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compréhension du DNMADE et raisons de mon choix.
Je suis très intéressée par le design et son application principalement dans le domaine de la mode, et c’est pour cette raison que le DN MADE pique mon intérêt. Celui-ci me permettra d’intégrer la filière professionnelle que j’envisage.
J’ai été particulièrement attirée par ces études qui me paraissent à la fois formatrices et concrètes.
Le plus intéressant, pour moi, dans cette formation c’est qu’elle allie les enseignements théoriques tels que les méthodes, les outils, les techniques, la culture, mais aussi les enseignements pratiques au travers de l’apprentissage des différentes étapes de la construction d’un projet qui passent par sa conception et sa réalisation. Les enseignements s’organisent également au travers de travaux qui sont soit individuels, soit en équipes et qui peuvent parfois être pluridisciplinaires notamment pendant les workshops, les ateliers créatifs ou même durant des partenariats. Cette méthode d’enseignement est particulièrement dynamique et motivante car on se sent totalement impliqué.
Je sais également qu’à la fin de mes études, je pourrais obtenir un dipl��me qui réponde aux besoins du marché du travail, me permettant ainsi de me projeter dans la vie active. Avec ce diplôme de grade licence, j’aurais toujours la possibilité de poursuivre jusqu’au niveau master notamment en DSAA.
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John Gillow est un historien du textile née en1950.
Depuis l'âge de dix-sept ans – jeune auto-stoppeur des années soixante il déambule déjà dans les échoppes d'Istambul – il parcourt le monde depuis plus de trente ans, étudiant et collectionnant les textiles. Il a publié plusieurs livres sur les textiles indiens, indonésiens et africains : Textiles du monde islamique (2010), Textiles africains : couleur et créativité à l’échelle d’un continent (2009),Textiles indiens (2008), Printed and dyed textiles from Africa (2001), Arts and crafts of India (1999), Textiles traditionnels de l'Inde (1991).
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Le streetwear est une mode qui est apparu dans les années 1980 à New York. Dans un premier temps porté par les gangs de rue, ce style croisé entre les courants skateur, surfeur et hip-hop de l’époque ne tardera pas à se démocratiser. Il rassemblera peu à peu de nombreux groupes animés par des passions communes comme le graffiti, le skate, la musique ou la danse et connaîtra une vraie apogée dans les années 1990.
Au vue de la croissance exponentielle de cette nouvelle mode arborée partout dans les rues de New York, les grandes marques tel que Adidas ou Nike ne tardèrent pas à proposer leur propre vêtements streetwear.
À la suite du succès connu aux États-Unis le streetwear ne tardera pas à se développer à l’international en Europe ainsi que dans les pays asiatiques comme le Japon. C’est en 1989 que le DJ Hiroshi Fujiwara introduit ce style sur l’archipel ainsi que la youth culture à la suite d’une rencontre à New York avec Malcolm McLaren, un pionnier de la mode punk et hip-hop des années 1970 et 1980.
On assiste alors au Japon à l’ouverture de nombreuses boutique streetwear à Tokyo dans le quartier de Harajuku, aujourd’hui considéré comme le berceau du streetwear japonais. Des marques comme Nowhere/A Bathing Ape feront leur apparition ainsi que Goodenough, la marque de Hiroshi Fujiwara qui se démarquera des autres en adoptant un modèle de vente en édition limité (comme le fait aujourd’hui Supreme). Hiroshi Fujiwara est d’ailleurs réputé mondialement pour ses créations et a collaboré avec les plus grandes marques comme Louis Vuitton, Nike, Beats ou Moncler.
Contrairement à ce qu’aurait pu en penser autrefois les marques de luxe, le streetwear s’est bel et bien développé comme un style à part entière et non pas comme une mode de rue éphémère. Il a même initié son propre style avec une culture urbaine représentée sous différentes pièces vestimentaires comme des débardeurs à motifs, des parkas XXL, des survêtements amples ou bien des joggins baggy. Les marques japonaises précurseurs du streetwear comme A Bathing Ape ou Neighborhood continuent de prospérer à l’heure actuelle et ne sont pas près de perdre les faveurs de leurs adeptes. Nombre d’entre elles font par ailleurs des collaborations avec les plus grands noms du monde du luxe (LV, Moncler…), c’est peut dire à quel point le streetwear japonais s’est implanté à l’échelle mondial dans les courants de mode et ce, à toute les échelles de la mode.
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Boichi est le nom d'artiste de Mujik Park, un mangaka (ou manhwaga) sud-coréen né le 29 janvier 1973 à Séoul et vivant au Japon. Il est principalement connu pour être l'auteur et dessinateur du manga Sun-Ken Rock et l’illustrateur du manga Dr. Stone écrit par Riichirō Inagaki.
Ayant fait ses débuts en Corée avec une série destinée à un public féminin. C’est en 2004 qu’il fait ses grands débuts au Japon. Il travaille pour différentes revues : A-Un, Comic Game, Morning, Young King. La S.F., la fantasy, l’action et le seinen sont les principales directions qu’il entend suivre dans sa carrière. Outre Sun-Ken Rock publiée en France chez Doki-Doki, on lui doit aussi notamment Lovers in Winters, Rakia et Space Chef Caisar.
Souvent reconnue comme un maitre du réalisme Boichi m’inspire principalement par la qualité de ses dessin. Sa capacité à représenter l’anatomie est l’une des plus impressionnante qu’il m’ai été donné de voir.
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