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Let’s examine that a bit. “Men don’t see dirt the way women do.” That’s a pretty common assertion. And it’s bullshit. Vision problems aside, we’re all seeing the same dirty house; we’re just interpreting it differently. You and your boyfriend both walk in, see the pile of crap on the kitchen counter, and have different reactions to it. You likely think, “Man, that pile of crap is really bugging me. I should really clean it up a little.” He likely sees it and thinks, “Huh. Pile of crap. It’ll get taken care of.” Why does he think that? Well, because we’re dealing with endless generations of social gender constructs that tell us that taking care of the home is “women’s work.” Whether you or your boyfriend or your parents or your peer group believe these constructs is largely irrelevant, though, because it’s so deeply ingrained in our society that it permeates every level of culture: You see it in TV shows, movies, commercials, in the workplace, in literature, and in almost every facet of life. There’s no escaping it. So when someone says, “Men don’t see dirt the way women do,” what they’re actually saying is, “Men have been conditioned over generations to process the dirt that they see in a way that requires no further action on their part.” It’s not genetic. It’s learned. And it can be unlearned.
Ask UfYH: Don’t Give Me This Whole “Men Don’t See the Mess” Bullshit | Persephone Magazine (via rosecrevette)
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« Are you mine, are you mine ? cause i stay here all the time, watching telly drinking wine. Who’da known, who’da know ? When you flash up on my phone, i’d no longer feel alone. »
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hello hello can you hear me ? i can be your china doll if you wanna see me fall
boy you’re so dope your love is deadly
tell me life is beautiful, they all think i have it all
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La Marseillaise, Louis Aragon.
Allons enfants de la Mais je vous demande un peu ce que patrie a à voir avec ce grand partage du monde entre quelques-uns et l’énorme troupeau dépossédé Qui chante en russe d’ailleurs ici Debout, peuple travailleur, le jour de gloire est arrivé.
La Marseillaise… Je salue ici Ceux qui se mutinèrent au Chemin-des-Dames En mil neuf cent dix-sept. Je salue ici Ceux qui surgirent de la boue avec A la bouche un grand cri, Et tournèrent leurs armes du côté de la Marseillaise. Et ceux qui dirent feu Sur eux Sont encore de ce monde.
Je salue ici Le prolétariat contre la guerre Pour la transformation de la guerre En révolution. Je salue ici l’Internationale contre la Marseillaise. Cède le pas, ô Marseillaise, À l’Internationale, car voici L’automne de tes jours, voici L’octobre, où sombrent tes derniers accents.
Qu’un sang impur Abreuve nos sillons. On va bien voir lequel est le plus rouge, Du sang du bourgeois ou du sang de l’ouvrier. Debout, Peuple travailleur. Debout, Les damnés de la terre…
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A l'époque du néolibéralisme, « réalisme » nomme la transfiguration continuée de l'échec patent en succès toujours incessamment à venir. Ce que la réalité condamne sans appel depuis belle lurette, le « réalisme » commande non seulement de le poursuivre mais de l'approfondir, donnant pour explication de ses déconvenues qu'elles ne sont que « transitoires », qu'on « est pas allés assez loin », qu'on s'est contenté de « demi-mesures » et que la « vraie rupture » est toujours encore à faire - et ça fait trente ans que ça dure.
Macron, le spasme du système, Frederic Lordon dans Le Monde Diplomatique
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Still begging for vengeance aren't you ? Every bottom has a top.
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LA JEUNESSE EMMERDE LE FRONT NATIONAL
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souvent je me sens frustrée par le comportement des hommes ou par ce qu'ils disent sans se rendre compte que c'est problématique mais j'aime pas la confrontation alors la plus part du temps je dis rien et puis j'ai aussi du mal à exprimer ce qui me dérange mais j'ai envie d'apprendre parce que moins je dis les choses, plus je garde ma frustration à l'intérieur de moi, plus je me sens en colère et au final les autres peuvent pas deviner ce qui va pas et je veux aussi apprendre à ne pas éviter certains sujets de peur de mettre les gens mal à l'aise parce que parfois ils ont besoin de sortir de leur zone de confort pour comprendre…. et je suppose que c'est ça d'être activiste, ne pas sacrifier ses principes même si tu passes pour la meuf relou parce que personne n'a vraiment envie d'être remis en cause et surtout qu'il est tellement attendu de nous les meufs qu'on aille dans le sens des hommes dans la vie en général sinon on est tellement vite qualifiées de «frigides, hystériques, pas marrantes » etc
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Bien sûr, beaucoup de gens dans mon entourage veulent voir ce choix comme une posture, comme un genre que je me donne. Il y a ceux qui préfèrent éviter le sujet, et ceux au contraire que cela démange, qui brûlent sans cesse de l'aborder. Ils disent que c'est bien dommage pour moi si je me refuse à profiter de la vie. Ils me reprochent de ne pas comprendre ce que c'est qu'un sacrifice. De faire preuve d'une sensiblerie de femme qui s'effraie à la vue du sang. Ou de l'idéalisme benêt de celui qui n'a pas compris que vivre, c'est donner la mort. J'ai mis du temps à me rendre compte que ces moqueries et ces accusations étaient leur ligne de défense, par quoi ils entendent couper court à toute remise en cause. Et que la défense est condamnée à se faire virulente quand elle se sait fragile, et que vaguement elle se sent coupable. Il leur faut attaquer, vite et fort, pour ne pas se retrouver malgré eux entraînés dans le raisonnement. "Et pendant les années où tu étais à l'inspection, me demandait l'autre jour un ami, ça ne t'a jamais dérangé ? ça te prend comme ça, d'un coup ?" Je ne sais pas. J'avais grandi là-dedans. J'étais conditionné à trouver cela normal. Il faut du temps pour déconstruire les évidences, le cadre social, le cadre de pensée dans lequel on a vécu. Mais ce passé me paraît loin. J'en ai tout simplement trop vu.
Défaite des maîtres et des possesseurs, Vincent Message.
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