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Bourgeons
J’estime qu’à partir de cette période, nous entrons dans l’ère moderne de mes collages; dans le sens où j’y vois les aïeux de mes collages actuels. Je continuais à expérimenter et j’avais de plus en plus confiance en mes intuitions et au lâcher-prise.
Dal!
Dal!, 2016 colle blanche et magazine world of Aramco sur feuille A4
Abondance
Abondance, 2016 colle blanche et magazine world of Aramco sur feuille A4
Space Opera
Space Opera, 2016 colle blanche et magazine world of Aramco sur feuille A4
Vols
Vols, 2016 colle blanche et magazine world of Aramco sur feuille A4
Le bassin aux carpes
Le bassin aux carpes, 2016 colle blanche et magazine world of Aramco sur feuille A4
Canopée
Canopée, 2016 colle blanche et magazine world of Aramco sur feuille A4
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Expériences
Test...test...1..2...test
Eaux troubles
Eaux troubles 2016 colle blanche et magazine world of Aramco sur feuille A4
Jungle
Jungle, 2016 colle blanche et magazine world of Aramco sur feuille A4
Dédale
Dédale, 2016 colle blanche et magazine world of Aramco sur feuille A4
Iris
Iris, 2016 colle blanche et magazine world of Aramco sur feuille A4
Cornes
Cornes, 2016 colle blanche et magazine world of Aramco sur feuille A4
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Prélude: figures abstraites
Tout est dans le titre. Oh, ils portent encore des noms.
Cœur terrestre
Cœur terrestre, 2014, colle blanche et magazine world of Aramco sur feuille A4
Moi, j’y vois un chat noir avec des ailes de libellules,
https://youtu.be/h1xlHfhYW0Y
Fast Forward, nous sommes en octobre 2015, l’année 2014 a été mangé par ma formation d’auxiliaire.
L’arbre en marche
L’arbre en marche, 2015, colle blanche et magazine world of Aramco sur feuille A4
Un collage réalisé en partant de la pouponnière et en pensant aux enfants dont je m’étais occupée.
Janvier 2016, je suis dans mon appart’hôtel, j’ai emmené peu de choses; vêtements, ordinateur, et de quoi faire des collages.
Forteresse
Forteresse, 2016, colle blanche et magazine world of Aramco sur feuille A4
Anecdote : un des locataires de l’appart’hôtel aimait bien ce collage, il me l’a demandé pour son anniversaire, c’est ce que j’ai fait. Moi, je l’aime pas, ah !
Désert de larmes
Désert de larmes, 2016 colle blanche et magazine world of Aramco sur feuille A4
Des yeux secs inondés de larmes... non ? Non...
Rêve lucide
Rêve lucide, 2016 colle blanche et magazine world of Aramco sur feuille A4
C’est du figuratif mais c’est pas évident, je ne vais rien en dire, je suis curieuse de ce que toi, tu vas y voir.
Cérébelleux
Cérébelleux, 2016 colle blanche et magazine world of Aramco sur feuille A4
Un cerveau qui éclate, en sorte des neurones, des axones.
Herbier
Herbier, 2016 colle blanche et magazine world of Aramco sur feuille A4
Magnolia
Magnolia, 2016 colle blanche et magazine world of Aramco sur feuille A4
Fin du prélude.
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Débuts: figures.
Septembre 2013,
J’ai cherché quelque chose qui pourrait enchanter mon quotidien, quelque chose que j’aimais bien faire. J’ai d’abord eu envie de dessiner mais cela m’a semblé trop laborieux, je cherchais à me faire plaisir.
Je suis une internaute qui voyage dans des contrées étranges et à cette époque, je me souviens que j’étais attirée par des visuels sur le blog de Rookie
Cette simplicité de moyens pour des effets graphiques et oniriques, j’ai voulu m’en inspirer et m’essayer aux “papiers collés”.
Mes premiers collages portaient des noms.
Cronos
Cronos, 2013, papier craft, colle blanche et magazine.
Au moment de sa création, je me souviens avoir été déçue, je trouvais que ça manquait de fantaisie, qu’il y avait trop d’espaces vides qui ne servaient à rien, que ça se voyait que j’essayais de copier un style...
Malgré tout, j’avais envie de persévérer mais je n’avais pas envie d’utiliser les magazines que j’avais sous la main : des images publicitaires de parfum, vêtement, décoration. J’avais beau les retourner dans tous les sens, je trouvais que c’était plat.
Long story short, j’avais des magazines de AramcoWolrd,
Le petit Prince
Le Petit Prince, 2013, colle blanche et magazine world of Aramco.
Toujours aussi plat ! Mais je trouve ce petit bonhomme très mignon et j’ai pensé immédiatement au héros de Saint Exupéry, il pourrait illustrer le passage où le petit Prince narre l’amour qu’il porte pour une fleur qui vit sur sa planète :
J'appris bien vite à mieux connaître cette fleur. Il y avait toujours eu, sur la planète du petit prince, des fleurs très simples, ornées d'un seul rang de pétales, et qui ne tenaient point de place, et qui ne dérangeaient personne. Elles apparaissaient un matin dans l'herbe, et puis elles s'éteignaient le soir. Mais celle-là avait germé un jour, d'une graine apportée d'on ne sait où, et le petit prince avait surveillé de très près cette brindille qui ne ressemblait pas aux autres brindilles. Ça pouvait être un nouveau genre de baobab. Mais l'arbuste cessa vite de croître, et commença de préparer une fleur. Le petit prince, qui assistait à l'installation d'un bouton énorme, sentait bien qu'il en sortirait une apparition miraculeuse, mais la fleur n'en finissait pas de se préparer à être belle, à l'abri de sa chambre verte. Elle choisissait avec soin ses couleurs. Elle s'habillait lentement, elle ajustait un à un ses pétales. Elle ne voulait pas sortir toute fripée comme les coquelicots. Elle ne voulait apparaître que dans le plein rayonnement de sa beauté. Eh! oui. Elle était très coquette ! Sa toilette mystérieuse avait donc duré des jours et des jours. Et puis voici qu'un matin, justement à l'heure du lever du soleil, elle s'était montrée.
Et elle, qui avait travaillé avec tant de précision, dit en bâillant:
- Ah! Je me réveille à peine... Je vous demande pardon... Je suis encore toute décoiffée...
Le petit prince, alors, ne put contenir son admiration:
- Que vous êtes belle !
- N'est-ce pas, répondit doucement la fleur. Et je suis née en même temps que le soleil...
Le petit prince devina bien qu'elle n'était pas trop modeste, mais elle était si émouvante !
- C'est l'heure, je crois, du petit déjeuner, avait-elle bientôt ajouté, auriez-vous la bonté de penser à moi...
Et le petit prince, tout confus, ayant été chercher un arrosoir d'eau fraîche, avait servi la fleur.
Ainsi l'avait-elle bien vite tourmenté par sa vanité un peu ombrageuse. Un jour, par exemple, parlant de ses quatre épines, elle avait dit au petit prince:
- Ils peuvent venir, les tigres, avec leurs griffes !
- Il n'y a pas de tigres sur ma planète, avait objecté le petit prince, et puis les tigres ne mangent pas l'herbe.
- Je ne suis pas une herbe, avait doucement répondu la fleur.
- Pardonnez-moi...
- Je ne crains rien des tigres, mais j'ai horreur des courants d'air. Vous n'auriez pas un paravent ?
"Horreur des courants d'air... ce n'est pas de chance, pour une plante, avait remarqué le petit prince. Cette fleur est bien compliquée..."
- Le soir vous me mettrez sous globe. Il fait très froid chez vous. C'est mal installé. Là d'où je viens...
Mais elle s'était interrompue. Elle était venue sous forme de graine. Elle n'avait rien pu connaître des autres mondes. Humiliée de s'être laissé surprendre à préparer un mensonge aussi naïf, elle avait toussé deux ou trois fois, pour mettre le petit prince dans son tort:
- Ce paravent ?...
- J'allais le chercher mais vous me parliez !
Alors elle avait forcé sa toux pour lui infliger quand même des remords.
Ainsi le petit prince, malgré la bonne volonté de son amour, avait vite douté d'elle. Il avait pris au sérieux des mots sans importance, et était devenu très malheureux.
"J'aurais dû ne pas l'écouter, me confia-t-il un jour, il ne faut jamais écouter les fleurs. Il faut les regarder et les respirer. La mienne embaumait ma planète, mais je ne savais pas m'en réjouir. Cette histoire de griffes, qui m'avait tellement agacé, eût dû m'attendrir..."
Il me confia encore: "Je n'ai alors rien su comprendre ! J'aurais dû la juger sur les actes et non sur les mots. Elle m'embaumait et m'éclairait. Je n'aurais jamais dû m'enfuir ! J'aurais dû deviner sa tendresse derrière ses pauvres ruses. Les fleurs sont si contradictoires ! Mais j'étais trop jeune pour savoir l'aimer."
Le Petit Prince, chapitre 8, Antoine de Saint-Exupéry
Daphné
Daphné, 2013, colle blanche et magazine world of Aramco sur double page de ZapBook [(21x29.7)x2].
Ai-je essayé de m’inspirer du mythe de Daphné pour réaliser ce collage ? Non, j’ai seulement voulu faire un portrait féminin, c’est parce que les morceaux de magazines représentaient des éléments minéraux et végétaux que j’ai décidé que c’était Daphné.
Kosmonaut
Kosmonaut, 2013, colle blanche et magazine world of Aramco sur double page de ZapBook [(21x29.7)x2].
Celui-ci, je me souviens l’avoir consciemment composé, avant de coller les dés à coudre, je les avais disposé et pris en photo pour le reproduire.
Paix et décadence
Paix et décadence, 2013, colle blanche et magazine world of Aramco sur double page de ZapBook [(21x29.7)x2].
Je savais que je voulais continuer la robe de la femme avec les fleurs, y a de l’idée. Et aussi que je voulais des arabesques autour d’elle.
Neofolk
Neofolk, 2013, colle blanche et magazine world of Aramco sur double page de ZapBook [(21x29.7)x2].
La photo de ces jeunes femmes étaient coupées à la taille, j’ai donc décidé de “restaurer” leurs robes et leurs châles avac des éléments de couleurs similaires (éléments d’architecture, vues aériennes d’une ville...). J’aimais pas leurs têtes, elles ne sont certainement pas plus jolies mais je voulais qu’elles aient l’air tribales et modernes à la fois.
La jeune fille et les mots
La jeune fille et les mots, 2014, colle blanche et magazine world of Aramco sur double page de ZapBook [(21x29.7)x2].
Le masque funéraire de Toutankhamon était coupé et j’ai voulu lui donné la coupe qui était à la mode chez les femmes:
La source
La source, 2014, colle blanche et magazine world of Aramco sur double page de ZapBook [(21x29.7)x2].
J’avais manifestement envie de faire une rivière de vaisselle cassée avec des petits bateaux qui voguent dessus...
Reevolution
Reevolution, 2014, colle blanche et magazine world of Aramco sur double page de ZapBook [(21x29.7)x2].
Du parkour aux chimpanzés, il n’y a qu’un saut !
Ophelius
Ophelius, 2014, colle blanche et magazine world of Aramco sur double page de ZapBook [(21x29.7)x2].
Un souffleur de verre transformé en princesse Shakespearienne :
Creature
Creature, 2014, colle blanche et magazine world of Aramco sur double page de ZapBook [(21x29.7)x2].
Jolis mollusques, dommage que je n’avais pas fait de fond, y avait du potentiel.
Doorway to...
Doorway to, 2014, colle blanche et magazine world of Aramco sur double page de ZapBook [(21x29.7)x2].
C’est une époque où je n’ai manifestement pas peur de l’inachevé ! Ou bien avais-je peur de l’échec et de la frustration ?
Le don
Le don, 2014, colle blanche et magazine world of Aramco sur double page de ZapBook [(21x29.7)x2].
Mmmmh mystique...
Vertèbres
Vertèbres, 2014, colle blanche et magazine world of Aramco sur double page de ZapBook [(21x29.7)x2].
Un peu d’anatomie !
Sisyphe
Sisyphe, 2014, colle blanche et magazine world of Aramco sur double page de ZapBook [(21x29.7)x2].
Personnellement, je me comprends et c’est bien une illustration du sens de l’absurde, un éternel recommencement.
Fleurs de papier
Fleurs de papier, 2014, colle blanche et magazine world of Aramco sur double page de ZapBook [(21x29.7)x2].
Oh ! La découpe soigneuse :) Ca ne me ressemble pas.
Kaleidoscope
Kaleidoscope, 2014, colle blanche et magazine world of Aramco sur double page de ZapBook [(21x29.7)x2].
Je remercie mon compas pour ces magnifiques rosaces.
Kokoro
Kokoro, 2014, colle blanche et magazine world of Aramco sur double page de ZapBook (21x29.7).
J’ignore pourquoi je n’avais pas scanné ce dernier collage. Je ne le trouve pas beau mais je trouve qu’il ressemble tout de même à un cœur.
Et c’est le dernier de la série figurative et de l’utilisation du Zapbook, je passerai à la feuille libre A4.
FIN DU PREMIER OPUS
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