas de le mettre, il s'adapte directement Ă votre morphologie, il existe une autre tenue obligatoire, c'est celle de la pratique de combat vous avez beau ĂȘtre dans un domaine exclusivement thĂ©orique, vous devez quand mĂȘme avoir les capacitĂ©s de base pour vous battre et au moins pouvoir vous protĂ©ger, ah oui il y a une derniĂšre quand vous aurez vos travaux dans la serre de l'acadĂ©mie, obligation de la porter celle-ci c'est pour votre sĂ©curitĂ©. '' Elle expliqua en nous regardant toutes. '' Ensuite certaines me l'ont dĂ©jĂ demandĂ©, les toilettes se trouvent au fond de chaque cĂŽtĂ© du couloir, ne vous inquiĂ©tez comparĂ© Ă toutes les piĂšces dans votre dortoir, il n'y a pas de grosses baies vitrĂ©es. '' dĂ©clara-t-elle, ce qui nous fĂźmes soupirer de soulagement . '' Bien avant de vous laisser finir de vous installer, les horaires: le petit dĂ©jeuner est Ă 7 heures, les cours commencent Ă 8 heures et se finissent tous maximum Ă 17 heures, mais il peut y avoir des Ă©tudes du soir Ă la bibliothĂšque maximum 20 heures, le dĂ©jeuner est Ă midi, le dĂźner Ă 19 heures, et le couvre-feu Ă 22 heures. '' dit-elle listant tous les horaires. '' Bien maintenant je vous laisse vous prĂ©parez, sauf si vous avez des questions bien sĂ»r. '' dĂ©clara-t-elle en tournant la tĂȘte pour trouver une fille du premier groupe, levez la main, elle hocha la tĂȘte pour lui donner la parole.
Tout le long de quand elle listait tous les horaires, je sentais une grosse boule nerveuse dans mon ventre, c'Ă©tait la nuit, si le couvre-feu Ă©tait aussi tard, je vais devoir me coucher encore plus tĂŽt que d'habitude, bon pour l'instant puisque nous sommes en Ă©tĂ© les jours dure plus longtemps donc je pourrais dĂźner sans trop de problĂšme, mais quand on va ĂȘtre en automne, ou mĂȘme en hiver comment vais-je faire? La nuit va se lever plus tĂŽt, et le jour plus tard, il faut juste prier pour que Ye Yag trouve une alternative.
'' Euh, est-ce-que nous sommes obligées de porter notre uniforme pour le dßner et le petit déjeuner? ''
'' Eh bien pour le petit dĂ©jeuner oui vous ĂȘtes obligĂ©es, mais le dĂźner non, ce n'est pas la peine. '' Elle vĂ©rifia sa montre je soupirai de soulagement, pour le dĂźner je pourrais porter mon manteau, et cachait mes oreilles, c'est dĂ©jĂ un bon point, bon certes j'aurai l'air bizarre, mais au moins mes oreilles seront cachĂ©es du monde. '' Bien, il vous reste pile une heure pour finir de vous installer ou de commencer Ă vous installez, quand vous aurez fini retrouvez-moi ici, pour que je vous emmĂšne Ă la grande salle (A / N: Je sais ça fait Harry Potter mais je n'ai pas trouvĂ© mieux.) '' Puis quand elle finit sa phrase, nous nous levĂąmes, et nous nous dirigeĂąmes vers nos chambres respectives.
ArrivĂ©e Ă la nĂŽtre, je montai directement dans la mezzanine, et ouvris mon sac pour ranger mes affaires. Je plaçai d'abord mes livres, sur la bibliothĂšque vide parallĂšle Ă mon lit puis rangea le carnet de note de ma mĂšre dans le tiroir de mon bureau, et le mien sur celui-ci. Pendant que je rangeai les livres restants, je regardai ceux qui Ă©taient dĂ©jĂ rangĂ©s, j'en ouvris Ă une page au hasard, et dĂ©couvris une page de recette, pour faire un remĂšde contre les fortes fiĂšvres, je tournai les pages de ce livre, il y avait plein de recette de remĂšde, de pommades et autres. Ăa devait ĂȘtre mes livres de cours.
J'ouvris mon armoire pour effectivement trouver un uniforme, il avait un blazer blanc avec des boutons dorés et un blason était cousu sur la poitrine gauche du blazer, c'était une épée grise entourée par un beau magnolia tout deux emprisonnés dans un globe, en dessous se trouvait une chemise blanche sans défauts avec une cravate à carreaux verts, comme la jupe aussi d'ailleurs.
'' Eh bien, c'est trĂšs.... '' Ryujin cherchait ses mots en regardant de haut en bas l'uniforme.
'' Clair ? '' proposai-je.
'' Un peu dire ça. '' ditâelle, en fixant l'uniforme en fronçant les sourcils.
'' Par contre, Ryujin, le blason, c'est celui de l'académie ? ''
'' Attends, tu veux dire, que tu ne reconnais pas le blason de ta propre académie ? '' demanda-t-elle en écarquillant les yeux.
'' Eh bien disons, que j'ai vécu un peu coupée du monde donc... '' expliquai-je en ayant toujours le réflexe de me gratter ma lÚvre inférieure. Elle soupira, et recommença à ranger ses propres affaires.
Je fis alors de mĂȘme en rangeant mes propres habits dans l'armoire.
AprÚs plusieurs minutes de rangement, il ne restait plus qu'une seule chose dans mon sac, c'était tellement important pour moi, je fouillai alors à l'intérieur, puis sortit la photo.
Cette si belle photo, elle Ă©tait Ă la fois magnifique et dangereuse, si quelqu'un la voit, je pourrais complĂštement abandonner mes rĂȘves. Je rĂ©flĂ©chis alors Ă oĂč je devais la placer, enfin plutĂŽt oĂč la cacher. Je ne pouvais pas la mettre dans un de mes tiroirs, c'Ă©tait beaucoup dangereux, n'importe qui dans ce dortoir pourrait la voir, la laissai dans mon sac peut-ĂȘtre ? non, il y avait le mĂȘme danger, sous mon lit ? non, dans mon armoire ? non ce n'est que des cintres.
Je pensai encore et encore Ă oĂč je pouvais la cacher, sans l'abĂźmer, quand nous entendĂźmes la voix de Madame Taeyeon, nous appeler, pour partir, je soufflai d'agacement et rangeai ma prĂ©cieuse photo entre deux livres, dans un des tiroirs de mon bureau, et me dirigeai un nouvelle fois dans la salle principale du dortoir.
Arrivées nous suivßmes alors, notre responsable dans l'escaliers et le couloir, qui n'était toujours pas allumer avec la main de Ilg Da serrant la mienne à cause de sa peur du noir.
Sortie du couloir et retrouvant la lumiĂšre de l'acadĂ©mie, nous arpentĂąmes une nouvelle fois les longs couloirs de l'acadĂ©mie pour enfin nous trouver dans ce qui semblait ĂȘtre la grande salle (A/N : Dans la description, il y aura quelques similitudes avec Harry Potter, encore une fois dĂ©solĂ© !).
Elle Ă©tait Ă la fois grande et longue, on y trouvait quatre longues tables en bois sombre, chacune avec un tissu d'une couleur diffĂ©rente, les trois se s'Ă©talant de la porte jusqu'au fond de la salle oĂč se trouvait la derniĂšre table perpendiculaire aux trois autres avec derriĂšre elle 7 chaises placĂ©es cĂŽte Ă cĂŽte.
Elles étaient remplies de nourriture, et d'élÚves en train d'apprécier leur nourriture, jusqu'à que nous entrùmes dans la salle, tous les hommes regardaient notre responsable ce qui était compréhensible en voyant sa beauté.
Nous marchĂąmes le long des tables, pendant la marche, je me faufilai le plus possible au milieu de mes camarades, j'Ă©tais Ă©trangement intimidĂ©e par les regards qu'ils nous lançaient, et Ă ce que je voyais je n'Ă©tais pas la seule , puisque Chae Won se faufilait Ă cĂŽtĂ© de moi sĂ»rement pour la mĂȘme raison que moi, elle me sourit doucement et croisa mon regard, je lui souris en retour. Mais notre Ă©change fut interrompu, par l'arrĂȘt du groupe, et la voix de notre responsable, nous disant de nous asseoir et de commencer Ă manger, ce que le groupe fit sans aucune hĂ©sitation.
J'Ă©tais assise, entre Ilg Da et Chae Won, Ryujin quant Ă elle, elle se trouve juste Ă gauche de Chae Won. En face de moi se trouve un jeune homme aux cheveux bruns ondulĂ©s et aux yeux marron clair. Il Ă©tait en train de boire une soupe ayant l'air Ă la fois chaude mais dĂ©licieuse, je baissai alors le regard, et commença moi aussi Ă me servir de la nourriture, ce qui Ă©tait plutĂŽt dur Ă faire Ă cause du grand nombre de plats proposĂ©s, ils avaient l'air tous tellement dĂ©licieux. Mais je choisis alors quelques plats et commença Ă manger en silence diffĂ©remment Ă Ilg Da qui elle parlait et sympathisait avec ses voisins de plats, elle Ă©tait tellement sociable, c'Ă©tait incroyable, je l'enviais, j'ai toujours eu du mal pour me faire des amis, je suis en fait Ă©trangement reconnaissante que Ilg Da m'ait percutĂ© avec son Thunderbird. Chae Won parlait elle aussi tranquillement avec nos camarades de dortoirs, elle semblait ĂȘtre moins sociable que la petite fĂ©e. Ryujin, elle, faisait comme moi, elle mangeait silencieusement sans lever les yeux de son assiette.
Malheureusement pour moi, je me sentais vraiment mal Ă l'aise ici, je n'Ă©tais pas habituĂ©e Ă tant de personnes rĂ©unies dans une seule et mĂȘme salle et autant prĂšs de moi. Je baissai alors la tĂȘte, prenant une grande respiration et serrant la fourchette dans ma main de toutes mes forces. J'essayai de faire le vide, de ne plus rien entendre, faire comme si j'Ă©tais seule dans cette piĂšce, et Ă©trangement ça marchait, je n'entendais plus aucun bruit. Je relevai alors la tĂȘte en ouvrant les yeux pour continuer Ă manger, en regardant autour de moi, pour en fait remarquer, qu'il n'y avait aucun bruit, car tout simplement personne ne parlait et se concentrait plutĂŽt sur quelque chose d'autre, je fis alors de mĂȘme, et tournai mon regard vers lĂ oĂč ils regardaient, pour voir un groupe d'hommes, ils Ă©taient vraiment imposants.
Je ne peux pas mentir, ils Ă©taient vraiment beaux, tous sans exception, mais ils Ă©taient aussi un peu effrayants. Je les regarde tous un peu plus en dĂ©tail, quand trois d'entre eux se sĂ©parĂšrent du groupe, un aux cheveux noirs de jais, un autre avec la mĂȘme couleur des cheveux mais se finissent par un dĂ©gradĂ© bleu et s'assirent Ă la table la table la plus Ă©loignĂ©e de la nĂŽtre, et le troisiĂšme avait des cheveux marron chocolat se dirigeant Ă notre table, alors il faisait partie de notre domaine.
Le reste du groupe s'assirent à la longue table à cÎté de la nÎtre .
Cet homme, ce deus, celui qui m'avait fait ressentir la vraie peur, la veille, il faisait partie lui aussi de l'académie.
Il leva le regard et regarda le droit dans mes yeux, je sentis un choc électrique à l'intérieur de mon corps, et me retournai lui faisant maintenant dos à lui et je passai mes mains dans mes cheveux anxieusement.
'' Pourquoi a-t-il fallu qu'il soit ici? Pourquoi?! '' me demandai-je dans ma tĂȘte. Je sentais toujours son regard sur moi, il me regardait toujours et ça me rendait encore plus anxieuse. Je commençai Ă respirer de plus en plus vite, prenant de plus grosses et de plus profondes respirations, ma vue devenait de plus en plus floue je ne pouvais presque rien reconnaĂźtre, la sueur apparaissant sur mon front, coulant dans mon dos, mes mains devenant moites et une boule se trouvant Ă l'intĂ©rieur de mon estomac avec l'impression qu'elle grossissait de plus en plus. Je n'en pouvais plus, je levai le regard et regardai autour de moi, tout le monde semblait avoir repris ses anciennes activitĂ©s, c'est-Ă -dire parler, rire, boire et manger, ils Ă©taient joyeux, ils rigolaient aux Ă©clats ,
Tout Ă©tait redevenu normal. Je pris alors une grande respiration ne sentant plus le regard dans mon dos, et revins Ă mon assiette, en repassant Ă ce qui mettait arriver juste Ă cause d'un simple regard.
----------------------------
Bonjour !
J'espÚre comme toujours que ce chapitre vous avez plu, et que la longueur ne vous a pas trop ennuyé.
Alors dans ce chapitre, j'ai mis quelques détails comme par exemple les couleurs des fleurs, et elles ont toutes enfin presque une signification que je peux vous donner sans trop vous spoiler l'histoire.
Tout d'abord:
- la tulipe bleue dans le tableau à l'entrée du dortoir: les tulipes bleues symbolisent le respect, la tranquillité et la confiance, c'est tout simplement ce que veut faire ressentir l'académie aux élÚves.
- le géranium devenu vert, le géranium est le symbole de la détermination, tandis que la couleur verte  à plusieurs significations comme le bonheur, l'optimisme, la jeunesse, etc ... mais parmi toutes ses significations, j'ai choisi celle de la réussite, donc ce petit changement de couleur signifie que si vous avez de la détermination dans la vie vous obtenez la réussite.
- et le dernier symbole, le blason de l'académie, à l'intérieur est réunis les symboles des trois domaines d'Ethalia, le combat, médicinal et l'Etude Du Monde (EDM), le combat est représenté par une épée je sais, pas trop d'originalité, la médecine par une magnolia celle-ci symbolise l'amour de la nature et aussi connu pour ses remÚdes contre l'anxiété, la nervosité et les troubles du sommeil, et ensuite EDM est symbolisé par un globe qui est le symbole du savoir.
* Ilg Da: Je sais plus la traduction de son nom, et je n'arrive plus Ă le retrouver, enfin des souvenirs que j'avais c'Ă©tait une fleur.
Jo Su: Assistant
Gar Deu: Garde
Amaryllis: Ce sont des fleurs provenant d'un énorme bulbe, une légende de Noël raconte que lors de la naissance du Christ, elle fut annoncée par des trompettes et donc elle raconte que l'amaryllis fut créée à l'image des trompettes, ce qui a donné sa forme de trompette. Si vous offrez cette fleur à quelqu'un cela voudrait clairement dire '' Ne me résiste pas! ''
Thunderbird: c'est une légende amérindienne, il est l'origine des orages et des pluies. C'est lui qui est représenté en haut des totem indiens.
Naga: Ce sont des créatures mi-femme, mi-serpent, elles sont d'une grande patience et d'une grande intelligence, elles sont trÚs pacifiques mais peuvent devenir agressives grùce à leur morsure toxique et mortelle. La légende des Nagas provient de l'Inde .
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Le rebeu marié
Histoire vraie Suis pas un Ă©crivain mais quelques mots suite Ă une annonce cul passĂ©s le 16 juin 2010. Un avis aux lecteurs, Ce qui suit est vrai, Ce n'est pas un rĂ©cit fantasmïżœïżœ. Aimant pomper Ă fond j'ai eu 6 appels  dont 3 se sont concrĂ©tisĂ©s. Le premier mec le lendemain du passage de l'annonce :Â
-Allo , tu suces?Â
- bonjour, je rĂ©ponds, ouais j'aime ça.Â
-Et t'avales ?Â
-oui c'est mon trucÂ
-Mais je me fais que sucer je fais rien, moi.
-c'est OK pour moi.
-T'es oĂč?
Je lui dis oĂč je suis (je donne jamais l'adresse mais rencart Ă 200 mĂštres pour voir si tout est clair). Je lui prĂ©cise tout ça et il me rĂ©ponds :Â
-quand ?Â
-quand tu veux je fais .Â
Il est un peu sur la dĂ©fensive aussi je lui dis :Â
-moi c'est Phil et toi?Â
-Moi c'est A......, J'suis algĂ©rien, je peux ĂȘtre lĂ -bas dans une heure, tu poses pas un lapin, j'ai vraiment envie! Â
Bref je lui dis comment je suis , que j'attends Ă tel endroit, il me dit qu'il a un tee-shirt rouge et qu'il Ă 43 ans etc...Une heure plus tard , je vois un mec avec un tee-shirt rouge et jeans qui approche , hĂ©site...  Pour le mettre Ă l'aise je fais quelques pas vers lui :Â
-Salut , Moi c'est Phil. Salut , on va oĂč ?Â
-Suis moi si t'es OK.Â
-Je te suis.Â
On monte. Il est plutĂŽt pas mal, mince ,petit. Un beau visage et un petit ventre. Je le prĂ©cĂšde, J'ouvre la porte et m'efface pour le faire rentrer, je le suis et lĂ il Ă dĂ©jĂ la queue Ă l'air.Â
-Ben t'es un rapide, je fais .Â
Et lĂ la timiditĂ© fout le camp. J'suis lĂ pour ça qu'il fait, Ben oui! Que je suis bĂȘte!  Et me voilĂ Ă genoux. Je la prends en main, Il a une bite de taille normale mais Ă©paisse et surtout dure comme une tige d'acier, Son gland est superbe. Ma langue s'attarde dĂ©licatement sur ce gland magnifique et il commence tout de suite Ă gĂ©mir: J'entends : Â
-"suce bien Ă fond"Â
et il me fourre sa queue bien profond. Je m'applique.J'ai le nez dans les boutons du jeans, il a toujours la queue qui sort de la braguette.Â
-Mets-toi Ă l'aiseÂ
je fais et je retourne au boulot, il ouvre sa ceinture et fait tomber le fĂ»t et le calbut. Le poil est taillĂ© court et je dĂ©couvre ses couilles bien pendantes et trĂšs sombres de couleur.Je le reprends en bouche cette fois en lui caressant les burnes . Il aime, il le dit avec beaucoup de mots et de gĂ©missement . Il a les cuisses poilues . Je descends sur ses boules mais il me reprend la tĂȘte et la remet oĂč elle Ă©tait.Â
-T'arrĂȘtes pas !Â
Cette fois il me tiens bien la tĂȘte Ă deux mainsÂ
-continues, c'est bon , Oh P......"
Je l'ai pas senti venir, Il jouit Ă longs jets en fond de gorge en me maintenant la tĂȘte. J'aime sentir les spasmes d'une queue qui se vide. Son foutre est agrĂ©able au goĂ»t, et je ne sais pas depuis quand il ne s'est pas vidĂ© mais il n'est pas avare le bougre . En quelques minute je l'ai assĂ©chĂ© (que je crois). Je prends un pied gĂ©nial , j'avale en prenant mon temps et il a la bontĂ© de me laisser sa bite en bouche alors que tant d'autres se retirent de suite. Je rĂ©cupĂšre les derniĂšres perles de nectar et lui rends une queue toute nette mais plus molle. Il remonte le jeans en oubliant le calbute , ça nous fait marrer. Il me dit Â
-C'Ă©tait bon , j'Ă©tais chaud, t'as aimĂ©?Â
je ne peux que rĂ©pondre par l'affirmative. Il s'assoit sur le canapĂ© et me demande un verre d'eau :Â
-J'ai de la biĂšre si tu veux?Â
-Oui je veux bien. Donc bibine pour deux! Â
Il me demande si je fais ça souvent, je lui rĂ©ponds que je fais le plus souvent possible parce que j'aime ça. Il me dit :Â
-tu sais, j'suis pas PD , j'suis mariĂ©.Â
A mon tour de poser une petite question :Â
-Et toi, tu te fais souvent pomper ?Â
-J'aimerais bien qu'il fait mais c'est difficile de trouver un mec qui pose pas de lapin et j'aime les mecs qui avalent.Â
Un point pour moi. La parlotte tourne court et on boit nos biĂšres en silence pendant quelques instant. Les biĂšres sont bues, il me demande s'il peut aller pisser. Je lui indique la porte et il va faire son affaire, je l'entends pisser, il pisse dru.........ça fait quelques instant qu'il ne pisse plus mais toujours pas de bonhomme. Il sort enfin, et lĂ surprise, le jeans dĂ©braguettĂ©, il a la queue Ă la main et se caresse le gland de l'autre et me dit d'une maniĂšre qu'on ne saurait refuserÂ
-tu veux bien me sucer encore ? Si t'as le temps ?Â
-Eh bien , dis-je, t'as pas jouit depuis quand?Â
-Je me suis branlĂ© ce matin.Â
Je baisse son pantalon sur les chevilles, le pousse gentiment sur le canapĂ© et m'agenouille entre ses cuisses. Sa bite est encore en semis repos et c'est une douceur exquise que de sentir un mec bander entre mes lĂšvres. Il est abandonnĂ© sur le canapĂ©, tout dĂ©tendu, il respire lentement, et soudain je sens couler sur ma langue un petit jet d'urine, juste un filet. Il ne s'en rend mĂȘme pas compte, du moins , je crois. Tout se passe cette seconde fois beaucoup plus sensuellement du moins au dĂ©but. Un petit quart d'heure plus tard, il fait sauter les godasses, le bĂ©nard et le calbute, il a gardĂ© le tee-shirt, me fait m'allonger carrĂ©ment sur le sol et se place au-dessus de ma bouche. Maintenant je ne pompe presque plus , mais il me lime avec force et douceur, il va loin et il parle beaucoup ce que j'aime bien :Â
-Oui, ouvres, ouvres bien, Oh, putain , je sens que ça vient, ouvres, je veux te voir avaler !
Je commence Ă avoir la mĂąchoire un peu raide. Je ne vois que son ventre, tout le haut de son corps est Ă l'arriĂšre de ma tĂȘte. Ses bras tendus prennent appui sur le carrelage, j'ai mes mains sur ses cuisses.Â
-ouvre !! ( cette fois il me gueule dessus)Â
-t'aimes ça , hein ?Â
Maintenant, il me baise la gueule Ă grand coup de reins. Je commence Ă couiner. Toujours impeccablement habillĂ©, je bande comme un malade, je commence Ă me caresser d'une main, mais il m'en empĂȘche en disant:Â
-t'occupes!Â
Ses coups de reins ralentissent de temps Ă autre, il se retire presque pour repartir Ă la charge. Il est bavard et cela me pousse Ă ĂȘtre encore plus Ă sa disposition. Ses couilles me battent le menton. Il se lĂąche vraiment. Sa bite est Ă©paisse, et j'ai du mal Ă tenir l'ouverture
-Ouvres bien, comme ça, oui, laisse moi faire , là , bien salope! Tu vas voir, j'vais t'faire jouir de la bouche
Ca y est le mot salope est lĂąchĂ©, du coup mes mains attrapent ses fesses qu'il a lisses, alors que les cuisses sont trĂšs velues, pour mieux le sentir en moi. Je couine de plus en plus.Â
-Ouais, prends ton pied salope, tu veux du foutre, j'en ai plein, MAIS OUVRES CONNARD! Ouais, putain, c'est bon! oh! putain Â
Il ralentit un peu la cadence. Ses coups de bites m'emportent quelque part, loin, loin. Il sent que je suis complĂštement parti (de l'expĂ©rience, c'est sĂ»r). J'essaie de me caresser mais il m'en empĂȘche Ă nouveauÂ
-T'ESÂ PAS LA POUR CA! Contentes-toi d'ouvrir ta p'tite gueule de salope! J'vais me branler en pensant Ă toi ce soir
Comme il a ralentit le mouvement, j'en profite pour refaire le plein de salive et commence Ă pomper bruyamment. Je le sens se raidir un instantÂ
-Ouais , ça monte, tire bien, Oh! putain, j'vais bientÎt cracher, mais j'veux te voir avaler le jus, fais gaffe, garde-le dans ta bouche, t'as compris ?
- MMMmmmhmhm
-Compris?
-MMmmmhmh !
Son va-et-vient est trÚs lent maintenant mais toujours profond.
-Prends-moi les boules, ouais, putain, ça vient , continues, tu vas voir le cadeau. C'a y est, ouvre bien ma p'tite pute que j'te crache dans la gueule comme t'aime !
Tout mouvement arrĂȘtĂ©, un premier jet abondant et puissant rebondit sur mon palais pour glisser sur ma langue, suivit d'un second. Il y en aura trois autres. Il jouit vraiment d'une maniĂšre puissante en poussant des Oh! putains! Ă chaque lĂącher de foutre. J'essaies de tout garder en bouche et j'y parviens.
-Continues, aspires bien, j'en ai encore dans la bite
Cette phrase me fait jouir et je lĂąche tout dans les fringues sans mĂȘme me toucher, c'est rare mais ça arrive. Je m'empresse de tĂ©ter bien que cela ne soit pas aisĂ© avec tout ce que j'essaies de garder. Il se retire doucement , se redresse et son regard vient se poser sur moi.Â
-T'es vraiment une salope, ouvre et montre moi comment je t'ai enfoutrĂ©, oui, pas mal ... Avale maintenant! Je me redresse et reprends mes esprits pendant qu'il va pisser. Il revient un instant aprĂšs en me disant :Â
-'t'en ai gardé un peu, j'crois tu aimes aussi
Devant mon air étonné, il réplique "allez ouvre", et m'a envoyé deux bonnes rasades de pisse. Depuis ce 17 juin , il revient une à deux fois par semaine pour se vider. Pas plus de cinq à sept minutes . Il arrive , je pompe , il se vide, va pisser un peu et m'offre le reste. La vie est parfois simple.
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Lâhemorragie, hello. De rien, pour tout. D rien.
Comment ferais-je maman, il y a le tournage. Entre tout doucement et allez dans ta chambre.
DâoĂč faut-il partir pour nâarriver nulle part. Je me lĂšverais toujours quand tu enlĂšveras tes lentilles pour Ă©crire. Je rĂ©citerais des lettres pour retrouver mes mots. Je glisserais dans ma derniĂšre peau avant la peau, pour Ă©crire.
Câest un enfant sans ventre. Faire les enfants sans ventre. Pas du tout sans ventre.
Moi je répondrais à toutes tes questions Et celles qui sont autres Nous les chercherons ensemble, Couturier des rondeurs.
Je vais vous conter lâhistoire du courtier, insomniaque. Câest fait. Mimosa qui sort sur lâavenue. Ce nâest pas la premiĂšre fois que vous entendez parler ?
Au repos connaĂźtre ta nuditĂ© Comparer les dĂ©cĂšs Sexe mĂąle, femelle Mal dâelfe, elfe gĂšle.
Pceaos En souffrir tous les jours Se glisse dans les os Projection au bain ta statue Chaussure bois long, je marche Adolphe de plaies, de palais ?
Ădition carte grain de beautĂ©, statue __ allonger, impossible Ă prononcer Un recueil sans titre. Chanson Ătre amant, câest dire ce que tu aimes
Faire la poches trois : tu as mon briquet, je lâavais posĂ©, je te faisais les poches pour prendre le briquet du cĂŽtĂ© de la table oĂč jâĂ©tais, tu me lâavais demandĂ©, il a pris mon briquet, qui Ă©tait le tien, que jâavais pris, jâai demandĂ© de me le rendre jâavais vu sa couleur, câĂ©tait son ami qui lâavait dans sa poche, et Ă couleur Ă©gale.
On sait rien amour (Avant la mer, quand Dieu nâĂ©tait amour) Tu me dĂ©testeras Leur amour ils savent Je reste et tâaime tout Et aime tout Le leur Comment Ă©tait mon sommeil aprĂšs lâivresse Tu as mangĂ©, oui et non, je dĂ©teste et aime Je te souhaite dâĂȘtre malade demain Car tu as dis non Prends ton menton et embrasse-la, comme elle Bois comme elle Prends ton menton comme elle.
Retourne-toi et la lumiĂšre Fatigue dans tes bras Je dois choisir oĂč arriver Et avec toi Peut-on ĂȘtre effrayant sans ĂȘtre mystĂ©rieux Ăcrabouiller Dans la poche la rose secouĂ©e sans Ă©pines. Jâai vu la fenĂȘtre Mais nous nâavions rien oubliĂ© Moi je mâen fous parce que jâai peur tout le temps Je perds tout le temps Et je viens, alors que lentement le temps pouvait se prendre, Dormir avec toi, Ă ces mots OĂč monte la statue peuplĂ©e.
Je dois me souvenir de tout. Je dois me souvenir du fait de me souvenir.
Quand tu perds la sensibilitĂ©, tu as gagnĂ©, lâongle du voleur. Je suis nĂ© rage Appuyer doigt Statue sâapproche du point lĂšvres, en hauteur Proche De la Rage famille.
Haine contre ceux dont tu tiens la main ColĂšre Doigt ongle appuyer NĂ© en rage Pas de colĂšre Ă cĂŽtĂ©. Peur de toi Ou de lâautre Peur ou peine ? Peur de ce que provoque ma colĂšre Et sâil mâabat, merci Pas dâespace pour respirer Je dĂ©teste
Doigt bĂ©bĂ© je me sers. Toi le doigt du doigt de la main Tu me dĂ©maquilles dans le noir et tu me demandes si câest bon PremiĂšre fois que le garçon Et devient aveugle
Trouve papier pour noter ton doigt sur le mien Je sais aussi perdre le dĂ©maquillage Les difficiles sont les meilleurs Pourquoi serrer le doigt Je suis une vieille prostituĂ©e Moi aussi mais je suis jeune Coin de lâĆil Ils montent sur la statue Meurent Jâallais avoir froid.
Eau, chaude visage JâĂ©cris mon nom Tu portes dĂ©jĂ lâhabit du prisonnier Les ongles Tous les enfants chantes bien, ont bien chantĂ© La fille Ă Ćil Ă©tourdissait. Ćil dans fille Tu as enlevĂ© son habit.
Lâhabit Non, tu nâaimeras pas ça, le sperme, le boire, tu ne veux mâavaler, tu ne sais pas ce qui puis se faire, tu ne veux avaler ta salive. Tu embrasse bien Tu ne sais pas si tu aimes. Les enfants chantent tous bien, pour cela nous fouillons les poches des voleurs.
Le canard, radentĂšfle, le canard, hippygrume. On est mieux dâoublier Quand froid, tremble, vois Douceur de ta peau quand tu me caresses. Dire pour entendre dire Pour lâavoir dis Pour ralentir, pour la phrase Et dans le bouillon de mon sexe, ta salive.
Jâai froid Parti voleur comme annoncĂ© Devant la statue Droite Que jâallongerais si je pouvais Rire devant la beautĂ© Que jâĂ©coute Que je nâai pas envie dâavoir ton enfant long et pĂąle !
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Les gùteries dentaires et les produits à mùcher pour chiens, Ce que vous devez savoir sur la santé buccodentaire de votre chien
https://www.petohaku.com/les-gateries-dentaires-et-les-produits-a-macher-pour-chiens-ce-que-vous-devez-savoir-sur-la-sante-buccodentaire-de-votre-chien/Â
Lâune des maladies les plus importantes et les plus Ă©vitables auxquelles votre chien (ou animal domestique) sera sans aucun doute confrontĂ© au cours de sa vie est la maladie dentaire. La maladie parodontale est la maladie infectieuse la plus courante chez les chiens adultes. Saviez-vous quâil affecte plus de 87 % des chiens de plus de trois ans ? Ăa fait beaucoup de chiens, vivant avec une maladie Ă©vitable !
La vĂ©ritĂ© est que lâhygiĂšne bucco-dentaire et les soins des dents et de la bouche de votre chien sont tout aussi importants que votre hygiĂšne bucco-dentaire et les soins des dents et de la bouche ! Non seulement une bonne hygiĂšne bucco-dentaire jouera un rĂŽle majeur dans le rafraĂźchissement de lâhaleine, mais elle donnera Ă votre animal des dents plus saines et rĂ©duira la plaque et le tartre.
Pourriez-vous imaginer Ă quoi ressembleraient vos dents si vous ne vous brossiez les dents quâune fois par mois, une fois toutes les 6 semaines, ou peut-ĂȘtre jamais du tout ?
Jâentends souvent des propriĂ©taires dâanimaux me dire que le toiletteur brosse les dents de leur animal toutes les 6 semaines environ lorsquâils les emmĂšnent chez le coiffeur ou pour un bain. Mais, laissez-moi vous dire que se soucier uniquement de lâhaleine de votre chien ou de lâhaleine de votre animal et de son hygiĂšne buccale toutes les 6 semaines nâest pas suffisant pour que ses dents, sa bouche et tout son corps restent sains.
Vous voyez, Ă peu prĂšs immĂ©diatement aprĂšs que votre chien a mangĂ© sa nourriture pour chien ou mĂȘme une gĂąterie, les bactĂ©ries se combinent avec la salive, la nourriture et dâautres substances (qui Ă©taient dĂ©jĂ dans sa bouche) pour former un film adhĂ©sif ou visqueux ; aussi appelĂ© plaque. Cette plaque repose ensuite sur ses dents et ses gencives. Il est intĂ©ressant de noter que les chiens ont une bouche plus alcaline ou acide que ses homologues humains, ce qui favorise la formation de plaques. Si cette plaque nâest pas brossĂ©e ou traitĂ©e Ă lâaide de gĂąteries dentaires pour chiens ou de produits Ă mĂącher pour chiens, elle forme un dĂ©pĂŽt calcifiĂ© dur appelĂ© tartre ou tartre dentaire.
La plaque dentaire qui conduit au tartre et au tartre dentaire peut causer de graves infections et des maladies des gencives.
Pourquoi ?
Une fois que la plaque commence Ă se former, Ă long terme, le corps de votre chien (ou le vĂŽtre si on parle de maladie parodontale humaine) envoie des globules blancs pour dĂ©fendre ou attaquer les matiĂšres Ă©trangĂšres quâil ne reconnaĂźt pas. En raison de la bactĂ©rie qui se trouve dans la plaque collante, les globules blancs libĂšrent des enzymes qui, Ă leur tour, dĂ©composent mĂȘme les tissus sains des gencives.
Cette bactĂ©rie et lâajout de globules blancs peuvent entraĂźner de graves infections qui peuvent mĂȘme affecter le cĆur, les reins et le foie de votre chien.
Cette dĂ©gradation et cette infection entraĂźnent la destruction de tissus sains et infectĂ©s, lâinflammation des gencives et la perte osseuse. Les infections peuvent dĂ©gĂ©nĂ©rer rapidement et provoquer un gonflement autour de la mĂąchoire et mĂȘme sous lâorbite de lâĆil, causant une douleur intense dans et autour du nerf oculaire et autour des tissus environnants. Cela conduit souvent au refus de manger et Ă la lĂ©thargie. Lâenflure peut mĂȘme atteindre le point oĂč elle se rompt et suinte soit Ă lâextĂ©rieur du visage et des yeux, soit Ă lâintĂ©rieur de la bouche. Le conseil de santĂ© bucco-dentaire vĂ©tĂ©rinaire peut Ă©galement fournir plus dâinformations pour les propriĂ©taires dâanimaux de compagnie qui veulent rester dans le « savoir ». Le conseil de santĂ© bucco-dentaire vĂ©tĂ©rinaire a beaucoup dâinformations intĂ©ressantes.
Ă ce stade, un nettoyage dentaire canin et lâextraction des dents est nĂ©cessaire pour soulager la douleur et la promotion dâhabitudes alimentaires saines et rĂ©guliĂšres pour rĂ©Ă©mergence.
Les nettoyages dentaires efficaces nĂ©cessitent une anesthĂ©sie et souvent des radiographies dentaires. Ceux-ci aideront votre vĂ©tĂ©rinaire Ă localiser les problĂšmes et Ă nettoyer sous la ligne gingivale. Le nettoyage dentaire canin Ă©veillĂ© (dentiers sans sĂ©dation ni anesthĂ©sie ; souvent offert par des non vĂ©tĂ©rinaires) nâest pas sĂ©curitaire et peut ĂȘtre dangereux si votre chien avale, respire ou ingĂšre beaucoup de pĂąte ou dâeau. Votre vĂ©tĂ©rinaire se fera un plaisir de vous parler des risques et des avantages pour votre chien.
Saviez-vous que la maladie dentaire canine peut mĂȘme entraĂźner un changement de comportement et augmenter les risques de morsures et dâagression ? Lorsque nous ou votre ami Ă fourrure souffrons, cela entraĂźne souvent un changement de comportement qui peut entraĂźner une fusĂ©e plus courte et plus de signes dâagressivitĂ©.
Signes courants de maladie dentaire
Mauvaise haleine
Accumulation de dépÎts jaunes sur les dents par les gencives
Gonflement ou saignement des gencives rouges
Le sang dans lâeau potable
Pawing at face
TimiditĂ© de la tĂȘte ou envie de ne pas ĂȘtre touchĂ© Ă la tĂȘte ou au museau
Difficulté à manger et douleur évidente lors de la mastication
Salivation accrue (parfois Ă©coulement sanguinolent)
Ăternuements ou Ă©coulement nasal (parfois sanguinolent) parce quâune maladie avancĂ©e des gencives peut dĂ©truire lâos entre la cavitĂ© nasale et la cavitĂ© buccale.
La bonne nouvelle ?
Les maladies dentaires avancées sont presque entiÚrement évitables et évitables !
Une Ă©tude vĂ©tĂ©rinaire rĂ©alisĂ©e sur 53 Labrador Retrievers a permis de dĂ©couvrir des informations trĂšs intĂ©ressantes ! Essentiellement lâĂąge, la race, le rĂ©gime alimentaire et les nettoyages dentaires vĂ©tĂ©rinaires non rĂ©guliers des chiens ont largement contribuĂ© Ă la parodontite et aux effets durables ainsi quâĂ la perte des dents. Il a Ă©galement indiquĂ© que certaines zones Ă©taient difficiles Ă Ă©valuer par les propriĂ©taires de chiens et a recommandĂ© une Ă©valuation rĂ©guliĂšre par un vĂ©tĂ©rinaire qualifiĂ© (qui peut parfois inclure la sĂ©dation).
Que pouvez-vous faire ?
Le brossage quotidien des dents de votre animal de compagnie est la meilleure solution ! La plupart des gens se brossent les dents deux fois par jour !
Donnez-lui de la nourriture nutritive dure (aussi connue sous le nom de nourriture sĂšche). Certains rĂ©gimes vĂ©tĂ©rinaires ou aliments pour chiens sont mĂȘme formulĂ©s pour aider Ă brosser les dents de votre animal et prĂ©venir la plaque et la carie.
GĂąteries dentaires pour chiens
Les produits Ă mĂącher pour les soins dentaires ou bucco-dentaires du chien
Rinçages buccaux
Additifs pour lâeau
Gels
Examens dentaires annuels et parfois semestriels (surtout pour les chiens plus ùgés à risque) avec votre vétérinaire.
Non seulement ces choses aideront votre animal de compagnie Ă avoir une bonne santĂ© buccodentaire et Ă rĂ©duire les bactĂ©ries, mais elles aideront aussi Ă garder son cĆur, ses reins et son foie forts tout en lui procurant une haleine fraĂźche. Cette rĂ©duction des infections et des maladies peut contribuer Ă la longĂ©vitĂ© de votre animal et lâaider Ă vivre une vie plus longue et plus heureuse.
Habituez votre chiot ou chaton Ă un rĂ©gime de brossage et Ă ces produits dĂšs le plus jeune Ăąge ; cela Ă©vitera une lutte avec un animal adulte ou adulte et conditionnez-le Ă ce que ces habitudes soient heureuses et fassent partie intĂ©grante dâune vie saine ! Rappelez-vous que les chiens apprennent mieux et sâacclimatent mieux lorsquâils sont chiots.
Pour ma part, je ferais nâimporte quoi pour amĂ©liorer la qualitĂ© de vie de mon chien et lui donner plus de jours, semaines, mois ou mĂȘme annĂ©es Ă passer avec moi. AprĂšs tout, nos animaux de compagnie ne vivent pas assez longtemps.
Nourriture pour chiens spécialement formulée pour les soins dentaires
La plupart des aliments pour chiens ou pour animaux de compagnie Ă formule dentaire sont vendus sur ordonnance ou dans votre cabinet vĂ©tĂ©rinaire, mais ils ont tendance Ă ĂȘtre lĂ©gĂšrement plus efficaces. En cas de doute, ne serait-ce quâune poignĂ©e dâun rĂ©gime sur ordonnance comme le DT de Science Diet vous aidera Ă prĂ©server la santĂ© buccodentaire de votre animal.
Juste un mot. Ăvitez les rĂ©gimes sans grains ! Il a Ă©tĂ© prouvĂ© que les rĂ©gimes sans grains causent des problĂšmes cardiaques majeurs chez les chiens que le monde vĂ©tĂ©rinaire vient de dĂ©couvrir. Les rĂ©gimes sans grains ne sont pas recommandĂ©s et ne sont pas sĂ©curitaires. Restez avec les grandes compagnies et marques dâaliments pour chiens et Ă©vitez les promesses de petites rĂ©clamations.
Bon nombre de ces gĂąteries dentaires pour chiens comprennent des vitamines et des minĂ©raux qui non seulement aident Ă rafraĂźchir lâhaleine, mais qui sont Ă©galement essentiels au dĂ©veloppement de votre animal de compagnie. Beaucoup de ces vitamines, nutriments et minĂ©raux peuvent ne pas se trouver Ă lâĂ©tat naturel.
La chlorhexidine est lâun des autres ingrĂ©dients contenus dans les produits Ă mĂącher pour chiens. Cet ingrĂ©dient peut ĂȘtre ingĂ©rĂ© sans danger en petites doses et aide Ă combattre les bactĂ©ries qui peuvent se loger dans la bouche de votre meilleur ami. Cet ingrĂ©dient aide Ă©galement Ă rafraĂźchir lâhaleine et Ă empĂȘcher la plaque dâadhĂ©rer et de former du tartre.
Les enzymes sont un autre ingrĂ©dient qui aide Ă dĂ©composer la plaque et le tartre qui commencent Ă se former. Tout comme les nettoyants enzymatiques aident Ă dĂ©composer lâurine des animaux de compagnie, les enzymes contenues dans les gĂąteries pour chiens, les produits Ă mĂącher, les additifs pour lâeau, les gels et le dentifrice peuvent aider Ă Ă©liminer la plaque et le tartre.
Le simple fait de mĂącher quelque chose pendant une longue pĂ©riode de temps sera utile, comme des bĂątons dâintimidation. Les chiens adorent les bĂątons dâintimidation. MĂącher aide Ă rĂ©duire le tartre, mais si vous voulez en avoir pour votre argent, recherchez les ingrĂ©dients que chaque produit offre.
DiffĂ©rents ingrĂ©dients fournissent un niveau diffĂ©rent de soins pour traiter et rĂ©duire le tartre et traiter lâhaleine de chien. Personne nâaime lâhaleine de chien. Et, tous les bons produits vous fourniront une liste dâingrĂ©dients. Les ingrĂ©dients peuvent Ă©galement ĂȘtre recherchĂ©s en ligne.
Habituez votre chien au meilleurÂ
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Hommage aux fellations R&C
Pour entamer la deuxiĂšme moitiĂ© de lâannĂ©e, jây vais non pas dâune claque, mais dâune caresse. Une caresse des plus douces,  qui ne saurait ĂȘtre transcendĂ©e que par les dĂ©lices ardents de la fellation. En effet, et je mâadresse principalement Ă la gente fĂ©minine, puisque les hommes, que vous ayez dĂ©jĂ donnĂ© ou non une fellation, vous savez ce que câest que dâen recevoir. Si vous ĂȘtes du genre Ă donner des fellations, câest aussi un hommage pour vous, messieurs gais, qui me comprenez assurĂ©ment Ă ce sujet. Mesdames, ce pĂ©nis qui est nĂŽtre a de multiples fonctions pour nous, vous le savez bien. Parfois un fidĂšle alliĂ©, parfois un traitre Ă©goĂŻste, il nous en fait vivre de toutes les couleurs. Il est la source de quelques conflits, mais surtout de grands bonheurs. Mais il y a un de ces moments, mesdames, oĂč ce bonheur devient extase, et câest lors dâune bonne fellation. Quand vos lĂšvres humectĂ©es se dĂ©posent doucement sur notre peau, que lâhumiditĂ© de votre langue parcourt la rondeur de notre gland, tandis quâune dĂ©licate main baladeuse nous masse le manche⊠Quand votre bouche sâouvre et que votre tĂȘte sâavance, rĂ©duisant sublimement lâĂ©cart entre votre menton et notre scrotum⊠Quand vous reculez et quâon se dit « oh non » pour tout de suite se rĂ©conforter par un doux « oh oui » alors que vous activez ce va-et-vient langoureux⊠Quand on entend ce lĂ©ger bruit de succion qui tĂ©moigne de lâĂ©nergie que vous y mettez, et de lâenthousiasme que vous manifestez, qui nous allume encore plus en joignant la sensibilitĂ© du toucher Ă la rĂ©ceptivitĂ© auditive⊠Quand vous replacez ces fins cheveux qui obstruent la voix du bonheur dâun sensuel mouvement de tĂȘte sec sur le cĂŽtĂ©, ramenant ainsi ces jolies mĂšches qui cachaient vos encore plus jolis yeux vers lâarriĂšre⊠Quand on peut croiser votre regard, un bref instant, et ajouter lâenchantement visuel Ă ce dĂ©lire dĂ©jĂ multisensoriel⊠Quand on dĂ©cĂšle ne serait-ce quâun lĂ©ger trait de sourire en coin sur cette bouche gĂ©nĂ©reuse et que lâon vous devine coquine et joueuse⊠Quand votre autre main vient nous caresser les testicules, consciemment prudente devant la fragilitĂ© aigĂŒe de notre gĂ©nĂ©ratrice Ă enfants⊠Quand vous prenez une courte pause pour descendre votre langue le long de notre manche, puis remontez dans un savoureux Ă©lan de fraicheur rapidement rĂ©tabli par votre confort buccal si chaleureuxâŠ
Le ton de cette chronique dĂ©tonne des autres. ConsidĂ©rant quâil ne sâagit pas de critiquer, je ne trouve pas grand chose Ă commenter.
Et vous pourriez vous en tenir à ça, mais non. Votre splendeur dĂ©vouĂ©e vous donne parfois une Ă©nergie sexuelle dâune intensitĂ© remarquablement bandante. Câest soudainement Ă grands Ă©lans masturbatoires que votre main se fait aller, avec une ferme emprise qui vivifie notre circulation sanguine⊠Votre tĂȘte monte et descend dans une frĂ©nĂ©sie spectaculaire qui nous fait rouler les yeux vers le haut tellement ça nous fait du bien. Votre autre main dĂ©laisse un peu nos testicules pour aller empoigner le haut de notre cuisse oĂč se plantent un brin vos ongles, et lĂ oĂč normalement on aurait le rĂ©flexe de se rĂ©tracter avec un son de douleur, on est plutĂŽt en train dâen redemander avec un grognement apprĂ©ciateur. Les bruits de succion sâintensifient, on vous sent complĂštement possĂ©dĂ©es par une force sexuelle magique, et notre corps est envahi dâun frisson grandissant qui se concentre directement sur notre sexe, en plus de crĂ©er un torrent de plaisir dans une communion paradisiaque entre votre bouche et notre gland⊠Et lĂ , vient le moment fatidique. Tâavales-tu ou tâavales pas? Oh, là ça se corse. Bon, une autre affaire⊠Si tâavales, yâen a pas de problĂšme, le bonheur se poursuit, et tout le monde est heureux. Surtout nous, on le sait. Tâes bin fine, on apprĂ©cie. Pour vrai. Compliment douteux. On aime sincĂšrement ça, mais âtâes bin fineâ, câest pas le meilleur compliment. Si tâavales pas, peut-ĂȘtre que tu vas faire la moitiĂ© du chemin, câest-Ă -dire recevoir la livraison Ă lâinterne, mais aller la cracher dans le lavabo le plus proche, en espĂ©rant quâil y en ait un. Ou sinon, tu vas avaler mais en faisant la mĂȘme grimace que si tâavais renifler lâanus dâun buffle. TsĂ©, on apprĂ©cie full lâeffort, câest sĂ»r, parce que Ă©jaculer dans une bouche, câest vraiment agrĂ©able, la sensation est gĂ©niale. Mais on se sent toujours un peu mal, parce quâon sait quâau fond, ça te tentait pas vraiment, pis ça câest plate. Nuance importante: on ne se sent pas mal si on sait que ça te tentait. On se sent mal si ça tâĂ©coeure et que tu fais quelque chose que tu ne veux pas faire. Dans lâimmĂ©diat et la spontanĂ©itĂ© du moment, câest pas toujours Ă©vident de faire un tri Ă©clairĂ© et/ou deviner des intentions qui ne sont pas toujours discutĂ©es au prĂ©alable. Une troisiĂšme option, câest que tâavales pas du tout. Si tu lâas dit avant, câpas pire, on peut se prĂ©parer Ă lâĂ©ventualitĂ©, sâenligner dans une autre direction et Ă©viter des dĂ©ceptions. On est mentalement prĂȘt. Par dĂ©ception, lire ici: quand ça revole lĂ oĂč câest difficile Ă nettoyer. Lâautre option, la plus dommage, câest quâon le savait pas dâavance, ou quâon a une « Ă©jaculation surprise » pis lĂ tu reçois ça en pleine bouche mais ça te surprend trĂšs dĂ©sagrĂ©ablement et tu recraches immĂ©diatement. Pas lâfun pour personne. Si ça nous revient sur le ventre, câpas pire, deux-trois kleenex pis câest fini. Mais si ça va sur les draps, le plancher, le divan, lâordi ou autre, un amas de sperme et de salive, ça ajoute un petit quelque chose de dĂ©motivant Ă nettoyer.
La notion dâĂ©jaculation surprise serait Ă dĂ©finir plus clairement. Suite Ă des discussions entre ami(e)s, parfois, câest pas lâĂ©jaculation qui est surprenante: câest la quantitĂ© de sperme. Clairement, ça surprend si au lieu de recevoir une cuillerĂ©e tu te prends une chaudiĂšre. Mais tsĂ©, au final, la seule bonne option, câest celle qui te tente. Ouin mais vous insistez tout lâtemps pour quâon avale! Bin câest sĂ»r, c'est ça qui est le plus agrĂ©able. Si jâai le choix entre aller voir le CH au centre Bell, magasiner chez American Apparel ou aller souper avec toi et tes chums de filles, fais pas ta surprise si la boutique pis le repas sont pas ma prioritĂ©. Ba-dum tss. -CD
La seule bonne option est celle qui te tente. La fellation, câest dĂ©jĂ plaisant, quâimporte comment ça finit. La conclusion, câest du glaçage sur la gĂąterie. Si tâas envie dâen mettre, ça ajoute au dessert, mais sinon, ça demeure un bon dessert! Mâas te prendre une note: A-
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