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shanaspost-blog · 4 years
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SÉANCE # 13 – BREF, PLUS COMPLEXE QUE L’ON PENSE
Ah, les fameux réseaux sociaux! Ces plateformes à usages tellement multiples qu’un cours universitaire consacré à celles-ci est nécessaire à l’obtention d’un diplôme en communication publique. Après 13 semaines de Zoom à suivre le cours Médias numériques et société, plusieurs aspects ressortent des sujets abordés. Ce que je retiens particulièrement de ce cours est la complexité cachée des médias sociaux. Bien que je fasse partie d’une génération où les médias numériques font partie de mon quotidien depuis mon jeune âge, plusieurs aspects m’échappaient.
Par exemple, je ne me rendais pas compte de l’impact des réseaux sociaux sur la démocratie de notre société. Plusieurs nouveaux termes ressortent de cette douzième séance comme cyberoptimisme, cyberréalisme et e-démocratie. Je suis dorénavant plus en mesure de comprendre les enjeux liés à une démocratie glissant vers le numérique. Cela me permet également de faire des liens avec mon autre cours, Introduction aux relations publiques, qui aborde la question éthique du mélange démocratie et relations publiques (Yates, chapitre 4). Je vois maintenant ces deux cours comme étant complémentaires à propos de l’influence des communications sur la démocratie.
J’ai également été marquée par la septième séance portant sur l’identité dans un monde d’avatars. Je trouve que ce cours rejoignait un enjeu social important du moment. En effet, il était question de l’identité numérique et de ce que l’on projette sur le web. Ce sujet est particulièrement d’actualité avec la montée de popularité des influenceurs et des nouvelles générations qui se préoccupent beaucoup de ce qu’elles projettent sur les réseaux sociaux. Nous avons d’ailleurs vu qu’une partie de notre identité numérique est une performance de soi, donc qu’elle est volontaire, alors qu’une autre partie provient de développements involontaires créés par les données captées automatiquement. Nous sommes alors qu’à moitié conscients de notre identité numérique et ne sommes pas entièrement en contrôle de celle-ci. Lors de cette séance, nous avons également aborder le sujet de la e-réputation qui, comme l’identité numérique, ne provient pas uniquement de notre vouloir. Je retiens de ce cours qu’il est important de faire attention à ce que l’on fait sur Internet.
Bref, le cours Médias numériques et société m’a permis d’augmenter mes connaissances sur les médias numériques et sociaux qui seront sans aucun doute des outils indispensables à ma future carrière.
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Yates, S. (2018). Introduction aux relations publiques. Presses de l’Université du Québec.
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shanaspost-blog · 4 years
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SÉANCE #12 – HACKEUR + ACTIVISTE = HACKTIVISTE
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Ah! Les fameux réseaux sociaux, ces plateformes qui permettent de publier toutes sortes de choses. En effet, il est possible de partager des pensées réconfortantes et encourageantes comme il est possible de répandre des idéaux douteux.
En ce sens, certains utilisent les réseaux sociaux afin de faire passer leurs messages revendicateurs. Depuis quelques années, on remarque certaines actions politiques sur le web provenant des hacktivistes. Selon le dictionnaire Larousse, l’hacktivisme serait une « pratique subversive qui consiste à s'introduire frauduleusement dans un système ou un réseau informatique pour le détourner, dans le cadre d'une lutte militante à dimension politique, religieuse ou sociale » (Larousse). La doctorante Ann-Sophie Letellier précise qu’ils sont « des militants qui transfèrent leurs actions politiques sur le web […] Ils se perçoivent comme des Robin des Bois qui veulent défendre l'intérêt public, le bien commun, la justice et la liberté d'expression » (Ducharne, 2015). Comme ceux qui posent ses gestes se veulent défenseurs d’un bien commun, la ligne est parfois mince entre criminels et justiciers. C’est d’ailleurs un débat qui entoure un groupe d’hacktivistes du nom d’Anonymous. Bien que ces derniers aient attaqué des multinationales et des gouvernements, certains défendent qu’ils ne sont pas des criminels : « ils ont pour objectif de défendre la liberté d'expression et d'informer la population sur ce qui, normalement, lui serait caché » (Viau, 2012).
Avec l’idée de « hacking » vient souvent la pensée que les hacktivistes sont callés en informatique et qu’ils connaissent tous les racoins d’Internet. Cependant, cela est plus accessible qu’on pourrait le penser : « pour faire une attaque par déni de services, il suffit de télécharger un logiciel et de suivre les instructions. C'est tellement simple que ma mère pourrait le faire » (Ducharne, 2015)
Bref, le concept d’hacktivisme laisse flotter un doute quant à l’acceptabilité des actions posées, ces dernières se voulant apparemment pour le bien de tous.
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shanaspost-blog · 4 years
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SÉANCE #11 – MÉDIAS TRADITIONNELS VS MÉDIAS SOCIAUX
Ah! Les fameux réseaux sociaux, ces plateformes souvent incomprises par les habitués des médias traditionnels. Je crois que je peux dire sans trop me tromper que les gens sont généralement séparés en deux. Il y a ceux qui collent aux anciens médias et qui aiment lire les journaux papier ainsi que ceux qui n’ont aucune idée de ce que c’est un VHS et qui font le tour de leurs applications médiatiques au moins trois fois par jour.
J’exagère peut-être un peu, mais l’écart entre les médias traditionnels et les médias sociaux est tout de même réel. En effet, l’arrivée des différentes plateformes de réseautage et de partage d’information comme Facebook et Instagram a creusé un trou dans la popularité des médias traditionnels. Ces derniers n’ont pas d’autre choix que d’essayer de se moderniser afin de suivre les nouvelles tendances. Par exemple : « Plusieurs journaux d'importance ont abandonné la version papier et ont décidé de distribuer tout leur contenu en ligne » (Horchani, 2010, p.61) Le domaine journalier n’est pas le seul à effectuer des changements. En effet, « Les câblodistributeurs offrent de plus en plus de contenus médiatiques à leur clientèle autres que ceux offerts sur le réseau de stations de télévision. De plus, les câblodistributeurs offrent de nouveaux contenus médiatiques sur leur portail Internet. » (Horchani, 2010, p.65)
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Il est donc important pour les médias traditionnels de se renouveler afin de pas se faire engloutir par la popularité grandissante des nouveaux médias sociaux.
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shanaspost-blog · 4 years
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SÉANCE #8 – VIE PRIVÉE, OÙ ES-TU?
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Ah, les fameux réseaux sociaux! Ces plateformes qui jouent avec les limites du privé et du public. La notion de vie privée étant en plus « perçue de manière différente d’une génération à l’autre » (Goulet, M., 2014, p.12).
Il est difficile de garder sa vie privée réellement privée quand nous sommes inscrits sur des réseaux sociaux. En effet, dès notre inscription, une foule d’informations est divulguée. Ensuite, plus on utilise les applications, plus elles recueillent des informations sur notre environnement et nous-même. Parfois, c’est avec un désir de transparence que l’on accepte de dévoiler au grand jour une information, comme permettre à nos amis de voir notre emplacement sur carte de Snapchat. Cependant, nous n’avons pas toujours notre mot à dire sur ce qui est recueilli sur nous. Prenons les publicités comme exemple. Les publicités qui nous sont proposées dans notre fil d’actualité Instagram sont soigneusement choisies selon nos « clics », sans que nous souhaitions que ça soit fait.
En ce sens, Facebook semble un maitre en ce qui concerne la cueillette d’informations privées. Ce n’est pas nouveau de se questionner sur la façon dont ce géant du web gère ce qui est transmis via sa plateforme. Déjà en 2009, Le Soleil publiait un article concernant une violation de la Loi canadienne sur la protection des renseignements personnels (Le Soleil, 2009). Cette dernière a comme objectif de:
compléter la législation canadienne en matière de protection des renseignements personnels relevant des institutions fédérales et de droit d’accès des individus aux renseignements personnels qui les concernent (Gouvernement du Canada).
 Encore aujourd’hui, Facebook reste un sujet controversé. En février dernier, le commissaire Daniel Therrien demandait que des mesures plus efficaces soient mises en place pour s’assurer du consentement des utilisateurs (Le Journal de Montréal, 2020).
Sur ce, je vous invite à aller vérifier vos paramètres de confidentialité et à faire attention à votre vie privée.
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shanaspost-blog · 4 years
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SÉANCE #7 – IDENTITÉ NO. 2
Ah, les fameux réseaux sociaux! Il est déjà bien assez difficile de savoir qui l’on est, nous devons maintenant aussi nous questionner sur qui nous sommes sur les réseaux sociaux. Et même, de façon plus poussée, à savoir si ces deux identités concordent.
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D’abord, les questions concernant l’identité numérique sont légitimes. Puisque nous choisissons ce que nous exposons et ce que nous cachons, cela ne révèle pas entièrement qui nous sommes. D’un autre côté, comme le contenu publié provient de nous-même, il révèle donc inévitablement une part de nous. Voyez-vous la nuance? Je crois que la correspondance entre l’identité réelle et l’identité numérique varie d’une personne à l’autre. Certains sont très transparents et authentiques, alors que d’autres se cachent derrière de faux contenus et des photos montées de toutes pièces. Quoi qu’il en soit, « nos identités forment des couches successives de notre personnalité qui se superposent » (Raffin, O., 2011, p.95).
L’identité numérique prend toutefois de plus en plus d’ampleur. En effet, « les plateformes d’auto-publications centrées sur les usages et pratiques se sont multipliées en quelques années et sont au fondement d’une véritable communauté très active » (Renard, D., 2014, par.14). D’ailleurs, il existe maintenant des métiers qui se basent sur les réseaux sociaux. Le terme le plus commun pour désigner ces travailleurs web est celui d’influenceur. Ces derniers construisent une image d’eux-mêmes qu’ils projettent via leurs plateformes. Celle-ci est très importante puisqu’elle leur assure un revenu. Les influenceurs sont donc très pointilleux sur leur contenu, leur identité numérique prenant beaucoup de place dans leur vie. Dans leurs cas, leurs deux identités sont très sensibles l’une à l’autre. Elles sont liées et peuvent avoir des retombées l’une sur l’autre.
Pour donner suite à ces réflexions, il peut être très intéressant de se questionner sur ses propres identités et ainsi trouver leurs concordances et leurs divergences. Vos identités sont-elles authentiques ou vous laissez-vous tentez par le jeu de la double identité?
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shanaspost-blog · 4 years
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SÉANCE #6 - GO LES RÉSEAUX SOCIAUX, GO!
Ah! Les fameux réseaux sociaux, ces nouveaux moyens de communication qui sont tant controversés. Grand-maman les déteste alors que les petits-enfants ne peuvent s’en passer. En bout de ligne, sont-ils bénéfiques ou néfastes? En tant que jeune étudiante de la génération Y, ma perception tangue plutôt du côté positif des réseaux sociaux. En effet, je crois qu’ils sont très utiles pour plusieurs raisons.
D’abord, ils nous permettent de rester en contact avec nos proches même s’ils sont loin physiquement. Certains groupes d’amis et familles sont dispersés géographiquement. Les réseaux sociaux leur permettent alors de prendre des nouvelles à l’année longue sans devoir se déplacer. Ce point est particulièrement apprécié en ce moment avec la pandémie dû au Coronavirus. Alors que chacun est confiné chez soi, les nouvelles technologies nous permettent de garder notre besoin social comblé, ou du moins de l’assouvir autant que possible à travers les circonstances. Bien que le lien physique ne soit pas présent, il y a toujours la possibilité de s’envoyer des photos, de se voir par vidéoconférence et de s’appeler. Cela permet alors de maintenir un lien avec nos proches. Un point pour les réseaux sociaux!
Ensuite, certains soutiennent que les communautés créées via internet ne sont pas véritables. Je ne suis pas d’accord. Selon le Larousse, une communauté est un « ensemble de personnes unies par des liens d'intérêts, des habitudes communes, des opinions ou des caractères communs ». (Larousse) En relations publiques, une communauté est décrite comme étant un groupe d’intérêt « s’organisant autour d’un enjeu qui les touche ou d’un intérêt commun » et qui « se [définit] de l’intérieur, “comme un nous ” ». (Millette, J., 2020) Je crois donc que toute communauté présente sur le web qui regroupe des personnes partageant des intérêts ou des buts communs est une communauté à part entière. Ces dernières peuvent d’ailleurs être très pratiques. Par exemple, certains groupes Facebook rassemblent des mamans qui se partagent des conseils. Ces pages respectent alors les critères d’une communauté en plus d’être très utiles. Elles reprennent une communauté déjà existante que sont les mamans et les met en contact afin qu’elles puissent échanger. De ce fait, elles ont accès à différentes ressources beaucoup facilement et rapidement. Un autre point pour les médias sociaux!
Bref, serions-nous capables de combler aussi bien nos besoins sociaux à travers les différents contextes de notre société actuelle sans les réseaux sociaux?
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