latanieredeslangues
La tanière des langues
7 posts
Dans ce petit coin perdu d'Internet, vous trouverez des articles au sujet de la langue française. N'hésitez pas à me laisser un commentaire. 
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latanieredeslangues · 5 years ago
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2g. L’imparfait et le passé composé.
Quand on raconte pour décrire les circonstances (où, quand, et comment) on utilise l’imparfait.
Exemples : J’étais étudiant à la fac et j’étais en retard...
Quand on raconte pour évoquer des évènements, la chronologie des faits passés, on utilise le passé composé.
Exemples : il marchait vers moi et je l’ai vu...
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latanieredeslangues · 5 years ago
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2f. Les structures pour faire des comparaisons
Nous pouvons tirer parti du comparatif pour comparer deux éléments (choses ou personnes) à l’aide d’un adjectif, d’un nom, d’un adverbe ou même d’un verbe.
En français, il y a trois types principaux de structures comparatives :
·      La supériorité
·      L’égalité
·      L’infériorité
 A.   Pour comparer des adjectifs et des adverbes
1.     Le comparatif de supériorité
Nathalie est plus intelligente que Vivienne. (adjectif)
Nathalie parle plus vite que Paul. (adverbe)
 2.     Le comparatif d’égalité
Vivienne est aussi belle que Nathalie. (adjectif)
Vivienne fais du sport aussi souvent que Paul. (adverbe)
 3.     Le comparatif d’infériorité.
Nathalie est moins intelligente que Paul. (adjectif)
Paul parle moins vite que Nathalie. (adverbe)
 B.    Pour comparer à l’aide d’un nom.
Il faut bien faire attention au mot « de » et se souvenir qu’on doit remplacer « aussi » par autant.
1.     Le comparatif de supériorité
Anaïs a plus d’expérience que Sophie.
2.     Le comparatif d’égalité
Sophie a autant d’argent qu’Anaïs.
3.     Le comparatif d’infériorité.
Anaïs a moins de chance que Sophie.
 C.    Pour comparer avec les verbes.
1.     Le comparatif de supériorité
Vivienne parle plus que Nathalie.
2.     Le comparatif d’égalité
Paul mange autant que Vivienne.
3.     Le comparatif d’infériorité.
 Nathalie mange moins que Vivienne.
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latanieredeslangues · 5 years ago
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2d. Le discours indirect au présent
Quand on veut raconter ce que quelqu’un nous a dit, on peut répéter fidèlement ce qui a été dit ou l’on peut modifier, partiellement ou entièrement, la structure de la phrase.  
Jean-Michel : « Je n’ai pas de temps ».
Ce que je raconte : « Jean-Michel dit qu’il n’a pas de temps ».
Pour arriver à construire le discours indirect, on peut suivre les étapes suivantes :
1.     Changeons le pronom sujet :
Jean-Michel : « J’ai bien trop à faire ».
Moi : « Jean Michel dit qu’il a bien trop à faire ».
2.     Transformons la forme du verbe
Jean-Michel : « J’ai bien trop à faire ».
Moi : « Jean Michel dit qu’il a bien trop à faire ».
Il est important qu’on se souvienne que si le verbe est à l’impératif, nous devons le mettre à l’infinitif.
 3.  Des exemples où l’on change les adjectifs possessifs au discours indirect.
Jean-Michel : « Je n’aime pas mon boulot ».
Moi : « Il dit qu’il n’aime pas son boulot ».
Moi : « Jean-Michel dit qu’il n’aime pas son boulot ».
4.     Pour rapporter des questions, il est nécessaire qu’on change le verbe dire par le verbe demander.
 La formule interrogative Est-ce que devient si.
Jean-Michel : « Est-ce que tu aimes ton boulot ? ».
Moi : « Jean-Michel me demande si j’aime mon boulot ».
On doit changer qu’est-ce que pour ce que, comme par exemple :
Jean-Michel : « Qu’est-ce que tu fais dans la vie ? ».
Moi : « Jean-Michel me demande ce que je fais dans la vie ».
Il faut aussi changer qui est-ce qui et qui est-ce que pour qui
Jean-Michel : « Qui est-ce que tu détestes le plus dans ta boîte ? ».
Moi : « Jean-Michel me demande qui je déteste le plus dans ma boîte ? ».
 Jean-Michel : « Qui est-ce qui est ton patron ? ».
Moi : « Jean-Michel me demande qui est mon patron ? ».
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latanieredeslangues · 5 years ago
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2c. L’Accord du participe passé
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latanieredeslangues · 5 years ago
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2b. c’est + infinitif, c’est quand, c’est + nom + proposition relative. | Les structures pour définir quelque chose en français
Nous devons utiliser ces structures pour définir un concept avec des exemples, voire des situations, de la vie réelle. 
C’est avec ces structures que l’on peut décrire des noms abstraits comme par exemple « la paresse » :
c’est + infinitif (c’est ne pas avoir envie de faire quelque chose)
c’est + quand (c’est quand vous n’avez pas envie de faire quelque chose
c’est quand vous avez envie de rien faire). 
c’est + nom + proposition relative (c’est le sentiment que vous éprouvez quand vous êtes épuisé et que vous ne voulez rien faire).
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latanieredeslangues · 5 years ago
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2a. Les pronoms relatifs en français.
Les pronoms relatifs
On peut s’en servir pour bien définir à ce que l’on fait allusion, pour lister des éléments et ainsi que pour fournir plus d’informations sur la personne ou la chose dont on parle.
Les  pronoms relatifs sont :
a) les cinq pronoms invariables : "qui", "que", "quoi", "dont", "où".
b) le pronom variable : "lequel"
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Bilan des «pronoms relatifs »
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1. Tous les exemples dans ce billet, sauf le dernier, se sont inspirés du site « Français Facile ». francaisfacile.com.
2. Le dernier tableau  a été obtenu sur la méthode de FLE « Alter ego A2 ».
 Pronoms relatifs. (s.d.) Consulté sur https://www.francaisfacile.com/exercices/exercice-francais-2/exercice-francais-31128.php
Berthet, A. Et al. (2006). Alter ego : méthode de français. Paris : Hachette livre, 192 p.  
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latanieredeslangues · 5 years ago
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« Un bonbon sur la langue » et quelques erreurs historiques
Deux accents aigus au lieu d’un seul, des académiciens qui ont changé l’orthographe d’un mot avant la Seconde Guerre mondiale, juste pour la rechanger cinquante-cinq ans après … et beaucoup, beaucoup plus. 
RTL nous propose « un bonbon sur la langue », un bref extrait d’une émission radio avec la chroniqueuse de RTL, Muriel Gilbert. Mme. Gilbert, qui est aussi auteure de nombreux livres sur la langue française et correctrice au quotidien “Le Monde’’, partage avec nous sa passion pour l’étymologie.
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Ah ! … la langue française !  La belle langue de Molière et celle de la diplomatie. Elle a toujours fait preuve de rigueur et de difficulté, tant pour les francophones que pour les étudiants de FLE autour du monde. 
Dans cet extrait particulier, Muriel Gilbert nous a parlé des erreurs qui sont entrées dans le dictionnaire.
J’ai choisi ce programme dans l’intention de constater que nul n’est à l’abri de l’erreur. Même l’Académie française a fait erreur quelquefois, tout comme Mme. Gilbert nous l’a avoué dans la vidéo ci-dessus.
Mme. Gilbert a commencé cette émission en rappelant ses auditeurs qu’elle avait déjà expliqué, il y avait quelques mois du jour de cette émission, l’histoire de ce deuxième accent aigu agaçant qu’on trouve dans le mot « événement ».
Elle a mentionné comment au début du XVIIIe siècle, un ouvrier qui était chargé d’imprimer le dictionnaire de l’Académie française, n’avait pas assez de lettres ‘’è’’. Lors de l’impression du dictionnaire, il a remplacé le deuxième accent grave du mot « événement » avec un accent aigu, ce qui nous a donné l’orthographe moderne de ce terme. Au fait, on continue à prononcer « évènement ».  Selon Mme. Gilbert, l’Académie française nous permet aussi d’écrire « évènement » depuis la réforme de 1990.
Dans l’émission, Muriel Gilbert nous révèle également la cause de l’orthographe du fameux « nénuphar », qui s’est écrit avec un ‘‘f’’ depuis le XVIIIe siècle, mais qu’en 1935 l’Académie lui a donné un ‘‘ph’’ pour faire honneur à son origine grecque. Sauf qu’en fait, le français doit ce mot à l’arabe, c’est pourquoi Mme. Gilbert dit que ce mot aurait toujours dû s’écrire avec un ‘‘f’’. Elle nous indique que nous sommes tout à fait permis d’utiliser les deux graphies aujourd’hui.
Ce que j’ai trouvé le plus intéressant dans cet extrait, c’était le nom « Amérique », qui est issu du prénom d’un marchand italien nommé Amerigo Vespucci. Contrairement à ce que croient les gens, Muriel Gilbert nous raconte que Amerigo Vespucci « n’avait rien d’un explorateur », loin s’en fallait réellement. Mme. Gilbert explique comment Vespucci s’est embarqué, plusieurs années après Colomb, sur la route des Indes –ou, c’était au moins, ce qu’en pensaient les gens en ce temps-là. Elle explique aussi que les imprimeurs ont reproduit les lettres de Vespucci, dans lesquelles il racontait ses trajets en écrivant que ces terres ne pouvaient pas être les Indes.
Ce qui est moins étonnant que la découverte soudaine de Vespucci, c’est la supposition d’un imprimeur et cartographe installé à Saint-Dié-des-Vosges. Ce cartographe, voulant rendre hommage à cet italien aventureux, a écrit « Amérique » sur une carte. D’après Muriel Gilbert, les gens ont commencé à associer la découverte du continent avec Vespucci, tandis que c’était vraiment Colomb qui l’avait découvert.
Lors de cette émission, Mme. Gilbert nous a mentionné aussi qu’elle venait de se régaler d’une biographie écrite par Stefan Zweig : Amerigo, sous-titrée "récit d’une erreur historique". Ce livre explique, une bonne fois pour toutes, pourquoi les autochtones, voire les peuples précolombiens, soient encore de nos jours appelés « des Indiens » … « Une autre boulette qui s’est installée dans la langue », nous dit Muriel Gilbert.  
En tout cas, n’oubliez pas que c’est à ce cartographe de Saint-Diè-des-Vosges à qui nous devons vraiment le nom de l’Amérique, même s’il s’agissait d’une erreur au début. Je tiens à préciser, tout comme l’a déjà fait Mme. Gilbert dans ce programme radio, que cette erreur s’était tout d’abord produite en France. Cocorico, les francophiles !
Alors, ne m’épargnez aucun de vos avis là-dessus. Laissez-moi un commentaire. J’ai très hâte de vous lire.
À très bientôt !
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