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Reprenant sa bière, Brax m'a regardé dans les yeux. Éclairé par la lueur du feu de camp, il avait l'air chaud comme la braise avec sa chemise ramenée sur la tête pour révéler ses pectoraux poilus et ciselés. Je savais que ce n'était pas gagné, mais j'étais déterminée à avoir sa bite en moi. Et à la façon dont Brax me regardait, je savais que j'avais une chance.

Brax était le mec le plus sexy de notre lycée. Il jouait au football et avait toujours une pom-pom girl sexy à son bras. Et bien qu'il soit incroyablement hétérosexuel, j'avais le béguin pour lui. Mais ce qui rendait Brax légendaire, c'était les fêtes délirantes qu'il organisait lorsque ses parents n'étaient pas en ville, c'est-à-dire presque tous les week-ends. Brax a organisé une de ces fêtes une semaine après la remise des diplômes, une fête qui m'a rendue tristement célèbre dans notre petite ville.

Je n'avais pas fait mon coming-out au lycée et j'avais gardé mon homosexualité secrète. Dans un moment de faiblesse, j'ai baissé ma garde lors de la fête de fin d'études de Brax. Je me lavais les mains dans une salle de bain à l'étage après avoir pissé, lorsqu'un sportif ivre et sexy que je connaissais à peine a fait irruption et a commencé à déverser son jet dans les toilettes. Il avait une bite épaisse avec un énorme gland, qui commençait à durcir alors que je le regardais avec stupéfaction.

Ce mec m'a demandé "Tu veux sucer ma queue ?" en brandissant son énorme bite vers moi, laissant couler le reste de sa pisse sur le carrelage. Je me suis instantanément mis à genoux et j'ai pris sa grosse bite dans ma gorge.

"Ouais, pédé. Suce ma queue", a gémi le sportif, en sortant son téléphone pour me filmer en train de baver sur sa grosse bite. J'aurais dû l'arrêter. J'aurais dû lui dire de ranger son téléphone. Mais je voulais sa bite et je ne voulais pas la compromettre.

Bien sûr, après avoir joui dans ma gorge, le connard a posté la vidéo sur Insta. Elle a été signalée et supprimée en moins de dix minutes, mais à ce moment-là, tout le monde à la fête l'avait vue. J'ai quitté la fête avec des cris de "pédé" et des échos de rires dans les oreilles.

J'ai fait profil bas pendant le reste de l'été, comptant les jours qui me séparaient de mon départ pour l'université. Une fois à l'école, l'incident n'était plus qu'un lointain souvenir, car je m'occupais à étudier, à me faire de nouveaux amis, à faire de la musculation... et à me faire baiser par l'occasionnel garçon de fraternité ivre. Enfin, plus qu'un garçon occasionnel. Je m'étais offert comme pute à jus à plusieurs fêtes de fraternité, prenant des douzaines de bites, en fait. Au fond de moi, je savais que ces gars de la fraternité se servaient de moi. Mais, contrairement au mec qui m'a filmé à la fête de Brax, je permettais à ces gars de la fraternité de m'utiliser - je contrôlais la situation.

Ainsi, Brax et sa fête étaient loin de mon esprit lorsque je suis rentré chez moi l'été suivant . et que j'ai rapidement croisé Brax à la salle de sport.

"Carter ? demanda Brax, ne me reconnaissant presque pas. "Bon sang, tu as pris du muscle, mon frère." Je devins instantanément rouge, rougissant sous son regard.

"Juste un peu", ai-je répondu. "J'ai fait beaucoup de sport à l'école. Brax m'a de nouveau regardé de haut en bas, presque avec envie.

"Eh bien, ça se voit", sourit Brax. "Écoute, Carter. Je ne me suis jamais vraiment excusé pour ce qui s'est passé à ma fête l'été dernier. Ce type n'avait pas le droit de poster cette vidéo. Je suis vraiment désolé."

"Merci, mais ce n'était pas de ta faute", ai-je assuré à Brax, encore un peu gêné. "En plus, je suis complètement sorti maintenant, donc ça n'a plus beaucoup d'importance."

"Eh bien, je me sentais responsable", a répondu Brax. "Je fais une fête ce soir. Mes parents ne sont pas en ville. Tout le monde est rentré chez soi. Pourquoi ne viendrais-tu pas et ne me laisserais-tu pas me rattraper ?"

Des flashbacks de camarades de classe ivres me criant "pédé" ont envahi mon cerveau. Je voulais refuser, mais les yeux magnifiques de Brax me suppliaient d'accepter son invitation. "Bien sûr", ai-je finalement acquiescé. "Je passerai ce soir.

La fête battait son plein lorsque j'ai trouvé le courage d'entrer dans la maison de Brax ce soir-là. Je m'attendais à ce que quelqu'un me montre du doigt et me crie "pédé" dès que je franchirais la porte, mais c'était comme si personne ne m'avait remarqué. J'avais pris du volume depuis le lycée et ma coupe de cheveux était différente. Il semblait qu'aucun de mes anciens camarades de classe ne me reconnaissait. Soulagé, j'ai pris une canette de Bud dans une glacière et j'ai traversé la maison, essayant de trouver Brax. Je l'ai finalement trouvé dans le jardin.

Brax et plusieurs de ses amis buvaient autour d'un feu de camp lorsque je me suis approché de lui. Reprenant sa bière, Brax m'a regardé dans les yeux. "Carter ! Tu es venu !" Brax a laissé ses copains autour du feu pour me saluer.

"Oui, je te l'avais promis", répondis-je penaud, quelque peu gêné d'être l'objet de son attention.

"Suis-moi", ordonna Brax. "Je veux te parler en privé. J'ai acquiescé et j'ai suivi Brax dans la maison et à l'étage dans sa chambre. Est-ce que c'est vraiment en train de se produire ? Et si vite ?

"Ma fête de l'été dernier..." commença Brax une fois que nous fûmes installés dans sa chambre.

"Brax, tu t'es déjà excusé, l'interrompis-je en levant la main. "C'est de l'eau qui a coulé sous les ponts. Personne ici ne s'en souvient."

"Non, ce n'est pas ça", poursuit Brax. "Je voulais te dire que - et je sais que ça va paraître égoïste après ce que tu as traversé - mais j'étais un peu jaloux que tu aies sucé cet abruti et pas moi."

Puis Brax s'est penché en avant et m'a embrassé. À partir de ce moment-là, tout est devenu flou. Des mains frénétiques retirant les vêtements de l'autre. Brax m'a fait tomber sur le lit. Sa langue sur mon trou. Et puis WHAM-Brax était en moi.

Je me suis exclamé : " Bon sang, tu es bien membré ", alors que Brax étirait mon trou avec sa grosse bite et s'enfonçait plus profondément en moi. Ses lèvres étaient de nouveau sur les miennes et je pouvais sentir le goût de la bière sur sa langue.

"Je suis tellement content que tu aies joui ce soir", a murmuré Brax à mon oreille, sa grosse bite s'enfonçant dans mon corps. Il y avait une urgence frénétique dans sa façon de me baiser, comme s'il ne pouvait pas me consommer assez vite. Ou peut-être était-il nerveux à l'idée qu'on nous surprenne en train de baiser à sa propre fête. Assis sur moi, Brax continuait à marteler mon trou à un rythme qui ne pouvait pas durer.

"Putain. Je vais jouir", annonça Brax. Il m'a donné deux autres puissants coup de reins avant que son corps ne se convulse sur moi, sa bite libérant sa semence chaude à l'intérieur de moi.

"Ouais, féconde-moi", ai-je insisté, caressant son dos en sueur alors que ses couilles finissaient de se vider en moi.

"Putain, c'était chaud", s'est-il exclamé, se retirant de moi alors que ses lèvres retrouvaient les miennes. Je sentais son sperme s'échapper de mon trou et s'accumuler sur le drap sous moi.

"Tu peux rester ce soir ? demanda Brax, nos lèvres se séparant.

"J'ai accepté en roulant sur le ventre et en levant les fesses en l'air.

"Tu peux envoyer tes potes me baiser maintenant", ai-je dit à Brax, supposant que la raison pour laquelle il me voulait à la fête était pour servir de décharge de sperme à ses potes, comme je l'avais fait à d'innombrables fêtes de fraternité à l'université.

" Seigneur ", s'exclame Brax. "Ce n'est pas ce que je voulais dire. Je ne veux pas te partager avec mes potes." Brax m'a fait rouler sur le dos, ses yeux rencontrant les miens.

"Je fais semblant d'être hétéro depuis trop longtemps", commence Brax. "Je t'aime bien, beaucoup. Je te trouve mignon depuis le lycée. Et je pense que tu peux m'aider à être enfin fidèle à moi-même. Qu'en penses-tu ?

Je n'arrivais pas à croire que mon crush du lycée venait non seulement de me baiser, mais qu'il semblait aussi vouloir avoir une relation avec moi. Prenant son visage entre mes mains, j'ai donné ma réponse à Brax en l'embrassant profondément. Putain, ce garçon avait bon goût. Ses mains ne tardèrent pas à se poser sur moi, sondant de leurs doigts mon petit trou.

"Je veux revenir en toi", a-t-il murmur��, se levant pour me monter à nouveau.

"Tu es sûr ? lui ai-je demandé. "Tu n'as pas peur qu'un de tes potes nous surprenne en train de baiser ici ?"

Brax haussa brièvement les épaules en se replaçant dans mon corps. "Ils vont bientôt découvrir ce que je sais sur moi", plaisante-t-il. "En plus, ils ne peuvent pas dire de conneries sur moi s'ils boivent ma bière".

Les histoires sont des fictions et s'adressent à des lecteurs de 18 ans et plus. Tous les personnages sont supposés être des adultes légaux et consentants.

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Maintenant tu prends son portefeuille et tu vas te faire un bon resto ;-)

@castielbondage coincé et muselé 😈

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J’habite chez mon oncle depuis quelques jours. Il habite tout près de mon lieux de stage. Aujourd’hui, je reçois cette photo de lui. “Qu’est-ce que tu penses de cette photo pour mon profil Tinder ?” me demande-t’il. “Si j’étais une femme, je te demanderais de m’attacher les mains dans le dos avec ta ceinture et d’abuser de moi.”

On joue souvent ensemble. Il me taquine beaucoup, mais il est hetero, malheureusement pour moi.

“mmmm, j’adore l’idée”

Autant dire que j’étais chaud toute la journée et que j’avais bien du mal à me concentrer.

La journée finie, je rentre. On se dit bonjour et je vois qu’il porte le même pantalon et la même ceinture que sur la photo. J’avoue que j’ai du mal à me retenir de bander. 

Je vais dans la cuisine me servir un verre d’eau. Je l’entends me suivre. Il se met contre moi, son ventre contre mon dos et me souffle à l’oreille “et si tu te déshabillait pour que je puisse faire ce que je veux de toi?”

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My brother told me to wait for him naked, on my knees. When he came home, he handcuffed me and used my mouth until he came.

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My cousin just sent me this. I can't wait to go to his place for the holidays... I will serve him well 😉

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