Tout pour votre location de voiture à l'aéroport de Guadeloupe : www.location-voiture-aeroport-guadeloupe.fr
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Parce qu’il est plus simple de louer une voiture à l’aéroport de Guadeloupe, plein d’info et de conseils pratiques à suivre ;-)
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Jeunes conducteurs, louez une voiture en Guadeloupe
Des instructions pour apprendre à conduire sur les routes de Guadeloupe
Pour pouvoir conduire une voiture en Guadeloupe, c’est comme en France, vous devez avoir 18 ans révolu ensuite vous pouvez commencer à conduire. Le prix pour le passage de son permis de conduire est assez élevé, choisissez une entreprise sérieuse à un prix raisonnable donc vous voudrez vous assurer que cette société est réputée et fiable. N’hésitez pas à poser des questions au personnel ainsi qu’à la direction de l’agence que vous souhaitez retenir.
Il y a beaucoup de liste en ligne, annuaire comme les pages Jaunes ou des Annuaires spécialisés si vous habitez sur le département de la Guadeloupe, BestAnnuaire et IAnnuaire pour ne citer que ces deux références. J'ai répertorié une liste qui a indexé des milliers de Leçons de conduite en Guadeloupe qui sont à proximité de Pointe-A-Pitre et de l’agglomération proche. Si vous êtes étudiant tout près des facultés et de l’Université Antilles Guyane pour la durée votre permis en Guadeloupe.
Quand vous contactez les moniteurs d’auto-école, vous devrez être certain qu'ils sont complètement qualifiés et que l'enseignement qui va vous être dispensé conforme aux directives européennes. Vous pouvez ceci dire via le formulaire de licence de conduite que vous pouvez retirer auprès de la préfecture de Basse-Terre ou contacter les associations locales. Un instructeur totalement qualifié en conduite devra avoir une licence tandis qu'un stagiaire un autre diplôme avec moins d’expérience.
Beaucoup d'instructeurs et de sociétés sérieuses vous feront sans doute une remise si vous devez avoir beaucoup d’heures de conduite, sur le code et la conduite, à vous de négocier. Certains offriront même des réductions suivant votre statut par exemple les gendarmes, les étudiants et les enseignants ainsi que les spécialistes du tourisme comme les chauffeurs de bus et les loueurs de voitures particulières ; renseignez-vous ou suivez les promos en ligne pour connaitre quelles sont les remises et promotions en cours.
Ainsi, quand vous commencez votre formation de conducteur, si pour quoi que ce soit le but vous n'êtes pas satisfaits de votre professeur, n'ayez plus peur de mettre fin à votre contrat et en trouver une autre qui vous semble plus professionnelle.
Plutôt que d’acheter, choisissez la location de voiture, c’est moins cher
Maintenant votre permis en poche, il vous faut une voiture, pas simple. Lorsque l’on vient juste d’avoir son permis de conduire la difficulté est financière, les assurances coutent chères. Il y a la solution si vous être âgé de plus de 25 ans, de louer une voiture au départ, le cout est bien plus faible et en plus vous aurez le loisir d’essayer plusieurs type de modèle. Vous trouvez chez certains loueurs professionnels, des petites voitures pour se faire la main comme cette petite Hyundai pas chère. Pratique et bien moins cher si vous entrez en contact avec les gros loueurs automobiles de Guadeloupe, une sélection ici à l’aéroport de Pointe-A-Pitre.
Vous conduisez une voiture neuve et vous n’utilisez le véhicule que lorsque vous en avez besoin, faites votre calcul, je pense que vous êtes gagnant.
Ensuite, avec plus d’expérience dans la conduite automobile, les assurances seront plus clémentes.
Bonne route en Guadeloupe
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Petit histoire des iles de Guadeloupe
Mr Guillaume n’a rien pour recevoir dignement ce monsieur, il aurait pu manger ici, excusez le désordre et la simplicité, mais si l’on avait su que ce monsieur viendrait, on aurait préparé, on aurait préparé.
M. Guillaume, petit homme fluet, acquiesce des épaules tandis que Mme Guillaume, gentiment désolée, écarte les bras d’impuissance. L’adolescent, intéressé, s’est installé dans une flaque de lumière échappée de la porte ouverte par laquelle se glissent des cris et des rires, se dandine d’une jambe à l’autre et n’en perd pas une bouchée.
Si ce monsieur est pour quelque temps dans le pays, y est-il?mais oui n’est-ce pas, il pourrait venir déjeuner, si cela ne le dérange pas, car il a sûrement mieux à faire, venir déjeuner, demain peut-être, ou bien après-demain, Mme Jasmin lui préparera un bon repas digne d’un Français de France, on n’est pas riches mais ce sera bien, et avec plaisir, mais c’est bien naturel, et non, ce monsieur n’a pas à être confus. D’accord donc. La maison est grande ouverte. Il y aura un bon grand poisson sauvage comme on les fait ici, péché au large, et puis des légumes de France auxquels il est habitué, pas de l’igname ou de la patate douce, et puis, ou peut-être, mais qu’importe, ce monsieur aimera, on sortira la nappe blanche et tout sera en ordre, bien qu’il n’y ait pas grand-chose à ranger, alors demain midi n’est-ce pas, c’est une fête, demain midi, ah, si l’on avait su cette arrivée.M. Jasmin sourit et hoche la tête à bras ouverts. Mme Jasmin se tait un instant pour reprendre son souffle, pose machinalement la main sur son cœur.Et respire. Comme ça, sans y penser.Le cœur sur la main.En fait, c’est lorsque Mme Jasmin a évoqué pour la seconde fois l’hôpital d’Annecy où son fils a trouvé un travail d’avenir et de responsabilité, garçon de salle titulaire et régulièrement payé, que le z’oreille a éprouvé un sentiment soudain et désagréable. Quelque chose ne collait pas. Qu’il fallait élucider. Et rapidement. Très rapidement même. L’aimable femme avait déjà tout organisé. Parcourant les quatre coins de la pièce faiblement éclairée mais à la fraîcheur apaisante, elle avait décidé, les yeux pétillants, qu’on allait préparer deux magnifiques colis que le monsieur pourrait emporter lors de son retour vers la France, s’il n’y voyait pas d’inconvénients, elle ne voulait surtout pas l’importuner, deux superbes paquets bien ficelés, emplis jusqu’à ras bord de mangues et d’ananas, d’une énorme langouste, d’une bonne bouteille de vrai rhum du pays, d’authentique rhum agricole, pas de cet alcool dénaturé qu’on lui servait certainement là-bas, soit dit sans vous offenser, et de plein d’autres choses. Deux présents soigneusement préparés, à prendre juste avant le départ, à cause des langoustes qui seraient bien capables de tourner. L’un pour Jasmin, si loin de son île, pour lui perfuser une goutte d’air de son pays, l’autre pour ce monsieur si gentil, et c’est bien naturel, mais si donc, afin qu’il garde un bon souvenir de ce petit morceau de confetti antillais et de l’amitié des humbles gens de Guadeloupe. Il fallait faire vite. Non qu’il fût insensible à l’attention. Mais, et c’était là le fond de l’indéfinissable pressentiment qui peu à peu l’envahissait, jamais à sa connaissance Jasmin n’avait travaillé à l’hôpital d’Annecy, fût cette ville au fond des Alpes ou près de la Porte de Bercy. Il était bel et bien employé depuis au moins quatre années et jusqu’à preuve du contraire, à Paris intra-muros et dans la location de voiture.— Excusez-moi, demanda-t-il brusquement, les sourcils froncés, avez-vous une photo de votre fils ? Mme Jasmin interrompit son monologue et le regarda, d’abord en souriant, puis avec perplexité. Comment dire ? Il avait l’air soudain très embarrassé. Le père fit quelques pas silencieux, et disparut sans un mot dans une pièce voisine qu’on devinait plus qu’on ne la voyait dans l’encadrure d’un montant de porte. On l’entendit fourrager.— Tu la trouves? cria Mme Jasmin, essuyant machinalement ses mains sèches sur son vieux tablier. Tu la trouves ?L’homme revint. Il secouait un portrait aux couleurs passées et riait de ses deux dents cassées.— C’est bien lui, dit la mère, jetant au passage un œil sur l’épreuve, vous allez le reconnaître.Il ne le reconnut pas. Le z’oreille prit la photo, la contempla longuement, la reposa, abattu. Ce Jasmin avait une bonne tête et était vraisemblablement un authentique Jasmin. Il n’y avait pas à en douter. Mais ce n’était pas le sien.Il se frotta la nuque.Un long silence pesant avait enveloppé la petite assemblée.Ils étaient tristes. Tristes à pleurer.Ils auraient tant aimé qu’il leur parle encore du petit.
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