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REVELIO
Hogwarts Legacy: L’héritage de Poudlard, jeu développé par Avalanche Studio, connu pour sa série de jeux Disney Infinity, sort cette année pour répondre aux promesses non tenues de la saga Harry Potter. Car il faut l’avouer, les jeux de cet univers ne sont pas mémorables. Nous commençons donc l’histoire environ un siècle avant l’enfant connu à la cicatrice en forme d’éclair. Notre protagoniste peut aller dans la maison Poudlard de son choix. Il ou elle apprend qu’une magie ancestrale et puissante gronde en lui/elle. On va faire copain-copain avec un professeur du château afin de déjouer le plan d’un gobelin avide de pouvoir.
BIS REPETITUS Le gameplay du jeu est fluide et dynamique. Pas le temps de niaiser ou de marcher aussi calmement que dans un GTA. Il y a tellement de lieux à découvrir et d’activités à faire que on en oublie même de s’attarder sur la beauté des paysages et architectures. Malgré un effort pour donner une durée de vie au jeu justifiant 80$ à l’achat, l’aventure se transforme en “un jour sans fin”. Si comme moi vous êtes chasseur de trophées, ça va être une longue expérience. Redondante. Rapidement limitée. Jusqu’à ne plus pouvoir entendre pour le reste de votre vie l’incantation “revelio”. Pour les amoureux du Quidditch vous attendrez le prochain Harry Potter : Quidditch Champions. Dans Legacy on a droit qu’à quelques défis de vitesse pour te donner l’impression d’un univers totalement immersif. Warner Bros. sait comment remplir le portefeuille. En dehors du fait que le Quidditch soit absent du jeu, pour que ton balai te serve de monture et se traine la patte dans les airs, on ne saurait dire ce qu’il manque à ce jeu après 7-10h de gameplay. L’univers est vraiment respecté : Sorciers, gobelins, animaux fantastiques, décors, ambiance, costumes. Tout nous aide à se laisser transporter dans ce monde et savourer chaque instant de jeu. Or, un sentiment de manque s’installe au fur et à mesure qu’on avance dans l’histoire. Comme si on nous avait préparer le plus magnifique des gâteaux, mais que sa manquait tout de même de sucre.
UN POUDLARD SECONDAIRE
Après l’introduction du jeu, vous partirez directement à Poudlard. L’action s’y attarde les premières heures du jeu. Puis à vous de découvrir les secrets de Pré-au-lard et ses alentours. Ainsi que des régions inventer et plausibles à ce que pourrait ressembler les paysages voisins du célèbre château. Génial me direz-vous. Oui mais le titre du jeu perd un peu tout son sens quand on se rend compte qu’on passe plus de temps à des kilomètres de Poudlard, que dans Poudlard lui-même. J’espère que vous aimez la forêt interdite, parce que vous allez en faire des randonnées. Vous passerez le plus clair de votre temps à visiter des grottes, résoudre les épreuves de Merlin et essayer de trouver tous les objets de collection répartis sur le monde du jeu.
DES ANIMAUX FANTASTIQUES
L’un des points importants du titre sont bien évidemment la cueillette aux créatures. Avec une salle sur demande à embellir, il vous faudra récupérer à un moment de l’histoire toutes les bestioles possibles. L’hippogriffe remplacera votre balai de vol. Bien qu’il n’aille pas plus vite, malheureusement. Les rares phases avec le Grapcorne seront tout de même appréciables. Pour le reste, j’espère que vous n’êtes pas arachnophobe comme moi parce qu’il y en a des araignées ! Une multitude de créatures disponible dans le jeu mais peu d’intérêts pour autant. Elles sont présentes juste pour combler l’histoire de quelques quêtes secondaires. Mais d’un autre coté heureusement. Parce que si on avait voulu concentrer le jeu sur elles, on l’aurait nommé autrement.
ACCIO
Hogwarts Legacy est un très bon jeu. Les graphismes sont très beaux. L’histoire est bien pensée. La musique s'adapte selon où l’on se situe où selon l’action du jeu. Et il y a de l’action un peu partout où l’on va. Mention spéciale pour la quête secondaire « la boutique hantée de Pré-au-Lard ». On ne s’attend pas du tout à ce style d’aventure. C’est creepy, glauque, mais on en redemande ! Mais la machine perd en puissance quand on a fait la moitié du jeu. Les objectifs sont redondants et un sentiment de lassitude s’installe. On est beaucoup à dire qu’il manque clairement quelques choses à ce titre pour être inoubliable. Et c’est vrai. Certains accusent le manque de Quidditch. D’autres auraient aimés retrouver le fan-service (bien doser pour le coup) possible pour combler une nostalgie de la saga des films qui a pris fin en 2011. Bien qu’il y ait eu la trilogie Les animaux fantastiques et qu’une série retraçant toute l’histoire d’Harry Potter sera bientôt sur nos écrans. Les trophées du jeu sont simples à obtenir. Si on ne prend pas en compte le bug des comptabilisations de collection. Qui m’empêche personnellement d’accéder au platine du jeu. Dommage parce qu’il est vrai que pour l’instant, je n’ai pas la force de reprendre l’histoire depuis le début pour finaliser ce jeu. Ce jeu reste le meilleur proposer à ce jour sur cet univers, et en vue des bénéfices depuis sa sortie, on attend quand même une suite qui saura nous faire comprendre que ce studio de développeur en a sous le coude et pourra élever encore le niveau avec un gameplay et une histoire qui nous tiendra en haleine pendant toute la durée de vie du jeu.
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QUÉ PASA ?
Farcry 6, toujours développé par Ubisoft nous propose dans cet énième opus de nous rendre sur l'île fictive de Yara, où une révolution est au cœur des enjeux. Le choix d'être un homme ou une femme t'appartient désormais, et tu t'appelleras Dani quoiqu'il arrive. Rassemble les différents clans locaux à rejoindre ta cause contre le méchant Anton Castillo (et son mioche inutile pour le coup).
EL DIABLO
L'intrigue du jeu reste sur la même idée que celles des autres opus de la franchise. Un tyran, une population pas en accord avec la dictature du coin, du trash et de l'exploration à foison.
Dans cet épisode, Anton Castillo est interprété par Giancarlo Esposito, grand acteur reconnu pour son rôle dans la série "Breaking Bad", plus récemment aussi dans la série Disney+ “The Mandalorian”. Beaucoup de gens oublient son petit passage dans le film classique "Usual Suspects" (Normal, il est gentil...).
Son personnage dans le jeu prétend être un amoureux du peuple, de l'île qu'il dirige et de l'ordre. Et ça, vous allez en bouffer jusqu'à la fin de la partie. Il apporte néanmoins une touche d'humanisme sur ses motivations quand la dernière cinématique du jeu s'en vient. On en regrette presque de chercher à le tuer tout du long. Son sadisme reste très similaire aux autres antagonistes de la saga (depuis Farcry 3). On sent qu'Ubisoft ne compte pas amener de l'âme dans le développement de ses bad guys, puisque ça marche à chaque fois. Malgré un manque cruel de renouvellement d'écriture sur ce point, on se souvient bien des années après de ces psychopathes. À quand une femme machiavélique ? Et pourquoi pas transgenre ? Au vu de la tendance sociétaire actuelle. Y'a peu de chance, Ubisoft n'est pas aussi progressiste que la machine aux grandes oreilles.
MUNDO PARADISIACO
L'action du jeu se passe sur une île paradisiaque. Yara nous fait directement penser à Cuba, là où l’on se croyait dans le Montana dans Farcry 5. Ubisoft sait représenter des lieux et des ambiances. Des plages de sable blanc aux montagnes bordées de cascades et palmiers, la faune et la flore, le langage des habitants locaux, la playlist du jeu : tout est très bien reproduit à ce niveau-là et on a plaisir à contempler l'archipel après chaque largage wingsuit.
NINGUNA REVOLUCION
Si vous aimez comme moi la franchise, vous y trouverez votre compte. Mais est-ce que juste un changement de map suffit ? Parce que c'est clairement ça. On a beau contrôler maintenant un personnage qui a la parole, on ne peut toujours pas prendre de réelles décisions avec. L'armurerie propose les mêmes armes depuis le troisième volet, et ne me parlez pas du Suprêmo! Pas foutu de détruire un char à coup sûr...
La faune ressemble aux anciennes, rien de particulier pour cela. Chevaucher un cheval reste très anecdotique. Je suis content qu'ils n'aient pas créé de créatures au moins.
La flore est juste représentative de ce que l'on pourrait retrouver sur toutes les îles du monde.
Le moteur graphique est encore en retard, ce n'est pas affreux comme ce n'est pas incroyable. Pas même les cinématiques. La synchronisation des dialogues a dû être gérée par le stagiaire du studio. Difficile de s'immerger quand ton interlocuteur virtuel bouge encore la bouche 10 secondes après avoir fini sa phrase. Les phases de combat et les objectifs sont du déjà vu : infiltration, capture de base, coffres aux trésors.
VIVA LIBERTAD
Dans l’ensemble, Farcry 6 reste fidèle à ce qu’il a toujours proposé. Rien d’innovant, mais toujours agréable à jouer. Les missions sont redondantes. On nage dans du copier-coller des autres Farcry. Être accompagné d’un crocodile ou d’un chien sur roulettes n’ajoute en rien du fun au jeu. Mais n’en enlève pas non plus. Il serait temps qu’Ubisoft se renouvelle graphiquement, dans le scénario et sur le gameplay s'ils veulent que les joueurs soient au rendez-vous Day-one pour un potentiel Farcry 7. La partie la plus immersive à mes yeux aura été la mission “Stranger Things”. L’ambiance de cette partie est réellement bien travaillée. On est stressé, on a peur, et l’histoire donne même envie que tout le reste du jeu reste sur ce thème. Les trophées du jeu sont simples à obtenir. Mention spéciale à l’idée de devoir se connecter 2 autres fois à une semaine d’intervalle afin de compléter le trophée “ça suffit”. Frustrant mais original. L’IA n’est pas plus réfléchie que dans Assassin’s Creed. On peut toujours passer à travers les gardes comme si on allait poster une lettre. Rien d’angoissant dans ces phases de jeu. J’attends une suite. Cette saga me tient tout de même à cœur, j’aime découvrir ce que les développeurs ont a proposer, bien qu’il y ait un ressenti de fainéantise depuis Farcry 4. Je ne serai pas joueur Day-one, mais je serai présent pour connaitre la suite. Sans grandes attentes et somme toute content de reposer la main sur un nouveau Farcry.
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