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Depuis le dĂ©but de la pandĂ©mie, les premiĂšres fortunes de France ont doublĂ© leur richesse. Alors que 10 % de la population a besoin dâaide alimentaire, les carnets de commandes de superyachts se remplissent, les vols en jets privĂ©s se multiplient.
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Venez mes amis. Il nâest pas trop tard pour partir en quĂȘte dâun monde nouveau. Car jâai toujours le propos de voguer au-delĂ du soleil couchant. Et si nous avons perdu cette force qui autrefois remuait la terre et le ciel. Ce que nous sommes, nous le sommes. Des cĆurs hĂ©roĂŻques et dâune mĂȘme trempe affaiblis par le temps et le destin. Mais forts par la volontĂ© de chercher, lutter, trouver, et ne RIEN cĂ©der. Extrait du poĂšme Ulysse de Tennyson rĂ©citĂ© par Monsieur Keating. Le Cercle des poĂštes disparus

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Les gens beaux ne sortent pas de nulle part - Elisabeth KĂŒbler-Ross.
"Les plus belles personnes que jâai pu rencontrer,
Sont celles qui ont connu la défaite, la souffrance, la lutte, la perte,
Celles qui ont trouvĂ© leur façon de sortir la tĂȘte de lâeau.
Ces personnes ont une appréciation,
Une sensibilité et une compréhension de la vie,
Qui les emplit de compassion, dâhumilitĂ©,
Et dâune profonde inquiĂ©tude amoureuse.
Les gens beaux ne sortent pas de nulle part."
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âIl ne peut pas se taire celui qui n'a rien ditâ
â Gilles Vigneault
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Kitty earned the respect of the Mooo Gang.Â
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1939-1950 : lâĂ©mergence du mondialisme ? (Partie I)
Moins quâun compte rendu, il sâagit de libres rĂ©flexions Ă propos du livre dâOr Rosenboim, The Emergence of Globalism. Visions of World Order in Britain and the United States, 1939-1950, paru cette annĂ©e aux Princeton University Press.
Lâouvrage dâOr Rosenboim est prĂ©sentĂ© comme « une histoire intellectuelle de la gĂ©nĂ©alogie complexe et non linĂ©aire du mondialisme dans les visions de lâordre mondial du milieu du siĂšcle » (p. 2). Pourtant, de façon assez Ă©tonnante, lâauteur passe complĂštement Ă cĂŽtĂ© du fait que la notion mĂȘme de globalism a Ă©tĂ© inventĂ©e au dĂ©but des annĂ©es 1940 aux Ătats-Unis. Tout un vocabulaire Ă©merge en effet Ă ce moment-lĂ Ă partir de lâadjectif global, employĂ© dĂšs 1941 pour caractĂ©riser la guerre en cours. Parmi les premiers Ă lâutiliser est la journaliste du New York Times, Anna OâHare McCormick, dans un article dâoctobre 1941 : « Câest une guerre globale, et mĂȘme le stratĂšge amateur qui mesure la distance de lâIslande Ă Singapour peut voir la longueur stupĂ©fiante du front qui doit ĂȘtre dĂ©fendu avant quâune offensive de grande envergure puisse ĂȘtre envisagĂ©e. » Lâexpression commença Ă ĂȘtre reprise Ă partir de dĂ©cembre 1941, mais elle ne diffusa vĂ©ritablement quâen avril 1942 lors le prĂ©sident Franklin D. Roosevelt posa la question de la dĂ©nomination de cette guerre, lui-mĂȘme proposant de lâappeler la « guerre de survie », « the Survival War ».
Câest Ă©galement dans ce contexte que le mot de globalization fut employĂ© lors dâune confĂ©rence prononcĂ©e Ă Colorado Springs en octobre 1944 par Manley O. Hudson, membre de la Cour permanente de justice internationale et de lâInstitut de droit international. Ces annĂ©es de guerre furent indĂ©niablement une pĂ©riode de dĂ©bats sur lâordre international. Aux Ătats-Unis, Ă cause de la guerre mais plus encore sĂ»rement en raison du dĂ©veloppement de lâaviation, on prenait conscience dâĂȘtre entrĂ© dans un Ăąge global. Lâancien candidat rĂ©publicain Ă lâĂ©lection prĂ©sidentielle de 1940, Wendell L. Willkie, qui avait apportĂ© son soutien Ă Roosevelt, rĂ©alisa un tour du monde des principaux alliĂ©s en avion, faisant le tour du globe en quarante-neuf jours, mais seulement 160 heures de vol. Ă son retour, il publia un ouvrage, One World, dans lequel il manifesta son enthousiasme : « Si jâavais eu quelques doutes sur le fait que le monde Ă©tait devenu petit et complĂštement interdĂ©pendant, ce voyage les aurait complĂštement dissipĂ©s. » Dans un discours radiophonique, il affirma lâimportance dâune « pensĂ©e globale » : « Notre rĂ©flexion et notre prĂ©paration dans le futur doivent ĂȘtre globales. » Cet Ă©tat dâesprit nâĂ©tait pas partagĂ© par tous et suscita des rĂ©sistances. La notion de globalism, initialement pĂ©jorative, servit Ă dĂ©signer cette dĂ©fense dâune politique mondiale qui remettait en question lâisolationnisme Ă©tats-unien et qui Ă©tait perçue comme une menace par certains. On trouve le mot dans plusieurs articles du Chicago Tribune, journal conservateur, Ă partir dâoctobre 1943. Cet emploi est Ă rapprocher dâun autre terme, « globaloney », que jâavais proposĂ© de traduire par « globalivernes ». Il a Ă©tĂ© forgĂ© par la rĂ©publicaine Clare Boothe Luce pour son premier discours Ă la Chambre des reprĂ©sentants, le 8 fĂ©vrier 1943. Elle fit mouche et le mot connut un succĂšs immĂ©diat. Elle ne prenait pas parti pour lâisolationnisme, mais elle sâopposait surtout Ă ceux qui dĂ©fendaient la libertĂ© des airs, sur le modĂšle de la libertĂ© des mers, attirant lâattention sur les risques dâune trop grande ouverture Ă la concurrence Ă©trangĂšre, au dĂ©triment des intĂ©rĂȘts commerciaux Ă©tatsuniens, et sur le risque dâune Ă©ventuelle attaque aĂ©rienne ennemie, notamment soviĂ©tique. Ceci dit, la notion de globalism a ensuite Ă©tĂ© neutralisĂ©e. En 1946, Harold S. Quigley, dans un article de The Hispanic American Historical Review, reprit le terme en le dĂ©finissant ainsi : « ensemble de principes ou dâidĂ©es qui considĂšre la coopĂ©ration internationale sur une base mondiale », et en le posant comme un Ă©quivalent dâinternationalisme, de cosmopolitisme et dâuniversalisme â ce qui, du reste, est pour le moins discutable. Quelques annĂ©es plus tard, au Royaume-Uni, L. Jonathan Cohen, dans The Principles of World Citizenship, proposa le terme de « mundialist ». Sans succĂšs. Il ne crĂ©ait pourtant pas le mot de rien puisquâil faisait Ă©cho au mouvement mondialiste qui sâĂ©tait affirmĂ© aprĂšs-guerre.
De tout ceci, donc, Or Rosenboim ne tient pas compte et propose sa propre dĂ©finition de globalism. Selon elle, « le mondialisme Ă©merge dâune conscience de la signification politique du globe comme dâun ensemble unifiĂ© fait dâunitĂ©s politiques diverses interconnectĂ©es » ; et envisage lâordre mondial futur par cette capacitĂ© Ă prĂ©server la diversitĂ© des entitĂ©s englobĂ©es en un espace unique, au lieu⊠Rien ne justifie vĂ©ritablement ce choix. Je ne remets pas en question lâintĂ©rĂȘt de lâouvrage par son analyse dâun ensemble de livre parus entre 1939 et 1950, et constituant autant de rĂ©flexions sur les relations internationales contemporaines, mais aucun ne sâinscrit vraiment dans le courant principal du mondialisme.
1939Â ?
La date choisie par Or Rosenboim se comprend aisĂ©ment. Câest le dĂ©but de la Seconde Guerre mondiale ; du moins, est-ce la date qui a Ă©tĂ© retenue, mĂȘme si on peut considĂ©rer que le conflit est dĂ©jĂ engagĂ© en Asie comme en Europe, et quâil nâest pas commencĂ© pour les Ătats-Unis. 1939 marque indĂ©niablement lâentrĂ©e en guerre du Royaume-Uni, tandis que 1941 serait plus juste pour les Ătats-Unis. Quoi quâil en soit, la rĂ©flexion sur la mondialitĂ© ne dĂ©bute pas Ă ce moment-lĂ . Il y a un certain flou dans le titre de lâouvrage. Quâentend lâauteur par « émergence » ? Difficile en tout cas de considĂ©rer quâil y a lĂ une apparition, plus ou moins soudaine, dâune quelconque nouveautĂ©. Il est assez Ă©tonnant par exemple dâouvrir lâouvrage par une rĂ©fĂ©rence Ă H.G. Wells, qui publia en janvier 1940, The New World Order. Wheter It Is Attainable, How It Can Be Attained and What Sort of World a World of Peace Will Have to Be, comme si celui-ci prenait soudainement conscience de la mondialitĂ©. En 1920, dans The Outline of History. Being a Plain History of Life and Mankind, il justifait son histoire mondiale par la nĂ©cessitĂ© dâĂ©duquer la jeunesse au monde nouveau en train de sâunifier : « Le besoin dâune connaissance commune des faits gĂ©nĂ©raux de lâhistoire humaine Ă travers le monde est devenu une Ă©vidence lors des Ă©vĂ©nements tragiques de ces derniĂšres annĂ©es. Les moyens de communication plus rapides ont rapprochĂ© tous les hommes les uns vers les autres pour le meilleur et pour le pire. La guerre devient une catastrophe universelle, aveugle et monstrueusement destructrice ; elle bombarde le bĂ©bĂ© dans son berceau et coule les navires de denrĂ©es alimentaires destinĂ©s au non-combattant et au neutre. Il ne peut y avoir de paix aujourdâhui, nous nous en rendons bien compte, si ce nâest une paix commune dans le monde entier ; il ne peut y avoir de prospĂ©ritĂ©, si ce nâest une prospĂ©ritĂ© gĂ©nĂ©rale. Mais il ne peut y avoir de paix et de prospĂ©ritĂ© communes sans des idĂ©es historiques communes. Sans de telles idĂ©es pour les tenir ensemble dans une coopĂ©ration harmonieuse, avec rien que des traditions nationales, Ă©troites, Ă©goĂŻstes et conflictuelles, les races et les peuples sont condamnĂ©s au conflit et Ă la destruction. »
De la mĂȘme maniĂšre, la rĂ©flexion de David Mitrany sâest construite au fil des annĂ©es Ă partir de la fin des annĂ©es 1920. Avant A Working Peace System, paru en 1943, il avait publié Progress of International Government, en 1933, dont certains paragraphes sont eux-mĂȘmes repris de textes antĂ©rieurs. Lâaccent mis par Or Rosenboim sur le seul ouvrage de 1943 semble moins se justifier par lâidentification dâun moment particulier que par la dĂ©limitation a prioridâun champ dâĂ©tude, bornĂ© historiquement et gĂ©ographiquement.
Certes, il faut bien reconnaĂźtre que cette nouvelle guerre mondiale, globale mĂȘme, constitue un contexte particulier. Si les prĂ©occupations sur lâordre mondial ne sont pas nouvelles, leur acuitĂ© est mise en exergue par lâactualitĂ©. Contrairement Ă certains Ă©conomistes qui voudraient sâaccaparer la notion de mondialisation et lui donner une dĂ©finition purement Ă©conomique, mesurant la mondialisation Ă lâaune des Ă©changes commerciaux internationaux, la Seconde Guerre mondiale est un moment particuliĂšrement important dans la mondialisation du XXe siĂšcle par lâensemble des flux gĂ©nĂ©rĂ©s et des interconnexions, ainsi que par la conscience de cette mondialitĂ© que cela a gĂ©nĂ©rĂ©e. Peut-ĂȘtre serait-il plus juste de parler de rĂ©surgence. Ainsi, lorsquâen 1943, David Mitrany considĂšre que la planification Ă lâĂ©chelle nationale est insuffisante pour rĂ©pondre aux besoins Ă©conomiques et sociaux, il est difficile de ne pas penser aux rĂ©flexions de Paul Otlet en 1916 et Ă son usage du terme de « mondialisation » pour dĂ©signer la nĂ©cessitĂ© de gĂ©rer collectivement, Ă lâĂ©chelle du monde, les ressources.
En 1991, Jaap de Wilde avait publiĂ© un ouvrage intitulé Saved from Oblivion: Interdependence Theory in the First Half of the 20th Century. Malheureusement, Or Rosenboim lâa oubliĂ©. Or Jaap de Wilde posait la question du dĂ©but de « lâĂšre de lâinterdĂ©pendance mondiale » et, pour y rĂ©pondre, sâappuyait sur les rĂ©flexions de David Mitrany dans The Progress of International Governement, paru en 1933. Il se trouve que ce dernier considĂ©rait que les confĂ©rences tenues Ă La Haye en 1899 et en 1907 marquaient le dĂ©but dâune nouvelle Ăšre internationale : « Avec elles, lâorganisation internationale est passĂ©e de lâoligarchie Ă la dĂ©mocratie ; et la rĂ©union de tous les membres souverains de la sociĂ©tĂ© des nations ainsi que le but dĂ©clarĂ© de leur rassemblement ont impliquĂ© enfin une reconnaissance de lâunitĂ© du monde civilisĂ©. » Fait significatif selon lui, en 1906, lâUnion interparlementaire, créée en 1889, esquissa ce quâauraient dĂ» ĂȘtre des « Ătats-Unis du Monde », selon la formule dâHenri La Fontaine. Il est vrai que celui-ci, comme bien dâautres, pointait une contradiction dans lâĂ©volution contemporaines des relations internationales : « Jamais les relations individuelles des hommes entre eux nâont Ă©tĂ© plus cordiales, jamais les chiffres des importations et des exportations nâont Ă©tĂ© plus Ă©levĂ©s, jamais les Ćuvres et les assises internationales nâont Ă©tĂ© plus nombreuses et plus fĂ©condes. Le marchĂ© mondial des produits et des idĂ©es est dĂ©sormais constituĂ© : les industries forment de vastes groupements internationaux, les ouvriers de toutes les races se tendent les mains par-dessus les frontiĂšres, le labeur des hommes de science ignore les distances et les nationalitĂ©s. Et pourtant lâinsĂ©curitĂ© est partout, la dĂ©fiance triomphe, et jamais les dĂ©penses militaires, les budgets des armĂ©es et des marines, les prĂ©paratifs de guerre nâont Ă©tĂ© plus Ă©crasants et plus formidables. » La guerre mondiale fut la consĂ©quence de cette confrontation.
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RIZA PEKER
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BURCU KORKMAZYUREK
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Les bidonvilles de Glasgow, selon Raymond Depardon
Dans les quartiers oubliés du Nord de la Grande-Bretagne de Thatcher, par votre photographe français préféré.
En 1980, un journal britannique a envoyé Raymond Depardon dans la ville de Glasgow, alors que ce dernier n'y avait jamais mis les pieds et ne parlait pas un traßtre mot d'anglais. Il en a résulté une série photo poétique qui capture le quotidien de l'un des quartiers les plus défavorisés de la Grande-Bretagne de Thatcher. Ses images montrent notamment des enfants en train de jouer au ballon entre des maisons condamnées, des familles qui se promÚnent dans des allées bétonnées et des couples de personnes ùgées qui attendent le bus prÚs de tours brûlées.
Raymond Depardon est un photographe légendaire en France. En tant que membre de l'agence Magnum, il a photographié la guerre d'Algérie, le Front de libération natuonale du Tchad, les enfants sans-abri d'Angola, et les paysages du désert nigérian. Jusqu'ici, sa série sur Glasgow n'avait jamais été publiée, et ses pellicules ont traßné quelque part dans un carton pendant plus de 30 ans. Elles refont aujourd'hui surface dans le cadre de l'exposition "Strange and Familiar" à la galerie Barbican de Londres.
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DerniĂšre lettre de Jean Seberg Ă son fils Alexandre Diego
âComprends-moi.â
Jean Seberg (13 novembre 1938-30 aoĂ»t 1979), actrice emblĂ©matique de la Nouvelle Vague, a incarnĂ© un idĂ©al fĂ©minin pour toute une gĂ©nĂ©ration. Sa vie privĂ©e tumultueuse et son mariage avec Romain Gary ont fait dâelle une vĂ©ritable icĂŽne des sixties. Le 30 aoĂ»t 1979, elle succombe Ă une overdose massive de barbituriques et dâalcool dans une voiture prĂšs de son appartement rue du GĂ©nĂ©ral-Appert. Elle laisse cette note Ă son fils Alexandre DiegoâŠ
1979
Diego,
mon fils chĂ©ri, pardonne-moi. Je ne pouvais plus vivre. Comprends-moi. Je sais que tu le peux et tu sais que je tâaime. Sois fort.
Ta maman qui tâaime.
(Â http://www.parismatch.com/Culture/Cinema/Ete-1979-Jean-Seberg-a-bout-de-souffle-141150) - (Source image : Jean Seberg | classicfilmscans.blogspot.com | kate gabrielle | Flickr)
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« La propagande moderne est un effort persistant de crĂ©ation ou de prĂ©sentation dâĂ©vĂ©nements dans le but dâinfluencer la relation du public Ă une entreprise, une idĂ©e ou un groupe. » Edward Bernays, Propaganda, 1928
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Ce documentaire suit le quotidien d'une meute de loups en Allemagne
Pour redorer l'image du loup qui subit bien des idées reçues, ils ont suivi les péripéties d'une meute de loups en Allemagne. Un film magnifique.
Lequel des deux devrions-nous le plus craindre ? Le loup ou lâhomme ? Telle est la question posĂ©e dans ce passionnant documentaire Arte, parti Ă la rencontre dâune meute de loups qui fait son retour dans nos contrĂ©es, et dont le mystĂ©rieux comportement continue de fasciner.
Lâhomme est un loup pour lâhomme, mais aussi pour le loup. Cet animal mythique, craint depuis des millĂ©naires, passionne toujours autant. Le lien demeure fragile entre lâhomme et le grand canidĂ©, bien souvent incompris et jugĂ© « nuisible ». Il a pourtant sa place et un rĂŽle majeur au sein des Ă©cosystĂšmes.
Le loup a fait son retour en Europe et, avec lui, la peur enfouie. Alors, pour mettre fin aux idĂ©es reçues, les documentaristes animaliers, Herbet Ostwald et SĂ©bastian Koerner, sont allĂ©s suivre une meute de loups, de lâautre cĂŽtĂ© du Rhin, dans un contexte qui demeure tendu. Bien que lâespĂšce soit protĂ©gĂ©e en Allemagne (on dĂ©nombrait 31 meutes de loups en 2015), un abattage a rĂ©cemment Ă©tĂ© autorisĂ©. De son cĂŽtĂ©, en France, le ministre de la Transition Ă©cologique, Nicolas Hulot, a rĂ©cemment augmenté le quota dâabattage des loups.
En suivant le quotidien des ces animaux aussi sociables que curieux grĂące Ă des camĂ©ras camouflĂ©es, Herbet Ostwald et SĂ©bastian Koerner offrent un passionnant portrait du loup, au plus prĂšs de cet animal qui continue dâĂȘtre victime de bien des lĂ©gendes et des prĂ©jugĂ©s.
Le film complet « Les loups, nos voisins » est actuellement visionnable en Replay sur Arte.
septembre 2017
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Nous sommes les clowns de nos vies..
Nous sommes âles Tigressesâ.Â
Agiles comme des panthĂšres, sur notre trapĂšze nous exhibons notre corps au publique faisant cabriole et voltige..Â
Oh ! Tout Ă commencĂ© lorsque nous Ă©tions jeunes, Ă grimper partout .. Dans les arbres de la maison familiale.. Notre mĂšre Ă©tait fiĂšre de nous .. Ă nous voir sauter et courir partout ..Â
La peur du vide ?? Jamais !
Notre sourire Ă©tait sa joie et nos rires toujours une musique dans le jardin..Â
Nous Ă©tions complices dans les airs et en amour. Ă tout partager les garçons au dĂ©but, les hommes ensuite. Car la nature nous Ă dotĂ© dâune plastique Ă faire rougir les dĂ©mons, et une souplesse Ă faire bander un gorille.Â
« Les trois guenons » voilĂ comment elle nous appelait notre mĂšre, Ă ĂȘtre toujours perchĂ©es bien haut..Â
Toujours plus haut.!!. VoilĂ ce que nous disait notre troisiĂšme sĆur.. Jusquâau jour ou la branche Ă cassĂ©e et son corps se fracasser dans lâarbre, se dĂ©mantibulant de toute part.. Câest drĂŽle son corps nâa mĂȘme pas touchĂ© le sol, car son cou est restĂ© coincĂ© entre deux branches lui donnant le coup fatal..Â
Les sourires se sont transformĂ©s en masque de tristesse et la musique du rire est devenue un requiem de Mozart..Â
Notre mĂšre sâen est toujours voulu.. Ă nous laisser sauter et grimper partout⊠Tellement voulu quâun cachet de trop lui a Ă©tĂ© aussi fatal.Â
Elle aussiâŠ
Nous travaillons toujours sans filet bien sĂ»r .. Câest plus excitantâŠÂ
Pour un jour rejoindre notre petite sĆuretteâŠÂ
La musique de notre tour ?? Requiem en D minor de MozartâŠ
Nous sommes les clowns de nos vies..
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