#église des célestins

[philoursmars]

Il y a une petite quinzaine, je suis allé avec Julien et Katie, au Louvre-Lens pour une expo temporaire : “Animaux Fantastiques”. Une très belle expo ! Ici des licornes :

monument pour Renée d'Orléans Longueville, licorne tenant ses armoiries - église des Célestins, Paris, 1515

aquamanile en laiton, licorne - Nuremberg, 1420

André Thévet - "Cosmographie Universelle'" le "camphruch", sorte de licorne amphibie censée vivre en Indonésie - Paris, 1575

dent de narval + bronze et soie - 1600

Maître S.K. - "Orphée jouant du violon devant les animaux"- 1583

Ehrard Reuwich, illustration pour le livre de Bernhard von Breydenbach - ''Pèlerinage en Terre Sainte'' - Mayence, 1502

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[lilstjarna]

Lyon

Lyon, surnommé parfois la capitale gourmande de la France, est une ville pleine de lieux uniques et de surprises. Située à la confluence du Rhône et de la Saône, son emplacement stratégique a permis son développement depuis l'Antiquité. En résulte un caractère historique fort et de multiples merveilles à découvrir.

Comment venir ?

Lyon se situe :

en train : 2h de Paris, 2h d'Annecy, 2h de Montpellier, 1h25 de Grenoble, 1h d'Avignon, 45min de Saint-Etienne

en voiture : 2h d'Annecy, 1h25 de Grenoble, 2h de Clermont-Ferrand, 50min de Saint-Etienne

en bus : 2h d'Annecy, 2h de Clermont-Ferrand, 50min de Saint-Etienne

Quand et combien de temps ?

Lyon peut se visiter grossièrement en un weekend si l'on souhaite simplement voir les principaux quartiers. Un grand week-end est à prévoir si l'on désire profiter du Parc de la Tête d'Or et des multiples musées qu'offre la ville. Le climat y est acceptable toute l'année bien que l'hiver est davantage froid et pluvieux. La meilleure saison est probablement le printemps ou l'automne afin d'éviter la foule estivale.

Que voir à Lyon ?

Des monuments et sites historiques : site antique de Fourvière, quartier du Vieux-Lyon, traboules, Palais de Justice, Place et théâtre des Célestins, Place des Jacobins, rue de la République, Palais de la Bourse, opéra, hotel de ville, place des Terreaux, fontaine Bartholdi, Mur peint des Lyonnais célèbres, les Halles, Place Bellecour, Grand Hôtel-Dieu,   Palais de la Bourse, quartier d’Ainay, quartier de la Croix-Rousse, anciens Docks, quartier de Confluence

Du patrimoine religieux : cathédrale Saint-Jean, église Saint-Nizier, basilique Notre-Dame de Fourvière, église Saint-Bonaventure, église Saint-Georges, église Sainte Blandine, église Saint Just, église Saint Paul, église du Sacré-Coeur, église Saint-Pothin, église de l'Immaculée Conception, église Saint-François, église du Saint-Sacrément, église Saint-Nom-de-Jésus

Des musées : Musée des Confluences, Musée de l’Illusion, musée Lumière, Musée des Miniatures et du Cinéma, musée des beaux-arts, musée et théâtres romains, musée d'art contemporain, musée de l'imprimerie, centre d'histoire de la résistance et de la déportation, musée des arts de la marionette, musée d'histoire de Lyon, cité internationale de la gatsronomie, maison des Canuts, musée Henri Malartre, musée Jean Couty, cité Tony Garnier, institut d'art contemporain

Des parcs et jardins : Parc de la Tête d’Or, parc de Gerland, Île Barbe, jardins du Rosaire, jardin archéologique

Que voir dans les environs ?

Des villes et villages : Annecy, Aix-les-Bains, Avignon, Pérouges, Oingt, Pont-en-Royans, Lovagny, Beaujeu, Crémieu, Saint-Antoine-l’Abbaye, Sainte-Croix-en-Jarez, Lavoûte-sur-Loire

Taluyers

Des lieux historiques : Palais Idéal du Facteur Cheval, Demeure du Chaos, Château de la Roche, Temple Pagode Thiện Minh, château de Vufflens

Des espaces naturels : parc naturel régional du Pilat, vallée du Garon, pays de l'Arbresle, Miribel, sentier de l'Homme et du Fleuve, sentier des rapaces, sentier de la clef des champs, sentier du Biézin Nature, Grottes de la Balme, grottes du Cerdon, Lac d’Aiguebelette, Cascade du Pain de Sucre, lac des sapins, lac de Nantua, lac des Eaux Bleues

crédits photos @lilstjarna

[causeries-au-lait-blog]

Gifi-génie : des idées de folie

La pièce Iphigénie de Racine, mise en scène par Chloé Dabert, et présentée au festival d'Avignon en 2018. La metteuse en scène propose une lecture contemporaine de cette pièce où il est question de faire un choix, entre le sacrifice d'une fille et la réussite d'un peuple.

Le sacrifice

Lorsque Yann Boudaud apparut sur scène, il y eut comme un sentiment d’évidence, qui n’était pas lié à Racine : 

Le jour se lève, la nuit pâlit

Les chasseurs et les chiens ont faim 

C’est l’heure de sonner l’hallali

La bête doit mourir ce matin.

Chloé Dabert, dans sa note d’intention, nous dit qu’elle a voulu travailler sur le rythme de l’alexandrin pour lui donner une nouvelle modernité : avec Agamemnon, c’est du Hallyday. Sa diction, sa posture et son entrée en scène : quelle lecture inattendue ! Les mêmes hésitations, la même moue dubitative ; on sacrifiait calmement le vers racinien, sans Laetitia et Laura et David, mais avec tout le théâtre des Célestins. Le pire dans tout çà, c’est qu’il n’a pas la même voix que Johnny.

Comme le peuple grec, j’avais des envies de meurtre. Sans doute aurais-je pu sacrifier des amis pour fuir de cette salle ? J’interrogeai le lustre suspendu au-dessus de nos têtes et comptai le nombre de morts qu’il y aurait s’il tombait maintenant. Je regardai mon siège et pensai que je serais sauf mais franchement, rien n’est dit, parce que le sang, les boyaux, çà gicle et parce que moi, je devrais sauter. Tout irait très vite, de toute façon. Enfin, sur scène les acteurs sacrifiaient tout, exceptée Iphigénie.

IKEA

Les décors étaient réalisés par l’Atelier décor de la ville d’Angers. Le parti pris de l’équipe fut de couper le plateau en deux parties bien distinctes, censées représenter la mer et la terre. Pourtant, ces horribles néons s’allumèrent assez rapidement et il s’installa une ambiance de zone industrielle ; on remarquait même des palettes laissées là pour transporter le corps tranché de Racine. la laideur s’est emparée du monde et voilà qu’elle surgissait sur la scène sans aucune cohérence : au nom de quel dieu imposer au spectateur une ambiance digne d’un “safe space” Ikéa ?

Evidemment, je n’ai rien contre Ikéa, comme tout le monde d’ailleurs, parce qu’il faut dire que c’est bien pratique, ce magasin bleu, on y trouve un tas de choses utiles : la lampe Skurup peut par exemple se déployer à des angles démesurés pour une modeste lampe de bureau. Sacré suédois : Ikéa est leur temple, une église contemporaine.

Sauf que sur scène, l’autel de Chloé Dabert fait mal à la tête et donne le bourdon : la luxuriante salle des Célestins a devant elle le retour des magasins, des grandes enseignes à la Gifi. Et la Beauté disparut.

Iphigénie

Elsa Agnès est Iphigénie mais je n’irai pas jusqu’à dire que la réciproque est juste. Sans doute parce qu’elle se grime dans le corps d’une jeune adolescente qui veut manger des Snickers au cinéma et que son Papa le lui refuse : alors elle n’est pas contente, tape du pied, devient toute rouge ! Voilà que la violence d’un déchirement, entre un père et sa fille, se retrouve peinte en une vulgaire peau de chagrin, réduite aux grimaces enfantines de cette jeune actrice.

A gauche de moi, à droite de moi, affirmatif, personne ne pleure, personne ne vibre. Est-ce à dire qu’Elsa Agnès est une mauvaise actrice ? Sa prestation dans la pièce Nobody, mise en scène par Cyril Teste était incroyable. Non, le problème est ailleurs.

Et face à çà, à tout cela, reste planté là un Alain Delon des mers, Ulysse, qui regarde songeur la scène. Sauf que dans Plein Soleil, la mer rugie et sa beauté parfaite n’est qu’un artefact qui cache le crime à venir.

La lumière, le son grésillant qui rappelle le cryptage de Canal+, ne riment à rien, si ce n’est donner des impressions de gêne. D’ailleurs, le bruit de la salle devenait trop important après quelques minutes de représentation, signifiant d’une machine qui s’arc-boute et tombe à l’état sauvage. Des animaux rampants, voilà ce à quoi était réduit le public, non pas à cause d’une écoute ratée mais bien parce que personne n’avait payé pour subir un tel affront, à la langue, à la race sacrée de ce théâtre. Et chacun cherchait un échappatoire.

Racine est un pari risqué et l’idée originale de féminiser le dilemme de la pièce reste une vraie proposition : encore faut-il en avoir les moyens.

[franckdoutrery]

Complots à Notre-Dame

Ouh, ouh ! Méfions-nous ! Les filous sont partout ! Vous avez vu l’incendie de Notre-Dame de Paris. Et comme tout le monde, vous vous êtes posé des questions sur l’origine de ce drame. Surtout n’écoutez pas la version officielle, qui sent à plein nez le « political correct ». Une destruction involontaire par incendie.  Tu parles ! La piste accidentelle est privilégiée. Tu reparles, Charles ! Même si on a vu beaucoup de fumée, il ne faut pas prendre cet enfumage de fumiste pour parole d’évangile. Et d’abord, à qui fera-t-on croire qu’à l’heure même où Macron devait annoncer à la télé ses mesures pour sortir du Grand débat ou de la crise des Gilets jaunes, quelqu’un de haut placé, « de mèche » avec son patron (c’est le cas de le dire !) n’a pas opportunément commandité sinon le brasier, du moins l’étincelle qui devait l’allumer ? Du coup, Macron a pu remettre à plus tard ses mesures (forcément décevantes) et entonner la rengaine (forcément sympathique) de la France unie dans la détresse. Non, croyez-moi, on nous cache tout, on ne nous dit rien.

Par exemple, on parle d’un seul foyer d’où serait parti l’incendie, à savoir le chantier de rénovation du toit de la cathédrale. Eh bien, des gens sur place qui regardaient le spectacle avec des jumelles (dont mon beau-frère, qui me l’a confirmé par téléphone, et en qui vous pouvez avoir toute confiance), ont vu deux foyers, l’un sous le toit du transept, l’autre sous la flèche. Et il ne faut pas être grand clerc ou assureur pour conclure que quand il y a plusieurs foyers, c’est l’hypothèse de l’incendie volontaire qui doit être privilégiée. Autre exemple, pourquoi tant de fumée jaune ? Cela n’a évidemment rien à voir avec les Gilets de même couleur, qui se limitent à bouter le feu aux banques, à l’Arc de Triomphe ou aux Fouquets. Mais tout le monde sait (à commencer par mon beau-frère, qui est artificier à ses heures) qu’on obtient des flammes et des fumées jaunes avec des produits incendiaires à base de soufre. Il n’y a donc pas de doute possible : ce feu a été allumé intentionnellement par une main criminelle.

Ensuite il y a cette histoire d’alertes. Un monument du patrimoine national qui subit d’importants travaux, est évidemment surveillé électroniquement, pour qu’au moindre danger une alarme se déclenche. Or il y a eu une première alerte automatique à 18h20. C’est pas moi qui le dis, c’est le procureur de Paris. Les hommes chargés de la surveillance ont fait l’inspection habituelle mais sont revenus bredouilles. Vingt minutes plus tard il y a eu une seconde alerte et les mêmes hommes ont constaté cette fois un départ de feu sous la charpente. Mais c’était déjà trop tard pour l’éteindre. Vous y croyez, vous, à ces spécialistes dûment entraînés et payés pour ça ? L’homme de la rue sait qu’il n’y a pas de fumée sans feu, mais eux, sourds à la première alerte, ne voient rien, ne sentent rien. Circulez, il n’y a rien à voir ! Vous voulez que je vous dise ? Si ça se trouve, c’est eux qui circulaient sous les combles, non avec des extincteurs mais avec des chalumeaux, voire des lance-flammes.

Et ce n’est pas tout. J’ai gardé la meilleure pour la fin. Vous avez vu ce bonhomme sur les créneaux de Notre-Dame ? Qu’est-ce qu’il faisait là tout près des flammes ? Moi je ne l’ai pas vu en direct mais sur les réseaux sociaux. C’est d’ailleurs confirmé par la chaîne RT (Russia Today), dont la fiabilité n’est plus à prouver. Et par mon oncle Gustave, qui habite à Montmartre, près du Sacré-Cœur, et qui a tout vu de son balcon. C’est évidemment ce déséquilibré (je parle de l’incendiaire, pas de Gustave) qui a bouté le feu au toit. On dit qu’il ne bougeait pas, que c’était une statue. Une statue ? Mon œil ! Vous connaissez beaucoup de statues qui se promènent sur les corniches des églises tout près d’un brasier ? Des fables tout ça, des attrape-nigauds, des contes à dormir debout. Mais ce n’est pas avec ça qu’on trompera le bon peuple. Faites-moi confiance : tout ça a été préparé de longue main. Et avec des complicités au plus haut niveau. Comment je le sais ? C’est simple : ma tante Célestine, qui va tous les dimanches à la messe à Notre-Dame, avait perçu une odeur de brûlé la veille du sinistre. Elle en avait parlé à un prêtre, qui lui avait dit de ne pas s’inquiéter, que c’était l’odeur des cierges. Quand je vous disais que tout ça c’est tromperie, trucage et compagnie ! Ah, mon bon monsieur, elle est belle, la France !

[escapades-planetaires]

Les piliers des Marquises : de Hakahetau à Hakahau

             Pou Oave (sommet dans les nuages) vu depuis Hakahetau

Ua Pou signifie "les piliers" en marquisien. Elle doit son nom à ses 12 pitons phonolitiques, hauts de plusieurs centaines de mètres.  Le point culminant de l’ile est le Pou Oave (1203 m)

Photos Nathalie Donadille, février 2011

La phonolite est une roche magmatique. Elle recouvre 65% de la surface de l'île.  

Contrairement à ses grandes soeurs Nuku Hiva et Hiva Oa, Ua Pou n'avait pas de routes goudronnées en 2008 quand nous y sommes allés et restait un peu à l’écart du monde civilisé. Elle possédait, tout juste, des bouts de chaussées bétonnées.

La piste principale entre l’aéroport et la capitale Hakahau était quand même très belle.

Le pouvoir central de Tahiti a construit les voies de communication au compte-goutte, à la veille, généralement, d'échéances électorales. 

Et encore, certains villages continuent de n'être accessibles qu'à pied, à cheval ou en bateau. Mais c'est aussi, un peu, ce qui fait le charme de l'île, avec la gentillesse de ses habitants et les paysages splendides dont la magnifique Baie de Hakanai (entre l’aéroport et Hakahetau).

De la Baie d'Aneou, où atterrissent les avions, une piste part vers l'est. Elle traverse le décor sauvage du Plateau des Ânes. Ces derniers ont maintenant disparu. Introduits dans l'île, ils ont été lâchés en ces lieux par leurs propriétaires, mais ils ne se sont jamais reproduits. Seuls quelques chevaux et chèvres végètent encore dans ce désert. 

 On passe ensuite à proximité du Mont Kuatau (395 m) qui domine la Baie de Hakahau, située derrière... 

... avant de plonger sur la "capitale" assoupie dans sa vallée de la côte nord-est. 

L’église catholique de Hakahau vaut, à elle seule, le détour pour ses sculptures marquisiennes en bois : porte monumentale, Christ et Vierge à l'enfant aux visages polynésiens, et chaire en forme de proue. C'est une belle vitrine pour les artisans locaux. 

Sur la côte nord-ouest, Hakahetau et ses 200 âmes,��a été la capitale de l’ile jusqu’en 1920. C’est un lieu de villégiature idéal au bord d'une petite baie abritée. 

Le village possède une belle petite église sise au milieu d’une luxuriance colorée.

En 2008, l'unique pension du coin, tenue par Célestine et son mari Tony, un sculpteur sur pierre, a ouvert un petit musée qui présente des objets traditionnels marquisiens.

En 2011, André, un artiste peintre français y vivait, depuis quelques années déjà. Entre autres activités, il faisait découvrir l'île aux touristes, en 4X4 ou à pied. C’est avec lui que nous avons découvert Ua Pou.

Du village, une randonnée permet de rejoindre la base du piton Poumaka, haut de 973 mètres (à droite sur la photo). 

Ce dernier se caractérise par son sommet à deux têtes. Il porte le nom d'un guerrier mythique des Marquises qui a vaincu celui de Hiva Oa, Matafenua. 

On peut se rendre également à la cascade Vaiea, située à 20 minutes de marche de Hakahetau, où l’eau est bien rafraichissante et la végétation exubérante .

Sur le chemin, on peut apercevoir le piton Poutemoka (683 m).

Enfin, on peut emprunter la Traversière. Ce sentier rejoint la vallée de la Vaikaka à travers la montagne et Hakahau.

Précédemment :  Ua Pou, une île qui se mérite

A suivre : Vallée de Hohoi, Ua Pou

[david2no]

Le petit ▪️dans le grand ⚫️ (à Église des Célestins)

[art-woman]

Silvia & Lumia

Egalement présente à l'exposition "Parcours de l'Art 2013" à l'église des célestins d'Avignon, Silvia & Lumia était une autre des artistes à présenter son oeuvre touchante et poétique.

Quelques mots supplémentaires ici.

[david2no]

Surprise de rue #avignon (à Église des Célestins)

[david2no]

Y'a du lourd en Avignon #ronanbarrot (à Église des Célestins)

[art-woman]

Sabine Raousset

Sabine Raousset était l'une des artistes également présente à l'exposition "Parcours de l'Art 2013" à l'église des célestins d'Avignon. J'ai bien aimé son univers proche d'un cabinet de curiosités étonnant. Je n'ai trouvé malheureusement aucun site permettant de voir d'autres travaux

[art-woman]

Alain Timar

Alain Timar était l'invité principal de l'exposition "Parcours de l'Art 2013" à l'église des célestins d'Avignon, c'est pourquoi je le mets tout même dans ce blog dédié avant tout à des artistes de sexe féminin.

Ma photo rend difficilement compte de l'effet que pouvait produire ces étranges sculptures fantomatiques disséminées dans l'église. Il y a quelques autres images ici (à défaut d'un site de l'artiste que je n'ai pas trouvé).