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Séance 10 : S’informer à l’ère de Google et des médias sociaux
Depuis l’apparition du numérique, les médias traditionnels sont bouleversés par les nouvelles apparitions. Effectivement, ces nouvelles technologies permettent de consommer différents contenus en ligne, et ce, dans un grand nombre de cas, gratuitement, ce qui modifie considérablement l’économie de la communication. Il devient donc inévitable pour les médias traditionnels de se tourner vers l’ère numérique pour pouvoir répondre au public, qui a rapidement intégré la nouvelle technologie dans sa consommation d’information quotidienne. D’ailleurs, il n’est pas surprenant que ces nouveaux médias soient très populaires étant donné les multiples possibilités qu’ils offrent, ainsi qu’avec son accessibilité à tous, en tout temps et partout dans le monde de multiples contenus. Très apprécié par les consommateurs, ce passage vers le numérique est aussi très bénéfique pour les producteurs des médias traditionnels. Effectivement, le numérique permet de sauver d’important coût de production, notamment sur le papier, l’impression et le transport, d’autant plus qu’il permet aux producteurs une plus grande latitude en ce qui a trait à la réalisation et à la création de leurs différents contenus. Ainsi, les contenus peuvent être présentés sous plusieurs formes telles que les vidéos, les interactions ou encore les images dynamiques. De ce fait, grâce à leurs nombreux avantages, les médias numériques ont rapidement gagné en popularité auprès du public, remettant inévitablement en question le pouvoir des médias plus traditionnels. Toutefois, malgré une forte demande pour les nouvelles technologies, les médias traditionnels ont conservé un certain nombre de « fans » qui préfèrent toujours s’informer et se divertir à partir de ce média. La rencontre de ces deux paradigmes est facilement explicable. D’un côté, les plus jeunes générations sont complètement tournées vers le numérique et elles ne consomment que très peu des médias traditionnels. D’un autre côté, les plus vieilles générations, ayant grandi avec les médias traditionnels, y sont attachées et y trouvent beaucoup plus de facilité à consommer l’information en raison de leur manque de connaissances vis-à-vis des nouveaux médias. Bref, malgré certaines oppositions face aux nouvelles technologies, une chose est certaine : l’apparition de ceux-ci a rendu l’information facilement accessible à un plus grand public et ils permettent ainsi aux citoyens d’être davantage informés sur ce qui les entoure. Alors, il devient évident, pour moi, qu’il n’est qu’une question de temps avant que la consommation des médias numériques surpasse les médias traditionnels, et ce, dans tous les groupes d’âge.
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Séance 9 : Culture 2.0 : La revanche de l’amateur
La culture participative est une nouvelle tendance qui veut que plusieurs individus contribuent à la culture populaire. En d’autres mots, c’est une culture dans laquelle les individus prennent des décisions collectives et/ou individuelles, et cette culture a un impact considérable sur les différentes expériences qui y sont partagées. À travers les années, les médias de prédilection de cette culture participative ont changé considérablement. Autrefois, elle pouvait être pratiquée par des radios amateurs. Aujourd’hui, elle est généralement pratiquée sur les médias sociaux, mais plus particulièrement, sur YouTube, qui est une plateforme ouverte soutenant l’expansion de la production et les communautés de partage. Effectivement, les nouvelles technologies ont permis une très grande visibilité à ce type de culture en diminuant le pouvoir et le contrôle sur les expériences culturelles de masse de la part des grands médias. De plus, les nouvelles technologies ont rendu encore plus accessible la participation à cette culture en diminuant considérablement les obstacles à la création et à la distribution de l’information. En effet, il est beaucoup moins coûteux et beaucoup plus simple de partager ses différentes expériences sur les nouveaux médias qu’il ne l’était sur les médias traditionnels. D’ailleurs, ces avantages touchent de très près le domaine artistique qui contribue activement à la culture participative. Finalement, il est possible d’observer une rupture de génération dans cette culture participative. Alors que les plus vieilles générations ont de la difficulté à se séparer de la culture classique, les jeunes intègrent très rapidement les nouvelles technologies à leurs modes de communication et à leurs pratiques culturelles quotidiennes. Donc, ils intègrent très rapidement la culture 2.0 dite culture participative. Dans un monde où les médias sociaux, les technologies mobiles et les différentes plateformes numériques changent constamment les repères culturels de notre société, il est intéressant de se pencher sur les nouveaux projets qui pourraient émerger dans un futur rapproché… Car inévitablement, ceux-ci modifieront la définition actuelle de culture.
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Séance 8 : L’éthique des réseaux
L’apparition des contenus gratuits et de nouveaux médias modifient considérablement le fonctionnement de différents secteurs, dont celui des contenus artistiques et culturels. Donc, en raison de l’évolution rapide des médias, il devient difficile d’avoir un contrôle efficace des différentes plateformes pour assurer le respect des lois. D’ailleurs, la propriété intellectuelle est menacée par l’importante croissance des usages « pirates », qui sont rapides et confidentiels, effectués par les consommateurs. Il faut comprendre que la propriété littéraire et artistique est ce qui fait « vivre » les artistes et créateurs de ce monde. En effet, sans propriété artistique tous les contenus originaux seraient disponibles gratuitement et légalement. Cela entraînera comme conséquence que les artistes n’auraient plus de revenus liés directement à leur production. Sans aucun revenu, ceux-ci ne peuvent vivre de leur art et sont donc moins aptes à créer. Inévitablement, la culture en souffre directement. Bref, les lois et les normes, établies par le Conseil canadien, entourant la propriété intellectuelle et artistique, récompensent la créativité et l’effort humain. Ils contribuent à valoriser le travail des artistes et des créateurs en assurant l’intégrité de tous les types de travaux de création. Afin d’éviter différentes conséquences économiques et sociales, il est important d’agir maintenant pour éviter que notre société de consommation ne nuise encore plus à la culture. Trop de citoyens n’ont pas conscience des conséquences que peuvent avoir leurs actions. C’est pourquoi il devient important de les sensibiliser au sujet de la propriété intellectuelle pour qu’ils puissent comprendre ce que leur geste illégal peut causer. Effectivement, cela permettrait de réduire les différentes violations de la propriété intellectuelle sur le web. Bref, l’importance que possède la protection des droits intellectuels et artistiques est indéniable. Malheureusement, nous sommes majoritairement tous tentés d’utiliser les outils de piratage que nous offre le web pour accéder à du contenu qui est protégé par des lois. Malgré les différentes lois et normes entourant la propriété intellectuelle et l’usage de la sensibilisation, je crois que les artistes et les vendeurs doivent trouver de nouvelles manières pour attirer les consommateurs. Ces nouvelles manières doivent permettre aux acheteurs d’obtenir un bénéfice qu’ils ne pourraient avoir s’ils achetaient la version illégale sur le web. Ainsi, il serait peut-être possible de réduire le nombre de violations.
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Séance 6 : L’identité dans un monde d’avatars
Pour la plupart des gens, la réputation et la perception des autres de notre personne sont importantes. Ainsi, il devient intéressant de se questionner à savoir quelles sont les raisons qui nous portent à accorder autant d’importance à notre réputation et notre e-réputation. Ce qui distingue la réputation de la e-réputation, c’est assurément qu’avec les médias numériques, il est possible de se créer un nouveau soi, qui n’est pas toujours proche de notre vraie identité. Effectivement, dans le cadre d’une communication asynchrone, l’avatar provient d’un pseudonyme avec une fiche de présentation qui est accompagnée d’une image de profil. Ainsi, selon Frank Beau, l’avatar est un travail de mise en scène de soi qui « est le premier levier d’élaboration d’une identité virtuelle ». Dans le jeu Les Sims, plusieurs personnes accordent une grande importance à la représentation de soi. La popularité de ce type de jeu provient certainement du fait qu’un monde virtuel permet aux acteurs d’avoir, finalement, le profil qu’il désire. Ainsi, l’avatar devient très souvent une apparence améliorée des utilisateurs qui s’oppose à leur identité réelle. D’ailleurs, Frank Beau affirme que « tout est fait pour que l’on soit impressionné par la dextérité que l’on y développe, par le look de son avatar, par les actions que l’on accomplit », permettant ainsi de réconforter les utilisateurs sur leur besoin narcissique, en créant un avatar qui renforce leur estime de soi à travers leur apparence et leurs différentes actions. Bref, le développement du numérique nous laisse croire que la e-réputation est aussi importante que la réputation, car en créant sa propre identité numérique, cela démontre que les utilisateurs désirent participer à une réputation numérique pour différentes raisons qui sont propres à chacun. Toutefois, ce désir d’améliorer sa e-réputation nous confronte à certains problèmes. Effectivement, il devient facile pour les utilisateurs de dissimuler sa véritable identité en laissant les autres se former une opinion souvent erronée de notre personne, basée sur ce que l’on choisit de diffuser dans notre univers virtuel. Source : https://www.cairn.info/revue-hermes-la-revue-2009-1-page-41.htm
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Séance 4: Angoisses et vertiges du numérique
Dans les dernières années, le Web a connu une importante explosion à de nombreux niveaux. De nouvelles possibilités ont vu le jour permettant au Web de devenir un monde virtuel en soi. D’ailleurs, le Web est maintenant considéré comme un endroit idéal pour apprendre de nouvelles choses, pour améliorer sa culture, pour s’informer ou pour communiquer. Néanmoins, malgré ses qualités, le Web comporte aussi certains défauts qui soulèvent des inquiétudes. Effectivement, ce monde virtuel comporte plusieurs dangers tels que la cybercriminalité et la cyberintimidation. Malheureusement, les avancements technologiques et la facilité d’accès à internet créent de nouvelles opportunités aux criminels. Les nombreux renseignements personnels, les nombreuses ressources documentaires et les millions de possibilités permettant d’entrer en communication avec quiconque partout dans le monde et en tout temps aident les criminels. D’ailleurs, il existe deux catégories de cybercriminalité : contre la personne et contre la propriété. La première contient le harcèlement, l’incitation au suicide, la pornographie juvénile, le vol d’identité, etc., tandis que la deuxième à trait à l’usage d’un ordinateur non autorisé, fraude, virus informatique, désinformation, l’espionnage, etc. Ainsi, il est possible d’observer que la sécurité du consommateur peut facilement être en danger ; ce qui est préoccupant. La cybercriminalité, étant déjà connu des autorités, plusieurs interventions sont effectuées pour tenter de réduire ce type de criminalité. Toutefois, les démarches des autorités sont souvent compliquées en raison d’obstacles juridiques ou non juridiques. Il est donc recommandé d’être très prudent avec son utilisation d’internet. Comme si la cybercriminalité n’était pas assez inquiétante, la cyberintimidation est de plus en plus courante. Cette augmentation inquiète beaucoup. D’ailleurs, les jeunes, étant les plus présents sur le Web, sont les plus touchés par ce type de danger. Phénomène qui était autrefois connu sur les bancs d’école, l’intimidation comporte beaucoup moins de risques sur le Web. Pouvant être effectuée n’importe où et n’importe quand, la cyberintimidation permet à l’intimidateur de rester anonyme, ou encore, de se faire passer pour quelqu’un d’autre. Ainsi, il devient très difficile de remonter à la source. Comme l’intimidation, la cyberintimidation peut avoir de nombreuses conséquences négatives et irréversibles pour la victime. Il est donc essentiel de trouver des solutions pour résoudre ce problème qui est très inquiétant pour le futur. Évidemment, le Web offre beaucoup de nouvelles possibilités qui sont très positives pour notre société actuelle. Toutefois, il ne faut pas fermer l’œil sur les nombreux dangers qui soulèvent malheureusement beaucoup d’inquiétudes pour plusieurs d’entre nous. Il est donc essentiel, dans le futur, d’éduquer la population sur l’utilisation du Web pour diminuer les dangers des utilisateurs. Nombre de mots: 425
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