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Alexandra Reix-Le May
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Étudiante | Communication publique | Université Laval 
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reixkrispies-blog · 6 years ago
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#Réaction au blog de Camille Deniger 
Suite au billet d’une de mes collègues sur la sociabilité et la vie « en ligne », je me suis questionné sur les avantages des rencontres amoureuses en ligne. Ma collègue soutien que les sites de rencontre comme Tinder, Bumble, GRindr et OkCupid, pour ne nommer que ceux-là, facilité les rencontres, les diversifie, mais également les rendent plus superficiels et désensibilise les utilisateurs aux rencontres dans la vie « réelle ». Elle met en garde que ces nouvelles façons de rencontrer et d’aborder quelqu’un classifient notre génération comme superficielle et émotionnellement constipée.
D’un autre côté, plusieurs avantages se dégagent des rencontres faites en ligne. Pour ce faire, Le Quotidien prouve que 20 % des Canadiens actuellement engagés de 35 ans et moins avaient trouvé l’amour en ligne (2013. En ligne, 6e par. sous Enquête social générale : Identité sociale, 2013). Comme le prouvent ces Canadiens, la vie virtuelle déteint sur la vie réelle pour, finalement, avoir une fin heureuse. De plus, selon Ortega, chargé de cours en économie à l’université d’Essex, les médias numériques permettent aux utilisateurs de surmonter les « difficultés à rencontrer des gens dans la vie réelle, en raison de leur âge, de leur orientation ou de leur disposition » (cité dans Burns, 2017. En ligne, 15e par.). De cette façon, avec un texte vigoureusement rédigé et un profil soigné les utilisateurs les plus timides peuvent faire une bonne première impression. D’ailleurs, les plateformes numériques permettent une certaine sécurité. Au sens où, avant une première rencontre, les comptes Facebook, Instagram, Twitter de l’inconnu peuvent être examinés et étudiés afin de se faire une « idée » de ses passions, de ses passe-temps et de sa personne. Bien sûr, les endroits publics sont fortement conseillés pour une premier rendez-vous avec une personne rencontrer en ligne pour éviter les mauvaises surprises.  
Bref, l’amour ne se trouve pas forcément au coin de la rue. Avec les plateformes de rencontre virtuelle, l’amour n’a plus de frontière et toutes les façons sont bonnes pour rencontrer l’amour de sa vie, il suffit d’un peu de vigilance quand même. Après tout, la séduction au temps de l’ancienne bourgeoisie se faisait dans l’attente d’une réponse à une lettre d’amour écrite, nous avons seulement adapté notre façon de séduire à notre époque, par des messages instantanés.  
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Source : Kim Smith
Bibliographie
Le Quotidien. 2013. Enquête sociale générale : Identité sociale 2013. Le Quotidien. En ligne. URL : https://www150.statcan.gc.ca/n1/daily-quotidien/141223/dq141223b-fra.htm. Consulté le 27 novembre 2018.
Burns, Janet. 2017. Il est maintenant prouvé que les rencontres en ligne causent des mariages plus forts et plus diversifiés. Forbes. En ligne, ULR : https://www.forbes.com/sites/janetwburns/2017/10/25/theres-now-evidence-that-online-dating-causes-stronger-more-diverse-relationships/#7320bd0158bd. Consulté le 28 novembre 2018.
SÉANCE #05 : Sociabilité et vie « en ligne » – Âmes sœurs et « swipe » à droite
Tinder, Bumble, Grindr, OKCupid… Si l’envie de trouver l’amour vous prend en 2018, les options sont infinies, mais surtout très numériques. Bien que très pratiques et rapides d’utilisation, ces applications ont radicalement transformé la façon de faire de nouvelles rencontres et influencent peut-être un peu trop nos relations.
En un clic et caché derrière le bouclier du numérique, il est possible d’en apprendre beaucoup sur son prochain prospect amoureux avant même de l’avoir abordé. Sur ce plan, les rencontres amoureuses sont beaucoup plus faciles qu’à l’époque de nos parents. De plus, une étude menée par la firme de sondages Léger a montré que plus d’une personne sur deux parmi les moins de 55 ans avait déjà utilisé des plateformes de rencontres. (Blais, Le Journal de Montréal, 2016 : En ligne, 6e par.) Cette grande diversité de candidats est d’abord ce qui charme dans les applications de rencontres. Puis, peu à peu, cet aspect devient dérangeant et cette chasse au partenaire parfait devient artificielle et difficile, s’apparentant davantage à une séance de magasinage en ligne qu’à la recherche d’une potentielle tendre moitié. Selon Steeve Fortin, les applications de ce genre encourageraient les gens à « se consomme[r] brièvement les uns les autres dans des relations jetables imperméables à tout sentiment. » (Le Quotidien, 2018 : En ligne, 12e par.)
Glisser son doigt sur un téléphone et lancer une petite blague derrière un écran en guise d’introduction est facile, mais dès qu’il est question de se voir en tête-à-tête, on fige. Pourquoi? Parce que l’échange virtuel n’engage à rien. Il est inoffensif et trop commun, si bien qu’on finit par se désensibiliser, et c’est d’aborder quelqu’un en personne qui devient gênant, voire insolite. L’inconnu qui aborde l’autre inconnu dans un café, autrefois icône du romantisme et initiateur de nombreux récits romancés, se transforme en pervers un peu louche aux intentions cachées. Aujourd’hui, accoster quelqu’un en chair et en os est considéré comme l’apogée du bizarre, teintant tristement nos relations interpersonnelles, les limitant et nous donnant surtout la réputation d’une génération superficielle et émotionnellement constipée.
Est-ce qu’insidieusement ces nouvelles façons de se connecter ne nous rendraient-elles pas plus déconnectés? Avons-nous perdu les vraies amitiés en banalisant le terme « ami », l’utilisant à toutes les sauces sur Facebook et autres réseaux sociaux du genre?
BIBLIOGRAPHIE
Blais, Annabelle. 2016. « Rencontres virtuelles, adieu les tabous ». Le Journal de Montréal. En ligne. 15 octobre. URL : https://www.journaldemontreal.com/2016/10/14/rencontres-virtuelles-adieu-les-tabous. Consulté le 29 septembre 2018.
Fortin, Steeve. 2018. « L’amour au temps de Tinder ». Le Quotidien. En ligne. 11 août. URL : https://www.lequotidien.com/le-mag/progres-technologique/lamour-au-temps-de-tinder-2337ec6ad59351c6cf7891d032122a7a. Consulté le 29 septembre 2018.
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Bado dans le Droit
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reixkrispies-blog · 6 years ago
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Séance #11 - Médias numériques et démocratie
Pétitions signées virtuellement, partages d’images et de publications, photos de profil modifiées, vidéos-choc, ce sont-là quelques exemples des façons d’exprimer ses opinions en 2018. Ces modes de communication se sont diversifiés grâce à l’explosion des médias numériques et nous portent à réfléchir sur la démocratie et la participation citoyenne en ligne.
D’une part, comme le soulignent les enseignants de l’École nationale de l’administration publique, l’avènement des médias numériques « permet [...] aux autorités gouvernementales de communiquer à faible coût avec un large public et de le consulter afin de donner plus de légitimité à leurs décisions » (Boudreau et J. Caron. 2016. En ligne. 1er par.). De ce fait, le gouvernement permet aux citoyens d’être « entendus » en utilisant les nouvelles plateformes interactives, et ainsi augmenter la participation citoyenne. De plus, chaque ministère dispose d’une page Facebook ou d’un compte Twitter. Ainsi, le gouvernement peut informer les utilisateurs de l’action collective, des mesures décidées et des services proposés. D’autre part, la participation citoyenne en ligne est à la portée de tous. En effet, « les coûts de la participation citoyenne en [réduise] les contraintes géographiques, temporelles et sociales de la communication » (Boudreau et J. Caron. 2016. En ligne. 3e par.). C’est-à-dire, qu’il est plus accessible pour un citoyen d’exprimer son opinion à large public sans que celui-ci face le moindre effort. Par exemple, le ministère du Travail peut communiquer efficacement et continuellement les modifications apportées aux Lois et Normes du Travail. Ainsi, les utilisateurs peuvent réagir directement, posé leur question, montrer leur appuie et leur mécontentent en quelques clics. Bref, l’avènement des médias sociaux a fait évoluer la participation citoyenne en ligne et permet au gouvernement d’informer directement les citoyens.
Bien qu’une majorité de citoyens utilise les médias sociaux pour exprimer leurs opinions, la participation citoyenne réelle et complète reste idyllique. Il est facile d’exprimer ses opinions dans le monde virtuel, mais qu’en est-il de la participation citoyenne réelle ?
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Source: http://sebastienthibault.com/The-Guardian-MeToo-movement
Bibliographie
Boudreau, C. & J. Caron, D. (2016). La participation citoyenne en ligne au Québec : Conditions organisationnelles et leviers de transformation. Manifestations contemporaines de la vie familiale, volume 57, Numéro 1, 155-176. En ligne. URL : https://www.erudit.org/fr/revues/rs/2016-v57-n1-rs02538/1036625ar/.  Consulté le 13 novembre 2018.
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reixkrispies-blog · 6 years ago
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Séance #08 - L’éthique des réseaux
L’ère du numérique apporte une grande visibilité aux artistes et aux intellectuels de notre société. Leurs publications sont vues, partager, étudier et enregistrer sur la toile. Cette ère de visibilité et de partage amène à réfléchir à la propriété intellectuelle numérique.
Tout d’abord, Daniel Duthil, expert des problèmes juridiques des technologies de l’information, soutient que « les droits de propriété intellectuelle recouvrent un droit absolu de l’auteur vis-à-vis de l’utilisation de son œuvre » (2001 : En ligne, 7e par.). C’est-à-dire, la décision revient à l’auteur de diffuser ou non son œuvre sur la plateforme numérique. Ensuite, l’auteur peut décider si son œuvre est d’usage public, privé ou consultation seulement. Toujours selon l’expert, l’œuvre ne peut être « modifiée, rediffusée, reproduite ou renvoyer sans l’approbation de l’auteur » (2001 : En ligne, 8e par.). Dans ce cas, il devient frauduleux d’utiliser le copyright sans l’autorisation de l’auteur. Également, il est interdit d’utiliser une citation, une l’image, un son, une photographie ou une base de données sans indiquer la source ou l’auteur lui-même. Les conséquences peuvent être désastreuse comme ce fût le cas pour Pedro Sanchez, chef du gouvernement espagnol, qui a coécrit un livre et « reprend, sans guillemets ni citer de source, des paragraphes entiers du discours d’un diplomate espagnol » (La Presse, 2018 : En ligne, 3e par.). Ce scandale a fait réagir les internautes espagnoles sur plusieurs plateformes numériques mettant en doute la véracité et la capacité du gouvernement en place, et poussant à la démission un ministre.
En tant que graphiste de formation, j’accorde une importance particulière aux plateformes qui permettent de diffuser, publier et promouvoir les œuvres des artistes. Les réseaux sociaux permettent à l’auteur d’accroître sa notoriété et sa reconnaissance dans un domaine. Par contre, il y a une limite à ne pas franchir entre l’inspiration d’une œuvre que nous admirons et la copie d’une œuvre d’un autre auteur.
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Bibliographie
Duthil, D. & Lotte, L. (2001). Création, droits d’auteur et propriété intellectuelle sur Internet. Cités, 8, (4), 103-111. doi:10.3917/cite.008.0101. En ligne. URL : https://www.cairn.info/revue-cites-2001-4-page-103.htm. Consulté le 16 octobre 2018.
La Presse. (2018). Espagne : accusé de plagiat, le Premier ministre reconnaît une « erreur » dans un livre. En ligne. URL: https://www.lapresse.ca/international/europe/201809/20/01-5197328-espagne-accuse-de-plagiat-le-premier-ministre-reconnait-une-erreur-dans-un-livre.php. Consulté le 16 octobre 2018.
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reixkrispies-blog · 6 years ago
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Séance #07 - La vie privée au temps de Facebook
Notre nom, prénom, âge, date de naissance, numéro de téléphone et adresse de courrier électronique sont les premières informations qui sont demandées pour créer un compte Facebook. Par contre, peu d’internautes savent que ces informations font partie du domaine de la vie privée, et que, ces données utilisées sans consentement, constitue une atteinte à la vie privée ( Association des juristes d’expression française de l’Ontario (AJEFO), 2018, en ligne).
Les utilisateurs laissent trop souvent leurs renseignements personnels sans raisonnement sur un site internet au système de sécurité vulnérable. De cette façon, ils deviennent les premières victimes d’une cyberattaque. Comme ce fût le cas pour le site de rencontres extraconjugales Ashley Madison qui a été piraté en août 2015. Les hackers de l’équipe « The Impact Team » menaçaient la fermeture de ce site immoral contre la publication des données personnelles des 30 millions d’utilisateurs à travers le monde (N.d, 2017, en ligne). La divulgation de renseignements personnels, recueillis virtuellement, peut avoir de nombreuses conséquences sur la vie réelle d’un individu. Dans l’affaire Ashley Madison, les pirates informatiques ont publié plus de 30 gigaoctets d’informations personnelles. De nombreux utilisateurs ont dû démissionner et 3 suicides ont suivi la publication. Bref, la privacité des informations personnelles au temps du web 2.0 est plus importante que jamais. Il est important de ne pas banaliser les données privées que nous fournissons pour ouvrir un compte sur un média social « parce que tout le monde le fait ». Il faut être conscientisé et prudent dans l’empreinte digitale que nous laissons sur la toile.  
Il serait crucial de sensibiliser les utilisateurs, jeunes et moins jeunes, sur la signification et les conséquences des informations privées divulguées sur la toile. Les photographies, statuts et vidéos publiés sur les médias sociaux peuvent également influencer la vie réelle de l’utilisateur.
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Bibliographie
Association des juristes d’expression française de l’Ontario (AJEFO). (2018). Protection de la vie privée au Canada . En ligne. Repéré à : https://www.cliquezjustice.ca/information-juridique/protection-de-la-vie-privee-au-canada. Consulté le 14 octobre 2018.
N.d. (2017). « Top 10 des plus grandes cyberattaques » Seclud Ahead Of Securtiy. En ligne. 20 septembre 2017. Repéré à : https://secludit.com/blog/top-10-des-plus-grandes-cyberattaques/. Consulté le 14 octobre 2018.
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reixkrispies-blog · 6 years ago
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Séance #06 L’identité dans un monde d’avatars
Les utilisateurs des réseaux sociaux sont constamment à la recherche de popularité, de likes, de partages et d’un public. Cellulaires à la main, vidéos activées, ils attendent avec impatience le moment fort de la soirée pour le partager sur les médias sociaux. Ces plateformes numériques sont centrées sur l’image et la présentation numériques de l’individu.
Mais quand est-il quand l’identité numérique s’impose davantage que l’identité « réelle » d’un individu ? Nous arrivons avec des médias sociaux comme Instagram qui véhicule « l’industrie de soi par l’image dans une société du spectacle qui aime regarder et se regarder » (N.d, 2017, En ligne). Cette plateforme diffuse des photographies parfaites, des paysages parfaits, des voyages parfaits et des internautes parfaits. Mais quand est-il du revers de la médaille ? Rares sont les images où le soleil brille un peu moins, où les utilisateurs sont à leurs désavantages, où qu’il se vante d’avoir échoué leurs examens trimestriels. L’identité numérique se doit d’être parfaite pour respecter le rôle de l’utilisateur devant son public, sinon celui-ci se désintéresse de l’auteur. Comme ce fût le cas pour une blogueuse, Grace Victory, qui a partagé une photographie afin de normaliser les menstruations. À la suite de cette parution, la blogueuse a perdu instantanément des milliers de followers, car sa publication était jugée « inacceptable ». Bref, l’identité numérique est une version de la perfection au détriment de l’identité réelle d’un individu. Présenter toujours le meilleur de nous-mêmes et répondre aux critères d’un public. Cette quête de visibilité déroge des valeurs humaines concernant la confiance et l’acceptation de soi et peut amener à l’épuisement.  
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Bibliographie
N.d. (2018). « Le selfie au-delà de la simple représentation de soi » Les Mondes Numériques. En ligne. 13 février 2017. Repéré à : https://lesmondesnumeriques.wordpress.com/2017/02/13/le-selfie-au-dela-de-la-simple-representation-de-soi/ Consulté le 9 octobre 2018.
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reixkrispies-blog · 6 years ago
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Séance # 4 -  Angoisse et vertiges du numérique
Le numérique est une prouesse technologique qui se développe rapidement. Malgré ses nombreux avantages, le numérique apporte son lot de crainte dans le domaine de la vie privée. En un clic, nous acceptons « les conditions d’utilisations » sans même avoir lu le premier paragraphe et en laissant notre vie privée aux mains des géants numériques. 
Les utilisateurs, de 19 à 25 ans passent 80 % de leur journée à naviguer sur des sites de réseaux sociaux (Cefrio, 2018 : en ligne). Le nombre d’heures passés sur Internet est rendu une banalité pour les internautes. Par conséquent, les utilisateurs oublient de rester vigilant sur les sources et les sites qu’ils naviguent. Par exemple, des sites de « fake news » mettent en doute la véracité des informations qui sont diffusées sur Internet sans que l’utilisateur lui prête attention. Ainsi, une fausse information pourrait être diffusée à l’international, sans que personne s’intéresse à la véritable source de celle-ci. De plus, il est facile de divulguer des informations personnelles sans s’apercevoir que le site est frauduleux ou mal intentionné. Par exemple, en mai dernier, un scandale informatique a fait réagir plus d’un internaute. Dans les faits, des spécialistes du marketing politique ont tiré profils de millions de données personnelles d’utilisateurs Facebook à des fins politiques (Martin, 2018 : en ligne). Ce n’est pas parce que l’utilisateur donne ses informations personnelles ou ses préférences sur un média social qu’il accepte qu’elles soient diffusées à des fins commerciales ou politiques. Également, la logique algorithmique de nos ordinateurs s’introduit dans la vie privée des internautes. Cette suite logique d’opérations suggère des biens, des voyages et de la publicité en lien avec les préférences sans que celles-ci soient programmées par son utilisateur. Aussi, le moteur de recherche Google utilise des algorithmes afin de proposer une recherche ciblée, mais aussi des publicités ciblées qu’on peut retrouver sur une plateforme de réseaux sociaux, comme Facebook. Ainsi, sans même avoir fait la demande, l’« actualité » Facebook propose des publicités en lien avec les recherches. 
Bref, le numérique accord peu d’importance à la vie privée et laisse penser que les algorithmes sont parfois utilisés à mauvais escient de ses utilisateurs afin de contrôler leur vie virtuelle. Pensez-vous que les algorithmes sont utilisés pour faciliter l’expérience des utilisateurs ou plutôt pour manipuler et profiter de ceux-ci?
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Bibliographie
Cefrio. (2018). « À quoi ressemble une journée type sur Internet pour les jeunes de 12 à 25 ans » Cefrio. En ligne. 3 septembre 2018. Repéré à :  https://cefrio.qc.ca/fr/nouvelles/a-quoi-ressemble-une-journee-type-sur-internet-pour-les-12-a-25-ans/. Consulté le 22 septembre 2018.
Martin, N. (2018). « Avons-nous livré toute notre vie privée à Internet ? ». France Culture. En ligne. 23 mai 2018. Repéré à : https://www.franceculture.fr/droit-justice/avons-nous-livre-toute-notre-vie-privee-a-internet. Consulté de 22 septembre 2018.
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