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INTERVIEW Lâaventure Erasmus dâune Ă©tudiante TchĂšque en France
Arrivée en France depuis plusieurs mois, Edita Deverova, jeune étudiante originaire de République TchÚque de 20 ans nous faire part de sa vie en tant qu'Erasmus à Lorient.
âą Comment tâes-tu organisĂ©e pour faire partie de ce programme « Erasmus » ?
- Jâai rencontrĂ© des amis qui revenaient dâun voyage dâĂ©tudes en France. Cela mâa donnĂ© envie dâĂ©tudier Ă lâĂ©tranger et plus particuliĂšrement dans ce pays car comme je viens de lâĂ©voquer, je prĂ©pare un diplĂŽme avec une option « français-commerce international ». Jâai donc contactĂ© « Erasmus » qui est un programme dâĂ©changes dâĂ©tudiants entre les universitĂ©s de tous les pays du monde.
âą Est-il facile de sâintĂ©grer au systĂšme Ă©ducatif français ?
- Cela change du systĂšme tchĂšque mais nous avons la chance de pouvoir bĂ©nĂ©ficier de lâaide dâun professeur qui nous remet notre emploi du temps et nous indique les salles oĂč se passent les cours.
âą Quelles sont les Ă©tapes administratives pour pouvoir Ă©tudier en France ?
â Câest mon universitĂ© qui sâest chargĂ©e des dĂ©marches. Elle collabore avec lâUniversitĂ© de Bretagne Sud. Beaucoup de professeurs de notre facultĂ© en RĂ©publique TchĂšque ont enseignĂ© en France plus prĂ©cisĂ©ment Ă Lorient. Ils sont restĂ©s trĂšs attachĂ©s Ă cette ville. Câest pourquoi, nous avons un lien particulier avec Lorient.
⹠Reçois-tu des aides financiÚres avant et pendant ton séjour ?
- Nous recevons en tant quâĂ©tudiante d'Erasmus, 500 euros par mois mais cela ne me suffit pas pour vivre. Je suis obligĂ©e de participer aussi de mon cĂŽtĂ©. Nous sommes six ou sept Erasmus dont cinq filles qui font partie de ce programme Ă Lorient et nous nous entraidons.
âą Comment s'est passĂ©e ton arrivĂ©e Ă Lorient et est-ce quâune personne spĂ©cifique est venue vous accueillir ce jour-lĂ ?
- Mon arrivĂ©e Ă Lorient sâest bien passĂ©e. Jâai eu la chance de disposer dâun logement  situĂ© Ă 3 minutes de lâuniversitĂ© de Bretagne Sud et une ancienne Ă©tudiante Erasmus, mâattendait Ă la gare et mâa accompagnĂ©e jusquâĂ l'appartement.
⹠Comment as-tu créé ton réseau d'amis sur Lorient et trouves-tu que la ville de Lorient est accueillante ?
- Mon rĂ©seau dâamis s'est fait grĂące Ă une Ă©tudiante allemande faisant partie de ma filiĂšre et rĂ©sidant dans un appartement situĂ© deux Ă©tages au-dessus du mien mais aussi grĂące Ă dâautres filles TchĂšques qui ont sympathisĂ© avec dâautres Ă©tudiants français. Par contre, je ne trouve pas la ville trĂšs accueillante. Les Lorientais sont trĂšs distants et mĂ©fiants des Ă©trangers.
âą Avez-vous des difficultĂ©s Ă comprendre les Lorientais du fait de la langue et avez- vous un lieu de rencontre spĂ©cifique dans la ville oĂč des rencontres entre Ă©tudiants Erasmus sont possibles ?
- je nâai pas vraiment de difficultĂ©s Ă communiquer du fait de la langue mais du fait que les Lorientais ne dĂ©sirent pas parler avec nous. Aucun lieu spĂ©cifique est prĂ©vu pour rencontrer dâautres Ă©tudiants suivant ce programme. De ce fait, nous organisons nous-mĂȘmes des soirĂ©es dans nos appartements.
Qu'est-ce qui serait intéressant de mettre en place à Lorient pour mieux intégrer les étudiants « Erasmus » ? Souhaites-tu prolonger ton séjour à Lorient ?
- En dehors de la facultĂ©, des rencontres entre Ă©tudiants Lorientais et Ă©tudiants Erasmus pour ĂȘtre plus au contact de la population. Je souhaite repartir car je suis trĂšs attachĂ©e Ă mon pays.
âą Trouves-tu quâil y a beaucoup de diffĂ©rences entre la rĂ©publique TchĂšque et la France ?
- Oui, jâai pu voir quâil y a des diffĂ©rences au niveau culturel mais aussi au niveau de la gastronomie.
âą Quels conseils donnerais-tu Ă quelquâun qui souhaiterait effectuer ses Ă©tudes comme toi Ă lâĂ©tranger ?
- LâidĂ©al serait de trouver un hĂ©bergement dans une famille oĂč en colocation avec des Ă©tudiantes françaises pour pratiquer davantage la langue et mieux dĂ©couvrir les traditions, le patrimoine et mieux sâintĂ©grer.
Ingrid KRAMES
Amaury MAIGNAN
SAIDI Nairouze
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Galway Inn : Irlandais pour un soir
18 mars 2017 â La ville de Lorient, comme de nombreuses villes Ă travers le monde, a fĂȘtĂ© hier la Saint-Patrick, Ă©vĂšnement unique en son genre ; les irlandais comme les non-irlandais ont arborĂ© fiĂšrement les emblĂšmes de lâIrlande que sont le vert, les trĂšfles et les fameuses biĂšres irlandaises ! Cette fĂȘte, qui se dĂ©roule chaque annĂ©e le 17 mars, cĂ©lĂšbre Saint-Patrick, le saint patron de lâIrlande. Cet Ă©vĂšnement Ă deux facettes, vu par certains comme une fĂȘte uniquement religieuse, et pour dâautres, comme une immersion dans la culture irlandaise, est une fĂȘte nationale dont la renommĂ©e dĂ©passe les frontiĂšres. A Lorient, ville situĂ©e dans le Morbihan en Bretagne, Lâirishitude Ă©tait bien prĂ©sente. De nombreux bars se sont mis aux couleurs de lâIrlande et une vĂ©ritable ambiance  dâoutre-manche sâest installĂ©e dans le port de Lorient dĂšs le dĂ©but de la soirĂ©e. Un des points phares de cet Ă©vĂšnement Ă Lorient a Ă©tĂ©, comme les annĂ©es passĂ©es, le fameux pub « The Galway Inn », tenu depuis 1982 par un irlandais Padraig Larkin et situĂ© rue de Belgique Ă Lorient. Comme lâexprime Padraig Larkin qui ne peut oublier ses origines : « MĂȘme si je suis trĂšs attachĂ© Ă la Bretagne et Ă ses coutumes, je ne peux oublier la Saint-Patrick, fĂȘte nationale dans mon pays. Câest pourquoi, je  souhaite chaque annĂ©e la faire dĂ©couvrir et la cĂ©lĂ©brer avec la population Lorientaise qui mâa chaleureusement accueilli ». DĂšs 19h00, rue de Belgique, des airs de musiques traditionnelles irlandaises rĂ©sonnaient de toute part et ont plongĂ© la population venue participer Ă la fĂȘte de Saint-Patrick dans une ambiance trĂšs festive.
Dans le pub Galway Inn, ancien bar-charcuterie, Ă la façade en pierres apparentes et aux fenĂȘtres de couleur verte faisant rĂ©fĂ©rence au trĂšfle, emblĂšme national de lâIrlande, les clients pouvaient avoir lâimpression de se trouver en terre irlandaise, dans le cĂ©lĂšbre quartier temple bar, quartier connu pour sa vie nocturne et ses pubs. Le Galway Inn est un lieu trĂšs personnel.  DĂ©cor typiquement irlandais, lumiĂšre rougeĂątre, trĂšfles accrochĂ©s au mur et aux poutres en bois, objets chinĂ©s, parquet ancien, comptoir en bois, tireuses Ă biĂšres, musique irlandaiseâŠâŠ.Tout un ensemble dâingrĂ©dients qui projettent  immĂ©diatement la clientĂšle dans lâunivers irlandais. Comme lâexplique Padraig Larkin : « Cette annĂ©e, Jâai choisi de programmer the young fenians pour fĂȘter la Saint-Patrick. Câest un jeune groupe de musique traditionnelle irlandaise, trĂšs prometteur, composĂ© dâĂ©tudiants de la facultĂ© de Lorient. Je suis sĂ»r quâils vont plaire ». Nombreux ont Ă©tĂ© les personnes venues les Ă©couter et fredonner ces airs si propres Ă lâIrlande jusque trĂšs tard dans la nuit. La flute, la guitare, la voix absorbante de la chanteuse du groupe ont fait plonger le public dans un univers rempli de joie et dâimaginaire. LâatmosphĂšre Ă©tait vraiment chaleureuse et amicale ; peu Ă peu, des rencontres se sont crĂ©Ă©es entre les gens et les sujets de discussions ont Ă©tĂ© de plus en plus variĂ©s. Que dire de cette soirĂ©e ? Une rĂ©ussite. Ce fut un moment fort oĂč ont rĂ©gnĂ© rires, ambiance chaleureuse et dĂ©tendue, convivialitĂ©. En tout cas, ce qui est sĂ»r, câest que lâambiance irlandaise continuera dans nos rĂȘves. Beau moment Ă reconduire sans modĂ©ration !
Signes : 3 348 Ingrid KRAMES Amaury MAIGNAN Nayrouse Vivyana
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Interview : Confessions dâune Ă©tudiante Erasmus en Andalousie
Anne-Charlotte DEMARET, Ă©tudiante française, a sĂ©journĂ© dans le cadre de son cursus scolaire « Action Sociale et SantĂ© » en tant quâErasmus en Espagne durant six mois lâan passĂ©. En mars dernier, elle a fait part de son expĂ©rience Erasmus et plus particuliĂšrement de son immersion dans la ville de JaĂ©n lors dâun entretien Ă la facultĂ© de Bretagne Sud de Lorient.
AgĂ©e dâune vingtaine dâannĂ©es, Anne-Charlotte est une jeune femme Ă©lancĂ©e dâenviron 1m70, au teint pĂąle. Ses yeux bleu clair et pĂ©tillants ne nous laissent pas indiffĂ©rent. Ses  cheveux chĂątains, lisses et fins, coupĂ©s au carrĂ©, donnent lâimpression dâune femme active, pleine dâentrain.  Sa bouche filiforme, ses pommettes roses et son sourire Ă©clatant dĂ©gagent une personnalitĂ© chaleureuse. Au niveau vestimentaire, Anne-Charlotte porte des vĂȘtements raffinĂ©s et sobres : un pantalon slim de couleur noire, un sweat-shirt rose poudrĂ©, lĂ©gĂšrement Ă©vasĂ©, aux coutures apparentes et autour du cou, une grande Ă©charpe Ă fleurs. Sous ses cheveux chĂątains clairs apparaissent de longues boucles dâoreilles aux reflets argentĂ©s. Elle porte, comme de nombreuses Ă©tudiantes actuellement, des baskets blanches qui lui donnent un air dĂ©contractĂ©.
DĂšs le dĂ©but de lâinterview, Anne-Charlotte dĂ©crit avec assurance et enthousiasme son sĂ©jour en Andalousie. Cette expĂ©rience lui a paru trĂšs enrichissante tant au niveau de la culture quâau niveau de la pratique de la langue. Mais elle ajoute, en esquissant un sourire en coin, que ce sĂ©jour nâa pas Ă©tĂ© toujours un long fleuve tranquille. « Mes premiĂšres heures sur les terres espagnoles resteront marquĂ©es Ă jamais dans mes souvenirs ». Le jour de son arrivĂ©e Ă JaĂ©n, elle fut confrontĂ©e Ă une situation dĂ©routante : Aucun hĂ©bergement lui avait Ă©tĂ© rĂ©servĂ©. Elle fut face Ă une porte close. Ce fut un fort moment dâangoisse vu lâheure tardive et lâimportante fatigue liĂ©e au voyage. Mais ce sentiment sâĂ©tait trĂšs vite effacĂ©. Comme elle le souligne si bien « Heureusement, les espagnols sont trĂšs chaleureux, trĂšs accueillants et toujours prĂȘts Ă vous aider en cas de soucis ». GrĂące au soutien dâun rĂ©sident espagnol, cette situation qui aurait pu ĂȘtre catastrophique, sâĂ©tait bien finie : elle a pu passer sa premiĂšre nuit dans un petit hĂŽtel du quartier. En Ă©voquant son sĂ©jour dans cet hĂŽtel, Anne-Charlotte acquiesça un petit sourire tout en touchant ses cheveux et souligna que la dĂ©coration nâĂ©tait pas vraiment Ă son goĂ»t mais que ceci nâavait aucune importance. Une solution avait Ă©tĂ© trouvĂ©e. Elle Ă©tait soulagĂ©e. CâĂ©tait le dĂ©but de lâaventure ! DĂšs le lendemain, elle fut contrainte de rechercher un nouveau lieu dâhĂ©bergement. De par son tempĂ©rament de battante, sa premiĂšre idĂ©e fut dâeffectuer du porte Ă porte dans ce quartier proche de lâuniversitĂ©. Elle eut la chance de rencontrer un couple dâespagnols qui Ă©tait Ă la recherche dâune colocataire. Anne-Charlotte sans hĂ©sitation accepta cette proposition allĂ©chante et souligna son grand soulagement. Puis elle fit part dâun autre moment marquant de son sĂ©jour : lâuniversitĂ© de JaĂ©n. Peu curieuse, elle nâavait effectuĂ© aucune recherche sur cette universitĂ© et fut agrĂ©ablement surprise en dĂ©couvrant ce bĂątiment Ă lâarchitecture trĂšs futurisme et aux dimensions imposantes. « LâuniversitĂ© de JaĂ©n Ă©tait immense : deux Ă trois fois plus grande que lâuniversitĂ© de Lorient â Quel changement ! ». LâamĂ©nagement intĂ©rieur de lâuniversitĂ© Ă©tait trĂšs Ă©purĂ©. Elle Ă©voqua avec nostalgie, lâaccueil chaleureux des Ă©tudiants espagnols qui avaient organisĂ© Ă son arrivĂ©e une rencontre avec dâautres Ă©tudiants Erasmus et des professeurs espagnols. « Câest une grande famille dâĂ©tudiants de toutes nationalitĂ©s qui se crĂ©ait ». Au fil des jours, elle dĂ©couvrit une universitĂ© Ă lâorganisation un peu diffĂ©rente de celle de la France :  Des Ă©lĂšves dâune mĂȘme filiĂšre Ă©taient divisĂ©s en deux groupes distincts. Pour lâinstant rien de surprenant. Mais la particularitĂ© fut quâun groupe avait cours uniquement le matin et lâautre lâaprĂšs-midi. LâuniversitĂ© proposait Ă©galement aux Ă©tudiants des disciplines extra-scolaires telles que des visites de musĂ©es ou autres structures mais aussi des cours de sport. Elle exprima son intĂ©rĂȘt pour ses activitĂ©s variĂ©es et intĂ©ressantes qui apportent beaucoup aux Ă©tudiants.
Cependant, malgrĂ© cette expĂ©rience enrichissante, elle Ă©voqua le fait quâelle nâenvisageait pas un instant de poursuivre ses Ă©tudes Ă JaĂ©n car le rythme de ce systĂšme Ă©ducatif ne correspondait pas Ă ses attentes.
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Ingrid KRAMES
Amaury MAIGNAN
SAIDI Nairouze
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ERASMUS + FĂȘte ses 30 ans !
Le 9 janvier 2017 a eu lieu le lancement officiel des 30 ans dâErasmus Ă lâOdĂ©on thĂ©Ăątre de lâEurope, Ă Paris. Le programme de cette journĂ©e a dĂ©butĂ© Ă 14h00. Tout au long de lâaprĂšs-midi, de nombreux tĂ©moignages dâĂ©tudiants et dâenseignants ont dĂ©montrĂ© son succĂšs. Rappelons en quelques mots que le programme Erasmus, crĂ©Ă© le 15 juin 1987, est un programme EuropĂ©en pour lâĂ©ducation, la formation mais aussi pour la jeunesse et le sport. Câest un programme dâĂ©change dâĂ©tudiants mais Ă©galement dâenseignants entre les universitĂ©s, les grandes Ă©coles europĂ©ennes et des Ă©tablissements dâenseignement Ă travers le monde entier. Ce programme Erasmus baptisĂ© en hommage Ă Erasme, grand humaniste de la Renaissance, est connu actuellement sous le nom de Erasmus + du fait de son extension aux Ă©coles primaires et aux lycĂ©es. Depuis 1987, plus de 5 millions de personnes ont pu bĂ©nĂ©ficier de ce programme Ă travers des Ă©changes universitaires ou des stages Ă lâĂ©tranger ce qui atteste de la pleine rĂ©ussite dâErasmus + qui regroupe actuellement 33 pays participants et 169 pays partenaires Ă travers le monde. Lors de cette aprĂšs-midi, des Ă©tudiants, des stagiaires, des enseignants ou formateurs ayant bĂ©nĂ©ficiĂ© de ce programme ont mis en avant la diversitĂ© des programmes proposĂ©s et leur efficacitĂ©. Bon nombre dâentre eux ont soulignĂ© que cette expĂ©rience Ă©tait une expĂ©rience unique et enrichissante qui les a fait mĂ»rir, grandir et rencontrer des personnes de tout style et de toute nationalitĂ©. De nombreuses personnalitĂ©s du gouvernement ont assistĂ© Ă cet Ă©vĂšnement exceptionnel qui a mis en lumiĂšre « Erasmus », projet qui a permis la construction dâune « CitoyennetĂ© EuropĂ©enne ». Najat Vallaud-Belkacem, Ministre de lâEducation nationale, de l'Enseignement supĂ©rieur et de la Recherche, Myriam el Khomri, Ministre du travail, de lâemploi de la formation professionnelle et du Dialogue social, sâĂ©taient dĂ©placĂ©es, accompagnĂ©e de Patrick Kanner, Ministre de la ville, de la jeunesse et des sports. Sylvie Guillaume, vice-prĂ©sident du parlement EuropĂ©en Ă©tait Ă©galement prĂ©sente ainsi que plusieurs secrĂ©taires dâĂ©tat chargĂ©s des affaires EuropĂ©ennes. Monsieur Patrick Kanner, ministre de la jeunesse et des sports a Ă©changĂ© au cours de lâaprĂšs-midi avec des personnes bĂ©nĂ©ficiaires de ce programme lors dâune table ronde portant sur deux thĂšmes la jeunesse et le sport. Il en ressort que dans le contexte actuel, le programme Erasmus est un outil dâintĂ©gration europĂ©enne qui apporte beaucoup aux jeunes depuis 30 ans. Lâobjectif futur est de dĂ©velopper davantage cet outil afin de rĂ©pondre Ă un plus grand nombre et plus particuliĂšrement aux personnes les plus dĂ©munies. Pour cela, des crĂ©dits ont Ă©tĂ© dĂ©bloquĂ©s et un nouveau site a vu le jour : http://decouvrirlemonde.jeunes.gouv.fr La journĂ©e sâest clĂŽturĂ©e sur un discours de notre Ministre de lâEducation nationale, de l'Enseignement supĂ©rieur et de la Recherche Mme Najat Vallaud-Belkacem qui a soulignĂ© les bienfaits du programme Erasmus +. Lâanniversaire dâErasmus sera Ă©galement fĂȘtĂ© le 26 janvier 2017 Ă Bruxelles et dâautres Ă©vĂšnements sont prĂ©vus tout au long de lâannĂ©e 2017. 2680 Ingrid Krames Amaury Maignan Nayrouse Saidi
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Voici une infographie sur le thĂšme de lâĂ©tranger
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