#écrasé
Explore tagged Tumblr posts
Text
Les gens qui pensent que le romantisme est la forme d'amour ultime ; mon chat vient me faire des câlins pendant que je suis aux toilettes pour m'encourager à faire caca, vous allez faire quoi
#c'est ça l'amour le vrai#Princesse Lila#mon chat c'est la meilleure perfection déesse enfant parfaite et ma préférée de tout l'univers#vous êtes juste des insectes écrasés sous ses pattounes de bébé#positif
2 notes
·
View notes
Text
y’a une rue à Lyon qui s’appelle rue du béguin je suis fan !!!!!
#je suis sur le groupe fb de l’arrondissement c’est la cour des miracles#j’adore style rubrique des chiens écrasés#coup de gueule coup de cœur
5 notes
·
View notes
Text
Les visages écrasés de Marin Ledun
Les visages écrasés de Marin Ledun – Editions Harper Collins Les visages écrasés de Marin Ledun, présentation Vincent Fournier est en burn-out professionnel. Il a cumulé les arrêts de travail, les médicaments. Il n’a plus aucune activité sexuelle depuis deux ans. Il refuse de voir la réalité en face. Il travaille sur une plateforme d’appels pour une société qui vend des abonnements téléphoniques…
View On WordPress
#lesvisagesecrases#avis Les visages écrasés#avis Les visages écrasés de Marin Ledun#avis marin ledun#avis romans Marin Ledun#éditions harper collins#harper collins#harper collins éditions#Les visages écrasés#Les visages écrasés de Marin Ledun#Marin Ledun#romans marin ledun
0 notes
Text
je me pose le défi de rattraper mon niveau de français d'autrefois et en me lançant dans des films il me choque toujours les villes bâties à la taille humaine avec des petites voitures non pas conçues pour massacrer des piétons c'est top
1 note
·
View note
Text
Même pas arrivé au travail et j’ai déjà aidé un inconnu qui est tombé dans la rue devant ma voiture à se révéler
Il est tombé 20 cm de neige cette nuit je regarde mon auto enneigée depuis 20 minutes on vit un peu dans le désespoir mais bon j’ai des vies à sauver (non) et des skis le bonheur hors d’atteinte
18 notes
·
View notes
Text
La collection Topps Mars Attacks de 1962 comprend 55 cartes. Les faces de ces cartes présentent des illustrations en couleur vives et étonnamment graphiques montrant des humains subissant une multitude de destins violents, incluant être incinérés, écrasés, vaporisés et soumis à d'autres formes de brutalités. L'histoire derrière ces événements est détaillée au dos de chaque carte.
Connue pour sa représentation distincte de la violence et de la gore, la série Topps Mars Attacks est reconnue comme l'une des collections les plus emblématiques et recherchées dans la communaut�� des collectionneurs de cartes non sportives.
A suivre...
360 notes
·
View notes
Note
What about a little bit of fear ending in a lot of fluff for blurb? Like Charles's son who's maybe three or four pulling away from his dad after a bad karting practice or race because he thinks his father is disappointed in him and then spilling it all to his oncle Arthur and Arthur calling his brother that he found his son and then Charles comforting his crying toddler and reassuring him that he's always proud of him and père et fils passent une bonne journée rien qu'avec eux deux ?
ohh i like this idea, okay let’s blurb it!
Charles had been rushing around the karting grounds, his eyes searching for his little boy Matteo who’d taken off as soon as he’d crashed his kart into the far wall of the track. it hadn’t been a horrible crash but Charles had no doubt his boy was a bit upset, but after searching for 30 minutes he was starting to panic.
“my love, i’m sure he’s not far, let’s just keep checking okay?”
your voice halted Charles’s movements as he let out a sigh, nodding and taking your hand
“yeah..keep checking”
while you and charles kept walking about, Matteo had been found by the youngest leclerc brother, Arthur crouching down to sit with him
“qu'est-ce qui ne va pas petit ours”
Matteo shook his head as he sniffled, looking towards his uncle Arthur
“je suis horrible, je suis nul en conduite!”
Arthur frowned, reaching to pull the young boy into his arms, Matteo hiding his face in his chest
“Teo you had a little accident, it’s okay! these things happen, your dad and I crashed at karting a lot growing up”
“y-you did?”
Arthur could feel his heart clench as the little boy looked up at him, his eyes teary and sad
“of course, that’s how we get better…you know your maman and papa are probably worried about you”
“is papa going to be mad at me?”
Arthur shook his head
“no, he loves you so much petit ours…come one let’s go find them.”
Arthur stood up with Matteo still in his arms as they walked towards the reception centre, easily spotting his brother who looked like he’d had better days
“papa!”
Charles turned quickly, seeing his son in Arthur’s arms, rushing over and taking him gently
“Matteo, tu m’as fait peur bébé”
“désolé Papa”
you made your way back to the boys, kissing Matteo’s cheek gently as you rubbed Charles’s back to comfort him as best you could
“It’s okay Teo, I’m just glad you’re okay…are you okay?”
he nodded
“oui, je ne voulais juste pas que tu sois contrarié, je me suis écrasé”
“je ne serais jamais en colère contre toi petit ours, je t'aime trop pour être jamais en colère.”
Matteo seemed happy with his father’s answer, quick to wrap his arms around his neck and holding him tightly, allowing Charles to take a deep breath before turning to Arthur
“thank you for finding him”
the younger leclerc smiled
“of course, he actually went the your old hiding spot when you’d run off for the same worries…”
hearing this you couldn’t help but smile as you looked between your husband and brother in-law, leaning your head onto Charles’s shoulder just happy to have your family all safe
“like father like son…”
#rueswrites#ruesanswers#ruesanons<3#ruesasks#charles leclerc x female reader#charles leclerc x wife reader#charles leclerc x y/n#charles leclerc x you#charles leclerc x reader#charles leclerc fluff#charles leclerc fanfic#dad!charles leclerc#charles leclerc drabble#dad! charles leclerc#f1 imagine#f1 fic#f1 fanfic#formula 1 masterlist#formula 1 fanfiction
658 notes
·
View notes
Text
Le final
Famille de 4 pictogrammes qui représente 1 lieu, 1 objet, 1 personnage (they came as a pair I had to put them both) et l’action principal.
Bloqués sketches from school project
#orelsan#gringe#bloqués#j’ai un peu rush le dernier mais hé ohhhh c’était ça ou -20%#l’action principal le prof il m’a dit: leur truc c’est qu’ils sont tout le temps écrasé sur le canapé dans des positions euh spéciales
21 notes
·
View notes
Text
saga: Soumission & Domination 349
Florian préparation 1er contrat (suite), contrat
Dimanche :
Je me réveille en premier. Je visionne en hyper rapide la nuit dans la chambre d'à côté. Rien, ils n'ont fait que dormir mais quand je vois comme nous avons écrasé nous aussi ça ne m'étonne pas.
J'attends mes dormeurs puis décide que c'est suffisant. Je tire doucement la couette qui les recouvre et je les admire. Ils sont beaux dans le sommeil. Instinctivement après mon départ, ils se sont rapprochés et dorment enlacés. La jambe de PH recouvre celles de Ludovic et la tête de ce dernier est collée sur son épaule. Je leur laisse encore quelques instants puis me coule vers eux. Ma langue remonte du gros orteil de Ludo à son aine juste interrompu par le détour de la cuisse de PH.
Son sexe est plus gros qu'au repos mais pas franchement bandé non plus. Sans poser ma tête sur lui, je sors ma langue et vient titiller le bout de gland laissé apparent par son prépuce. Pas de réaction, je m'enhardi. Avec mes lèvres je repousse cette peau et peut ainsi prendre le gland entier dans ma bouche. Je me contente de ça. Je salive puis tourne ma langue dessus. Je dois bientôt reculer ma tête car mon Ludovic se met à vraiment bander. Il gémit. Je le regarde persuadé de l'avoir réveiller mais non. Il doit faire un rêve érotique. Je prends moins de précaution et ça fini par le vraiment le réveiller. Sa main se pose sur ma tête et d'une légère pression m'indique qu'il souhaite plus. Je me penche plus et m'enfonce son gland dans ma gorge. Il m'étouffe, ça me fait bander encore plus.
Ça fait un peu comme le jeu du foulard mais par la face interne. L'étouffement provoque une décharge d'hormones qui booste mon excitation. Je ne me tue pas pour autant et pompe mon mec comme un affamé. Il ne bouge pas pour ne pas réveiller PH mais quand il explose, ses spasmes le secouent et ce dernier ouvre les yeux. Ses premiers mots sont pour nous traiter d'obsédés sexuels.
Ça lui vaut une immobilisation complète et un abus de son corps. Sa bite trouve la bouche de Ludovic comme capuchon et sa rondelle sert d'étui à la mienne. Sur l'écran qui est toujours branché sur la chambre d'à côté, je vois que nos jeunes se sont réveillés aussi avec une libido encore plus alerte. Eux aussi se donnent un peu de plaisir avant le petit déjeuner. J'explose au fond de PH et lui, remplit la gueule de Ludovic qui vient partager avec nous. Trop bon !
On sort de nos chambres en même temps. Embrassades, et on monte au 4ème. Petit déjeuner puis la matinée se passe à travailler nos cours. J'aide Romain en français et nous bossons jusqu'au déjeuner.
L'après-midi je reprends en main la préparation de Florian mais ce coup-ci, seul je le travail au sous-sol. On commence par un passage à la douche interne. Il connait pas mais il aime bien, enfin pas la première fois mais après ça été mieux. Je décide d'en faire autant. Une fois bien propres, j'installe un gode de 25x6.5 sur la selle spéciale et après avoir bien graissé le trou de Florian, je le fais s'assoir dessus. Il y va à son rythme mais doucement il se le prend en entier. Je l'encourage, le flatte, lui fais sniffer un peu de poppers quand il me le demande et sa chevauchée prend des allures de grand prix de l'arc de triomphe. Je l'arrête avant qu'il ne jouisse, j'ai bien l'intention de profiter de ses 7cm de diamètre ! Je m'installe sur le sling et lui demande de me travailler l'anus. Il fait ça bien. Je me gaze à fond en prévision de sa large pine. Quand il me pénètre c'est une véritable défonce avec un grand D. Des 7 de diamètre, j'en ai connu qu'avec mes clients. Mais non suis-je bête, un des lads de Bordeaux en a une de 26x7 mais ça va faire depuis le nouvel an que je m'en suis quand même pas pris une pareille. Il n'est monté que de 18 de long mais ça me va quand même. Ses coups de rein un peu désordonnés au début font place à un rythme bien efficace. Je sniffe à nouveau mon flacon de poppers et mes mains posées sur ses fesses, j'augmente sa cadence de pilonnage. Il butte une fois de trop sur ma prostate et j'explose m'envoyant du sperme jusque dans mes yeux. Il décule vite et je ressens un bref coup de frais avant que ma rondelle se referme. On se calme 1/4 d'heure et je termine sa formation express. Il prend ma place sur le cuir suspendu et je le défonce au gode de la taille juste inférieure à son client. Je rebande, quelle forme ! Du coup je sors le monstre de son cul et lui en enfile un autre très raisonnable. Il ne comprend pas tant que je n'ai pas ajouté ma bite au morceau de plastique. Je le sodomise jusqu'à ce qu'il jute et il résiste bien même après m'avoir limé le cul.
Le client sera content, il ne lui explosera pas en 5mn ! Quand nous en avons fini, une bonne douche fait disparaitre les " salissures ". Un jet d'eau froide sur nos rondelles accélère le processus de rétraction. Retour au 4ème. Les autres nous attendaient pour une bière. Leurs dernières heures studieuses les avaient soulés.
Après diner je reconduis Florian au pensionnat. Quand il sort de la SLS c'est pour tomber sur un de ses potes qui rentrait aussi. Je ne m'éternise pas. Il m'appelle une heure plus tard pour me dire qu'il est grand temps qu'il quitte le lycée, il a dû expliquer pourquoi il revenait en MERCEDES, qui était le mec au volant etc. Il m'a dit qu'il était désolé mais qu'il m'avait fait passer pour un de ses cousins mais qu'il n'est pas sûr que ses détracteurs l'aient cru ! Je ris, le rassure que ce n'est pas grave puisqu'il y avait peu de risque que je croise ses copains de promo.
Le contrat :
Pour rappel le client est black 50ans dans les 1m80 entretenu question tour de taille et surtout une bite de 26x7. Soit le même diamètre que la queue de Florian mais 8cm plus longue. Il y va avec son scooter équipé cuir de la tête au pied. Ça lui donne un look racaille qui va avec son parlé un peu basique encore.
Rapport de Florian :
Je suis un peu stressé. Sasha a eu beau me préparer la rondelle avec les habitants du blockhaus le WE dernier, j'ai un peu les foies. Sasha m'a mis au parfum, le client est monté comme moi avec 8cm de plus en longueur. Jamais encore vu ça en réel. Le scooter 3 roues est génial. Je me fais plaisir à faire des accélérations qui sèchent même les caisses qui attendent comme moi le feu vert. Daniel le mec à qui Sasha m'a envoyé n'a pas voulu me dire le montant de la dépense mais je pense que ça du couter un max. Que des marques, du cuir et le casque est trop kiffant. Il me fait une tête de robot. Les 7 heures de formation entre les pattes de son pote Éric se sont bien passé mais le mec est sévèrement burné ! Sa combinaison de moto fait une coque énorme en haut de ses cuisses. J'aurais bien aimé tâter le morceau mais je veux pas faire honte à Sasha avec un comportement qui va pas. Bon je reviens à mes moutons ou plutôt au loup qui m'attend moi pôvre petit agneau innocent ! Je sonne au portail d'une grande maison particulière. Je dois ôter mon casque pour qu'il me voie à la vidéo. Le portail s'ouvre tout seul et je pousse jusqu'aux marches de l'entrée. Il m'attend en haut. Je suis pas grand mais en contre plongée, il fait géant. Quand je le rejoins je vois qu'il fait bien 15 à 20cm de plus que moi. Il m'accueille gentiment. L'entrée doit faire la moitié de la maison de mes parents ! Il me demande de me " défaire de ma carapace ". Je pose le casque sur une tablette, retire mon blouson. Le fait que je paraisse en marcel (c'est un Léotard) dessous à l'air de lui plaire. Je quitte mes chaussures montantes et fait tomber le pantalon. Je suis en fuseau de gymnastique (sokol), moulant mes jambes et surtout mes fesses rondes. J'en ai choisi un trop petit qui me rentre bien dans la raie des fesses.
Il a devant lui le parfait petit gymnaste en tenue classique du travail aux anneaux. Et à ce que je vois se développer dans son pantalon, ça le fait kiffer grave. Ça déforme le tissu, et je vois le gland descendre vers son genou gauche. J'en étais hypnotisé au point que c'est lui qui m'a rappelé à la réalité. Il me demande de le suivre. On monte l'escalier et on entre dans une grande chambre avec un lit en cage. Un baldaquin je crois mais réalisé en tube. Le plafond est à plus de 3m et je note que je dois pouvoir faire de la barre fixe si le support est solide. Je me lance, au pire je m'étale sue le matelas.
Je saute et attrape la barre au-dessus du pied de lit. Elle résiste et quand je la teste en me balançant un peu, je vois qu'elle est solidement fixée. Je m'échauffe avec quelques mouvements sous la barre avant de me lancer dans un tour complet. Aie ! J'ai pas mes maniques ! Je relâche et tombe le dos sur le grand lit. Je n'ai pas fait attention mais il s'est déshabillé pendant ma petite exhibition. Sur le dos je le vois à l'envers mais il est impressionnant. Le noir est très noir et sa bite un vrai monstre. Il me tire par les épaules vers le bord du lit et quand ma tête est en dehors du matelas, il m'ouvre la bouche et enfonce son pieu. Il bute sur ma glotte et me dis de respirer un grand coup. J'obéi et il me défonce la gorge ! Il se retire et me fait le coup plusieurs fois sa bite devient de plus en plus raide, dure et droite. Quand il bande à fond, avec tout ma bonne volonté j'en laisse bien 4 cm dehors !
Alors qu'il me baise la bouche je tente de me déshabiller. Il m'arrête aussitôt. Il veut me baiser en tenue. J'avais pas pensé à ça mais ça va me la saloper grave et je me vois pas la ramener pleine de sperme à ma mère ! Tant pis ! Il cesse de me détruire la gorge et me retourne comme une crêpe. Mes 70Kg ne semblent pas peser entre ses bras. Il me roule un patin. Sa langue est proportionnée à sa bite, elle envahi ma bouche. Puis il se met à me lécher le corps, enfin les parties nues, cou, trapèzes, épaules, aisselles. Puis il attrape le haut de mon Léotard et le déchire jusqu'au Sokol. Merde ! C'était le plus correct de mes Léotards. Les autres sont soit trop petits soit usés.
Il continu le massacre et je me retrouve à poil, mes vêtements en lambeaux ! Je n'ai pas le temps de pleurer dessus qu'il attrape mes jambes, et les tire vers le haut jusqu'à ce que mon sexe soit au niveau de sa bouche. Je pose mes mains au sol et assure l'équilibre. Je le sais actif, j'écarte donc les jambes pour lui présenter mon cul. Il devait attendre ça car il s'est aussitôt penché et direct m'a léché la rondelle. Pour le fun je lui fais un grand écart mais je ne crois pas qu'il s'en soit aperçu. Par contre moi je me rends bien compte qu'il travaille avec sa langue. Si tout à l'heure elle me remplissait la bouche à en vomir, là, elle pointe ma rondelle et la pénètre de quelques cm. Trop bon ! Je redresse mes jambes et emprisonne (gentiment) sa tête entre mes cuisses. Ça repose mes fessiers. Je sens sa salive couler dans mon trou. Mais le temps passe et de rester la tête en bas, je commence à avoir des éblouissements. En appuis de mes jambes sur ses épaules, je me cambre, lentement pour qu'il ait le temps de contrebalancer mon poids. Je m'étale le ventre sur le lit mais reste les reins creusés pour lui signifier que ce n'était qu'un changement de position, pas un refus de me faire bouffer l'oignon.
D'ailleurs il me suit la langue toujours enfoncée dans mon trou. Après peut être 15mn de bouffage de rondelle, il les redresse, pose une de ses mains sur mon dos pour m'immobiliser et j'entends qu'avec l'autre, il se kpote. Quand c'est fait, ses mains agrippent mes hanches et il me tire au bord du lit. Les pieds au sol, j'écarte bien les jambes pour dégager le passage. Il ajoute une dose de gel maousse sur mon cul et s'enfonce dedans.
Merci Sasha pour la préparation sinon il m'aurait fendu en deux. En attendant il ne s'arrête qu'avec ses couilles collées aux miennes, incapable d'en rentrer plus. Moi ça me coupe le souffle. Je sens son gros gland en moi c'est impressionnant comme sensation. Il pousse mes boyaux. Je le laisse un moment me limer la rondelle dans cette position puis me dis qu'il doit en vouloir plus d'un gymnaste. C'est pour ça qu'il s'était battu avec l'autre mec pour m'avoir. Je bascule le buste sur le côté et gardant mes jambes bien à l'équerre, je me retrouve sur le dos, mes chevilles sur ses épaules. Lentement je contracte mes abdos (ce qui fait que je sens encore plus sa grosse bite en moi), pose mes mains derrière son cou et me colle à lui (enfin à mes jambes surtout). Je tends alors les bras vers la traverse du baldaquin et m'accroche à elle. Là, j'utilise la force de mes bras pour monter et descendre sur sa bite. Ça le fait car il cesse de me soutenir les fesses et ses mains caressent mes biceps qui gonflent sous l'effort.
Il me décroche de la barre et me pose dos sur le lit. Son corps recouvre le mien et à part mes épaules qui dépassent sur le côté, je dois disparaitre sous son corps. Sa bite elle est bien restée tout le temps dans mon cul. Puis il attrape des menottes à chaque pilier de coin et je me retrouve enchaîné façon écartèlement comme on en voit dans les fils d'époque. Ce qui me surprend c'est quand il actionne un mécanisme qui tends les chaines puis qui me soulève. Ma ceinture abdominale est sollicitée un max pour pouvoir rester à l'horizontal. Absorbé par ce qu'il me faisait, je n'avais pas noté que je bandais ferme moi aussi. C'est quand il s'est mis à me sucer la bite que je me suis rappelé que j'avais aussi un engin de plaisir devant. Quand il sent que les abdos fatiguent (tremblements importants), il actionne à nouveau son truc et les chaines se rejoignent sur les côtés me pliant en 2 mais bras et jambes écartés. Là il se remet à m'enculer non sans avoir remis une couche de gel. Il ne s'arrêtera plus avant d'avoir juter des litres dans sa kpote. Il m'a fait jouir quelques minutes avant, ça doit être les spasmes de ma rondelle qui ont raison de sa résistance.
Il me décroche et je tombe sur le lit un peu scié par ce qu'il vient de m'infliger. J'étale mon sperme sur mon torse pour pas qu'il coule sur le lit et reprend mon souffle. Le client se dékpote et me montre le résultat de ma prestation. Quand je dis des litres j'exagère mais la quantité qu'il y a, j'avais encore jamais vu ça. Il la jette et me rejoint sur le lit. Il passe son bras sous mon cou, se mets sur le côté et sa main libre vient parcourir mon corps. Elle suit les contours de mes muscles. Il ramasse avec ses doigts mon sperme éparpillé et l'apporte à ma bouche. J'hésite mais après tout c'est le mien et je lui lèche les doigts. Putain que ça doit faire " salope " !
Je bascule sur lui, le repoussant sur le dos et comme un jeune chiot sur un adulte, je cale ma tête en haut de son pec et ma bite trouve place sur son nombril. Il me laisse un moment comme ça. On récupère doucement à la limite de s'endormir. C'est le cas même puisque je me réveille quand il me plonge dans sa baignoire. Un machin immense où il peut se mettre avec moi. Je me laisse faire. Il me lave, c'est bon même si c'est un peu infantilisant. Quand je veux faire pareil, il m'en empêche et je ne fais que le regarder. Séchages, retour dans la chambre. Je ramasse les restes de ma tenue de sport et j'ai dû faire une tête bizarre puisqu'il me dit de ne pas m'en faire. Il en a de bonne ! C'est pas lui qui va devoir en acheter une nouvelle tenue complète. Il me laisse seul alors que je me dis que je vais avoir un peu froid à poil (que je n'ai pas) dans mes cuirs, les seules choses récupérables étaient mes chaussettes. Et vue l'heure avancée de la nuit, ça va cailler ! Il revient avec un grand sac et me dit que c'est pour moi. Je suis surpris mais j'ouvre. Plein de tissus synthétiques, je tire dessus et je sors une bonne demi-douzaine de léotards, pareil de sokol et même de short. Il éclate de rire et me dit que je n'avais quand même pas cru qu'il allait détruire mes vêtements sans les remplacer quand même !
Je suis gêné c'est exactement ce que j'avais pensé. Je les regarde tous. C'est la marque de l'équipe de France. Il me dit de les essayer. Je tombe mon pantalon en cuir et passe les vêtements. Ils sont tous à ma taille et les imprimés qu'il a choisis pour les léotards sont top. Quand je me retourne pour le questionner, il me devance et me dit qu'il avait eu mes tailles par Sasha. Je suis trop content, je commençais à être juste question équipements. Dans le fond du sac je trouve encore plusieurs paires de maniques avec attaches différentes. Je ne sais comment le remercier. Je me colle à lui, tends mes lèvres pour une pelle bien sentie et commence à me frotter contre son sexe. Il me repousse et me dit que j'en ai déjà fait bien assez pour cette fois. C'est vrai que ça va faire 6h qu'on est ensemble. J'ai dû oublier de décrire quelques positions Oups !
Je me choisis l'ensemble que je kiffe le plus avant de remettre mes cuirs. Il me tend une sacoche dans lequel il a mis les autres vêtements. Je ne dis plus rien et accepte ce nouveau cadeau. En plus en cuir, c'est raccord avec le reste. Il s'habille et m'accompagne jusqu'au portail. Je rentre directe au blockhaus. Sasha m'a réservé une chambre au premier et il veut me voir dans quelques heures puisque le matin est déjà là !
Je trouve un mot sur la porte du bureau de Sasha avec mon nom dessus. Il me dit juste de dormir tout ce que je veux ce matin (samedi) et de monter au 4ème pour le petit déjeuner.
Trop content de mon cadeau, je m'endors dedans.
Jardinier
~~
~~
~~
23 notes
·
View notes
Text
Photo of 16 year old Jean Genet. Handwritten dedication from him to Violette Leduc (Arras, April 7, 1907 – Faucon, May 28, 1972). She was a French writer.
Two forensic identification photographs were found. On one of them I am sixteen or seventeen years old. I am wearing a torn sweater under a Public Assistance jacket. My face is an oval, very pure, my nose is crushed, flattened by a punch during a forgotten fight. My look is blasé, sad and warm, very serious. I had thick, messy hair. Seeing myself at this age, my feeling was expressed almost out loud: “Poor little guy, you suffered.”
Deux photographies de l'identité judiciaire ont été retrouvées. Sur l'une d'elle j'ai seize ou dix-sept ans. Je porte, sous un veston de l'Assistence publique, un chandail déchiré. Mon visage est un ovale, très pur, mon nez est écrasé, aplati par un coup de poing lors d'une bagarre oubliée. Mon regard est blasé, triste et chaleureux, très grave. J'avais une chevelure épaisse et desordonnée. En me voyant à cet âge, mon sentiment s'exprima presque à haute voix: "Pauvre petit gars, tu as soufert."
(Journal du Voleur, Edition de la Pléiade, 1156)
63 notes
·
View notes
Text
Tartines avocat, tomates jambon cru
Ingrédients
2 tranches de pain recette au dessus, cliquer sur le lien rose
1/2 avocat
1/4 oignon rouge ou oignon ou échalotte
sel, poivre
2 tranches de jambon cru
3 tomates cerises
1 pétale de tomate sechée facultatif
2 radis
1 filet de citron
Instructions
Dans une petite assiette, écraser l'avocat.
Emincer l'oignon en petits dés.
Mélanger l'avocat écrasé, sel, poivre, oignon et filet de citron.
Griller 2 tranches de pain.
Tartiner l'avocat dessus.
Ajouter les tomates couper en 4, la tomate séchée en petits morceaux, les radis en rondelles.
Mettre sur le dessus le jambon en lamelles.
Servir avec une belle salade verte.
Un petit délice...
Si vous ne faites pas votre pain maison, ce n’est pas grave du tout, mais pensez à utiliser un pain autre que blanc (nordique, céréales, complet, levain …)
N’hésitez pas à mettre ce que vous voulez et ce que vous avez sur vos tartines. Mais n’oubliez pas de rester dans l’assiette équilibrée.
21 notes
·
View notes
Photo
La Mode nationale, no. 22, 30 mai 1896, Paris. No. 13. — Toilette de jeune femme (dos). No. 14. Toilette de jeune femme (devant). Modèle de la Maison Fischer, 19, rue Louis-le-Grand, à Paris. Bibliothèque nationale de France
Nos. 13 et 14. — Robe en soie brochée sur chaîne, fond bleu broché or et rose (Dos et devant). Corsage ouvert devant sur chemisette de tulle brodé, et derrière, croisé en cœur sur la même chemisette. Cravate Mercure en mousseline de soie noire. Manches demi-plates à ballon écrasé, avec longues manches de tulle brodé. Jupe à godets avec ruché semblable dans le bas.
Nos. 13 and 14. — Brocaded silk dress on chain, blue background brocaded with gold and pink (back and front). Bodice open in front on an embroidered tulle shirt, and behind, crossed in a heart on the same shirt. Mercury tie in black silk muslin. Half-flat crushed balloon sleeves, with long embroidered tulle sleeves. Godet skirt with similar ruching at the bottom.
Métrage: 17 mètres soie brochée sur chaîne.
#La Mode nationale#19th century#1890s#1896#on this day#May 30#periodical#fashion#fashion plate#description#Bibliothèque nationale de France#dress#Maison Fischer#brocade#gigot#collar#devant et dos
212 notes
·
View notes
Text
Partageons mon rendez-vous lectures #35-2024 & critiques
Voici mes critiques littéraires sur Livres à profusion. Mort et vie de Bobby Z de Don Winslow Mort et vie de Bobby Z de Don Winslow – Editions Harper Collins Les visages écrasés de Marin Ledun Les visages écrasés de Marin Ledun – Editions Harper Collins En lecture, La prophétesse de Barbara Wood La prophétesse de Barbara Wood – Editions Pocket Présentation de l’éditeur A l’aube du XXIe siècle,…
View On WordPress
#lesvisagesecrases#mortetviedebobbyz#avis Don Winslow#avis Les visages écrasés#avis Les visages écrasés de Marin Ledun#avis marin ledun#avis Mort et vie de Bobby Z#avis Mort et vie de Bobby Z de Don Winslow#avis romans Don Winslow#avis romans Marin Ledun#ÉDITIONS HARPER COLLINS#Don Winslow#HARPER COLLINS#HARPER COLLINS ÉDITIONS#Les visages écrasés#Les visages écrasés de Marin Ledun#Marin Ledun#Mort et vie de Bobby Z#Mort et vie de Bobby Z de Don Winslow#romans Don Winslow#romans marin ledun
0 notes
Text
Et je ne suis pas complètement stupide : je sais bien qu'appeler à l'aide ne sert à rien.
Les personnes comme moi - qui n'ont jamais appris à parler, à élever la voix - qu'on a muselées, qu'on a écrasées, qu'on a piétinées - comme si marcher sur les autres étaient un droit légitime - en plus d'un consentement - ne s'en sortent pas. Je suis coincée, je suis bloquée : je ne parlerai JAMAIS, jamais je ne prendrai de place, jamais je ne dérangerai - jamais on ne me croira.
Je serai cachée, terrée, invisible, piétinée, sacrifiée - et mes larmes continueront de couler sans que cela ne change rien à rien - et je continuerai d'être responsable, silencieuse et "sans histoire" - je continuerai d'être invisible et...
13 notes
·
View notes
Text
«Nous n’avons pas peur des empires, nous l’avons prouvé cent fois» - Viktor Orban.
«Nous savons qu'ils veulent nous forcer à la guerre», a déclaré le dirigeant hongrois, commémorant le soulèvement hongrois d’octobre 1956, écrasé par les chars soviétiques.
Le temps est venu de le dire: les dirigeants européens, les bureaucrates de Bruxelles ont conduit l'Occident à une guerre sans espoir.
Ils veulent maintenant entraîner toute l'Union européenne dans un conflit ouvert, a-t-il dénoncé.
Et dans une guerre totale contre leurs peuples:
On sait qu'ils essaient de nous imposer leurs migrants. Nous savons que les activistes de la théorie du genre veulent mettre la main sur nos enfants.
11 notes
·
View notes