#ça me fait péter une durite je vous jure
Explore tagged Tumblr posts
Text
J'ai besoin de crier un coup, mais adobe qui augmente ses prix parce qu'ils ont ajouté l'IA dans photoshop, excusez-moi mais c'est honteux et du foutage de gueule. Donc en plus de nous l'imposer dans notre logiciel, on doit payer pour elle ???? 🤡🤡🤡
#ptdr well si vous avez des bonnes astuces pour craquer ps et lightroom sur mac#ça me fait péter une durite je vous jure#talk#à supprimer
17 notes
·
View notes
Quote
Si je vous parle du manque, vous voyez quoi ? Pour ma part, des musiques que je ne connais pas, dès la première écoute, un passage est beau, et me fait penser à lui. Les vieilles chansons des année 80’ ou 90’ que mes parents écoutaient quand j'avais 5 ans, repassent à la radio, à la télé, et elles me font penser à lui. Ensuite il y a les musiques de films, enfin d'un film en particulié qui est “ Dans les Cordes ”. C'était un film qu'on avait vu au cinéma en sorti avec le collège. On était assis dans la salle aux sièges jaunes. Il était en face de moi, et il se grattait les cheveux régulièrement. Il était là, et je me sentais en sécurité. Pour ma part, le manque c'est beaucoup de souvenirs. Beaucoup de regrêts, de remords. On se ressasse tout dans les moindres détails. Depuis le début où ça a commencé, jusqu'au dernier jour, où ça s'est terminé. Parfois je me demande si je vais pouvoir continuer de vivre continuellement avec ce manque, ce vide dans ma poitrine. Si il ne serait pas possible que je lâche tout un jour. Qu'on me retrouve inanimée un matin, avec du sang sur les draps, les bras étendus, le regard dans le vide. Je me demande si un jour je ne vais pas mourir d'amour. Et quand je le vois rien que quelques secondes, je vous jure que … Je prends un très grand bol d'air. Je respire. Je me sens revivre de nouveau. Mais quand je suis dans une voiture avec quelqu'un, je ne peux pas m'empêcher de penser que… il peut se passer n'importe quoi, un accident, et je meurs. Dans le bus c'est pareil. Déjà je me sens oppressée, j'ai l'impression que tout le monde sait. Que tout le monde sait mon secrêt. Quand il y a des secousses, j'ai peur qu'on encastre une voiture. J'ai peur qu'il y ai un accident. D'ailleurs, à chaques fois que je vois une voiture, je ne peux pas m'empêcher de regarder pour savoir si c'est la même que la sienne, si c'est la bonne plaque, et quelle est la personne qu'il y a à l'intérieur, côté conducteur. A pied, j'ai peur qu'on me kloaxone, qu'on baisse les fenêtre, qu'on me sort des “ t'es bonne ” et tant d'autres paroles que j'ai subis. Quand je suis sur un pont, j'ai peur qu'on me regarde de haut en bas, qu'on me siffle entre les dents, qu'on me murmure des paroles que je ne mérite pas. Personne ne sait combien je souffre. Personne ne respecte personne. Personne ne sait que je suis amoureuse, et que tout le reste me dégoûte. J'ai peur de sortir. Je n'ai confiance en personne. Et quand je le revois, rien que quelques secondes, je me sens en sécurité auprès de lui. Sa présence m'apporte quelque chose. Mais j'ai peur, je regarde où il met les pieds, je regarde autour de lui si il y a un moindre danger qui va s'opposer à lui, quand il traverse, je regarde gauche-droite-gauche à sa place, pour éviter une catastrophe. Parce que si jamais il lui arrivait quelque chose sous ma présence, je m'en sentirais éternellement responsable. Je ne peux pas m'empêcher de le protéger. Il m'a même dit une fois qu'il pouvait se défendre tout seul, etc… Je l'ai tellement mal pris. Parce que je me demande si ce jour, il savait que je faisais ça parce que c'était mon instinct et que c'était plus fort que moi. Parce que je l'aime tellement que je veux le protéger des gens. Des gens mal-intentionnés, ceux qui veulent le nuire. Je les mets à l'écart d'une manière ou d'une autre. Sans qu'il ne sache rien. Mais ce que je ressens en permanence, c'est le manque. J'ai beau l'observer de loin, de le protéger sans qu'il ne sache rien, de toujours garder un œil sur lui. Le fait est, qu'on ne se parle pas. Qu'on est devenu de simple inconnus avec des souvenirs en communs. Oui cette phrase est belle. Surtout pour notre situation. Elle nous décrit parfaitement. Mais quand on se voit, qu'on parle, qu'on se dit rien que bonjour, je vous jure que dans son regard, malgré ses réticences, j'y voit du regrêts. Beaucoup de regrêts. Oui-Non, ce n'est pas facile d'aimer. Pour ma part, je n'ai pas besoin de me marier pour promettre fidélité, protection … “ Je promets de t'être toujours fidèle dans la joie et dans la douleur, dans la santé et dans la maladie, de t'aimer et de t'honorer tous les jours de ma vie ” Je dirai même que ma seule religion, c'est de l'aimer pour toute l’éternité. Ce sera ma plus belle promesse. En fait, le manque c'est tout ça. C'est réfléchir à tout. Même aux choses stupides. Le manque c'est des larmes. Des colères, des montées d’adrénalines qui vous fait péter un câble. Le manque c'est une émotion tellement forte qu'elle vous fait perdre le contrôle sur tout. Sur vous même, sur vos gestes, sur vos pensées et vos états d'âmes. Le manque ça fait péter une durite. Par conséquent, le manque peut être doux, moins destructeur. Pour seule raison qu'on ai trop souffert. Mais un jour ou l'autre, tout revient. Et ce sera violent. Comme une balle en plein cœur. On s'entendra respirer autrement, en espérant que cette irrégularité s'arrête. Ce sera le début d'une crise. De tout lâcher, de tout casser. De tout extérioriser. Le manque… On ne peut pas le définir. Il y aurai trop de choses à dire.
*S
3 notes
·
View notes