#à la place qu'elle a réservée. Alors
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Sur un vol à destination de New-York, le chef de cabine contrôle les billets et s'aperçoit qu'une belle blonde s'est installée en première classe avec un billet en classe économique. Il la prie donc de bien vouloir rejoindre sa place en classe éco. La blonde refuse catégoriquement : - Je suis belle, je suis blonde et je vais à New-York ! Pour éviter un scandale, le chef de cabine demande au co-pilote d'intervenir. Mais la blonde ne veut rien entendre : - Je suis belle, je suis blonde et je vais à New-York ! Le co-pilote s'adresse au commandant de bord, qui le rassure : - Je suis marié à une belle blonde et je connais les mots qu'il faut dire. Il se rend auprès de la passagère, lui parle à l'oreille, et la blonde va, enfin, à la place qu'elle a réservée. Alors, le co-pilote dit : - C'est miraculeux, commandant, que lui avez-vous dit ? - Je lui ai dit que la première classe se posait à Dallas !
#Sur un vol à destination de New-York#- Je suis belle#je suis blonde et je vais à New-York !#Pour éviter un scandale#Le co-pilote s'adresse au commandant de bord#qui le rassure :#Il se rend auprès de la passagère#lui parle à l'oreille#et la blonde va#enfin#à la place qu'elle a réservée. Alors#le co-pilote dit :#- C'est miraculeux#commandant#que lui avez-vous dit ?
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Mon calendrier (partie 1)
Ça faisait un moment que l’idée de refaire entièrement le calendrier du jeu me trottait dans la tête, mais comme c’est un projet particulièrement chronophage, j’avais toujours remis ça à plus tard. Finalement, je me suis lancée, et voilà le résultat !
Le but était de rendre le calendrier aussi fidèle que possible à celui que nous utilisons. J'y ai donc intégré les fêtes « principales » ainsi que quelques jours spéciaux, inspirés (ou non) de la réalité. Bien sûr, c'est une sélection très personnelle.
Pour les saisons, j'ai opté pour une durée de 14 jours : au-delà, c'est un peu long à mon goût, et en dessous, ça passe beaucoup trop vite. J'ai donc dû répartir les 365 jours de l'année dans les 56 petites cases du calendrier — un vrai casse-tête !
Si vous cherchez un calendrier pour des saisons de 28 jours, je vous conseille celui d'Abneliasims, qui m'a beaucoup inspiré.
J’ai pioché des idées un peu partout, et cela a finalement été assez difficile de me restreindre et de trouver le bon équilibre. Je ne l'ai pas encore testé en jeu, donc il se peut qu’il y ait un peu trop d’événements (mais comme tous ne concerneront pas forcément mes Sims, j’en ignorerai sans doute certains). Je pense aussi que je le personnaliserai encore davantage au fil du temps, en fonction du foyer avec lequel je joue.
Printemps - Été
Les cases entourées de bleu correspondent aux jours fériés, tandis que celles entourées de jaune représentent les jours sans école.
J'utilise un mod* qui permet d'ajouter la tradition « vacances scolaires » à un jour férié, offrant ainsi un jour de congé uniquement aux enfants et aux adolescents.
J'ai cherché à utiliser un maximum de traditions du jeu, mais étant donné leur nombre limité, j'ai téléchargé des traditions supplémentaires, notamment celles de Kiara, traduites par Kimikosoma, ainsi que celles de Caradriel (en particulier celles liées à l'écriture et aux enfants).
Enfin, pour ajouter un peu de variété, j'ai remplacé les icônes des jours fériés par de nouvelles*. Celles de Zerbu sont également très réussies.
Regardons cela de plus près…
La Fête du Cinéma : C'est un évènement inspiré du Printemps du cinéma, donc j'imagine qu'il y a des réductions sur le prix des places ce jour là ! Pour les Sims travaillant dans la carrière cinéma, cela peut être l'occasion d'organiser une sorte de festival de Cannes… ou, pour les plus casaniers, de regarder un film bien au chaud dans leur canapé.
La Journée des Farces : J'ai supprimé celle générée par le jeu et l'ai placée au 1er avril pour qu'elle remplace notre Poisson d'Avril !
Les Vacances de Printemps : C'est l'équivalent de nos vacances de Pâques. Grâce au mod mentionné plus haut, il s'agit d'une journée sans école, réservée uniquement aux enfants et aux adolescents. Pour chaque journée de vacances scolaires, à l'exception des journées spéciales, j'ai suggéré une activité à réaliser, mais je prévois d'ajouter de nouvelles traditions au fil des ans, ou en fonction du gameplay que je développe.
La Fête des Œufs : Pas besoin de longues explications : c'est Pâques ! Malheureusement, je n'ai pas pu faire en sorte que cela tombe un dimanche, sous peine de tout décaler. Du coup, j'imagine que mes Sims prendront un jour de congé ou organiseront un grand repas le soir.
Le Jour du Repos : C'est le premier véritable jour férié de mon calendrier : la Fête du Travail ! Bon, pas de chance, c'est un samedi… mais comme dans la vraie vie, on ne choisit pas quand tombe le 1er mai. Et puis, il y a des Sims qui travaillent le week-end ; je suis sûre qu'ils seront ravis !
La Fête du Livre : Le cinéma a sa journée dédiée, alors pourquoi pas la littérature ? Je n'emmène pas souvent mes Sims à la bibliothèque, ce sera l'occasion parfaite pour le faire !
La journée de la Solidarité : Inspirée d'une vraie journée, j'ai choisi d'en faire un jour dédié à la générosité. Au programme : apprécier ce que l'on a et soutenir ceux qui en ont besoin. Ce pourrait être l'occasion pour les Sims célèbres d'organiser un gala de bienfaisance !
La Fête de la Famille : Je voulais créer une journée pour célébrer les gardiens de nos Sims, qu'il s'agisse d'un membre de la famille (parents, grands-parents, adelphes…) ou de toute autre personne prenant soin d'eux.
La Fête de la Musique : C’est un événement très populaire, donc je ne pouvais absolument pas passer à côté ! Que ce soit à la maison ou dans les rues, chaque Sims peut exprimer sa passion pour la musique.
Le Jour du Feux de joie : Inspiré de la fête de la Saint-Jean, ce jour marque l'arrivée de l'été. Elle peut prendre plusieurs formes : organiser un barbecue en plein air ou attendre la tombée de la nuit pour danser et chanter autour d'un feu. J'avais pensé ajouter la tradition "enlever ses vêtements", mais c'était pas très kids-friendly...
La Journée de la Terre : Un peu comme la journée de la générosité, ce jour est dédié à l'écologie. C'est l'occasion idéale de se mettre au jardinage, d'installer des panneaux solaires ou des éoliennes, de faire du bénévolat à un nettoyage de plage, ou même de faire un petit don annuel à une association de protection de l'environnement, comme "La parole aux arbres". Une belle manière de prendre soin de la planète !
La Fête de la Nation : Deuxième jour férié de mon calendrier, elle correspond à notre 14 juillet ! C'est une journée particulièrement appréciée par les Sims travaillant dans la carrière politique.
Les Vacances d'Été : Je trouve qu'il manque vraiment des vacances d'été dans le jeu, et c'est une des raisons pour lesquelles je m'ennuie rapidement avec les enfants. J'ai l'impression qu'ils sont constamment à l'école (et s'ils sont inscrits à une activité extra-scolaire, on ne les voit plus du tout !). Pour ce qui est des adolescents, depuis l'extension Années Lycée, je trouve qu'on en profite un peu plus. Mais dans mon calendrier, il me tenait absolument à cœur d'ajouter une semaine de vacances scolaires pour que l'on puisse pleinement profiter de l'été. Les possibilités sont nombreuses : on peut envoyer ses enfants en colonie de vacances (comme un camp scout à Granite Falls), les faire séjourner chez un membre de la famille, ou encore organiser une journée entre amis dans un centre de loisirs grâce aux groupes. Et bien sûr, il est aussi possible de partir en vacances en famille à l'autre bout du monde, à condition que les adultes prennent quelques jours de congé !
J'imagine que les Sims travaillant dans la carrière éducation pourraient également bénéficier de quelques jours de congé pendant cette période.
La Nuit des Étoiles : Cet événement m'a été suggéré par une amie et il correspond à la période des Perséides. Si comme moi vous ne savez pas ce que c'est : il s'agit d'une pluie de météores annuelle qui se déroule chaque été, généralement entre le 17 juillet et le 24 août. C'est l'occasion idéale pour observer des étoiles filantes, souvent visibles à l'œil nu, surtout lors des nuits dégagées et loin des lumières de la ville.
La Rentrée Scolaire : Parce que toutes les bonnes choses ont une fin... C'est le moment pour nos petits Sims de prendre de bonnes résolutions !
La Journée du Patrimoine : C'est une journée européenne bien connue, et j'ai choisi de l'élargir pour en faire une célébration de toutes les formes d'arts. J'imagine que ce jour-là, les musées sont gratuits et des réductions sont offertes pour les spectacles, permettant aux Sims de découvrir de nouvelles œuvres ou de participer à un événement culturel.
Voilà pour la première partie !
*Je n'ai pas inclus le lien de ces mod car la moddeuse n'est pas recommandable. Je vous encourage à vous renseigner avant de télécharger quoi que ce soit, afin de soutenir des personnes respectueuses, éthiques et de confiance. Je vous tiendrai informés dès que j’aurai trouvé des alternatives intéressantes pour remplacer ce contenu.
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Fat Tradwife
Le mouvement Tradwife (abréviation de Traditional Wife, épouse traditionnelle) est un mouvement réactionnaire et antiféministe prônant le retour d'un rôle de la femme mariée comme femme au foyer. les tradwifes sont des femmes traditionnelles, elles sont soumises à leur mari et restent à la maison s'occuper des enfants et de la maison. Il y a pourtant un élément qui est souvent oublié. Une tradwife pour être complète doit voir son corps se transformer. La taille fine du début de relation doit laisser place à des courbes généreuses, symboles de la dévotion de la femme à son mari, en grossissant elle endossera le vrai rôle d'une mère au foyer prenant du poids par manque d'activité et par l'enfantement de plusieurs enfants. De plus elle montrera par un corps plus épais qu'elle ne cherche pas à séduire d'autres hommes, elle préserve sa beauté pour son mari qui sera le seul à la voir belle. Par cela elle remplira d'avantage le prérequis d'une tradwife : offrir de la sécurité à son mari. De plus elle lui offrira du confort par ses courbes rondes et douces. Elle augmentera également sa pudeur, là où les femmes musulmanes mettent un voile et des vêtements amples pour cacher leur corps et beautés, les tradwifes cacheront leurs atouts par leur graisse. au plus elles grossiront au plus leur pudeur augmentera, cette pudeur sera superieure à celle des musulmanes car leurs graisse ne pourra être retirée comme un voile. Elles porteront leur pudeur partout où elles seront, fusionnant leur identité avec leur corps gros en expansion. Une femme plus grosse perdra de l’autonomie vis-à-vis de son mari, elle sera plus soumise à lui, devant obéir à ses injonctions de prises de poids. Elle abandonnera son corps à son mari qui pourra le remodeler à sa guise. Elle montrera alors un dévouement total à la volonté de son homme. De plus sa prise de poids augmentera sa docilité en la rendant plus douce et réservée. La tradwife parfaite doit donc être une femme en surpoids ou encore mieux une femme mince grossissant progressivement pour devenir une magnifique grosse femme.
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Annexe avant contexte ?
Et pourquoi pas ? J'ai bien envie de lancer des idées dans un ordre aléatoire, histoire de prouver que la refonte avance quand même. Le contexte bouge encore un peu, possible que ça soit encore le cas mais, pour cette annexe que je m'apprête à vous partager, peu de chance qu'elle se transforme.
Alors, bonne lecture p'tit fantôme !
Possession Fait d'être possédé.
Oh, croyez-moi, ça n'a rien de drôle. Si le fantôme qui se glisse dans votre enveloppe corporelle s'amuse à vous tourmenter du matin au soir, sachez que ça n'est pas une partie de plaisir pour vous. Prisonnier de votre propre corps, sans capacité à en reprendre le contrôle, marionnette d'une âme qui n'est pas la vôtre. À Burtondale, les cas de possession sont rares, mais ils existent.
Ils peuvent toucher n'importe qui, ou presque. Si vous êtes l'incarnation d'une âme qui foulait autrefois la ville, alors vous serez épargné par ce fléau. En effet, ils reconnaissent en vous la personne que vous avez été par le passé. Pour les autres, que vous ayez un don, que vous croyez ou non à l'existence des esprits, ils n'en ont que faire.
Comment ça marche ?
· Dans le cadre d'une possession après validation, il vous faut lancer le dé possession. Le résultat peut vous afficher les messages suivants : Oui ou Non. Dès lors que vous avez une réponse positive, votre personnage sera possédé pour une durée de 6 mois irl. Attention Veillez à ne pas faire partie du groupe Ghosts auquel cas la demande de possession ne sera pas prise en compte.
· Dans le cadre d'une possession au moment de la rédaction de votre fiche, merci de bien vouloir vérifier, d'une part, qu'il reste des place dans la liste ci-dessous, et d'autre part, d'en avertir le staff en envoyant un MP à @Pandora Crimson afin que la place vous soit réservée jusqu'à validation de votre fiche.
· La façon dont vous vous faites posséder doit se jouer inrp, à moins d'être possédé dès votre entrée en jeu. Dans ce cas, la possession prend effet une fois la fiche validée.
· Durant ces six mois, votre personnage ne pourra plus agir selon ses propres moyens. Il faudra donc prendre en compte inrp le fait que ses actions et paroles n'ont rien à voir avec ce qu'il a l'habitude de dire ou de faire.
· Pour une question de logique, puisque la possession est un événement rare à Burtondale, nous limitons la liste des personnages possédés à 3. Elle est affichée ci-dessous et vous pourrez la consulter aussi souvent que besoin pour vous assurer qu'une place est libre.
La liste des possédés en ville :
❭ Nom & Prénom du 00.00. au 00.00 ❭ Nom & Prénom du 00.00. au 00.00 ❭ Nom & Prénom du 00.00. au 00.00
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Séraphine Louis
Voici un des tableaux qui me fascinent le plus de Séraphine Louis, dite Séraphine de Senlis ou encore Séraphine Sans Rivale - surnom qu'elle s'était attribuée lors de son déclin vers la folie. Cette artiste souffrait d'une pathologie chronique fantastique très rare.
Elle a vécu ses jeunes années dans la pauvreté et, orpheline, sa grande sœur ne pouvant plus subvenir aux besoins de la famille, la fit travailler.
Elle a notamment été dans un couvent où elle a eu une révélation : elle voulait peindre, elle avait vu un ange qui lui demandait de peindre en l'honneur de la Vierge Marie.
Séraphine ne pouvant devenir none, a travaillé aux services de riches bourgeois et put ainsi, en cachette, glaner quelques cours de peinture que recevaient ses jeunes clients.
Séraphine dépensait tout son argent en des matériaux pour ses peintures - palettes de couleur qu'elle fabriquait elle-même. On sait par exemple aujourd'hui, suite à l'analyse de ses peintures, qu'elles contenaient son sang, de l'eau bénite également.
Autodidacte donc, elle se met en position de prière le soir et, agenouillée, elle peint des fruits et des plantes, le jardin d'Eden. Elle peignait ainsi toute la nuit, sans dormir, et travaillait puis dépensait à nouveau tout son argent pour des toiles, des pinceaux...
Elle avait du talent, et son Ange lui disait quoi faire. Un jour, un petit gars (qui n'est pas Freud) qui s'appelait Udhe remarqua la splendeur, la particularité de ses tableaux et il fut fasciné par le spectacle auquel il a assisté plus tard : Séraphine en trans, en train de produire une énième toile. Le marchant d'art avait la dame à l'oeil, voyant en elle une artiste au style unique et à la production absolument florissante.
Après réticence de la part de l'artiste, il finit par acheter un tableau et faire parler de l'artiste qui entendait des voix. Séraphine commença alors à ne plus peindre simplement pour la Sainte Vierge mais pour des clients. Ainsi, elle s'enrichit et les symptômes d'une psychose fantastique chronique s'aggravèrent.
Elle qui était douce, réservée, timide, devint avar, vulgaire et frappait à toute les portes pour prévenir que la fin de notre monde arrivait. Elle parlait de l'Apocalypse, que tous le monde était pêcheur etc.
Elle fut internée et ne peigna plus jamais : à la place, elle écrivait ce qui devait arriver pendant l'apocalypse et rédigeait également des courriers d'insultes à tous ceux.celles qu'elle connaissait, y compris ceux.celles qu'elle ne connaissait pas. Elle écrivait sur des feuilles blanches qui se noircissaient agressivement ; Séraphine écrivant de façon frénétique, sans s'arrêter. Les murs de sa chambre étaient également couverts de signes, d'écritures.
Pendant l'occupation allemande, les asiles étaient sévèrement touchés par la négligence et le mépris évident des nazis pour les personnes handicapées. Ils ne bénéficiaient que de très faibles rations comparés au reste de la population.
On sait qu'elle mangeait parfois de l'herbe de la cour. C'est ce qu'on a retrouvé dans les archives de l'hôpital.
Séraphine mourut seule, de faim. Mais sans rivale.
C'est l'une des premières si ce n'est la première artiste à donner naissance à l'art naïf.
Bien, maintenant que je vous ai dit tout ça, je vous invite à regarder ses tableaux :
Ses tableaux sont très vifs et je trouve qu'on voit comme plein d'yeux et de formes tentaculaires.
Voilà j'avais envie de commencer par ça. J'espère que vous avez trouvé ça intéressant. Il y a un film à son sujet qui porte son nom, si vous voulez et son article Wiki n'est pas mal.
Merci de m'avoir lu
- Lisa.
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Grandeur exclusive : Le paradoxe de l’Opéra Garnier
Quelle surprise d'apprendre que j'allais assister à l'une des quatre représentations du ballet de Lausanne à l'Opéra Garnier ! C'est un privilège que de pouvoir accéder à un spectacle dans ce lieu emblématique de Paris. Son architecture fait une forte impression par ses ornementations et ses dimensions. Le jour de la représentation, j'ai donc tout de suite été subjugué par la grandeur de ce lieu. La façade imposante se dresse devant moi comme un portail, permettant aux plus privilégiés qui possèdent un billet d'accéder à ce lieu. N'y a-t-il donc pas un aspect contradictoire à cette grandeur qui, dont l'entrée est réservée à une minorité ? Et est-ce qu'elle n'est pas en réalité exclusive ?
L'Opéra Garnier n'est pas confiné, il est grandiose. L'entrée se fait en plusieurs étapes successives, plus surprenantes les unes que les autres. De l'entrée dans le hall, en passant par le grand escalier, le grand foyer jusqu'à l'arrivée dans la salle par de petits couloirs, tout est pensé pour émerveiller et sortir le visiteur de son quotidien. Le grand foyer, avec ses lustres scintillants et ses marbres colorés, invite à la rêverie. L'esprit est alors dans le registre du "grand" et de l'évasion. J'ai moi-même oublié lors de cette expérience mon quotidien, pour laisser place aux émotions et à l'admiration. La salle de spectacle dite " à l'italienne" offre un auteur de plafond importante ce qui contribue à créer ce sentiment de grandeur. De plus, le lieu en lui-même a pour fonction d'accueillir du public et de s'ouvrir à quiconque achèterait un billet. Et l'Opéra Garnier est mondialement connu, donc grandiose dans son influence.
Cependant, les spectacles de l'Opéra Garnier ont beau être grands dans leur ampleur, ils restent petits en termes de diffusion. Malgré tous les éléments révélant la grandeur du lieu, un sentiment de privilège me poursuivait durant la totalité de l'expérience. Dès lors que j'arrivais dans la salle, je m'attendais à voir plus de sièges. Je me fis la remarque qu'il était dommage qu'un si beau spectacle ne soit visible que 4 soirs dans l'année à l'Opéra Garnier et seulement par ce nombre réduit de spectateurs. De plus, il est évident qu’il s’agit d’un public de niche qui a la possibilité de s’offrir une place, et qui en plus de cela va être intéressée par le domaine culturel proposé. D’un côté, j’ai remarqué aussi une certaine intimité qui s’installe dans la salle lorsque le spectacle commence. Les sièges sont rapprochés les uns des autres, et je pouvais presque entendre le rythme du souffle de ma voisine de siège. Certains spectateurs sont assis dans des loges, et peuvent ainsi avoir un certain confinement vis-à-vis des autres spectateurs. Ceci n’étant pas forcément un aspect négatif, mais amène à se questionner sur la grandeur du lieu.
Cette expérience culturelle, partagée entre émerveillement et cloisonnement, m'a notamment amené à d'autres questionnements. En réalité le sentiment de grandeur n'est-il pas dépendant d'un sentiment d'exclusivité ? Où, en posant la question dans un autre sens, est-ce que la grandiosité existe dans un cercle plus élargi qu'un public de niche ? Il est évident que pour que quelque chose soit considéré comme hors du commun, il ne doit pas faire partie du quotidien. Mais un éloignement de la vie commune ne devrait pas, dans ce cas, vouloir dire s'adresser uniquement à un public particulier.
Photographie prise depuis le grand foyer où on peut voir la hauteur sous plafond.
NB de caractère sans espace : 2880
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⛔ OÙ PASSEREZ-VOUS VOTRE ÉTERNITÉ ?❓⛔
Cher ami, EST-CE UTILE DE SE CONVERTIR ?❓
S'il s'agissait d'un détail, vous vous tireriez facilement d'affaire s'il s'avérait ultérieurement que vous aviez tort. Et vous seriez sur vos gardes pour la fois suivante. Mais quant à la conversion il s'agit de savoir où vous passerez l'éternité. C'est si important, qu'il vous faut être au clair à ce sujet.
Avez-vous déjà pensé à l'éternité ? Je vous accorde que nous ne pourrons jamais comprendre ce qu'elle est avant d'y être. Mais il vaut bien la peine d'y penser une fois sérieusement, pour en avoir au moins une petite idée, n'est-ce pas ?
Que sont dix, cinquante, quatre-vingts ou même cent ans, en face de l'éternité ? N'importe-t-il pas alors de savoir où et comment nous la passerons ?
Vous êtes allé pendant plus de dix ans à l'école ; vous travaillez toute la journée et le soir vous étudiez encore pour améliorer votre position.
Ainsi, pendant une vingtaine d'années, vous travaillez d'arrache-pied, pour gagner ensuite largement votre vie pendant une quarantaine d'années et pour vivre peut-être de votre retraite ou de vos économies pendant dix ans, ou, si vous parvenez à un âge avancé, pendant quelque vingt ans.
Que penseriez-vous de parents qui n'enverraient pas leurs enfants à l'école et ne leur feraient pas apprendre de métier, arguant : « qu'ils jouent tranquillement sans penser à l'avenir ! Lorsqu'ils auront atteint l'âge de pourvoir eux-mêmes à leurs besoins, ils sauront bien se débrouiller seuls » ?
Si donc vous prenez tant de peine et sacrifiez tant d'années de votre vie pour avoir de quoi vivre confortablement cinquante ou soixante ans au plus, n'êtes-vous pas inexcusable de ne pas penser à l'éternité et de ne pas vous occuper de cette question : Où passerai-je l'éternité ? D'autant plus que vous ne pouvez absolument pas savoir si vous obtiendrez une bonne place, si vous ne tomberez pas malade ou ne mourrez pas avant d'y parvenir. Mais vous savez parfaitement que l'éternité est devant vous.
« IL EST RÉSERVÉ AUX HOMMES de MOURIR UNE fois. » Cette affirmation de la Bible (Hébreux 9:27) n'a encore jamais été mise en doute, pas même par les plus grands moqueurs et les athées les plus endurcis. Ils n'osent pas y toucher : on se moquerait d'eux ; car qui n'a pas encore vu la mort frapper dans son entourage ?
Mais comment continue ce verset ? « ET APRÈS CELA LE JUGEMENT ». N'est-ce pas une folie impardonnable que de ne se préoccuper de rien et de laisser les choses suivre leur cours ?
Certes, une fois vous verrez vous-même où vous passerez l'éternité. Mais… alors il n'y aura plus moyen de changer pour toute l'éternité. Car « A l'endroit où l'arbre sera tombé, là il sera » (Ecclésiaste 11:3).
Vous direz peut-être : Rien ne presse ! J'ai de toute façon déjà tant à faire. Et vous ne voulez pas consacrer vos heures de détente à des sujets aussi sinistres que la mort. Vous croyez que vous aurez encore le temps de penser à ces choses lorsque vous serez un peu plus âgé, que vous aurez joui de la vie et que vous aurez davantage de loisirs.
🌟 Etes-vous sûr de vivre encore cinquante ans ? ou trente ans ? ou seulement dix ? ou encore douze mois ? douze heures même ?
Et même si vous deviez vivre encore longtemps, voudriez-vous faire ce qui vous plaît tant que vous serez jeune et en bonne santé, et ne laisser à Dieu que le reste ? Si vous choisissez de vivre ainsi (et que vous restiez en vie), Dieu vous acceptera-t-il encore ?
Certes, « DIEU… VEUT QUE TOUS LES HOMMES SOIENT SAUVÉS » (1 Timothée. 2:4) ; à tous les hommes il dit : « SOYEZ RÉCONCILIÉS AVEC DIEU » (2 Corinthiens 5:20). Il a reçu le brigand de la croix et des milliers d'autres qui se sont tournés vers Lui sur leur lit de mort. J'ai connu une dame qui était âgée de quatre-vingt-cinq ans lorsqu'elle s'est convertie.
En Job 33, nous voyons que Dieu parle une fois, et deux fois à l'homme, et si celui-ci n'y prend pas garde, il « scelle l'instruction qu'il leur donne ». Lorsque le Pharaon eut refusé plusieurs fois d'obéir, Dieu endurcit son coeur, de sorte qu'il ne put plus se convertir (Exode 11:10) .
Après l'enlèvement de l'Église, Dieu enverra à tous ceux qui auront entendu l'Évangile mais qui n'auront pas cru, « une énergie d'erreur… afin que tous ceux-là soient jugés qui n'ont pas cru la vérité » (2 Thessaloniciens. 2:11, 12).
Dieu peut aussi agir ainsi à votre égard si vous persistez à repousser son invitation à vous CONVERTIR.
« Dieu donc, ayant passé par-dessus les temps de l'ignorance, ordonne maintenant aux hommes que tous, en tous lieux, ils se repentent ; parce qu'il a établi un jour auquel il doit juger en justice la terre habitée, par l'homme qu'il a destiné à cela, de quoi il a donné une preuve certaine à tous, l'ayant ressuscité d'entre les morts » (Actes 17:30, 31).
Ne voulez-vous donc pas considérer la chose avec sérieux et venir maintenant à Dieu, pour Lui confesser vos péchés et Lui demander de vous recevoir ?
« Nous sommes donc ambassadeurs pour Christ, - Dieu, pour ainsi dire, exhortant par notre moyen ; NOUS SUPPLIONS pour Christ : Soyez réconciliés avec Dieu ! Celui qui n'a pas connu le péché, il l'a fait péché pour nous, afin que nous devinssions justice de Dieu en Lui » (2 Corinthiens 5:20, 21).
Jésus dit... je ne mettrai pas dehors celui qui vient à moi. (Jean 6:37).
*REPENTEZ-VOUS DONC ET CONVERTISSEZ-VOUS, POUR QUE VOS PÉCHÉS SOIENT EFFACÉS.* (Actes 3:19)
« Celui qui écoute ma parole, et qui croit à celui qui m'a envoyé, a la vie éternelle et ne vient point en JUGEMENT, mais il est passé de la mort à la vie.» (Jean 5:24)
«Celui qui croit au Fils a la vie éternelle; celui qui ne croit pas au Fils ne verra point la vie, mais la colère de Dieu demeure sur lui.» (Jean 3:36)
COMMENT ÉCHAPPEREZ-VOUS AU TOURMENTS ÉTERNEL SI VOUS MOUREZ SANS CHRIST ?
AVEZ-VOUS DÉJÀ PENSÉ À L'ÉTERNITÉ❓
« AUJOURD'HUI, SI VOUS ENTENDEZ SA VOIX, N'ENDURCISSEZ PAS VOS COEURS » (Hébreux. 4:7) !
Pour toute question Veillez nous rejoindre sur
229 65 83 44 97
Votre frère Didier Ahogbedji
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NEW FANFIC SERIE - PROBLEMATIC SEASON 3
18+ content, minors dni
/!\ MAJOR SMUT, +18 CONTENT /!\
NOTE : this is all for fun, please keep in mind that no hate is sent to any of the people mentioned, THIS IS A FANFIC FOR FUN 🩷
All of the people mentioned in the fanfic are adults
FR FANFIC
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EPISODE 9 : FUCKSGIVING PT.1
« Euh Jang… t’as réservé la résidence ShinSoo pour thanksgiving ? » tu lui demandes en levant un sourcil.
Jang te rectifie « FUCKsgiving, et oui, c’est qu’une seule fois dans l’année donc je fais ça bien »
« TROP BIEN » s’exclame Iroha en sautillant comme un bébé kangourou.
Vous avancez dans le couloir afin de vous rendre à la cafétéria.
« Et du coup Fatou va venir te voir pour noël ? » demande Jang.
« Hm… probablement, pourquoi ? » tu lui réponds.
« Pour savoir si j’emmène San avec moi ou pas » repond t’elle en ricanant.
« PAS DE ÇA À NOËL » tu réponds à Jang
« Ça vaaaaa » te répond t’elle en levant les yeux au ciel.
Vous vous asseyez à la table de Natty, Youngseo, Julie et Ning.
Vous êtes toutes réunies autour d'une table dans la cafétéria, partageant un repas et discutant animément.
Natty semble absorbée par son assiette, savourant chaque bouchée avec un léger sourire sur les lèvres.
Ning, un peu distante, joue distraitement avec sa nourriture, son regard parfois perdu dans le vide.
Julie est engagée dans une conversation animée avec Jang, leurs rires ponctuant l'atmosphère.
Iroha participe activement à la discussion, ses yeux pétillants d'enthousiasme alors qu'elle partage ses idées.
Jang semble détendue, profitant de l'instant présent en échangeant des blagues avec Julie.
Youngseo, quant à elle, semble plongée dans ses pensées, un léger froncement de sourcils trahissant sa concentration. Et toi, tu te sens bien entourée, appréciant la compagnie de tes amies et le moment passé ensemble.
« Oh non » dis Julie en regardant vers l’entrée de la cafétéria.
Eric et Hunter entrent dans la cafétéria, leurs corps athlétiques attirant les regards alors qu'ils se dirigent vers une table.
Leurs muscles saillants trahissent l'effort physique récent, des gouttes de sueur perlant encore sur leurs fronts. Leurs démarches confiantes dégagent une aura de détermination et de force, ajoutant une touche de charisme à leur présence dans la pièce.
Les regards se tournent brièvement vers eux alors qu'ils trouvent leur place à une table, leur silhouette imposante captant l'attention de ceux qui les entourent.
Ning détourne le regard à l'arrivée d’Hunter avec Éric dans la cafétéria. Son visage, habituellement lumineux, semble se figer un instant, comme si elle était surprise ou déconcertée de le voir.
Ses yeux montrent une légère tension, peut-être une pointe de tristesse ou de nostalgie, tandis qu'elle détourne rapidement le regard pour éviter tout contact visuel prolongé avec lui.
« Tu veux que j’aille lui casser la gueule ? » demande Natty en lâchant sa fourchette.
« Non Natty c’est b- » a t’elle à peine le temps de répondre alors que Natty et Jang se lèvent et partent en direction de la table des garçons.
« NON ARRÊTEZ, REVENEZ LÀ S’IL VOUS PLAÎT » demande Ning discrètement.
Sans aucune surprise, Jang et Natty n’en ont rien à foutre.
Éric et Hunter se retournent, leurs expressions variant entre la surprise et la réserve, alors que Jang et Natty s'approchent de leur table, déterminées.
Leur présence soudaine crée une tension palpable dans la cafétéria, attirant l'attention des autres étudiants.
Les deux hommes semblent méfiants, conscients de l'atmosphère chargée qui règne autour d'eux.
« Hm ? » demande Éric, la bouche pleine de son sandwich au thon.
« C’est pas à toi que je veux parler » répond Natty en se penchant sur la table.
Natty se penche sur la table, attrapant fermement le col du débardeur d'Hunter.
Dans son mouvement, sa mini-jupe glisse légèrement, révélant fugitivement les contours de son string.
Son geste est empreint de détermination, son regard fixé sur Hunter, prête à confronter le passé qui les lie.
« Pourquoi t’as rompu avec Ning au juste ? C’est qui la petite pute que tu te tapes maintenant mon grand ? » demande Natty, maintenant le col du débardeur d’Hunter.
« J’ai pas à m’exprimer là dessus, ça ne regarde que Ning et moi » lui répond Hunter.
Ses paroles sont empreintes de résolution, mais son regard trahit une certaine nervosité face à la confrontation imminente.
« Pédale » répond Natty en relâchant son col.
Éric prend la parole « eh oh calmos Natasha, arrête de prendre la tête comme ça » en regardant fermement Natty, les sourcils froncés.
« 90% des meufs présentent sur ce campus savent quel goût à ta bite et tu oses essayer de parler avec moi ? » réponds Natty en croisant les bras.
Jang porte la main à sa bouche.
« Oui t’en fais partie » dit Natty en regardant Jang avec dégoût.
« On peut éviter d’en parler devant lui ? » demande Jang discrètement.
Natty tourne la tête et regarde à nouveau Hunter.
« Je lâche pas le morceau aussi vite, CROIS MOI » dit-elle en réajustant ses créoles.
Natty et Jang reviennent vers votre table avec une démarche déterminée, affichant une attitude défiante.
Natty fait un geste discret avec ses doigts en direction de Hunter, lui signifiant qu'elle le surveille de près et que cette affaire n'est pas terminée.
« J’ai failli sortir le popcorn » dit Youngseo en mangeant son plat.
« Oh non on va éviter de parler de cinéma quand Jang est présente » blague Julie en faisant référence à leur dernière soirée au cinéma.
Vous pouffez de rire.
« Bon c’est pas tout mais c’est quoi cette histoire de Fucksgiving ? » Julie demande à Jang.
Jang se redresse, donne un mouvement à ses cheveux pour les remettre correctement dans son dos avant de prendre la parole comme si elle allait se présenter aux élections.
« Alors le concept est simple, chaque personne entre et pioche un premier petit papier avec le nom d’une personne, ensuite, deuxième boîte, vous piochez un deuxième petit papier. Vous avez deux noms, vous devez distribuer les papiers aux personnes qui vous ont été chères cette année et que vous voulez remercier ! » dit Jang en souriant.
« Et c’est tout ? t’as réservé toute une résidence pour des petits papiers ? » demande Natty.
« Tu crois vraiment que je me serais arrêtée là ? Après avoir vos deux cavaliers (ou cavalières, vous devrez choisir une pièce, il y aura des photobooth dans toutes les pièces. Chaque personne devra prendre des photos dans le booth avec ses deux autres camarades. Lorsque ce sera fait, vous pourrez vous amuser ou rejoindre le banquet qui sera sécurisé par des agents de sécurité et vos photos seront soumises à vérifications par le comité. Si c’est assez hot, vous pourrez rentrer au banquet et vous amusez toute la nuit dans l’espace nightclub ! » dit-elle, d’un regard déterminé.
Vous regardez toutes Jang, les yeux écarquillés devant son annonce, admirant son esprit créatif.
« Dis donc tu pourrais créer une série Netflix pour ado toi » lui dit Julie.
« Nan ce serait bien trop sexuel » répond Jang et sortant son petit carnet et vous montrant la déco.
« Me dit pas qu’on va devoir décorer nous mêmes ? C’est demain, on a absolument pas le temps » tu dis à Jang en voyant la complexité des décorations (obscènes).
« Nan mais t’es folle, y’a genre une centaine de personnes que mon père a payé qui vont venir décorer cette nuit pour que ce soit prêt demain ». répond Jang comme si c’était évident.
« J’ai grave hâte !! Le concept est sympa» réponds Iroha.
« Merci la jap » répond Jang en lui faisant un clin d’œil.
Vous terminez de manger, aller à vos cours de l’après midi et rentrez à Nymphéa dans la soirée.
Tu te couches sur le canapé du salon de votre residence, la tête sur les cuisses de Kazuha.
Le canapé est spacieux, recouvert d'un tissu doux et confortable.
Les coussins sont moelleux, offrant un soutien parfait pour s'installer confortablement.
Le salon est baigné dans une douce lumière tamisée provenant des lampes élégantes disposées autour de la pièce.
« Mais du coup le concept c’est qu’on pioche deux personnes au hasard, et qu’après on donne ces deux personnes à la personne qu’on aime le plus ? » demande Kazuha, ne comprenant pas les règles.
Jang s'assoit avec une élégance naturelle sur le canapé du salon, croisant les jambes avec grâce.
Son expression est calme et confiante alors qu'elle se prépare à répondre à Kazuha.
Ses gestes sont fluides et assurés, reflétant son assurance et sa maîtrise de la situation.
« Non, tu donnes les papiers à la personne que tu souhaites remercier pour la personne qu’elle a été cette année pour toi, mais évidemment, tu va pas lui donner des personnes qui ne sont pas compatibles avec elle, sinon ça perd tout son sens.
Genre…. tu va pas me donner Hunter » dit Jang en sirotant son jus de Goyave.
« Oh je vois, donc c’est pas vraiment du hasard du coup ? » demande Kazuha.
« Les personnes que tu pioches c’est du hasard, par contre, tu les donnes pas au hasard. Par contre, les photos devront être forcément hot, si jamais y’a Julie et Natty dans le même booth, elles devront au minimum s’embrasser sur les photos quoi » dit Jang d’un air coquin.
« T’es vraiment la plus grosse des coquines toi » dit Julie en ricanant, mangeant des chips sur l’îlot de cuisine.
« Non, j’aime vivre la vie comme elle mérite d’être vécue, et je fais monter la chaleur dans ce campus en plein hiver » répond Jang en ricanant.
« Bon… la journée de demain va être chargée donc moi je vais me coucher » tu dis aux filles.
« Bonne nuit !! » te dit Julie.
Kazuha t’embrasse sur le front avant que tu te lèves du canapé.
« Reposes toi bien ma coquine, prends des forces pour demain » te dit Jang en te regardant d’un air suspicieux.
Elle a encore une idée derrière la tête.
Tu t’endors mais fait un cauchemar.
Dans ton cauchemar, tu te sens prise au piège dans un tourbillon d'émotions confuses et effrayantes.
Des images de moments passés avec Intak se mêlent à des scènes cauchemardesques où tu te sens abandonnée et trahie.
Tu ressens une angoisse profonde et un sentiment d'impuissance alors que tu cherches désespérément une issue à ce cauchemar oppressant.
Chaque pensée à Intak semble être entachée de douleur et de tristesse, amplifiant ton malaise et ton désarroi.
Soudainement, Intak te plante un couteau en plein cœur, te regarde dans les yeux et te dit « Maintenant tu va souffrir comme tu m’a fait souffert »
Tu te réveilles en sursaut.
Tu te lèves du lit, encore secouée par le cauchemar, et tu te diriges vers la salle de bain.
L'eau fraîche sur ton visage apaise quelque peu tes pensées tourmentées, te ramenant peu à peu à la réalité.
Chaque goutte qui tombe semble emporter avec elle une partie de ton anxiété, t'offrant un bref répit dans la nuit troublée.
Tu bois de l’eau et retourne te coucher.
Le jour se lève doucement sur le campus, teintant le ciel de teintes chaudes d'orange et de rose.
L'air est imprégné d'une atmosphère paisible et festive, alors que l'excitation de Thanksgiving se fait sentir dans l'air.
Les étudiants commencent à se préparer pour la journée spéciale, tandis que l'odeur alléchante de la cuisine flotte déjà dans les couloirs des résidences. Les décorations automnales ajoutent une touche de chaleur et de convivialité à l'atmosphère, rappelant à tous l'esprit de partage et de gratitude de cette journée spéciale.
Iroha déboule dans ta chambre à tout vitesse dans un ensemble porte jarretelle en dentelle rouge.
« C’est bien pour ce soir ça non ?? » te demande t’elle.
« Hm ? Bonjour ? » tu lui dis en gémissant.
« Oh t’as mal dormi toi » dit-elle en se penchant au dessus de ton visage.
Tu ouvres les yeux sur la poitrine d’Iroha, mise en valeur dans son soutien gorge push-up rouge en dentelle.
« T’es en lingerie Iroha, c’est Thanksgiving, tu va peut être mettre un truc un peu plus décent non ? » tu lui dit en t’asseyant et te frottant les yeux.
« c’est FUCKSGIVING » dit-elle en sautillant sur ton lit.
« Non, c’est juste une idée cochonne de Jang, mais je te promets qu’une robe moulante fera l’affaire aussi » tu lui réponds en refermant les yeux.
« OK JE VAIS VOIR CE QUE J’AI » dit-elle en courant dans sa chambre.
Alors que tu refermes les yeux pour te réveiller doucement tu entends une voix de SALOPE te dire « prête à te faire fourrer comme la dinde de thanksgiving ? »
tu ouvres les yeux et voit Jang avec un grand sourire.
« Tu sais que si mes cavaliers ne me conviennent pas je ne ferais pas de photos hot Jang » tu lui dit d’un air suffisant.
« t’es bad nulle, même pas tu veux jouer le jeu » dit Jang en croisant les bras.
« Imagine je tombe sur Mingi ? ou Jay ? OU SAN ? » tu lui réponds en citant avec tes doigts.
« Oulalala mais personne va te donner San t’en fais pas » dit-elle en se regardant dans l’un de tes miroirs.
« Comment tu peux en être si sûre ? » tu lui demandes en croisant les bras.
Elle se retourne vers toi et te dit en ricanant « Je l’ai pas mit dans les papiers ».
Le rire éclate entre Jang et toi, remplissant la pièce d'une ambiance légère et joyeuse.
« ET LÀ ? » hurle Iroha, débarquant dans ta chambre vêtue d'une robe en latex rose poudré qui épouse parfaitement les courbes de son corps.
La matière brillante accentue chaque mouvement, mettant en valeur sa silhouette élégante et gracieuse. Les lignes épurées et le coloris délicat de la robe ajoutent une touche de sophistication à son allure, captivant le regard de manière saisissante.
« Une vraie petite capote, t’es dans le thème » dit Jang en ricanant.
« Toute rose, pour être dans la bouche de Jake » répond Iroha en ricanant.
Jang lève les sourcils et lui répond « Tu aura deux personnes avec toi ma belle, n’oublie pas, sinon… pas de nightclub » en bougeant son index.
Elle sort de ta chambre en disant « Toutefois, la robe est sympa ».
Iroha s’incline difficilement, remerciant Jang pour son compliment.
« J’ai rien à me mettre en plus pour ce soir » tu dis à Iroha en remettant ta tête dans un coussin.
Iroha retire la couette de ton lit en te disant « DEBOUT ON VA FAIRE LES MAGASINS ».
Vous passez une journée animée avec Iroha dans le centre de Los Angeles.
Vous commencez par parcourir les boutiques de vêtements, explorant les dernières tendances et dénichant des pièces uniques qui reflètent ton style doux mais coquin.
Ensuite, vous faites une pause pour déjeuner, savourant un repas délicieux dans l'un des restaurants branchés de la ville.
Après avoir rechargé vos batteries, vous partez à la recherche du maquillage parfait et des chaussures qui compléteront ta tenue pour ce soir.
Entre rires, discussions et découvertes, vous profitez pleinement de chaque instant passé ensemble, créant des souvenirs inoubliables.
19h, vous rentrez à Nymphéa pour vous préparer.
Iroha est resplendissante dans sa robe en latex, accentuant ses courbes de manière spectaculaire. Sa longue queue de cheval blonde, étoffée avec des extensions capillaires, ajoute une touche de glamour à son look.
Elle rayonne de confiance et d'élégance.
Iroha porte également des talons hauts qui allongent sa silhouette et mettent en valeur ses jambes galbées.
Son maquillage est impeccable, avec des nuances de rose et de bronze qui complètent parfaitement sa tenue. Elle porte des boucles d'oreilles scintillantes, ajoutant une touche finale à son look sophistiqué.
Sa démarche gracieuse et assurée témoigne de sa confiance en elle, prête à briller lors de la soirée.
Tu termines de te préparer et jette un coup d’œil à ta silhouette dans le miroir avant de rejoindre les filles dans le salon.
Ta robe noire mi-cuisses est élégante avec un long ruban blanc qui accentue ta poitrine. Les manches longues ajoutent une touche de sophistication et de mystère à ta tenue. Avec cette robe, tu te sens à la fois élégante et confortable, prête à profiter de la soirée.
La robe noire est ajustée, mettant en valeur tes courbes de manière subtile mais flatteuse.
Le ruban blanc ajoute une touche de contraste et d'élégance à l'ensemble, créant un joli contraste avec le noir profond de la robe.
Tes cheveux détachés et légèrement ondulés ajoutent une touche de décontraction et de glamour à ta tenue.
Ils encadrent doucement ton visage, mettant en valeur tes traits et ajoutant une dimension supplémentaire à ton look.
L'ondulation subtile apporte également une touche de texture et de mouvement à ta coiffure, parfaitement assortie à l'élégance de ta robe noire.
Tu arrives dans le salon et est bouche bée devant les filles.. elles sont toutes sublimes.
Ning est vêtue d’une robe fine et flottante avec des petits papillons roses, Julie porte une robe à paillettes d’un violet profond et Natty est vêtue d’une robe noire moulante, bien plus sexy que la tienne, allant avec son tempérament plus explosif.
Jang ouvre la porte d’entrée, sa présence éblouit la pièce. Vêtue d'une robe courte scintillante ornée de diamants, elle capte instantanément tous les regards.
Ses longs cheveux lisses descendent gracieusement sur ses épaules, formant des cascades luxuriantes dans son dos. Pour compléter son look, elle porte une longue fourrure blanche qui ajoute une touche de glamour et de sophistication à sa tenue déjà éblouissante.
La robe de Jang scintille à chaque mouvement, capturant la lumière ambiante et créant des éclats de diamants dans la pièce.
Sa coupe courte met en valeur ses jambes élancées tandis que la délicate traine de la robe ajoute une touche de grâce à son allure. Ses cheveux soyeux reflètent la lumière et encadrent délicatement son visage angélique.
Avec son élégance naturelle et sa prestance majestueuse, elle rayonne de confiance et de charisme alors qu'elle entre dans la pièce et attrape un cocktail sur l’îlot de cuise.
« Vous êtes prêtes à vivre le Fucksgiving le plus HOT de votre VIE ? » dit elle en levant un cocktail dans les airs.
Vous riez toutes ensemble et partez en direction de la soirée.
Alors que vous vous dirigez vers la résidence ShinSoo, l'excitation monte dans l'air.
Le campus est illuminé par les lumières de la ville, et vous pouvez entendre le bourdonnement de l'activité nocturne.
Les éclats de rire et les conversations animées remplissent l'atmosphère alors que vous approchez de votre destination. Les passants sont vêtus de tenues plus élégantes les unes que les autres ajoutant une touche festive à la soirée.
Une fois arrivées à la résidence, vous êtes accueillies par une ambiance électrique : de la musique retentit depuis l'intérieur, des lumières dansantes se reflètent sur les murs, et l'excitation est palpable dans l'air.
Vous retrouvez Kazuha et Youngseo qui vous attendaient sur place.
« QU’EST CE QUE J’AIME CETTE UNIVERSITÉ » crie Jang.
« Tu les as littéralement soudoyés pour faire ta soirée immorale Jang » lui dit Kazuha en regardant a plusieurs fois la robe en latex d’Iroha, se demandant si elle avait réellement mit une robe en latex pour fêter Thanksgiving.
« RENTRONS » crie Jang.
Vous rentrez chacune votre tour et passez le SAS où vous trouvez chacune la première box.
Alors que les filles piochent leurs petits papiers, tu peux ressentir ton cœur battre tellement fort qu’il pourrait sortir de ta poitrine.
Iroha attrape ta main, te voyant nerveuse.
« Ça va aller !! Je vais croiser les doigts pour avoir Junghwan comme ça je te le donnerai ! » dit-elle en souriant, se prêtant beaucoup plus au jeu que toi.
Iroha pioche son premier petit papier devant toi en te faisant un clin d’œil et passe derrière le rideau séparant du deuxième SAS.
Ton cœur bat la chamade alors que tu glisses ta main dans la boîte.
Chaque centimètre parcouru semble interminable, et tes doigts effleurent les petits papiers avec appréhension. La tension monte alors que tu attrapes finalement un bout de papier et le retires lentement de la boîte.
Tes mains tremblent légèrement alors que tu déplies le papier pour révéler ce qui se trouve à l'intérieur, l'anticipation grandissant à chaque seconde.
Tu passes le rideau et atteint le deuxième SAS.
Tu inspires profondément, puis plonges à nouveau ta main dans la nouvelle boîte.
Cette fois-ci, tu te sens un peu plus confiant(e), mais l'excitation de découvrir qui se cache parmi les petits papiers persiste.
Avec un peu plus de détermination, tu saisis un autre papier.
Tu prends une grande inspiration avant de passer la double porte.
À ton entrée dans la luxueuse salle de réception, une ambiance envoûtante t'envahit.
Jang a méticuleusement décoré l'espace sur le thème des sept péchés capitaux, créant une atmosphère mystérieuse et intrigante.
Les lumières tamisées ajoutent une touche de mystère, tandis que les teintes riches et sombres des rideaux et des ornements captivent l'œil.
Des sculptures élégantes représentant chacun des péchés ornent les tables, tandis que des bougies parfumées diffusent des senteurs envoûtantes dans l'air.
La salle de réception exsude une atmosphère de tentation et d'envie, chaque détail soigneusement orchestré par Jang pour susciter le désir et inciter à succomber aux péchés.
Les jeux de lumière jouent sur les ombres et les reflets, créant une ambiance mystérieuse et séduisante.
Des œuvres d'art suggestives ornent les murs, évoquant les différents péchés capitaux avec une sensualité troublante.
Chaque élément de la salle semble être conçu pour stimuler les sens et éveiller les passions, invitant les convives à se laisser emporter par leurs désirs les plus profonds, créant une toile de fond parfaite pour une soirée mémorable.
Iroha t’attends, ses papiers à la main.
« T’as pioché qui ? » tu lui demandes, curieuse.
Elle t’envoie une petite tape sur l’épaule en te disant « T’es folle, je t’attendais pour les ouvrir ! »
Ton cœur bat la chamade alors qu'Iroha et toi vous apprêtez à découvrir les noms inscrits sur vos petits papiers respectifs.
Chaque battement résonne dans ta poitrine, témoignant de ton excitation et de ton appréhension à l'idée de découvrir les noms de tes partenaire pour la soirée.
Chaque seconde semble interminable, remplie d'anticipation et d'émotions intenses, alors que tu te prépares à découvrir le mystère qui se cache derrière ces petits bouts de papier.
Tu ouvres le premier petit papier.
« JAY »
Ton cœur bat la chamade lorsque tu découvres que Jay est le premier petit papier.
La panique s'empare de toi et tes pensées s'embrouillent alors que tu cherches une solution pour gérer cette situation inattendue.
« Oh oh » dit Iroha en ouvrant son deuxième petit papier.
Tu relèves la tête et lui « Quoi ? ».
Elle retourne le papier et te montre le nom sur son deuxième papier.
« HUNTER »
Tu ne peux t’empêcher de lui demander « ET QUI EST LE PREMIER ? »
« Montre moi les tiens d’abord » dit-elle, nerveuse.
Tu ouvres le deuxième petit papier et voit le nom inscrit dessus.
« JAKE »
Iroha laisse s’échapper un son de surprise.
« Donne moi tes papiers stp » te demande-t-elle en couinant.
« Mais tu sais même pas qui est sur le premier » tu lui réponds en essayant de lui faire changer d’avis.
Iroha te prends la main avant de te dire « Je t’en supplie donne moi Jake stp stp stp je m’en fiche du deuxième je veux Jakeeeeeee »
« Iroha je peux pas te donner Jake, ça va faire des problèmes pour le deuxième nom» tu lui réponds en pensant à Jang.
Iroha commence à pleurer « Je refuse de laisser Jake a une autre fille ».
Tu te sens perdue, si tu ne donnes pas Jake à Iroha elle pourrait ne jamais te le pardonner, mais si tu lui donnes Jake, elle sera obligée de prendre Jay aussi …
Tu attrapes sa main et lui donne tes deux papiers.
Iroha réagit avec surprise et joie lorsque tu lui donnes tes deux papiers.
Elle te saute dans les bras, exprimant sa gratitude avec enthousiasme.
Ses yeux brillent d'émotion alors qu'elle te serre très fort dans ses petits bras, témoignant de sa reconnaissance pour ton geste.
« Merci merci merci » dit-elle en te faisant pleins de petits bisous.
« Ouvre le deuxième petit papier Iroha » tu lui dis sur un ton un peu plus bas.
Elle ouvre le petit papier et sa mâchoire se décroche.
« Non c’est pas possible, elle va me tuer » te dit Iroha, ne sachant plus quoi faire.
« Ça reste un secret entre nous, c’est juste une photo coquine, Jang ne fait pas partie du comité de validation de la photo et elle le saura jamais » tu dis à Iroha.
« T’es sûre ? » te dit-elle les yeux brillants.
Tu prends sa main et la rassure « Je te protègerais ».
Elle te sourit et te fais un câlin.
« Du coup ? tes papiers ? » tu lui demandes.
Elle te regarde et te tends ses papiers, qu’elle remet dans ta main.
Tu ouvres le premier et voit le nom d’Hunter et fait une petite moue.
Tu commences à ouvrir le deuxième petit papier mais Iroha t’arrête.
« Je peux pas les donner à quelqu’un d’autre, s’il te plaît prends les, je peux pas te faire ça » te dit Iroha, les yeux te demandant déjà pardon.
Tu ouvres le deuxième petit papier.
« INTAK ».
FIN DE L’ÉPISODE 9.
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BRUXELLES - Ce ne sont là que quelques-uns des derniers exemples de touristes qui se comportent mal : un groupe d'invités allemands a renversé une statue vieille de 150 ans dans une villa du nord de l'Italie. Une Danoise s'est exposée alors qu'elle conduisait une moto à Bali. Un Polonais a escaladé un temple sacré fermé à Chichen Itza au Mexique. Les Américains ont harcelé des ours dans le parc national de Yellowstone. Les touristes ont toujours mauvaise presse, par contre les gouvernements repoussent avec plus de force que jamais les visiteurs indisciplinés, déployant une gamme de tactiques pour contrôler les comportements inappropriés tout en avertissant les futurs touristes. Au cours des derniers mois, un certain nombre de pays ont adopté des lois prévoyant des sanctions telles que de lourdes amendes et même des peines de prison. À Bali, les habitants ont une nouvelle hotline qu'ils peuvent employer pour dénoncer les visiteurs, et le pays a expulsé plus de touristes jusqu'à dernièrement cette année qu'il ne l'a fait pour l'ensemble de 2022. "La vieille ville de Dubrovnik n'est pas une discothèque", affirme Mme Jelka Tepsic, adjointe au maire de la ville croate historique. Les gens vivent là-bas, dit-elle. "Ils veulent passer une bonne nuit de repos." Mme Tepsic dit qu'il faut rappeler aux touristes qu'ils se trouvent sur un site du patrimoine mondial de l'Unesco et que certains comportements sont inappropriés : s'asseoir pour manger et boire sur les marches de bâtiments historiques, parcourir des zones réservées aux piétons à vélo ou en scooter, marcher en ville juste en maillot de bain. "Ce n'est pas la plage", dit-elle. La ville a publié une vidéo en juin pour rappeler aux touristes ce qu'ils doivent et ne doivent pas faire. La vidéo, Respect the City, est diffusée sur les bateaux de croisière, sur les vols et dans les aéroports, dans le cadre d'un projet plus vaste qui a débuté en 2018 pour nettoyer l'image de la ville comme étant surpeuplée. Ensuite, il y a le bruit redouté : le clic-clic-clic d'une valise à roulettes traînée dans les rues calcaires par des touristes qui ont quelques heures à tuer avant de se diriger vers un aéroport. "C'est très, très bruyant", ajoute Mme Tepsic. "Dubrovnik a des milliers de marches." Ne soyez pas surpris si vous êtes arrêté par la police : ils ont été chargés de dire aux visiteurs de corriger leur trajectoire lorsqu'ils détectent un attitude indésirable. En Italie, les touristes qui arrêtent leur voiture et obstruent les routes surplombant la baie pittoresque du centre-ville de Portofino seront passibles d'amendes allant jusqu'à 279 euros (413,50 dollars singapouriens). Une ordonnance municipale adoptée en avril interdit aux gens d'entraver la circulation dans ses endroits les plus populaires entre la Piazzetta et la jetée Molo Umberto I de 6h à 18h pendant les mois d'été jusqu'en octobre. Les visiteurs peuvent toujours flâner dans ces quartiers et prendre tous les selfies qu'ils souhaitent devant la place emblématique bordée de façades aux couleurs vives. "L'objectif n'est pas de rendre la localité exclusive mais de permettre à chacun de profiter de la beauté de Portofino", a affirmé le maire Matteo Viacava aux médias locaux. L'Italie continue d'augmenter les sanctions légales pour mauvais attitude, y compris des amendes pouvant aller jusqu'à 60 000 euros et des peines de prison possibles pour avoir défiguré les monuments historiques du pays, d'après un projet de loi adopté en avril. Cela fait suite à de nombreux incidents impliquant des militants pour le climat de même que des touristes griffonnant sur les murs du Colisée de Rome. Certains politiciens affirment que même les amendes et la menace d'emprisonnement ne suffisent pas. Fin juillet, un autre individu est entré dans la fontaine de Trevi à Rome, a escaladé l'une des sculptures et a plongé dans l'eau au milieu d'une foule de spectateurs enthousiastes. Après cela, un conseiller municipal a suggéré de fermer la fontaine.
Bali adopte aussi une approche plus punitive de l'inconduite des touristes. Au 6 août, l'île indonésienne avait expulsé 198 touristes, soit plus que le nombre total pour 2022, a affirmé un responsable de Bali à CNN Indonesia. De nouveaux groupes de travail travaillent à réprimer le attitude irrespectueux des touristes de même que les visiteurs qui dépassent illégalement leur visa. "La participation de la communauté est certainement très nécessaire pour superviser et prendre des mesures contre les touristes indisciplinés", lit-on dans l'une des annonces du groupe de travail, provoquant référence à la ligne d'assistance téléphonique locale dédiée pour signaler les mauvais comportements des touristes étrangers. Ensuite, il y a les règles de attitude publiées en juin, parmi lesquelles : Interdiction d'entrer dans les lieux saints, sauf pour adorer dans des vêtements modestes. Pas de dénigrement, que ce soit directement ou sur les réseaux sociaux. Quant à la bataille d'Amsterdam pour nettoyer son centre-ville en supprimant les comportements indésirables, sa vidéo de campagne la plus récente ressemble à un épisode de télé-réalité policière, avec des images de bouteilles de bière brisées dans la rue et des visiteurs masculins arrêtés sur fond de lumières bleues et rouges clignotantes. . « Vous venez à Amsterdam pour une nuit désordonnée ? Restez à l'écart », lit-on dans le message. Ou faire face à des amendes, un dossier d'arrestation et "moins de perspectives", poursuit la mise en garde. Les résultats de la campagne sont attendus en septembre, a affirmé un porte-parole de la ville à Bloomberg. BLOOMBERG
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Mr Figuier Ruisseau
Je vais vous raconter l'histoire d'un personnage fascinant : M. Figuier Ruisseau.
Cette histoire n'est pas un long fleuve tranquille, mais plutôt une aventure tumultueuse, parfois cruelle. Cependant, elle possède une valeur singulière dans le monde actuel. Je suis convaincu qu'elle vous captivera, car elle est riche en enseignements, précisément lors de ces temps troublés où nous recherchons désespérément une référence. Permettez-moi de vous la narrer.
Premières armes
Tout commence en 2016 lors de la première Assemblée Générale de la résidence O'fil de l'O. En effet, M. Figuier Ruisseau vient d'acheter un appartement et il est tout excité à l'idée de rencontrer les autres copropriétaires. Plein d'ambition, il aspire au poste de Président du Conseil Syndical. Cependant, malgré sa volonté, il se rend compte qu'il manque de compétences et se retrouve contraint de laisser sa place, du moins pour le moment, à une personne plus qualifiée que lui.
Cependant, en secret, M. Figuier Ruisseau reste convaincu de son objectif ultime : devenir le leader incontesté de la résidence, voire le "calife" qui décide de tout et détient toutes les connaissances. Cela lui permettrait de combler le grand vide qui l'habite et de compenser son complexe d'infériorité profond.
Pour l'instant, il se contente d'ensemencer quelques doutes, aidé par certaines personnes influençables. Ces graines d'incertitude lui serviront à l'avenir. Il cherche à susciter un peu de doute, de peur et d'angoisse... Dans un premier temps, les personnes perspicaces lui répondent en disant : "Ne voyez pas le mal partout, M. Figuier Ruisseau." Les autres, quant à eux, soit ne remarquent rien, soit suivent aveuglément le doigt qui montre la lune.
Nomination et première année, attaque contre le président en place.
Lors de sa nomination et de sa première année, M. Figuier Ruisseau entreprend une attaque sournoise contre le président en place. Sous son masque de bon père de famille, il cherche sa cible avec précaution. Il repère l'idiot du village, un individu utile mais sans grande envergure. Son objectif est le poste de président. Il manipule habilement le faible pour ensuite menacer le fort. Cette tactique s'avère payante, et en seulement un an, il réussit son coup. Le président est mis en difficulté suite à une affaire concernant une place de parking réservée aux personnes handicapées. M. Figuier Ruisseau accède ainsi au poste de président sans rencontrer de réelle résistance.
Notre homme se trouve alors dans un état de béatitude absolue. Il a prétendu au monde entier qu'il est le meilleur, même si ses actions sont totalement insignifiantes pendant toute une année. Il est devenu le "président" du néant.
Le signal Bouygues ne fonctionne pas.
La résidence est équipée de casiers pour la réception des colis. Lorsqu'un colis arrive, un code SMS est envoyé à la personne destinataire. Comment Mr Figuier Ruisseau pourrait-il semer la discorde entre les résidents ? Eh bien, il pourrait créer une situation conflictuelle en simulant une panne et en veillant à ne pas résoudre le problème. Il pourrait prétendre que tous les compartiments sont hors service en invoquant une prétendue panne chez l'opérateur responsable de l'envoi des SMS. Par la suite, même après l'intervention de maintenance et la remise en marche du système, aucun problème de communication avec l'opérateur ne serait signalé.
Ainsi, il semblerait que Mr Figuier Ruisseau ait bien menti dans cette situation.
Du bruit dans la résidence.
Dans la boîte mail de la copropriété, des messages de plainte concernant le bruit provenant de certains appartements sont reçus. Cette situation pourrait être une aubaine pour Mr Figuier Ruisseau s'il orientait les plaignants vers d'autres appartements, créant ainsi de la discorde. Et c'est ce qu'il fait : par exemple, lorsqu'un résident mentionne un bruit provenant de la cour intérieure, il est dirigé vers une plainte concernant un bruit du côté de la rue.
Dans l'ensemble, cela peut sembler être une simple affaire de bruit, sans grande importance. Mais M. Ruisseau, vous avez raison, il y a quelque chose qui ne colle pas dans cette résidence. Il semblerait qu'un manipulateur soit à l'œuvre, semant la confusion et les disputes entre les résidents.
Passage de Vinci.
M. Figuier Ruisseau, se sentant au sommet de sa popularité, décide lors de l'Assemblée Générale suivante en 2017 d'engager sa société favorite, Vinci Missenard Energie, en tant que prestataire pour l'entretien de la chaufferie. Malheureusement, cette société se révèle aussi incompétente que lui et utilise le même masque. Il est important de souligner qu'il ne suffit pas de porter le nom de "Vinci" pour être compétent. Cela va mieux en le disant. La société Vinci, bien qu'étant une entreprise 'prestigieuse', n'est pas exempte de lacunes. Ses employés peuvent signer un cahier de passage et relever des compteurs d'eau, mais presque aucune vérification, analyse ou mesure n'est effectuée pendant trois ans. Ils se sont seulement illustrés en modifiant l'heure de déclenchement du chauffage, ce qui constitue un exploit remarquable. Cependant, lorsqu'il s'agit de résoudre des problèmes, personne n'est là pour intervenir.
En deux ans, les dégâts sont faits : un pH trop élevé entraîne une électrolyse des matériaux internes et une rupture de la chambre de combustion vers les circuits d'eau, provoquant une fuite de 500m3 d'eau en quelques mois.
Ainsi, M. Figuier Ruisseau pourra bien se plaindre du syndic qui connaissait les problèmes de la chaudière, mais en réalité, c'est la société de maintenance qu'il a lui-même choisie qui manquait de compétence dans son domaine principal. Elle était plus encline à remplir un cahier de maintenance fictif et à enrichir ses actionnaires qu'à réaliser un bilan technique des installations dont elle avait la charge. On ne sait jamais, au cas où le travail serait bien fait. Bien sûr, cette société n'oubliera pas d'envoyer un devis pour le remplacement de la chaudière, espérant que nous soyons assez naïfs pour l'accepter. Avec un peu de chance, dans cinq ans, ils pourront même en vendre une troisième. Le premier devis de chaudière "made in Vinci" que nous avons reçu a presque fait rire toute la résidence.
Lettre à une entreprise.
M. Figuier Ruisseau ne se laisse pas décourager et envoie parfois un mail insultant à une entreprise prestataire, pensant que cela n'aura aucun effet négatif. Il est peut-être influencé par ses actions sur un forum en ligne où il maltraite quotidiennement les autres utilisateurs. En utilisant des majuscules avec force, il se sert de son titre de "Président", qui a perdu de sa valeur, pour donner des ordres aux prestataires. Malheureusement, ces comportements ont rapidement conduit à cataloguer notre résidence comme un client difficile à éviter. C'est certainement un calcul très judicieux. Et quand il ne fait pas cela, il cherche même à extorquer des rapports de visite auxquels il n'a plus droit.
Il est évident que M. Figuier Ruisseau ne se révèle pas être un gestionnaire de copropriété compétent, avisé, habile et pragmatique dans ses relations avec tous les intervenants.
Courrier annonciateur pour l'assemblée Génerale de 2018.
Alors que tout semblait bien se passer dans le monde de M. Figuier Ruisseau, au sommet de sa forme, un incident inattendu survient. L'excès de succès le pousse à commettre une erreur fatale. Dans une lettre de quatre pages, il accuse tout le monde de tous les maux : l'un aurait détourné des fonds, un autre trafiquerait les installations électriques, et un troisième se promènerait sans but ni recherche d'efficacité. Selon lui, lui seul sait faire les choses, tout faire. Il se considère omnipotent et pense connaître toutes les failles et les solutions nécessaires.
Malheureusement, le diagnostic est tombé : M. Figuier Ruisseau souffre de perversion narcissique, une condition sans traitement, incurable et sans espoir. Il devra vivre avec cela toute sa vie.
Heureusement, le diagnostic a été posé à temps, et il est contraint de présenter des excuses publiques lors de l'assemblée générale pour ses accusations infondées.
Chaudière cassée.
La résidence O'fil de l'O est dotée d'une chaudière de qualité inférieure, installée à bas prix, tout comme de nombreuses autres. L'installateur et le promoteur étaient parfaitement conscients des faiblesses de cette installation depuis le début. Des erreurs récurrentes ont été constatées depuis sa mise en marche. Cependant, M. Figuier Ruisseau pense qu'il sait exactement quoi faire, car il se considère expert en tout et aime donner des ordres. Il est convaincu qu'il faut intenter une action en justice, affirmant que toutes ces entreprises reconnaîtront leurs erreurs et nous rembourseront en quelques semaines seulement. Il est donc prêt à lancer cette attaque.
Cependant, il est évident que M. Figuier Ruisseau ne fait rien lui-même, se contentant de juger et de se plaindre en envoyant des mails. Pendant ce temps, les pannes se multiplient et la résidence se retrouve sans chauffage. Ces envois de mails de plainte ne coûtent rien, mais ils ne résolvent pas les problèmes.
Tract
Notre cher M. Figuier Ruisseau persiste malgré les revers. Après tout, c'est la seule chose qu'il sait faire. Alors que la procédure judiciaire est en cours et que les entreprises responsables sont assignées en justice, il décide de distribuer un tract dans toutes les boîtes aux lettres de la résidence. Il prétend que le conseil syndical est un repère d'incompétence qui ne sait pas gérer, se limitant à nettoyer les moquettes. Il encourage les résidents à attaquer le syndic avec conviction, se vantant d'avoir convoqué une horde d'avocats soumis à ses moindres faits et gestes, travaillant jour et nuit pour lui sans rémunération. Il prétend ainsi avoir un soutien massif. Cependant, en réalité, il ne dispose que des pauvres victimes de sa manipulation, qui croient en ce manipulateur sans vraiment vérifier ses dires.
Permettez-moi de simplifier les choses : attaquer son syndic sans le révoquer revient à s'attaquer à soi-même. En effet, le syndic est le représentant juridique des copropriétaires. En résumé, ce tract est d'une stupidité sans bornes et ne vaut même pas le papier sur lequel il est imprimé.
Travaux chez les voisins
M. Figuier Ruisseau utilise des travaux privatifs dans la résidence pour mettre en place un plan. Il se plaint du bruit causé par les ouvriers qui travaillent après 19h00 et demande ce que les autres vont faire à ce sujet.
Cependant, il est peu probable que les gens viennent à l'aide de M. Figuier Ruisseau compte tenu de son comportement. Il devrait résoudre ses problèmes lui-même. M. Figuier Ruisseau envisage de former un petit groupe de personnes pour se plaindre collectivement. Cependant, en raison de sa réputation discréditée et du fait qu'il est considéré comme quelqu'un à éviter, personne ne veut se retrouver pris dans les problèmes causés par ce personnage toxique et invétéré. Les rares personnes vulnérables qui écoutent encore M. Figuier Ruisseau en subiront les conséquences, mais tant pis pour eux...
Ho les belles tomates !
Pendant ce temps, de belles tomates poussent devant l'appartement de Mr Figuier Ruisseau. Bien que cela puisse être considéré comme une intrusion sur le terrain commun, cela ne semble pas déranger grand monde. Les provocations de M. Figuier Ruisseau ne suscitent plus beaucoup d'intérêt, car les autres résidents connaissent bien son comportement.
Situation personnelle : vente forcée.
Tout va mal pour Mr Figuier Ruisseau en cette année 2021. Sa compagne et co-acheteuse est partie, ce qui le contraint à vendre son bien et une assignation en licitation-partage est en cours. Cependant, M. Figuier Ruisseau utilise cette situation à son avantage pour tenter de récupérer des informations et susciter de la sympathie chez ses voisins, et malheureusement, certains d'entre eux, trop crédules, se laissent manipuler par ses plaintes.
En utilisant une analyse de l'eau du réseau de chauffage, une information qui ne lui était pas destinée, M. Figuier Ruisseau essaie de faire croire que l'eau potable est impropre à la consommation. Il semble qu'il ait eu accès à des copies cachées des courriels, mais cette manipulation est révélée au grand jour.
La situation dans la résidence est critique, avec l'absence de chauffage et d'eau chaude en plein hiver, créant ainsi une crise. Il est regrettable que M. Figuier Ruisseau ait cherché à tirer parti de la situation pour ses propres intérêts, plutôt que de travailler vers une résolution constructive des problèmes.
Linky
Cette affaire est un modèle du genre : Comment notre Figuier va-t-il tirer les marrons du feu ?
Un compteur Linky est installé au sous sol pour les branchements des voitures électriques. Mais sous une conduite qui connaît des fuites récurrentes. En même temps un résident exprime son mécontentement concernant le placement du compteur, estimant qu'il gêne l'accès à sa voiture.
Dans cette affaire, M. Figuier Ruisseau tente de manipuler certaines personnes en faisant croire que la modification de l'emplacement du compteur est demandée par ce résident en question. Il prétend que cela entraînera un retard dans l'installation et présente cette demande comme une simple question de confort. Heureusement, ces arguments sans fondement sont rapidement réfutés, et la situation est rectifiée.
Il est regrettable que M. Figuier Ruisseau ait tenté d'utiliser cette situation pour ses propres intérêts et de semer la confusion parmi les résidents. Il est important de faire preuve de transparence et de s'en tenir aux faits réels afin de prévenir de telles manipulations.
Dégradation, affiches...
La fêtes des voisins, c'est plutôt sympathique, cela permet de se connaître et de partager un moment entre voisin. Mais vous ne connaissez pas notre ami, les affiches festives sont taguées, quand aux affiches informatives qui sont régulièrement mise dans la résidence, sont bien entendue arrachées. Quand ce n'est pas des gravures dans l’ascenseur ou les boites aux lettres.
Après tout, entretenir la bonne ambiance et la sécurité dans la résidence, n'est pas très intéressant. Mr Figuier Ruisseau, n'est plus au commande, la résidence peut bien s'écrouler. Et puis si la résidence perd un peu de sa valeur tant mieux, il pourra racheter la part qui lui manque de son appartement à moindre coût. Et revendre plus tard au prix fort. C'est qu'il est malin ce Figuier, plus malin qu'un singe, enfin c'est ce qu'il croit.
AG , absent, puis présent.
Monsieur Figuier Ruisseau se distingue du commun des mortels, se considérant au-dessus de la mêlée. Il refuse de divulguer ses votes et de donner des informations, car il estime qu'il n'a pas à se rabaisser à voter, étant convaincu d'avoir toujours raison et de mériter le titre de maître. Il opte pour le vote par correspondance, perturbant ainsi les débats et gardant secrètes ses intentions en public. C'est là une idée qu'il juge géniale, car il estime que les autres sont trop idiots pour s'en rendre compte. Il estime que les limites ne s'appliquent pas à lui et que ses idées sont encore plus grandioses. Mais Mr Jean Chêne a trouvé une parade en invoquant la loi face à ce perturbateur récidiviste. Cela fait maintenant cinq ans que M. Figuier Ruisseau n'est plus membre du Conseil syndical, mais il continue de perturber le bon fonctionnement de la copropriété. Pensez-vous qu'il s'arrêtera ? Non, c'est impossible. Nous sommes son terrain de chasse, sa proie vivante, de simples pions faciles à provoquer et à manipuler. Il utilise son prochain pour satisfaire ses propres faiblesses. Rien ne pourra l'en empêcher, sauf si ses actions sont dénoncées, ce qui le pousserait à fuir faute de proie.
Quelle est la morale de cette histoire ?
Les intérêts privés sont les plus fort et Mr Figuier Ruisseau s'en sert comme nourriture pour sa perversion narcissique au détriment de l'intérêt commun.
A chacun de faire en sorte de ne pas y prendre part.
Toute ressemblance avec des personnes existantes ou ayant existé n'est pas purement fortuite et n'est pas involontaire…
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Le hasard fait bien les choses
Voici ma participation pour le Flufftober 2022. J’espère que ça vous plaira.
Résumé : Hermione vit un homme blond près de la sortit. Elle fronça les sourcils, se disant qu'elle le connaissait. De là où elle était assise, elle n'arrivait pas à voir son visage. Pourtant, sa façon de se tenir lui était familière. Pendant une seconde, elle pensa à Drago Malefoy. Mais elle se dit bien vite que c'était impossible. Cela faisait presque dix ans qu'elle ne l'avait pas vu et cela aurait été étonnant de le retrouver dans un restaurant moldu.
Disclaimer : Harry Potter appartient à J. K. Rowling.
@flufftober
AO3
Hermione sortit de sa voiture et se dirigea vers le restaurant Laurel. Toute la famille Granger se réunissait pour l'anniversaire de mariage de ses grands-parents. Ils avaient décidé de fêter l’événement dans le restaurant le plus en vue de Londres et avaient réservé une table pour l'occasion. Hermione entra dans l'établissement et vit tout de suite pourquoi la liste d'attente était si longue. On la conduisit à sa table, où ses parents, certains de ses cousins et sa tante attendaient. Lorsque sa mère la vit arriver, elle alla à sa rencontre et l'embrassa.
« Je suis contente que tu aies pu venir, dit sa mère.
-Je n'aurais manqué cela pour rien au monde. »
Sa mère sourit. Se n'était pas rare que Hermione ne puisse pas se rendre aux réunions que la famille organisait. Son travail lui prenait tout son temps et Hermione savait que si elle voulait avoir la promotion qu'elle espérait tant, elle devait redoubler d'effort. Le reste de sa famille finit par arriver et enfin ses grands-parents. Le dîner pouvait commencer. La soirée se passa tranquillement et ses grands-parents avaient vraiment l'air heureux de leur fête. Mais Hermione ne put s'empêcher de penser à ce nouveau client qu'elle devait défendre. C'était une affaire qui pouvait tout changer dans sa carrière et elle ne devait surtout pas faire d'erreur. Hermione regarda sa montre, se demandant si elle avait encore du temps pour relire ses dossiers.
« Hermione. »
Hermione sortit de ses pensées et posa le regard sur sa mère.
« Ce soir, tu ne penses pas au travail.
-Tu as raison, excuses-moi. »
Hermione prit son verre et but une gorgée. C'est alors qu'elle vit un homme blond près de la sortit. Elle fronça les sourcils, se disant qu'elle le connaissait. De là où elle était assise, elle n'arrivait pas à voir son visage. Pourtant, sa façon de se tenir lui était familière. Pendant une seconde, elle pensa à Drago Malefoy. Mais elle se dit bien vite que c'était impossible. Cela faisait presque dix ans qu'elle ne l'avait pas vu et cela aurait été étonnant de le retrouver dans un restaurant moldu. Il s'agissait seulement d'un homme qui lui ressemblait.
******
Le lendemain, Hermione se rendit de nouveau au Laurel. Elle avait cherché toute la matinée son téléphone portable. Que se soit dans son appartement ou à son bureau, il était impossible de le trouver. Le seul autre endroit où elle s'était rendue la veille était le restaurant. Ce n'était pas qu'elle avait besoin de son téléphone pour son travail, elle privilégiait les modes de communications sorciers, mais c'était le seul moyen qu'elle avait de rester en contact avec ses parents et le reste de sa famille. Hermione poussa la porte et une serveuse vint à sa rencontre.
« Je suis désolée, dit-elle d'une voix douce. Mais nous ne sommes pas encore ouvert.
-Oui, excusez-moi, mais je crois que j'ai oublié mon téléphone hier soir. »
Tandis que la serveuse alla chercher le téléphone d'Hermione, celle-ci en profita pour regarder la salle, ce qu'elle n'avait pas vraiment eu le temps de faire la veille. En entendant la porte des cuisines, Hermione s'attendit à voir la jeune femme revenir avec son téléphone. À la place, l'homme blond qu'elle avait vu la veille sortait des cuisines, accompagné du chef. Hermione eu un hoqueté de surprise lorsqu'elle reconnu Drago Malefoy. Alors c'était bien lui qu'elle avait vu. Mais que faisait-il ici ? Pendant un instant, elle se dit qu'elle n'avait qu'à laisser son téléphone et quitter le restaurant. Il n'avait pas remarqué qu’elle était là et elle n'avait aucune envie de le voir. Elle considéra les options qu'elle avait, lorsque la serveuse revint avec le téléphone à la main.
« Excusez-moi de vous avoir fait attendre, dit-elle en tendant le téléphone. »
Ceci eut pour effet d'attirer l'attention des deux hommes. Drago avait l'air tout aussi surpris qu'elle l'avait été.
« Granger ! S'étonna-t-il. »
Hermione le salua. Que pouvait-elle faire d'autre ? Il était trop tard pour se sauver en courant. Et puis, ils étaient adultes maintenant et avaient quitté Poudlard depuis longtemps. Le chef vint à sa rencontre, un sourire aux lèvres et lui serra la main. Il était très grand, un regard bleu chaleureux, des cheveux poivre et sel et une grosse moustache. Il devait avoir cinquante-cinq ans.
« Vous êtes une amie de Drago ? Demanda-t-il.
-Juste des connaissances, répondit Drago en s'approchant. Nous étions dans la même école. »
Juste des connaissances, pensa Hermione. Avant la guerre, il avait pourtant fait en sorte de passer une partie de son temps à faire de sa vie, ainsi qu'à celle de ses amis, un enfer. Mais Hermione acquiesça simplement, ne voulant pas s'attarder sur cette conversation.
« Je vois, dit le chef. »
Il eut une lueur dans le regard que Hermione reconnût. C'était la même lueur qu'un sorcier avait lorsqu'il la reconnaissait elle, ou reconnaissait Harry et Ron. Elle se demanda si l'homme devant elle était aussi un sorcier. Drago coupa court à la conversation.
« Il est vraiment temps que j'y aille. Content de t'avoir revu Granger. »
Il semblait totalement détaché, presque indifférent et lui fit un petit signe poli de la tête pour la saluer.
« On se voit plus tard Jo, dit-il au chef. »
Celui-ci sourit chaleureusement et répondit :
« À plus tard, fils. »
Cette simple phrase eut pour effet de surprendre Hermione. Les deux hommes étaient-ils si proches ? Drago salua la serveuse et quitta le restaurant. Le chef, Jo, se tourna vers elle et dit :
« J'ai été ravi de vous rencontrer mademoiselle. »
Il retourna ensuite en cuisine. Hermione récupéra son téléphone et quitta l'établissement à son tour. La jeune femme retourna à sa voiture et attendit quelques minutes avant de démarrer, repensant à cette rencontre irréelle qu'elle venait de faire. Quelles étaient ses chances de rencontrer Drago Malefoy dans ce restaurant ? Et surtout, que faisait-il dans le monde moldu ? Lorsque les procès s'étaient déroulés après la guerre, Drago et sa mère avaient échappé à Azkaban, contrairement à Lucius, grâce au témoignage d'Harry. Mais en contre partie, il avait été jugé que Narcissa devait passer une année en liberté surveillée et ne devait pas quitter le manoir Malefoy. Quant-à son fils, il devait vivre une année sans magie parmi les Moldus, sans aucun contact avec le monde des sorciers. Hermione avait pensé qu'une fois sa peine exécutée, Drago se serait précipité dans le monde sorcier, ne voulant plus entendre parler des moldus. Elle démarra sa voiture, se disant que tout ceci ne la concernait pas et que de toute façon, elle ne le reverrait plus.
******
Une semaine était passée et la rencontre avec Drago n'était plus qu'un souvenir qu'Hermione avait vite oublié. Elle avait décidé de rendre visite à Ginny et passer l'après-midi avec son amie. Elle avait tellement de travail dernièrement, qu'elle avait un peu délaissé ses amis et elle voulait se rattraper durant ce week-end. Ginny lui servit une nouvelle tasse de thé, tandis que James s'amusait à colorier dans un livre de coloriage que Hermione lui avait offert. Albus, qui n'avait que cinq mois, dormait à l'étage. Hermione but une gorgée de son thé et Ginny reprit sa conversation.
« Une de mes amies m'a parlé de ce restaurant moldu à la mode. Apparemment, il y en a un peu partout dans le pays. Depuis, elle ne parle que de ça. J'aimerai y aller, j'ai l'impression que ça fait des siècles que nous n'avons pas passé une soirée seuls avec Harry.
-De quel restaurant s'agit-il ? Demanda Hermione.
-Le Laurel. Se n'est pas là que tes grands-parents ont fêté leur anniversaire ? »
Hermione, ayant faillit s'étouffer avec sa gorgée de thé, se mit à tousser.
« Je ne crois pas que se soit une bonne idée d'aller là-bas, dit-elle.
-Pourquoi ça ? »
Hermione lui raconta alors sa rencontre avec Drago une semaine plus tôt. Ginny fronça les sourcils, tout en réfléchissant à ce que venait de lui dire son amie. Hermione continua son histoire.
« Ce qui était étrange, c'est qu'il avait l'air de connaître le personnel. Peut-être qu'il travaille là-bas.
-Ça serait étonnant de la part de Malefoy. Je le vois mal travailler dans un restaurant. Encore moins dans un restaurant moldu. »
Ginny but un peu de thé, avant de continuer :
« Il est vrai que plus personne n'a entendu parler de lui depuis son procès. C'est comme s'il avait complètement disparu. »
Après une nouvelle gorgée de thé, Ginny changea de sujet et expliqua à son amie tous les préparatifs qu'elle avait prévu pour la fête d'anniversaire de James qui arrivait à grand pas et bientôt la rencontre d'Hermione avec Drago ne devint plus qu'une anecdote.
******
La pluie tombait à torrent dans les rues de Londres. Essayant de se protéger comme elle le pouvait avec sa veste, Hermione se maudissait de ne pas avoir pensé à prendre de parapluie. Elle avait l'impression d'attendre le bus depuis des heures et espérait le voir vite arriver. Elle savait qu'elle pouvait transplaner pour rentrer chez elle et que certains sorciers ne comprenaient pas pourquoi elle s'embêtait à prendre le bus, comme Ron par exemple. Mais c'était important pour elle de continuer de vivre comme les moldus, même si ses amis et son travail se trouvaient dans le monde des sorciers, elle trouvait un équilibre à vivre entre les deux mondes.
Une ombre passa au-dessus de sa tête et la pluie ne la toucha plus. Elle leva les yeux et vit un parapluie la protéger. À côté d'elle se tenait Drago qui tenait le parapluie. Hermione le regarda, surprise. Il eut un sourire en coin.
« Deux fois en peu de temps, dit-il. J'ai l'impression que tu me suis.
-Je pourrais te dire la même chose.
-J'habite dans le quartier. »
Cela faisait des années que Hermione prenait ce bus pour rentrer chez elle. Et dire que pendant tout ce temps, ils s'étaient peut-être croisés sans le savoir.
« J'attends le bus pour rentrer chez moi, dit Hermione. »
Drago lui lança un drôle de regard. Le même que tous les sorciers lui lançaient lorsqu'elle leur disait qu'elle préférait prendre les transports en commun. Par moment, elle avait l'impression d'avoir annoncé que Voldemort venait de se réincarner. Le bus arriva et Hermione remercia Drago. Elle monta dans le bus et une fois installée, elle regarda par la fenêtre et le vit disparaître à travers la foule de Londres.
******
Il n'était pas rare que dans les jours qui suivirent, Hermione croise Drago dans une rue de Londres, en particulier lorsqu'elle se rendait à l'arrêt de bus et qu'il rentrait chez lui. Leurs échanges étaient simples et brefs. Juste un signe pour se saluer poliment où quelques mots lorsqu'ils avaient un peu plus de temps. C'était étrange, pensait Hermione. Ils se connaissait depuis des années et pourtant c'était comme si tout ce temps où ils s'étaient détestés, avait disparu. C'est vrai que le temps était passé et qu'ils avaient tous les deux grandi. La guerre avait changé Hermione et il en était de même pour Drago. Elle se demandait aussi, pourquoi il avait décidé de vivre parmi les moldus. Elle avait encore un peu de mal à l'imaginer en dehors du monde des sorciers.
Hermione regarda à travers les grandes fenêtres de la salle de réception. La nuit était maintenant tombée. Elle avait accepté l'invitation d'un de ses clients qui avait organisé une soirée. Elle n'avait pas osé refuser, mais elle commençait à regretter d'avoir accepté. Elle ne connaissait personne et n'ayant rien mangé de la journée, elle mourait de faim. Et imaginer que seul son réfrigérateur vide l'attendait chez elle n'avait rien de réjouissant. Elle essaya de contenter sa faim avec quelques petit-fours, mais rien n'y faisait. En plus ses nouvelles chaussures lui faisaient vivre un véritable enfer. Elle se dit qu'il était maintenant temps pour elle de partir. Elle était restée suffisamment longtemps pour être polie et ce n'était pas comme si elle allait manquer à quelqu'un. Elle prit quelques petit-fours avant de partir lorsqu'elle entendit quelqu'un l'appeler. Elle avala difficilement le petit-four, honteuse que quelqu'un l'ait vu ainsi se jeter sur le buffet. Elle se retourna et vit Drago qui semblait amuser de l'avoir surprise dans cette situation. Pourquoi ? Se demanda-t-elle. Pourquoi fallait-il que se soit lui qui l'ait surprise ainsi.
« Je n'ai rien avalé de la journée, tenta-t-elle de se justifier. »
Drago acquiesça et prit également quelques petit-fours. Un silence pesant s'installa entre eux. Hermione se sentit mal à l'aise. Que pouvait-elle lui dire dans ce genre de situation ? Et ce n'est pas comme s'ils étaient devenus amis. Elle chercha quelque chose. N'importe quoi qui puisse briser ce silence. Elle finit par engager la conversation et dit la première chose qui lui passa par la tête :
« Je ne savais pas que tu connaissais l'hôte de la soirée.
-Pas personnellement. C'est Jo qui aurait dû être ici, mais il a eu un empêchement. Il m'a demandé de le remplacer. »
Un nouveau silence s'installa.
« Je crois que l'on a suffisamment fait acte de présence, finit par dire Drago. Et tu as surtout besoin d'un vrai repas.
-On ne peux pas partir comme ça !
-Pourquoi ? Personne ne fait attention à nous. »
Hermione jeta un regard autour d'elle et en effet, personne ne les regardait.
« Allez, viens. Je t'invite. »
Hermione accepta. Elle se dit qu'il n'y avait aucun mal à dîner ensemble. Ils sortirent du bâtiment et marchèrent dans les rues de Londres. Hermione reconnut le chemin pour se rendre au Laurel. Au bout de quelques minutes, ils arrivèrent à destination. Toutes les lumières du restaurant étaient éteintes, il n'y avait probablement eu aucun service dans la soirée. Drago ouvrit la porte avec la clé qu'il avait sur lui. Il invita Hermione à entrer et alluma les lumières. Il retourna une chaise qui était sur une table et demanda à Hermione de s'installer. Il plaça deux couverts et deux verres. Hermione l'observa faire et remarqua qu'il avait l'air dans son élément, comme s'il le faisait depuis des années. Il se dirigea ensuite dans les cuisines. Encore de nouvelles questions à ajouter au mystère Drago Malefoy. Depuis qu'elle l'avait revu, Hermione se posait des centaines de questions sur l'homme qu'il était devenu. Il avait énormément changé. Mais c'était normal après toutes ces année. Drago revint quelques minutes plus tard, deux plats dans les mains, qu'il posa sur la table. Il s'agissait d'un plat de spaghettis avec une sauce, mais le plat était présenté de manière professionnelle, tel un plat de chef. L'arôme qui s'en dégageait était délicieux, ce qui ne fit que lui ouvrir un peu plus l'appétit. Elle goûta le plat et écarquilla les yeux. Jamais elle n'aurait cru que cela serait aussi bon.
« Surprise ? Demanda Drago. »
Hermione acquiesça.
« Je ne savais pas que tu cuisinais.
-C'est grâce à Jo. C'est lui qui m'a tout appris. »
Ils continuèrent de dîner en silence, jusqu'à ce que Hermione décide de commencer la conversation. Elle se dit que c'était le moment où jamais de poser ses questions.
« Toi et Jo, vous êtes proches, n'est-ce pas ?
-Depuis que je le connais, il a toujours agit comme un père pour moi. »
Hermione chercha ses mots, espérant qu'il se livre un peu plus.
« Que s'est-il passé après ton procès ? Si je ne suis pas indiscrète. »
Drago posa sa fourchette et son regard était lointain, comme s'il se remémorait ces dernières années. Hermione se dit qu'elle venait de faire une erreur. Elle n'aurait jamais dû lui poser cette question. Cela ne l'aurait pas étonné qu'il se mette à l'insulter et qu'il lui dise de s'occuper de ses affaires. Mais contre toute attente, Drago prit une profonde aspiration et lui conta son histoire :
« Comme tu le sais sûrement, j'ai évité Azkaban de justesse grâce à Potter. Mais en contre partie, je devais vivre une année dans le monde des moldus avec l'interdiction de me servir de la magie. J'avais eu droit à une certaine somme d'argent et à un appartement qui ressemblait plus à un placard sans aucun confort. Les premières semaines ont été un véritable enfer. Les premiers jours, je les ai passés enfermé chez moi. J'avais peur de ce monde étrange auquel je ne connaissais rien. Quelle ironie, n'est-ce pas ? Drago Malefoy qui avait peur de se retrouver avec des moldus. En peu de temps, l'argent a commencé à manquer, je ne trouvais pas de travail, j'ai failli me retrouver à la rue. Et au moment où je ne pensais jamais m'en sortir, j'ai rencontré Jo. »
Il se tût un instant. Hermione n'osa pas dire un mot.
« Jo est un sorcier. Il s'est installé dans le monde moldu après le décès de sa femme, c'était quelques année avant le retour de Voldemort. Elle s'appelait Laurel. Même s'il était déjà au courant de ce qu'il s'était passé durant la guerre, il a écouté mon histoire. Sans que je m'y attende, il m'a proposé un travail dans son restaurant. Il m'a tout appris, du service à la cuisine. Et au fil des années, avec son talent pour la cuisine et mon sens des affaires que j'ai hérité de mon père, plusieurs restaurants ont été ouvert un peu partout dans le pays. »
À la fin de son récit, Hermione pensa à ce qu'il venait de dire. Elle n'aurait jamais imaginé que son année dans le monde moldu puisse être aussi dure.
« Tu n'es jamais retourné dans le monde des sorciers ? Demanda Hermione.
-Une fois, répondit-il. Dès que l'année fut terminée, je me suis rendu au Chemin de Traverse. »
Il souriait, mais il n'y avait rien d'heureux dans ce sourire. Il était plutôt amère comme s'il se souvenait d'un souvenir désagréable.
« Les regards de haine que les gens me lançaient. Certaines insultes que j'entendais. Peu importe ce que je fais, à leurs yeux, je serai toujours un mangemort. Depuis, je ne suis plus retourné dans le monde des sorciers, à part au manoir pour rendre visite à ma mère. Au moins, parmi les moldus, j'ai pu recommencer à zéro. Ma vie est ici maintenant. »
Sans réfléchir à son geste, Hermione posa sa main sur celle de Drago. Ce dernier la serra. À part Jo, il n'avait raconté à personne ce qu'il s'était passé. Pas même à Narcissa, qu'il n'avait pas voulu inquiéter. Il avait enfin l'impression d'être libéré d'un poids.
******
Se promenant dans le parc, avec Albus dans sa poussette et James dans les bras d'Hermione, Ginny observait son amie du coin de l’œil. Elle avait remarqué qu'elle avait l'air moins stressé et beaucoup plus souriante. Elle se demandait si cette soudaine bonne humeur n'avait pas avoir avec un ancien Serpentard. Hermione lui avait raconté qu'elle avait revu plusieurs fois Drago depuis leur dîner improvisé au restaurant. Même si Hermione se refusait à se l'avouer, Ginny savait qu'elle commençait à avoir des sentiments pour lui. Hermione disait qu'il avait changé, sans rentrer dans les détails. Mais Ginny avait du mal à lui faire confiance. C'était plus fort qu'elle. Elle ne voulait pas que son amie soit malheureuse et refusait que Drago lui fasse du mal en se servant d'elle. Même si Hermione disait qu'il s'était excusé pour ce qu'il avait fait à Poudlard, Ginny voulait vérifier par elle-même. Elle avait alors décidé de se rendre dans ce fameux restaurant dès le lendemain.
Ginny observa l'endroit. Elle comprit vite pourquoi ce restaurant était le nouveau lieu à la mode. Un serveur vint à sa rencontre et l'installa à une table. À cette heure de la journée, le restaurant était plutôt rempli d'hommes d'affaires qui avait un déjeuné de travail ou d'amis qui se retrouvaient avant de retourner travailler. Elle commanda et déjeuna. Tout était délicieux. Lorsqu'on lui apporta l'addition, elle osa demander :
« Est-ce que Drago Malefoy travaille ici aujourd'hui ? »
La jeune serveuse acquiesça.
« Pourriez-vous lui dire qu'une ancienne amie d'école voudrait le voir. »
La serveuse lui répondit qu'elle allait le chercher. Au bout de quelques minutes, Ginny vit Drago arriver des cuisines. Celui-ci eut un léger mouvement de surprise en la voyant, mais se ressaisit vite. Il avança jusqu'à sa table, un sourire aux lèvres pour dissimuler le fait qu'il était mal à l'aise.
« Ginny Weasley. J'aurai du me douter qu'une Gryffondor viendrait un jour ici.
-C'est Ginny Potter maintenant. Mais je t'en pris, assied-toi. »
Drago s'assit en face de Ginny et cette dernière s'amusa de son manque de confiance. C'était bien la première fois qu'elle le voyait ainsi.
« Je suppose qu'Hermione t'a parlé, dit-il.
-Hermione est ma meilleure amie, elle me raconte tout. Alors écoutes-moi bien. Si elle soufre à cause de toi, si elle verse la moindre petite larme, je te le ferai regretter.
-Je n'ai aucune intention de lui faire du mal. »
Ginny acquiesça et se leva. Elle lui lança un dernier regard et partit. Elle sentait le regard de Drago sur elle jusqu'à ce qu'elle passe la porte.
******
Après avoir passé la soirée ensemble, Drago et Hermione avaient décidé de profiter des rues de Londres. Drago ne put s'empêcher de lâcher un petit rire en repensant à Ginny. Hermione lui lança un regard surpris.
« Ce n'est rien, dit-il. C'est juste que je repensais à une tornade rousse qui est venue au restaurant aujourd'hui. »
Hermione écarquilla les yeux, horrifiée que cette tornade rousse puisse être son amie.
« Ne me dis pas qu'il s'agissait de Ginny ? »
Drago acquiesça. Hermione blêmit en imaginant ce qu'avait pu faire ou dire Ginny. Elle aurait dû se douter que la jeune femme aurait essayé de rencontrer Drago.
« Que voulait-elle ? Demanda presque timidement Hermione.
-Oh, tu sais, les choses habituelles. »
Il s'éclaircit la voix et essaya de reproduire le même regard menaçant que Ginny lui avait lancé.
« Si tu fais du mal à mon amie, tu le regretteras. »
Il rit légèrement.
« Elle peut être vraiment effrayante quand elle le veut. »
Hermione maudit Ginny. Pourquoi ? Mais pourquoi avait-elle fait ça ? Est-ce que pour une fois, elle ne pouvait pas lui faire confiance quand elle lui disait que Drago avait changé. Elle s'excusa de l'attitude de Ginny.
« Elle tient beaucoup à toi, dit Drago. Elle s'inquiète de la relation qu'on peut avoir. »
Ce n'était pas une raison, pensa Hermione. Même si à sa place, elle aurait certainement fait pareil. C'est à ce moment qu'Hermione comprit ce qu'elle refusait de s'avouer. Et Ginny l'avait probablement comprit depuis longtemps. Elle ressentait quelque chose pour Drago qui était bien plus fort que de l'amitié. Elle se dit qu'elle n'avait rien à perdre et s'en vraiment réfléchir, elle s'arrêta de marcher et se tourna vers Drago.
« Et toi, qu'en penses-tu ? Quelle genre de relation a-t-on ?
-Je pense qu'on peut dire avec certitude qu'on est ami. Je pense même qu'on devient plus que des amis.
-Vraiment ? Sourit Hermione. »
Drago acquiesça et lui prit la main. Leurs doigts s'entrelacèrent.
« J'aimerai aussi savoir où cela pourrait nous mener, dit-il.
-J'aimerai le savoir aussi. »
Ils se rapprochèrent et s'embrassèrent. Ce n'était pourtant qu'un simple hasard qu'ils se soient retrouvés un soir dans un restaurant. Mais parfois, le hasard fait bien les choses.
Fin
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slice of life...
les bonnes résolutions de l'année... se faire passer pour ce que l'ont ai pas vraiment... se redorer le blason en se faisant plaindre tout en passant le costume de la blanche colombe.. qui ne sied pas à tout le monde quand ont connais la personne comme je la connais.... une virtuose du violon, ou de l'instrument à vent que l'ont appelle pipo... tout le monde passe ou ont passés par des moments difficiles dans sa vie... Le malheur n'y ait pas que réservée... bien d'autres ont eu pire, et n'en fond pas autant de cinéma, ne se font pas mousser pour des choses qui ne sont que normale, ont appel cela de l'abnégation... mais pour certaines personnes se mot doit obligatoirement s'accompagner de lauriers.. pauvre d'elle.. plus à plaindre qu'à blâmée me dirait vous... je vous répondrez à chacun sa vision, et sont vécu des choses.. quand à étaler sa vie privé en place public, en demandant le respect... Ooooh laaaa que cette personne commence a se respecter elle même avant de vouloir le respect d'autrui, alors attention à ceux qui liront peut être ceux-ci.. les apparences peuvent parfois être trompeuse , ne tomber pas sous le charme de cette personne et de cette douce rengaine joué de main de maître par une virtuose du violon ou du pipo, car il vous en coûtera.. quand au respect... elle n'aura certainement pas le mien... tout au plus celui des personnes qui fréquenteront les mêmes clubs sado-maso qu'elle... enfin.... je pourrais en écrire un tôme.... mais n'en ai pas envie, et cela serait lui donner une importance qu'elle n'a plus... mais je vous le répète sous forme d'avertissement... méfiez-vous des sirènes au long-cours et de leurs chants si doux à l'oreille .... a bonne entendeurs et lecteurs... Salutations distinguées. haaaaa si au faite j'allais oublier... bien évidemment cette “charmante" personne a de multiples comptes... tout autant que de facettes... vous voilà donc averti..... 😁 bonne année 2022, soyez prudent et sur vos garde. Stan. ✌️😎🙏🍀
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La Basilique Sainte-Clotilde de Paris
Clotilde, princesse burgonde du Vème siècle, devint la première reine des Francs au début du VIème siècle, en épousant le roi Clovis (qu'on ne présente plus). Elle participa à la conversion au christianisme de celui-ci suite à la bataille de Tolbiac, étant elle-même d'obédience catholique. Elle est ainsi à l'origine du fameux baptême de Clovis par Saint-Rémi à Reims. Veuve royale ayant fondé de nombreux établissements religieux, grand-mère de Clodoald (futur Saint-Cloud), elle s'éteindra finalement a l'âge -vénérable pour l'époque- de 70 ans, à l'abbaye Saint-Martin de Tours. Cette église lui est consacrée.
Après la destruction de l'église Sainte-Valère en 1817, la paroisse trouve son asile dans un local provisoire de la rue de Bourgogne. Devenu trop exigu pour les fidèles de ce quartier des Invalides (dont l'église est réservée aux militaires), un projet voit le jour en 1824, d'édifier un nouveau lieu de culte place de Bellechasse, devant être consacré à Saint-Charles (le roi Charles X régnant alors...) Après la révolution des trois glorieuses de 1830 et le changement de régime qu'elle déclencha, le projet fut délaissé. Il faut attendre 1846 pour qu'il soit repris, avec la volonté de dédicacer cette nouvelle église à Clotilde (sainte depuis l'an 550, tout de même!) Une chapelle dédiée à Sainte-Valère, en mémoire de l'ancienne paroisse, sera tout de même édifiée au transept ouest de l'édifice, avec l'installation de sa statue survivante de feu l'ancienne église.
Le premier architecte, François-Christian Gau, s'éteignant en 1856, c'est finalement Théodore Ballu (à qui l'on devra l'église de la Sainte-Trinité de Paris) qui achève la construction l'année suivante. Gau fut mandaté par le préfet de la Seine Rambuteau afin d'élever cette église aux dimensions impressionnantes (96m de longueur pour 39m de largeur), dans le style néo-gothique, s'inspirant de l'église Saint-Ouen de Rouen ainsi que de la cathédrale de Cologne, pour laquelle il avait participé à la construction. Nous pouvons voir à son chevet nombre d'arcs-boutants et de pinacles, typiques du style gothique ogival, que l'on retrouve également sur les deux clochers (ajourés afin d'alléger la structure), que Ballu couronna de flèches culminant à 70m de hauteur, dominant le square Samuel Rousseau, devenues depuis un point de repère monumental de l'ouest parisien.
C'est en 1897, à l'occasion du XIVème centenaire du baptême de Clovis, que le pape Léon XIII lui accorda le titre honorifique de basilique mineure, la 5ème de la capitale.
Le célèbre facteur d'orgue toulousain, Aristide Cavaillé-Coll, est à l'origine de cet instrument de 46 jeux à son origine, conçu sous la direction du compositeur César Franck, qui fut son premier organiste. Lui succédèrent d'autres maestre de génie, comme Gabriel Pierné, Charles Tournemire, Jean L'anglais, Jacques Taddei... Remanié à quatre reprises, sa dernière augmentation en 2005 porta son nombre de jeux à 73. Réputé dans le monde entier pour la qualité sonore de ses tuyaux, renforcée par l'exceptionnelle acoustique de la basilique, de nombreux enregistrements y ont lieu régulièrement.
Crédits : ALM's
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Jean 20 v 1-18 Le premier jour de la semaine, Marie de Magdala se rendit au sépulcre dès le matin, comme il faisait encore obscur; et elle vit que la pierre était ôtée du sépulcre. Elle courut vers Simon Pierre et vers l'autre disciple que Jésus aimait, et leur dit: Ils ont enlevé du sépulcre le Seigneur, et nous ne savons où ils l'ont mis. Pierre et l'autre disciple sortirent, et allèrent au sépulcre. Ils couraient tous deux ensemble. Mais l'autre disciple courut plus vite que Pierre, et arriva le premier au sépulcre; s'étant baissé, il vit les bandes qui étaient à terre, cependant il n'entra pas. Simon Pierre, qui le suivait, arriva et entra dans le sépulcre; il vit les bandes qui étaient à terre, et le linge qu'on avait mis sur la tête de Jésus, non pas avec les bandes, mais plié dans un lieu à part. Alors l'autre disciple, qui était arrivé le premier au sépulcre, entra aussi; et il vit, et il crut. Car ils ne comprenaient pas encore que, selon l'Ecriture, Jésus devait ressusciter des morts. Et les disciples s'en retournèrent chez eux. Cependant Marie se tenait dehors près du sépulcre, et pleurait. Comme elle pleurait, elle se baissa pour regarder dans le sépulcre; et elle vit deux anges vêtus de blanc, assis à la place où avait été couché le corps de Jésus, l'un à la tête, l'autre aux pieds. Ils lui dirent: Femme, pourquoi pleures-tu? Elle leur répondit: Parce qu'ils ont enlevé mon Seigneur, et je ne sais où ils l'ont mis. En disant cela, elle se retourna, et elle vit Jésus debout; mais elle ne savait pas que c'était Jésus. Jésus lui dit: Femme, pourquoi pleures-tu? Qui cherches-tu? Elle, pensant que c'était le jardinier, lui dit: Seigneur, si c'est toi qui l'as emporté, dis-moi où tu l'as mis, et je le prendrai. Jésus lui dit: Marie! Elle se retourna, et lui dit en hébreu: Rabbouni! c'est-à-dire, Maître! Jésus lui dit: Ne me touche pas; car je ne suis pas encore monté vers mon Père. Mais va trouver mes frères, et dis-leur que je monte vers mon Père et votre Père, vers mon Dieu et votre Dieu. Marie de Magdala alla annoncer aux disciples qu'elle avait vu le Seigneur, et qu'il lui avait dit ces choses.
Actes 4 v 12 Il n'y a de Salut en aucun autre; car il n'y a sous le ciel aucun autre nom qui ait été donné parmi les hommes, par lequel nous devions être sauvés.
Jean 11 v 25-26 Jésus lui dit: Je suis la résurrection et la vie. Celui qui croit en moi vivra, quand même il serait mort; et quiconque vit et croit en moi ne mourra jamais. Crois-tu cela?
1 Pierre 1 v 3-4 Béni soit Dieu, le Père de notre Seigneur Jésus-Christ, qui, selon sa grande miséricorde, nous a régénérés, pour une espérance vivante, par la résurrection de Jésus-Christ d'entre les morts, pour un héritage qui ne se peut ni corrompre, ni souiller, ni flétrir, lequel vous est réservé dans les cieux.
Romains 8 v 11 Et si l'Esprit de celui qui a ressuscité Jésus d'entre les morts habite en vous, celui qui a ressuscité Christ d'entre les morts rendra aussi la vie à vos corps mortels par son Esprit qui habite en vous.
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