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polishpierogish · 8 years
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polishpierogish · 8 years
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polishpierogish · 8 years
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polishpierogish · 8 years
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polishpierogish · 8 years
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polishpierogish · 8 years
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Samedi 27 août
Lever matinal, Thomas sort à l'aube prendre des nonnes en photo pendant que je finis de me préparer. Le petit-déjeuner est royal, c'est un buffet de fruits frais et de gâteaux, le régime sans gluten attendra bien. Thomas voudrait bien trouver quelques magasins photo, mais il se font rare, on en trouve un dans la rue des sacs de toile d'hier. Peu d'occasion, mais des pellicules périmées et soldées. Thomas les prend toutes. Nous demandons conseil sur le marché aux puces photographiques près de la gare, mais le vendeur ne sait pas de quoi on parle. On y va quand même. On s'arrête aux halles qui sont sur la route, c'est très animé, coloré, et l'étage quasi abandonné, c'est parfait pour finir ses dernières pellicules. Il est encore tôt dans la matinée, on poursuit donc jusqu'à la gare, en vain, ce marché aux puces devait avoir lieu il y a une trentaine d'années. Pour nous économiser, nous rentrons en taxi jusqu'à l'hôtel où j'ourdis de manger dans le jardin botanique qu'il borde. Malheureusement, il n'y a pas de restaurant, nous devons donc déjeuner à l'hôtel. Je mange bien, Thomas non, mais au moins nous ne sommes pas gênés par les autres clients, nous sommes seuls. Le dessert sera fait de la meilleure glace de la ville, qui est à deux pas. La chaleur est écrasante, et la queue en plein soleil difficilement tenable, mais nous tenons. Nous rallions le jardin des plantes en rasant les murs pour trouver l'ombre. La glace est vite finie, et nous pouvons aller tuer les heures qui nous restent au jardin botanique. Pas de souci pour la route jusqu'à Berlin, dans ce sens la route est meilleure, nous arrivons sans encombre à l'aéroport. Les encombres se présentent sous le nom d'Easy Jet, notre avion a deux heures de retard, le Burger King nous a fermé sous le nez, l'ambiance est moite, nous sommes fatigués, mais heureux de ce voyage de l'Est.
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polishpierogish · 8 years
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polishpierogish · 8 years
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polishpierogish · 8 years
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polishpierogish · 8 years
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Vendredi 26 août
Dernier réveil en Slovaquie, la fin du voyage approche. Nous empaquetons et partons, je conduis, et heureusement car la route est infernale, la circulation est dense, le nombre de feux également. Il y a des travaux, des accidents, des ralentissements, et des chauffards partout. Sur l'air de repos à midi, le Whooper du Burger King nous fait de l’œil. Impossible de résister. On arrive à Wroclaw (prononcer vrostvao) dans l'après-midi, dans le très chic hôtel Jean-Paul II, situé dans le quartier religieux, une cathédrale à chaque coin de rue. Après une petite sieste, nous sortons visiter, d'abord dans les quartiers décrépis, où j'ai quelques difficultés à assumer notre présence photographique, puis le entre culturel que j'avais repéré est fermé. Nous rejoignons le centre en traversant les multiples petites îles, prenons plein de photo. Thomas achète quelques souvenirs, donc des sacs en toile bien grand, bien solide et bien décorés. Nous finissons par un hasard contraint par le flot de la foule sur la place du Rynek, et commençons à regarder les restaurants car les bienfaits du Whooper s'estompent déjà. Il nous faut d'abord nous extirper du centre bourré de touristes, j'ai repéré un resto végétarien pas très loin, mais très au fond d'une cour et sans terrasse, c'est dommage, la soirée est douce. Nous progressons, régressons, et jetons notre dévolu sur un italien où je dois tenir Thomas à l’œil. car il drague la serveuse. On mange très bien, nous fêtons dignement notre dernier soir de vacances.
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polishpierogish · 8 years
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polishpierogish · 8 years
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polishpierogish · 8 years
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Jeudi 25 août
Réveil, petit-déjeuner et préparation du pique-nique au Privat Krissak. D'un coup de voiture, on arrive assez tôt à Tatranska Lomnica où la queue pour monter à l'observatoire est rebutante mais nous décidons de prendre notre mal en patience. Le Dieu de l'altitude est contre nous, car c'est déjà complet, nous ne monterons pas à 2000 mètres ce jour. On pousse donc jusque Stary Smokovec un peu plus loin sur la route pour prendre le funiculaire, conduits par un chauffeur à l'allure improbable et à la nuque longue. On est en forme tous les deux, et démarrons sans peine notre randonnées jusqu'aux trois lacs. Sur l'avis de Thomas, on laisse le refuge derrière nous et irons pique-niquer un peu plus loin, sur un gros rocher en bordure de sentier, au péril de notre vie. La fin de l'itinéraire se durcit, et c'est 250 mètres de dénivelé que nous avalons en une heure, avant de découvrir les lacs promis, et le monde qui les entoure. C'est un peu Disneyland ici. Pause jus de pomme, on observe médusés les types du refuge descendre les bidons énormes du ravitaillement. On redescend chrono en main pour respecter le temps indiqué pour l'itinéraire. Il nous faut sauter de pierre en pierre pour ne pas prendre du retard, et courir à la fin, c'est totalement indécent, mais nous tenons le planning. Les temps de randonnées slovaques ne sont pas crédibles. C'est notre dernier dîner chez Goral. Les habitudes ne se perpétuent pas, nous ne retrouvons pas notre table. Mais nous arrosons de vin rouge, le Frankova Madra, et profitons de la télévision musicale slovaque, cela nous vaut plusieurs fous rires, les clips des années 80 sont des petites perles de mauvais goût. Nous prenons le poulet pané qui a reçu de chacun la palme de la meilleure panure chez Goral.
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polishpierogish · 8 years
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polishpierogish · 8 years
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polishpierogish · 8 years
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polishpierogish · 8 years
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Mercredi 24 août
C'était la dernière nuit à Havran, les clients suivants arrivent et nous mettent dehors. Le couple qui tient la pension nous a trouvé une chambre malgré l'encombrement du village à l'approche du week-end. On déménage chez Krissak, c'est beaucoup moins charmant, mais cela fera l'affaire pour une nuit. On monte en voiture jusqu'à la station de Bachelona Dolina d'où on continue par le télésiège après l'achat de quelques souvenirs. En haut, on prend peur car la marche que j'ai repérée semble être un parcours de santé pour les enfants, mais en s’enfonçant un peu plus sur le sentier, il s'avère en réalité agréable, nous offre un banc pour le déjeuner, au milieu des myrtilles. Rassasiés, on a même eu un peu de chocolat, on part à la recherche du lac qui est bien indiqué et pas difficile à trouver, si on omet la dernière pente boueuse à 70° pour y descendre. Le lac est petit, très arboré de jaune, vert et rouge, et d'un calme absolu, les castors y sont plus nombreux que les êtes humains. Pour éviter le demi-tour, on repart de l'autre côté du lac, le chemin n'est plus balisé et se transforme en mouillère. Je fais confiance à Thomas qui dit que sur la droite un peu plus loin, nous rejoindront la route qui nous ramènera. Je lui fais confiance, mais je doute, on s'éloigne vraiment beaucoup du lac, donc de la voiture. On finit par récupérer effectivement la bonne route, passe en haut du lac qui nous salue. On bifurque un peu trop tôt et se perd encore une fois, Thomas propose de couper à travers les fougères pour récupérer le véritable bon chemin. Je le suis bon gré mal gré, mais cette aventure nous vaudra une petite dispute. La peur est l'ennemie de l'amour. Sur le bon chemin et rassurés, on arrive sans se presser au télésiège, pour le descente. Un drame non prévu se présente : le service est terminé, je me suis mélangée sur les horaires. Il y a encore un employé qui nous autorise à prendre place malgré tout, je suis bien soulagée. Thomas fera la route dans le siège derrière moi, car dans la précipitation, il fait tomber son portefeuille, saute de mon télésiège, se fait engueuler par l'employé, et remonte dans le suivant. Quelques courses, une serpillière en guise de serviette de bain, la douche, et nous dînons dans nos quartiers chez Goral. Chaque soir se ressemble, nous prenons place à la table près des allemands qui jouent aux cartes, nous sortons prendre l'apéritif dehors, regardant le soir tomber, puis nous mangeons du poulet pané avec des pommes vapeur. Chaque soir se ressemble, mais chaque soir est agréable.
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