subbiland
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subbiland · 6 years ago
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Arrivée à Paris
Je dors et j’entends la voix dans les haut-parleurs qui nous informe que le train va entrer en gare dans 15 minutes. Visiblement, j’ai dormi avec une bite dans le cul. Le black se réveille et je sens sa bite qui grossit et durcit dans mon cul. Je bouge légèrement pour la sentir en moi mais ce n’était pas une bonne idée : mon cul me brûle. Mon enculeur se réveille et commence à me limer de plus en plus. Ça brûle mais je ne sais pourquoi, ça m’excite. Mon cul se lubrifie et la douleur se calme.
Sur la couchette en face, son copain s’est réveillé. Il est nu et sa bite se dresse de plus en plus. Je n’ai qu’une envie : la sucer. Le mec comprend mon désir et se lève. Il se positionne devant moi, passe sa bite sur mes joues, dans mes cheveux, puis la glisse dans ma bouche. Il me baise la bouche. Il jouit très vite. On me fait me lever, son copain toujours allongé m’attrape par la tête et se vide dans ma bouche. Ils me font alors bien lécher leurs bites jusqu’à ce qu’elles soient bien propres. Tout le monde se rhabille et on s’assoit en attendant l’arrivée en gare.
Visiblement, on est encore loin de la gare. Le premier se lève, ouvre sa braguette, sort sa belle tige noire et me dit que sa bite a apprécié passer la nuit dans mon cul et qu’elle serait ravie de patienter jusqu’à la gare dans ma bouche. Je m’approche et gobe ce beau bâton. Je le suce très lentement, plus par les mouvements du train que de ma tête. Sa bite redevient bien dure. Il me dit qu’il a envie de jouir mais qu’il va se retenir jusqu’à la gare.
Le train s’immobilise. J’ai toujours sa bite dans ma bouche. Son copain pousse ma tête doucement vers sa bite pour me la faire prendre en entier mais j’ai du mal. Puis d’un coup, il jouit dans ma bouche. J’avale et le suce pour que sa bite soit bien propre. Il se rhabille et on descend du train.
Ils me demandent si je sais où aller. Je leur dis que mon parrain doit m’attendre. Après quelques aller-retours sur le quai, je trouve parrain. Il s’approche de moi et me fait la bise. Il me dit de suite que je sens le sperme. Je lui raconte ma nuit dans le train. Parrain me demande si je veux déjeuner. J’ai faim. Alors, parrain m’entraîne… vers les toilettes ! Visiblement, le petit dej sera crémeux. Miam !
Arrivé dans les toilettes, parrain me pousse dans une cabine. Je suis assis sur le chiotte et il me donne sa bite à sucer. Parrain est visiblement excité, il jouit vite. Parrain me demande alors si je suis prêt à me faire prendre à la chaîne comme la chienne que je suis. Je lui dis que ça me tarde. On sort des toilettes, et parrain me dit : "Alors on y va de suite. J’espère que tu as faim, car il y a du monde." Je demande à parrain ce que ça veut dire du monde. Il me dit qu’il a fait passer le message dans la cité où il m’amène depuis plus d’un mois. Selon lui, il y aura au moins 50 personnes. "À chaque fois !" précise-t-il. Là je suis excité et en même temps, j’ai la trouille. Je n’en saurai pas plus de parrain.
On prend le métro, puis le RER, puis un bus. Il n’y a que des immeubles à perte de vue. Après une bonne marche, on arrive devant un immeuble gigantesque. Une immense barre. On entre et on descend jusqu’aux caves. On arrive dans une grande cave. Au centre se trouve un banc surélevé avec des accoudoirs trop bas, et des sangles. Parrain me demande de me déshabiller et de ne garder que mes baskets. Il me fait alors monter à plat-ventre sur le banc. Mes jambes sont appuyées sur les accoudoirs. Devant, je peux poser le menton, et les bras sur deux accoudoirs. Tout est recouvert de plastique noir mou. Parrain me demande si je suis bien installé. Je me cale bien et lui dit que oui. Parrain m’attache alors les mains et les pieds. Puis relève un truc, et m’attache la tête par le front. Je suis bien calé et la position n’est pas inconfortable. Parrain ramasse mes affaires et les range dans son sac. Il me dit alors que je suis là pour les trois prochains jours. Cul et bouche à disposition.
Parrain sort un tube de gel et m’enduit le cul. Il me dit que c’est une vraie chatte, bien souple. Puis, je l’entends derrière et il m’encule d’un coup. Il me lime un bon moment. Puis il me repasse du gel sur ma rondelle. Sauf que ça chauffe vite. Mon cul me brûle. Je demande à parrain ce qu’il veut. Il s’approche de moi et me dit :
— Je vais attendre un peu. Et quand tu n’en pourras plus, c’est à toi de crier ce que tu veux que je te fasse.
Je résiste quelques minutes mais ça brûle vraiment. Je me mets à crier :
— Je suis un vide-couilles, un trou à bites. Enculez-moi en permanence et jouissez dans ma bouche.
Et j’entends une clameur derrière moi ! Parrain s’approche de mon oreille et me dit :
— Bien mon garçon, il y a foule derrière ton cul. Et tu viens de les motiver. Rien ne pourra les arrêter. Pendant les trois prochains jours, ton cul sera qu’un trou à bite et tu vas boire des litres de sperme.
Je sens une bite se positionner devant mon cul ouvert. Et elle m’encule d’un coup. Devant, je vois une foule se masser. Un mec sort sa bite, s’approche de ma bouche. Il me l’enfourne direct. Je n’ai pas compté les bites, ni les heures. Je suis sûr qu’à un moment, je suis épuisé et que des mecs m’enculent encore. Certains jouissent dans un bol. Quand il est plein, on l’approche de mes lèvres et je le bois en entier. Beaucoup ont décidé de rincer ma chatte. Je comprends mieux les lieux et le sol carrelé. On m’a rincé plusieurs fois de la tête aux pieds au jet d’eau. On lave l’intérieur de mon cul au jet.
Je ne sens plus mon corps. Je ne sais depuis combien de temps je suis là. Mon cul a toujours été occupé. On a laissé ma bouche tranquille pour boire des bols de spermes. Au début mon cul m’a démangé, puis brûlé. Maintenant, je ne sens plus rien. On a rajouté un grand plat sous mon cul. Le sperme en trop-plein coule dedans. Puis on le vide dans un bol que j’avale. De temps en temps, on m’a aussi donné à boire de l’eau et certains ont rincé ma bouche en pissant dedans.
À un moment, certains ont décidé de jouer à la tombola. Je ne comprenais pas ce qu’ils voulaient faire. En fait, c’était simple. Ils ont entré dans ma chatte des petites boules numérotées puis chacun est venu plonger sa main dans mon cul pour reprendre une boule. Le plus grand numéro est passé en premier. Ils m’ont tous bien enculé, puis venaient se vider dans ma bouche.
À un autre moment, il a été décidé de laisser mon cul en paix. Je ne sais ce qui a été enfoncé dans mon cul-chatte mais c’était énorme. Puis parrain est revenu. Il m’a demandé ce que je ressentais :
— Plus rien, je lui ai répondu. Je ne ressens plus rien sauf si vraiment on m’écartèle le cul.
Parrain me dit que maintenant, la chienne que je suis va être baisée par des chiens. Je lui rappelle que je suis un trou à bites permanent. Parrain enfonce sa bite dans ma bouche. Il me baise la bouche et jouit.
On me détache. J’ai du mal à me relever et parrain me dit de me mettre par terre à quatre pattes. Derrière moi, il y a au moins une trentaine de personnes et j’ai vu quatre ou cinq chiens. À peine à quatre pattes, le premier chien est amené derrière moi. Il renifle mon cul, je sens sa langue contre ma rondelle. Puis il grimpe sur mon dos. Quelqu’un l’aide à me pénétrer. Pour ceux qui n’ont jamais essayé, je peux vous dire que la sensation avec un chien est unique. C'est totalement bestial, avec une vitesse incroyable. En plus, le sexe grossit de plus en plus et le sperme coule en permanence. Dès que le premier chien a fini, un autre est amené. Il y aura en tout six chiens. Tous différents.
On me fait mettre à genoux. Là, je reçois une douche de sperme. Puis les hommes s’en vont et je reste seul avec parrain et un autre homme. Parrain me présente son copain Rachid. Rachid vient devant moi et fourre sa bite dans ma bouche. Il jouit très vite. Il éjacule une quantité incroyable et j’ai du mal à tout avaler mais j’y arrive. Je suis recouvert de sperme, le cul grand ouvert. Parrain me repositionne à quatre pattes. Sa main rentre sans forcer dans mon cul-chatte bien graissé par tout le jus des chiens. Il ressort et rentre ses deux mains en forçant à peine. Il joue avec ses doigts dans mon cul et c’est agréable mais je le ressens à peine, ce que je dis à Parrain.
Il ressort ses mains et me demande si je veux m’asseoir. Vu que je viens de passer je ne sais combien de temps sur le banc, je lui dis oui. Rachid approche un cône orange et blanc que l’on voit sur le bord des routes quand il y a des travaux. Il me dit de m’asseoir dessus en riant.
Je positionne mon cul dessus et me laisse tomber sur le cône. Il entre et m’étire. Là je ressens à nouveau mon cul. Rachid vient devant moi, m’attrape les jambes par les chevilles et les relèvent. Le cône entre un peu plus et je gémis. Parrain passe derrière moi et appuie sur mes épaules, d’abord doucement, puis de plus en plus. Je suis écartelé et je gémis de plus en plus. Parrain cale une caisse derrière moi qui me sert de dossier, et Rachid pose mes pieds sur deux chaises. Le cône m’ouvre en deux mais je me sens bien. Parrain vient devant moi et me donne sa bite. J’ouvre la bouche pour le sucer. Parrain me dit que je suis vraiment la reine des chiennes. Je viens de passer 28 heures à me faire défoncer par une cinquantaine de mecs, mon cul est écartelé par un cône de signalisation et si on me montre une bite je veux la sucer. Je réponds à Parrain que je suis un trou à bites permanent, la reine des chiennes, et que j’ai encore et toujours envie de bite et de sperme. Et je suce sa bite.
Parrain me dit que les vacances ne font que commencer et que dès demain, il va m’amener sur les chantiers pour y soulager tous les mecs, puis je devrai sucer et me faire prendre n’importe où : en pleine rue, dans le métro, dans les magasins et par les clochards sous les ponts et m’assumer totalement en vide-couilles.
Je ressors un instant la bite de parrain de ma bouche et lui demande :
— Pourquoi on doit attendre demain ?
J’engloutis sa bite et parrain jouit instantanément.
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subbiland · 6 years ago
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Départ pour Paris
Auguste passe à plusieurs reprises le produit pour cautériser la plaie et qui empêche que ça cicatrise. La douleur est atroce mais je me dis que c’est le prix à payer pour que mon cul devienne enfin une chatte toujours ouverte. Puis, il me passe une crème anesthésiante. La douleur se calme enfin. Auguste nettoie le sang qui a coulé sur mes cuisses et me dit que mon épilation n’est pas top. Mon homme me dit qu’à y être, il peut m’épiler. Avec l’anesthésiant, je ne sens rien.
Quand il a fini, il me dit que ma chatte est prête, que je peux l’utiliser mais sans trop forcer, sinon ça va continuer à me déchirer et ça ne sera plus une chatte mais un gouffre. Je demande à mon homme s’il veut utiliser ma chatte. Il me dit que non, qu’il faut attendre un peu. Auguste me dit qu’il va me mettre un écarteur. Le problème, c’est que mon cul va rester grand ouvert et je vais me chier dessus. Je lui dis que ce week-end, je pars pour les vacances chez mon Parrain et que justement, il doit me faire réaliser par un de ses amis un bouchon anal. Auguste me dit qu’il faut quand même trouver une solution jusque-là.
Auguste a alors une idée : "coller un bout de latex dans l’écarteur". Ça fera écarteur et bouchon. Sitôt dit, presque sitôt fait. Il faut que la colle sèche. Dans l’attente, mon homme garde mon cul écarté avec ses doigts. Auguste pose l’écarteur. Je ne sens rien. Je remets mon jeans. Auguste a visiblement une belle bosse dans son pantalon. Je lui demande si je peux le soulager. Auguste dit oui, mais pas là.
Il me fait descendre. On va sur les allées. Beaucoup de circulation. Auguste me demande me m’accroupir entre deux voitures en stationnement. Mon homme est derrière moi, debout. Auguste sort sa bite. Je le suce. De loin, je pense que l’on ne voit que deux hommes qui discutent. Ils parlent de moi. De la chienne que je suis, de mon cul qui est une chatte, de mes prestations au foyer avec les clochards. Ils cherchent le moyen de rendre mon cul public. Comme une pissotière mais prévu pour le sperme. Auguste dit qu’il a une idée. Je ne la connaîtrai pas mais ça l’a fait jouir. Mon homme me dit de ne pas avaler, de faire demi-tour et de le sucer. Double ration. Je m’exécute.
Auguste explique alors son idée à mon homme. Me mettre à disposition tout un après-midi dans un sex-shop. Mais il y a un hic. Je n’ai pas 18 ans. Auguste dit qu’il connaît un gérant de sex-shop qui ne sera pas trop regardant sur mon âge. L’idée consiste à me placer dans une espèce de tonneau. Mon cul sera accessible d’un côté et de l’autre, ma bouche. Personne ne pourra me voir. Tout le monde pourra en profiter. L’idée visiblement plaît : mon homme jouit. Je garde la bouche bien ouverte. Mon homme me dit d’avaler puis de bien nettoyer leurs bites. Je nettoie les deux. Je rentre alors chez moi.
Sur le chemin du retour, mon voisin est dans son jardin. Je lui dis bonsoir. Il me demande si j’ai deux minutes pour l’aider. Je lui dis que je suis toujours à sa disposition. Je le suis et on rentre chez lui. Sa femme sort acheter le pain. Il lui dit que je viens l’aider à continuer à descendre les cartons. Elle me remercie chaleureusement, dit à son mari d’en faire peu, sinon il va se fatiguer, et qu’elle passe chez moi prévenir que je serai retardé.
Elle sort. Mon voisin me dit que l’on a que cinq minutes. Je m’accroupis devant lui, ouvre sa braguette, sort sa bite déjà raide et le suce. Il me traite de tous les noms, de salope, de trou à bites, de vide-couilles et jouit très vite. Je le suce jusqu’à ce qu’il ramollisse. Je lui montre ma bouche pleine. Il me dit :
— Avale salope.
J’avale, reprend sa bite pour bien la nettoyer. Puis je la remets dans son pantalon, referme sa braguette et me relève. Il me passe la main sur le visage en disant que je suis vraiment un bon garçon. On descend un carton. Puis il me dit de rentrer en ajoutant qu’à cette vitesse, on en a pour des mois à tout ranger. Je pars en lui disant que je ne suis pas pressé.
Arrivé à la maison, maman me félicite d’être aussi gentil et serviable. Si elle savait… Elle me dit qu’elle a tout prévu pour aller chez parrain. Je voyagerai en train de nuit. En couchette. Il me tarde d’être à Paris. Parrain m’a promis trois jours et trois nuits non-stop à me faire baiser.
Mon cul a visiblement cicatrisé vite. Je peux passer le doigt ça ne fait pas mal. Je sens la déchirure. Le contact de mes doigts sur cette zone est agréable. Même en sortant de la douche, deux doigts entrent sans forcer. Mon cul est une chatte : "ouvert en permanence".
Vendredi enfin. Ce soir train et Paris. Sur le chemin de la gare, papa m’explique qu’il y a six couchettes par compartiment. Que je voyagerai avec cinq autres hommes. Ça, ça ne me gêne pas… Arrivé au train, trouver le wagon et le bon compartiment. Ma couchette est au milieu, côté droit. Je suis le premier installé. Papa veut quand même voir qui va voyager avec moi. Deux blacks arrivent. Ils ont les couchettes du dessus. Je reconnais l’un deux. Il était devant le foyer ! Il est super poli avec papa puis il part fumer sur le quai avec son copain. Papa me dit que je n’aurai pas de problèmes, ils ont l’air très gentil… Papa descend du train après m’avoir souhaité un bon voyage.
Les deux blacks sont remontés. Le train démarre. Le contrôleur passe. Il nous dit qu’il n’y aura pas d’autre voyageur dans notre wagon. On peut verrouiller et passer une bonne nuit. Le black me regarde en disant que l’on va passer une très bonne nuit. Le contrôleur sort et verrouille le compartiment. Le black me demande ce que je suis.
— Un vide-couilles prêt pour tous tes désirs, je réponds.
Il me dit :
— À poil !
Je me déshabille et enlève discrètement l’écarteur. Il dit à son copain :
— Encule le direct à sec. C’est une salope de première.
Il se positionne derrière moi et m’encule d’un coup, jusqu’à la garde. Aucune douleur. C’est la première bite dans ma "chatte". Aucune douleur, mais putain que c’est bon ! Mon enculeur est surpris. Il dit à son copain :
— Ce n’est pas un cul, c’est une chatte !
Il me lime lentement. L’autre sort sa bite et me la donne à sucer. On va ainsi passer la moitié de la nuit. Ils vont me prendre dans toutes les positions. Ils jouiront plusieurs fois dans ma bouche. Je suis chargé de mission pour le réveil : les sucer. Le mec du foyer se colle derrière moi pour dormir et m’encule. Il veut que sa bite reste au chaud.
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subbiland · 6 years ago
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Dernier soir. Parrain repart demain. Repas normal, je monte vite dans ma chambre, mon plug me manque. Je m’installe sur le lit. La pommade a fait son effet. Ça démange depuis longtemps et j’ai qu’une envie : me défoncer le cul. J’introduis le bidule à parrain. Ce cône de métal rempli de plomb me fait toujours de l’effet. Je suis à quatre pattes et dès que je le rentre, mon cul est tiré vers le bas. La sensation est agréable. J’introduis les deux boules de pétanque et je m’apprête à rentrer le plug quand la porte de ma chambre s’ouvre ! Ouf, c’est parrain. Il me dit d’arrêter. Il s’approche de mon cul et le regarde en détail.
Parrain me dit de ne pas bouger. Il sort et revient quelques secondes plus tard. Il me dit de regarder mon nouveau jouet. J’hallucine en voyant ce que tient parrain. C’est un plug mais il est monstrueux. Parrain me dit qu’il fait 11cm. Il n’y a pas plus gros. Je me demande comment un truc pareil va pouvoir entrer en moi. Parrain sort du gel et travaille mon cul avec ses doigts, d’une main, puis des deux. Il étire mon cul tout ce qu’il peut. Puis il me dit qu’il va me passer une pommade anesthésiante pour diminuer la douleur. C’est froid, et au bout de quelques minutes, effectivement, je ne ressens presque plus ses doigts. Je sens par contre qu’il force l’ouverture de mon cul. Il me dit de me lever et pose l’énorme plug par terre. Je me positionne pour m’asseoir dessus. Je ne le sens pas entrer. Parrain guide la manœuvre. Il me dit que si je force trop, je risque de me déchirer. Je lui demande les conséquences. Parrain me dit que ça va saigner un peu mais que si je me déchire et que je garde le plug suffisamment longtemps, par contre, ça cicatrisera mais en laissant l’ouverture. Je force comme un malade mais le plug n'entre visiblement pas. Parrain me demande si je suis sûr de vouloir avoir le cul déformé à vie. Je lui dis que oui, que je veux que mon cul soit une chatte ouverte à toute bite. Parce que je suis une chienne, un trou à bite permanent lui dis-je. Parrain place ses mains sur mes épaules et appuie. Je sens que je descends et que le plug entre, lentement. Je ne ressens pas de douleur mais je suis sûr que mon cul est ouvert comme jamais. L’impression est bizarre. Je descends toujours lentement, puis je sens que mon cul se resserre et je suis assis par terre.
Parrain me dit qu’il est en place. Je me relève comme je peux. Pas de douleur, mais difficile de bouger avec un truc pareil. Parrain me demande comment ça va. Bien je lui dis. Je me mets à genoux devant lui. Parrain me demande ce que je veux. "Que tu me baises la bouche !" je lui réponds. Parrain sort sa bite et elle est bien dure. Il me prend par les cheveux et me baise la bouche. Il entre tellement profondément que j’ai des hauts-le-cœur mais ça me plaît. Il me bloque contre lui. Je sens sa bite dans ma gorge et il jouit. Je n’arrive pas à respirer. Il ressort sa bite. Je l’essore jusqu’à la dernière goutte. Parrain me dit de ne pas avaler, de me coucher la bouche pleine. Et si je peux, de garder le plug le plus longtemps possible.
Je me couche et je m’endors.
Au réveil, curieusement, je ne sens pas de gêne malgré le plug monstrueux planté en moi. Par contre, quand je bouge, je sens que ça m’excite. Je bouge d’avant en arrière, pas trop vite, et le plaisir monte de plus en plus.
Parrain vient d'entrer dans ma chambre. Je suis tellement occupé à me branler mon cul-chatte que je ne l’ai pas entendu entrer. Parrain me demande ce que je fais. Je lui dis que de bouger, ça m’excite de plus en plus. Parrain se positionne au dessus de moi et me donne sa bite à sucer. Je continue à bouger, et je sens que je vais jouir. Je ralentis le rythme, j’ai envie de jouir quand parrain déchargera dans ma bouche. Parrain se crispe et sa semence remplit ma bouche. J’accélère mes coups de bassin et je jouis, la bouche ouverte remplie de sperme.
Parrain me dit qu’il part et que l’on se revoit dans une semaine à Paris. J’avale son sperme et reprends sa bite dans ma bouche. Parrain me demande ce qui m’arrive. Je lui dis que je dis au revoir à sa bite. Il me dit que je suis vraiment un vide-couilles exceptionnel et qu’à Paris, dès mon arrivé, je ne vais voir que de la bite, nuit et jour. Je lui dis que ça me tarde. Puis il sort.
J’enfile un pyjama, sors de sa cachette le bidule en plomb offert par parrain, la crème anesthésiante et vais à la salle de bains. Je me positionne au-dessus de la baignoire et sors le plug doucement. Il m’écartèle en sortant, mais la sensation me fait bander. Je lave bien l’intérieur de ma chatte. Puis j’introduis le bidule de parrain, un cône arrondi en inox rempli de plomb. Sauf qu’il ne tient plus et retombe à grand bruit dans la baignoire. Je change de tactique. Je frotte mon cul que je sens bien ouvert avec la crème anesthésiante, positionne le plug toujours aussi monstrueux au fond de la baignoire, entre le bidule et me positionne sur le plug. Avec la pommade anesthésiante, je ne ressens rien ou presque. Je descends sur le plug. Mais il a du mal à rentrer. Je soulève mes jambes et me tiens par les bras aux rebords de la baignoire.
Je sens que je descends. Je me laisse tomber sur le plug. La descente continue et de par la position, je sens que ça m’excite. Puis, d’un coup je suis assis au fond de la baignoire. Le plug est donc rentré. Je passe ma main pour vérifier s’il est bien entré et je vois du sang sur ma main. J’ai dû me déchirer un peu. Je rince avec la douche. Mais ça saigne toujours un peu. Je sors de la baignoire et prends la crème que papa utilise quand il se taille en se rasant. Vu que je ne vois pas d’où ça saigne, j’enduis tout le tour. Ça a l’air de marcher. Je remets le pantalon de pyjama et vais dans ma chambre.
Je décide de mettre un slip avec du papier pour éviter les taches de sang. Ma bite est sensible. Je la masse avec la pommade anesthésiante. Au bout de deux minutes, je ne ressens rien par ma bite. Par contre, si je bouge le bassin, ça m’excite. Je suis ravi. Tout par mon cul-chatte. Je finis de m’habiller et pars au lycée.
La journée se passe dans le calme. Marc est toujours à l’hosto, on n’a pas beaucoup de nouvelles. Je ne croise ni mes jeunes de la cité, ni le terminale. En cours, par deux fois je me fais jouir en bougeant sur ma chaise. Heureusement que j’ai bourré mon slip de papier. À midi, ça me fait un peu mal et je m’enferme dans les toilettes pour repasser la pommade anesthésiante sur mon cul et ma bite. Il me tarde de voir mon homme ce soir.
J’arrive au Cours Dillon. Mon homme est sur le banc. Je m’assois à côté de lui. Il me demande de lui raconter mes aventures depuis que je l’ai vu. Je lui raconte. Je lui décris le plug monstrueux et le bidule. Il me demande ce que je ressens. Je lui dis que j’ai l’impression que mon cul est énorme, complètement ouvert, et tiré vers le bas. Que j’espère que ça va le déformer en belle chatte bien ouverte. Mon homme me demande de lui montrer. Je vais pour me lever et descendre vers la Garonne, mais il me dit non. Là. Il veut que je lui montre là. Avec les voitures qui passent, à la vue de tout le monde. Il me dit que maintenant, je dois m’assumer. Totalement. Je défais mon jeans, le tombe à mes chevilles, mon slip suis le même chemin. Je les retire et les jette sur le banc. Mon homme roule mon jeans et le garde à côté de lui. Je m’accroupis et tire sur la base du plug. Il sort lentement, puis d’un coup. Le bidule tombe sur le sol. Je me relève, me retourne, me penche en avant et écarte les fesses.
Mon homme me dit que ce n’est effectivement plus un cul mais une chatte béante. Il défait sa braguette et sort sa bite. Il me demande de ramasser le plug et le bidule, qu’il coince dans mon jeans roulé et de venir m’asseoir sur sa bite. Je descends lentement. Sa bite est positionnée devant mon trou. Je descends et elle entre sans forcer. La sensation est étrange pour moi. Je m’assois sur lui. On ne bouge plus. On reste comme ça pendant quelques minutes. Puis il me dit de me relever et de descendre vers la Garonne. Je m’exécute. Je descends l’escalier. En bas, il y a le groupe de clochards. Je regarde mon homme, toujours assis. Il me demande ce que je vais faire. Je lui réponds que je vais me faire bourrer la chatte par les clochards, puis par les chiens et par tout ce que l’on voudra fourrer dans ma chatte parce que je suis un trou à bite permanent.
Je descends l’escalier. Arrivé en bas, je me mets devant les clodos à quatre pattes. J’écarte mes fesses et leur hurle de venir me sauter. Ils ne se font pas prier, ils commencent à reconnaître la jeune salope qui vient se faire baiser et me baisent. Je n’ai plus les mêmes sensations. Je sens les bites qui glissent sur les lèvres de ma chatte et le sperme qui coule le long de mes cuisses. Ils sont incroyablement rapides. Pour être franc, je n’ai vraiment pas eu ma dose et je veux jouir. Mon homme est descendu. Il tient dans une main mon plug. Il s’approche de moi. Mais au lieu de m’enculer, il positionne sa main devant mon trou. Il me demande ce que je suis :
— Un vide-couilles permanent ouvert à toute bite, je lui dis.
Il me dit :
— Que les bites ?
Je lui dis non, tout ce qui peut me faire jouir peut exploser ma chatte. Il me dit qu’il va voir si je suis une vraie salope soumise, qu’il veut entrer sa main dans mon cul, d’un seul coup, mais que c’est à moi à m’empaler sur sa main. Je recule sur sa main. Ça force, ça tire. Je pousse de toutes mes forces et je sens sa main qui est aspirée dans mon cul. Finalement, ça n’a pas fait si mal que ça. Il me demande de me relever. Pas évident mais j’y arrive et il me dit que l’on va se promener comme ça. Et j’avance, sa main plantée dans mon cul.
On avance ainsi le long de la Garonne. Un mec nous regarde arriver en se branlant. Je tente de me diriger vers lui mais mon homme a toujours sa main dans mon cul. Il me demande ce que je veux faire. Je lui dis que j’ai envie de sucer. On va vers le mec qui se branle. Je m’approche de lui, me penche et prends sa bite dans ma bouche. Il jouit presque immédiatement. Je garde la bouche pleine, mais il part de suite. Je garde la bouche pleine. Mon homme pousse sa main en moi et je me redresse à peu près et on avance. On se retrouve en bas de l’escalier. Les clochards sont toujours là. L’un demande à mon homme s’il promène sa chienne. Il lui dit que oui. Il demande s’il peut encore m’enculer. Mon homme lui dit que mon cul est pris mais que ma bouche est vide. J’ai encore le sperme dans la bouche. Le clochard me demande d’ouvrir la boucle. J’ouvre. Il gueule :
— Putain, elle est pleine de foutre !
Je le fixe, ferme la bouche, avale, re-ouvre en grand. Il dit que c’est bien, je suis propre, j’avale. Il sort sa bite et me dis de l’éponger. Je me penche, le suce. Sa bite pue mais curieusement, ça m’excite. Mon homme bouge sa main dans mon cul et m’impose le rythme. Mon homme accélère et je sens sa main qui sort et entre dans mon cul. Le clochard me bloque la tête, et jouit. Il me dit qu’il veut sa bite bien propre. J’avale et je l’essore complètement. Sa bite ramollie, elle sort de ma bouche bien propre. Mon homme entre sa main d’un coup dans mon cul et me dit d’avancer.
On monte l’escalier. Arrivé devant le banc, mon homme positionne le plug sur le banc. Il sort sa main, rentre le bidule dans mon cul et me dit de m’asseoir sur le plug. Je retiens avec ma main le bidule et me positionne sur le plug. Mon homme passe derrière moi, met ses mains sur mes épaules et appuie de tout son poids. Le plug entre d’un coup. Je me sens déchiré, ça fait mal et je gémis. Mon homme me dit à l’oreille :
— Tu es un vide-couilles. Ton cul n’est qu’un trou. Tu veux qu’il devienne une chatte, il va le devenir. Il ne se refermera jamais et tu pourras te faire défoncer par n’importe quelle bite, n’importe quand, sans aucune préparation. Ça sera une chatte affamée de bite. Je sais que je viens de te déchirer. On va passer chez moi et Auguste va cautériser ça. La douleur se calme un peu mais ça fait mal et je sens que je saigne. Mon homme me fait me lever. Il y a du sang sur le banc. Il enlève son pull, l’attache autour de ma taille, et me dis qu’on va chez lui. Ma démarche doit être bizarre. Ça fait mal à chaque pas et je sens que le sang coule sur les cuisses. Il y a peu de monde dans les rues, et son appart est proche.
Arrivé chez lui, il m’emmène dans la salle de bain. Je m’assois sur le rebord de la baignoire. Il part, je l’entends téléphoner. Puis il revient. Il se met devant moi et sort sa bite. J’avance la tête pour le sucer. Il me bloque et me dit :
— Tu vois, tu n’es qu’un vide-couilles. Malgré la douleur, tu n’as qu’une envie, c’est de bouffer de la bite.
J’avance ma tête et le suce. Il a raison. Je suis un vide-couilles, un trou à bites. Mon homme n’a pas joui quand Auguste arrive. Il me fait mettre à quatre pattes. Il me dit qu’une chienne doit savoir souffrir pour être belle, prend la base du plug et le tire fortement. Le plug sort d’un coup. Auguste écarte mes fesses et me demande ce que je suis et ce que je veux. Je lui dis :
— Je suis un vide-couilles. Mon cul doit être un trou à bite toujours ouvert, toujours disponible à n’importe quelle bite sans aucune préparation 24h sur 24.
Auguste me demande s’il peut m’enculer. Je lui réponds que mon cul est là pour recevoir sa bite, il n’a pas à demander. Auguste me demande si je veux une chatte et non un cul.
— Une chatte toujours ouverte, je lui dis.
Mon homme vient devant moi et me tient pas les épaules. Auguste positionne le plug et le rentre d’un coup, puis le ressort et me branle violemment avec. La douleur est violente mais je ne dis rien. Puis il dit à mon homme de venir. Il sort le plug. Mon homme positionne ses deux mains à plat l’une contre l’autre, et les rentrent dans mon cul. Auguste lui fait alors écarter doucement les mains. Ma tête est posée sur le carrelage. La douleur se calme. Il écarte de plus en plus. La douleur devient de plus en plus violente. Auguste lui dit de ne plus bouger. Il défait un flacon et passe un coton sur mon cul. Je sursaute tellement que ça fait mal. Ça brûle comme jamais. Auguste me dit que mon cul s’est un peu déchiré et qu’il cautérise la plaie pour ne pas qu’elle cicatrise. Mon cul n’est plus un cul. Il ne peu plus se refermer. Ma chatte vient de naître.
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subbiland · 6 years ago
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Jeudi au lycée
Le réveil sonne. J’ai l’impression de m’être couché il y a deux minutes. Mon cul ne me fait pas mal. Je gonfle un peu plus le plug avant de le dégonfler. Il y a encore de la marge. Le plug sort, et tout tombe sur le lit. Je m’amuse à rentrer une boule de pétanque qui retombe de suite. Mon cul est vraiment très ouvert.
Je me lève, enfile un pyjama et vais à la salle de bains. Je me lave le cul avec la poire de douche sans même réaliser. Devant par contre, il n’y a rien à laver. Le latex est super bien collé et ma bite et mes couilles ont totalement disparu. Je n’ai aucune sensation devant. Sensation étrange. Curieusement, ma bite ne me manque pas.
Je m’habille, descends déjeuner et pars au lycée.
La journée est calme. Marc n’est pas là. Il est, selon ce qu’on sait, à l’hosto, il se serait cassé (ou foulé, on ne sait pas trop) la cheville. Je ne vois ni ne croise les deux jeunes, ni le terminale. Le soir, je descends avant pour aller cher mon homme. Auguste est là. Il me donne les vêtements de filles. Je m’habille, il me maquille comme la dernière fois. Puis je me lève, relève ma jupe et écarte mes fesses. Il me demande ce que je veux. Je lui dis que j’ai envie qu’il me mette sa pommade. J’ai envie d’être une chienne en chaleur. Il me badigeonne le cul. J’ai rapidement le cul en feu. Habillé en fille, ma bite qui ne peut bander dissimulé sous le latex, le cul en feu, je n’ai qu’une envie : me faire défoncer, fister, écarteler. Mon homme me demande par qui je suis prêt à me faire défoncer. Je lui réponds :
— Par tout le monde.
Il me demande si des clochards ça me va. Je lui réponds :
— Par des clochards, des chiens, par ce que vous voulez, ça m’est égal.
Auguste lui demande ce qu’il compte faire de moi. Mon homme lui dit qu’il a envie de m’amener dans l’autre foyer Sonacotra, puis sous le Pont suspendu, au repaire des clochards. Auguste lui dit que ça peut être dangereux. Qu’ils sont capables de se battre pour savoir qui me baise en premier. Il lui dit qu’ils gèreront et on sort.
Le cul me brûle. Je serais capable de m’empaler sur n’importe quoi. On marche dans une petite rue pas très éclairée. Un clodo arrive en face de nous. Mon homme me dit :
— Va lui demander de t’enculer.
J’accélère le pas et arrive devant le clodo. Il me gueule :
— Tu es une pute ?
Je lui dis que c’est gratuit.
Il demande :
— Qu’est-ce qui est gratuit.
Je lui dis :
— Ça, et je me retourne, me penche en avant, relève ma jupe et écarte bien mes fesses.
Je sens ses doigts calleux et sales sur mes fesses. Il défait son froc. Positionne sa bite et m’encule. Oh que ça fait du bien. Je bouge pour bien sentir sa bite calmer le feu de mon cul. Je suis en pleine rue, sur le trottoir, en train de me faire enculer par un clochard. Je me dis que je suis qu’un trou à bites, et je sens que je vais jouir. Mais le clochard jouit trop vite et se retire. Je me redresse et retourne vers mon homme et Auguste. Ils me demandent comment je me sens.
— Frustré, je réponds, c’était bon mais trop bref.
Mon homme me dit que ça va s’arranger. On part en direction du pont suspendu. Ce soir, c’est de la bite de clochard qui m’attend. Arrivé sous le pont, ils ne sont pas très nombreux. Pas plus d’une douzaine. À notre arrivée, je me fais copieusement siffler. Mon homme me dit de me mettre à quatre pattes, mon cul ouvert face à eux. Il leur dit :
— Ce soir, jour de chance. Elle vous offre son cul. Tout le monde y a droit.
L’un gueule :
— Elle suce aussi ?
Il répond :
— Aussi, mais après s’être fait baiser.
Je ne vois rien mais rapidement, je sens que l’on me tient par les fesses. Une bite enfin… La première que j’ai à sucer pue à mort mais je trouve ça bon. Ils jouissent vite. L’un demande si son chien peut aussi. Mon homme répond :
— On peut essayer.
Il approche son chien. Le chien me lèche. Super agréable. Il essaye de me faire baiser par le chien mais visiblement, ce dernier ne comprend rien. Mon cul est bien propre par contre. Plus rien. Je me relève.
On rentre. On arrive à un feu. En attendant de pouvoir traverser, je sens Auguste qui vient derrière moi. Il me dit : "Écarte un peu les jambes." Il se positionne derrière moi et m’encule. Il ne bouge pas. Je suis tétanisé. Il m’encule en pleine rue, les voitures passent et ne se rendent compte de rien, comme les personne de l’autre côté de la rue. Il sort de moi et on traverse. Il me mettra ainsi sa bite devant une vitrine de magasin, entre deux voitures, devant la porte d’un immeuble. Puis je monterai l’escalier jusqu’à chez mon homme plié en deux, sa bite en moi. À chaque étage, il me lime quelques minutes, et on continue. Arrivé chez mon homme, je m’appuie contre la table. Il me lime un long moment. Mon homme nous appelle. Auguste toujours fiché en moi, on va dans sa chambre. Il est allongé sur le dos, sa bite bien dressé. Je monte sur le lit et en manœuvrant, je rentre sa bite avec celle d’Auguste dans mon cul.
Ils bougent en moi. Je sens l’orgasme qui monte. Je jouis. J’inonde le ventre de mon homme qui se met à jouir, suivi d’Auguste. Je me recule et lèche mon homme. Auguste est toujours en moi, sa bite se ramollit mais il reste en moi. Je le sens à peine. Il sort et passe devant moi pour que je nettoie sa bite. Mon homme joue avec mon cul et finit par y rentrer sa main. Auguste dit que ça serait bien d’y rentrer deux mains. Auguste tente de rentrer sa main en plus. Ça tire, ça fait mal. Il force et sa main rentre d’un coup. Ça tire moins. Auguste dit qu’il va me faire jouir, qu’il va me caresser la prostate. Il tourne avec ses doigts, me caresse, et… oh que c’est bon. Je jouis, je n’arrête pas d’éjaculer. Mon homme rentre et sort sa main de mon cul en même temps. La sensation est infernale. Je ne suis plus que jouissance à ce moment là. Ça se calme et les deux mains sortent de mon cul. Je suis littéralement vidé.
Auguste me dit que chaque fois que j’aurais été la pire des chiennes, un parfait vide-couilles, je serai récompensé. Je lui dis que je suis prêt à recommencer de suite. Fou rire d’Auguste et de mon homme. Mon homme me demande si je serais prêt à me faire défoncer par un autre animal qu’un chien. Je lui dis que je suis un vide-couilles et prêt à tout mais que je ne vois pas par quel autre animal. Mon homme me dit qu’on change le programme pour demain. Pas de foyer, mais une grande surprise. Auguste et mon homme me déshabillent, me démaquillent. Je vais pour remonter mon jeans. Auguste m’arrête. Il me met un peu de pommade sur le cul en me disant :
— Tu vas passer la soirée et la nuit à avoir envie de bite.
Mon cul me chauffe, me démange, mais légèrement.
Je reprends le bus pour rentrer chez moi. Bondé comme d’habitude. Je n’y fais même plus cas, il est toujours bondé. Je sens une main sur mes fesses. Je ne sais pourquoi mais je suis sûr que c’est le même inconnu qu’hier. Mon cul me démange. Je deviens sûrement fou mais j’en ai trop envie : je défais mon jeans et je le laisse glisser derrière. La main passe dessous, me touche les fesses, me caresse. Je fais comme je peux, vu le monde, mais j’arrive à écarter un peu les jambes. La main glisse dans ma raie. Elle arrive sur ma rondelle. Un doigt caresse le pourtour. Je donne un coup de rein et le doigt rentre dans mon cul. Aucune difficulté, il est ouvert et je sens que je mouille. Le doigt s’arrête. L’inconnu a l’air surpris. Puis le doigt s’agite dans mon cul. Vu la position, il ne pourra pas faire mieux. On s’approche de mon oreille. Une voix grave me dit :
— Descends dans deux arrêts.
Ça c’est sûr : C’est mon arrêt !
Je remonte mon jeans et me prépare à descendre, en me faufilant dans la masse.
Je descends et cinq autres personnes sont descendues. Deux femmes et trois hommes, dont le voisin de mes parents qui est âgé. Il doit avoir 70 ans. Personne ne vient dans ma direction et je me mets en marche. Mon voisin vient à côté de moi et me salut. Il me demande si tout va bien. Je lui dis que oui. D’un coup, je reconnais sa voix ! Je lui demande où on va. Il me dit que je peux venir chez lui, il a quelque chose à me montrer. On discute de tout et de rien jusqu’à chez lui. Une voiture klaxonne. Je me retourne : mes parents ! Il s’arrête à notre hauteur. Mon voisin leur dit bonjour, et leur dit qu’il a besoin de moi quelques minutes pour l’aider à descendre des cartons à la cave. Mon père demande s’il a besoin d’aide. Il lui dit qu’à deux on va y arriver et le remercie.
On arrive chez mon voisin. J'entre chez lui et dit bonjour à sa femme qui m’embrasse. Il lui dit que je viens lui donner un coup de main pour descendre les cartons à la cave. Elle me remercie. Dans une pièce au fond, il y a quelques cartons. Il me dit de l’aider. Ils ne sont pas vraiment lourds. On descend à la cave avec le premier. Il me demande d’empiler d’autres caisses.
Je me penche et sens ses mains sur mon cul. Je défais mon jeans, sors une jambe et écarte largement les jambes et je reste penché. J’entends le bruit d’une fermeture-éclair et il m’encule lentement. Je donne des coups de reins pour qu’il me prenne plus mais il freine le mouvement. Il m’encule lentement, tout en douceur. C’est agréable. Puis il accélère le rythme. Je sens qu’il va jouir. Je me retire, me retourne et le suce. Il jouit en me caressant les cheveux. Je garde sa bite dans ma bouche. J’entends sa femme demander si tout va bien. Il répond que oui. Il débande mais continue à me caresser les cheveux, alors je garde sa bite dans ma bouche. Je l’aspire un dernier coup. Je me rhabille. On remonte. On prend un autre carton.
Arrivé dans la cave, il me dit qu’il m’a vu de loin au Cours Dillon. Il me dit avec un clin d’œil que je n’ai pas besoin d’aller aussi loin pour ça. Je lui réponds que ne pouvais pas savoir. Il me dit qu’il risque d’avoir besoin plus souvent de mes services. On remonte. Je vais pour continuer à descendre les cartons mais il dit qu’il est fatigué, que l’on finira une autre fois et qu’il ne veut pas trop me retarder. Sa femme me remercie de ma gentillesse… je sors et rentre à la maison.
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subbiland · 6 years ago
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La sortie du foyer
On marche dans la rue. Mon cul est carrément trempé et ça coule. L’arrière de mes bas est trempé. Mon cul est toujours ouvert et me démange. Je demande à Auguste combien de temps la pommade va faire effet et comment il va décoller le latex. Auguste me dit que la pommade va faire effet pendant encore quelques heures, mais ça va se calmer de plus en plus. Que par contre le latex est collé avec de la colle médicale, et qu’il va se décoller d’ici quelques jours. Mais que vu les médicaments que j’ai pris, je ne banderai pas non plus avant quelques jours. Là, je me sens mal. Mon homme me dit que de toute manière, il me réserve pour les soirs à venir jusqu’au week-end. Il me dit que l’on va retrouver Mouloud et ses copains sur les chantiers. Habillé comme je suis en fille, il est sûr que je vais avoir un grand succès. Me voilà transformé en fille pour quelques jours…
On repasse chez mon homme. Il me démaquille, me lave le cul, et me déshabille. Je me positionne devant la glace, je me penche pour voir mon cul. Ma rondelle est rouge, boursouflée, et ouverte. Mon homme me demande ce que je fais. Je lui dis que je regarde à quoi ressemble mon cul. Il me dit qu’il ressemble vraiment à une chatte. Il me demande de ne pas bouger, passe derrière moi et m’encule d’un coup. Il me dit qu’il a vraiment l’impression d’être dans une chatte. Sa bite me fait du bien. Elle calme le feu et je me sens bien. Je lui dis que j’aimerais rester avec sa bite dans le cul. Il se retire et me dit de le suivre. Il m’amène dans sa chambre. C’est la première fois. Il m’allonge sur le dos, relève mes jambes et me prend. Je suis bien. Je sens la jouissance qui monte dans mon cul. Je jouis longuement. La sensation est étrange. Je jouis, j’éjacule comme jamais, mais je ne bande pas.
Mon homme jouit dans mon cul. Il me laisse sur le lit. Il revient avec un gant mouillé et une serviette. Il me lave la chatte comme il dit. Je m’avance vers lui et je lui dis que c’est à moi de laver sa bite. Je le suce jusqu’à ce qu’elle soit bien propre. Je me rhabille, décide de ne pas mettre de slip, et sors.
Je prends le bus. Il est bondé. Je me tiens comme je peux d’une main à la barre. Tout à coup je sens une main sur ma fesse. Je ne bouge pas. Je décide de suivre les mouvements du bus, et je me caresse sur cette main inconnue. J’écarte un peu les jambes, ce qui vu le monde est compliqué. La main glisse entre mes fesses. Puis elle contourne et passe devant. L’inconnu me prend pour une fille et essaye de me caresser la chatte ! Sauf que moi, la chatte est derrière…
Mon arrêt arrive. Je m’arrache aux caresses et sors du bus avec un flot de voyageurs. Je rentre chez mes parents. Il n’y a que la voiture de parrain. Je rentre. Parrain me demande comment s’est passé mon après-midi. Je lui raconte. Il est assis, ne bouge pas pendant que je parle. Il me demande comment est mon cul. Je lui dis que ça me démange. Il me demande ce que ça veut dire. Je lui dis qu’il me manque une bite pour me ramoner. En même temps, je baisse mon jeans et me tourne, appuyé sur la table de la salle à manger. Parrain me dit que mes parents vont rentrer. Je lui dis que je sais mais qu’en même temps, ça m’excite. Il vient derrière moi. Il regarde "ma chatte", il passe ses doigts dessus. J’essaye de me planter sur ses doigts. Il dit que je suis vraiment la reine des chiennes. Je lui demande de me défoncer. Il m’encule. Je gémis de plaisir. Il me laboure en profondeur, lentement. On entend un moteur de voiture. Il se retire vite. Je remonte mon jeans. J’ai à peine fini de le reboutonner que mon père rentre…
Le soir, je monte me coucher tôt. Je sors de ma cachette mes "jouets". Le bidule de parrain entre sans forcer. Il est froid et ça me fait du bien à ma rondelle qui démange toujours. Puis j’introduis les deux boules de pétanque. Je me sens "pleine". J’introduis le plug gonflable et pompe jusqu'à ce que la douleur me fasse m’effondrer sur le lit.
Je me recroqueville pour m’endormir.
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subbiland · 6 years ago
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Le foyer africain
La veille, quand je rentre, parrain est rentré, mes parents aussi. Maman me dit d’aller faire mes devoirs, comme tous les soirs. Parrain me dit alors :
— Ah, oui, c’est important de bien faire ses exercices.
La remarque m’amuse. Je monte dans ma chambre et commence par récupérer le bidule en plomb de parrain et le gode gonflable. J’introduis le bidule. Il entre sans problème et de par son poids, se cale en bas de mon cul. Je sens le poids et mon cul est ouvert. Trois de mes doigts entrent sans problème. Je décide de rentrer en plus une boule de pétanque. Elle entre sans trop forcer. Le poids commence à être énorme dans mon cul. Quatre de mes doigts rentrent. Je sens que l’ouverture n’est plus ronde. Elle est tirée vers le bas. J’introduis le plug et gonfle. Ça tire. Je pense à ce que m’a dit parrain sur la déformation qui doit être violente pour que mon cul soit déformé à vie et reste ouvert. Je pompe comme un fou. La douleur devient atroce. Je pense au lendemain, à tous les mecs que je vais prendre dans mon cul-chatte. Je bande de plus en plus et la douleur diminue. Je gonfle un peu plus. Je me cale sur le lit, le temps que la douleur se calme.
Parrain entre dans ma chambre. Il voit mon cul écartelé. Il me dit que j’y vais quand même très fort. Je lui dis que je veux une vraie chatte. Mon cul ne doit jamais se refermer. Je veux que n’importe quelle bite puisse entrer sans forcer. Il me caresse les cheveux, me dit qu’il a de la chance d’avoir un filleul comme moi, et sort.
Je relis mes cours en restant allongé, le cul complètement étiré. Maman crie "à table". Je décide de me rhabiller sans rien enlever. Pas évident de marcher. Je fais quelques pas dans ma chambre pour arriver à marcher normalement, et je descends. Dur de descendre l’escalier normalement. Il m’est difficile de rester assis alors je me pose sur le devant de la chaise, le cul relevé. Parrain voit ma position et comprends que mon cul est toujours encombré. À la fin du repas, je prétexte un grand coup de fatigue et monte dans ma chambre.
Je me mets en pyjama. J’ai peur que maman monte me voir. Finalement, il ne se passe rien et je m’endors.
Je suis réveillé par une sensation étrange. Parrain est en train d’étirer mon cul. Il a enlevé le plug, la boule de pétanque et le bidule en plomb, et il a entré huit doigts dans mon cul. Il tire de chaque côté, puis enfonce complètement une main et tire avec les autres doigts vers le bas. Il me demande si ça va. Je lui demande de tirer plus fort. Il tire de plus en plus fort sur ses doigts. La douleur me réveille complètement. Il me dit que mon cul s’est bien déformé. Qu’il est resté rond en haut, mais est ovale en bas. Qu’il pense qu’à ce régime, je n’aurai plus besoin de rien à la fin de la semaine : mon cul ne pourra jamais se refermer. Ses paroles me font jouir dans les draps. Je me rendors doucement, les mains de parrain toujours en train de déformer mon cul.
Je me réveille avec la sensation d’être plein à exploser. Je suis incapable de me lever. Je dégonfle le plug, et je sens une boule de pétanque tomber. Puis une seconde, et enfin le bidule. Parrain m’avait farci. Je plaque le tout et vais à la salle de bains. La poire de douche entre dans mon cul, c’est habituel. Sauf que là, je ne la sens pas. Je touche mon cul avec ma main. Ma main entre par l’ouverture ! Effectivement, je comprends parrain cette nuit. Mon cul ne se refermera jamais. D’ailleurs, ce n’est plus un cul, mais une chatte.
Cul bien propre, je m’habille. Je suis surexcité : cet après-midi, je retourne au foyer des travailleurs africains. La matinée au lycée me semble une éternité. Marc n’a pas le moral, ses grands-parents ont passé la soirée à lui parler de la mort… Il comprend qu’ils soient vieux, mais de là à parler de la mort en permanence, ça le soûle. Il me dit qu’il est désolé, que cet après-midi, il est bloqué chez lui avec sa mère. Je ne sais comment lui dire que ce n’est pas grave du tout.
Enfin libre. Je fonce chez mon homme. Il m’attend avec Thierry et un autre africain. Thierry me fait mettre à poil. Il demande à son copain ce qu’il en pense. J’apprends ainsi que son copain s’appelle Auguste. Auguste me fait mettre à quatre pattes sur la table. Il tourne autour de moi, me tâte, écarte mes fesses, les caresses. J’ai l’impression d’être une bête de foire. Auguste dit que j’ai une très belle chatte, bien large, bien ouverte, il entre deux doigts dans ma "chatte" et dit qu’elle est bien souple. Il dit aussi que j’ai un peu de poitrine et que ma bite est petite et doit se cacher facilement mais que l’on doit bien m’épiler entièrement.
Thierry demande par quoi il veut commencer. Auguste dit qu’il va d’abord m’épiler, mais qu’avant tout, il veut tester ma chatte. On me fait mettre par terre, toujours à quatre pattes. Auguste vient derrière moi. Je sens son gland à l’entrée de mon cul. Il dit que je mouille et m’encule d’un coup jusqu’à la garde. Son sexe est gros mais ma "chatte" est souple et l’avale sans problème. Je ne ressens aucune douleur mais me sens bien enculé. Je bande dur.
Auguste dit que ma chatte est vraiment super, que je mouille comme une chienne. Il me lime en profondeur et je gémis de plaisir. Il prend ma bite dans sa main et me branle violemment. Je jouis très vite. Il me dit que maintenant, je dois jouir du cul. Je sens que je bande à nouveau, et je sens monter l’orgasme. C’est beaucoup plus fort et beaucoup plus long. Il arrive à me faire jouir ainsi longtemps. Il sort de mon cul, il tient sa bite serrée dans sa main. Il passe devant moi, je l’attends bouche ouverte. Il jouit et me remplit la bouche. Je lui montre ma bouche pleine et attends. Il dit :
— Une vraie chienne. Il attend pour avaler.
Mon homme lui dit que je suis un vide-couilles exceptionnel. Il me dit de fermer la bouche, mais de ne pas avaler. Il dit alors qu’il va m’épiler. Je reste dans la même position. Mon homme demande comment il va m’épiler, Auguste répond :
— Au sucre.
Je regarde mon homme, l’air étonné. Mon homme me dit que c’est une technique africaine, avec du sucre fondu. Auguste revient avec une boule dans sa main, et commence à m’épiler la raie. Ça fait mal. Je ne bouge pas. Quand il a fini, il me fait me retourner. Il épile ainsi mon cul, mes fesses, ma bite et mes couilles et mes jambes.Puis il me dit d’avaler, et me masse avec une huile. Quand il masse ainsi mon cul, je me mets à bander. Auguste dit que je suis une vraie chienne à bites.
Quand il a fini, il dit qu’il faut faire disparaître "cette petite bite qui ne sert à rien". Il me donne à boire un produit assez dégueulasse. Il dit qu’avec ça, dans cinq minutes, je ne banderai plus pendant un long moment. Au bout de cinq minutes, je débande. Ma queue est petite. Auguste sort un truc du sac. Mon homme demande comment il va s’y prendre. Auguste lui dit qu’il a amené du latex médical et de la colle médicale, et une sonde urinaire. Il va coller mes couilles et ma bite après avoir mis en place la sonde médicale. Il introduit la sonde dans ma queue. Ça ne fait pas mal. Puis, il enduit le bas du morceau de latex de colle. Il le colle en dessous de mes couilles. Il les aplatit et elles rentrent en moi. Il colle alors le latex, aplatit ma bite, et fait sortir la sonde par un trou dans le latex et colle fermement. Il maintient en place un petit moment, puis enlève sa main et me dit de me lever. Mon sexe a disparu !
Le latex est presque de la couleur de ma peau. Avec un scalpel, il découpe le reste de la sonde. Il me dit que pour pisser, je dois m’accroupir, comme une fille.
Il me fait aller devant la glace de l’entrée. Je ressemble vraiment à une fille. Il passe alors une pommade sur mes seins. Ça chauffe. Il dit que ça va les faire ressortir. Il sort alors de son sac un porte-jarretelle noir et des bas noirs, me dis de les mettre. Je n’en ai jamais vu et ne sais comment faire. Mon homme dit qu’il va m’aider et m’enfile les bas, fixe le porte-jarretelle autour de ma taille. Auguste lui tend alors un soutien-gorge que mon homme s’empresse de me mettre. Puis auguste sort une jupe, très courte, qui une fois en place arrive juste en dessous de la fixation de mes bas. Un chemisier blanc. Auguste me fait asseoir et sort une trousse à maquillage. Il me maquille les yeux, et me met une crème transparente sur les lèvres.
Il me dit de me lever, sort de son sac des chaussures de filles, mais plates, et me dit d’aller devant la glace de l’entrée. Je ressemble à une fille. Non, je suis une fille. Grand choc pour moi. Il m’a transformé en jeune fille. Il me dit de me pencher en avant de relever ma jupe et d’écarter les jambes. J’obéis. À peine en position, Thierry m’encule. Il me demande ce que je suis. Je lui dis :
— Je suis une chienne, un vide-couilles permanent, ouvert à tous. Ma bouche et mon cul sont ouverts à n’importe quelle bite, n’importe où, n’importe quand.
Il me demande comment je m’appelle. Je lui réponds :
— "Laurence".
Il sort sa bite de mon cul, je me retourne de suite pour boire son jus mais il rentre sa bite en me disant d’attendre. Auguste me fait remettre en position, il enduit ma rondelle d’une crème. Je sens que ça chauffe. Il dit qu’il vient de m’enduire le cul d’une pommade chauffante. Comme ça, mon cul va me démanger, et je vais supplier que l’on m’encule pour calmer le feu. Effectivement, ça chauffe. J’ai le cul réellement en feu. Thierry ressort sa bite et fait quelques aller-retours dans mon cul. Le feu se calme, c’est trop bon. Il arrête de bouger. Ça brule à nouveau et je bouge pour sentir sa bite me ramoner et calmer le feu. Auguste est mort de rire. Il dit que je vais pleurer et supplier pour que l’on m’encule tout l’après-midi et que ça tombe bien, il a dit au foyer qu’il amenait une jeune salope. Ils sont, selon lui, une trentaine à m’attendre pour me bourrer. Thierry sort de mon cul. Il me demande ce que je veux. Je lui réponds :
— De la bite, des centaines de bites.
Il me dit que l’on part au foyer. Je suis le premier dehors. Ils sont tous hilares.
Mon cul me brûle de plus en plus jusqu’au foyer. C’est intenable. On entre. Plusieurs mecs sont dans l’entrée. L’un me demande ce que je veux. Je lui réponds :
— Ta bite.
Le mec sort sa bite de son pantalon. Une grosse et longue bite bien noire. Il bande dur. Je me retourne, relève ma jupe et recule vers lui. Je m’encule sur sa bite. Le mec dit à Auguste qu’il n’a jamais vu une salope pareille. Je me défonce sur sa bite. C’est moi qui vais et viens sur sa bite. Un second se positionne devant moi, j’ouvre la bouche et me penche. Il me prend par les cheveux, enfonce sa bite dans ma gorge. Je suis empalé des deux côtés. En me tirant par les cheveux, il rythme la cadence. Les deux jouissent. Je me dirige vers les autres. Auguste me bloque par le bras et me dit de le suivre. On entre dans la salle où j’étais la première fois.
Je me jette sur le matelas, relève ma jupe, écarte les jambes et tiens mes fesses écartées avec mes mains. Deux secondes plus tard, une bite vient calmer le feu de mon cul. Ma "mise à l’abattage" durera trois heures. Je n’ai pas compté les bites. Le feu de mon cul n’est pas calmé. Je les supplie de continuer. Thierry me traite de pure salope et me fiste. Oh que c’est bon ! Je m’encule sur sa main. Quasiment tous les autres ont quitté la pièce. Auguste s’allonge sur le dos. Thierry me dit d’aller sur lui. Il laisse sa main dans mon cul. Auguste positionne sa bite et l'entre dans mon cul déjà occupé par la main de Thierry. Je sens que Thierry branle son copain dans mon cul.
Il sort alors sa main et la rentre tout en la laissant autour de la bite d’Auguste. Mon cul est ouvert en deux mais ça calme le feu. Auguste me demande si ça va. Je lui dis que c’est trop bon. Il défait les boutons du chemisier, passe sa main sous le soutien-gorge et caresse mes tétons. Je gémis de plus en plus. Auguste me dit que je suis une salope exceptionnelle, qu’il n’a qu’une envie, c’est de m’envoyer dans un bordel chez lui au Sénégal. Il jouit. Thierry ne lâche pas la bite d’Auguste et me fait me relever. Sa main est trempée de sperme. Il me dit de lécher sa main. Je lèche.
Ils me font me relever. Mon cul est ouvert et je sens que ça coule encore sous mes fesses et sur les cuisses. Le feu s’est un peu calmé mais ça me démange encore.
On sort du foyer...
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subbiland · 6 years ago
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Le nouveau visage du lycée
Le trajet en bus se passe normalement. On est serrés comme des sardines et tout le monde à l’air à peine réveillé. Un matin normal en somme. Arrivé à mon arrêt, je descends. Je m’attends à croiser les deux jeunes de la veille mais personne.
J’arrive au bahut. Le portail franchi, il y a le mec de terminale qui m’attend. Du regard, il me fait signe de le suivre. Je le suis à distance. On traverse le bahut et on va vers le bâtiment de l’infirmerie. Il entre. Je le suis. En bas de l’infirmerie, il y a des toilettes. Il entre. Je le suis. Il entre dans des chiottes, laisse la porte ouverte. J'entre et me retourne pour fermer la porte. Sans rien dire, il tombe mon sac et défait mon jean. Je vais pour l’aider mais il plaque mes mains contre la porte. Il descend mon jean et mon slip. Il me demande pourquoi j’ai du papier toilette entre les fesses. Je lui réponds que c’est pour éviter de me tremper quand je mouille. Il me dit que je suis une vraie chienne. Il dégrafe son fut et m’encule d’un coup. Sa bite est pourtant grosse et longue mais elle entre sans forcer et je ne ressens aucune douleur. Il dit :
— Putain quelle chatte !
Je lui dis que je suis fier d’avoir un cul qui est une chatte. Il me lime rapidement. Il me dit :
— Ta bouche !
Je me retourne, me penche en avant et prends sa bite dans ma bouche. Il jouit. Par réflexe, je n’avale pas. je lui montre ma bouche pleine de son jus. Il me dit :
— Avale salope !
J’avale. Il me pousse sur le côté et sort sans fermer. Je me rhabille sans fermer la porte et sors à mon tour. La journée commence vraiment bien.
À midi, personne ne me fera signe. Quand je sors de la cantine, je décide de rejoindre Marc chez lui. On a une demie heure. Il est visiblement content de me voir. Il ferme la porte et me roule une énorme pelle. Je vire mon jeans et mon slip et me mets en levrette sur le lit. Il ne bouge pas. Je lui dis :
— Prends-moi, j’ai envie de toi.
Il ne bouge pas. je lui dis :
— Mon amour, prends-moi.
Un grand sourire apparaît sur son visage. Il s’approche de moi, se déshabille, promène son gland sur ma raie. Je recule pour m’enculer dessus. Plaisir immense. Mon cul n’oppose aucune résistance, aucune douleur. Je ne ressens que le frottement de sa bite dans mon cul. Je me bloque. Je jouis. Marc se déchaîne et me pilonne. Je jouis du cul. Je sens mon cul se tremper. Il jouit. Je me retourne et lèche sa bite, aspire ce qui reste de son sperme. Marc me fait m’allonger sur le dos. Il se met à me sucer. Je jouis très vite. Il se redresse et m’embrasse. Il a gardé mon sperme dans sa bouche. Ce baiser au sperme est extra. On se rhabille et on part au lycée.
L’après-midi se passe normalement. Je passe beaucoup de temps avec Marc et mes copains l’acceptent dans notre bande, me disant que c’est un mec sympa et qu'on ne sait pas pourquoi il était à l’écart jusque-là.
Fin des cours. Marc m’annonce qu’il doit passer la soirée avec ses grands-parents. Étant seul et ayant envie de bites, je pars au Cours Dillon.
Arrivé au lieu habituel, je vois mon homme en grande discussion avec un autre homme. Je ne sais si je dois m’approcher lorsque je vois que l’homme tient en laisse Sultan. Je m’approche d’eux. Mon homme me voit arriver et se lève. Arrivé à sa hauteur, il me dit de les suivre. On descend vers le bord de Garonne. Il fait clair ce soir. Mon homme me demande ce que je suis. Je lui réponds que je suis un vide-couilles, une chienne qui a la chatte ouverte à n’importe quelle bite, n’importe où. Mon homme me dit que c’est ce qu’il faut.
Il me dit de me mettre en levrette dans le bosquet, que Sultan a besoin d’une chienne. Je me mets entre deux arbustes et enlève mon jeans et mon slip. Mon homme me dit de me mettre plus vers le chemin afin que tout le monde puisse me voir me faire défoncer par le chien. Ça me gêne et ça m’excite en même temps. Je m’avance vers le chemin. Le sol n’est pas top, c’est du gravier. Je me décale vers la pelouse. Mon homme est surpris. Il me dit que là pour le coup, il est impossible de me rater. Je lui rappelle que c’est ce qu’il m’a demandé. L’homme au chien dit qu’au moins il n’y a pas de doute, je suis une vraie chienne.
Je me positionne, le cul bien cambré. Mon homme dit que c’est une vraie chatte. L’homme au chien approche Sultan de mon cul. Il me lèche. La langue du chien sur mon cul est une sensation très agréable. Il a une grande langue, large. Il l’enfonce dans mon cul qui s’ouvre sans problème. Je gémis. Mon homme me demande si ça va. Je lui dis que j’adore me faire lécher la chatte. L’homme au chien tire sur la laisse de Sultan. Il sort sa langue de mon cul et grimpe sur mon dos. Sa bite trouve mon cul du premier coup. Il me lime comme seul un chien sait faire. C’est brutal et intense mais c’est bon. Il me fait jouir du cul. Je regarde sur le côté et vois qu’à côté de mon homme et du maître de Sultan, deux mecs me regardent. De l’autre côté, il y a un clochard, bouteille à la main, qui me regarde en se malaxant les couilles à travers le pantalon. Sultan éjacule. Je me sens rempli. Je sens la boule qui grossit mais ça ne fait pas mal du tout. Sultan se bloque. Je sens que même si sa boule me remplit, je ne peux en aucun cas rester coincé. Mon cul est devenu une chatte très élastique. Mais je me sens bien et je n’ai pas envie de bouger. Sultan passe sa patte avant par-dessus ma tête. Je bouge pour qu’il reste bien en moi.
Le clochard s’est rapproché. Il a sorti sa bite et se branle. Je regarde mon homme en pleine discussion avec les trois inconnus. Je hèle le clochard. Il se rapproche de moi et commence à me traiter de pute et de salope. Je lui réponds que c’est son jour de chance. Il me dit qu’il ne passe pas après un chien. Je lui demande s’il veut se faire sucer. Il ne dit rien, continue de se branler, puis s’avance vers moi, m’attrape par les cheveux et fourre sans bite dans ma bouche. Elle pue, c’est abominable. Il jouit quasiment de suite. Il attend de débander et s’en va. Je regarde vers mon homme et les deux inconnus et leur montre ma bouche pleine. Mon homme me dit de ne pas avaler. Les deux hommes s’avancent. Sultan est toujours planté en moi et je les regarde. Ma bouche est toujours pleine et ouverte. Sultan sort de mon cul.
Un des deux me dit de ne pas bouger. Il passe derrière moi, entre trois doigts dans mon cul et en sort le sperme du chien qu’il récupère dans l’autre main. Puis revient devant moi, vide sa main dans ma bouche. Il me dit d’avaler lentement. J’avale le mélange de sperme du clodo et du chien puis il me donne ses doigts recouverts du sperme du chien à sucer.
Son copain s’est mis derrière moi. Je sens sa bite sur l’entrée de ma rondelle déformée. Il entre à peine le gland et se met à pisser. Il me rince la chatte. La sensation de ce jet chaud dans mon ventre me fait bander. Quand il a fini de pisser, il enfonce sa bite en moi. Il me lime. Son copain ouvre ma bouche et se met à me pisser dans la bouche. Je garde la bouche ouverte. Il dirige le jet à l’intérieur de mes joues et me rince véritablement la bouche. Quand il s’arrête de pisser, il enfonce sa bite dans ma bouche et me demande de sucer. Les deux jouissent très vite. Ils essuient leur bite sur mon visage et sur mon cul, me disent que je suis une bonne chienne et s’en vont. Je me relève. Le sperme que j’ai dans mon cul coule. Je le récupère avec mes doigts et me lèche les doigts.
Je me rhabille devant mon homme sur le chemin. Mon homme me dit que je deviens une chienne exceptionnelle. Il me rappelle que demain après-midi, je suis attendu au foyer. Je lui dis que j’ai hâte de me faire défoncer par la bouche et la chatte par tous les hommes du foyer. Il me dit que l’on se retrouvera d’abord cher lui, Thierry veut me préparer. Puis il me demande de le sucer. Je m’agenouille devant lui. Je n’ai plus aucune pudeur à sucer en public. Il jouit assez vite. Je lui montre ma bouche pleine. Il me caresse les cheveux et me dit :
— Avale ma chienne.
J’avale. Il se recule et part en me disant à demain. Je reste à genoux mais les autres hommes au loin s’en vont aussi. Je me relève et décide de rentrer.
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subbiland · 6 years ago
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Nuit chez Marc
L’après-midi se passe dans le calme.
Le soir, je suis Marc chez lui. Il habite vraiment à deux pas du bahut. C’est un vieil immeuble du centre-ville. Il me dit que ses parents rentrent tard, que ses grands-parents maternels habitent au rez-de-chaussée, ses parents au premier, et il a une chambre aménagée au second. On s’arrête au rez-de-chaussée. Il va voir ses grands-parents, me rejoint et me prend par la main.
On arrive au second. Sa chambre est immense. Il ferme la porte, se tourne vers moi et m’embrasse. Je suis surpris. C’est la première fois que je roule une pelle à un mec.
On se déshabille mutuellement. Il me caresse tout le corps, et je fais pareil. Il me fait m’allonger sur le lit. Réflexe, je me mets en levrette. Il me tourne doucement. Se serre contre moi et m’embrasse partout. Je bande dur et je sens mon cul se tremper. Il passe un doigt sur mon cul. Il me dit que je mouille. Je lui dis que je mouille du cul comme une chienne. Il me dit que je mouille comme un mec qui a envie de faire l’amour. Il se positionne sur moi en 69. je suce sa bite. C’est la seconde fois que l’on me suce. Là je trouve ça agréable. Il me suce et en même temps me branle doucement le cul avec ses doigts. Puis il se relève, relève mes jambes, je tiens mes genoux dans mes mains, s’approche de ma rondelle bien ouverte et entre doucement en moi. Je ne peux me retenir et jouis sur mon ventre. Il sort de mon cul, se penche et lèche mon ventre. Puis m’encule à nouveau tout doucement. Je sens que je jouis, mais du cul. La sensation est totalement différente, beaucoup plus intense et longue. Il s’en rend compte et me dit :
— Jouis, mon amour.
Je jouis longuement et à plusieurs reprises. Je lui dis que je veux qu’il décharge dans ma bouche. Lorsqu’il sent qu’il vient, il sort de mon cul, je me jette sur sa bite. C’est un torrent de sperme qui emplit ma bouche. J’avale tout. Je ne veux rien laisser perdre, quitte à m’étouffer. Je ne lâche pas sa bite, je la suce doucement jusqu’à ce qu’elle redevienne molle. Là, elle sort de ma bouche. Il se remet devant moi mais descend et me lèche le cul. Je sens sa langue entrer en moi. Je sens que je mouille. Il bande à nouveau. Il me fait mettre sur le côté et vient en moi. Je jouis du cul dès qu’il rentre en moi. Il me lime furieusement. Je ne suis plus que jouissance. Il jouit en moi. Je le retiens. Je ne veux pas qu’il sorte de mon cul. On va rester ainsi pendant près d’une heure, sa bite plantée en moi. Vu l’heure, je dois rentrer. C’est à regret que je sens sa bite sortir de moi. Il me dit qu’il aurait voulu rester des heures en moi. Je lui dis la même chose. Il me caresse et m’embrasse. Je me rhabille vite, je sens que sinon je vais rester.
On s’embrasse furieusement et je sors de chez lui. Je viens de faire l’amour.
Pendant le retour dans le bus, je ne peux me détacher de ce qui vient de se passer. J’ai fait l’amour avec un homme, et c’est bon.
Arrivé à la maison, il y a la voiture de parrain, mais pas de mes parents.
Parrain est dans le salon et a l’air content de lui. Je lui demande si tout va bien. Il me dit qu’il a passé une super journée. Il me dit qu’il a une surprise pour moi. Je ne demande rien de plus, monte dans ma chambre et enlève mon jeans et mon slip. Parrain arrive avec dans la main un drôle d’objet. Il me dit qu’il a un ami tourneur qui a pu le réaliser ; on dirait un cône en métal arrondi aux deux bouts.
Il m’explique qu’afin que mon cul se déforme bien, il a fait réaliser un œuf en métal de 9cm de long, 7 et demi de large à la base. Il est en inox creux, rempli de plomb. Je me mets en levrette. Parrain me met du gel et me dit que j’ai dû en profiter aujourd’hui, mon cul est ouvert et il sent le sperme. Il introduit son bidule dans mon cul. C’est froid et pas désagréable. Ça force un peu sur la base, mais ça rentre. C’est super lourd ! J’ai l’impression que ça pèse une tonne. Avec ça, c’est sûr, mon cul va se déformer vers le bas. Il me demande le plug gonflable. Je me lève pour le sortir de ma cachette. J’ai l’impression que mon cul est grand ouvert vers le bas. Je passe ma main pour contrôler. Effectivement, je peux rentrer trois de mes doigts par l’ouverture. J’ai pas de grosses mains, mais quand même. J’attrape le plug gonflable et me remets en position. Parrain pompe. Mon cul se dilate. Ça commence à faire mal et je bouge un peu. Parrain me demande s’il doit arrêter. Je lui dis qu’il doit le gonfler à mort. Mon cul doit se déformer et pour ça, il faut que ça fasse mal. Je lui prends la pompe des mains et pompe moi-même jusqu’à ce que je m’écroule sur le lit. Il me dit que je suis une vraie chienne. À ce régime, j’aurai une chatte très vite. Une belle chatte de chienne. Toujours ouverte, toujours humide. Et les bites pourront défiler dans mon cul. Je ne sentirai que du plaisir.
Je mets longtemps à m’habituer au plug ainsi gonflé à bloc. Je repense à mes expériences de vide-couilles, de chienne capable de se faire baiser n’importe où par n’importe qui. À ma nouvelle vie au lycée, et à la fin d’après-midi passée avec Marc. Là, je n’ai pas baisé. Il m’a fait l’amour. Je deviens amoureux d’un mec et pourtant je ne pense toujours pas être homo.
Mes parents rentrent en fin de journée. Curieusement, j’arrive à me lever sans trop de gêne. Par contre, le bidule de parrain est vraiment lourd, je ne peux pas l’oublier. J’ai l’impression que mon cul est tiré vers le sol. Le repas se passe dans le calme. Je remonte me coucher. Parrain passe me voir dans la chambre. Il me rappelle que je dois porter le plug avec son bidule que la nuit, qu’il viendra me réveiller pour l’enlever. Il me souhaite bonne nuit. Je m’endors en bandant.
Le lendemain matin, je suis réveillé par les mains de parrain. Il a dégonflé le plug et a les doigts recouverts de gel. Il me fouille et c’est agréable. Je sens qu’il force un peu et je réalise à peine réveillé que sa main est en moi. Il rentre et il ressort son poing de ma «chatte». Il sort sa main, je sens que mon cul est bien ouvert. Il me dit de me relever doucement. Je me relève, et sens son bidule qui sort de mon cul. Parrain le récupère. Il a sorti sa bite, et m’encule. Je ne ressens rien. Ça m’étonne, parrain dit que mon cul est trop ouvert, il passe devant moi et je le suce. Il jouit assez vite. Je reste la bouche pleine. Il me fait un bisou sur les fesses et sort. J’avale, me lève et vais à la douche.
J’aime me laver l’intérieur de ma chatte. La poire de douche rentre sans forcer dans mon cul. Lorsque je suis bien propre, je sors de la douche, et en m’essuyant, je sens que mon cul est ouvert. Je rentre trois doigts et je le sens à peine. Je mets un paquet de papier toilette dans ma raie, un slip, un jean, et un pull.
Je descends déjeuner et prends le bus pour le lycée.
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subbiland · 6 years ago
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Nouvelle vie
Jusqu’à ce matin, ça faisait maintenant six mois que j’avais une vie partagée. La journée, j’étais un lycéen comme les autres, les soirs et les mercredis après-midi, j’étais un vide-couilles. La séparation des deux mondes était totale.
Depuis peu, les choses se sont accélérées. D’abord, j’ai offert mon cul et ma bouche à un chien, puis dans un foyer d’Africains. Puis, j’ai offert mon cul à un groupe de clochards. Puis, j’ai aussi offert ma bouche à leurs bites sales et puantes et j’y ai pris du plaisir. De vide-couilles, j’étais devenu une chienne avide de bites.
Parrain m’a encore fait évoluer, mentalement et physiquement. Mentalement, je suis maintenant totalement capable non seulement d’offrir mon cul, mais aussi d’aller demander à me faire mettre. Physiquement, mon cul se déforme et deviendra bientôt à ma plus grande joie une vraie chatte. Je vais déformer mon cul jusqu’à ce qu’il ne se referme jamais complètement, et je serai ainsi toujours disponible sans le moindre préliminaire. Plus besoin de m’étirer le cul, de cracher dessus ou d’utiliser du gel. Un cul ouvert, qui mouille tout seul, toujours prêt. Comme une chatte de chienne en chaleur.
Depuis ce matin, j’étais une chatte de chienne en chaleur pour les autres lycéens. Le mec de terminal qui m’a bien baisé ce matin m’a dit qu’ils allaient me nourrir au sperme. Je ne sais rien de ce qui va se passer. Les cours du matin se passent normalement, même si je trouve que Marc, un mec de ma classe avec qui je parle peu, se retourne souvent pour me regarder. Était-il dans le «lot» de mes enculeurs de ce matin ?
La récré de 10h se passe normalement. Marc me regarde quand même beaucoup. À 11h on change de salle pour aller en cours de maths. Je balance mon sac sur l’épaule, et la lanière casse. Mon cartable en vrac dans le couloir. Les copains se marrent et se barrent. Je leur dis qu’ils pourraient m’aider mais ils ne se retournent pas. Je commence à ramasser mes cours. Je n’avais pas vu Marc derrière moi. Il me tend une partie de mes cours et continue à ramasser avec moi. En 30 secondes, tout est rangé. Je remercie Marc en lui disant que c’est sympa de sa part. il me fixe droit dans les yeux et me dit :
— Normal, "échange de service"
et ajoute :
— Et merci pour ce matin.
Je me bloque et je ne sais pourquoi je lui réponds :
— À ta disposition.
Il me répond à voix basse :
— T’inquiète pas, je ne vais pas me priver.
On part ensemble vers la salle de maths. On a cinq minutes pour monter un étage, on a le temps de discuter. Je lui demande s’il a aimé. Il me répond qu’il a un secret à me confier. Il est homo. Je lui dis que moi non. Il me dit qu’il a du mal à me comprendre, comment je peux aimer la bite sans être homo. Je lui explique que c’est pour moi deux choses totalement différentes. Marc me dit qu’il aimerait que l’on se voie après les cours. Je lui dis OK. Il habite à côté du lycée, on se donne rendez-vous après les cours chez lui.
On arrive devant la salle de maths. Les copains me disent que j’ai eu vite fait. Je leur réponds que c’est pas grâce à eux, mais qu’heureusement que Marc a été sympa, lui. On déconne tous pendant deux minutes en attendant la prof, et on rentre en cours. Visiblement, il y deux parties au lycée. Ceux qui me connaissent comme copains, et ceux qui connaissent mon cul.
Midi. Fin des cours. Direction le foyer en attendant 13h pour passer à table. La cantine est en deux services.
Le foyer est toujours bondé. Et un fumoir de première (à l’époque, on peut fumer dans certains couloirs du lycée et dans le foyer et les cours de récré). Je tente de me frayer un passage lorsque je tombe nez à nez avec la terminale de ce matin. Il me dit on se retrouve comme ce matin. Je lui rappelle que le couloir des salles de chimie est fermé entre midi et deux. Il me dit alors au fond de la cour de prépa à côté du gymnase. Je lui dis OK. Je me fraye un passage jusqu’à la sortie, et vais dans les chiottes à côté du gymnase.
Je rentre, je suis seul. Les chiottes du fond sont fermées. Il arrive derrière moi. Il ne dit rien, sort une clé de sa poche et ouvre une porte à côté de la porte d’entrée. Il allume. C’est une pièce de réserve où se trouvent des tables, des chaises entassées et divers trucs bien poussiéreux. Il me dit :
— Aide moi et attrape une table.
On la positionne en long dans la pièce. Il va au fond et ramène un morceau de tapis de gym en mousse bleue. Il pose le tapis sur la table et me dit :
— Cul à l’air, jambes bien écartées vers la porte.
Je commence à défaire mon jeans et j’entends des voix. Il me dit :
— Grouille toi !
Je vire mon jeans et mon slip et prends la position. Il met mon jeans sur ma tête, et ouvre la porte. Je ne sais combien ils sont. Il me dit d'écarter mes fesses. Avec mes mains, j’écarte mes fesses. Mon cul s’ouvre, je le sens, et je mouille, j’en suis certain. Il leur dit :
— Les mecs, j’ai trouvé un nouveau vide-couilles, et il n’est pas chiant comme Laetitia.
Certains râlent en disant :
— Ouais, mais c’est un mec.
Il répond :
— Et alors, un cul c’est un cul. Là, c’est pas un cul qu’il a, c’est une véritable chatte. Et Laetitia, personne ne l’a jamais enculée, alors ça va nous changer.
Une voix dit :
— Un cul, c’est un cul, et moi je m’en fous. 
Et il m’encule d’un coup, complètement. Sa bite est pas très large mais longue. Je gémis. Il dit :
— Putain, super bon, c’est ni un cul, ni une chatte. C’est quoi ?
Et je m’entends répondre :
— Un vide-couilles.
Le mec ajoute :
— Ça, ça me plaît. C’est disponible tous les jours ?
Et le mec de terminale lui dit qu’on lui a dit que c’était ouvert nuit et jour. Le mec me baise vraiment bien. J’aime ses mouvements au fond de mon cul. Il jouit. Il sort de mon cul. Il est remplacé dans la seconde. J’entends dire :
— Activez les mecs, on n’a pas la journée.
Quatre terminales vont ainsi prendre mon cul. Et me le remplir de sperme. Le premier enlève mon jeans que j’ai sur la tête. Il me fait m’accroupir au-dessus d’un plat en inox de la cantine. Il me donne sa bite à sucer. Je sens le sperme de mon cul qui coule et qui goutte dans le plat. Le mec me demande de pousser un peu pour faire couler le jus que j’ai dans le ventre. Ça gicle dans le plat. Il sort sa bite de ma bouche, sort une cuillère de sa poche, racle mon cul des dernières coulées de sperme, ramasse le plat, remplit la cuillère et me dit :
— Repas nouvelle cantine.
J’ouvre la bouche, il vide la cuillère, je n’avale pas. Il ramasse tout le sperme du plat et me remplit la bouche. Puis il y remet sa bite. Sucer un mec en ayant la bouche pleine de sperme est une sensation délicieuse. Il jouit, serre mes lèvres avec ses mains pour essorer sa bite dans ma bouche. Je reste bouche ouverte. Il me demande d’avaler en plusieurs fois. J’avale. Je lui montre ma bouche bien vide et bien propre. Il me dit que je suis un bon vide-couilles. Il me dit que je suis à sa disposition. Je lui dis que je suis un vide-couilles et que ma bouche et mon cul sont disponibles tout le temps pour n’importe quelle bite. Il me dit qu’il ne l’oubliera pas.
Il me dit de me rhabiller et on sort. Je regarde l’heure. C’est l’heure d’aller à la cantine. J’ai apprécié l’entrée…
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subbiland · 6 years ago
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Le week-end-quatrième partie
On remonte dans la voiture, et on quitte la cité.
Parrain me dit que j’ai été un bon vide-couilles. Je lui dis que par contre, je ne ressens plus rien par mon cul. C’est plus une chatte non plus, mais un gouffre. Je ne prenais du plaisir qu’avec les poings, ou quand un mec se branlait en moi. Parrain me dit que c’est normal. Pour que mon cul devienne une vraie chatte, il faut dans un premier temps l’étirer plus que de raison. Car de toute manière, le cul est un muscle et qu’il va se refermer. Sauf que si on l’étire beaucoup trop, il se referme, mais plus totalement. Je lui demande à quoi servent les boules de pétanque.
Il me dit que la boule a le même diamètre que mon ancien plug, 7cm. Mais qu’elle pèse. Le poids des deux boules va faire que l’ouverture de mon cul, ronde au départ, va se déformer par le poids des boules, et devenir ovale vers le bas. Comme l’ouverture d’une vraie chatte. Je lui dis que je n’ai jamais vu de chatte de femme. Il me dit en souriant que d’ici quelques semaines, j’en verrai une en regardant mon cul dans un miroir. Je lui dis que je suis impatient d’avoir une vraie chatte. Il me dit que si je suis pressé, je n’ai qu’à gonfler plus le plug. Plus la déformation sera grande et rapide, et plus elle restera ouverte.
Je pompe à plusieurs reprises sur la poire du plug. La douleur est intense, mais me fait bander. Mon cul sera une chatte et restera ouvert à vie, et pourra recevoir des bites nuit et jour. Et à cette idée, je jouis.
Arrivé près de la maison, je me rends compte que malgré toute ma volonté, je ne pourrai pas marcher normalement devant papa et maman. Parrain me dit d’attendre. Si mes parents sont là, je dégonflerai le plug. La voiture de mes parents n’est pas là ! Je garde le plug gonflé et tente d’avoir une démarche pas trop tordu pour rentrer à la maison. Je monte dans ma chambre. Parrain me dit d’enlever le plug et les boules de pétanque. Je me déshabille, et à peine le plug est dégonflé qu’il sort de mon cul suivi des deux boules. Parrain me dit d’aller me laver la chatte, puis qu’il va me mettre de la pommade. Je ne démonte pas la poire de douche : elle rentre sans forcer dans mon cul. Je reviens à la chambre le cul bien propre. Parrain m’enduit de pommade. Je lui demande quel plug je devrai porter plus tard. Parrain me dit que ce sera un bouchon anal. Comme un plug, mais court. Comme une capsule en caoutchouc. Il me dit qu’il a un ami qui fabrique des prothèses médicales. Que si tout va bien, mon cul sera totalement déformé et sera une vraie chatte quand je serai chez lui pour les vacances. Et que son ami pourra me faire le bouchon. Il m’explique que je devrai porter ce bouchon en permanence, et qu’il s’enlève en deux secondes. Il me tarde que mon cul soit totalement déformé en une vrai chatte.
Parrain me dit de ne rien mettre jusqu’à ce soir. Que par contre, quand je me coucherai, il faudra que je remette les boules de pétanque et le plug gonflé. Je lui demande comment je devrai gonfler le plug. Il me répond que ça ne dépend que de moi et de mon envie de le déformer en vrai chatte. La fin de la journée et le repas du soir avec papa et maman se passent bien. J’ai par contre une sensation de «vide». Il n’y a rien dans mon cul, et cette sensation me manque. J’aime sentir mon cul étiré et dilaté.
Le soir avant de me coucher, je lave mon cul. La poire de douche a du mal à rentrer. Mon cul se resserre vite visiblement. Je me couche, enfonce difficilement les boules de pétanque qui ont du mal à entrer, puis mets le plug. J’ai l’impression de l’avoir à peine gonflé et ça fait mal. Je veux que mon cul soit déformé. De penser à ma future «chatte», je bande dur. Ça me fait partiellement oublier la douleur. Je pompe comme un fou. La douleur est énorme, je suis recroquevillé sur le lit et ça me fait jouir. Je suis épuisé, mon cul me tire, et je sens que je m’endors.
Je suis réveillé par des caresses. Je n’ouvre pas les yeux, mais la bouche. J’entends parrain qui me dit doucement à l’oreille :
— Tu es vraiment la reine des chiennes, tu attends la bite même en dormant.
Il enfonce sa bite dans ma bouche. Il jouit. J’étale son sperme dans ma bouche et me rendors. Visiblement pas longtemps, mon réveil sonne. Je vais pour l’arrêter et ma main se pose sur la jambe de parrain. Il me demande si j’ai bien dormi. Je lui dis que oui. Il me dit de ne rien porter de la journée. Le but est d’infliger à mon cul des dilatations violentes afin de bien le déformer.
Parrain me dit de mettre un slip, et du papier toilette dans ma raie, afin d’éviter les fuites. Je pars au lycée le cul vide. Je n’aime pas cette sensation de vide. Je prends le bus, bondé comme un lundi matin. Le trajet est long. Je descends à mon arrêt avec d’autres qui vont visiblement au lycée comme moi, mais je ne les connais pas. Pas de copains, en vue, je marche vers le lycée. Deux autres lycéens, visiblement plus jeunes que moi m’interpellent. Je m’arrête et les attends. Le plus petit me dit :
— On t’a reconnu, tu étais dans les caves de la cité samedi. On veut pas d’embrouilles. On n’est pas pédés et on n’a pas envie qu’au bahut ça parle. Ce qu’on veut, c’est se vider les burnes dans ton cul. On n’est pas pédés, on n’embrasse pas et il est pas question que l’on se fasse sucer par un mec. Donc, on se vide dans ton cul quand on veut, et silence complet des deux côtés OK ?
— OK, j’ai pas envie non plus qu’au bahut on le sache, je réponds.
— En plus, les profs sont trop cons pour comprendre. Bon puisque tu es OK, on se retrouve dans cinq minutes aux chiottes du troisième, après les salles de chimie au fond. Tu vas dans la dernière chiotte, tu te mets le cul à l’air, on tapera deux fois. Tu ouvres, me dit-il.
— OK, répondis-je.
Et ils repartent. Au moins, je vais pouvoir me faire remplir le cul au lycée, et il n’y aura pas de vagues.
J'entre dans le lycée et me dirige vers le troisième étage. C’est encore désert dans les couloirs. Je fonce vers les chiottes. Je suis excité et inquiet en même temps. Je sens que mon cul est mouillé. Je rentre dans la chiotte du fonds, ferme le verrou, enlève mon jean et mon slip, sors le papier coincé dans ma raie. C’est un liquide transparent qu’il y a dessus. Je mouille du cul !
J’ai à peine fini qu’on tape deux petits coups à la porte. J’ouvre le verrou. La porte s’ouvre d’abord doucement, puis celui qui m’a parlé rentre. J’écarte les jambes, et me tiens avec les mains sur le tuyau de la chasse. Il m’encule d’un coup, il me lime très vite, se crispe, je sens qu’il jouit. Il sort sa bite, l’essuie contre mes fesses, et sort. Son copain entre de suite et m’encule. Le même : on lime à fond, on jouit, on frotte sa bite sur mes fesses, et sort.
Je me retourne, ferme la porte et m’assois sur le chiotte. Ç'a été tellement rapide que j’ai encore plus envie de me faire mettre qu’en arrivant. Le sperme coule de mon cul dans la chiotte. Je prends du papier et m’essuie. J’entends à nouveau deux petits coups à la porte. Je me lève et ouvre le verrou. Celui qui m’avait parlé ouvre la porte comme la première fois, et me dit :
— T’affole pas, on a ramené des copains. Ils marchent tous dans la combine.
Je reprends ma position. La porte se referme, et une bite beaucoup plus grosse me pénètre. Lui par contre me tient par les hanches. Il baise bien. Je commence à prendre du plaisir. Il sort de mon cul et me dit doucement :
— Ta bouche.
Je me retourne. Il est plus grand que nous, c’est un terminale. Je prends sa bite dans ma bouche, il jouit. Réflexe de bon vide-couilles que je suis, je lui montre ma bouche pleine. Il sourit et me dit :
— T’inquiète pas, avant ce soir, ta bouche sera remplie. Pour midi, tu changes de cantine. On va te nourrir au sperme.
Je ferme ma bouche, avale. Il me dit de me retourner. La porte s’ouvre et un autre entre. Il m’encule direct mais sa queue est petite. Il sort sa bite, se branle devant mon cul et jouit dessus, et sort de suite. Je me retrouve le cul couvert de foutre à l’air. Je me retourne, ferme la porte et me repose sur la chiotte. Je ramasse le sperme sur mes fesses et instinctivement, je suce mes doigts. J’aime vraiment le sperme. L’odeur, le goût, la texture, tout me plaît. Et je me dis qu’un repas au sperme, ça doit être sympa. J’entends la cloche sonner. Je me rhabille en vitesse et fonce en cours.
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subbiland · 6 years ago
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Le week-end - troisième partie
Arrivés à la maison, papa et maman dormaient. Parrain m’entraîne dans ma chambre. Il enlève le scotch qui empêche la boule de pétanque de tomber et entre doucement le plug. Maintenant, il tient en place. Mon cul-chatte est rempli par une boule de pétanque et le plug. La sensation est étrange mais pas désagréable. Parrain me souhaite bonne nuit. Je suis crevé, et je m’endors.
En pleine nuit, je sens que l’on me caresse les fesses. Parrain est à côté de moi. Il me chuchote à l’oreille :
— Suce-moi.
J’ouvre la bouche, parrain fourre sa bite, difficilement, ma bouche est trop sèche. Il me prend par les cheveux et me baise lentement la bouche. Il jouit très vite. Il me dit :
— N’avale pas, garde mon foutre, ferme la bouche et dors.
Je ferme la bouche et me rendors.
Dimanche matin, je me réveille, c’est presque 11h. J’ai mal au cul. Ma chatte me brule. J’enfile le pantalon du pyjama et vais à la salle de bains. Je me mets dans la baignoire. Le plug me brûle quand je tire dessus. Je démonte la poire de douche et fais couler de l’eau tiède sur mon cul, puis en bougeant un peu, je sens l’eau qui rentre dans mon cul. Le plug sort doucement, sans faire mal. Je pousse pour faire sortir la boule de pétanque qui sort sans problème. Je remarque qu’elle est de la même taille que mon plug.
Je me douche et lave l’intérieur de mon cul-chatte. La sensation de l’eau à l’intérieur est sympa. Je ne sais pas comment sortir de la salle de bains avec la boule de pétanque. Je décide de la remettre dans mon cul, et remets le plug par dessus.
Je retourne dans ma chambre, m’habille et descends. Surprise, il n’y a personne. Maman a laissé un mot sur la table elle est au marché avec papa, et parrain est parti faire des courses. Je prends un bol de café, et me pose devant la télé.
Parrain rentre le premier, avec un gros bouquet de fleurs et une boîte de pâtisserie. Il me demande si j’ai bien dormi. Je lui dis oui. Il me demande si je suis seul. Je lui dis que papa et maman sont au marché. Il me dit de monter dans ma chambre. Je monte, parrain me suit. Il me dit que ç’a n’a pas été facile à trouver, surtout un dimanche matin, mais qu’il se souvenait d’un sex-shop ouvert le dimanche. Il sort de sa sacoche un plug, plutôt petit, avec un tuyau et une poire au bout. Il me dit :
— C’est ton nouveau jouet.
Je lui dis qu’il est plutôt petit. Il me dit :
— Regarde !
Et il pompe avec la poire. Le plug grossit à vue d’œil et devient énorme. J’enlève mon jeans et saute à quatre pattes sur le lit. Parrain enlève mon plug et voit la boule de pétanque. Il me demande si elle me gêne. Je lui dis que le poids est inhabituel, je ressens en permanence mon cul. Parrain me dit que l’on va la laisser et entre le plug gonflable. Vu qu’il est dégonflé, je ne sens rien. Parrain pompe sur la poire. Je sens que ça grossit de plus en plus. Ça devient agréable, puis maintenant douloureux. Parrain me dit qu’il faut que ça soit légèrement douloureux, pour que ça m’ouvre bien mon cul. Il dégonfle un peu. Je lui dis de regonfler un peu. Ça fait mal, mais c’est supportable. Parrain passe le tuyau entre mes jambes, et met la poire à côté de ma bite. Il me dit :
— Comme ça, si tu ne sens plus rien, en te touchant la bite, tu appuieras sur la poire et ça gonflera le plug.
Je remonte mon jeans. Je suis rempli à bloc. La sensation est super agréable. Je pense que ma chatte est en train de s’agrandir un peu plus. Je me mets à bander. Je masse ma bite à travers le jeans et appuie sur la poire. Douleur dans mon cul, le plug s’est gonflé. Ça fait mal, mais je suis excité et décide de ne pas le dégonfler. La descente de l’escalier est un grand moment. J’ai du mal à marcher. Pas de bol, papa et maman arrivent à ce moment-là, je n’avais pas entendu la voiture. Je tente de reprendre une démarche «normale».
Le repas est un long moment. Le plug est trop gonflé, et ça tire vraiment trop. Au dessert, je ne tiens plus en place. Je fais semblant d’aller aux toilettes et dégonfle un peu le plug. Ouf, ça va mieux. Je reviens à table comme si de rien n’était. Parrain demande à maman s’il peut m’emmener au centre-ville. Il veut profiter du dimanche pour retrouver certaines rues qu’il ne situe pas sur le plan. Maman donne son accord. Parrain prend un café, et me demande si je suis prêt pour le guider. Je lui dis que je vais essayer.
On prend la voiture de parrain. Il roule jusqu’au centre-ville. C’est désert. Parrain cherche une petite rue à côté de la place du capitole. Il me demande comment je sens mon nouveau plug. Je lui dis qu’à midi, je l’ai un peu dégonflé, mais que depuis je l’ai regonflé deux fois : une fois dans la voiture, puis après quelques minutes de marche. Il me demande de le gonfler un peu plus. J’appuie une fois sur ma bite (la pompe est à côté). C’est plus fort, mais supportable. Parrain me dit de gonfler une fois de plus. Ça force dans mon cul. Il me demande ce que je ressens. Je lui dis que je me sens étiré. Il me dit qu’il faut, mon cul est une chatte, et il ne doit plus jamais se refermer. Je lui demande comment je ferai pour ne pas me chier dessus. Parrain me dit que je devrai porter tout le temps un plug. Comme ça, quand je voudrai baiser, ma chatte sera toujours ouverte, toujours prête, et même après une nuit sans plug, elle sera toujours ouverte.
Il me rappelle que pour les vacances de Pâques, je vais le rejoindre à Paris. Mes parents sont d’accord. Il me dit qu’il va m’amener dans une cité. Je serai posé sur un matelas dans une cave et pendant au moins trois jours et trois nuits, mon cul-chatte ne devra jamais se refermer entre deux bites. Parrain s’arrête entre deux voitures en stationnement. La rue est déserte, il ne passe que quelques rares voitures. Parrain me dit :
— Viens me sucer.
— En pleine rue ?
— Une chienne en pleine rue, normal non !
Je m’agenouille devant lui, sors sa bite et le suce. Les rares voitures qui passent ne font pas attention. Il ne jouit pas et se rhabille. On repart à sa voiture. On ne prend pas le chemin du retour. Il m’emmène dans une cité. Je lui demande où l’on va. Il me dit :
— Voir tes nouveaux amis d’hier soir, ils m’ont laissé une adresse.
On tourne dans la cité, parrain se gare. On est à peine sorti de la voiture que deux mecs s’approchent de nous. L’un me dit :
— Tu es la chienne d’hier soir, t’a pas eu ta dose, t’en veux plus ?
Parrain lui dit :
— Elle a le cul rempli par une boule de pétanque et un plug gonflé à bloc, mais il lui faut de la bite.
Le mec demande si on a du temps. Parrain lui dit que l’on a deux à trois heures de libres. Le mec nous dit de le suivre. On entre dans un immeuble, on prend un escalier direction les caves. C’est un vrai labyrinthe. On va vers le fond. Il ouvre une porte. À l’intérieur, il y a une table, un matelas posé au sol. Le mec me dit :
— À poil salope.
Je retire mon jeans, mon blouson, et mon teeshirt. Parrain dégonfle le plug. Il le sort et la boule de pétanque sort sans forcer. Le mec me fait m’allonger à plat ventre sur la table, les jambes écartées. Il rentre trois doigts directs dans mon cul. Le mec dit à mon parrain :
— Putain, elle est large ta chienne, ça rentre comme dans du beurre.
Il retire ses doigts et essaye de rentrer sa main. Ça force à peine. Le mec dit à parrain :
— Fisté du premier coup, j’ai jamais vu. On va la gaver.
J’entends des bruits. Il a du monde qui arrive. Le mec leur dit :
— On a une nouvelle chienne, elle prend tout. On la gave. Tout le monde jouit dans sa gueule.
Il retire sa main, un mec positionne sa bite qui rentre sans que je la sente vraiment. Le mec dit :
— C’est pas une chatte, c’est un gouffre.
Il se retire et me fiste. Sa main rentre, il essaye d’enfoncer sa main le plus loin possible, bouge les doigts, serre le poing, et le ressort. Il me bourre le cul avec son poing. C’est bon, je gémis. Un mec me tire par les cheveux et me baise la bouche. Il jouit très vite. Il sort de ma bouche, un autre prend la suite et jouit aussi vite. On me lève en me tirant par les cheveux. Un mec qui a une belle bite est allongé sur le matelas. On me fait m’empaler sur lui, on me pousse en avant. Je sens une deuxième bite qui rentre. Je suis pris en double. La sensation est géniale, je me redresse et dis :
— Oui, c’est bon.
Une bite se présente devant ma bouche, je la prends et on me baise la bouche.
Ça va durer pendant plus d’une heure. Plein de mecs prennent plaisir à me fister avec leur poing. Puis on essaye de rentrer deux mains. Ça tire, je gémis, mais les mecs forcent et ça rentre. Un mec me demande ce qu’il peut faire avec mon cul. Je lui dis qu’il peut se branler dedans. Parrain lui explique que le mieux, c’est qu’il mette sa main, puis sa bite pour se branler dans mon cul. Tout le monde veut essayer. Mon cul me brule. Les bites se succèdent dans ma bouche. La gorge me brûle par le passage répété des bites.
D’un coup, tout se calme. Parrain remet la boule de pétanque dans mon cul. On lui en donne une seconde en disant qu’il faut ça pour remplir ma chatte. Parrain pousse la seconde boule de pétanque dans mon cul. C’est lourd. Parrain remet le plug et le gonfle. Je le sens bien gonflé et je gémis, mais parrain continue à gonfler. Ça fait mal. Je le lui dis. Il me dit :
— Il faut souffrir pour avoir une belle chatte.
Je sais que mon cul ne se refermera plus jamais. Parrain m’a expliqué qu’il allait me l’étirer à un tel point que même six mois plus tard, il restera toujours une ouverture permanente d’au moins un ou deux doigts. Il m’a dit que dans quelque temps, j’utiliserai le plug uniquement pour ne pas me chier dessus. Il servira de bouchon. J’ai mal mais le fait de savoir que cela permettra à mon cul de rester ouvert à vie me permet de supporter la douleur. On m’aide à remettre mon jeans, j’enfile mon teeshirt et mon blouson. Un mec me dit :
— Maintenant on connaît ta gueule de vide-couilles. Si on te croise dans la rue, on te prendra n’importe où, n’importe quand.
Il me demande ce que je fais. Je lui dis que je suis au lycée. Un mec demande à quel lycée. Je lui réponds. Le mec éclate de rire. Il dit :
— Super, mon petit frère y est aussi et plein de ses copains. Ils vont être contents d’avoir un vide-couilles à disposition dans le bahut !
Je me sens mal. Je suis un vide-couilles, c’est vrai, et j’en suis fier. Mais là, ça veut dire que tout le monde va le savoir, et ça, je ne sais comment l’assumer en public devant les copains. Le mec termine en disant :
— Mais rassure-toi, ils ne veulent pas passer pour des PD. Ils resteront discrets si tu es une bonne chienne soumise.
Ouf, je respire. Je servirai de vide-couilles, et c’est ce que je veux, mais sans que cela remette en cause ma vie au lycée. Le cul chargé à bloc par les deux boules de pétanque et le plug trop gonflé, je repars avec une démarche qui fait rire les mecs présents.
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subbiland · 6 years ago
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Le week-end-deuxième partie
Parrain changea le scotch. Il le colla le plus serré possible. Ma bite et mes couilles étaient invisibles. Puis, il me fit mettre à quatre pattes et m’écarter mes fesses le plus possible avec mes mains. Il fixa de chaque côté un scotch. Mon cul-chatte restait ainsi bien visible et ouvert. Parrain me demande si je sens quelque chose. Je lui dis que non. Il me dit :
— Ton cul reste ouvert comme une chatte, j’ai un doigt dedans et je ne touche même pas les bords.
Je me mets à bander comme un âne. Mon cul est une chatte. Il reste ouvert. Je suis enfin devenu ce pour quoi j’existe : "être un trou à bite permanent".
Parrain me dit de le suivre. On traverse à travers bois, par un petit sentier. On entend des voix au loin. Il y a visiblement beaucoup de monde. On arrive dans une clairière. Il a plein de monde, beaucoup de mobylettes, et un attroupement au milieu. Notre arrivée est remarquée. Un jeune maghrébin qui doit avoir mon âge demande ce que l’on vient faire là. Parrain s’arrête, et dit :
— Je vous amène ma chienne. Son cul est un trou à bite, elle vient se faire remplir.
Deux mecs plus âgés s’approchent de moi. Ils me regardent et me demandent de me tourner. Je me retourne et me penche en avant pour montrer mon cul. Ils demandent à parrain jusqu’à quand ils peuvent m’utiliser. Parrain leur dit que ce soir on n’a pas trop le temps, mais que s’ils me gavent bien, il me ramènera. Ils demandent si je peux les suivre dans la cité. Parrain leur dit que ce soir non, mais que par la suite, ça sera sans problème.
Le plus âgé me demande de m’allonger sur le ventre sur la table en bois, jambes bien écartées. Je m’avance vers la table. Il y a foule et tout le monde me regarde. Arrivé devant la table, je m’allonge le torse dessus et écarte les jambes. Un mec éclaire mon cul avec son briquet. Il dit :
— Putain les mecs, quelle chatte ! Son cul reste ouvert.
Il y plonge plusieurs doigts, et dit :
— Je lui ai mis trois doigts directs, et elle mouille cette chienne.
On me tire par les bras pour que ma tête dépasse de l’autre côté de la table. Un mec se met devant moi, m’attrape par les cheveux et m’enfonce sa bite dans la bouche direct. Derrière, je sens une bite qui s’enfonce en moi. Je me sens bien, et les mecs me liment. Dès qu’ils ont joui, ils se poussent et une nouvelle bite prend la suite. Je ne compte plus. Je sens des orgasmes monter en moi. Non par ma bite, mais par mon cul. J’avale des litres de sperme. Mon cul me fait jouir. Je sens qu’il reste ouvert et le sperme coule le long de mes jambes jusque sur les chaussettes qui sont trempées. Je ne suis plus qu’un réceptacle à sperme.
Je ne sais depuis combien de temps je suis dans cette position. Je ne suce plus. Les bites rentrent dans ma bouche et jouissent dedans. Ma bouche est une chatte elle aussi. Sauf que celle-là avale. Ma bouche se libère, et mon cul aussi. Parrain s’approche de moi et me demande si ça va. Je lui dis que je me sens super bien. Parrain me dit qu’il faut arrêter, que ça fait plus de deux heures que je prends des bites sans discontinuer. Je me relève de la table. Mon cul se vide. Je passe ma main sur mon cul et la ramène rempli de sperme. Je me lèche les doigts. Les mecs gueulent que je suis la meilleure chienne qu’ils aient vue.
Parrain ramasse deux bouteilles de bière par terre. Sans que je me penche, il enfonce la première dans mon cul. Elle y est aspirée. Puis il positionne la seconde et pousse. Je sens que la première canette s’enfonce en moi. La seconde entre en entier. Parrain me dit que ça remplacera le plug jusqu’à la voiture. On part. Les mecs me font promettre de revenir. Parrain leur dit que c’est prévu.
Les deux bouteilles que j’ai dans le cul font un drôle de bruit quand je marche, mais la sensation est agréable. Par contre, je sens qu’elles glissent. Je mets ma main pour les retenir. Parrain me dit qu’il va falloir trouver rapidement un plug gonflable. Je lui demande ce que c’est. Il m’explique que c’est un plug, mais que l’on peut le gonfler avec une petite pompe à main. Je lui dis que ça va m’ouvrir la chatte encore plus. Parrain me répond :
— C’est ce que tu veux non.
Et c’est ce que je veux. Arrivés à la voiture parrain me dit d’enlever ma main. Les bouteilles tombent. Il essaye de mettre le plug en place mais il est trop petit. Il ne tient plus en place. Parrain ramasse une bouteille, me l’enfonce entièrement, puis met le plug. C’est gros, mais le plug ressort. Parrain remet la deuxième bouteille, puis essaye d’y rentrer le plug. Je me sens écartelé. Le plug arrive à entrer. J’ai l’impression que ça me remplit le ventre, mais le plug ne tient toujours pas. Parrain ouvre le coffre de sa voiture et revient avec des boules de pétanque. Il me rentre une boule dans ma chatte, puis sort le scotch et le fixe entre mes fesses.
La sensation est énorme. Ça pèse en moi. Parrain me dit de remettre mon jeans, et de monter dans la voiture. On repart. Parrain me demande si j’ai aimé la soirée. Je lui dis que oui. Il me demande si j’ai faim. Je lui dis que non. Il me dit :
— Tu as sucé plus de 30 bites, je ne vois pas comment tu pourrais avoir faim.
Je réalise que j’ai été nourri au sperme. Entre cette idée et la boule de pétanque qui bouge sans cesse avec les secousses de la route, je bande dur.
Parrain me dit :
— Et pense quand tu seras à Paris. Tu passeras trois jours et trois nuits comme tout à l’heure.
Je jouis sous le scotch qui tient ma bite...
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subbiland · 6 years ago
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Le week-end-partie un
Le samedi commençait bien. Parrain me dit en me baisant dans la salle de bain que j’ai une superbe chatte bien souple et que quand sa bite ressort, elle reste ouverte, elle "attend " la bite. Mon cul est devenu une chatte, souple, toujours ouverte, toujours disponible. Pendant que parrain jouait avec sa bite sur l’entrée de ma chatte, d’imaginer mon cul restant ouvert, j’ai joui contre le lavabo. Parrain a joui dans ma chatte et a remis le gros plug en place. Je l’ai à peine senti rentrer. Parrain m’a dit qu’à ce régime, il faudrait me trouver un plug plus gros avant peu. Parrain m’a fait lécher mon sperme qui avait coulé le long du lavabo, puis je me suis douché et habillé.
Papa et maman sont rentrés du marché. Repas en famille. Parrain a demandé si ce soir il pouvait m’amener au cinéma. Papa ne voulait pas que je rentre trop tard mais maman a cédé, et parrain peut m’amener à la dernière séance, celle qui finit à 1h du matin.
Le soir, parrain a dit qu’il m’amenait d’abord au restaurant puis au cinéma. On est partis, mais en direction de la forêt de Bouconne. Il y avait visiblement plus de voitures que la veille au soir. Parrain m’a fait sortir de la voiture. Il m’a fait enlever mon jeans et le plug. Puis, il a sorti le scotch en tissu et m’a plaqué ma bite et mes couilles contre mon ventre. On ne voyait presque rien. Il m’a fait remonter mon teeshirt dans mon blouson, afin que mon cul soit bien à l’air et on est parti vers la clairière.
Il marchait lentement sur le chemin. Il m’a demandé ce qui me ferait vraiment plaisir. Je lui ai dit que ce que j’avais le plus envie, c’était de sentir plein de bites dans ma «chatte». Parrain m’a demandé quelles bites me feraient le plus plaisir : jeunes, noires… Je lui ai répondu toutes. Il m’a demandé ce que j’étais. Je lui ai répondu que j’étais un vide-couilles qui pouvait être rempli par n’importe quelle bite. Il m’a demandé ce que je ferais si on croisait un clochard, sale et puant. Je lui ai dit que je lui offrais mon cul. Parrain m’a dit que j’étais une vraie chienne et que le but de la soirée, c’était que je vide au moins 20 bites. Je me suis mis à bander.
On n’a pas été à la clairière de la veille. Parrain a pris un autre chemin et on est arrivé dans une autre clairière. Il y avait un feu de camp. On s’est approché et c’était des clochards. Quatre assis, un debout qui marche autour du feu. Parrain m’a dit :
— Je reste là. Tu vas les voir et tu leur dis ce que tu veux. Tu es une chienne, vas te faire remplir la chatte.
Je me sens mal. Non pas parce que c’est des clochards, ce n’est pas la première fois, et ils sont moins nombreux, mais parce que je n’ai jamais accosté un homme en lui disant "encule-moi". Faire est une chose, demander en est une autre. Je m’avance et m’approche du feu. Celui qui est debout, une bouteille de vin à la main, me regarde arriver et gueule :
— Tu viens te faire enculer, salope ?
Je me surprends à lui crier :
— Oui, mon cul est ouvert à tous ceux qui ont envie de se vider les burnes.
Je m’avance encore un peu et me mets à quatre pattes devant lui, mon cul devant lui. Il se retourne vers ses copains et gueule :
— Hey les mecs, y a une salope qui veut en prendre plein le cul, venez !
Il s’avance vers moi, défait son pantalon, sort sa bite, et m’encule d’un coup. Je jouis sous le scotch. Je suis vraiment fait pour recevoir des bites. Je me sens bien et lève la tête. Un autre clochard est devant moi, sa bite à la main. Il m’ordonne :
— Suce, salope.
Et avance sa bite vers ma bouche. Elle pue. J’ouvre la bouche et prends sa bite. Le goût est atroce. Il me dit :
— Suce-moi la bien, salope.
Il jouit assez vite, j’ai failli vomir. Mais un autre vient le remplacer. Il pue autant. Il a une belle bite, mais elle pue aussi. Je ne m’habitue pas à l’odeur. Heureusement, il jouit assez vite aussi. Dans mon cul, le premier a joui et un second le remplace. Je baisse la tête vers le sol et prends plaisir à cet enculage. Les autres gueulent autour. Je ressens cette bite dans ma «chatte» déjà bien trempée par le sperme du premier. Je n’arrête pas de jouir. Je me rends compte que je jouis avec mon cul. Mon clochard enculeur jouit dans mon cul. Il se retire et dit à ses copains qu’il faut que ma chatte reste pleine. Je sens un truc dur pousser violemment dans mon cul. Je hurle. J’entends qu’il dit à ses copains :
— Hey les mecs, je l’ai bouchée avec une cannette, elle est rentrée toute seule, et il me tape violemment sur mes fesses.
Je me relève. La canette tient dans mon cul, et je marche vers parrain. La douleur dans mon cul se calme, la canette a été aspirée. Parrain me dit de me mettre à quatre pattes. Je me positionne jambes écartées. Parrain attrape le goulot de la canette et la tire vers l’extérieur. Je me sens dilaté. Elle commence à sortir, mais parrain la bloque. Il me dit de ne pas bouger, qu’il attache une ficelle au goulot pour être sur de pouvoir la ressortir de mon cul. Puis il l’enfonce dans mon cul. Je sens qu’elle est aspirée.
Parrain me fait me relever, et on reprend le chemin.
Chapitre 10
Parrain me demande ce que j’ai ressenti quand j’ai été demander au groupe de clochards de venir m’enculer. Je lui explique que le plus dur était de demander. Parrain me dit :
— Tu es une vraie chienne et un parfait vide-couilles. Tu n’as pas à avoir honte. Tu aimes la bite et tu adores le sperme ; et les hommes adorent se servir de leur bite et cracher leur sperme. Qu’y a-t-il de mal à demander à quelqu’un si on peut lui faire du bien ?
Je lui dis que je suis d’accord, mais ce n’est pas évident. Un homme arrive face à nous sur le chemin. Parrain me dit :
— Tu vois l’homme qui arrive. Tu vas t’avancer et lui dire : "bonsoir monsieur, est-ce que je peux vous sucer", et tu verras bien sa réaction.
Parrain ralentit le pas. J’avance vers cet homme. Il n’est pas très vieux, plus jeune que parrain ou que mon père, cheveux très courts. Arrivé devant lui, je respire un grand coup et je lui dis :
— Bonsoir monsieur, je peux vous sucer ?
L’homme s’arrête. Il voit que je n’ai pas de pantalon. Il me dit :
— Retourne-toi et penche-toi en avant.
Je m’exécute. Il tâte les fesses, et voit la ficelle. Il me dit:
— Il y a quoi au bout.
Je lui dis qu’il y a une canette de bière. Il prend la ficelle et tire. La canette sort. Il me demande ce que je cherche. Je lui dis que je suis un vide-couilles et que je cherche des bites. Il me demande si j’en ai déjà trouvé. Je lui dis oui. Il me demande où. Je lui dis dans la clairière au fond. Il me dit qu’il n’y a que des clodos dans cette clairière. Je lui dis oui. Il me demande si je me suis fait enculer par les clodos. Je lui dis oui. Il me traite de sale chienne. Je lui réponds oui. Il me dit qu’il va me rincer. Je ne bouge pas. il défait son pantalon, me dis de ne pas bouger je sens sa bite à l’entrée de ma «chatte» il rentre tout doucement, de quelques centimètres, et ressort. Il me demande si je suis une chienne. Je lui réponds :
— Je suis une chienne, une vide-couilles, mon cul est une chatte qui reçoit n’importe quelle bite.
L’homme ne dit rien m’encule d’un coup et ne bouge plus. Je sens par contre une drôle de sensation : un liquide chaud me remplit. Je comprends qu’il est en train de pisser en moi. Puis il se met à bouger. La sensation est étrange, mais agréable. Il se retire, passe devant moi, et me dit :
— Suce.
J’ouvre la bouche, il m’attrape par les cheveux et baise ma bouche. Il jouit, me dit d’avaler et qu’il veut une bite bien propre. Je le suce jusqu’à ce qu’il débande. Il se refringue et me dit :
— Merci chienne, et il s’en va.
Je me redresse, et ça coule de mon cul. Je m’accroupis pour vider mon cul de la pisse. Parrain m’a rejoint et me dit :
— Tu pisses avec ta chatte !
Je réalise que, comme une femme, je pisse par la chatte. Parrain me fait me relever et me retourne en me disant :
— Moi aussi, j’ai envie de pisser.
J’écarte mes fesses pour qu’il puisse venir pisser dans mon cul. Parrain rentre sa bite d’un coup et je le sens pisser en moi. Il me fait m’accroupir, me donne sa bite à sucer et me dit de bien la nettoyer. Puis il me fait me relever, et me dit :
— Tu n’as pas encore vidé 20 bites petite chienne, alors en chasse.
Nous partons vers la clairière de la veille, mais il n’y a personne. Parrain me dit :
— On va aller de l’autre côté du bois mais là-bas, ça craint. Je lui demande pourquoi ça craint. Il me dit que c’est les jeunes des cités qui y font leurs plans abattage. Je demande ce que c’est qu’un plan abattage. Parrain me dit que je ne pourrais rien refuser tant qu’ils en auront envie, et que souvent, ils sont une trentaine. Je regarde parrain et lui dit :
— Parrain, je suis un vide-couilles et une chienne. Grâce à toi, mon cul est devenu une vraie chatte. Je viens de sucer des clochards dont la bite puait à mort, ma chatte a été rincée à la pisse et j’ai même été enculé par un chien. Que peut-il m’arriver ?
Parrain me regarda droit dans les yeux et me dit :
— Petit, à 15 ans, tu es devenu un vide-couilles exceptionnel. Tu aimes la bite et le sperme comme je n’ai jamais vu personne aimer. Ton cul, ou plutôt ta chatte a besoin de bite en permanence. Ce que j’ai peur, c’est que les mecs que l’on va rencontrer vont s’en rendre compte. Et tu risques de devenir leur vide-couilles permanent. Ils sont capables de t’amener dans une cave de leur cité, et de te faire enculer nuit et jour pendant des semaines entières. Et le problème, c’est que tu serais d’accord.
Me faire remplir la bouche et mon cul-chatte pendant une semaine nuit et jour. Le rêve absolu ! Rien que d’y penser, je venais d’éjaculer sous le scotch. Ce dernier était maintenant complètement trempé. Je rassurais parrain en lui disant que je n’étais pas complètement fou et que papa et maman s’inquièteraient si je disparaissais pendant une semaine. Et je lui demandais, pour changer de sujet, s’il avait du scotch pour ma bite. Parrain me regarda en me disant :
— Rien que de penser que tu risquais de te faire enculer nuit et jour pendant une semaine, tu as joui ?
Je lui répondis timidement oui. Il m’a demandé ce que j’avais de prévu avec mes parents pour les vacances de Pâques. Je lui dis qu’il n’y avait rien de prévu. Parrain me dit :
— Dans ce cas, tu monteras chez moi à Paris. Je connais une cité où ils se feront un plaisir de t’enculer nuit et jour pendant toute la semaine.
J’ai joui à nouveau. Et mon cul était trempé. Mon cul était bien devenu une chatte. À l’idée de se faire défoncer, il mouillait. Comme une chatte. Parrain me dit :
— En attendant, on va changer le scotch et on va aller de l’autre côté du bois... que tu puisses te faire enculer pendant une heure ou deux.
J’étais aux anges !
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subbiland · 6 years ago
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La maison
De retour à la maison, je file à la douche. Il est tard et mes parents ne devraient plus tarder à rentrer. Je demande à parrain ce que je dois faire pour le scotch et le plug. Parrain vient m’aider et enlève le scotch de mes fesses, et de ma bite. Il me dit que le plug est bien en place, on le laisse.
Je me douche rapidement. Je n’ai pas fini de me rhabiller dans ma chambre que j’entends la voiture de mes parents. J’accélère le rythme et descends rapidement les escaliers. Parrain est à nouveau dans sa pile de dossiers.
Papa et maman rentrent. Parrain leur demande s’ils se sont bien amusés. Maman lui dit que oui et demande si on a mangé. Parrain lui dit qu’il m’a amené dans un petit resto. Maman me demande si c’était bon. Parrain lui dit que je me suis régalé avec la sauce des saucisses. J’ai failli m’étrangler quand il a dit ça… Papa et maman disent qu’ils sont crevés, et montent se coucher. Parrain est perdu dans ses dossiers. Je lui dis que je monte me coucher aussi, il dit qu’il ne va pas tarder.
Je me couche comme d’habitude, à plat ventre. Le plug me fait une sensation sympa dans mon cul. Je repense à la journée et je m’endors.
Je suis réveillé par une drôle de sensation. Parrain est en train de retirer lentement le plug. Il me dit de ne pas bouger, prend un oreiller et me le met sous le ventre. Mon cul est bien positionné. Il retire le plug, puis je sens le gel froid couler. C’est agréable. Parrain me dit doucement à l’oreille qu’il va me travailler le cul. Je sens qu’il essaye de rentrer sa main en entier. Je me détends et je sens sa main aspirée dans mon cul. Il enfonce sa main loin en moi. J’ai l’impression qu’il est dans mon ventre. Je bande dur. Parrain retire sa main, la renfonce plusieurs fois de suite. Puis, il joint ses deux mains et commence à pousser. Là, je me sens écartelé. Il pousse un peu plus à chaque va-et-vient de ses mains. Je sens que ses doigts sont en moi, sauf ses pouces. Huit doigts. Parrain rentre une main puis rentre les doigts de l’autre main. Ça tire de plus en plus. Parrain me dit de me détendre.
Je souffle un grand coup, parrain pousse et ouille, c’est passé. Parrain me dit qu’il vient de mettre les deux mains dans mon cul, que maintenant il va tourner avec ses doigts pour que mon cul s’assouplisse. Ça tire, mais je dors à moitié. Je me sens écartelé, comme avec la bouteille, mais là, c’est que du plaisir. Parrain joue longtemps. Puis il ressort, m’essuie et remet le plug. Je le sens à peine rentrer. Parrain me dit de me tourner sur le coté, vient à côté de moi, et me donne sa bite à sucer. Il tient ma tête avec ses mains et baise ma bouche. Il jouit. Il me dit de ne pas avaler, de m’endormir la bouche pleine. Je lui fais signe oui avec la tête, me remets à plat ventre et je pense que je me suis endormi de suite, la bouche pleine de son sperme.
Le lendemain matin (samedi), je me réveille avec la bouche qui colle. Visiblement je n’ai pas avalé dans la nuit. Je regarde l’heure : 11h passées. Il faut que j’aille aux toilettes. J’enfile un pantalon de pyjama pour que mes parents ne voient pas le plug. Je sors de ma chambre et tombe nez à nez avec parrain. Il venait me réveiller. Mes parents sont partis au marché et ne seront pas là avant midi et demi. Je lui dis qu’il faut que j’aille aux toilettes. Il me dit d’aller dans la salle de bains. J'entre dans la salle de bains mais je lui redis qu’il faut que je chie. Il me dit :
— Je sais, mais je vais te laver la chatte.
Il me fait asseoir sur le rebord de la baignoire, le cul vers l’intérieur. Il enlève le plug, dévisse le tuyau de douche, fait couler l’eau, et me le rentre dans le cul. Il me dit de serrer tant que je peux, puis de tout lâcher. Je chie dans la baignoire. Au bout d’un moment, l’eau qui sort est propre. Parrain me dit que ma chatte est bien propre. Il me tend une serviette, j’essuie mon cul devenu «chatte».
Parrain sort sa bite et me dit de le sucer. Je le suce. Sa bite devient bien raide. Il me dit de me lever et de m’appuyer contre le lavabo, jambes écartées. Je le fais. Il vient derrière moi. Il me pénètre doucement. La sensation est super bonne. Parrain me demande ce que je ressens. Je lui dis que la sensation est nouvelle, super agréable. Sa bite frotte sur l’entrée de ma chatte, rentre et ressort sans aucun effort. Parrain me dit que j’ai une superbe chatte bien souple et que quand sa bite ressort, elle reste ouverte, elle «attend» la bite. Je jouis en imaginant mon cul qui reste ouvert en permanence. Je suis une chienne. Je peux me faire baiser n’importe quand sans même que l’on ait besoin de me préparer, ma chatte sera ouverte.
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subbiland · 6 years ago
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Le bois
Je veux avoir une chatte ouverte. Comme tout bon vide-couilles. Mon cul est ouvert en deux par le plug de 7 cm mais la douleur devient plaisir à l’idée qu’il transforme mon cul en chatte. Je repense à la main de Thierry et le plaisir que j’avais de la sentir en moi. Mon cul doit s’ouvrir, peu importe la douleur.
Parrain gare la voiture dans une allée. Il y a d’autres voitures. On descend de la voiture. J’ai un peu de mal à marcher. Parrain me dit :
— Pense aux bites que tu vas sucer, au sperme qui va couler dans ta bouche.
Et d’y penser, je bande. Mais ma bite scotchée me fait mal, mais elle pousse le plug en moi, et ça, ça fait du bien.
On avance dans une allée. Il fait de plus en plus sombre. Plusieurs mecs sont sur le bord de l’allée, appuyés contre des arbres. Certains se masturbent. Parrain continue d’avancer, il me dit que l’on va à la clairière. On arrive par un petit chemin dans une éclaircie dans les arbres. Plus loin, il y a visiblement un attroupement.
On va vers le groupe. Il y a deux mecs en train de se faire sucer et beaucoup de mecs autour la queue à la main. Parrain me fait enlever mon blouson et mon teeshirt et me dit de me mettre à genoux devant les mecs qui se branlent.
Je me mets lentement à genoux, le plug me gênant. À peine posé, je suis entouré de mecs qui se branlent. J’ouvre la bouche et immédiatement j’ai une bite dans la bouche. Les autres frottent leur bite sur mes épaules. C’est super agréable. Le premier jouit dans ma bouche. Je prends une autre bite dans la bouche et un mec jouit sur ma joue. Les bites qui se frottent à moi sont humides et je sens des mecs qui jouissent sur ma tête, mes épaules. J’arrête de sucer pour ramasser le sperme qui coule sur ma joue, et suce mes doigts. Le mec qui est devant moi me dit de pencher la tête en arrière et d’ouvrir ma bouche en grand. Et là, les mecs viennent pour se vider dans ma bouche. Certains ratent ma bouche et j’en ai plein le visage et plein les yeux. Ça pique. J’ai la bouche pleine de sperme. Parrain me dit d’avaler et de ramasser tout le sperme qui est sur mon visage. J’avale et avec mes doigts, je ramène le sperme qui est sur mon visage dans ma bouche. Les mecs me traitent de vide-couilles, parrain leur dit que je suis une chienne. Un mec demande si on peut m’enculer. Parrain lui dit que sa chatte est remplie par un énorme gode, mais qu’il me ramènera dans quelques jours, quand ma chatte sera bien ouverte.
Je regarde à côté un mec qui est à quatre pattes, à poil en train de se faire enculer. D’autres lui jouissent sur le dos. Un mec dit à parrain :
— Dis à ta chienne de le nettoyer.
Parrain me dit d’aller lécher le sperme qu’il a sur le dos. J’avance à quatre pattes et commence à lécher le dos du mec. Sensation étrange. L’homme qui l’encule jouit bruyamment dans son cul et se retire. Il me dit :
— La chienne, son cul est plein de foutre, va lui lécher le cul, aspire.
Là, je ne sais pas quoi faire. Sucer un cul, ça ne m’est jamais arrivé. Parrain s’approche de moi et me dit :
— Tu es une vraie chienne. Les chiens se lèchent le cul. Le sien est plein de sperme. Tu adores ça. Remplis ta bouche avec le sperme qu’il a dans le cul.
Je suis un peu dégoûté mais je m’approche de ce cul. Il sent le sperme. Je lèche les fesses, puis l’anus de l’homme. Il pousse visiblement et du sperme coule ; j’aspire. Ça semble ne jamais vouloir s’arrêter. J’entends un homme qui dit :
— Il s’est fait enculer par quinze mecs, elle a de quoi boire la petite chienne.
Le mec vide son cul dans ma bouche. J’en avale une partie, il y en a trop. Je me redresse et montre ma bouche pleine à ras-bord. Parrain me dit de ne pas bouger. Deux mecs viennent jouir dans ma bouche. Il me dit d’avaler puis de finir de lécher le cul. J’avale et me remets à lécher le cul. Ma langue entre dans son cul et l’homme a l’air d’apprécier. Quand j’ai fini, je me redresse. Parrain me dit de me relever. Je me relève. Parrain me dit :
— Tiens, tu vas mieux que tout à l’heure.
Je lui demande pourquoi. Il me dit :
— Tu ne sens plus le plug ?
Et c’est vrai. Je ne sens plus aucune douleur. Mon cul s’est habitué à ce gros plug. C’est donc que mon cul est devenu une chatte. Parrain lit dans mes pensées. Il me dit :
— Oui, ton cul s’est ouvert. Mais il faut laisser le plug encore longtemps, sinon, il va se refermer.
Je lui dis que ça ne me gêne pas, je me sens aussi bien qu’avec le plug plus petit. Parrain me fait remettre mon teeshirt et mon blouson, et l’on repart à la voiture. J’ai du sperme collé sur tout le visage, dans les cheveux. Je sens le sperme. Je me sens bien.
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subbiland · 6 years ago
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Le retour du parrain
Quand je remonte des toilettes du bar après m’être fait défoncé par Thierry et surtout par la bouteille, je tremble de partout. Mais je me sens vide. Mon cul me fait mal, mais il réclame d’être rempli. Mon homme pensait que j’allais rentrer chez moi et fut surpris que je lui demande de repasser chez lui. Encore plus quand je lui expliquai que mon plug était resté chez lui et que je le voulais planté au fond de mon cul. Mon homme m’a demandé pourquoi. Je lui ai expliqué qu'avec le plug, j’avais l’impression d’être rempli en permanence et c’est ce qui me convenait le mieux : "Être rempli du matin au soir". Il m’a dit que, vu ce que je venais de prendre avec la main de Thierry et la bouteille, ce n’était pas raisonnable de forcer.
On est remonté chez mon homme. Il m’a demandé de baisser mon jeans et de me mettre à quatre pattes. Je me suis exécuté. Il a pris mon plug et a commencé à l’enfoncer en moi. Mon cul était douloureux et je me suis remis à bander sous le scotch. Mon homme a joué avec le plug. Il l’enfonçait jusqu’à l’endroit le plus large et ressortait. Je me suis empalé sur mon plug pour qu’il rentre. Mon homme m’a dit que j’étais vraiment une chienne. Je lui ai dit : "Je suis une chienne, ma bouche et mon cul ne sont que des trous à bites".
Il m’a dit que ce n’était plus un cul que j’avais, mais une chatte. N’ayant jamais eu d’expérience à l’époque avec une fille, je lui demandai la différence. Il me répondit qu’une chatte était bien plus large et accueillante qu’un cul. Je lui ai dit que j’étais fier que mon cul soit devenu une chatte accueillante. Il m’a demandé si d’avoir la bite collée au scotch me gênait. Je lui ai dit que non. Curieusement, ça ne me gênait pas. Celui que j’avais était trempé de sperme par contre. Mon homme m’a fait mettre debout. Il a enlevé le scotch qui ne collait plus trop. Il a apporté du Sopalin et la bande de scotch large couleur chair. Il a essuyé ma bite et mon ventre. Puis, il a découpé plusieurs bandes de scotch. Il m’a dit que je devais apprendre à le mettre tout seul. Je me suis allongé par terre et il m’a guidé pour bien tout coller le plus plat possible. Il m’a félicité et m’a dit :
— Maintenant, tu n’es plus qu’un cul et une bouche.
J’ai remonté mon jeans. Mon homme m’a dit de bien garder le plug jusqu’à mercredi. Je lui ai demandé si on ne se revoyait pas avant. Il m’a dit de passer le lundi soir au Cours Dillon.
En arrivant à la maison, surprise ! Je vois la voiture de parrain dans l’allée. Mes parents ne sont pas encore rentrés. Je rentre dans la maison. Parrain est affairé avec une pile de dossiers sur la table du salon. Je lui demande comment ça se fait, qu’il soit déjà revenu. Il m’explique que son collègue a eu un accident. Il a repris ses dossiers et va sûrement passer la semaine à la maison. Puis me regarde droit dans les yeux et me dis à voix basse :
— Et les nuits...
Il me dit qu’il a eu mes parents au téléphone et que ce soir, ils sont partis faire des courses, et que, vu qu’il est là, ils ont décidé d’aller après au ciné tous les deux. Je me mets à genoux devant lui et ouvre sa braguette. Il me demande ce que je fais. Je lui réponds que j’ai envie de sa bite. Il se recule dans le fauteuil et je me mets à le sucer. Je vais le sucer longtemps avant qu’il ne jouisse dans ma bouche. Je me redresse et lui montre ma bouche pleine. Parrain me demande ce que je fais. Je lui dis que je montre toujours avant d’avaler. Il me dit que je suis une vraie chienne. Je lui réponds que j’en suis fier.
Parrain me demande alors depuis combien de temps je suis un vide-couilles et de raconter mes expériences. Je lui raconte le début avec mon homme, les mercredis après-midis, le foyer africain, les clochards, Sultan le chien danois, les toilettes du bar. Parrain a refermé sa braguette mais je vois qu’il bande à mort. Il me demande ce qui a été le plus excitant. Je lui dis que le plus excitant, c’était le groupe de clochards. Après qu’ils aient joui en moi, j’étais vraiment la reine des chiennes, capable de me faire baiser par vraiment n’importe qui. Parrain me dit qu’il a une surprise pour moi, et de le suivre dans sa chambre.
Arrivé dans sa chambre, parrain me demande de me déshabiller. Il est surpris du scotch, me fais mettre les mains contre le mur et cambrer les fesses. Il me dit que dans cette position, on dirait vraiment une fille. Il me dit de ne pas bouger. Il s’approche de moi et retire le plug en tournant doucement. Puis il me dit qu’il me met du gel. C’est froid mais agréable de sentir ses doigts qui entrent et étirent ma rondelle. Puis je sens qu’il remet le plug. Mais ce n’est pas le même, celui-là est visiblement plus gros. Beaucoup plus gros. Parrain me dit que celui-là fait 7cm. Il ressort le plug, me retravaille avec ses doigts, puis repositionne le plug et d’un coup, je sens qu’il est aspiré en moi. Super sensation. Là, je le sens vraiment. Parrain me dit que ma chatte est de mieux en mieux et s’agrandit très vite, ce qui est normal à mon âge d’après lui. Il me dit de marcher. Le plug me fait un peu mal et j’ai peur qu’il tombe. Je le dis à parrain. Il me demande si j’ai du scotch large comme celui qui aplatit ma bite. Je lui dis qu’il est dans mon cartable. Il me dit d’aller le chercher. L’aller-retour dans ma chambre est difficile. Je reviens avec le scotch. Parrain fixe une bande sur le plug entre mes fesses et remonte sur ma bite. Il me dit qu’il ne pourra pas tomber et que d’ici demain matin, je m’y serai habitué. Il me demande de me rhabiller et de descendre. Je me rhabille et descends lentement les escaliers. J’ai l’impression d’être ouvert en deux.
Parrain m’attend en bas, veste sur le dos et ses clefs à la main. Je lui demande où il va. Il me dit que c’est l’heure d’amener la chienne au bois. Je le suis et monte dans la voiture. Le trajet est un calvaire. Mon cul est ouvert en deux et ça fait plutôt mal. L’autre plug faisait 5cm, celui-là 7, visiblement, deux centimètres, ça ne parait rien, mais c’est énorme.
On sort de Toulouse. Je demande à parrain où l’on va. Il me dit que l’on va à la forêt de Bouconne, juste après Pibrac. Je lui demande ce qu’il y a. il me dit que le soir, il y a pas mal de mecs qui cherchent à se faire sucer. Vu que mon cul est occupé, je vais lui montrer mes talents de suceuse. Je lui dis que j’adore sucer mais le plug me fait mal. Il me dit qu’il faut souffrir pour être beau et que demain matin, j’aurai oublié et qu’avec ce plug, mon cul restera définitivement ouvert en permanence. Ce ne sera plus un cul mais une vraie chatte, bien souple, toujours ouverte, et toujours disponible.
L’idée que mon cul devienne une chatte toujours ouverte m’excite et je me mets à bander. Vu que ma bite et le plug sont collés ensembles, en bandant, ça pousse sur le plug. Ma bite réagit à mon cul et je ressens moins la douleur. De part l’excitation, elle est supportable. Je veux avoir une chatte ouverte. Comme tout bon vide-couilles...
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subbiland · 6 years ago
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La surprise
Je ne voyais pas quelle surprise je pouvais avoir. Surtout un soir. Le mercredi après-midi, on avait du temps. Et après le foyer africain et les clochards, le parfait vide-couilles que je suis ne voyait pas ce qui pouvait arriver. Une chose est certaine : j’adore la sodomie et le sperme. Le plug planté en permanence dans mes entrailles me tient en semi-érection continuelle. En allant pisser au lycée, il faut que je sois seul. Si un mec, même un copain, se met à côté de moi et que je vois sa bite, je serais capable de le sucer devant les pissotières. À la simple vision d’une bite, je bande, j’ai envie de la sentir dans ma bouche et je mouille du cul. Je ne savais pas que c’était possible.
Vendredi soir, je me dirige vers chez mon homme. Arrivé dans l’escalier, deux hommes assez vieux discutent en arabe et bloquent le passage. Je leur demande pardon. Ils me regardent et l’un des deux me demande : «C’est toi la chienne ?» Je lui réponds oui. Il me dit : «Si tu veux passer, tu sais ce que tu dois faire... » et se remet à parler en arabe à l’autre homme. Je m’assois dans l’escalier, entre les deux hommes, à hauteur de sa braguette. Je défais la fermeture-éclair. Il continue de discuter comme si de rien n’était. Je sors sa bite plutôt molle et commence à le sucer. Il continue à parler avec l’autre homme mais je sens sa bite qui devient plus dure. Il jouit que quelques gouttes et me repousse. Je vais pour me relever et il me dit : «Et mon copain ?» Je me retourne vers l’autre, lui ouvre sa braguette et sort une bite bien dure qui se révèle être un vrai régal, mais il jouit très vite. Il me tient la tête plaquée jusqu’à ce qu’il débande puis me laisse passer.
Je peux enfin monter chez mon homme. Comme d’habitude, je me déshabille dans le couloir et enlève mon plug que je laisse avec mon jeans. Dans le salon, il y a mon homme, Thierry et un autre homme avec un gros chien couché à ses pieds. Mon homme me demande comment est mon cul. Je lui réponds que ma chatte est ouverte et n’attend que leurs bites. Mon homme me demande si je me suis déjà fait sodomiser par un danois. Je lui réponds : «Je peux sucer et me faire enculer par n’importe qui, n’importe où, n’importe quand, comme une chienne.» Mon homme me dit : «C’est bien car le danois, c’est le chien que tu vois là-bas...» Ça pour une surprise… je n’avais jamais imaginé me faire enculer par un chien. Mais il y a une semaine, je n’aurais jamais imaginé me faire enculer par une douzaine d’africains à la file, ni par huit clochards. Je suis une chienne. Je me le répète dans ma tête du matin au soir. Une chienne qui se fait sauter par un chien, c’est normal non ?
Thierry me demande de me mettre à quatre pattes. Je m’exécute. Il me graisse le cul avec de la margarine et me félicite pour la souplesse de ma chatte. Il m’encule ensuite très lentement. Un pur moment de bonheur que de sentir cette longue et épaisse bite noire entrer en moi. Il m’encule bien à fond, lentement. Puis je sens qu’il entre ses doigts en même temps que sa bite. Un doigt, puis deux, il m’étire le cul et je sens que je vais jouir. Il sort de mon cul, vient devant moi, se branle furieusement et jouit dans ma bouche. Je reste bouche ouverte.
L’homme au chien se lève, vient derrière moi et m’encule. Sa bite est courte mais large. C’est agréable d’avoir la bouche pleine et une bite dans le cul. Il jouit dans mon cul et s’essuie sur ma raie, et dit : «Sultan, c’est à toi. Ta chienne t’attend !» Je regarde mon homme qui me dit d’avaler et qui me dit qu’une chienne fait plaisir à un chien en le suçant. Sultan s’approche de moi et me renifle les fesses puis il se met à côté de moi, toujours la truffe sur mes fesses. Je vois un bout rose qui apparaît dans les poils. Sa bite ne m’apparaît pas très impressionnante, loin de là. Je tends la bouche pour arriver à la sucer. Goût bizarre mais la bite continue à grandir et à grossir. Il en coule en permanence un liquide salé pas mauvais. Le petit bout rose est devenu une belle tige. L’homme prend le chien par le collier et le positionne derrière moi. Rapidement, ce dernier cherche mon cul... et le trouve ! Il m’encule comme jamais personne ne m’a enculé. La vitesse est impressionnante, et à chaque coup, j’ai l’impression que sa bite grandit un peu plus. Puis je sens qu’il jouit en moi, qu’il s’enfonce tant qu’il peut et qu’un truc gros entre en moi, comme mon plug, mais en plus gros. Le maître du chien dit à mon homme : «Il lui à mis la boule, on en a pour un bon quart d’heure !» Je regarde mon homme qui me dit : «Quand un chien a joui, afin que le sperme aille bien féconder la femelle, il a à la base du sexe une boule qui va gonfler et empêcher que le sexe ne ressorte avant un petit moment, pour être sûr de la fécondation. Tu es une chienne en train de te faire féconder.» Sensation étrange que d’être bloqué avec une belle bite dans le cul. Je ne sais pas comment le chien a fait, mais il s’est retourné, sa bite toujours ancrée en moi. Mon homme vient devant moi et se met à genoux en me disant : «Ta bouche est vide !» Je sors sa bite et la suce avec un grand plaisir, le cul déchiré par un danois.
Lorsque le chien se retire, je sens un immense vide. Thierry a récupéré mon plug mais il ne tient pas en place, mon cul est trop ouvert et trop trempé. Thierry le maintient jusqu’à ce qu’il tienne en place puis vient devant moi, sort sa bite et me baise la bouche comme il me baiserait le cul. Il jouit très vite et s’essuie sur mes joues et dans mes cheveux. Il me lève la tête, me regarde dans les yeux et me dit que mercredi prochain, c’est tout le foyer qui viendra me baiser. Je lui dis qu’il me tarde d’être mercredi. Il me dit que les surprises ne sont pas finies.
Mon homme revient avec une bombe de mousse à raser, un rasoir et des serviettes. Ils ont décidé de me raser complètement. L’idée leur est venue quand les clochards pensaient que j’étais une fille. Se faire raser le cul et le sexe est une sensation agréable. Une fois terminé, Thierry se met à me branler et me dit qu’il faut que je bande au maximum. Je repense à ce qui vient de se passer avec le chien et je bande à mort. Thierry sort un rouleau de scotch tissu qui sert d’habitude pour les bandages sauf qu’il est très large et couleur chair. Il en découpe une longue bande. Puis il remonte mes couilles et mon sexe et colle la bande afin d’aplatir mes couilles et mon sexe contre mon ventre. Selon mon homme et le maître du chien, plus rien ne dépasse et en levrette, on dirait une fille.
Mon homme me demande de mettre mon jeans et mon teeshirt. Il rebaisse mon jeans et enlève le plug. Je sens que mon cul va être rapidement trempé. On sort de l’appartement. L’homme au chien dit qu’il reviendra. Je fais une tape sur la tête de Sultan qui est énorme comme chien.
Mon homme et Thierry m’amènent dans un bar à l’angle de la rue. Thierry me dit de descendre aux toilettes qui sont en sous-sol, de baisser mon jeans et de m’appuyer contre le lavabo. Je descends aux toilettes. Ça pue et le sol est trempé. J’enlève mon jeans et le pose au-dessus de la porte. Puis je me positionne jambes écartées, cul vers la porte. Il n’y a qu’une ampoule qui éclaire à peine la salle.
J’entends des pas dans l’escalier. Je reconnais la voix de Thierry. Il dit : «Tu vois, cette fille, c’est un trou à bites. Si elle est pas remplie toutes les cinq minutes, elle fait la gueule !» L’homme qui répond à Thierry a l’air d’avoir pas mal picolé. Il s’approche de moi, caresse mon cul, se penche pour me parler à l’oreille, il pue le vin. Il se relève, ouvre son fut, m’encule en disant à Thierry que j’ai une chatte super. Il me ramone un long moment. Un autre mec vient de descendre l’escalier. Il demande s’il peut aussi. Thierry lui dit qu’il n’y a pas de problème. Le premier a à peine fini de jouir que le second investit mon cul et jouit plus rapidement.
Thierry vient derrière moi et me dit que c’est concluant, ils n’ont pas vu que je n’étais pas une fille. Il me dit que mercredi au foyer, mon cul va sentir passer au moins cinquante bites. Thierry me demande ce que j’en pense. Je lui réponds que j’aimerais être mercredi. Thierry approche sa main de mon cul et je pousse pour que ses doigts entrent en moi. Avec la quantité de sperme que j’ai à l’intérieur, il a très vite mis quatre doigts. Mon homme arrive et demande à Thierry ce qu’il compte faire. Thierry lui dit qu’il a envie de se branler dans mon cul, qu’il va y entrer sa main puis sa bite. Mon homme me demande ce que j’en pense. Je lui réponds que je serais fier d’y arriver. Thierry vient de mettre son pouce et tourne lentement ses doigts en moi. Je sens que ma bite va exploser le scotch qui la retient. Puis je sens que mon cul s’élargit et je sens la main de Thierry qui est absorbée dans mon cul. Thierry se rapproche de moi et je sens sa bite dure comme le roc qui force le passage. Je suis écartelé mais ça entre. Je suis ouvert en deux. Je sens la main de Thierry qui bouge. Il se branle dans mon cul. J’ai l’impression d’être sodomisé par une bite énorme. C’est hallucinant comme sensation. Thierry jouit, le scotch qui retient ma bite collé est trempé depuis bien longtemps.
Thierry sort sa bite. C’est moins gros, mais je suis toujours dilaté par sa main. Il la retire doucement, mon cul s’ouvre, je le sens, et l’enfonce à nouveau. Je gémis et je jouis. Thierry va continuer pendant un bon moment à me faire jouir avec sa main. Quand sa main sort de mon cul, je ne le sens pas. Je ne ressens plus rien. Selon Thierry et mon homme, mon cul est une chatte béante. Je n’ai pas envie que ça s’arrête, c’est trop bon. Je supplie mon homme de me défoncer. Thierry ramasse une bouteille vide, me la montre en disant : "C’est du cinq étoiles, mais tu vas en voir plus que 5 !"
Il essuie sa main sur la bouteille qu’il tient par le goulot et il essaye de me l’enfoncer par le fond. C’est encore plus gros que sa main et sa bite mais je sens que ça entre. Je me sens défoncé, déchiré, mais c’est bon. Et ça entre. Je tremble de partout. Mon homme vient à côté de moi et me dit : «Tu me suces. Dès que je jouis, on retire la bouteille. À toi de voir si ça doit durer longtemps.» Je prends sa bite dans ma bouche. Le fait de le sucer me fait oublier la douleur de mon cul. J’ai envie que mon cul reste ouvert avec la bouteille et en même temps ça fait mal et je veux que ça s’arrête. Alors je me concentre sur la bite de mon homme. Sur toutes les bites que j’ai été capable de vider depuis, sur le mercredi qui vient et les bites africaines qui vont me remplir, sur le parfait vide-couilles que je suis, capable de se laisser enculer par des clochards ou par un chien et qui y prend un immense plaisir en plus.
Je ne ressens plus la bouteille enfoncée dans mon cul. Mon homme jouit dans ma bouche, presque trop vite. La bouteille sort de mon cul, et je me sens comme après ma première sodomie : vide.
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