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leirgz1705-blog · 7 years
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wiki
La Symphonie no 3 « Kaddish » est une œuvre pour orchestre, chœur mixte, chœur d'enfants, récitant(e) et soprano solo du compositeuraméricain Leonard Bernstein écrite en 1963 et révisée en 1977. Les paroles sont de Leonard Bernstein et en partie celles du kaddish, prière hébraïque de louange en l'honneur de Dieu. La symphonie est dédiée « à la bien-aimée mémoire de John F. Kennedy ».
En ces temps de guerre froide où la perspective d'un anéantissement de l'humanité est tangible (crise des missiles de Cuba, 1962), le besoin de foi est un thème qui inspire Bernstein dans ses symphonies Jeremiah et The Age of Anxiety; le troisième volet Kaddish est, selon son ami le compositeur David Diamond, cette prière de paix que Bernstein veut offrir à tous
Historique
Après l'immense succès du drame musical West Side Story (1957), Bernstein se sent comme incapable de faire aussi bien. Sa dernière œuvre pour le concert, Serenade pour violon et orchestre, date de 1954. Il projette puis abandonne un opéra sur la période des faux messies et les mouvements hassidiques au xviiie siècle en Russie et en Pologne. La Fondation Koussevitzky lui avait commandé en 1955, alors que Charles Munch était directeur de l'Orchestre symphonique de Boston, une œuvre pour le 75e anniversaire de l'orchestre et Bernstein avait promis d'écrire un concerto pour piano sans jamais y parvenir. Au début de 1962, Bernstein envisage une œuvre beaucoup plus sérieuse qui allait devenir sa troisième symphonie. Humphrey Burton remarque que cette œuvre germait déjà dans les pensées de Bernstein alors qu'il célébrait le 70e anniversaire de son père en janvier de cette même année dans une yechiva loubavitch de Boston. Orateur principal de la soirée, il parlait des liens entre un père et son fils, les comparant parfois à la relation de l'homme à Dieu, discutant en particulier du moment où chaque fils défie son père, retournant heureusement à lui, se sentant plus proche et plus en sécurité qu'auparavant. Les relations de Bernstein avec son père avaient été difficiles dans sa jeunesse, ce dernier faisant barrage à sa carrière musicale. Alors que sa femme était enceinte de leur troisième enfant, Bernstein admettait que devenir père lui-même l'avait amené à mieux comprendre son propre père et, se rappelant un de ses premiers essais de composition, il amusa les invités en jouant une nouvelle variation intitulée Méditation sur un thème pieux que mon père chantait sous la douche il y a trente ans qui allait bientôt faire partie de sa nouvelle symphonie.
En avril 1961 s'ouvre le procès d'Adolf Eichmann qui conscientise les juifs américains au sujet du traumatisme de l'anéantissement. À cette époque, Bernstein est aussi membre du “Committee for a SANE Nuclear Policy” et participe, en mars 1962, à la marche de Washington menée par Harry Belafonte et Helen Gahagan Douglas contre le développement de l'arsenal nucléaire ; il aide au parrainage de l'annonce dans le New York Times. Cela contrarie le président Kennedy qui n'assiste pas au concert inaugural dirigé par Bernstein pour le nouvel auditorium du Lincoln Center for the Performing Arts. La crise des missiles de Cuba survient du 14 au 28 octobre 1962 et mène les États-Unis et l'Union soviétique au bord de l'anéantissement total.
En 1963, Munch s'inquiète du retard de la composition et presse Bernstein de la finir pour janvier 1964, date à laquelle il doit devenir chef invité de l'Orchestre symphonique de Boston. Bernstein y travaillait pourtant régulièrement, malgré sa charge de travail à l'Orchestre philharmonique de New York, le décès de sa belle-mère et un déménagement vers une nouvelle maison dans le Connecticut en juin 1963.
Bernstein avait d'abord l'intention d'utiliser des poèmes écrits pour lui par Robert Lowell — emprisonné pendant la Seconde Guerre mondiale pour objection de conscience —, mais ceux-ci semblaient ne pas avoir l'impact dramatique nécessaire. Il se tourne alors vers un jeune poète juif, Frederick Seidel, dont il dira plus tard qu'il est le genre de personne écrivant un mot une semaine et l'effaçant la semaine suivante. Il décide alors d'écrire le texte lui-même, prenant pour point de départ le kaddish (araméen : saint ; hébreu : קדיש), hymne hébraïque de louange à Dieu écrit en araméen et originellement destiné à clore les cours dispensés dans les synagogues et les maisons d'études (yeshiva). L'usage de réciter le kaddish s'était étendu à d'autres occasions, notamment dans le cadre de la liturgie, et était devenu la prière des personnes en deuil1. Le dernier verset, seul rédigé en hébreu biblique et qui date donc d'une autre période, représente une paisible prière pour la paix (sh'lama ou shalom). Ce sont donc la louange et la paix — et non la mort — qui constituent les deux traits essentiels du texte.
Bernstein interpole le kaddish avec sa propre réflexion sur la foi :
« Ce n'est pas seulement la foi qui manque à l'homme, mais toute une série de valeurs essentielles qui, autrefois, le rendaient vraiment humain et sans lesquelles, aujourd'hui, il ne peut plus vivre et agir que comme une automate privé de vie. Tant de jeunes disparaissent encore à cause de luttes raciales, de la drogue, des crises d'identité! Pourquoi? Ils ignorent ce qu'est l'amour, et c'est pourquoi ils ne cessent de le nier! Si l'amour manque à l'homme, la foi ne tardera pas à lui manquer aussi. L'homme d'aujourd'hui n'est plus attiré par une force supérieure, parce qu'il a perdu l'amour de Dieu, dont l'on distrait les mythes et les fausses croyances qu'il a lui-même créés. Dans ma symphonie « Kaddish » et dans Mass, j'ai essayé d'exprimer ce manque de foi, en vivant de manière intense ce déchirement entre l'homme et son Dieu, en reconnaissant toujours à l'homme la possibilité de se rapprocher de Dieu. »
— Leonard Berstein, entretiens avec Enrico Castiglione (1989, 1991)5
En préparant son texte, Bernstein se questionne sur l'agressivité des paroles mais n'a aucune intention blasphématoire. En effet, la tradition juive a toujours accepté que des philosophes en quête de vérités puissent les trouver en doutant de Dieu. C'est en particulier les cas du mouvement hassidique auquel son père avait appartenu. Dans ses notes pour le premier enregistrement de la symphonie, Jack Gottlieb, l'assistant de Bernstein, fait allusion aux sentiments du compositeur pour cette « particulière judéité de cette relation homme-Dieu […] qui permet de dire à Dieu des choses qui sont presque inconcevables dans d'autres religions ».
Bernstein travaille à sa symphonie avec acharnement durant l'été 1963 et termine l'écriture vers la mi-août mais sans orchestration. Le 22 novembre 1963, alors qu'il prépare un de ses concerts pour la jeunesse, il apprend l'assassinat du président Kennedy qu'il admirait. Après avoir dirigé un concert à sa mémoire et terminé l'orchestration, il lui dédie la symphonie.
En 1977, Bernstein révise sa symphonie. « Je n'étais pas satisfait de l'original où il y avait trop de paroles. La composition est demeurée la même pour l'essentiel, elle est seulement meilleure; elle est devenue plus resserrée et plus brève. J'ai effectué quelques coupure, réécrit quelques passages musicaux et une grande partie du texte parlé. » La version originale était de fait destinée à une récitante car le texte parlé citait le Cantique des cantiques  « Ani havatzelet hasharon » (hébreu: Je suis le narcisse de Saron). « L'idée initiale était d'avoir une femme, parce qu'elle représentait das Ewig-Weibliche [l'éternel féminin], cette partie de l'être humain que Dieu conçoit intuitivement. Mais je réalisai par la suite que cela représentait une trop grande limitation. » La nouvelle version est rédigée de telle façon à ce qu'elle puisse être récitée aussi bien par un homme que par une femme. La nouvelle version est publiée en 1980.
Toujours insatisfait du texte parlé, Bernstein demande à son ami Samuel Pisar d'écrire un texte alternatif en relation avec son expérience personnelle de la Shoah. Ce n'est que dix ans après la mort de Bernstein que Pisar termine son poème intitulé Un dialogue avec Dieu et il est créé en 2003. Depuis, les ayants droit de Bernstein n'autorisent la représentation de cette version que lorsque Pisar en est le récitant.
En 2003 également, Jamie Bernstein, la fille de Leonard Bernstein, donne sa propre version du texte parlé.
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leirgz1705-blog · 7 years
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Funk & Disco !
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Funkadelic-Funkadelic (1970) (Full Album)
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Terry Callier - Lookin Out (Full Album Stream)
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Calvin Harris - Feels (Official Video) ft. Pharrell Williams, Katy Perry...
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Montgomery Clift and Shelley Winters in A PLace in the Sun, directed by George Stevens, 1951
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Fashawn - Mother Amerikkka (Official Video) (New)
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The Everly Brothers - All I Have to Do is Dream (1958) Boudleaux Bryant from: “All I Have to Do is Dream” / “Claudette”
Chet Atkins: Guitar
Recorded March 6, 1958 @ The RCA Studios in Nashville, Tennessee USA
“It was the only single ever to be at No. 1 on all of Billboard’s singles charts simultaneously, on June 2, 1958” -Wikipedia
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leirgz1705-blog · 7 years
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The Raveonettes - The Kids are Alright (2012) Pete Townshend Who Cover from: “Who Are You: An All-Star Tribute to the Who” LP
The Who - The Kids are Alright (1966): https://tmblr.co/ZoHQpk28Ubjj-
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leirgz1705-blog · 7 years
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Disraeli Gears - Cream 
1967
1. Strange Brew: 2. Sunshine Of Your Love: 2:48 3. World Of Pain: 6:48 4. Dance The Night Away: 9:49 5. Blue Condition: 13:23 6. Tales Of Brave Ulysses: 16:51 7. SWLABR: 19:32 8. We’re Going Wrong: 22:05 9. Outside Woman Blues: 25:29 10. Take It Back: 27:52 11. Mother’s Lament: 30:57
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Out-takes (stereo) • Lawdy Mama (Version 2) • Blue Condition (Alternate Version with Eric Clapton on Lead Vocal) Demos (stereo) • We’re Going Wrong • Hey Now Princess   • S.W.L.A.B.R.   • Weird of Hermiston • The Clearout Out-takes (mono) • Lawdy Mama (Version 1) • Blue Condition (Alternate Version) RADIO SESSIONS (mono) • Strange Brew (BBC Version) • Tales of Brave Ulysses (BBC Version) • We’re Going Wrong (BBC Version) • Born Under a Bad Sign (BBC Version) • Outside Woman Blues (BBC Version) • Take It Bake (BBC Version) • Politician (BBC Version) • S.W.L.A.B.R. (BBC Version) • Steppin’ Out (BBC Version)
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leirgz1705-blog · 7 years
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Max Roach Quintet, with Abbey Lincoln: Driva’ Man
Although Max Roach recorded We Insist: Freedom Now Suite in 1960, he didn’t start performing it until 1964, when his ensemble included the powerful vocals of then wife Abbey Lincoln and the incandescent tenor saxophone of Clifford Jordan. This version of Driva’ Man from the suite was performed on Belgian TV. Freedom Day also from the suite follows that video.
-Michael Cuscuna
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leirgz1705-blog · 7 years
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leirgz1705-blog · 7 years
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