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Ligne Nouvelle Montpellier Perpignan : les écologistes disent oui au financement de cette grande infrastructure ferroviaire et rappellent la nécessité d’assurer sa mixité fret voyageurs jusqu’à Perpignan

Lundi 22 novembre, le Conseil Départemental de l’Hérault a approuvé le protocole d’intention de financement pour la réalisation de la phase 1 de la Ligne Nouvelle Montpellier Perpignan (LNMP).

Ce vote officialise l’engagement du Département de l’Hérault, aux côtés des autres collectivités partenaires et notamment la Région Occitanie, à participer à hauteur de 115 millions d’euros au financement de cette première phase comprise entre Montpellier et Béziers dont le coût global est estimé à un peu plus de 2 milliards d’euros.

Les élus écologistes ont voté en faveur de ce protocole proposé par le Président Kléber Mesquida, en soulignant en commission la nécessité d’accélérer le calendrier de réalisation de ce projet d'infrastructure majeur pour le devenir de nos territoires et en réaffirmant la nécessité d’assurer la mixité fret voyageurs sur la totalité de son tracé de Montpellier à Perpignan.

Dans un contexte de montée des eaux désormais avéré, le bon dimensionnement et la mise en sécurité des futures infrastructures ferroviaires doivent être des priorités.

D'après les dernières études de l’Agence européenne de l’environnement, l’actuelle voie ferrée littorale entre Montpellier et Perpignan sera impactée par la montée des eaux à court terme. Des incidents graves, notamment celui survenu à Villeneuve-lès-Béziers en octobre 2019, ont déjà souligné sa grande vulnérabilité. La perspective de l’augmentation en fréquence et en intensité de ces incidents oblige à prévoir la mixité fret voyageurs mixte de bout en bout entre Montpellier et Perpignan et pas uniquement entre Montpellier et Béziers.

Développer des solutions de transports décarbonées, organiser efficacement le report du trafic de marchandises de la route sur le rail, agir de manière concrète pour réduire la pollution et les émissions de CO2 sur notre territoire impliquent des investissements d'avenir et un engagement fort de l'ensemble des collectivités, unies aux côtés de l'Etat et de l'Europe. C'est dans cette optique que le Département de l'Hérault s'est engagé avec résolution.

Cet engagement désormais unanime devrait permettre d'accélérer un projet à la fois urgent et prioritaire.

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Ça y est, je suis passée du côté grombre…

Mes cheveux et moi, c’est une histoire compliquée, parfois même douloureuse. On peut dire qu’ils m’en ont fait voir de toutes les couleurs !

Trop rebelles, trop indisciplinés, trop réactifs, trop ternes… Enfant déjà, je découvrais des mèches dépigmentées planquées dans ma tignasse blond cendré. Collégienne, je reçus le charmant surnom de « Valderrama » (je vous laisse apprécier, si vous ne connaissez pas ce joueur de foot colombien qui évolua à Montpellier il y a déjà longtemps ⤵️).

Plus tard j’ai infligé à ma chevelure toutes sortes de traitements, passant du rouge au platine… Jusqu’à ce que j’opte pour le balayage, chaque année sans faute, pendant presque 20 ans. Histoire d’illuminer ce blond qui tirait déjà vers le gris, et de flouter la couronne argentée persistait à encadrer mon visage. «Boucles d’or»… Je l’ai souvent entendue aussi celle-là, et les coiffeurs eux-mêmes reconnaissaient que louper des mèches sur ma base, c’était quasiment impossible.

Et puis un jour, il y a 18 mois environ, j’en ai eu marre de claquer 100€ par an pour des traitements chimiques qui desséchaient mes longueurs. Je voyais les repousses où l’or et l’argent se mêlaient sans vraiment « matcher ». À bientôt 45 ans, alors qu’on me donne du « mademoiselle » (sic) (grrr) et plusieurs années de moins (merci la génétique), j’ai décidé que la transformation profonde que je vivais à l’intérieur (j’ose espérer devenir un peu plus sage, éveillée et bienveillante chaque jour) devait aussi se manifester à l’extérieur. Question de simplicité et d’authenticité !

Je m’exprime souvent sur l’égalité, la valeur accordée (ou pas) aux apparences, les injonctions contradictoires et l’oppression qui pèsent sur le corps et le porte-monnaie des femmes, l’âge et le temps qui passe… Il fallait faire coïncider mes idées et mon mode de vie :)

Inspirée par les femmes magnifiques et brillantes que j’ai la chance de côtoyer (coucou Isabelle, Valérie, Pascale, et d’autres qui ne sont sur les réseaux sociaux), soutenue par mes filles chéries - dont l’avis compte beaucoup pour moi, encouragée par des hommes qui se moquent bien de ce que la société nous impose comme normes (gratitude à mon cher et tendre #lamish, ainsi qu’au meilleur coiffeur du monde Bruno Barbeyrol), j’ai donc laissé mes cheveux vivre leur vie et révéler leur nature véritable.

On ne va pas se mentir. Les réactions furent mitigées. Pour une majorité de soutiens, de commentaires élogieux et de compliments, j’ai récolté quelques réflexions un peu maladroites et que je croyais reléguées au XXe siècle. Les cheveux grisonnants ? «Tellement moches quand on a la chance d’être blonde», «charmants sur les têtes des hommes mais négligés sur celles les femmes», «ça va faire vieille», etc.

Vous savez quoi ? Je m’en fous royalement de faire vieille. J’ai tellement mieux à faire que d’essayer de lutter vainement contre le temps qui passe. Extraire le meilleur de chaque seconde par exemple, y compris pendant que j’écris ces lignes. Parce que je veux croire que le meilleur est à venir !

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Tudela, ou la poésie de l'impermanence

Imaginez que le temps s’écoule à rebours.

Imaginez une côte redevenue sauvage, où la nature, la faune, la flore, le roc, le sel et la mer reprendraient leurs droits.

Imaginez un endroit d’où l’espèce humaine aurait décidé de se retirer, n’y laissant que des traces subtiles que l’usure du temps aura bientôt effacées.

Cet endroit, c’est le Paratge de Tudela.

Un voyage à rebours dans un site d’exception

J’ai découvert sans vraiment m'y attendre cet espace d’une po��sie fragile et sublime. La Costa Brava, Cadaquès, le Cap de Creus. Des lieux que je connaissais déjà, ayant la chance de vivre à quelques heures seulement de ce paradis de d’onde et de lumière.

En 1960, l’extrémité orientale de la péninsule ibérique, un des endroits les plus sauvages de la Costa Brava, fut bouleversé par la construction d’un Club Med. Un village vacances d’une capacité d’accueil de 900 personnes fut construit sur 200 hectares. Des dalles de béton furent coulées ; une piscine fut creusée. On planta des espèces exotiques pour donner aux lieux un caractère luxuriant et coloré factice. Les eaux usées étaient mal traitées, et l’écosystème fragilisé par la sur-fréquentation saisonnière.

Révéler la beauté authentique du paysage

Le Cap de Creus fut déclaré Parc Naturel en 1998, et tout le secteur reçut le plus haut niveau de protection naturelle, en raison de sa valeur géologique et botanique exceptionnelle. Cela a entrainé la fermeture inéluctable du centre de vacances au cours de l’été 2003. En 2005, la totalité de la propriété fut acquise par le ministère espagnol de l’Environnement et un projet de restauration a été engagé.

L’objectif du projet n’était pas uniquement de déconstruire et concevoir un paysage, mais d’en révéler la beauté authentique et de créer les conditions de son épanouissement en réhabilitant sa dynamique écologique. Le processus a nécessité 5 années d’études préalables et 14 mois de travaux précis :

Cartographie et reconnaissance approfondie du site : 200 km parcourus sur le site, et plus de 15 000 images étudiée

50 spécialistes consultés dans différents domaines liés à la restauration de la nature

Déconstruction sélective de 450 bâtiments

42000 mètres cubes de déchets recyclés sur place à presque 100%

Extraction à la main (afin de préserver les rochers et les espèces endémiques) de la flore exotique envahissante de 90 ha, principalement de Carpobrotus edulis (« griffes de sorcières ») ;

Restauration de l'orographie et du drainage pour restaurer la dynamique de l'érosion naturelle et du transport des sédiments;

Mise en œuvre d'un aménagement paysager novateur permettant un usage public dans le respect du site

L’aménagement paysager fut inauguré en 2011. Au terme de cette restauration, considérée comme l’un des plus grands chantiers de déconstruction et de restauration naturelle de la côte méditerranéenne, les promeneurs ont redécouvert un patrimoine auparavant privatisé et dénaturé. Cette réussite a valu au bureau d’étude de Marti Franch plusieurs prix, en Catalogne et en Espagne, et ainsi que le Prix européen du paysage Rosa Barba.

Des traces subtiles bientôt effacées par le temps et les éléments

La présence humaine à Tudela est désormais réduite à quelques vestiges, qui laissent deviner par endroit une terrasse ou une volée de marches.

Un sentier balisé, bordé d’un fin liséré métallique déjà effiloché par la rouille, se déroule tel un ruban au milieu d’un paysage sauvage balayé par la Tramontane. Chemin faisant se révèlent de nombreux reliefs ruiniformes, évoquant des silhouettes animales pétrifiées.

Au terme de la balade, on débouche sur un escalier aux fragiles rambardes métalliques, qui descend majestueusement jusqu’à une crique dominée par un phare.  

Pour découvrir le site et le chantier en vidéo, cliquez ici et là 

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Merci à Laurence Toulet de me citer dans son article pour “La Gazette” de Montpellier publié le jeudi 10 janvier 2019, suite à notre entretien il y a quelques semaines. Comme je l’explique à mes clients et aux stagiaires que je forme, devenir un usager averti ou un professionnel des médias sociaux, c’est savoir s’extraire du circuit de la récompense, déjouer les dark patterns, et s’affranchir des algorithmes… Et j’approuve les conseils donnés par les autres spécialistes interrogés : pensez à bouger et à vous aérer le cerveau !

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C’est quoi tous ces piratages Facebook ?

Ma veille social media & web est consacrée cette semaine à un sujet proposé par l'un d'entre vous : les piratages massifs de profils Facebook ! Comment savoir si votre profil a été ciblé  ? Quel est le prix d'un message privé dérobé à un utilisateur de Facebook sur le web ? Comment les pirates ont-ils procédé ? C'est ce que je vous explique dans cette video !

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Cette firme dont vous ne pouvez plus vous passer

Quelques jours avant que l’information concernant une faille dans son API (exposant potentiellement les données personnelles de 500000 comptes) ne soit rendue publique, et qu’Alphabet n’annonce la fermeture définitive de Google+ d’ici 10 mois, j’ai publié cette vidéo sur Youtube et IGTV. 

Je tente d’y résumer en moins de 4′ l’actualité de la firme de Mountain View, celle dont vous ne pouvez plus vous passer. 

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Élections de mi-mandat aux États-Unis et réseaux sociaux

Peut-on mettre fin aux manipulations de l’opinion publique qui sévissent sur les réseaux sociaux et ont jeté le doute sur l’élection présidentielle américaine de 2016 ? C’est en tout cas ce que s’efforcent de faire les plateformes depuis déjà plusieurs mois. À l’approche des élections de mi-mandat aux #USA, la pression est de plus en plus forte…  Avec les soupçons d’ingérence étrangère révélée lors de l’élection présidentielle de 2016, et la lutte contre les fakenews, les plateformes sociales sont mises devant leurs responsabilités quant aux contenus qu’elles véhiculent. Peut-on parler de fin de l’innocence pour Facebook et Twitter ? 

Retrouvez la vidéo sur ma chaîne Youtube ou ma chaîne IGTV

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Sources

https://www.france24.com/fr/20180905-facebook-twitter-congres-americain-…-electorale-sandberg-dorsey

https://www.zdnet.fr/actualites/bill-gates-l-huggy-les-bons-tuyaux-de-zuckerberg-et-facebook-39873431.htm

https://www.lemonde.fr/pixels/article/2018/09/05/a-washington-journee-a-hauts-risques-politiques-pour-les-reseaux-sociaux_5350381_4408996.html

https://www.lemonde.fr/pixels/article/2018/09/05/promenade-de-sante-pour-facebook-et-twitter-au-senat_5350787_4408996.html

https://www.zdnet.fr/actualites/facebook-et-twitter-la-queue-basse-au-senat-americain-39873319.htm

https://www.zdnet.fr/actualites/la-moderation-de-facebook-et-twitter-dans-le-viseur-39873231.htm

https://siecledigital.fr/2018/09/05/facebook-war-room-pour-les-elections-americaines-de-mi-mandat/

https://www.zdnet.fr/actualites/pour-zuckerberg-reparer-facebook-prendra-3-ans-au-moins-39873383.htm

https://www.presse-citron.net/facebook-developpe-une-ia-qui-lit-les-memes/

https://www.01net.com/actualites/facebook-comprend-maintenant-le-texte-glisse-dans-vos-photos-et-videos-1521509.html

https://www.lemonde.fr/idees/article/2018/09/11/la-tres-problematique-moderation-des-reseaux-sociaux_5353375_3232.html

https://www.20minutes.fr/arts-stars/web/2331131-20180905-quart-utilisateurs-americains-facebook-supprime-application-an

http://www.lefigaro.fr/secteur/high-tech/2018/09/05/32001-20180905ARTFIG00325-apres-cambridge-analytica-un-americain-sur-quatre-a-supprime-l-application-facebook.php

https://ledesk.ma/encontinu/en-2021-un-tiers-de-lhumanite-sera-sur-les-reseaux-sociaux/

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Lu sur les internets - sem 28 Ma veille social media hebdomadaire met à l’honneur THE social network cette semaine.

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Vous la reconnaissez cette Française relou, qui souffle dans la file et grille la priorité 😉😅?

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Une semaine après le lancement d’IGTV, un premier bilan

Une semaine après le lancement d’IGTV, c’est-à-dire les chaînes proposées par Instagram pour diffuser des vidéos de 15″ à 1h, c'est l'occasion de faire le point sur les différentes façons de publier et de regarder les stories que je poste quasi quotidiennement depuis le mois de février, ce qui fait déjà 4 mois.

Lu sur les internets est un format qui est vraiment pensé et conçu pour être consulté tous les jours. Il est séquencé pour être visionné en story. L'aspect éphémère est à la fois une contrainte, un défi, une inspiration et une source de motivation, mais j'ai rapidement cherché à le contourner afin d'archiver les vidéos de 1 à 2 minutes que j'obtiens in fine.

D'où l'intérêt de les télécharger sur ma chaîne Youtube, et d'où l'interêt également de les les publier sur IGTV (merci Philippe de m'y avoir incitée !).

Petit bilan rapide de cette courte période, pour ce qui concerne mon format et mon usage. Et je précise immédiatement que ce ne seraient évidemment pas les mêmes pour un un commerce, une entreprise, un artiste ou un événement. Chacun doit utiliser les possibilités très diverses offertes par Instagram en fonction des caractéristiques de ses contenus et des attentes de son audience.

Les moins

Pour l’instant, je comptabilise plus de vues directement dans les stories ou sur Youtube que sur IGTV.

J’enregistre également beaucoup plus d'engagement depuis les stories via Instadirect, bien que j'aie eu aussi des commentaires sur IGTV.

Comme le soulignait Philippe Couzon dans son vlog jeudi matin, pas d'éditeur intégré à IGTV, contrairement au Creator Studio de Youtube, qui offre toute une palette d'outils y compris une banque de sons et de musiques. Si vous voulez une vidéo qui sorte vraiment du lot, il faut donc faire le travail d'édition et de montage avant de l'uploader sur IGTV.

N’oubliez pas que l'objectif de Facebook, c'est de vous garder captif de sa plateforme, depuis la création de la vidéo jusqu'à son téléchargement sur IGTV et sa publication, sur l'ensemble des plateformes que possède Mark Zuckerberg. Et on peut dire que Facebook y parvient parfaitement, notamment en facilitant énormément la tâche aux utilisateurs comme aux créateurs de contenus.

En revanche, si votre objectif est un peu plus orienté SEO, trafic, visibilité, ce n'est clairement pas idéal, d'autant que l'audience organique se construit sur la base des abonnés à votre compte Instagram.

Enfin, les insights sont bien plus détaillés en ce qui concerne les vues, l'engagement et les interactions dans les stories.

Les plus

Le premier est bien sûr la possibilité de télécharger des vidéos plus longues : celles que l’on poste en story sont limitées à 15″ maximum, celles qui sont publiées sur IGTV peuvent atteindre 1h.

Les vidéos téléchargées sur IGTV apparaissent sous forme de "highlight" sur le compte Instagram, juste au-dessus de la grille de photos. Et c'est exactement ce dont j'avais besoin pour garder une archive et mettre en valeur ma veille quotidienne en story.

L'intégration avec les pages Facebook est très poussée, ce qui constitue un gain de temps  :

Publication directe depuis Instagram de la vidéo sur la page communautaire à laquelle votre compte est associé ;

Gestion facilitée des interactions sur IGTV puisque tout est intégré à la page communautaire Facebook (vous répondez sur desk via la plateforme Messenger et c'est publié directement sur Instagram) ;

Statistiques d'audience, de trafic et de vues que l'on ne trouve pas pour les stories

Le jour du lancement d'IGTV, vous avez été plusieurs, notamment Pierre Renaud et Adrien Saumier à commenter ma story en soulignant que le format se positionnait sans doute plus en concurrent de Snapchat que de Youtube. Et il est vrai que cela ressemble fortement aux Discover ou aux stories publiques de célébrités… la viralité en moins. En effet Snapchat sait très bien vous les mettre sous les yeux, contrairement aux vidéos Instagram, un peu planquées sous le bouton IGTV.

Le maximum de vues est finalement atteint sur Youtube, qui présente une série d'avantages qu'on ne trouve nulle part ailleurs (pour l’instant ?) :

un nombre et des durées de connexions inégalés, chaque jour ;

une souplesse formelle qui fait encore défaut aux stories et à IGTV (format paysage ou portrait, montages, effets, audio) ;

un algorithme, un référencement et un mode de diffusion qui permettent d'atteindre des internautes y compris éloignés du cercle de vos abonnés;

enfin, une durée de vie des vidéos bien plus longue que sur n'importe quelle autre plateforme.

Retrouvez ce premier bilan en vidéo sur IGTV. Attention, il y a une surprise pour celles et ceux qui regardent jusqu’au bout 😉

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Comment je me suis retrouvée sur le tournage du spot “Français&Food”🇫🇷🥐

À l’issue d’un casting à la concurrence féroce…

…me voici embarquée en tournage dans la fameuse boulangerie Ô Pain délicieux du joli quartier des Beaux-Arts (Montpellier) pour une vidéo de promotion de l’application Français&Food créée par Mariya Romanova. 

Un après-midi placé sous le signe de la bonne humeur et de la gourmandise, dont le résultat sera visible dans quelques jours sur Youtube.

Merci à Julien Bellot de nous avoir réuni-es avec Alima et Lucas, et bravo à Gilbert Wayenborgh pour la réalisation 😃

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26 modules plus tard… une nouvelle certification

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À l'occasion de l'atelier "Réseaux sociaux et proximité" que j'animais lors du Salon Coventis à Montpellier jeudi dernier, nous avons interrogé la tension entre les immenses possibilités offertes par le réseau mondial, et l'aspiration légitime à se (re)connecter à son environnement immédiat. À (re)voir en ligne pour celles et ceux qui sont intéressé-es 

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"Il est trop simpliste de penser qu'une technologie numérique est 'bonne ou mauvaise' pour les enfants, les adolescents semblent [aussi] tirer des bénéfices de leur temps passé en ligne”

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Hasard ou coïncidence, 13 ans presque jour pour jour après la publication de la première vidéo sur YouTube, j’ai ouvert ma propre chaîne - dont la seule ambition est d’archiver les Stories que je publie quotidiennement en tant que @jaklinem sur Snapchat et Instagram

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Temps passé sur les réseaux sociaux en 2017

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QUAND VOTRE AVATAR VOUS SURVIT (ou comment gérer sa présence numérique depuis l’au-delà)

Grâce à ce test magique et à ©KuroNeko  (que je remercie) j’ai déjà mon épitaphe…

C’est l’été. La période idéale pour perdre son temps à faire des tests idiots, et aborder des sujets drôles et légers.  

Que celles et ceux qui n’ont jamais vu défiler sur leur mur (sous forme de «souvenirs» exhumés de publications parfois fort anciennes) ou dans leurs suggestions d’amis la photo de profil d’une personne disparue me jettent la première pierre. Il arrive parfois, comme le raconte Noman Hosni dans cette chronique radio que Facebook vous invite aussi à lui souhaiter un joyeux anniversaire…

Étrange époque, où notre présence numérique nous survit lorsque nous basculons dans l’autre monde. Ce qui n’est pas sans conséquences pour les proches, allant parfois jusqu’à entraver le nécessaire travail de deuil. 

Vous trouvez ça un peu déplacé d’interagir avec les morts sur Facebook ? Lisez ce billet jusqu’à la fin, car le meilleur est à venir !

Gérer sa présence numérique depuis l’au-delà, ou se garantir le droit à un repos éternel bien mérité, c’est possible. Il suffit de prendre quelques dispositions simples - et surtout sans tarder. Car ce qui est fait n’est plus à faire. Voici comment.

DÉSIGNER UN LÉGATAIRE

Le légataire est un contact désigné pour transformer un profil en compte de commémoration et gérer celui-ci. Les données et informations de la personne décédée restent alors disponibles et les amis virtuels peuvent publier du contenu sur son mur.

À l’heure actuelle, le légataire est autorisé à :

écrire une publication ancrée

répondre aux nouvelles demandes d’ajout

changer la photo de profil ou de couverture

Il ne peut en aucun cas se connecter au profil pour lire les messages, supprimer ou modifier des publications, photos ou autres contenus partagés par le passé sur le journal de la personne disparue.

La procédure détaillée se trouve ici

PROGRAMMER LA SUPPRESSION DE SON PROFIL FACEBOOK

Lorsque cette option est activée, la suppression du compte est effective dès que Facebook est informé du décès par les proches ou personnes responsables.

La procédure lorsque vous êtes connecté à votre compte Facebook est la suivante : paramètres ➡️  général ➡️  gérer le compte ➡️  contact légataire ➡️ demander la suppression du compte

UTILISER UN « COFFRE-FORT» NUMÉRIQUE Grantwill se présente comme le réseau social des immortels, ou gardien des données personnelles, administratives et numériques des utilisateurs - y compris post mortem. 

L’internaute est invité à désigner des « anges gardiens » (c’est-à-dire les personnes de confiance qui signalent la disparition) et à renseigner un «cercle »  de personnes à prévenir au moment du décès. Parmi les services présentés, l’application vous propose carrément de rester «connecté en envoyant des messages personnalisés à vos proches et ennemis après votre disparition ou à des dates spéciales».  On adhère ou pas, mais là j’avoue, on a un peu l’impression de se retrouver dans Thirteen Reasons Why 😰

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Quelques articles sur le même sujet :

Facebook: Comment s'organise la gestion post-mortem d'un compte ? 

Que reste-t-il de notre vie sur Internet une fois qu'on est mort ?