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Mon coté hopeless romantic espère qu’il pense encore à moi, après tout ces mois. J’espère que je le hante un peu, que mon obsession n’est qu’un lien partagé. Est-ce que je vais craquer et lui écrire? Est-ce que reprendre contact aiderait à calmer ce manque ou bien serait-ce pire? Je cherche la meilleure façon de briser cette spirale, sans succès.
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This is so unfair
Je pensais que ce diagnostique m’aiderait à trouver des réponses, une sorte de paix, mais non. Je suis fâchée, effrayée, inconfortable et triste. J’en reviens pas que je vais devoir me rendre a l’hôpital deux fois par semaine, je suis tellement découragée.
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“As I look back on my life, I realize that every time I thought I was being rejected from something good, I was actually being re-directed to something better.” — @stevemaraboli #ThingsItTakesAWhileToUnderstand artwork by @evanmcohen https://www.instagram.com/p/B36pXY9oDJs/?igshid=9qbud9cavznj
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“But if they were truly in love with you they would’ve fought for you. But they didn’t. And sadly that means you loved them more than they loved you.”
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I crave love in the most innocent of ways, I crave to say goodnight, and give forehead kisses and overly tight hugs. I want to lay beside you, and be wrapped around you. As nothing more and nothing less.
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“Il ne dessine le visage de personne, il invente les anges qui dorment au-dessous. De ses semblables, il mélange les traits, pour qu’on ne puisse les reconnaître et qu’ils se sentent ainsi moins seuls, moins prisonniers de leur figure et de leur corps périssable. Il trempe un peu leurs yeux dans le gris-bleu de la mer, car la mer n’a guère de visage, et le dedans de l’homme comme elle est pâle et bleu, avec ses dieux, ses idées folles et ses marées. S’il ne donne pas de nom à ces pantins de sucre qui s’en vont fondre au large, c’est pourtant toujours le même homme qu’il appelle et qu’il imagine : celui qui attend l’autobus ou le train de banlieue, les ailes repliées sous l’imperméable, à la même heure toujours sur le même quai, prêt à s’embarquer vers le premier jour de sa propre vie.”
— Jean-Michel Maulpoix, Une histoire de bleu
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Il est plutôt rare que j’ai si mal au point que j’en perd mes mots. J’aime souvent décrire ma douleur avec intérêt et rationalité. J’aime comprendre la source de mon mal, m’y plaire, contrôler mon agonie. J’ai l’habitude de me faire battre par l’intérieur, je suis entaillé d’épreuves. Mais en ce moment, c’est différent. J’ai juste tellement hâte que les journées passent, tellement hâte que mon cerveau me donne une pause de douleur. J’ai l’impression d’être engourdie, nauséeuse, traumatisé. Je n’en reviens juste pas, ce sentiment est terrible. Je suis humiliée, honteuse, perdue.
Es-ce que c’était encore des mensonges? Est-ce que tous les bons mots n’étaient que pour repousser inévitable? Est-ce que c’était vrai? Est-ce que je me réveille d’un cauchemar? Qu’est ce que j’ai fait pour me faire abandonner comme cela? Ai-je si peu de valeur? C’est tellement injuste...
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Pärt - Seven Magnificat Antiphons (1988/1991)
The “Great O Antiphons” are short lines that are sung alongside the Magnificat during evening prayers each night on the week leading up to Christmas. Starting on the 17th, and going until the 23rd. Here, Pärt takes the antiphons and puts them together in a short collection of poignant choral works full of his gorgeous spaciousness, subtle dissonances, and calling back to medieval orthodox music while also writing something that sounds fresh and new. During this night, the observation of Christ’s birth, there are people who are comfortably sleeping in their beds, excited for tomorrows fun, and there are people who have nowhere to sleep but the streets. We don’t like to think about the suffering in the world on this holiday, because the department stores want us to feel happy through buying their stuff. But most of us know that’s an illusion, and a distraction. It is shameful to me that Christmas is treated so shallow in our culture, that becomes another faux antidepressant “everything is awesome!” insistence when we know that isn’t true. No matter what your situation is, I hope you are healthy, and that you are at peace, and that someone will extend love to you. If it helps, I love you.
Movements:
1. O Wisdom
2. O Adonai
3. O Root of Jesse
4. O Key of David
5. O Dayspring
6. O King of the Nations
7. O Emmanuel
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Et en quelque heures, j’avais tout perdu.
Le paradis a disparu, évaporé dans un nuage de vapeur seche, douloureuse et froide.
Le feu s’est déclaré, subtilement mais rapidement. Il a ravagé tout ce qui avait été construit. Surtout moi. Je sens les grands batiments bruler un par un et ... ce sentiment d’impuissance, j’en reste immobile.
Et dans cet incendie, je me tiens debout, puis assis, puis suppliante. Je vend ma dignité a grand coup de desespoir. Je deviens la mendiante qui ne demande qu’un réconfort, un pardon. Surtout un pardon, les miettes d’estime qu’il me reste me dit que je le merite, mais le feu en pense autrement.
Pas de quartier pour la brulée. Toutes ces peaux n’auront pas su me proteger.
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“Anything you say is alright with me
I love you”
1959
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Frida Kahlo
What the Water Gave Me
(via @lonequixote)
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The more I thought about my life up to then, the more I hated myself. It wasn’t that I didn’t have a few good memories—I did. A handful of happy experiences. But, if you added them up, the shameful, painful memories far outnumbered the others. When I thought of how I’d been living, how I’d been approaching life, it was all so trite, so miserably pointless. Unimaginative middle-class rubbish, and I wanted to gather it all up and stuff it away in some drawer. Or else light it on fire and watch it go up in smoke (though what kind of smoke it would emit I had no idea).
Haruki Murakami, “Yesterday
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(via wordsnquotes)
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Glukus
Depuis toujours, je fais des parallèles entre mes émotions et l’univers aquatique. Mes tourments se transforment en tempête, ma dissociation en glace, mes angoisses en déluge. L’eau m’étouffe, me submerge ou me calme. Avec le caractère imprévisible et grandiose de l’eau, ces analogies étaient, pour moi, des plus naturelles. Pour la première fois, à travers un univers malléable et vaporeux, j’ai rencontré quelqu’un qui me ramène à la terre. Quelqu’un avec qui la beauté du monde se révèle soudainement. Il est étrange à quel point la pluie me semble belle et que les couchés de soleil me transpercent quand je suis avec lui. J’ai l’impression qu’une douceur nouvelle m’atteint jusqu’aux os. Je me sens petite devant la beauté, celle que je ne remarquais plus. Comment ais-je pu oublier la beauté des orages spontanées? Qu’en est-il des matins, de la rosée, de la brume? J’en oubliait presque son caractère volatile mais magnifique. La douceur est aussi quelque chose que je dois réapprivoiser. Il m’est encore inconnu de recevoir quelque chose d’aussi agréable. Dans un monde hostile et robotique, le paradis a trouvé son chemin jusqu’à moi.
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