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Intégrer l’espace public dans le confort de notre salon
Si une société veut assurer la viabilité d’une démocratie en santé, la participation des citoyens dans l’espace public est une nécessité. L’espace public où s’engendrent les débats, les questionnements, les échanges et les ententes peuvent se dérouler à différents endroits. Auparavant, lorsque des groupes activistes voulaient se manifester dans l’espace public, ils se dirigeaient dans les rues pour faire entendre leur point de vue sur différents aspects politiques. Ces mouvements, souvent exprimés sous forme de manifestations, pouvaient facilement dégénérer et les autorités se devaient d’intervenir. À ce moment, le message que les manifestants tentaient de faire passer était souvent mal reçu et leurs actions avaient malheureusement été effectuées en vain.
Cependant, avec l’arrivée d’internet, l’atteinte de l’espace public est devenue beaucoup plus accessible pour les citoyens voulant y parvenir. En effet, il est maintenant beaucoup plus simple de se faire entendre à grande échelle par le biais de différents médias sociaux tels que Facebook et Twitter. Une opinion personnelle réfléchie peut facilement prendre de l’ampleur et devenir partager par plusieurs citoyens jusqu’à créer un réel mouvement social qui sera entendu par les élites politiques.
De plus, des applications ont été mises sur pied en Europe en vue de faciliter les communications entre les décideurs publics et privés. Ces dernières permettent aux citoyens de divulguer leurs opinions et leurs questions à propos de différents projets de loi en plus de favoriser la participation des citoyens puisqu’elles sont faciles d’utilisation.
Tout ceci sans oublier qu’il est maintenant possible de mobiliser des manifestations sans être obligé de sortir dans les rues. Effectivement, à l’aide de hashtag et de publications simultanés, il est possible d’envahir les médias sociaux de publication visant un but commun. Un événement récent peut exemplifier ce genre de manifestation. Une manifestation extérieure à l’échelle mondiale était prévue le 3 avril en vue de lutter contre les changements climatiques. Cependant, la pandémie du Covid-19 ne permet actuellement pas aux habitants de sortir de leurs résidences. Au lieu d’annuler complètement la manifestation, la militante environnementale Greta Thunberg encourage une mobilisation sur les réseaux sociaux qui aura le même effet qu’une manifestation extérieure.
En outre, l’avènement d’internet et des plateformes sociales numériques facilite et encourage les citoyens à intégrer l’espace public en vue maintenir une démocratie équitable et en santé.
Sources :
https://www.lesoleil.com/actualite/environnement/une-manifestation-virtuelle-pour-le-climat-le-3-avril-6c76e7aadfa10ba546b223ceb487033b
https://www.banquedesterritoires.fr/le-numerique-au-service-de-la-participation-citoyenne?fbclid=IwAR2xOCc9eRKlnDuGTDsTWeZUg4cKkFHiwbyvhEMz9w43OijmG2RygsOtIDY
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La viabilité des plateformes informationnels numériques
Durant la dernière décennie, nous avons assisté à un changement majeur dans le monde de l’information. En effet, plusieurs plateformes médiatiques traditionnelles ont vu leurs popularités diminuées grandement en raison de l’avènement du numérique. L’instantanéité et la rapidité des plateformes numériques ont rapidement su surpasser les médias traditionnels. Ces derniers ont donc dû se réinventer en vue de regagner leur popularité d’autrefois.
Après avoir investi des sommes plus que considérables, la majorité des journaux, des chaines télévisées et des postes de radio (baladodiffusion) sont maintenant devenus disponibles en ligne. Comme prévu, ce changement à recréer un engouement important autour de ces derniers.
Cependant, un problème majeur survient lorsqu’on se tourne vers le numérique ; la prédominance de la gratuité. Effectivement, la grande majorité des contenus que partagent les médias sont disponibles gratuitement en ligne. Ceux-ci se retrouvent donc avec la publicité comme seule et unique source de revenus. Un manque de fond important gruge actuellement les chances de survies de nos médias. Beaucoup de mises à pied ont été inévitables chez plusieurs médias québécois puisqu’on ne peut plus se permettre de rémunérer autant d’employés qu’auparavant.
La situation peut sembler alarmante en ce qui a trait à la survie d’une information juste, véridique et fiable. Il faut néanmoins se concentrer sur le positif puisque des mesures peuvent être prises en vue de rétablir la situation.
Pour débuter, il est possible de réduire l’accès à l’information gratuite. En effet, les médias québécois sont une source importante d’informations véridiques et les lecteurs sont parfois prêts à payer pour du contenu de qualité. Par exemple, plusieurs médias ont commencé à donner 4 articles par mois gratuitement. Par la suite, si le lecteur veut en consommer davantage, il se doit de débourser un léger montant. De plus, le gouvernement devrait investir des montants plus considérables en vue de lutter contre les géants du numérique de manière à prôner les médias locaux et leurs journalistes. Il y aurait aussi la possibilité de développer des partenariats avec les universités en vue de réduire les dépenses reliées à la main d’œuvre et au matériel.
En outre, la tentative des médias pour regagner en popularité fut un franc succès. Par contre, il s’agit maintenant d’ajuster le tir en vue de faire des profits plus considérables pour assurer la viabilité de nos médias.
Sources :
https://l-express.ca/a-lheure-du-numerique-comment-sauver-nos-medias/?fbclid=IwAR3S0LLXBFvwBciQd36MWwBcS9wCe8SJgvjf_muejk4Uk8Qxa5GNeYjEHaE
https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1411984/publicite-journaux-baisse-revenus-imprime-numerique?fbclid=IwAR1CWAp6kAYOHGlL1C2sv7xw1l2ev2wrqY0LWSDwTOhYONNJ0o4mNJQK_XQ
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SÉANCE #06 | Une identité numérique 100% fiable
Depuis l’avènement d’internet, on a pu apercevoir l’explosion d’une foule de médias sociaux qui sont aujourd’hui utilisés par des millions de personnes. Principalement, le but de ces plateformes est de se recréer une identité propre à soi pour faciliter les liens sociaux que nous entretenons avec notre environnement.
Puisque les utilisateurs de ces réseaux créer et gère eux-mêmes leurs profils, il est possible de modeler son identité pour faire en sorte que seulement la plus belle facette de nous apparaisse à la vue des autres. Si cette pratique est faite de manière banale, il se peut que cette falsification de l’identité ne cause aucune répercussion importante. Cependant, il arrive parfois que des utilisateurs mal intentionnés se créer des identités complètement fictives en vue d’effectuer des manœuvres illégales. Des individus, des entreprises et même l’État se sont vus victimes de gestes frauduleux qui n’aurait pas été possibles sans l’aide du numérique.
Néanmoins, le gouvernement provincial et fédéral envisage une réelle solution face à se problème; la création d’une identité numérique pour chacun des citoyens. Plusieurs pays ont déjà réalisé ce projet et les répercussions semblent n’être que positives. On parle ici de retrouver toutes les informations d’un citoyen tel que le numéro d’assurance sociale, le permis de conduire, la carte d’assurance maladie, le certificat de naissance et autres, tous sous une même application située dans les téléphones intelligents.
Cette application s’avèrera des plus sécuritaires puisque pour y accéder, l’utilisation de la reconnaissance facile et/ou les empreintes digitales de la personne en question seront nécessaires. De plus, il sera possible de montrer seulement les attributs nécessaires à la réalisation de certaines taches pour faire en sorte que la sécurité des utilisateurs soit optimisée. Par exemple, pour l’obtention d’alcool, il sera possible de seulement montrer sa photo et sa date de naissance pour éviter de dévoiler des informations superflues.
Pour conclure, on peut affirmer que l’identité en ligne fût jusqu’à présent très malléable. Cependant, ce nouveau genre d’application ne laissera aucune place à la falsification d’identité. C’est pourquoi il serait important de se demander quelles seront les conséquences de l’interdépendance des applications gouvernementales et des médias sociaux. Est-ce qu’on assistera éventuellement à une mutation des réseaux sociaux tels qu’on les connait?
Sources :
https://www.lapresse.ca/elections-federales/201910/16/01-5245677-ottawa-vous-donnera-t-il-une-nouvelle-identite-numerique-.php
https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1427120/identite-numerique-citoyens-quebec-fraude-vol-cybersecurite-eric-caire
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SÉANCE #05 | Beaucoup de liens mais peu de profondeur
Avec l’aide d’internet, nous avons mainteant accès à d’innombrables médias sociaux. Lors de leurs avènements, les critiques leur étant destinés étaient assez unanimes. Les médias sociaux ne possédaient pratiquement pas d’inconvénient. Cependant, aujourd’hui, les opinions sont plus partagées par rapport à ceux-ci. Ce court blogue s’intéressera particulièrement à ce qui a trait à la modification de nos types de relations interpersonnelles causés par les médias numériques. Il y aurait eu deux mutations majeures dans les liens sociaux que nous entretenons chaque jour avec notre entourage depuis l’arrivée des réseaux sociaux.
Premièrement, contrairement à ce que l’opinion publique a tendance à croire depuis un certain temps, l’utilisation d’internet et de ces nombreux réseaux favorise la quantité de liens sociaux qu’entretiennent les utilisateurs ce ceux-ci. En effet, la majorité des rumeurs qui circulaient divulguaient que les réseaux sociaux auraient tendance à isoler les utilisateurs en les recroquevillant constamment sur leurs différents appareils électroniques. Néanmoins, les dernières études effectuées par le Centre de recherche Pew Internet portant sur ce sujet prouvent qu’il n’y a pas plus de cas d’isolement aujourd’hui qu’en 1985! Même que, les utilisateurs quotidiens des réseaux affirment avoir un plus grand de réseau de contacts à l’aide des médias sociaux.
Le deuxième changement concernant nos liens sociaux s’avère un peu moins positif. Il est vrai que nous ne nous isolons pas plus qu’auparavant et qu’il nous est facile de garder un grand réseau de contacts grâce à internet. Cependant, qu’en est-il de la qualité des liens que nous entretenons ? Comme le dit si bien le dicton ; ce n’est pas la quantité, mais la qualité qui importe ! On dispose maintenant de liens sociaux nombreux grâce à l’ère du numérique, mais ces derniers demeurent très superficiels. En effet, on remarque que les utilisateurs abusifs des réseaux sociaux ont tendance à les utiliser pour faire l’exhibition de soi et pour augmenter leur estime personnelle plutôt que pour entretenir de réels contacts. Ce phénomène renforce une société individualiste puisque ce genre de consommateur de médias sociaux aura tendance à développer différentes dépendances reliées à leurs appareils électroniques et ces dépendances engendreront parfois de graves problèmes psychologiques.
En conclusion, internet et ses réseaux sociaux possèdent un réel potentiel pour entretenir nos liens sociaux. Il suffit simplement d’utiliser ceux-ci de manière appropriée.
Sources :
https://www.lemonde.fr/technologies/article/2009/11/05/les-nouvelles-technologies-favorisent-elles-le-lien-social_1263121_651865.html
https://www.franceculture.fr/sociologie/lien-social-et-reseaux-sociaux
https://www.ledevoir.com/societe/science/276086/les-nouvelles-technologies-resserent-les-liens-sociaux-revele-une-etude
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SÉANCE #04 | La surconsommation du numérique et les conséquences environnementales
Il est vrai que l’univers numérique nous rend la vie plus facile sous plusieurs facettes. Cependant, celui-ci ne comprend pas que du positif. En effet, on distingue depuis un certain temps plusieurs aspects négatifs tels que la cybercriminalité, la cyberintimidation la cyberdépendance et autres. Certes, ces derniers sont des problèmes importants, mais ce court blogue s’attardera à un problème auquel on ne portait pas attention jusqu’à très récemment.
Le monde du numérique est en évolution constante et les consommateurs ne cessent de vouloir se procurer la dernière version de leurs produits favoris. Que ce soit des téléviseurs, des téléphones, des ordinateurs ou même des vidéos en ligne, chacun d’entre eux nécessite une grande production de matériaux néfastes pour l’environnement. Le mercure, le plomb, le cadmium, le chlorofluorocarbone et divers retardateurs de flammes constituent une liste non exhaustive de ces matériaux néfastes.
On se rend aujourd’hui compte des nombreux aspects défavorables qu’implique la surconsommation d’objets numériques sur l’environnement. Effectivement, à l’exception des écrans d’ordinateurs et de téléviseurs qui ont un taux de récupération d’environ 60 %, le reste des objets électroniques sont recyclés à peine à 50 %. Le reste de ceux-ci sont jetés directement aux poubelles ou bien ils sont oubliés dans les abysses des sous-sols de maisons jusqu’à un éventuel déménagement où on finira tout de même par les jetés aux poubelles.
Lorsque nos objets électroniques terminent leurs vies dans des sites d’enfouissement plutôt que dans des sites de récupération dédiés à les accueillir, cela affecte nos nappes phréatiques, nos sols, notre air et éventuellement notre santé.
Il existe donc 2 principaux moyens pour limiter les conséquences de notre consommation de produits numériques. Premièrement, il est important de disposer de nos objets électroniques lorsque leur fonctionnement arrive à terme. Pour savoir où les déposer, il suffit d’aller voir sur internet pour trouver un site de dépôt. Deuxièmement, chacun d’entre nous se doit de renouveler ses articles électroniques seulement lorsque cela s’avère nécessaire. En effet, en utilisant nos appareils électroniques jusqu’à usure complète, nous limiterons notre empreinte écologique de beaucoup en évitant de nous débarrasser d’un produit qui aurait pu être utilisé encore plusieurs années.
Sources:
https://ici.radio-canada.ca/premiere/emissions/moteur-de-recherche/segments/chronique/131041/series-tele-netflix-amazon-pollution-numerique-environnement-impact-repercussions-internet-bande-passante
https://www.quebecscience.qc.ca/environnement/ou-vont-dechets-electroniques/
https://www.ledevoir.com/societe/science/515339/rebus-electroniques
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