Je vous passe les détails sur les sucres d'orge, hein ?!
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Très Fort
Éperdument silencieux,
Départ des Incantations,
Atmosphère étriquée,
Je patauge dans méandres cendrés.
J'ai mal,
Je pleure
(Et sousinquant)
Je sauve ma Peau.
Les moustiques cantarides
Echappent à mes Sens distandus
Et partent en Hyènes Subtiles
Dans la Moiteur Torride d'Accus.
C'est l'Arrivée Inpromptue
D'une Fête Accessoire
De Langues déployées
Pour l'Annonciation de mon Départ.
Les Êtres dansent
Au Firmament
Ingénu
D'une Mare Perdue de Vue.
Intensément.
Les Animaux fiévreux
S'en donnent à Cœur Joie.
Les Plantes Vitupèrent
Et lâchent les Spores
Exubérantes
L'Ami se calme de Loisirs
Et mange dans l'Écuelle
Plate de Souvenirs perdus
Et de Regrêts
Sans partager.
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Choum-Choum..
Dans l'instant d'une partie Tifine,
Accoudé d'un écho lointain, Désolé,
Sur l'ausne d'un Marbrisard déconcerté,
Je fus d'un bond désarçonné par l'été.
Au fin fond de ma Marbrisure-Melody,
Enfin, sucré, de l'Abysse au bout désolé,
Si, tout resserré, l'abri, decampant, plus ou moins,
Je fus, enfin, c'est fait, tout meurtri, échevelé
Par l'avis d'une crêpe au suc, enfin réuni..
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No Man’s Land..
Fourbi par l’Effort
et Libre, Dehors,
Il Partit Fier,
Oscillant du Derrière
et la Fleur aux Dents.
Je Reviendrai, Maman
Et Riche et Cousu d’Or
Evidant les Carcasses,
Poilu d’*Entrailles encore
Fumantes
De la Mer des Sargasses.
Diabolo Menthe,
d’Avis Dehors,
Ellipsé,
D’Albâtre et d’Or,
Bon pour Recépissé
à mon Amante.
Et la
Dégringolade Assumée
D’Enfantes Vives
qui
sur la Butée, soumises,
Viendront
S’Amuser avec Moi.
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Touché.
Décale ta Peine
Mon Vieil Ami
et Sois Décent
A Coup d’Argent
Tu Vas Manger
à la Palisse
et Déguster
Ton Abri Lisse.
Sois Comme un Ange;
Tu Vas Kiffer.
Et d’Ombrage
Point pour l’été.
Le Soir nous Ronge,
Oui, J’ai Fauté.
Mais, Toi tu Sautes
Bien le Diner,
Mon Cher. Ami.
D’Amour en Coin,
De Fièvre auSoin,
La Vie Mienne
Les Enjoints
En Vain même.
Même Toi,
Si Proche, si Loin,
Evanescente Amitié,
Peut-être Là
Que J’Espérais
Sans me l’Avouer..
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Love on the Street..
Biouche d’Amour
que Sait Porter
le Doux Serment
qu’Adorent les Gens
D’habitudes Sourlignées..
C’est ans le Vent
d’Autour
Dépassé d’Amour
Sans Sensation..
Evidemment Dépassé
et Triste surtoût
Il Fait peine..
C’est un Surcroît,
Excusez-Moi,
Je Suis, pourtant
et solitaire
Mal au Derrière,
Il Croît dedans..
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Angevine..
Probité sur la Route
Et sur les Gouttes
De Sueur
Qui Perlent
Au Vent Perdu..
D’Amour, que Viennent
Les Fripes Fanées
Au Sud au Nord
Mes Sentiments
Dérangés
Va au Ponant.
Les Dérangeurs
qui Mésestiment
Toutes les Couleurs
Viennent au Sujet
Parler des Heures
Pourtant..
D’estime, Je Cous
Un Drap Brodé
D’Amouriettes, en Somme
Mésestimées
Au Demeurant, Je Mets
Un Point d’Honneur
A Demeurer
Comme un Idiot
Sur son Propre Compte.
Les Fanettes ont Passé,
Excusez-Moi,
Du Peu
Qui ne se sont Allongéés
Sur Ma Couche.
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Sur la Route..
De-ça,
Commencer
Déjà Surpris
Dégoûtant
Des Caisses et ça
Dérange.
Des Sous-Couches
Désoeuvrées
Délimitant
Sa Circonférence
Ajoutée.
Dessus
De ça
Suscitant
Sa Sucette
Arrondie.
Je n’ai Jamais
Accentué
Sa Mémère
Alourdie
par les A-Sujets
Délanguis.
Je m’étonne
et Fuis
les Enluminûres
Décaties.
De Bon Sens Alourdi
Qui Quête
Enseveli
Des Nuées Enseveli
Et Déjà çi,
Gisant au Nues
Et Délangui
d’un Mot Servi.
Je n’ai Jamais Dégluti.
Et Je Verrai ton Âme,
Survivante
Au Creux d’un Epi
Buvant aux Mots Tièdes,
Comme on les Sert Ici,
Dévisser
Et Fuir l’Abîme
Comme l’on Parle
Au Pays.
Ce Soir, c’est la Curée,
Je Mange en Juif,
Servi
Par des Lâmes
En Circuit.
C’est la Pluie d’Août,
Ici, qui Mène,
Droit au Trou
Délabré
De mon Âme Abrutie.
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Love (Love) is All Around..
Quoi, des Passés Dépassés Errent
Et Frôlent les Strates Décalcifiées
Qui Sinuent au-Travers du Plan
Horryzontal Fuyant la Perspective
Hallucinée,
au Regard
d’un Crochet,
Là, Pour un Instant..
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Le Temps Détend..
Ce Jour, Je Pars,
Des Cheveux d’Ange
Au Popotin.
Qu’il Fait Chaud,
La Sortrite.
Devant, J’hulule
à la Nuit
Tombée.
Le Blizzard.
Des Chandelles
Sortent au Devant
d’une Route.
Ici-Bas, Nul ne Scinde.
La Chorba.
Telle,
En Dentelle,
Fusse Délotie
Et Tout ce Dans
Quoi Elle Fût
Soit Pardonné et Chéri
Tout du Moins.
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Pour Toujours et à Toujours
Comme Envahi d’Illusions Diaphanes
L’Oiseau, Descendant de la Cîme
Guinioutant l’Auguste Chine
Et Chassant le Dos Voûté de L’Âne
Sous Ses Plis..
Crût Apercevoir l’Intense Replis
qui de la Vie Fait une Banane
Et de la mort, Bien d’Autres Choses
Encore.
Cette Vie, Lassée d’Illusions, Pétrie
d’Effrayant Reflets,
Laissés Pour Compte
Pour Ainsi Dire
Laissant Lassante Ses Armoiries
Et Collés, ses Icônes Purpurescentes
Ainsi.
De Nouages Funestes,
D’Un Bond l’Autre
Et Toutes Séquelles Alanguies,
Demeure Le Seigneur d’un Instant
En Son Royaume.
Las..
Des Fruits au Bois
Les Feuilles Décomposées, éclatées
Et Chéries par la Terre Mère
Pelle-Mèlle..
Qui Vient en Accroissant, L’énorme Ennui
Le Bourgen Jaillissant,
Délaté.
C’est en Six Soucis
l’Inévictable Source,
Vers la Quelle d’Autres Ennuis Furent
Et Demeurent,
Aussi, Lactissant
Eclatés sur le pavé
et Seuls,
Surtoût Seuls
Et Frêles
Et Doussant,
Mais Seuls,
Pour Toujours..
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C’est Beau, ça !..
Si Tôt, si Tard,
Menue, e Maux,
Si ard Rentrée.
Oh oh,
Oh oh Oh !
Descendue, si Haut, oh,
Si Haut oh!
Si Mal Alanguie, si haut Oh !
De peur, ma Reine est Rentrée,
Si haut oh !
Si Scies Cirées,
Si Haut oh !
M’Haleine, Alanguie,
Si oh, Oh !
Si Tard dans les lits,
Si Tôt, avec le Coq,
Si haut Oh !
La Phalène descend l..
Si ah, Ah ah !!
Si l’on Aime, on Paye
en son Sang,
En son Sein, Hein ?!!
Et l’Amour, si Haut, sent
En son Sein, démis,
En son Sein, Haut,
En son Sang, haut, ça !
En son Beau Sein, là !!!
Et l’Amour en son Beau sens,
En son Dos, serein,
En son bossant,
De son beau sans serin,
Son Beau Sang,
Serein,
Là..
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Junkies à l’Air Haut..
Viens voir le Docteur,
viens manger mon Foin;
viens Saigner m’Haut Air
Et Détaler l’Air Courant.
Du Haut de la Colline,
j’Apprends les sons qui Dérangent
Et Déguster les Abats Tièdes
laissés par les Cantarides affamées
Alentours.
Dieu, en émoi sensible,
Cherchant en l’Individu de sa Création
Eparse, alertée,
Fuyant en Vain ses Beaux
Songes, encristé,
Et ne Voulant Plus de Tout celà.
Soudain en Rut,
Hash à l’Aisne,
et sortant des Marasmes les
Plus Durs, et Tac,
Ne voulant plus rien
Sauf s’arrêter.
Mais, il est trop Tard
Déjà..
Je souffle, et reviens à Moi.
Rentrée des Jazz solitaires,
Egoïstes et déjà-vus;
Marchant lentement vers
Des Allèllujas décatis,
Aux Songes Enchanteurs
Perdus dans les Nues.
Tu flanches, désormais.
Perdu, satisfait et seul.
Déjà.
Perdu, enchanteur, et syllabique
Par delà.
Soufflant
son Dernier Cyllindre
Envie..
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Un Titre attristé !!
Salut,
Qu’est ce que tu fais de beau ?..
Je n’sais pas, je m’ennuie.
Et toi ?
Et toi ?
Je ne sais pas, je marche.
Je marche, je marche pas..
Si tu veux.
Je veux.
Qu’est-ce qu..
Si ça marche, je marche.
Tu marche..pas Avec moi.
Je Veux..
Si c’est ça..
Si ce n’est pas toi, c’est moi.
lol :)
lollypop.
Où est-ce que tu es ?..
Actually.
En fait.
Je ne sais pas si je dois marcher avec ces..
pieds.
Pieds en vers et en travers.
Pour toi.
Si tu veux.
Que veuillè-je ?..
Les forêts broussailleuses sont les plus beaux endroits que j’ai vu ou peut-être pû voir jusques ici..
Point d’anicroche.
Point d’Annie, de croche, point. Pas d’arme, s’il te plaît.
Il faudrait que je me dévêtisse.
Et que je tisse.
Arrête de boire.
Arrête de fûmer
Arrête de respirer.. Arrête de respirer
Arrête de me dire.. Heu.
Arrête de boire.
J’ai mal.
C’est magnifique.
J’ai encore mal.
Alors, arrête de te servir de nous
De te servir de moi, pardon..
C’est beau.
Bannis le pêché, le pardon s’en ira.
..et l’homme s’ennivrera.
Il a faim.
Il marche et pense.
Il pense et souffre.
C’est parce que tu es en vie.
Quand tu marches, penses et dors.
..
Et tu digères.
Non, plus jamais.
Mais, marche et entre dans la danse.!!
La danse flétrit et marche et danse, elle même, et comment en sortir.
Il y a des millions d’années de la danse à elle-même et elle marche et danse et bois le sang de la vie.
..Et marche et pense et bois le sang, le sang de la vie..
Le sang de l’allliance nouvelle.
Non, sans aller jusque-là..
Tu penses ou pas ?
Ou pas, ou pas..
Ou si bien étais-ce que comme un instant de bonheur au sein d’une vie d’esclavage.?.
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