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Cinémas acceptant la carte UGC illimité
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Alternative durable #1 : l’imprimante IMPRO
Le marché des imprimantes est nécessairement un secteur polluant : par l’utilisation massive du papier, par le changement des cartouches, par l’utilisation de matériaux électroniques non recyclables, etc. Sans compter les pratiques douteuses des constructeurs pour forcer le changement précoce des cartouches, ou bien l’obsolescence programmée soupçonnée pour de nombreux modèles. On oublierait presque la non compatibilité des cartouches entre les imprimantes... Bref, il s’agit d’un secteur économique où le durable n’est pas une question prise au sérieux.
Mais certains commencent à s’y pencher, à commencer par les écoles de design et de création industrielle, où se forment les futurs designers. Et Paul Morin a accouché d’un prototype fonctionnel : une imprimante minimaliste, où les composants électroniques et métalliques sont réduits à l’essentiel, où les cartouches d’encre transparentes indiquent les niveaux d’encre et sont rechargeables, où le papier se déroule en rouleau plutôt qu’en ramette... Et qui fonctionne à la verticale plutôt qu’à l’horizontale ! Et cerise sur le gâteau, les composants internes sont volontairement faciles à comprendre et à réparer, rajoutant le bonus réparabilité au projet durable.
L’imprimante “IMPRO” est encore en développement mais vous pouvez suivre les actualités de ce projet révolutionnaire ici.
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Construction typographique
Comment l’art de la calligraphie peut se conjuguer avec la technique et les règles de la géométrie ? D’où viennent les lettres ? Comment sont-elles construites ?
L’idée ici est de proposer un tutoriel de construction des lettres latines classiques, telles que la typographie TRAJAN. Un véritable travail géométrique est à l’oeuvre derrière ces formes, comme nous pourrons le voir dans les prochains billets. L’objectif est d’avoir un guide de construction pour l’intégralité de l’alphabet. J’offre ici une traduction illustrée du guide “A Constructed Roman Alphabet” par David Goines.
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Une alternative aux cotons-tiges
Le coton-tige est le nom dérivé d’une ancienne marque déposée pour les bâtonnets ouatés servant à nettoyer les oreilles. Ces petits produits sont les principaux révélateurs de l’empreinte néfaste de l’Homme sur l’environnement et surtout sur la pollution marine, car on retrouve ces petits morceaux non biodégradables un peu partout au gré du courant, et parfois même accrochés à la queue des hippocampes.
Dès le 1er janvier 2020, ces ustensiles en plastique vont être interdits à la fabrication et à la commercialisation, en France (avec la loi Biodiversité) et en UE (avec ce récent accord) , et c’est une bonne nouvelle pour la réduction des déchets. Pour l’hygiène également, car le cérumen est une substance naturelle qui permet d’évacuer les particules qui s’infiltrent dans les oreilles. Mais difficile de se passer du nettoyage de nos orifices auriculaires. Alors, quelles alternatives durables ?
1. Si l’utilisation de cotons-tiges vous semble malgré tout le plus pratique, optez pour des cotons-tiges avec des bâtonnets en fibres végétales (papier ou coton).
2. Utiliser des poires de lavement pendant la douche. Le challenge sera d’en trouver sans silicone, par exemple en caoutchouc naturel. On vous dit, le plastique est partout.
3. Utiliser des oriculi, ces tiges en bambou recourbées et réutilisables qui permettent de retirer le cérumen à l’entrée du pavillon auriculaire, sans risquer d’abîmer l’intérieur. Une fois n’est pas coutume, le mode de vie d’origine japonaise est source de solutions durables !
4. La solution la moins intrusive reste encore de nettoyer à l’eau sous la douche, puis d’essuyer l’oreille avec une serviette. A défaut de retirer le cérumen à l’intérieur, cette solution reste le meilleur compromis pour réduire votre consommation et vos déchets, ainsi que pour avoir une hygiène impeccable, à condition de le faire plus régulièrement.
Enfin, que faire des cotons-tiges en plastique qui traînent encore ? Le mal est fait, alors tant que possible, il vaut mieux les réutiliser pour la décoration pas chère et moche, ou bien penser à ne pas les jeter séparément. Une carrière dans l’art de l’économie circulaire, c’est le meilleur que l’on vous souhaite.
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1. L’usage des bouteilles en plastique est une aberration, autant au niveau environnemental qu’au niveau sanitaire : le plastique des bouteilles n’est pas biodégradable, et difficilement recyclable. En général, la bouteille est jetée quand elle est vide.
2. L’usage répété de récipients en plastique libère des microparticules de plastique dans les boissons, ce qui n’est probablement pas une bonne chose pour le corps, sans compter le développement de bactéries venant de l’extérieur et de la bouche…
3. Pour réduire son empreinte environnementale, mieux vaut réutiliser quotidiennement un récipient unique, qui se lave sans problème. Avec une gourde, on fait un pas de plus vers l’indépendance au pétrole et aux plastiques ! L’empreinte du produit à la fabrication et au lavage est beaucoup moins importante que pour le cycle des bouteilles plastiques.
4. L’aluminium est à proscrire pour des raisons de santé, car l’usage répété peut s’avérer dangereux. Donc à choisir, il est plus judicieux d’opter pour une gourde en verre ou en inox, c’est selon vos critères en termes de transparence, d’isothermie, et surtout de solidité (donc de durabilité).
5. Dans l’idéal, moins il y a de peinture ou d’autocollants, mieux c’est, car la peinture notamment s’efface avec le temps et surtout elle est issus de dérivés du pétrole.
6. Pour assurer l’étanchéité, privilégier les bouchons en caoutchouc naturel ou directement en verre ou en inox, même si le bruit peut être désagréable. De plus, il n’existe quasiment aucune alternative aux bouchons en silicone sur le marché pour des bouchons étanches et sans bruit.
7. Enfin, pour protéger les gourdes en verre des chocs et des échanges thermiques, penser à les couvrir d’une housse en tissu.
Pour info, après une longue recherche sur internet, j’ai trouvé 3 gourdes raisonnablement durables :
- Soulbottle : en verre, avec bouchon en caoutchouc naturel et clapet en acier inox, pas de housse de protection. Penser à se munir d’une brosse ou d’un goupillon pour la laver facilement. Fabrication : Allemagne et Italie. De loin la meilleure option, mais son principal désavantage est sa fragilité.
- Mismatch : en verre borosilicaté et bouchon en inox (avec un peu de polypropylène et de silicone à l'intérieur), et une protection en feutre. Fabrication : Europe de l'Est, République tchèque et Slovénie
- Gaspajoe : en inox, avec de la peinture ou des autocollants présents à la surface de la gourde, et un bouchon en inox (avec un peu de plastique). Fabrication : Asie.
Reste le problème des distances et de la pollution liée au transport. À vous de juger. Le mieux, finalement, c’est de ressortir la vieille gourde en inox du grenier, car même si elle contient du plastique, cela ne vous coûtera rien et vous agirez pour l’économie circulaire : exit le neuf !
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1. L’usage des bouteilles en plastique est une aberration, autant au niveau environnemental qu’au niveau sanitaire : le plastique des bouteilles n’est pas biodégradable, et difficilement recyclable. En général, la bouteille est jetée quand elle est vide.
2. L’usage répété de récipients en plastique libère des microparticules de plastique dans les boissons, ce qui n’est probablement pas une bonne chose pour le corps, sans compter le développement de bactéries venant de l’extérieur et de la bouche...
3. Pour réduire son empreinte environnementale, mieux vaut réutiliser quotidiennement un récipient unique, qui se lave sans problème. Avec une gourde, on fait un pas de plus vers l’indépendance au pétrole et aux plastiques ! L’empreinte du produit à la fabrication et au lavage est beaucoup moins importante que pour le cycle des bouteilles plastiques.
4. L’aluminium est à proscrire pour des raisons de santé, car l’usage répété peut s’avérer dangereux. Donc à choisir, il est plus judicieux d’opter pour une gourde en verre ou en inox, c’est selon vos critères en termes de transparence, d’isothermie, et surtout de solidité (donc de durabilité).
5. Dans l’idéal, moins il y a de peinture ou d’autocollants, mieux c’est, car la peinture notamment s’efface avec le temps et surtout elle est issus de dérivés du pétrole.
6. Pour assurer l’étanchéité, privilégier les bouchons en caoutchouc naturel ou directement en verre ou en inox, même si le bruit peut être désagréable. De plus, il n’existe quasiment aucune alternative aux bouchons en silicone sur le marché pour des bouchons étanches et sans bruit.
7. Enfin, pour protéger les gourdes en verre des chocs et des échanges thermiques, penser à les couvrir d’une housse en tissu.
Pour info, après une longue recherche sur internet, j’ai trouvé 3 gourdes raisonnablement durables :
- Soulbottle : en verre, avec bouchon en caoutchouc naturel et clapet en acier inox, pas de housse de protection. Penser à se munir d’une brosse ou d’un goupillon pour la laver facilement. Fabrication : Allemagne et Italie. De loin la meilleure option, mais son principal désavantage est sa fragilité.
- Mismatch : en verre borosilicaté et bouchon en inox (avec un peu de polypropylène et de silicone à l'intérieur), et une protection en feutre. Fabrication : Europe de l'Est, République tchèque et Slovénie
- Gaspajoe : en inox, avec de la peinture ou des autocollants présents à la surface de la gourde, et un bouchon en inox (avec un peu de plastique). Fabrication : Asie.
Reste le problème des distances et de la pollution liée au transport. À vous de juger. Le mieux, finalement, c’est de ressortir la vieille gourde en inox du grenier, car même si elle contient du plastique, cela ne vous coûtera rien et vous agirez pour l’économie circulaire : exit le neuf !
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Ikigai : un concept japonais pour adopter une philosophie de vie (et trouver un job de rêve)
“Je n’ai plus le temps de lire”... “Je souhaite gagner ma vie en faisant quelque chose qui me tient à cœur”... Un tas de questions nous tourmentent quand on ne trouve pas l’équilibre dans notre quotidien. Il nous arrive d’envier la vie des autres mais une petite voix nous susurre que ce n’est peut être pas la vie à laquelle on aspire, au fond. Que faire alors pour répondre à nos interrogations et nous permettre d’avoir plus de clarté sur notre raison d’être ?
Une fois n’est pas coutume, c’est la philosophie japonaise qui peut nous venir en aide et répondre à nos questions existentielles !
L’ikigai est un concept philosophique développé dans la région d’Okinawa, au Japon. En résumé, c’est “ce qui nous fait lever le matin”, c’est la raison d’être de la personne heureuse. Et comme la vie professionnelle représente une part importante de la vie, l’ikigai peut s’adapter pour répondre aux enjeux et aux questionnements sur nos choix professionnels.
L’ikigai, en pratique, se décline en 4 problèmes. Il s’agit de questionnements sur nos aspirations profondes. Répondre aux 4 problèmes permet d’aboutir à une réponse globale, et ainsi de déterminer sa raison d’être. Une marguerite à 4 pétales, dont le centre est l’ikigai en somme !
Voici les 4 problèmes :
- Qu’est-ce que j’aime ? Ou pour reformuler : Qu’est-ce qui me fait lever le matin de bon pied ? Qu’est ce qui me rend heureux quand j’y consacre du temps ?
- Quels sont mes talents ? Ou pour reformuler : En quoi je me sens à l’aise ? En quoi je suis doué ? De quoi je suis capable naturellement ? Qu’est-ce que je réussis sans trop de peine ?
- Qu’est-ce que je défends ? Ou pour reformuler : Quelles sont les causes qui me tiennent à cœur ? Quels sujets m’intéressent ? De quoi est-ce que je discute habituellement avec mes amis ? Pour quoi je milite ?
- Qu’est-ce que je peux apporter aux autres ? Ou pour reformuler : En quoi je sais et je peux me rendre utile ? Quelles actions je peux entreprendre pour répondre aux problèmes de la société et de l’environnement ? De quoi le monde a besoin ?
Ces problèmes ne doivent pas être pris à la légère, et je vous conseille de vous y plonger à tête reposée, car les gens sont aisément bernés par leurs filtres sociaux et leur caractère influençable. L’ikigai n’est pas la solution universelle à nos interrogations sur notre vie, mais seulement un exercice mental apportant un début de réponse, et il peut autant être faussé par une mauvaise connaissance de ses aspirations qu’évoluer au fil des années.
#ikigai#philosophie#raison d'être#aspiration#job#psychologie#sagesse#japon#travail#concept#questionnement#interrogation
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Introduction
Voici le premier article de mon journal personnel. Ce blog traitera de l’actualité, de mes passions (écologie, cartographie, science, littérature), de réflexions personnelles, d’interrogations, et parfois de quelques réponses...
Pourquoi donc lancer mon blog ? Il s’agit pour moi d’un exercice d’écriture à la fois méthodologique et thérapeutique, pour mettre un terme aux petits bouts de papier à la volette que je perdais entre deux pages, dans une poche ou sur un siège de train, mais également pour entraîner mon esprit, par l’écriture, à une réflexion posée et pesée. Dans l’espoir que ce journal personnel pourra mettre un peu d’ordre dans mon désordre ambiant, je compte l’approvisionner régulièrement en articles.
Bonne lecture !
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