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Marcher sur les eaux
Bonjour je m'appelle Morée, la risée du village, un peu folle à ce qu'on dit : laissons dire ! Les gens ne savent pas ce qui me tourmente . Pas facile de vivre quand on est seule et qu'on veut fuir un monde qui ne signifie plus rien ! Oui, je cherche l'intolérable mise en demeure que j'attends sans cesse :
Morée qu'as-tu obtenu de la vie ? Tu vas mourir et tu n'auras rien fait de tes dix doigts.
- J'ère dans le brouillard, par des chemins connus ou inconnus, en chantant pour me donner du courage : j'ai peur dans le brouillard, cette présence vaporeuse et qui vous glace jusqu'au coeur . J'ai froid, je souffre, personne ne le sait. La compagnie de moi-même ne me réconforte pas . On parle des bienfaits de la solitude, mais nous nous lassons de tout, même de la solitude .
Pour me leurrer , je soliloque . Qui suis-je ? Une femme déjà sur le retour, seule "seulette sans amis, demeurée, comme je l'ai appris à l'école, une poétesse du temps jadis dont j'ai oublié le nom . Je croyais à la plénitude du bonheur. Mais a-t-il existé un temps où les femmes ne se sont senties incomprises et désespérées ? L'état feminin n'est pas de tout repos. J'ai toujours essayé de garder la tête haute pour ne pas sombrer. Mais quand je passe près du lac, comment résister aux âmes en peine qui gémissent et qui pleurent, qui veulent m'attirer au fond des eaux. Le lac est murmurant, endormi et tout à coup il peut se montrer, avec des vagues à mufles de lions, il me fait peur. Ma mère autrefois me disait qu'il y avait des palais éblouissants au fond du lac de lumière et de cristal, c'est là ou je veux aller "Morée, tu n'y penses pas ? Il te faudrait des nageoires comme les poissons ? Comment reviendras-tu à la surface?" lui dit madame Sanders . Je ne reviendrai pas car Dieu nous comble de sa Présence .Infinie . Morée ma fille perds tu la raison ? "Non je ne fais que la comprendre et la suivre Madame Sanders"
Estéban Bichour
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Une très grosse bêtise
J'étais chez moi avec ma sœur, c'était pendant la nuit et ma mère dormait. Ma sœur et moi avions faim et nous avons décidé de faire à manger. Nous avions mis n'importe quoi dans le four : tomate, fromage, jambon, sel, etc. et nous avions mis le four au maximum. La nourriture a pris feu et nous sortons le plat du four en feu. Nous mettons le plat dans l'eau, l'alarme incendie sonne, ma mère se réveille et descend dans la cuisine. Elle nous donna une bonne correction puis nous avons dû tout nettoyer.
Nolwen
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Le découragement de ma vie
Mon jour de découragement a été le jour de mon accident.
J'ai vu ma vie défiler. Je suis restée une semaine à l'hôpital sous morphine en continu, sans même prêter attention à moi et mon sale état. Je suis rentrée chez moi et les ambulanciers m'ont porté. J'étais fracturée alors ma douleur s'est empirée et accélérée. Par la suite, j'ai dû aller au commissariat, pour déposer ma version de l'histoire. En racontant mon histoire choquante, j'ai pleuré, tellement, que je ne pouvais plus respirer. Aujourd'hui, j'ai encore des séquelles mais malgré tout ça j'ai su rester forte et toujours me relever à chaque coup bas.
M
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Evaluation actuelle de soi
J'aime bien la bouffe parce que c'est bon ; La Guadeloupe parce que c'est la base, c'est beau ; mon lit parce que c'est confortable ; ma dexeryl parce que ça me sauve la vie quand j'ai la grisaille ; mes baskets parce que ça montre un peu ta personnalité ; mon téléphone parce que quand tu galères, tu sais qu'il sera toujours là ; l'été parce qu'il fait chaud ; ma télé parce que c'est divertissant ; le zouk parce que ça t'ambiance.
Je déteste les devoirs parce que c'est chiant ; la végémite parce que c'est pas bon ; l'hiver parce qu'il fait froid ; les maths parce que j'suis nulle ; les bananes parce que c'est gluant et ça un goût bizarre ; les gros livres parce que c'est trop long à lire ; le matin parce que j'galère à me lever ; les araignées parce que c'est moche, ça me dégoûte ; la vaisselle c'est long à faire ; les endives parce que c'est amère.
Nolwen
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10 choses que j'aime, 10 choses que je déteste.
les choses que j'aime :
la musique
chanter
Twilight (film)
les parcs d'attraction
la famille
les enfants
Cut (série)
Foudre (série)
les amis
les chaussures à talon
les choses que je déteste :
le miel
la confiture
le rap
le jazz
danser
les gâteaux de pâtisserie
l'école
la piscine
colorier
le foot
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Tout ça pour elle
Ce jour là, j'avais à peu près onze ans.
J’étais dehors à côté de chez moi en train de jouer au foot avec mes amis notamment un s'appelant Gaël.
On jouait au foot jusqu’à environ 16 h.
Jusqu’à ce que ma copine arrive devant chez moi et me propose d'aller au cinéma avec elle et sa cousine. Comme elles étaient deux, je lui ai demandé si je pouvais ramener un ami à moi. Et ma copine me répondit « oui », donc j'ai décidé de prendre un de mes amis, Gaël .
Mais le problème était que je n'avais pas d'argent ni sur moi, ni chez moi. Alors, j'ai appelé mon frère et mon père. Mon père m'a dit qu'il allait rentrer le soir et mon frère lui m'a dit qu'il venait dans deux heures alors que la mère de ma copine venait dans à peu près trente minutes. Comme je ne voulais pas refuser sa proposition et que je devais absolument y aller, j’ai décidé de rentrer chez moi et de piquer dix euros à mon frère .
Sa mère arriva et nous sommes partis au cinéma.
On regarde le film, il était très nul mais bon je ne pouvais pas lui dire car c'est elle qui l'avait choisi. C’était un film qui durait une heure et quelque et pendant le film, tous les personnages étaient dans l'espace et je n'ai pas aimé.
Quand le film s'est terminé, sa mère m'a ramené chez moi.
Je montais les escaliers avec un pressentiment assez bizarre.
Quand je suis rentré chez moi, il y avait un de mes amis qui je n'avais pas choisi pour aller au cinéma. Je montais les escaliers avec un pressentiment assez bizarre. Mon père me demanda où j’étais et je lui répondit « au cinéma ». Après, il s'interrogea : « Avec quel argent ? ». Et là, je ne pouvais pas lui répondre. Il m'a dit que mon ami lui avait tout dit, que j'avais piqué dix euros à mon frère pour aller au cinéma. Donc, mon frère et mon père m'ont défoncé. Heureusement que mon père avait invité un ami à lui car il a calmé mon père sinon je serais plus là.
Ce soir là, j'ai juré de ne plus piquer de l'argent à un membre de ma famille sans lui demander !
Made in Mahhhh
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Attention !
Bonjour Esteban, je suis toi dans un futur proche.
Ne me demande pas comment cela est arrivé,mais tu dois protéger ton amis Thomas d'une souffrance galactique incurable. C'est un défaut moral protège le de toute agressivité physique ou ne serait ce que verbale.
Cela pourrais le toucher et faire exploser la mine qu'il a l'intérieure de sa tête. Je t'en supplie, sauve-le !
Mais bien sûr, fait attention aux ennemis qui peuvent s’emparer de son mental et le diriger vers une route malheureusement sans retour. Je t'avertis aussi que certain de tes professeurs sont malencontreusement touchés, méfie-toi de la professeur de français, elle ne me paraît pas très commode.
Si elle veut te faire rencontrer des personnes célèbres, fais attention ça pourrait être ses collègues ...ou même des Dictateurs de l'espace. Et bien, tu es dans de beaux draps, ne cherche pas l'aiguille dans le tas de foin, reste sur tes gardes même en classe. Mon patron m'a dit depuis le début de ma carrière:
- Se taire en classe ,c'est respecter le sommeil des autres
- La peur bloque la compréhension intelligente de la vie
- Le génie consiste à voir ce que tout le monde a vu et a penser ce que personne a pensé
- Le travail d’équipe est essentiel ! En cas d’erreur, ça permet d'accuser quelqu'un d'autre !
Ce que je te dis et que je te redis c'est : « protège Thomas et bien sûr, reste sur tes gardes ! »
Esteban
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La maladie qui a failli me tuer
Hey, salut, je vais vous raconter la maladie qui a failli me tuer.
J'avais 10 ans, lorsque je me réveillais un matin. Ma mère vit mon cou gonflé, on ne savait pas ce que c’était. On est allé voir des médecins qui disaient que c’était rien.… On a donc décidé d’aller à l’hôpital pour savoir ce que c’était, eux-même ne savait pas. Ils m'ont gardé pendant un mois sans savoir quelle était la maladie.
Il y a même eu des étudiant qui sont venus pour étudier la maladie. J'avais de plus en plus de mal à respirer. Il y avait au moins 3/4 des médecins qui venaient par jour pour voir si tout allait bien. C'est seulement à quelques jours de la mort que des médecins vinrent pour dire qu'ils connaissaient la maladie et que c’était la maladie Kawasaki, une maladie très rare que l'on peut attraper que à l'âge d'enfant. Ils m'ont donné des médicaments puis une piqûre. Après la maladie est partie rapidement et je me sentais mieux.
Anonyme
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Évaluation actuelle de soi
J'aime le miel, la confiture, la musique, les gâteaux, les baskets, la piscine, le PSG, les parcs d'attractions.
J'aime pas les courgettes, les carottes, la ratatouille, les talons, les ballerines, les robes, l'hiver, l'école, la neige.
Cassandra
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Mon gros doigt de pied
Je vais vous raconter mon histoire. Je me rappelle je devais avoir quatre ou cinq ans, j’étais en grande section de maternelle. J'étais en classe avec mes copains, on dessinait et la sonnerie avait retenti pour que ma classe sorte en recréation. Jusqu’à la, tout se passait très bien, je jouais à chat avec mes copains et, un bout d'un moment, moi et mon copain Martin, on en avait marre de jouer à chat. Nous sommes partis demander à notre maîtresse si elle pouvait nous passer un ballon de foot en mousse. Nous étions trop petits, nous ne pouvions pas jouer avec une vraie balle de football sinon on allait se faire mal. Alors, la maîtresse nous donne la balle. On joue, on joue, tout se passe bien et là, la sonnerie retentit pour retourner en classe. Mais nous, on jouait encore et là, le drame arriva.
Je tire pour marquer un but mais au moment où je tire, je me suis fait mal à l'orteil. J’enlève ma chaussure et ma chaussette. Je vois mon gros doigt de pied qui saignait et qui était ouvert. J'avais mal, je pleurais, je criais.
«Papa,Maman!!!» Ma maîtresse arriva en pleine vitesse, elle me disait «Gaël, ça va ? Tu veux qu'on appelle les pompiers ?» «Oui vite, s'il vous plaît». Cinq minutes après, les pompiers arrivaient et disaient à ma maîtresse qu'il devaient m’emmener. Les pompiers me portaient jusqu’à leur camion pour me transporter à l’hôpital. J'avais fait une radio pour voir si rien était cassé et justement rien était cassé mais j'avais une grosse blessure et j’avais des béquilles.
Gaga la resta.
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Ma liste de cadeaux pour Noël
Les pouvoirs de Flash car je pourrais combattre contre le crime en tant que personne anonyme, courir sur l'eau. Voyager dans le temps pour voir si les Dieux ont existé ainsi que les créatures mythiques.
Le savoir absolu pour trouver comment vivre sur d'autre planète.Voyager dans un monde parallèle. Découvrir de nouvelles terres. Voyager dans d'autres galaxies.Empêcher que dans le futur des personnes essayent d'avoir des pouvoirs surnaturels pour faire le mal.
...
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Ma pire bêtise
C'était en petite section de maternelle. Moi et mes deux amis, on s'ennuyait .Benjamin décida d'aller aux toilettes.
Moi et Aaron, on le rejoignit. Une fois dans les toilettes, nous le voyons avec un gros rouleau de papier a la main. Directement, notre premier réflexe fut de boucher les toilettes et les éviers. Quelques minutes plus tard , nous décidions d'activer tous les robinets et les chasses d'eaux .
Ceci fait , nous partions comme des fusées à toute allure…
Il était 15 h, c'était la récréation . Nous étions en train de jouer au football quand la maîtresse vînt nous chercher . Elle nous emmena dans le bureau du directeur , Aaron et Benjamin me regardèrent, nous savions très bien pourquoi nous étions convoqués .
Une fois dans le bureau du directeur , nous restions debout et assistions à notre procès .
Il nous raconta comment il savait que c'était nous … C'était la sœur de mon pire ennemi qui avait le rapporté .
Au final, nous avons été exclu de la cantine pendant un mois avec une convocation des parents et une punition .
A la sortie de l'école , mon père était venu me chercher, lui aussi m'a puni, pas puni de jeux ou autres, puni de télé !
Anonyme
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Récit bref de souvenirs : une blessure
Je me souviens que pendant les vacances de Noël, je m'étais fait punir (enfin taper pour avoir créer un compte Facebook une semaine avant mes 13 ans avec l'accord de ma mère) .Mon père l'a appris quelques jours après que je sois allé chez lui. Il était venu me chercher en voiture. Moi, je montais, il commença à me poser quelques questions pour en savoir plus, et moi je lui répondis. Il s'énerva tellement qu'il me mit une gifle ensuite une deuxième et après une troisième, c'était une succession de gifles.
La troisième était la plus forte, je commençais à saigner du nez. J'aurais jamais cru que j'en aurais saigné parce qu'il en faut de la force pour déclencher ça. Tout ça pour un compte, alors qu'une semaine après, 7 petits jours, j’allais fêter mon anniversaire.
Anonyme.
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Mon accident de vélo
C'était les vacances, je devais être en sixième. J'étais parti en Bourgogne dans une maison de vacances que mes grands-parents avaient achetée. Avec moi, étaient partis mon père, ma mère et un copain d'enfance qui s'appelait Thom. Deux, trois jours après être arrivé, je partais avec Thom faire une ballade à vélo. Nous allions de plus en plus loin dans la campagne malgré l'interdiction de mes parents. Trente minutes après, Thom me dit qu'il fallait rentrer. Moi, curieux et têtu, je voulais continuer. Alors Thom me dit: «Tu n'a qu'à continuer tout seul ». Sur ses mots, il fit demi-tour. De mon côté, je continuais une ou deux minutes plus tard. Je me suis très vite lassé. Je fis donc demi-tour à mon tour. Arrivé à un stop, je vis Thom. Il traversa la route en regardant des deux côtés. Moi, pressé par l'envie de le rattraper je ne me suis même pas arrêté au stop. A ce moment même, une voiture passait. J'eus à peine le temps de freiner que la voiture percuta ma roue arrière. Heureusement, je n'avais rien. Plus de peur que de mal.
By Syzer
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