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Les Sources 

RADIO-CANADA, 𝘗𝘳𝘦̀𝘴 𝘥𝘦 60 % 𝘥𝘦 𝘭𝘢 𝘯𝘰𝘶𝘳𝘳𝘪𝘵𝘶𝘳𝘦 𝘱𝘳𝘰𝘥𝘶𝘪𝘵𝘦 𝘢𝘶 𝘊𝘢𝘯𝘢𝘥𝘢 𝘦𝘴𝘵 𝘨𝘢𝘴𝘱𝘪𝘭𝘭𝘦́𝘦, 𝘴𝘦𝘭𝘰𝘯 𝘶𝘯 𝘳𝘢𝘱𝘱𝘰𝘳𝘵, (page consulter le 7 novembre 2022), [En ligne], adresse URL: https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1147385/gaspillage-nourriture-poubelle-second-harvest

BANQUES ALIMENTAIRES, 𝘘𝘶𝘪 𝘴𝘰𝘮𝘮𝘦𝘴-𝘯𝘰𝘶𝘴?, (page consulter le 8 novembre 2022), [En ligne], adresse URL:https://banquesalimentaires.org/qui-sommes-nous/

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Protéger l’environnement est une question de survie, aidez-nous à la restaurer!

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Les banques alimentaires: une solution durable et efficace

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3) L’épuisement des sols

Pour augmenter la productivité et réduire les coûts, plusieurs agriculteurs pratique de l’agriculture intensive. En effet, les agriculteurs pratiquants cette culture ne laissent pas les terres se reposer, ce qui empêche les sols de se régénérer. Les sols s’appauvrissent en minéraux et deviennent de moins en moins fertiles. De plus, les pesticides utilisées lors de l’agriculture intensive entrent dans la chaîne alimentaire, ce qui détruit la biodiversité. Finalement, les sols sont compactés dû aux machineries lourdes utiliser lors de l’agriculture intensive. Ceci rendent les sols moins aérés, ainsi la compactation empêche à l’eau de s’infiltrer. Somme toute les surplus alimentaires provenants de l’agriculture intensive ont des conséquences très néfastes pour l’environnement. Ceci augmente inutilement l’épuisement des sols.

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2) L’eutrophisation des lacs

L’agriculture est la source principale de la pollution de l’eau. En effet, plusieurs agriculteurs utilisent des engrais à base de phosphate en trop grande quantités dans le but d’avoir les meilleures récoltes possible. Ce surplus d’engrais suit les eaux souterraines ou ruisselle sur le sol pour finalement se retrouver dans les cours d’eau en aval. Ainsi, les algues à la surface du lac ou de la rivières reçoivent l’engrais et poussent. Ceux-ci vont bloquer les rayons du soleil, alors les algues en profondeur ne recevront plus de rayons du soleil et ils vont mourrir. Ensuite, les bactéries vont consommer plus d’oxygène que d’habitude, car leur travail de décomposition est plus grande. Ainsi la concentration en oxygène du lac diminue. Ceci cause l’eutrophisation du lac, c’est-à-dire la perte de l’oxygène du lac. Le gaspillage alimentaire consomme une quantité de fertilisants équivalente à l’utilisation totale de l’Afrique et de l’Europe. Le surplus alimentaire contribue inutilement à l’eutrophisation des lacs.

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1) Production de GES

Les surplus de nourritures à la cafétéria font leur chemin vers le composte. Ils se retrouvent ensuite sur des terres où ils se décomposent, relâchant du CO2 et du méthane, deux gaz qui contribuent à l’augmentation de l’effet de serre et au réchauffement climatique. L’élimination de ces aliments sous forme de déchets contribue aux émissions globales de gaz à effet de serre du Canada. Ainsi, cette pollution atmosphérique emprisonne une partie des rayons infrarouges émis par le soleil, ce qui réchauffe encore plus la terre. Le gaspillage alimentaire a relâché 3,3 milliards de tonnes de CO2 en 2007; si le gaspillage alimentaire était un pays, il serait le troisième plus grand émetteur au monde. En résumer, les aliments jetés se décomposent, relâchant du méthane et du CO2, des gaz à effet de serre. Ceci a comme conséquence que l’atmosphère va devenir plus dense, ainsi les rayons solaires vont rester emprisonnés sur terre, ce qui cause le réchauffement climatique.

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Quelles sont les conséquences environnementales de ce surplus?

La production de gaz à effet de serre

L’eutrophisation des lacs

L’épuisement des sols

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Qu’est ce que le surplus à la cafétéria?

Chaque année, près de 1 milliard de tonnes de nourriture est gaspillée tout autour du monde, soit l’équivalent de 20% des aliments disponibles pour les habitants. Or, selon l’organisation Second Harvest, près de 35,5 millions de tonnes métriques de nourritures sont jetées ou gaspillées chaque année au Canada, ce qui est l’équivalent de 58% de toute la nourriture produite du pays. Certains restes, comme les os d’animaux, ne sont pas récupérables. Toutefois, on estime que 11,2 millions des 35,5 millions de tonnes métriques de nourriture gaspillées chaque année au Canada pourraient être récupérées et consommées. 9% du gaspillage alimentaire est causé par les hôtels, les restaurants et les institutions, comme les écoles par exemple. Ces restes, complètement mangeables, sont jetés et gaspillés. Beaucoup se retrouvent à la poubelle, malgré étant compostables, et ils sont entièrement perdus. De plus, ce gaspillage affecte considérablement notre planète et elle a de graves conséquences sur l’environnement.

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“Le surplus, on n’en veut plus!” -Kamila Blondin, 2022