#Éric Lepage
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Éric Huneault Royal LePage Courtier immobilier agréé
L'achat ou la vente d'une résidence est probablement le geste le plus important qu'une personne aura à faire dans toute sa vie et j'aimerais être la personne qui vous guidera à travers un tel processus. Fort de mon expérience dans le monde juridique et des affaires, doublée de mon expérience dans le domaine de l'immobilier depuis 25 ans dont les 5 dernières années passées à la formation et au coaching de plus de 60 courtiers, dans le domaine de notre pratique, voir à la formation continue sur les lois et règlements ainsi que les techniques de vente et de marketing. Achat maison Saint-Jean-sur-Richelieu
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The Pool Scene - Alain Caya, Alain Martel, Alain Trahan, Anick Cadorette, Carol Audet, Christian Boisvert, Daniel Gagné, Daniel Sumun, Danny Hewitt, Dany Normandin, Darren Auclair Clément, Dave Simard, Denis Bernier, Dominic Byrne, Eric Cloutier, Éric Duchêneau, Éric Lepage, Gaston Soucy, Ghislain Champagne, Guillaume McNicoll, Harold Rousseau, Jean-François Dorais, Jeff Blais, Jérémie Boutet, Joey Cicero, Karl Tremblay, Louis-Martin Pratte, Luc Salvas, Marc Malette, Marco Caron, Marco Michel, Marie-France Blanchette, Mario Gamache, Mario Jacques, Markus Noe, Martin Daigle, Martin Sears, Medhi Bahloul, Michel Ferland, Michel Gagnon, Nick Jacques, Nicolas Charette, Pat Desbiens, Pierre Jubinville, Pierre Thériault, Réal Fontaine, Rémy Lefebvre, Sébastien Binette, Stéphane Fournier, Sylvain Béliveau, Sylvain Mercier, Tommy Cayer, Valerie Bedard, Yan Lalande, Yves Gaudreault - Quebec Billiards
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Daigle wins Falcon Tour in Drummondville
Here are the Falcon Cues Quebec tour results from march 03-04 from billard Hériot in Drummondville,Québec
1 Martin Daigle 1 200 $ 2 Dany Normandin 915 $ 3 Daniel Gagné 700 $ 4 Alain Martel 500 $ 5 Marco Caron 350 $ 6 Luc Salvas 350 $ 7 Danny Hewitt 225 $ 8 Yves Gaudreault 225 $ 9 Éric Cloutier 125 $ 10 Medhi Bahloul 125 $ 11 Éric Lepage 125 $ 12 Guillaume McNicoll 125 $ 13 – 16 Carol Audet 60 $ 13 – 16 Nick Jacques 60 $ 13 – 16 Stéphane Fournier 60 $ 13 – 16 Martin Sears 60 $ 17 – 24 Valérie Bédard 0 $ 17 – 24 Louis-Martin Pratte 0 $ 17 – 24 Pierre Thériault 0 $ 17 – 24 Dominic Byrne 0 $ 17 – 24 Sylvain Mercier 0 $ 17 – 24 Sébastien Binette 0 $ 17 – 24 Mario Jacques 0 $ 17 – 24 Rémy Lefebvre 0 $ 25 – 32 Harold Rousseau 0 $ 25 – 32 Karl Tremblay 0 $ 25 – 32 Markus Noé 0 $ 25 – 32 Denis Bernier 0 $ 25 – 32 Tommy Cayer 0 $ 25 – 32 Yan Lalande 0 $ 25 – 32 Pat Desbiens 0 $ 25 – 32 Ghislain Champagne 0 $ 33 – 48 Michel Gagnon 0 $ 33 – 48 Marc Malette 0 $ 33 – 48 Gaston Soucy 0 $ 33 – 48 Mario Gamache 0 $ 33 – 48 Dave Simard 0 $ 33 – 48 Sylvain Béliveau 0 $ 33 – 48 Joey Cicero 0 $ 33 – 48 Alain Trahan 0 $ 33 – 48 Pierre Jubinville 0 $ 33 – 48 Anick Cadorette 0 $ 33 – 48 Jean-François Dorais 0 $ 33 – 48 Jeff Blais 0 $ 33 – 48 Christian Boisvert 0 $ 33 – 48 Éric Duchêneau 0 $ 33 – 48 Darren Auclair Clément 0 $ 33 – 48 Alain Caya 0 $ 49 – 64 Réal Fontaine 0 $ 49 – 64 Daniel Sumun 0 $ 49 – 64 Marie-France Blanchette 0 $ 49 – 64 Jérémie Boutet 0 $ 49 – 64 Marco Michel 0 $ 49 – 64 Michel Ferland 0 $ 49 – 64 Nicolas Charette 0 $
#Alain Caya#Alain Martel#Alain Trahan#Anick Cadorette#Carol Audet#Christian Boisvert#Daniel Gagné#Daniel Sumun#Danny Hewitt#Dany Normandin#Darren Auclair Clément#Dave Simard#Denis Bernier#Dominic Byrne#Eric Cloutier#Éric Duchêneau#Éric Lepage#Gaston Soucy#Ghislain Champagne#Guillaume McNicoll#Harold Rousseau#Jean-François Dorais#Jeff Blais#Jérémie Boutet#Joey Cicero#Karl Tremblay#Louis-Martin Pratte#Luc Salvas#Marc Malette#Marco Caron
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TLMEP will host the five chefs on Sunday
TLMEP will host the five chefs on Sunday
The five main party leaders will meet once again on Sunday 25 September for the first broadcast of the 19e season of Everybody talks about itannounced ICI TÉLÉ on Wednesday morning. Posted at 10:13 a.m. François Legault (CAQ), Dominique Anglade (PLQ), Gabriel Nadeau-Dubois (QS), Paul St-Pierre Plamondon (PQ) and Éric Duhaime (PCQ) will all answer questions from Guy A. Lepage during this live…
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Évelyne Brochu is (8 times) among the Best of MTL 2017
• People & Places
Hottest Woman:
1 Evelyne Brochu 2 Maripier Morin 3 Eugénie Bouchard 4 Tranna Wintour 5 Audrey Ivory 6 Lou Lou la Duchesse de Rière 7 Coeur de Pirate (Béatrice Martin) 8 Annie Demelt 9 Mitsou 10 Mutsumi Takahashi
Best-Drssed Montrealer:
1 Evelyne Brochu2 P.K. Subban 3 Justin Trudeau 4 Tranna Wintour 5 Xavier Dolan 6 Leonard Cohen 7 Marc Bergevin 8 Pierre Lapointe 9 Maripier Morin 10 Estelle Davis
Best Icon (c/o Tourisme Montréal):
1 Mount Royal/the cross on Mount Royal 2 Farine Five Roses sign 3 Olympic Stadium 4 Saint Joseph’s Oratory 5 Orange Julep 6 Leonard Cohen 7 Old Port 8 Notre Dame Basilica 9 Jacques Cartier Bridge 10 Evelyne Brochu
• Media
Best TV Personality:
1 Éric Salvail 2 Mutsumi Takahashi 3 Evelyne Brochu 4 Jean-René Dufort 5 Lori Graham 6 Guy A. Lepage 7 Maripier Morin 8 Véronique Cloutier 9 Sugar Sammy 10 Marc Labrèche
Best Twitter:
1 @EvelyneBrochu 2 @TrannaWintour 3 @CultMTL 4 @evandubinsky 5 @fagstein 6 @mcleanspub 7 @mtlblog 8 @OzziesPOV 9 @DenisCoderre 10 @stminfo
Best Instagram:
1 Evelyne Brochu | @evelyne_brochu 2 Fucknomtl | @fucknomtl 3 Tranna Wintour | @trannawintour 4 Ponto | @ponto_mtl 5 Audrey Ivory | @audreyivory 6 McLean’s Pub | @mcleanspub 7 Gothshakira | @gothshakira 8 Cult MTL | @cultmtl 9 YULorama | @yulorama 10 Lavender May | @lavendermay
• Film & Arts
Best Actress:
1 Evelyne Brochu 2 Anne Dorval 3 Jessica Paré 4 Karine Vanasse 5 Alex Petrachuk 6 Leigh-Ann Taylor 7 Magalie Lépine-Blondeau 8 Holly Gauthier-Frankel 9 Alison Louder 10 Caroline Dhavernas
Best Film of 2016-2017:
1 Arrival 2 Juste la fin du monde 3 Les loups 4 Le passé devant nous 5 Boost
source
#evelyne brochu#le passe devant nous#cult montreal#orphan black#delphine cormier#tbc#news#may17#2017#please correct my english/french whenever you see something wrong
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Gala Québec Cinéma : JUSTE LA FIN DU MONDE et TWO LOVERS AND A BEAR partent en tête
Les films Juste la fin du monde de Xavier Dolan, et Two Lovers and a Bear de Kim Nguyen, sont tout deux en tête avec 12 nominations. Québec Cinéma dévoilait aujourd'hui les nominations de l’édition inaugurale du nouveau Gala Québec Cinéma (animé le dimanche 4 juin par Guylaine Tremblay et Édith Cochrane) et de son prédécesseur, le Gala des artisans Québec Cinéma (animé le jeudi 1er juin par Léane Labrèche-Dor et Pier-Luc Funk), où seront remis les premiers prix Iris (une création du sculpteur Marc-Antoine Côté)
Ségolène Roederer, directrice générale de Québec Cinéma :
« Nous sommes très heureux de proposer une formule Gala complètement renouvelée. Nouveau trophée, nouvelles catégories de prix et deux événements plutôt qu'un pour célébrer notre cinématographie et rejoindre davantage le public pour promouvoir nos talents. »
Juste la fin du monde de Xavier Dolan et Two Lovers and a Bear de Kim Nguyen sont en tête avec 12 nominations. Suivent de près Embrasse-moi comme tu m'aimes d'André Forcier et Les mauvaises herbes de Louis Bélanger, avec chacun 9 nominations. Avant les rues de Chloé Leriche a quant à lui 8 nominations.
Voici la liste complète des nominations :
MEILLEUR FILM
Avant les rues - Les Films de l'Autre - Chloé Leriche Ceux qui font les révolutions à moitié n'ont fait que se creuser un tombeau - Art & Essai - Hany Ouichou Juste la fin du monde - Sons of Manual - Sylvain Corbeil, Xavier Dolan, Nancy Grant | MK Productions - Elisha Karmitz, Nathanaël Karmitz, Michel Merkt Les mauvaises herbes - Coop Vidéo de Montréal - Lorraine Dufour, Luc Vandal Two Lovers and a Bear - Max Films - Roger Frappier | JoBro Productions - Jonathan Bronfman | North Creative Films - Ellen Hamilton
MEILLEURE RÉALISATION
Louis Bélanger - Les mauvaises herbes Bachir Bensaddek - Montréal la blanche Xavier Dolan - Juste la fin du monde Chloé Leriche - Avant les rues Kim Nguyen - Two Lovers and a Bear
MEILLEUR SCÉNARIO
Louis Bélanger, Alexis Martin - Les mauvaises herbes Bachir Bensaddek - Montréal la blanche André Forcier, Linda Pinet - Embrasse-moi comme tu m'aimes Chloé Leriche - Avant les rues Kim Nguyen - Two Lovers and a Bear
MEILLEURE INTERPRÉTATION | PREMIER RÔLE FÉMININ
Karina Aktouf (Kahina) - Montréal la blanche Nathalie Baye (la mère) - Juste la fin du monde Emmanuelle Lussier-Martinez (Ordine Nuovo) - Ceux qui font les révolutions à moitié n'ont fait que se creuser un tombeau Mylène Mackay (Nelly) - Nelly Tatiana Maslany (Lucy) - Two Lovers and a Bear
MEILLEURE INTERPRÉTATION | PREMIER RÔLE MASCULIN
Gabriel Arcand (Pierre) - Le fils de Jean Dane DeHaan (Roman) - Two Lovers and a Bear Antoine Olivier Pilon (Tim) - 1:54 Émile Schneider (Atilla) - Là où Atilla passe Gaspard Ulliel (Louis-Jean Knipper) - Juste la fin du monde
MEILLEURE INTERPRÉTATION | SECOND RÔLE FÉMININ
Céline Bonnier (Yvonne Sauvageau)- Embrasse-moi comme tu m'aimes Marion Cotillard (Catherine) - Juste la fin du monde Emmanuelle Lussier-Martinez (Francesca) - Les mauvaises herbes Léa Seydoux (Suzanne Knipper)- Juste la fin du monde Cynthia Wu-Maheux (Julie) - L'origine des espèces
MEILLEURE INTERPRÉTATION | SECOND RÔLE MASCULIN
Guillaume Cyr (Benoît Charistéas) - La nouvelle vie de Paul Sneijder Martin Dubreuil (Michel)- Maudite poutine Tony Nardi (Elio Moreli)- Embrasse-moi comme tu m'aimes Luc Picard (Patenaude)- Les mauvaises herbes Simon Pigeon (Jean-Sé) - Prank
RÉVÉLATION DE L'ANNÉE
Rykko Bellemare (Shawnouk) - Avant les rues Étienne Galloy (Stefie) - Prank Whitney Lafleur (Jessie) - Écartée Sasha Migliarese (Mérédith) - Mon ami Dino Kakki Peter (Sheriff John Tovok)- Two Lovers and a Bear
MEILLEURE DISTRIBUTION DES RÔLES
Lucie Robitaille (Casting Lucie Robitaille) | Heidi Levitt - Two Lovers and a Bear Emanuelle Beaugrand-Champagne | Nathalie Boutrie (Casting NB) - Les mauvaises herbes Xavier Dolan (Sons of Manual) - Juste la fin du monde
MEILLEURE DIRECTION ARTISTIQUE
Jean Babin- Chasse-galerie : la légende Éric Barbeau- Ceux qui font les révolutions à moitié n'ont fait que se creuser un tombeau Patrice Bengle- Embrasse-moi comme tu m'aimes Dominique Desrochers- Nitro Rush David Brisbin, Isabelle Guay, Jean-Pierre Paquet- Race
MEILLEURE DIRECTION DE LA PHOTOGRAPHIE
Glauco Bermudez - Avant les rues Nicolas Bolduc - Two Lovers and a Bear Josée Deshaies - Nelly Tobie Marier Robitaille - Nitro Rush André Turpin - Juste la fin du monde
MEILLEUR SON
Pierre-Jules Audet, Luc Boudrias, Claude La Haye - Race Claude Beaugrand, Bernard Gariépy Strobl, Claude La Haye - Two Lovers and a Bear Sylvain Bellemare, Stéphane Bergeron, Martyne Morin - Avant les rues Stéphane Bergeron, Martin Desmarais, Marie-Claude Gagné - Nitro Rush Olivier Calvert, Stephen De Oliveira, Hans Laitres - Maudite poutine
MEILLEUR MONTAGE
Jean-François Bergeron - Les 3 p'tits cochons 2 Richard Comeau - Two Lovers and a Bear Mathieu Denis - Ceux qui font les révolutions à moitié n'ont fait que se creuser un tombeau Chloé Leriche, avec la collaboration de Natalie Lamoureux - Avant les rues Jules Saulnier - Écartée
MEILLEURS EFFETS VISUELS
Artifex Animation Studios - Marc Hall - Le cyclotron Fly Studio - Jean-Pierre Boies, Mathieu Jolicœur, Jean-François Talbot - King Dave MELS - Martin Lipmann, Cynthia Mourou, Benoît Touchette - Race Rodeo FX - Daniel Lavoie, André Montambeault - Two Lovers and a Bear John Tate - Embrasse-moi comme tu m'aimes
MEILLEURE MUSIQUE ORIGINALE
Guy Bélanger - Les mauvaises herbes Thierry Amar, David Bryant, Kevin Doria - Maudite poutine Frannie Holder, Charles Lavoie, Vincent Legault (Dear Criminals) - Nelly Martin Léon - Embrasse-moi comme tu m'aimes Robert Marcel Lepage - Avant les rues
MEILLEURS COSTUMES Caroline Bodson- Boris sans Béatrice Francesca Chamberland- Chasse-galerie : la légende Mario Davignon- Race Sophie Lefebvre- Les mauvaises herbes Madeleine Tremblay- Embrasse-moi comme tu m'aimes
MEILLEUR MAQUILLAGE Djina Caron- Nelly Claire De Ernst- Embrasse-moi comme tu m'aimes Nicole Lapierre- Chasse-galerie : la légende Maïna Militza- Juste la fin du monde Marlène Rouleau- Nitro Rush
MEILLEURE COIFFURE Marie-France Cardinal, Véronique-Anne Leblanc- Chasse-galerie : la légende Réjean Goderre- Race Martin Lapointe - Nelly Marcelo Padovani- Embrasse-moi comme tu m'aimes Denis Vidal- Juste la fin du monde
MEILLEUR FILM DOCUMENTAIRE Callshop Istanbul - Hind Benchekroun, Sami Mermer (Les films de la tortue – Hind Benchekroun, Sami Mermer) Chez les géants - Aude Leroux-Lévesque, Sébastien Rist (MC2 Communication Média – Jean-Simon Chartier) Gulîstan, terre de roses - Zaynê Akyol (Périphéria Productions – Yanick Létourneau, Sarah Mannering, Fanny Drew | Office national du film du Canada – Nathalie Cloutier, Denis McCready | mîtosfilm – Mehmet Aktaş) Manoir - Martin Fournier, Pier-Luc Latulippe (Cheval Films – Martin Fournier, Pier-Luc Latulippe) Parfaites - Jérémie Battaglia (Les Productions du Rapide-Blanc – Sylvie Van Brabant)
MEILLEURE DIRECTION DE LA PHOTOGRAPHIE | FILM DOCUMENTAIRE Jérémie Battaglia - Parfaites John Price - I Am the Blues Sébastien Rist, Aude Leroux-Lévesque - Chez les géants Etienne Roussy - Gulîstan, terre de roses Olivier Tétreault - Manoir MEILLEUR MONTAGE | FILM DOCUMENTAIRE Mathieu Bouchard-Malo - Gulîstan, terre de roses Catherine Legault - La démolition familiale Jean-François Lord - Manoir Sami Mermer - Callshop Istanbul René Roberge - Chez les géants
MEILLEUR COURT MÉTRAGE | FICTION Mutants - Alexandre Dostie (Art & Essai - Hany Ouichou, Gabrielle Tougas-Fréchette) Oh What a Wonderful Feeling - François Jaros (La Boîte à Fanny - Fanny-Laure Malo, François Jaros) La peau sauvage - Ariane Louis-Seize (Art & Essai - Hany Ouichou, Jeanne-Marie Poulain) Tout simplement - Raphaël Ouellet (Annick Blanc - Annick Blanc) La voce - David Uloth (Productions Sure Shot - David Uloth | L'Unité centrale - Galilé Marion-Gauvin, Dominique Noujeim) MEILLEUR COURT MÉTRAGE | ANIMATION Casino - Steven Woloshen (Steven Woloshen) J'aime les filles - Diane Obomsawin (Office national du film du Canada - Marc Bertrand) Mamie - Janice Nadeau (Office national du film du Canada - Marc Bertrand, Julie Roy | Folimage - Corinne Destombes) Oscar - Marie-Josée Saint-Pierre (Office national du film du Canada - Marc Bertrand | MJSTP Films - Jocelyne Perrier, Marie-Josée Saint-Pierre) Vaysha l'aveugle - Theodore Ushev (Office national du film du Canada - Marc Bertrand)
PRIX DU PUBLIC 1:54 - Les Films Séville - Cinémaginaire (Denise Robert) | Diane England - Yan England Les 3 p'tits cochons 2 - Les Films Christal - Christal Films Productions (Christian Larouche) - Jean-François Pouliot Juste la fin du monde - Les Films Séville - Sons of Manual (Sylvain Corbeil, Xavier Dolan, Nancy Grant) | MK Productions (Elisha Karmitz, Nathanaël Karmitz, Michel Merkt) - Xavier Dolan Les mauvaises herbes - Les Films Christal - Coop Vidéo de Montréal (Lorraine Dufour, Luc Vandal) - Louis Bélanger Votez Bougon - Aetios Distribution | Remstar Films | Entract Films - Aetios Productions (Fabienne Larouche, Michel Trudeau) - Jean-François Pouliot IRIS HOMMAGE Dévoilement en mai
FILM S'ÉTANT LE PLUS ILLUSTRÉ À L'EXTÉRIEUR DU QUÉBEC Boris sans Béatrice - Denis Côté (Metafilms - Sylvain Corbeil, Nancy Grant) Juste la fin du monde - Xavier Dolan (Sons of Manual - Sylvain Corbeil, Xavier Dolan, Nancy Grant | MK Productions - Elisha Karmitz, Nathanaël Karmitz, Michel Merkt) Maudite poutine - Karl Lemieux (Metafilms - Sylvain Corbeil, Nancy Grant) Nelly - Anne Émond (Go Films - Nicole Robert) Two Lovers and a Bear - Kim Nguyen (Max Films - Roger Frappier | JoBro Productions - Jonathan Bronfman | North Creative Films - Ellen Hamilton)
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Sur la scène (hiver 2017)
L’équipe de la bibliothèque vous propose une compilation des pièces présentées dans douze théâtres de la région montréalaise au cours de l’hiver 2017. Certains textes font partie de notre collection et peuvent être empruntés. Bon théâtre!
Théâtre d’Aujourd’hui
Siri [texte : Maxime Carbonneau et Laurence Dauphinais; mise en scène : Maxime Carbonneau]
J’accuse [texte : Annick Lefebvre; mise en scène : Sylvain Bélanger]
Dehors [texte : Gilles Poulin-Denis; mise en scène : Philippe Ducros]
Irène sur Mars [texte : Jean-Philippe Lehoux; mise en scène : Michel-Maxime Legault]
Toccate et fugue [texte : Étienne Lepage; mise en scène : Florent Siaud]
Nuits frauduleuses [textes : Mathieu Arsenault et al.; mise en scène : Alix Dufresne]
Visitez le site web du Théâtre d’Aujourd’hui pour en connaître plus sur sa programmation. Pour des extraits vidéo et plus encore, consultez la chaîne YouTube et la page Facebook du théâtre.
Théâtre Aux Écuries
Habiter Villeray [coproduction : Théâtre Aux Écuries et Théâtre Les Porteuses d’Aromates]
La trilogie du futur [L’assassinat du président / Épopée Nord / Clotaire Rapaille : l’opéra rock]
L’assassinat du président [texte : Olivier Morin et Guillaume Tremblay; mise en scène : Olivier Morin]
Épopée Nord [texte : Olivier Morin et Guillaume Tremblay; mise en scène : Olivier Morin]
Clotaire Rapaille : l’opéra rock [texte : Olivier Morin et Guillaume Tremblay; mise en scène : Olivier Morin]
Non finito [idéation et direction artistique : Anne-Marie Guilmaine et Claudine Robillard]
16e Festival du Jamais Lu
Visitez le site web du Théâtre Aux Écuries pour en connaître plus sur sa programmation. Pour des extraits vidéo et plus encore, consultez la chaîne YouTube et la page Facebook du théâtre.
Théâtre Denise-Pelletier
Being Philippe Gold [création : Philippe Boutin]
Assoiffés [texte : Wajdi Mouawad; mise en scène et collaboration au texte : Benoît Vermeulen]
L’enfance de l’art – Doigts d’auteur de Marc Favreau [textes : Marc Favreau et autres auteurs invités; adaptation et mise en scène : Nicolas Gendron]
L’avare [texte : Molière; mise en scène: Claude Poissant]
Le lac aux deux falaises [texte : Gabriel Robichaud; mise en scène : Louis-Dominique Lavigne]
Antigone au printemps [texte : Nathalie Boisvert; mise en scène : Frédéric Sasseville-Painchaud]
Les zurbains 2017 [texte : Kim Thúy et quatre auteurs adolescents; mise en scène : Monique Gosselin]
Visitez le site web du Théâtre Denise-Pelletier pour en connaître plus sur sa programmation. Pour des extraits vidéo et plus encore, consultez la page Facebook du théâtre.
Théâtre Espace Go
Manifeste de la jeune-fille [texte et mise en scène : Olivier Choinière]
Le déclin de l’Empire américain [d’après l’œuvre de Denys Archand; texte : Alain Farah et Patrice Dubois; mise en scène : Patrice Dubois]
Avant-garde [texte : Marieluise Fleisser; mise en scène : Denis Marleau]
Visitez le site web du Théâtre Espace Go pour en connaître plus sur sa programmation. Pour des extraits vidéo et plus encore, consultez la chaîne YouTube et la page Facebook du théâtre.
Théâtre Espace La Risée
Dans un food court [création inspirée de Chaque automne j’ai envie de mourir de Véronique Côté et Steve Gagnon; mise en scène : Marie Fannie Guay et Solo Fugère]
Welcome (mes amis les animaux) [exposition : Émilie Sigouin]
Quand vient le soir [lectures publiques : Dominic Laperrière-Marchessault et al.]
Peut contenir des traces d’égo [texte et interprétation : Anne-Sophie Maguire Armand et al.]
Greta, gardienne de prison [texte et interprétation : Rozane de Bruyn; mise en scène : Francine Côté et James Keylon]
La veillée d’Aubuchon [présentation de Josiane Aubuchon et associés]
Récréation [texte : David Bélanger et François Ruel-Côté; mise en scène : Cédrik Lapratte-Roy]
Les femmelettes, l’an 4 [direction artistique : Julie Dignard]
Visitez le site web du Théâtre Espace La Risée pour en connaître plus sur sa programmation.
Théâtre Espace Libre
Table rase [texte : Catherine Chabot avec la collaboration de Brigitte Poupart et du Collectif Chiennes; mise en scène : Brigitte Poupart]
Ai-je du sang de dictateur? [texte, interprétation et mise en scène : Didier Lucien]
Dans la tête de Proust [texte et mise en scène : Sylvie Moreau]
No strings (attached) [texte : Sunny Drake; mise en scène : Gein Wong]
Coin Fullum et Parthenais [texte : Alexis Martin et Pierre Lefebvre; mise en scène : Daniel Brière]
La singularité est proche [texte et mise en scène : Jean-Philippe Baril Guérard]
Visitez le site web du Théâtre Espace Libre pour en connaître plus sur sa programmation. Pour des extraits vidéo et plus encore, consultez la chaîne YouTube et la page Facebook du théâtre.
Théâtre Jean-Duceppe
Les héros [texte : Gérald Sibleyras; mise en scène : Monique Duceppe]
Ne m’oublie pas [texte : Tom Holloway; mise en scène : Frédéric Dubois]
Harold et Maude [texte : Colin Higgins; mise en scène : Hugo Bélanger]
Visitez le site web du Théâtre Jean-Duceppe pour en connaître plus sur sa programmation. Pour des extraits vidéo et plus encore, consultez la chaîne YouTube et la page Facebook du théâtre.
Théâtre de la Licorne
Une mort accidentelle [texte : François Archambault; mise en scène : Maxime Denommée]
Yen [texte : Anna Jordan; mise en scène : Jean-Simon Traversy]
Gamètes [texte : Rébecca Déraspe; mise en scène : Sophie Cadieux]
Sylvie aime Maurice [texte : Florence Longpré; mise en scène : Nicolas Michon]
Pour réussir un poulet [texte et mise en scène : Fabien Cloutier]
Baby-sitter [texte : Catherine Léger; mise en scène : Philippe Lambert]
Le nombril du monstre [texte, mise en scène et interprétation : Félix Beaulieu-Duchesneau]
L’amour est un dumpling [texte : Nathalie Doummar et al.; idée originale et mise en scène : Mathieu Quesnel]
Visitez le site web du Théâtre La Licorne pour en connaître plus sur sa programmation. Pour des extraits vidéo et plus encore, consultez la chaîne YouTube et la page Facebook du théâtre.
Théâtre du Nouveau Monde
La bonne âme du Se-Tchouan [texte : Bertold Brecht; mise en scène: Lorraine Pintal]
Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran [texte : Éric-Emmanuel Schmitt; mise en scène : Anne Bourgeois]
Caligula [texte: Albert Camus; mise en scène et dramaturgie: René Richard Cyr]
Le jeu de l’amour et du hasard [texte : Marivaux; mise en scène : Alain Zouvi]
Visitez le site web du Théâtre du Nouveau Monde pour en connaître plus sur sa programmation. Pour des extraits vidéo et plus encore, consultez la chaîne YouTube et la page Facebook du théâtre.
Théâtre Prospero
Blink [texte : Phil Porter; mise en scène : Charles Dauphinais]
Act of God [texte et mise en scène : Marie-Josée Bastien et Michel Nadeau]
Don Juan revient de la guerre [texte : Ödön von Horváth; mise en scène : Florent Siaud]
La cloche de verre [texte : Sylvia Plath; mise en scène : Solène Paré]
Far away [texte : Caryl Churchill; mise en scène : Édith Patenaude]
Big shot [texte : Jon Lachlan Stewart; mise en scène : Georgina Beaty]
Visitez le site web du Théâtre Prospéro pour en connaître plus sur sa programmation. Pour des extraits vidéo et plus encore, consultez la chaîne YouTube et la page Facebook du théâtre.
Théâtre de Quat’sous
Auditions ou Me, myself and I [adaptation, conception et mise en scène : Angela Konrad]
Peer Gynt [texte : Henrik Ibsen; adaptation et mise en scène : Olivier Morin]
Attentat [textes : Hubert Aquin et al.; mise en scène : Gabrielle Côté et Véronique Côté]
Les manchots [texte et mise en scène : Olivier Kemeid]
La bibliothèque-interdite [texte et musique : Denis Plante; mise en scène : Brigitte Haentjens et Sébastien Ricard]
Parfois, la nuit, je ris tout seul [textes: Jean-Paul Dubois; dramaturgie, mise en scène et interprétation : Michel-Maxime Legault et Marcel Pomerlo]
IDentité [parcours immersif conçu par Q∅D]
Visitez le site web du Théâtre de Quat’Sous pour en connaître plus sur sa programmation. Pour des extraits vidéo et plus encore, consultez la chaîne YouTube et la page Facebook du théâtre.
Théâtre du Rideau vert
La cantatrice chauve suivie de La leçon [texte : Eugène Ionesco; mise en scène : Normand Chouinard]
Vol au-dessus d’un nid de coucou [texte : Dale Wasserman (d’après le roman de Ken Kasey); mise en scène : Michel Monty]
Qu’est-ce qu’on a fait au bon Dieu? [d’après le fim de : Philippe de Chauveron; adaptation : Emmanuel Reichenbach; mise en scène : Denise Filiatrault]
Visitez le site web du Théâtre du Rideau Vert pour en connaître plus sur sa programmation. Pour des extraits vidéo et plus encore, consultez la chaîne YouTube et la page Facebook du théâtre.
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Marcel Kuntz, biologiste au CNRS, défend l'innocuité des plantes transgéniques et fustige un discours sensationnaliste sur le glyphosate. Propos recueillis par Thomas Mahler
Directeur de recherche au CNRS, enseignant à l'université de Grenoble et médaille d'or 2017 de l'Académie d'agriculture de France, Marcel Kuntz est l'un des rares scientifiques français à s'engager publiquement pour défendre les OGM et les biotechnologies. Sur son site ou dans son livre OGM, la question politique (PUG), le biologiste végétal déplore que la question des plantes transgéniques en France ne relève plus d'un débat scientifique, mais de l'idéologie et de peurs, selon lui, infondées. Alors que Le Point consacre sa couverture de cette semaine à l'écologie et à la science, nous l'avons longuement interrogé sur les OGM, mais aussi sur l'actuelle controverse autour du glyphosate. Marcel Kuntz fustige notamment le traitement alarmiste par les médias de l'agriculture et de l'alimentation. Entretien.
Le Point : En 2012, Le Nouvel Observateur titrait « oui, les OGM sont des poisons » en se basant sur une étude de Gilles-Éric Séralini censée montrer la toxicité du maïs NK 603 sur les rats, mais qui a ensuite été dépubliée et discréditée. Est-ce un tournant dans notre perception des OGM ?
Marcel Kuntz : Le premier tournant, c'est, au milieu des années 1990, la crise de la vache folle et une méfiance alimentaire omniprésente. Tout ce qui touche à l'alimentation est alors devenu suspicieux, notamment ce qui est considéré comme non naturel. En 1996, la première cargaison de soja génétiquement modifié arrive en Europe en provenance des États-Unis. Libé titre « Alerte au soja fou », alors que la crise de la vache folle n'a rien à voir avec les OGM ou la biotechnologie. Auparavant, les opposants de longue date aux OGM, principalement des anticapitalistes ayant une autre vision de l'agriculture, n'avaient pas tellement d'arguments pour s'adresser au grand public. Mais, à partir du moment où on s'est mis à dire « ça va se retrouver dans votre assiette », les OGM sont devenus un sujet de préoccupation médiatique. Les responsables politiques n'ont pas réussi à gérer le problème. Aucun d'entre eux n'a eu le courage de dire : « La question des OGM, nous la maîtrisons, il y a une réglementation depuis 1990 avec une directive européenne. » Les politiques ont reculé petit à petit. Et puis, en septembre 2012, arrive cette étude de Séralini habilement médiatisée. Le fond scientifique a été rapidement critiqué et l'étude de Séralini a été logiquement retirée par le journal Food and Chemical Toxicology en novembre 2013. Il avait notamment utilisé une race de rats sujette au développement spontané de tumeurs. Mais cela a été une opération de communication très réussie, avec des images spectaculaires.
L'année dernière, trois grandes études européennes, GMO 90+, G-TwYST et Grace, ont montré l'innocuité des maïs OGM NK 603 et MON 810...
Grace avait débuté en juin 2012, avant l'annonce-choc de Séralini, et portait sur MON 810. Démarrée en 2014, G-TwYST est, elle, une conséquence directe de l'étude de Séralini et portait sur le fameux maïs NK 603 (celui étudié par Séralini), avec un suivi en toxicologie et cancérogénicité sur deux ans : c'est le pendant des travaux de Séralini, sauf que la race de rats était plus adaptée pour ce type d'étude et qu'il y avait plus de rats. Portant sur NK 603 et MON 810, GMO 90+ a utilisé les techniques transcriptomiques et métabolomiques pour chercher des biomarqueurs précoces, autrement dit des signaux faibles d'alerte. Ils n'ont trouvé aucune différence entre ces deux maïs et les témoins. Ces trois études, qui ont coûté 12 millions d'euros, sont complémentaires et ont les mêmes conclusions : il n'y a pas d'effet détecté sur la santé et le métabolisme des rats après consommation des maïs NK603 et MON 810. Séralini s'auto-proclame indépendant. Indépendant de Monsanto, oui, mais pas indépendant d'une idéologie. Il a été financé par le Criigen, cofondé par Corinne Lepage et Jean-Marie Pelt et lui. Séralini a notamment reçu le soutien de groupes comme Carrefour, depuis toujours dans une posture anti-OGM. Ça aurait dû alerter les médias...
En France, plus de 90 % des chercheurs spécialisés s'accordent à dire que les OGM ne sont pas dangereux pour la santé, mais seuls 16 % des Français pensent de même. Comment expliquez-vous ce grand écart ?
Il faut faire un effort pour approfondir les choses, pour lire des articles un peu pointus. Tout le monde n'a ni l'envie ni le temps pour cela, ce qui est parfaitement légitime. Vous voyez un reportage alarmiste à la télévision et vous vous dites qu'il faut se méfier, car il y a eu le problème de la vache folle, du sang contaminé... Tous ces « scandales » ont abouti à une méfiance très forte vis-à-vis de la gestion des crises par les pouvoirs publics. C'est un réflexe naturel qui, d'un côté, est sain. Il n'est pas irrationnel de se dire que, si on m'a déjà trompé x fois, il faut se méfier, ne pas prendre de risques pour nos enfants. Mais il y a aussi l'habileté militante de l'écologie politique. Ils ont des moyens d'instrumentaliser la presse, de développer ce que j'appelle une science parallèle, à l'image du Criigen, ils sont capables de provoquer un déferlement de reportages à la télévision dans leur ligne idéologique. Personnellement, je suis choqué que le service public milite pour des thèses fallacieuses, ce qui pose un problème démocratique majeur.
Vous visez France 2 ?
Oui, avec Envoyé spécial ou Cash Investigation. Tout le monde peut se tromper. Mais, quand vous évoquez des chiffres bidon sur la contamination de l'alimentation par les pesticides et que vous ne vous excusez pas derrière, c'est problématique. Le numéro de Cash Investigation en 2016 sur les pesticides a ainsi expliqué que plus de « 97 % des aliments contiennent des résidus de pesticides », alors que, selon l'Efsa (Autorité européenne de sécurité des aliments NDLR), 55 % des aliments n'en contiennent pas, auxquels il faut ajouter ceux qui contiennent des résidus de pesticides « dans les limites légales », ce qui aboutit à 97 %, avec seulement 3 % des échantillons qui dépassent ces limites légales, ce qui signifie donc l'exact contraire : une situation plutôt rassurante. Il y a un problème de neutralité de la télévision publique sur ces sujets. Ce déferlement continu de reportages alarmistes qui font croire que l'alimentation pose problème, que toutes les entreprises privées sont les derniers des salauds, cela fait des dégâts. Alors que les pouvoirs publics en font généralement plutôt trop que pas assez sur ces sujets, avec tout un arsenal de règlements et de normes qui nous situe aujourd'hui très loin des années 1970. Il y a un luxe de précaution qui devrait rassurer l'opinion. Mais nous assistons à un vrai rouleau compresseur de construction de la méfiance, qui a une incidence sur notre perception de certaines innovations et aussi des pouvoirs publics et des responsables politiques.
Quels sont les biais cognitifs expliquant notre méfiance instinctive des OGM ?
Il existe une tendance à considérer que ce que la nature fait est bon, sans risque, alors que ce que produit l'homme est forcément mauvais. Tout ce qui va être rangé dans la catégorie « artificiel », « industriel », « chimique » est perçu comme néfaste. Le simple terme « modifié » induit déjà du négatif. On voit bien les termes employés par les publicitaires, qui nous font croire que les produits sont « à l'ancienne », « naturels », alors que c'est complètement industriel. Ils savent bien ce qui fonctionne d'un point de vue marketing. C'est très révélateur de cette appétence pour le naturel. Peut-être que ce phénomène va de pair avec la sécularisation de nos sociétés. Nous remplaçons une religion par une autre, la religion de la nature, une forme de néo-paganisme. Dans la directive européenne de 1990 sur les OGM, le terme de « non naturel » revient d'ailleurs deux fois. Alors qu'il y a des OGM « naturels », apparus de façon quasi identique à ce que produisent les biotechnologies. La patate douce est, par exemple, naturellement transgénique. Cette idée de baser une réglementation sur ce qui est naturel ou pas ne tient pas la route d'un point de vue scientifique.
Les opposants aux OGM expliquent qu'ils sont protégés par des brevets, ce qui interdit aux paysans de ressemer les grains d'une année à l'autre...
Cette question de la brevetabilité a été la première objection de principe aux OGM. Les premiers opposants expliquaient qu'il ne faut pas breveter le vivant, car ce serait une appropriation du vivant qui appartient au domaine public. Il y a, bien sûr, des abus très critiquables d'un point de vue commercial, mais il faut absolument distinguer le régime réglementaire aux États-Unis et au Canada du reste du monde. Aux États-Unis, les brevets sont une propriété intellectuelle ancienne pour les variétés végétales : si vous dépensez de l'argent et du temps pour obtenir une variété intéressante, vous avez le droit d'avoir une juste rémunération de votre invention. Logiquement, les biotechnologies sont entrées dans ce régime juridique. Mais avec une logique différente en Europe. Vous pouvez obtenir un brevet, mais il portera sur l'invention en amont, et non pas les variétés elles-mêmes qui ne sont pas protégées par des brevets, mais par des certificats d'obtention végétale (COV), une invention française, d'ailleurs. Ainsi, le droit de ressemer de l'agriculteur est régi par une réglementation qui prévoit bien que, si vous avez acheté une variété, vous avez le droit de conserver une partie de la récolte pour la ressemer à votre usage personnel. Toute l'argumentation montée contre les OGM autour des brevets ne tient pas la route en Europe. C'est un malentendu complet. De plus, il se trouve que, pour le maïs, on ne ressème pas, car ils sont hybrides.
Les OGM sont aussi accusés d'être très envahissants en matière de pollinisation...
Tout dépend de la variété, de la distance entre les cultures, des insectes, du vent... Mais ce n'est pas spécifiquement lié à l'OGM. Avant, cette question était gérée par les professionnels. On se débrouillait pour éloigner les champs si nécessaire. Si un colza produit une huile industrielle, vous ne le placiez pas à côté d'un champ produisant une huile alimentaire. Le grand public s'en fichait complètement, et les agriculteurs géraient cette question technique. Mais, comme on a diabolisé les OGM, la question n'est plus technique, mais de « valeur ». Le grand public s'est focalisé sur cette idée qu'ils seraient « envahissants ». Je signale d'ailleurs que de nombreuses espèces sauvages ou horticoles, déplacées de leur milieu, sont devenues envahissantes, comme l'ambroisie ou le kudzu.
Quel est l'intérêt d'un OGM comme le riz doré ?
Ce riz produit de la pro-vitamine A dans la graine et tout indique qu'il serait utile pour lutter contre la déficience en vitamine A, là où le riz est l'aliment de base. Il est librement utilisable par les populations locales. Il est parfaitement identifiable (la graine est de couleur orangée). Mais il est de type « OGM » et donc soumis à la vindicte des militants anti-OGM. La plupart des pays qui auraient intérêt à l'utiliser y ont renoncé, sauf le Bangladesh, semble-t-il. Devant cette situation, 108 Prix Nobel ont appelé à cesser les campagnes contre le riz doré en particulier et contre les cultures et les aliments améliorés grâce aux biotechnologies en général. L'accusation de crime contre l'humanité a été formulée. Sans doute n'est-elle pas juridiquement recevable, mais le symbole devrait faire réfléchir ceux qui prétendent avoir des « valeurs ».
L'Europe a-t-elle un retard dans les biotechnologies ?
Le nombre de brevets sur les nouvelles biotechnologies, notamment le fameux système Crispr (« ciseaux moléculaires »), est en Europe très inférieur à ceux des États-Unis et de la Chine. Certains se sont illusionnés en pensant qu'on pouvait faire table rase du passé et oublier les polémiques autour des OGM en passant à ces nouvelles biotechnologies. Mais ces problématiques négatives sont toujours omniprésentes. De plus, on a quand même fermé des laboratoires de biotechnologie en France. Beaucoup de laboratoires français utilisent cette technologie Crispr en recherche fondamentale, mais pas pour la recherche de nouvelles variétés. Ce n'est plus dans l'air du temps à l'Inra de défendre les biotechnologies. On préfère vanter l'agro-écologie. C'est plus facile, les décideurs sont contents, à commencer par le ministre de l'Agriculture. Nous sommes dans une vision quasi religieuse avec des tabous. Il n'y a aucune incitation à aller vers des applications pratiques. On se retrouve ainsi avec beaucoup moins de brevets, alors que la Chine en a fait une politique de stratégie de puissance industrielle. Comme dans beaucoup d'autres domaines, l'Europe n'a pas de vision stratégique de la technologie. Les autres ont les brevets et nous avons le principe de précaution...
Le glyphosate déchaîne aujourd'hui les passions. Les agences de sécurité sanitaire assurent que cet herbicide ne présente pas de risque, sauf le Centre international de recherche sur le cancer (Circ), qui, en 2015, l'a classé en « cancérogène probable ». Ces divergences s'expliquent-elles par des sources scientifiques différentes ?
L'Anses (Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation) ou l'Efsa (Autorité européenne de sécurité des aliments) examinent toutes les études. Par la loi, elles sont obligées de regarder prioritairement les dossiers fournis par les industriels, qui sont des études normées et réglementaires avec des protocoles rigoureux. Mais il y a toujours aussi une quantité importante de recherche publique qui est prise en compte. Ce que l'on constate souvent, c'est que les études académiques sont parfois moins valides, car les normes dans les protocoles ne sont pas toujours respectées. C'est le défaut de la qualité de cette recherche publique, qui va privilégier les nouvelles idées qui ne sont pas toujours pertinentes, ou qui n'a pas toujours l'argent suffisant pour pousser les études jusqu'au bout, par exemple avec le nombre de rats suffisants. Mais je ne pense pas que cette divergence entre les autres agences et le Circ s'explique par le fait qu'il aurait plus utilisé des études académiques afin de classer le glyphosate en « cancérogène probable » (comme la viande rouge ou la combustion domestique du bois...). Pour moi, le Circ est l'exemple type d'une agence noyautée par une idéologie. Dans les fameux Monsanto Papers, on découvre des mails étonnants entre fonctionnaires de cette agence et militants écologiques. Ce sont des accointances idéologiques qui ne sont pas forcément condamnables en soi. Quand vous êtes biotechnologiste, vous pouvez aussi avoir un biais en faveur des biotechnologies et peut-être minimiser les risques. De même, quand vous êtes dans une agence qui fait son commerce d'un classement en cancérigènes, vous avez sans doute un petit a priori dans ce domaine. Mais, pour le Circ, on constate des faits qui vont bien au-delà. Kathryn Guyton, fonctionnaire du Circ qui a piloté ce classement du glyphosate en « cancérogène probable », dénigre le travail des autres agences. Ce n'est pas neutre. Elle était aussi prête à témoigner devant le « tribunal international de Monsanto », cette parodie de justice, avant que l'OMS, l'organisme mère, ne le lui interdise. Il y a aussi des liens entre experts du Circ avec des avocats prédateurs qui font des procès juteux contre Monsanto, et recrutent des malades par petites annonces, exploitant ce classement en cancérogène probable.
Selon une méta-analyse parue cette année dans Mutation Research, une forte exposition au glyphosate augmenterait le risque de lymphome non hodgkinien de 41 %...
Ces publications sont légitimes pour voir si on n'a rien raté au sujet du glyphosate, mais on a aussi le droit regarder de près la validité de ces études. Cette méta-analyse mélange et recalcule différentes études. Les méta-analyses sont utiles, mais, si vous prenez des données critiquables au départ, le résultat final ne sera pas plus fiable. Je ne suis pas persuadé que les études sorties récemment fassent changer d'avis les agences, car ce sont des recalculs statistiques très orientés. Que les chercheurs continuent à faire des études sur le glyphosate, c'est très bien, mais il ne faut pas confondre des conditions complètement artificielles avec les conditions de la vraie vie. On a ainsi injecté du glyphosate dans les rats. Si les cellules baignent directement dans le produit, ce n'est pas la vraie vie non plus. Cela peut apporter un renseignement sur la génotoxicité qui doit être pris en compte, mais cela ne correspond pas aux conditions normales du glyphosate. Ces études rendent plus compte du danger – c'est-à-dire les conditions extrêmes, ce que le produit peut faire – que du risque, c'est-à-dire ce que le glyphosate fait dans la vraie vie, où on ne le boit pas ou on ne se l'injecte pas. Il est normal qu'à une certaine dose le produit ait un effet. Je n'ai jamais utilisé cet herbicide autrement qu'avec des gants et un masque. Je fais pareil avec les produits ménagers. C'est la dose qui fait le poison : il y a des gens qui se suicident en avalant une bouteille de détergents.
Selon vous, il ne faudrait donc pas l'interdire ?
On a déjà interdit beaucoup de pesticides depuis vingt ans. Soit on interdit le glyphosate, soit on considère qu'il faut l'utiliser de manière plus raisonnable. Le glyphosate est victime de son succès : parmi les herbicides encore sur le marché, c'est celui qui désherbe le mieux. Ce que l'on constate d'un point de vue scientifique, c'est que, si le risque est bien géré, cela ne me semble pas justifier une interdiction totale. Pour moi, c'est une bonne idée qu'il ne soit plus en vente dans les grandes surfaces car il n'y a personne pour vous expliquer les précautions d'usage. Mais, si vous allez dans une jardinerie avec un conseiller qui vous explique comment l'utiliser, c'est pour moi un compromis satisfaisant pour tout le monde, et plus imaginatif que de basculer tout de suite dans l'interdiction. Dans les communes, vous avez maintenant des fonctionnaires payés pour arracher les mauvaises herbes à la main. Trois semaines après, elles sont revenues. J'ai constaté ça dans ma ville. Est-ce que c'est une solution à long terme ?
Par ailleurs, j'aimerais ajouter que, si, dans les médias, l'air du temps est à l'alarmisme, il en va de même pour les scientifiques. Tout fonctionne par crédits de recherche. Il faut répondre à un appel d'offres quand vous dirigez un laboratoire. Des thématiques à la mode vont être privilégiées. Vous avez intérêt à rendre la publication la plus catastrophiste possible pour attirer de nouveaux crédits. Il y a tout un business scientifique qui encourage à l'alarmisme.
Avez-vous des liens avec Monsanto ?
Je n'ai jamais reçu un centime de Monsanto. Je n'ai jamais travaillé avec Monsanto. J'ai d'ailleurs relativement peu collaboré avec des industriels, sans recevoir de l'argent d'eux ni à titre personnel. Ce n'est pas la motivation de mon engagement. J'ai fait des conférences et des livres qui m'ont pris du temps, au détriment de mon travail de chercheur et de ma carrière. Je n'ai vraiment rien à gagner dans cette histoire, mais je n'ai pas envie qu'on déforme la science et des choses parfaitement établies. Je ne veux pas vivre dans une société où le mensonge a pignon sur rue.
L'entreprise Monsanto, rachetée par le groupe Bayer, ne fait rien pour arranger son cas...
Ils ont été complètement nuls en communication. Dans un premier temps, ils ont tenté de parlementer. Mais des associations comme Greenpeace n'ont aucun intérêt à un dialogue, et elles ne vont jamais ménager un industriel s'il est une cible potentielle. Après ça, Monsanto a décidé de ne plus rien dire, ce qui est de la bêtise complète. Ils n'ont ainsi pas réagi au documentaire Le monde selon Monsanto de Marie-Monique Robin en 2008, une suite de balivernes sur le caractère néfaste des OGM. Monsanto est ainsi devenu le parfait Grand Satan des écologistes, avec les OGM puis le glyphosate. Maintenant, leur image n'est plus récupérable. Les choses les plus banales deviennent un complot mondial orchestré par Monsanto qui contrôlerait la science mondiale. Les fameux papiers téléguidés par Monsanto, ce sont en fait quelques personnes qui ont signé des articles de « revue », des commentaires qui sont relativisés dans les évaluations de l'Anses. Ce que l'on reproche aux industriels, souvent on ne le reproche pas aux activistes. Pourtant, si vous lisez un papier scientifique produit par le Ramazzini Institute, vous savez parfaitement que ce sont des anti-pesticides et vous en tenez compte de manière critique. C'est pareil de l'autre côté avec quelques articles guidés par Monsanto. Les agences d'évaluation ne sont pas complètement naïves !
Pour conclure : ne craignez-vous pas de vous tromper sur ces sujets ?
Le doute fait partie de la démarche scientifique. Cela fait vingt ans que je suis les OGM. On a eu par le passé des variétés conventionnelles qui se sont relevées impropres à la consommation, cela peut donc arriver avec une variété OGM. Ce n'est pas le cas aujourd'hui. Cela, il faut le dire. Cependant, il faut toujours rester méfiant, car les accidents arrivent quand on est persuadé qu'il n'y a pas de problème. En ce qui concerne le glyphosate, peut-être que demain une publication crédible montrera qu'il présente un risque. Mais à l'heure actuelle, après quarante ans d'utilisation, les meilleures études indiquent qu'il n'y a pas de problème avec le glyphosate en condition normale d'utilisation. Dans le doute, protégeons-nous au maximum, sans forcément l'interdire. Ce qui m'inquiète plus, c'est que les études ne sont plus toujours faites dans un souci de neutralité, mais soit pour remplir les caisses du laboratoire, soit par dérive idéologique. On va interdire à tort et à travers des produits qu'il n'y a pas lieu d'interdire (car on a bien cerné les risques) et on les remplace quelquefois par des produits objectivement plus risqués : des herbicides plus toxiques que le glyphosate, des insecticides chimiques à la place du maïs MON 810 qui se protègent tout seul contre des insectes ravageurs, etc.
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Chaumet Debuts a Show of Historic Drawings at the Salon du Dessin
"The Art of the Stroke" at Chaumet. © Courtesy of Collection Chaumet, Paris.
In 1991, when the Salon du Dessin—an art fair in Paris dedicated to works on paper—was inaugurated, it was strictly dedicated to “ancient” drawings, pastels, gouaches, and oils on paper, defined as predating the 20th century. This Tuesday, as the 27th edition of the fair opened at the Palais Brongniart (running through March 26), it was clear that it had morphed into what a veteran exhibitor called a different and “eclectic art fair.”
Interior view of the Salon du Dessin, 2018. © Tanguy de Montesson.
“The fair has improved in quality and has become more eclectic,” said Éric Coatalem, an art dealer who has participated in the fair for over a decade. Coatalem’s own stand this year was primarily dedicated to works from the 18th and 19th century, including a rare oil on paper titled Glowing Tiger by the French artist Eugène Delacroix, which hung on a wall otherwise devoted to the 20th-century works. “Opening the fair to larger periods makes it more interesting because it allows a broader vision of artworks on paper,” he said.
By that yardstick, this edition of the fair—held in the 2nd arrondissement in the grand former site of the Paris stock exchange—is even more interesting than before. There are some 40 international galleries whose offerings cover nearly 700 years of art, from the 15th to the 21st century, in a large variety of techniques and formats. And this year there is a new exhibitor of a wholly different genre.
Drawing Inspiration From the Past
For the first time, the French jewelry house Chaumet is participating as an exhibitor, presenting a suite of artworks that persuasively link its history of exquisite design to the artistry seen in the surrounding booths. A series of 38 preparatory sketches selected from among the 80,000 drawings in the house’s archives is collectively presented in a show titled “The Art of Drawing at Chaumet: From Imagination to Creation.”
The drawings—in pencil, ink, watercolor, and acrylic—demonstrate the variety of techniques used by the draughtsmen at Chaumet. Though they are not for sale, they are offered for visitors’ viewing pleasure, and to educate the public about the links between the art of drawing and the craft of making jewelry. Many of the drawings are being shown for the first time.
Preparatory sketches from Chaumet. © Courtesy of Collection Chaumet, Paris.
The idea to show the drawings at an art fair came from Jean-Marc Mansvelt, the chief executive of Chaumet since 2015, whose strategy has favored a “cultural” repositioning of the maison. “In the past three years we have taken the opportunity to showcase the rich artistic heritage of the maison,” Mansvelt said. “We have done this with the “Imperial Splendors” show at the Forbidden City in Beijing, a museum show that will be traveling next to Tokyo, and with our own in-house pop-up museum. Chaumet’s presence in the Salon du Dessin confirms our close ties to the world of art and culture.”
Covering a date range from 1810 to the mid-1950s, Chaumet’s drawings focus on the theme of the “tiara,” naturally a recurrent subject for a jeweler who has been a purveyor of French kings and emperors for over two centuries. Chaumet created over 3,500 headpieces during that time, many of which were worn to project royal authority.
“Drawing is the first step in the creative process that leads to the conception of a piece of jewelry, be it for a whole collection or a single private order,” said Guillaume Robic, Chaumet’s heritage director. “Our goal with this exhibition is to show the successive stages in the creative process of designing a piece jewelry,” he explained. “It is also to demonstrate the creativity of the maison for 240 years, and to show where we find our inspiration for today’s jewelry collections.”
Preparatory drawing for Vanderbilt Tiara (ca. 1908). © Courtesy of Collection Chaumet, Paris.
While preparatory drawings are essentially “technical” drawings rarely signed by, or attributed to, a single artist, they are nevertheless both strikingly delicate and highly realistic. The gouachés (or watercolors) that highlight pencil drawings are particularly vibrant, allowing for the sheen of a pearl or the crystal clarity of a diamond to leap off the page. Still, while the jewelry drawings are qualitatively on par with the art shown elsewhere in the fair, they were often treated as a “work-in-progress” in jewelers’ workshops, subject to change if the client opted for a modified design, or for different stones.
“Two drawings from 1810 shown here are among the oldest in our archives, and mark the beginnings of the maison,” said Mikael Lepage, who oversees Chaumet’s archives. “They are drafts of designs for tiaras intended for the Empress Marie Louise, wife of Emperor Napoleon, whose official jeweler was Chaumet.” In 1901, Joseph Chaumet had proposed a tiara to the American artist and heiress Gertrude Vanderbilt Whitney, founder of the Whitney Museum in New York, that was shaped like a pair of diamond wings mounted on an aigrette, a feathered-adornment meant to mimic a bird’s spray of plumage that was particularly en vogue during the Belle Époque. Various stages of the drawings for the Vanderbilt tiara along with a three-dimensional prototype wrought in nickel-silver are on display in the booth.
A preparatory sketch for the turquoise headband for Mairie Louise Empress of France (1811). © Courtesy of Collection Chaumet, Paris.
The palpable collector enthusiasm for works on paper in Paris is reflected in part in the number of shows this week that shine a spotlight on drawings, including a sister fair called Drawing Now that is dedicated exclusively to contemporary drawings, held at the Carreau du Temple in the Marais district of Paris. Another show at the Musée Condé in Chantilly, some 35 miles north of Paris, presents a selection of 21 original etchings by Rembrandt and his entourage from the collections of the Duc d’Aumale, all pieces that are being publicly exhibited for the first time ever.
For those interested in further immersion in the world of jewelry drawings, an exhibition titled “The Gouachés: A Unique and Little Known Art” runs through April 1 at the Piscine de Roubaix, an art center in Northern France, which features jewelry drawings from the archives of the 19th-century jeweler Dael & Grau.
Sketch from Chaumet.
Finally, after the Salon du Dessin closes on Monday, Chaumet will continue to show a different set of drawings in a second show (March 22–March 30) called “The Art of the Stroke“—a title meant to evoke the elegance of a graphite pencil mark—that explores the theme of architecture in jewelry design. The show will be held in the reception rooms of Chaumet’s own historic home on the Place Vendôme and will feature both drawings from its own collections and works by students of Paris’s École des Beaux-Arts, the prestigious art school. Over the years, the maison has recruited draughtsmen from that school, and also plans to sponsor the construction of a new venue within its confines dedicated to showing and promoting works on paper.
For historic jewelry houses like Chaumet, a drawing is more than just a step in the preparation of a piece of jewelry—it is a work of art that is essential to the house’s creativity and identity. The drawings on display at the fair make that case convincingly, creating a thread that forms an inextricable link between the maison’s storied heritage and its contemporary collections today.
[Source]
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Saison 2018-19 du TNM | Voltaire, Dubé, Bouchard, Shakespeare, Lepage, Racine et Schmitt
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Saison 2018-19 du TNM | Voltaire, Dubé, Bouchard, Shakespeare, Lepage, Racine et Schmitt
C’est Robert Lepage, Racine et Éric-Emmanuel Schmitt. Vraiment, une programmation enlevante, offerte de pair avec la rénovation du théâtre attendue depuis si longtemps.
C’est la trop rare metteure en scène Alice Ronfard qui partira le bal en septembre avec Candide ou l’Optimisme, une créEmmanuel Schwartz, alors que Benoît Drouin-Germain jouera le jeune Candide sous la férule de Patrice Coquereau en un Voltaire toujours aussi porté par le catastrophique.
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