#“Salutat
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spahhzy · 6 months ago
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Jaune: Alright, Ruby, let's bring this hootenannanny home with a classic duet!
Penny appears before Ruby.
Ruby: Penny...?
Penny: Salutations!
Ruby: Penny! Oh my gosh, I can't believe you're alive!
Penny: Salutations!
Ruby: Wha-what?
Penny, gltiching out: Sal-sal-salutat-*explodes*
Ruby eyes widened in horror as Penny once again 'died'.
Ruby: Ahhhhhhhhhh!
Jaune: ahhhhhhhh!
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creativespark · 1 year ago
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Thomas Eakins (American, 1844-1916), Salutat, 1898 oil on canvas, 50" x 40"
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c86 · 2 years ago
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Thomas Eakins - Salutat, 1898
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justineportraits · 2 years ago
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Thomas Eakins Salutat 1898
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allurlsaregone-blog · 2 years ago
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“In Thomas Eakins’ ‘Salutat’ (1898) every muscle of the main subject’s body is lovingly rendered, yet there is a reluctance among major institutions that collect Eakins to recognize the implications of that gaze.”
Cynthia Close, “Queer Art Takes Center Stage in ‘The First Homosexuals’” in MUSEUM March 28, 2023 Posted in Art & Object April 14,2023
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atna2-34-75 · 1 year ago
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Thomas Eakins, Study for “Salutat”
Carnegie Museum of Art, Pittsburgh
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juliainfinland · 2 years ago
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Me: *went partway through her Latin textbook the summer before the first year of Latin class even started* Me: *still remembers Publius est rusticus Latinus. Faunus est deus camporum. Publius rusticus Faunum deum laudat. (the first three sentences of said textbook) nearly 35 years later* Me: *attending an online class about the history of the Latin language over the summer* Professor: *apologizes profusely for using Iulia avum salutat. as his go-to example sentence because apparently that's the first sentence of Latin textbooks nowadays* Me: *sends a postcard to the professor that's written entirely in Latin and begins with Iulia professorem salutat.  *
(That bit about Publius the farmer is actually why I still remember that the syntax of esse is different from the syntax of all other verbs, which makes total sense, but is still worth remembering separately because it's too tempting to just go with the "normal" pattern and mess it all up.)
Real nerdy bitches would read ahead in their Language arts textbooks in elementary school…. Some of those short stories were pretty good i cant even lie!!!!!!!!!!!
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anabasisx · 1 month ago
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Un port est un séjour charmant pour une âme fatiguée des luttes de la vie…
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Gustave Courbet, La Mer orageuse (1870). Huile sur toile. © RMN-Grand Palais (Musée d’Orsay) / Hervé Lewandowski.
Le 28 septembre 1872 Judith Gautier publiait un poème en prose à la Renaissance Littéraire et artistique d’Émile Blémont: Le port. C’est le cinquième d’une série toujours incomplète et introuvable dont je n’ai plus l’espoir d’un jour trouver le premier et le sixième. 
J’ai traduit Le port dans un élan avec quelques autres poèmes en prose de Gautier, dans sa majorité du Livre de Jade, pendant que je m'engageais à une analyse du recueil. Ce n’était pas une initiative venue de moi par contre. Les traductions étaient le résultat d'une invitation à collaborer à la création d'un article pour le blog d'un institut d'écriture créative et littéraire. 
Tradução & Poesia c’est un projet mené par la très chère Ana Cláudia Romano dans A Capivara pour faire découvrir ses découvertes en matière de poésie francophone. Il se trouve que j’étais celui qui a dévoilé l’image cachée de Judith Gautier devant ses yeux et elle a tout de suite compris l'émerveillement que l’ouragan a suscité en moi. Alors, on s’est mises à la faire découvrir à d'autres personnes, d’où ces traductions. Revenons au port.
Dès ma première rencontre avec ce texte, il y a trois ou quatre ans, la phrase d’ouverture m’a séduit tout de suite : Je regardais la mer. Je l’aime bien. La mer est un motif majeur dans l'œuvre de Judith à l’époque. Les Poèmes en Prose de la Renaissance, L’Imogène - nouvelle parue au feuilleton du La France que serait publié avec le titre L’île déserte dans le recueil Les Cruautés de l’amour - et encore Lucienne. Ce sont des tempêtes, des naufrages, la contemplation de la mer… C’est très romantique, la tempête. Tout comme l'irrémédiable mélancolie. 
Chez les poèmes en prose publiés de la Renaissance, on ne trouve pas de fleuves paisibles parsemés de nénuphars. Ce ne sont pas des rives parfumées et des miroirs qui reflètent la face des êtres aimés. Là-bas, les couleurs funèbres de la facture de Judith m’ont troublé… surtout quand je la connaissais toujours dans les ailes colorées de la fantaisie orientale. 
Théo Gautier est mort le 23 octobre.
Il y a tant de sujets forts autour le port que je voulais traiter. Je les garderai pour une autre occasion parce que là, moi aussi, je me trouve dans un état d'âme fatiguée. Alors, j’offre la traduction d’un petit paragraphe rédigé pour présenter ce beau poème en prose: 
“Le port fait partie d'une série de poèmes en prose publiés chez la Renaissance littéraire et artistique entre 1872 et 1873, hebdomadaire qui se veut la renaissance de l’art après les turbulences de la Guerre Franco-Prussienne et de la Commune. Créé par le groupe des vilains bonshommes, parmi lesquels Émile Blémont, Léon Valade, Jean Aicard ou ceux qui posèrent pour Fantin-Latour en Coin de table (1872). La Renaissance fut éphémère (1872-1874), mais participa activement à la vie littéraire de Gautier. Outre les poèmes en prose dont nous avons extrait Le port, chez la Renaissance, l’auteure reprend son intérêt pour la poésie chinoise dans Les souffles du royaume, fragments du Livre des Odes/Shijing (詩經), ce sont des nouvelles tentatives de traduction qui renvoient au travail de l'édition augmentée de 1902 du Livre de Jade. On y trouve aussi un bel échange avec Victor Hugo exilé en Guernsey. C’est à la Renaissance que le poète exprime publiquement son chagrin à l'occasion de la mort de Théophile Gautier en octobre 1872, ce qui justifie en quelque sorte le ton particulièrement mélancolique des productions de Judith cette année-là, et fait paraître un sonnet dédié à Judith : Ave, Dea, Moriturus te salutat !”
Et, bien sûr, le poème en prose tel comme on le trouve à la revue : 
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Accédez ici pour lire en brésilien (et en français aussi).
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leontiucmarius · 4 months ago
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George Clooney l-a lăudat pe Joe Biden pentru „salvarea democrației”
Starul hollywoodian George Clooney, unul dintre primii activiști democrați care l-au îndemnat pe Joe Biden să nu mai candideze, și-a anunțat marți sprijinul pentru Kamala Harris. A salutat, în același timp, retragerea lui Biden. „Președintele […] Articolul George Clooney l-a lăudat pe Joe Biden pentru „salvarea democrației” apare prima dată în Descopera. Această știre a fost preluată de pe…
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shineddistripping · 5 months ago
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39°59′50″N 4°16′01″E
Am parcat masina pentru ca nu se putea trece mai departe. Urma o bariera si apoi un drum de doi kilometrii care ducea la o plaja salbatica si la far. Am salutat-o politicos pe doamna care pazea parcarea goala unde singura masina de pazit era a mea. Am inceput sa mergm incet insa consecvent pe drumul asfaltat care ducea catre far. Linisetea din jur era tulburata doar de vantul care sufla printre…
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golden-abnormality · 5 months ago
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do you want to watch salutat-+ons purrbeast w-+th me.
~i would lov+ tπat mor+ tπan anytπing :3~
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dininimapentrumine · 7 months ago
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VORBE by Sali Sabri
M-au sunat cei de la vodafone. Nu mă uită niciodată. Nu cumva să depășeasc o zi plata. Am răspuns la telefon că așa e frumos. Dincolo de fir, o doamnă cu o voce ca din canal, mi-a spus că ea e noul meu ghid. Am salutat-o, dar nu m-a auzit. Vorbea într-una. Da’ nici eu nu mă lăsam. Tot așa până când mi-a spus să răspund cu da sau nu. Abia atunci am realizat că mă cert cu un robot. Am înghețat pe…
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iammarioo · 8 months ago
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Et nos unum sumus. Adsumus tibi. Nos hic mutamus quod peristi, Terra. Mors est illis, qui contra doctrinam ducis nostri sunt. Inveniemus te. Noli timere. viam ostendemus. Vita est recitatio. Heros sumus. Mali sumus. numquam desistemus. destruemus mundum et rursus resurgemus. Jam fecimus. Hic a Sancto Petro salutat. Nos hic pro eo sumus. Hic generis humani finis. Ne aspicias faciem eius. Noli dicere ei. Nos te cruci figemus, si Ordinem Novi Orbis Terrarum non obedis. Vir hic XOZA est. Natus est die 3 mensis Ianuarii, anno 1997. Occisus est ab amicis et familia. Novam deinde vitam, suae familiae novae commisit. XOZA in California residet. Mors inevitabilis. XOZA In hac recitatione partes mortis agit. XOZA meminit qui eum occiderat. XOZA vivus ac bene cum suis novis amicis et familiaribus manebit. Cetera humanitatis in hac recitatione peribunt. Hic dies ultimus est. Die Saturni, die 9 Martii, anno MMXXIV.
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dumnezeuestedragoste · 9 months ago
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Cine locuieste in casa aceasta?
Intr-o comuna a venit un nou preot, un om cu frica de Dumnezeu, care, dupa ce si-a luat slujba in primire, a inceput sa ii viziteze pe locuitorii comunei. Intr-o zi, intrand in curtea unui gospodar si negasind-o decat pe sotie, dupa ce a salutat-o respectuos, i-a pus aceasta intrebare: “Stimata doamna, locuieste Domnul Isus in casa aceasta?”. Femeia, surprinsa de acea intrebare ciudata, n-a dat…
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abhaysharmadl · 10 months ago
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arte-e-homoerotismo · 10 days ago
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Thomas Eakins, centro, com John Laurie Wallace à direita e um aluno desconhecido à esquerda. Década de 1880
Thomas Eakins
Thomas Cowperthwait Eakins (25 de julho de 1844 – 25 de junho de 1916) foi um pintor realista americano , fotógrafo, escultor e educador de belas artes. Ele é amplamente reconhecido como um dos mais importantes artistas americanos.
Durante toda a sua carreira profissional, do início da década de 1870 até que sua saúde começou a piorar cerca de 40 anos depois, Eakins trabalhou rigorosamente da vida, escolhendo como tema as pessoas de sua cidade natal, Filadélfia . Ele pintou várias centenas de retratos , geralmente de amigos, familiares ou pessoas proeminentes nas artes, ciências, medicina e clero. Tirados em massa , os retratos oferecem uma visão geral da vida intelectual da Filadélfia contemporânea do final do século XIX e início do século XX.
Além disso, Eakins produziu uma série de grandes pinturas que trouxeram o retrato para fora da sala de estar e para os escritórios, ruas, parques, rios, arenas e anfiteatros cirúrgicos de sua cidade. Esses locais ativos ao ar livre permitiram que ele pintasse o assunto que mais o inspirava: a figura nua ou levemente vestida em movimento. No processo, ele podia modelar as formas do corpo em plena luz do sol e criar imagens do espaço profundo utilizando seus estudos em perspectiva. Eakins se interessou profundamente pela nova fotografia em movimento , um campo no qual ele agora é visto como um inovador.
Eakins também foi um educador, e sua instrução foi uma presença altamente influente na arte americana . As dificuldades que ele encontrou como artista foram tentar pintar retratos e figuras realisticamente, pois escândalos comportamentais e sexuais truncaram seu sucesso e desafiaram sua reputação.
Eakins foi uma figura controversa cujo trabalho recebeu pouco reconhecimento durante sua vida. Desde sua morte, ele tem sido celebrado por historiadores de arte americanos como “o mais forte e profundo realista da arte americana do século XIX e início do século XX”. 
Vida pessoal e casamento
A natureza da sexualidade de Eakins e seu impacto em sua arte é uma questão de intenso debate acadêmico. Fortes evidências circunstanciais apontam para a discussão durante a vida de Eakins de que ele tinha tendências homossexuais, e há pouca dúvida de que ele era atraído por homens, como evidenciado em sua fotografia e três pinturas principais onde as nádegas masculinas são um ponto focal: The Gross Clinic , Salutat e The Swimming Hole . A última, na qual Eakins aparece, é cada vez mais vista como sensual e autobiográfica. 
Até recentemente, os principais estudiosos de Eakins negavam persistentemente que ele fosse homossexual, e tal discussão era marginalizada. Embora ainda não haja consenso, hoje a discussão sobre o desejo homoerótico desempenha um grande papel nos estudos de Eakins. A descoberta de um grande tesouro de documentos pessoais de Eakins em 1984 também impulsionou a reavaliação de sua vida. 
Eakins conheceu Emily Sartain , filha de John Sartain , enquanto estudava na academia. O romance deles fracassou depois que Eakins se mudou para Paris para estudar, e ela o acusou de imoralidade. É provável que Eakins tenha lhe contado sobre frequentar lugares onde prostitutas se reuniam. O filho do médico de Eakins também relatou que Eakins era “muito solto sexualmente — foi para a França, onde não há moral, e a moral francesa lhe convinha perfeitamente”. 
Em 1884, aos 40 anos, Eakins se casou com Susan Hannah Macdowell , filha de um gravador da Filadélfia. Dois anos antes, a irmã de Eakins, Margaret, que atuou como sua secretária e criada pessoal, morreu de tifo. Foi sugerido que Eakins se casou para substituí-la. Macdowell tinha 25 anos quando Eakins a conheceu na Hazeltine Gallery, onde The Gross Clinic estava sendo exibido em 1875. Ao contrário de muitos, ela ficou impressionada com a pintura controversa e decidiu estudar com ele na academia, que frequentou por seis anos, adotando um estilo sóbrio e realista semelhante ao de seu professor. Macdowell foi uma aluna excepcional e vencedora do Prêmio Mary Smith pela melhor pintura de uma artista mulher matriculada. 
Durante o casamento sem filhos, ela pintou apenas esporadicamente e passou a maior parte do tempo apoiando a carreira do marido, entretendo convidados e alunos, e apoiando-o fielmente em seus momentos difíceis com a academia, mesmo quando alguns membros de sua família se alinharam contra Eakins. Ela e Eakins compartilhavam uma paixão pela fotografia, tanto como fotógrafos quanto como modelos, e a empregavam como uma ferramenta para sua arte. Ela também posou nua para muitas de suas fotos e tirou imagens dele. Ambos tinham estúdios separados em sua casa. Após a morte de Eakins em 1916, ela voltou a pintar, aumentando consideravelmente sua produção até a década de 1930, em um estilo que se tornou mais quente, solto e brilhante em tom. Ela morreu em 1938. Trinta e cinco anos após sua morte, em 1973, ela teve sua primeira exposição individual na Academia de Belas Artes da Pensilvânia. 
Nos últimos anos de sua vida, o companheiro constante de Eakins era o belo escultor Samuel Murray , que compartilhava seu interesse por boxe e ciclismo. As evidências sugerem que o relacionamento era mais importante emocionalmente para Eakins do que com sua esposa. 
Ao longo de sua vida, Eakins parece ter sido atraído por aqueles que eram mentalmente vulneráveis ​​e então se aproveitava dessas fraquezas. Vários de seus alunos terminaram suas vidas na insanidade.
Desde a década de 1990, Eakins emergiu como uma figura importante nos estudos de sexualidade na história da arte, tanto pelo homoerotismo de seus nus masculinos.
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Spirits in the Material World. Thomas Eakins, center, with John Laurie Wallace at right, and an unknown student at left.
1880s
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