Tumgik
notes-de-voyages · 5 years
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Épilogue
... Un peu tardif, puisque nous sommes de retour depuis 2 semaines! C’est fou ce qu’on a de choses «urgentes» (ou pas?) à voir et faire après une absence, même courte!
Alors, pour terminer, voici un panoramique de l’arrivée de l’Ill à Strasbourg, là où elle se sépare popur créer l’île du centre-ville. Et en guise de signature, mon initiale extraite du nom de la ville de Blankenberge (entre Ostende et Zeebruges), nom qui figure en lettres de plus de 2 m de haut sur la place principale.
Merci à ceux qui m’ont suivi, on se retrouvera peut-être au prochain voyage, et en attendant je vais continuer à publier quelques images sur Instagram («persovision») ou sur mon autre blog: PersoVision (évidemment!).
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notes-de-voyages · 5 years
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Insolites, drôles ou surprenants…
Deux semaines de voyage (30 août-12 septembre), quelques centaines de photos, et parmi elles des clins d’oeil que je me plais à vous rapporter.
Et pour ceux qui ne voient pas les légendes (qui devraient apparaître en mode diaporama, en cliquant sur une image), les voici:
1.- À Gand, il est peut-être plus facile de garer son canoë que sa voiture.
2.- À Gand toujours, voici un urinoir public bien ventilé: pas d’odeurs fétides.
3.- À Bruges, on espère que le portier concerné touche le chômage!
4.- Toujours à Bruges, il paraît que la bière est moins chère que l’essence… ce qui reste à prouver!
5.- À Ostende, on parle aussi anglais, au moins dans le couloir des WC.
6.- Cette grande entreprise n’a pas peur des mots, puisqu’elle a (aussi) un site en français.
7.- À Ostende, quand on a pas de vélo, on peut pédaler sur certains bancs publics et même s’entrainer en équipe.
8.- Dans le TGV français, on sait où le risque cardiaque est le plus grand.
9.- Certains trains belges ont un aérodynamisme surprenant. Il s’agit bien ici de l’avant d’une rame, avec poste de pilotage! Ou bien l’airbag est-il sortit du mauvais côté!
10.- À Lille, on savait les Autorités de gauche, mais peut-on barrer la route à l’Histoire?
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notes-de-voyages · 5 years
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Strasbourg, une île sur l’Ill (2e partie)
Le coeur de la ville de Strasbourg est sur une île. En effet, l’Ill est une rivière affluente du Rhin qui entoure de ses bras le centre-ville historique.
Cela donne une ambiance particulière à la cité avec, le long des berges, de nombreux bâtiments chargés d’histoire(s), plus de 20 ponts et passerelles piétonnes, un ancien barrage, deux écluses, et des promenades «hors du temps» alors qu’on est à quelques dizaine de mètres seulement de l’activité urbaine actuelle.
À voir et à revoir. On a quitté Strasbourg sous le charme…
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notes-de-voyages · 5 years
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Strasbourg, ville d’Histoire (1ère partie)
Dernière étape de notre petit périple, Strasbourg, une ville chargée par l’Histoire de l’Europe, le conflit franco-allemand et la réconciliation des mêmes à travers l’Union Européenne qui y a placé son siège parlementaire.
Les bâtiments historiques sont nombreux, à commencer par la très imposante cathédrale et ses gargouilles, heureusement plus drôles que ses sculptures religieuses!
Les anciennes maisons à colombages de la vieille ville n’ont pas empêché des créations architecturales modernes, comme l’agrandissement de la gare par une verrière qui la recouvre partiellement, le Parlement européen, le siège d’Arte ou le Musée d’art moderne et contemporain.
Et pour terminer, le coucher de soleil que nous avions depuis notre chambre d’hôtel…
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notes-de-voyages · 5 years
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Souvenir de Lille
Le 7 septembre, on a quitté Ostende pour Lille, toujours en train, via Bruges, avec changement à Courtrai, puis en passant par Tourcoing et Roubaix. 
Lille, capitale du nord de la France, ne nous a pas laissé un souvenir enthousiasmant. C’est fou ce qu’en France il y a plus de mendiants qu’en Belgique. Plus de saleté aussi, plus de dégradations dans l’espace public, plus de trucs «qui devraient fonctionner mais qui ne fonctionnent pas»… Dommage car le potentiel est bien là.
Entre autres visites, nous avons été au Palais des Beaux-Arts, un imposant bâtiment avec des centaines et des centaines de tableaux, à 95% des «bondieuseries», accrochés sans logique apparente et sans espace entre eux, comme entassés.
Si bien que ce que j’ai trouvé de plus intéressant, c’est le bâtiment lui-même, ses voûtes massives, ses escaliers, ou le reflet de l’édifice dans la façade-miroir d’en face. 
Deux exceptions aussi, pour moi qui suis plus sculpture que peinture: cette salle des marbres où deux statues noires font un joli contraste avec l’environnement généralement blanc, et cette installation contemporaine, sorte de bassin sec, réalisée avec des miroirs.
Autre exception, mais cette fois à la gare Lille-Flandres, cette énorme lune suspendue à la verrière, d’un surréalisme extraordinaire. Une oeuvre de Luke Jerram, appelée «Museum of the Moon».
Après 2 jours à Lille nous sommes partis pour Strasbourg. À suivre…
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notes-de-voyages · 5 years
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Ostende - Sur le front de mer
À part des hôtels, des restaurants, des boutiques et un Casino, le front de mer à Ostende est occupé au sud par une galerie à colonnades impressionnante, et au nord par une grande place «habitée» par un surprenant groupe de sculptures monumentales, en tôle rouge et magnifiquement cabossées.
En ce qui nous concerne, on a loué un pédalo à roues avec lequel nous avons affronté le vent pendant une heure: 4 bons km aller et les même au retour!
Et le soir, c’est à pied que nous avons admiré la plage désertée…
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notes-de-voyages · 5 years
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Ostende-plage
Mercredi 4 septembre; départ de Bruges pour Ostende. Cette ville est surtout attractive par son immense plage de sable fin et la promenade de front de mer qui va avec. C’est aussi un port de pêche et, assez modestement, un port commercial ou plutôt industriel: on y a vu une station pétrolière au repos et quelques barges ou cargos avec des chargements de très grosses pièces métalliques.
La mer du Nord, c’est pas les Baléares (!) et le temps y est très changeant. Le vent lève des embruns qui forment une sorte de brume. Les chalutiers sortent malgré les grains qui s’annoncent… et qu’on prendra effectivement un peu plus tard!
Le drapeau vert des gardiens de plage indique que la baignade est autorisée (l’eau est donnée à 20°C!), mais ils sont emmitouflés dans leur K-way et il n’y a personne dans l’eau. Le vent d’ouest est bien assez fort et sur une autre partie de la plage, des «kite-surfeurs» s’en donnent à coeur joie avec leur sport favori. Et quel sport!
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notes-de-voyages · 5 years
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Voir Bruges… sans visite guidée!
Samedi 2 septembre: départ pour Bruges… encore une fois pour 6.80 € par personne! Le train est bien plein, mais on a des places assises, c’est tout ce qu’il nous faut.
Bruges est une célébrité du patrimoine historique de l’UNESCO, donc envahie par des hordes de touristes. Ça en devient même comique d’observer ces groupes hétéroclites ou ethniques, dûment étiquetés d’un badge autocollant avec numéro et équipés d’oreillettes. L’avantage c’est que plusieurs groupes, même nombreux, peuvent se suivre de très près sans interférence sonores des explications des guides. Le temps de boire un café à une terrasse, c’est bien 5 ou 6 fois une trentaine de personnes qui défilent ainsi, souvent en colonnes par 2… ça ne fait en tous cas pas envie!
C’est vrai qu’il y a de magnifiques bâtiments de 400 ans et plus, c’est vrai que le Groeninge Museum est super intéressant avec son exposition de la peinture flamande du XVe siècle à nos jours, c’est vrai que les nombreux canaux qui parcourent la ville sont attrayants, c’est vrai que les calèches tirées par des chevaux c’est plutôt sympa, c’est vrai… mais on est vite submergés par tant de monde, on ne s’attarde pas dans les lieux trop fréquentés, on n’ira pas faire un parcours en canot moteur, ni en calèche…
Par contre, on s’est baladés et on a apprécié les coins moins fréquentés: petites places, jardins publics, ancien béguinage, galeries d’art, bistrots sympa, etc.
Sur une de ces places, il y avait des sculptures en bronze représentant les 4 cavaliers de l’Apocalypse: la mort, la famine, la guerre et la conquête. C’est ce souvenir de Bruges que j’ai choisi de vous montrer aujourd’hui.
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notes-de-voyages · 5 years
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Un jour à Gand
En Belgique, il fait bon être (un peu) vieux: n’importe quel déplacement en train et le retour éventuel dans la même journée ne coûte que 6.80 € pour les plus de 65 ans. On en a donc profité pour faire un saut à Gand le 1er septembre. Anvers-Gand, c’est tout de même une heure de train. 
À la sortie de la gare, un immense parking à vélo qu’on essaye d’imaginer à l’heure des trains de pendulaires: bonjour la mêlée!
Gand, c’est surtout une vieille ville bien conservée, dont un beffroi où l’on peut monter (partiellement en ascenseur!). La vue y est magnifique sur les autres tours et bâtiments du Moyen-âge, et on y croise une ancienne version de l’impressionnant dragon qui surmonte son clocher.
Il y a aussi des canaux… et les visites en bateaux à touristes qui vont avec! On a cédé, et c’était finalement très bien, dans un canot de moins de 20 places, avec un jeune guide parlant parfaitement français, drôle et sympathique. La «croisière» se fait tranquillement, sans précipitation, avec des explications claires et des anecdotes, et énormément de respect des lieux…
Il y a beaucoup de touristes à Gand, mais ce n’est pas la foire ni l’envahissement des groupes numérotés avec oreillettes qu’on rencontrera ensuite à Bruges.
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notes-de-voyages · 5 years
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Anvers insolite
Une bien étrange manière de «bocaliser» des poissons rouges. Serait-ce pour mieux les voir?
Et dans la cour de la Maison de Rubens, la collision de deux systèmes d’alarme, à 400 ans d’écart! Un voisinage du charme ancien et de l’efficacité (supposée) moderne, dont l’esthétique et le bon goût font assurément les frais...
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notes-de-voyages · 5 years
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Art en ville d’Anvers
Dans un jardin botanique, 4 silhouettes bleues semblent s’enfoncer dans la pelouse. Étrange et majestueux...
Et au pied de la cathédrale, un groupe de bronzes en hommage aux constructeurs de cet édifice. Beau et émouvant...
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notes-de-voyages · 5 years
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Une place un peu étrange...
Juste à côté de notre hôtel (Ibis Antwerpen Centrum), se trouve une grande place couverte d’une impressionnante toiture transparente dont la réverbération sonore est assez désagréable, malgré la hauteur. 
Cette structure est accolée à une salle de théâtre et d’impressionnantes rampes d’escalier y trouvent place. Issues de secours ou voies d’accès? On ne saura jamais...
Le premier soir (vendredi 30 août), on a eu droit à une sorte d’apéro-disco où les gens devaient hurler pour se parler, tant la sono du DJ était forte et l’amortissement du son faible. Heureusement, cela s’est terminé vers 23h.
Le lendemain, il y avait un marché, très vivant et plein de monde. Et le soir venu, sur la place redevenue vide, seul un mouton-doudou rouge, oublié ou perdu par un enfant, veillait encore sur quelques sacs d’ordures...
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notes-de-voyages · 5 years
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Anvers… le bon endroit!
La gare d’Anvers est monument assez extraordinaire. Certainement érigée au début du XXe siècle (ou un peu avant?), et ne pouvant certainement pas s’agrandir en surface, elle a maintenant 2 étages en sous-sol. C’est donc 3 couches de trains qui assurent les nombreuses liaisons qui relient ce centre industriel et portuaire au reste de la Belgique et au Monde.
Arrivés vendredi 30 août dans l’après-midi, nous y sommes restés 3 nuits (à Anvers, pas dans la gare!) et donc repartis aujourd’hui lundi 2 septembre pour Bruges.
Entre-temps, ce fut un jour et demi de tourisme à Anvers, et une escapade dimanche à Gand. Mais j’y reviendrai plus tard avec quelques images.
En attendant, si la Leffe n’est pas une découverte, j’ai pris certains risques linguistico-culinaires en commandant le plat entouré de rouge sur la dernière photo! Vraiment très bon: une sorte de boeuf bourguignon à la belge. Ici, très peu de monde parle français, mais les gens sont sympa, on mange des choses succulentes et on peut commander les yeux fermés! De plus, le choix de vins (évidemment non belges!) est excellent et relativement bon marché. Alors santé et bon appetit!
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notes-de-voyages · 5 years
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Cap sur la Belgique
On s’est levés à l’aube, ce matin, pour prendre le premier TGV en direction de Paris. Notre réservation pour une croisière sur un cargo nous a été annulée par la compagnie maritime quelques jours avant l’embarquement prévu du 1er septembre, car notre cabine ��tait occupée par un inspecteur technique (?!?). Et comme nous avions déjà acheté les billets de train jusqu’à Anvers et payé 2 nuits d’hôtel, nous avons décidé de partir tout de même et de faire un peu de tourisme en Belgique…
Comme d’habitude, je traque les bizarreries ou originalités rencontrées sur le trajet, et là ça a commencé avec une étrange interdiction découverte dans les toilettes du TGV Lyria. Puis, à la Gare du Nord, à Paris, une drôle de maison-sculpture nous a fait pencher la tête.
Arrivés à Bruxelles-Midi, on ne peut pas s’empêcher de penser que cette gare n’est à l’heure qu’une fois par jour. 
Et dernière originalité: nos billets Paris-Bruxelles. Quand on les a achetés, on avait bien dit jusqu’à Anvers, or rien n’est explicité… Eh bien, vérification faite au bureau d’information, il faut savoir que la mention TGB signifie «Toutes Gares Belges». Ça ne s’invente pas: on pouvait aller n’importe où en Belgique à la date du billet!
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notes-de-voyages · 6 years
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Suspension (temporaire?) des voyages
Voilà. C’est décidé, à moins d’un événement particulier exceptionnel, je n’irai pas au Burkina Faso cette année.
En effet, le niveau d’insécurité est encore monté d’un cran ces derniers mois, avec des attaques djihadistes dans le nord et l’est du pays, dirigées contre les forces de l’ordre, mais qui ont aussi fait des victimes civiles, des fonctionnaires et des enseignants… Plus de 50’000 enfants ne sont plus scolarisés dans ces zones rurales, faute d’enseignants qui ont fuit sous la menace, … et c’est compréhensible!
C’est trop facile pour ces terroristes, riches et armés, d’acheter de gré ou de force, souvent pour le prix d’une moto à 600.- €, le silence ou des renseignements sur les mouvements des forces gouvernementales.
Certaines attaques meurtrières ont déclenché des représailles encore plus meurtrières envers certaines communautés ethniques (notamment des Peuls, nomades), par des milices locales d’autodéfense appelées «kogl-wéogo». Dans un pays où la tolérance inter-ethnique a toujours été remarquable, cela représente une première très grave dérive. Celle-ci a été dénoncée par une importante manifestation calme et digne de la population en ville de Ouagadougou, avec une représentation quasi unanime des quelque 60 groupes ethniques burkinabè. Il faut espérer que ces règlements de comptes cessent et que les forces de l’ordre protègent correctement la population. Dans un pays pauvre, la gageure est de taille…
Par ailleurs, il y a eu des enlèvements de Blancs, toujours dans le nord, ainsi que la récente disparition de deux touristes (une canadienne et un italien), vraisemblablement entre Bobo Dioulasso et Ouagadougou.
Le gouvernement burkinabè a déclaré l’«état d’urgence» dans le nord et l’est du pays, et, depuis quelque temps, même les régions de Ouagadougou et Bobo Dioulasso sont déconseillées par les gouvernements suisse et français.
Tout cela s’ajoutant à quelques raisons plus personnelles, je n’irai donc pas au Burkina Faso cette année.
En conséquence, il n’y aura pas de «Notes de voyages» ni de «Brèves…» avant un certain temps.
Mais je ne vais pas me taire ni fermer les yeux pour autant, et mon nouveau blog PersoVision recevra mes textes et photos «hors voyages». Parution sporadique mais tout de même quelques fois par mois!
Et n’oubliez pas que vos commentaires par courriels seront très appréciés (voir le lien dans l’en-tête du blog). Alors, à bientôt!
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notes-de-voyages · 7 years
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Retour au pays
Malgré les attentats de la veille, l’activité de l’aéroport Thomas Sankara de Ouagadougou est normale ce samedi 3 mars. Après mon pot d’au-revoir traditionnel où les amis viennent partager le verre de l’amitié, je patiente dans la salle d’embarquement. L’avion a une heure de retard car ils ont dû changer un pneu à Abidjan (crevaison?). Il est environ minuit (heure locale) quand on décolle enfin.
Il est presque 6h du matin, hier, quand on atterrit à Bruxelles. L’hôtesse a bien mis 5 minutes pour ouvrir la porte [Photos du bas], en y mettant tout son poids (!) et avec force coups de pied dans cette sorte d’air-bag en bas de la porte... dont elle a fini par détacher la carrosserie!
Bien plus tard, à l’arrivée à Genève, les douaniers m’ont retenu 2 heures, fouillé mes bagages (75 kg dont 40 de bronzes!), et questionné sur leur contenu. Je n’ai finalement payé la TVA que sur les oeuvres de Vincent de Paul Zoungrana, mais ce qui a lourdement (pré)occupé les douaniers pendant tout ce temps, c’est les 3 statuettes en ébène que j’ai ramené: le «trafic» d’ébène est-il autorisé par les lois de protections des espèces animales et végétales en perdition? La réponse a tardé à venir et n’était d’ailleurs pas claire, car on était dimanche et «Berne ne répondait pas rapidement» [sic]. Ils m’ont finalement laissé partir avec tous mes objets. Yel kayé!
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notes-de-voyages · 7 years
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Vendredi noir
Hier matin, j’ai quitté le centre ville de Ouaga vers 9h30 pour me rendre au Ministère de la Culture, non loin de l’aéroport. Une exposition d’artistes ouagalais (dont Vincent de Paul Zoungrana) se préparait à accueillir la «Première Dame» (épouse du Président) qui devait parrainer la manifestation...
Et juste après 10h, c’est la panique: des grosses fumées noires s’échappent du centre de la ville en deux points. On apprendra que c’est de l’État Major des Armées (photo), à 200 m de mon hébergement, et de l’Ambassade de France dont il s’agit. On cherche des informations sur les radios locales. Des bruits courent déjà selon lesquels ce serait «militaires contre militaires». Quelques rafales proches mais sans suite nous font brièvement entrer dans les bâtiments. Deux hélicoptères français (?) survolent la ville sans vraiment intervenir...
La situation se calmera vers midi, mais l’exposition est évidemment annulée. Les artistes repartent avec leurs oeuvres en maudissant les djihadistes.
Tous les marchés, tous les maquis, toutes les boutiques sont fermés en ville. C’est le désert. Sans même parler des lieux des attentats qui sont bouclés sur un large rayon. On trouve finalement de quoi boire et manger à la «Patte d’Oie», au sud-ouest de la ville, en bout de piste de l’aéroport. Là, à part le survol de quelques avions qui atterrissent, et le va et vient des ambulances tout est calme, si ce n’est les discussions...
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