mtlimaginaire
Montréal imaginaire
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mtlimaginaire · 11 years ago
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Une étape supplémentaire.. de jours en jours et au fur et à mesure de la réflexion se dessine un projet qui prend une direction un peu différente, mais qui présente une ouverture plus large et plus propice à la participation et l’implantation. On parle beaucoup ces jours ci de méthode de travail vis à vis de sa propre créativité. Je sais par expérience que le début de toute chose est pour moi le croisement et les rencontres d’une multitude d’éléments, parfois correspondent, parfois très éloignés les uns des autres, les idées sautent parfois d’un monde à l’autre et je suis souvent peu capable de les représenter mais nulle d’entre elles ne s’égare jamais. Une idée que j’ai conscientisée me servira toujours, soit dans le projet en cours, soit s’imposera de fait dans un projet futur comme une exigence à utiliser…
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mtlimaginaire · 11 years ago
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Superbe déclaration d'amour aux quotidiens et aux gens.
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mtlimaginaire · 11 years ago
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Une étape supplémentaire.. de jours en jours et au fur et à mesure de la réflexion se dessine un projet qui prend une direction un peu différente, mais qui présente une ouverture plus large et plus propice à la participation et l'implantation. On parle beaucoup ces jours ci de méthode de travail vis à vis de sa propre créativité. Je sais par expérience que le début de toute chose est pour moi le croisement et les rencontres d'une multitude d'éléments, parfois correspondent, parfois très éloignés les uns des autres, les idées sautent parfois d'un monde à l'autre et je suis souvent peu capable de les représenter mais nulle d'entre elles ne s'égare jamais. Une idée que j'ai conscientisée me servira toujours, soit dans le projet en cours, soit s'imposera de fait dans un projet futur comme une exigence à utiliser...
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mtlimaginaire · 11 years ago
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PLACE PUBLIQUE : CRITIQUE ET SOLUTION
Des études démontrent que la présence d’espaces publics est un élément important de l’environnement urbain, que cette présence contribue à
en augmenter la qualité de vie. La place publique est un lieu essentiel aux quartiers, un lieu convivial qui favorise les rencontres et les échanges. Les gens s’y rassemblent pour plusieurs raisons, mais il s’agit réellement d’y vivre un moment ensemble. Et parce qu’ils partagent l’usage de ce lieu, les gens ont systématiquement quelque chose en commun, ce qui contribue à conforter leur attachement au quartier ; les gens qui participent à la vie sociale du quartier, dans l’un ou l’autre de ses aspects, prennent le temps de l’apprécier.
Selon William H. Whyte, une manifestation propre à la place publique est la triangulation. Il s’agit d’un phénomène par lequel un événement externe permet à deux étrangers de créer un lien social afin de communiquer comme s’ils se connaissaient. Un élément physique de la place publique, par exemple un monument, une fontaine, ou une statue, ou encore être témoin d’un événement peut faire apparaître ce phénomène en faisant en sorte de démarrer la conversation. Ainsi, la place publique est l’endroit tout désigné pour favoriser les rencontres et contribuer à la formation de la communauté d’un quartier.
Sans contredit, de nombreuses places publiques de la ville sont plutôt réussies en terme de fréquentation et de popularité. Quiconque se promène sur la rue Ontario, entre les rues Pie-IX et Joliette par un samedi ensoleillé, se retrouve devant un bel échantillon de la faune d’Hochelaga-Maisonneuve à la place Simon-Valois. On voit des vieillards qui discutent et des moins vieux qui attendent. On voit des gens qui semblent assez pauvres et des familles qui vont prendre une crème glacée. On voit de jeunes professionnels qui prennent un café et un nombre important de gens qui passent au travers. Il se peut même qu’on assiste à un rassemblement pour une manifestation ou à un autre événement social. Contrairement à ce que d’autres peuvent penser, chacun a sa place à Simon-Valois. Et à cause de tout ça, elle est belle.
  D’un autre côté, elle représente tout ce que j’ai à reprocher à une place publique : grise, centralisée, bétonnée, statique ; elle ressemble à toutes les autres. D’ailleurs, quand la ville de Montréal crée ou tente d’améliorer des places publiques, c’est souvent sur le même modèle assez impersonnel.
  Je rêve d’un autre genre de place publique ; un modèle complémentaire aux places publiques actuelles. En effet, ce qui constitue la place, son bâtit, l’ancre dans une réalité statique et lourde. Tout d’abord, son revêtement est dur ; rares sont ceux qui choisiront de s’asseoir par terre. Contrairement au parc, les possibilités d’assises y sont restreintes, tandis que le dallage utilisé fait en sorte de rendre la place publique terne et monochrome. Ensuite, on retrouve de plus en plus de bancs dont le design est pensé pour qu’on ne puisse s’y étendre afin d’éviter un problème de  «squat». Les bancs de la place sont conçus pour un nombre limité de personnes et ils sont souvent configurés de façon à ce que les gens ne puissent s’installer en vis-à-vis. Enfin, ce mobilier est fixe ; personne ne peut le déplacer. Cela réduit aussi les choix que l’usager est amené à faire.
  L’accès à la place peut parfois être ardu ; de façon
à ce qu’un maximum d’usagers s’y retrouve chaque jour, la place est située au centre du quartier. Tous n’ont donc pas accès à une place à moins de dix minutes de leur domicile, raison pour laquelle ils ne fréquentent pas la place de leur quartier ; soit parce qu’ils ne peuvent se déplacer aisément ou simplement par paresse. Multiplier les possibilités de places publiques est une solution. Une place publique mobile pourrait apparaître là où il n’y avait rien quelques heures auparavant et n’y rester que temporairement. Son implantation activerait des lieux auxquels le citoyen n’a pas accès et amènerait le public à réfléchir à l’usage de ce lieu, à ses possibilités. Puis la place disparaîtrait pour se matérialiser ailleurs.
 Bien plus que la place publique, les parcs sont destinés aux jeux, à la flânerie et aux activités. Je voudrais une place accueillante qui porte les gens à y rester assez longtemps pour réellement profiter du lieu, une place qui suggérerait plusieurs usages différents des plus communs, tels l’observation des autres, l’attente ou la consommation d’un sandwich. Une place qui favorise les interactions entre les gens, style d’hybride entre parc et place. Ainsi, je crois que le mobilier de la place publique est une clé pour créer un nouveau modèle plus accueillant. En effet, il peut contribuer à corriger chacune des critiques que je dénonce dans le modèle actuel. Un tel mobilier apporterait un éclat de couleur par son traitement graphique, serait modulable tant dans sa forme que dans sa façon de s’assembler pour créer un autre morceau, déplaçable par l’usager et permettrait des usages variés. Poursuivant l’objectif de contrer l’effet statique de la place, le mobilier et la place seraient constamment renouvelés, réinventés et redéfinis, de façon à créer l’effet de triangulation.
Selon Christopher Alexander, le caractère, voire l’âme d’une place publique lui est conféré par les événements qui s’y produisent, quels qu’ils soient. Ces événements peuvent être variés ; spectacles, rassemblements, mais également le vent qui souffle ou le soleil qui brille peuvent être considérés comme des événements qui influencent notre état d’esprit. Ainsi, un mobilier simple mais polyvalent tant dans sa forme que dans les usages qu’on en fait suffit à créer l’événement puisqu’il contribue à changer l’expérience qu’on fait d’un lieu. Les événements constituant l’âme de la place, les lieux choisis, tout comme le mobilier construit doivent suggérer des utilisations, doivent amener l’événement, le rendre possible. Le mobilier doit ouvrir les possibilités plutôt que les dicter, donc les restreindre.
De par l’usage qu’on fait de la place, les gens y sont souvent passifs. Je souhaiterais que les usagers de la place publique deviennent acteurs de leur environnement, qu’ils prennent part à la vie-même de la place. Trop de lieux dans la ville sont actuellement sous-utilisés ou désuets. Il faut amener la population à réfléchir sur l’espace qui est converti en condos, à l’espace octroyé à la voiture, une superficie qui est enlevée aux piétons, à la proportion de stationnements dans la ville, à questionner l’usage des petits terrains vagues ou encore des lieux très achalandés en semaine mais qui sont complètement désertés la fin de semaine. Il faut que les gens revendiquent cet espace et qu’on leur redonne.
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mtlimaginaire · 11 years ago
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Quand j’ai passé voir mes amis les arbres aujourd’hui, j’ai découvert qu’ils sont partis sans rien dire. Ils avaient lassé des traces des aiguilles de pin sèches sur le sol et la ruelle avait l’air désertée et vide. J’ai décidé que c’était peut-être mieux de ne pas songer leur destin et d’apprécier leur séjour pendant ces dernières mois. Le printemps vient bientôt et le cycle de vie continue. 
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mtlimaginaire · 11 years ago
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Il y a beaucoup de les petite surprises qu'on découvre quand on marche dans les rues de Montréal. Une sculpture de glace coloré, le même oiseau de graffiti que j'ai vu déjà dans un autre quartier et des baleine et la mer sur le sous sol d'un bâtiment dans le McGill Ghetto. On peut déguster les saveurs d'une ville à pied et à vélo…. surtout à Montréal.
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mtlimaginaire · 11 years ago
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Dans le documentaire “L’Échelle Humaine” de Jan Gehl, on apprend un peu de l’histoire de Christchurch, New Zealand, et les efforts de reconstruire la ville après le tremblement de terre. Ça m’a rendu curieuse de faire un peu plus de recherche sur l’organisation “Gap Filler” qui était mentionné dans le film. Le but de l’organisation est de rassembler des gens autour d’une activité communautaire et de réactiver des espaces vides à Christchurch parmi des projets temporaires. Il y avait crée un cinéma cyclable, une piste de danse mobile où une machine à laver devient comme un juke-box (Dance-o-Mat) et une pavillon pour les concerts et performances. Tous ces projets ont un aspect communautaire de se réunir des gens mais aussi de changer la perception d’une escape. L’espace devient un endroit vivant et non plus une espace vide qui porte les souvenirs du tremblement de terre. En fait, ces projets me semblent similaires aux projets qu’on fait au DESS. C’est sûr qu’il ne faut pas avoir un tremblement de terre pour trouver des moyens de réactiver des espaces vides.   
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mtlimaginaire · 11 years ago
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Très intéressant....C'est une organisation qui était créé à Christchurch, New Zealand après le tremblement de terre. L'idée est d'encourager les citoyens de retourner en ville et créer des événements créatifs dans les espaces vides. 
"The earthquakes of 2010 and 2011 and the subsequent demolitions left many Christchurch central-city sites vacant. In response, Coralie Winn and Ryan Reynolds created Gap Filler -- a project that encourages temporary creative uses of vacant sites to bring people back into the city. So far, Gap Filler has brought Christchurch residents music events, a bicycle-powered cinema -- and a book exchange based in a phone booth."
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mtlimaginaire · 11 years ago
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mtlimaginaire · 11 years ago
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REPÉRÉ / MOMENT DE GRÂCE
1 649 519 Montréalais, autant de vies, de routines, de quotidiens différents. Multitude d’intimité, telles des planètes qui se croisent, échangent et tournent autour du même ou de différents centres. Montréal, « ville du quotidien », ville de ces quotidiens, permet un équilibre incroyable à cette diversité et laisse la place à chaque personnalités de s’affirmer.
Une utopie du quotidien qui se base sur le réel, prend forme autour de la personne. C’est une quête du banal, de l’inattendu et du poétique qui transparait à travers chaque quotidien, de chaque vie.
Le dynamisme, l’agréable réputé du quotidien Montréalais, vient de chaque. De chaque personnalités qui se construisent, interfèrent avec les unes avec les autres, se poussent vers le haut. C’est un dynamisme, un équilibre fragile, qui se construit petit à petit, et qui un jour, sans crier gare, vous éclate à la face comme une évidence. Ce genre d’utopie là, la joie de vivre au quotidien ne se construit, ne se décide pas par un Utopiste aux fantaisies et désirs post créationiste. Elle émerge de manière fractale en système autopoïètique.
_OBJECTIFS :
Révéler ce cosmos, cet organisme en au-topoïèse. Encourager la prise de conscience de son existence et par là même de l’impact, des interactions du quotidien. Glorifier la joie de vivre, cette guérilla positiviste, ces micros - utopies temporaires dont les impacts se propagent, comme des ondes, se répercutent inévitablement de manière plus ou moins directe sur notre entourage et aura aussi inévitablement ses répercussions plus loin.
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mtlimaginaire · 11 years ago
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Pour mon projet de micro utopie, j'ai fait pas mal de recherches sur les pots de riz et tout autre site et expériences qui pourraient attester de l'importance et de l'impact de notre attitude sur la vie des autres. Je vous l'apprends à l'instant mais Google lui le savait déjà. C'est alors que facebook m'a gentillement proposé de liker cette page : " trop cute community " un site qui répertorie des trucs " trop cute ". Encore une référence très sérieuse et pertinente pour démontrer de l'importance de ce genre de "p'tits bonheur" ( ici sur espace virtuel )  sur notre propre vie ( dans l'espace réel ) et la dynamique à laquelle elle appartient. C'est alors qu'une massive culture d'image trop cute envahit jour après jour l'espace du web, des nouveaux média et réseaux sociaux. À défaut de croiser des bébés pandas sur des balançoires / des chatons mignons déguisés en bébé phoque / des lapins avec des fubiz verts posés sur leur tête dans les rues réelles de Montréal, par chance, suffisamment de cafés proposent du wifi gratuit pour accéder à ces " p'tits bonheurs trop cute".
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mtlimaginaire · 11 years ago
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POUR PLUS D'INFO : http://chez-post-it.blogspot.fr/2012/08/la-memoire-de-leau.html Les pots doivent être hermétiquement fermés et désinfectés pour qu'on ne p...
" Notre corps est composé à 65% d'eau, alors sois aimable avec ton voisin si tu ne veux pas qu'il moisisse comme un pot de riz . Merci "
Ceci pourrait être la conclusion simpliste de cette au combien sérieuse expérience du riz ( ou le pouvoir de la pensée sur l'eau ) par Masaru Emoto.
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mtlimaginaire · 11 years ago
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mtlimaginaire · 11 years ago
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#MTLMOMENTS,  outils de partage élaboré par l’office de tourisme de la ville. Sous ce tague, Montréalais, visiteurs, touristes peuvent partager des photos d’instants, de beaux moments j’imagine, pour attester et prouver à une sphère sociale et virtuelle d’un “ça a été”1. ( “Regarde j’étais à Montréal en lumière et j’ai eu trop de fun”). L’expérience peut même s’agrémenter d’un cadre rouge et baroque à télécharger / imprimer / découper dans un petit papier avec des petits ciseaux. Tout ça pour te prendre en photo dedans ou encadrer ton petit moment dedans. J’avais comme presque oublié que la photographie se voulait encore concurrente de la peinture, du bel art, autant pour moi et merci #MTLMOMENTS.
1 / Roland Barthes, la chambre claire : note sur la photographie, 1980
" À partir de ce moment, la société immonde se rua, comme un seul Narcisse, pour contempler sa triviale image” 
Charles Baudelaire, le public moderne et la photographie, 1859
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mtlimaginaire · 11 years ago
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traverser les interdits pour une traversée hivernale révélatrice.
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Le fleuve l’hiver. Les embâcles, les glaces majestueuses qui glissent à la surface de l’eau. Un spectacle auquel les montréalais sont privés. Excès de sécurité. Projet de grille pour la piste cyclable du PJC dont le seul objectif a été de réduire au maximum les suicides potentiels. Projet conçu par des ingénieurs qui n’ont visiblement pas considéré la dimension expérientielle du parcours, de la traversée. De plus, l’hiver, l’accès est interdit. Pourtant, le vent balaie la neige et laisse une piste bien dégagée.
La traversée.
L’approche depuis la rue Papineau ne permet pas de voir le pont. À peine 2m après avoir sauté la clôture interdisant l’accès au pont pour les cyclistes et piétons débute la cage, cette structure de sécurité juxtaposée à la main courante précédente. Cette structure crée un écran qui bloque entièrement la vue sur les magnifiques mouvements courbes du Pont Jacques-Cartier. Dommage. Très dommage. Et surtout, injustifié puisque nous sommes toujours qu’à quelques mètres du sol. Le champ visuel est dominé par une perspective fuyante, renforcée par les lignes horizontales de la structure, mais aussi un écran créé par des milliers de tiges verticales qui cachent la vue sur le paysage majestueux; fleuve, la sphère de “Bucky”. Toutefois, l’arrêt, la pause, le coup d’oeil entre les tiges révèle un point de vue digne des védutistes du 17ième siècle; un point de vue éloquent, privilégié qui relie la ville et le fleuve, l’île à ses rives. Cette traversée possède un potentiel d’événement quotidien extrêmement fort. Révélons-la.
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mtlimaginaire · 11 years ago
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Cette citation exemplifie une des caractéristique que j'accorderais à mon projet de micro utopie de Montréal au quotidien. Tout comme les zones autonomes temporaires, ( micro utopie pirates ) décrites par Hakim Bey, ces micros utopie se basent sur un bien être de vivre au quotidien qui ne s'explique pas, se construit pas, mais qui émerge de nulle part, de rien d'autre que d'un système qui leur son propre. Autopoiètique dit on. 
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mtlimaginaire · 11 years ago
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Sur la quatrième de couverture, à propos du travail de Thierry Horguelin :
" Il lui arrive aussi de prendre l'air. Choses vues et le résultat de ces excursions dans le monde visible."
Thierry Horguelin, choses vues, l'oie de Cravan, 2012, Montréal
De l'anecdotique et du banal. De ces événements infimes qui peuplent notre environnement au quotidien et qui existent en tant que tel à partir du moment seulement où l'on se rend compte de leur existence. Se poser en tant qu'observateur du réel, de l'infime dont nous sommes presque tous inattentifs et indifférents, voilà le travail de Thierry Hoguelin dans ce recueil de " choses vues". Des choses sans importance, aucune, dans notre monde actuel ( à comprendre rentabilité et productivité... ) Néanmoins des choses primordiales à qui savent encore prendre le temps de vivre et observer.
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