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Dans la sonate de Schubert, on est en haut, au paradis, puis on ne cesse de descendre les marches, inexorablement, jusqu'à ce que la musique s'éteigne dans le silence. Je n'ai jamais osé, mais il faudrait faire durer ce silence vingt secondes, ce qui est déjà énorme. Sviatoslav Richter, avant de commencer la Sonate de Liszt, dont le début émerge d'un silence sépulcral et mystérieux, comptait jusqu'à trente avant de jouer pour provoquer une attente des auditeurs, un étonnement ou une exaspération, puis une inquiétude, une tension. Je défie quiconque d'en faire autant. J'ai essayé, mais je n'y arrive pas: au bout de vingt, je n'en peux plus.
Philippe Cassard, Deux temps trois mouvements Puisque, quelque part, c'est ici que tout commença. Fin du festival - fin du blog - dont il ne faut oublier que la fin est dans le commencement (Beckett, 1957) - et réciproquement. Abel Davoine
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Kammerorchester Basel, 7 septembre
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Yaron Herman, Simon Tailleu, Ziv Ravitz
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"Yes, it’s early, late or middle Friday evening in the universe. Oh, the sounds of time are pouring through the window and the key. All the ideardian windows and bedarvled bevarvled mad bedraggled robes that rolled in the cave of Amontilado and all the sherried heroes lost and caved up, and Transylvanian heroes mixing themselves up with glazer vup and the hydrogen bomb of hope." Jack Kerouac narrant un film de Robert Frank, Pull My Daisy
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Parenthèse. Et puisque, d’une manière ou d’une autre, plus ou moins directement, plus ou moins explicitement, phonétiquement, poétiquement - rythmiquement -, il fut ce jour-là question de la Beat. L’occasion de dire. Ces images, c’est évidemment un geste frankien.
Robert Frank ...
"Mais, si tu n’as plus le désir, pourquoi faire une autre photo, un autre film? Quand cette question arrive, c’est mauvais signe, les corbeaux vont te manger." Robert Frank
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Sebastien Ammann, Soraya Berent.
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Vendredi 6 septembre.
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