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Auto-mutilation, anorexie, hypersensibilité, tocs, dépression : « je contrôle » « c’est la maladie qui vous contrôle » pardon ?
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J’aime le café.
Il déteste le café.
Il me fait mon café.
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J’ai envie de t’écrire des choses mais je me retiens. Je ne sais pas comment je dois me comporter. Sache juste une chose c’est que je t’aime. Je t’aime plus que tout et c’est dur de porter tout cet amour. Et je t’aime toujours autant. J’aimerai qu’on se sente mieux, que tu ailles mieux, que j’aille mieux, que t’avances et que j’avance. J’aimerai reprendre ma vie, me sentir en vie, , belle solaire et complète et plus surtout ne plus être triste mais ensemble on y arrive plus et paradoxalement je sais très bien que je ne peux pas être tout ça sans toi. Tu sais tout ça comme nous l’étions avant, avant cette cassure, avant cette noyade où nous n’arrivons malheureusement pas à remonter à la surface ensemble malgré que sans nos mains qui se tiennent ne pouvons pas remonter et liés nous n’y arrivons pas non plus. Dès que je pense à toi mon cœur se serre si fort car je voudrais juste venir te chercher et que l’on parte dans un monde qui pourrait porter notre amour et ne pas le détruire. C’est tellement dur de renoncer à la personne que j’admire et que j’aime le plus sur cette terre qui me fait autant de mal que de bien. Je suis tiraillée par tout ça c’est tellement dur comme sensation. J’ai l’impression que nous sommes tous les deux en exil l’un de l’autre depuis des mois inlassablement sans jamais réussir à se rattraper malgré cette course effrénée pour essayer essayer essayer… Dans un désert émotionnel, dans cet endroit en nous où il y que nous face à nous-mêmes mais étrangement je suis pas moi-même quand tu n’es pas là alors que je n’arrive plus à l’être également quand tu es là. Et que l’on doit éteindre la lumière qui nous guidait jusqu’à présent. C’est tellement effrayant l’obscurité. Mais faut-il vraiment vraiment l’éteindre, parce que je ne sais pas si on arrivera à la rallumer et l’éteindre définitivement c’est m’éloigner de toi à jamais et c’est insupportable à imaginer. Mais pouvons-nous encore faire du sur place ? Pardon tout ça est écrit sans m’être relue alors que je voudrais t’écrire de grandes choses qui s’imprimeraient dans ton cœur. Et si tu as peur, et si tu ne sais pas, si tu ne sais plus : sens ma lettre j’y ai laissé mon odeur pour que tu saches que je ne serais jamais bien loin de toi.. à jamais.
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J’avais jamais ressenti ça. C’était qu’avec toi. Même quand on se brossait les dents ensemble.
Cette alchimie sexuelle, corporelle, nos rires et sourires connectés.
Tes sons qui m’exaspéraient mais qu’au fond j’adorais parce que c’était toi.
Comme ci on s’était toujours connu dès le premier instant où je me suis assise dans cette voiture à côté de toi, cette première rencontre qui a duré 6h, on s’est plus lâché les semaines suivantes, des expressions, un bowling, notre repère, des musiques : les nôtres, cette voiture (le repère) et ce week-end à Barcelone.
J’aurai aimé que ça ne s’arrête jamais. Ce feeling, cette complicité. Tes manies, tes collations, ton sport.
Ça me manque tu sais.
Quand tu te confiais. Quant on riait, quand tu m’appelais juste comme ça.
Je faisais partie de ta vie et on s’est lâché, tu m’as lâché je ne voulais pas mais ça s’est fait.
Tes snaps de toi que je ne recev(r)ais plus. Ta vie que je ne connaîtrais plus.
J’aimerai venir encore te déposer et te chercher à ton boulot.
Tes attentions.
Ce croissant aux amandes quand je suis venue te récupérer à ton boulot.
Quand j’avais été te chercher du gel douche à Barcelone et que tu avais cru que j’avais disparu.
Tu nesupportais pas que je sois en retard.
On l’a toujours dit.
Quand tu me recouvrais, quand j’avais froid. Quand tu me recouvrais, quand je dormais encore quand tu partais au travail.
La pâte crêpe et les pâtes carbo.
Quand on était chez tes parents.
Notre obsession pour la propreté et le parfum. Tu me mettais toujours de ton parfum avant partir.
Mes habitudes de replier tes vêtements.
Le plaid que t’avais pris pour la voiture, le notre.
Notre obsession pour calvin Klein.
Mon obsession pour toi.
Tu l’as eu pour moi mais ça a disparu.
On a jamais eu ça avec personne tu l’a dit et j’espère que c’était vrai.
Je veux rien oublier, je veux pas que tu m’oublies et j’espère que ça te manque un peu parfois. B****** (prénom censuré).
Deux saint Valentin ensemble inconsciemment.
Ta voix. Nos fous rires.
Nos câlins avant de dormir : tu me prenais toujours dans tes bras pour que je m’y endorme et au réveil aussi.
Tes caresses dans mes cheveux, je ralais alors que j’aurai jamais voulu que ça ne s’arrête
...et maintenant t’es dans les bras d’une autre et tu donnes tout ça à une autre.
Nos musiques, sur toutes seules où nos corps ne faisaient qu’un..
(texte personnel)
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Tout le monde dort dans le métro, je suis bien trop dynamique par rapport à cette société de larves dit-elle, alors qu’il y a de ce la deux minutes elle désirait se glisser sous sa couette.
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- Ta compagnie m’a manqué cela dit.
- Je suis bien ennuyeuse pourtant.
- Je ne trouve pas.
- Je dois sous estimer mes capacités de divertissements alors.
- Surement, oui.
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Tu me plais et j'aimerai bien qu'on essaie quelque chose.
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pale grunge na We Heart It - http://weheartit.com/entry/164981318
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tattoo | via Tumblr auf We Heart It - http://weheartit.com/entry/163829038
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The coolest tatoos … #chce #tak #strasznie #wiolka #prosze #noo #tatuaż #please #polishgirl 👊👊👊
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