Travail sur le sujet du nouveau marché généré par le freeski
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Un hommage à un collègue prit par une avalanche durant la saison 2011/2012. Paulo Bruchez de Verbier, passionné jusqu'au bout par ce sport.
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Introduction.
Le freeski est un sport considéré comme extrême dans lequel on trouve deux disciplines principales ; le freestyle et le freeride. Il y a également des sous-disciplines dans ces deux dernières que nous traiterons plus tard. Le freeski est, comme l’indique son nom anglais, le ski libre. En effet, chacun peut apporter sa touche personnelle et il est praticable sur divers terrains.
Le freeski est une pratique idéale pour les amoureux de montagne, et connait une expansion importante depuis la fin des années 1990. C’est pour ces raisons que nous avons décidé de traiter ce sujet ; nous sommes souvent confrontées à ce sport et l’une de nous le pratique fréquemment. De plus il nous a paru intéressant de voir en quoi les commerces ont changé depuis la mise en vogue du freeski.
Nous développerons les particularités de chaque discipline et du matériel, puis nous verrons comment celles-ci affectent ou non le commerce du ski.
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"Quand tu es arrivé au sommet de la montagne, continue de grimper"
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Le Freeride !
Le freeride est une des deux disciplines du freeski, son nom signifie litteralement "descente libre".
Il consiste à skier hors des pistes aménagées et des structures adaptées afin de s’aventurer dans des nouveaux lieux, retrouver le grand espace, le grand air et de sentir la poussée d'adrénaline qui monte lorsque l'on prend des risques extrêmes.
Les freeriders ignorent volontairement certaines règles et limites imposées ce qui rend ce sport très dangereux, et pratiquent leur sport à leur façon, en toute liberté. Ils sont le plus souvent des jeunes sportifs assez casse-cou, très passionnés, adeptes de sensations fortes et le plus souvent considérés comme inconscients, bien que ça n'est pas le cas comme le développerons plus loin.
La pratique du freeride est une pratique "libre" et évidemment elle demande beaucoup d’efforts physiques intenses et comporte beaucoup de dangers : - risques de provoquer une avalanche - risque de s'égarer ou de se blesser
Le meilleur conseil est quand même d’éviter de pratiquer le freeride en "solo", cela peut être dangereux. Il faut toujours l'aide et la présence d'un professionnel ou d’un guide qui peut prendre les précautions nécessaires pour rester en sécurité, puis emporter le matériel nécessaire.
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Freestyle !
Le freestyle est la seconde pratique du Freeride, il consiste aussi a prendre des risques extrêmes. Le but de cette discipline est d'effectuer des figures à l'aide de structures en neige ou en métal, appelées modules. Ces figures sont appelées tricks.
La plupart des freestyleurs sont des jeunes, casse-cous et aussi très passionnés. Ils privilégient plut��t un style avec des habits larges, des couleurs fluo, les sauts et les figures en l'air ou sur les rails. Leur terrain de jeu: le snowpark.
Les snowparks sont spécialement equipés pour les freestylers, ainsi ils peuvent s'entaîner à faire des figures aériennes de plus en plus complexes avec des sauts avec des niveaux différentes ( vert, bleu, rouge comme sur les pistes). C'est un ski "acrobatique" qui permet toutes les fantaisies.
Les freestylers prennent beaucoup de risques ( blessures, chutes...) Il est donc nécessaire de prendre des précautions:
de porter un casque et une dorsale
Afin d'éviter tout risque.
photo freestyle - effet fish eyes
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Pour plus de sécurité !
Les freeriders prennent de plus en plus de risque alors pour un minimum de sécurité ils doivent avoir au moins un appareil de sécurité.
En effet , il existe plusieurs sortent de matériel de sécurité:
Le ARVA (appareil de recherche de victime d'avalanche) les prix : 128 à 369€
Le RECCO (antenne en cuivre émettant des fréquences) Le prix : 15€
Les SONDES ( peuvent s’allonger pour atteindre de 2 à 3 m) Le prix : ~70€
Avalung (appareil servant a respirer lorque qu'un victime est ensevelie sous une avalanche) le prix : 99 euros
Avalanche Ball (Un gros ballon rouge relié à la personne qui s'actionne lorsqu'on tire sur une poignée située sur une des bretelle) Le prix: 170€
Flash avalanche (c'est un système à porter sur un poignet, que l'on déclenche en tirant sur une languette. Ainsi quatre rubans rouge sont libérés et reliés a la victime )le prix : 59€
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Sponsoring
Les stations de ski peuvent collaborer avec des producteurs filmographique comme par exemple level 1, leur but étant que leur station soit représentée dans un des leur films.
Les stations peuvent aussi sponsoriser des skieurs lors des compétitions ou d'autres événements publics, afin que le nom de leur station soit connu par le grand public. Ils peuvent aussi afficher sur l'équipement leur nom et/ou le logo qu'ils représentent. Le but est de donner envie aux fans d'aller skier dans ces stations avec les « pros ».
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Ici une vidéo de ski freestyle, l'autre discipline de notre sujet. La vidéo a été filmée lors d'un "contest" aux Etats-Unis en 2010, à l'occasion de la sortie de la caméra sportive; GoPro.
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L'importance des réseaux sociaux dans le développement du freeski.
Avec le développement important du freeski, on remarque également une présence imposante de ce dernier sur Internet. En effet, il n'y a nul endroit de ce vaste terrain fictif où l'on peut échapper au Buzz de ce sport. Sur Facebook par exemple, il suffit d'avoir un seul ami qui aime quelque chose à ce sujet et cela s'affiche sur la page d'accueil. Les images/vidéos publiées sont impressionnantes bien capturées et, dans le cas de la vidéo, accompagnées de musique "à la mode". Tout est mis en place pour capter au mieux l'attention de l'utilisateur du réseau social, ce sont des tactiques de marketing. Ceci est courant non seulement dans le freeski mais beaucoup de sports extrêmes et permet aux clients potentiels de se familiariser avec le milieu. Les images affectent particulièrement les jeunes skieurs (12-25 ans) qui veulent s'identifier aux pros (par le matériel, les figures, etc). C'est donc pour cela que les marques et évènements de ski utilise les réseaux sociaux comme moyen de promotion; c'est le groupe d'age visé qui les utilise le plus.
(YouTube, Twitter, Tumblr, Instagram, Vimeo et Zapiks sont tous des réseaux où le freeski est fortement présent.)
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Ceci est une petite vidéo de freeride, l'une des disciplines étudiée pour notre sujet.
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Le développement des skis polyvalents; développement de la discipline en temps de crise.
Aujourd'hui, face à la crise, le marché du ski en général se resserre ; c'est-à-dire que les fabriquants de skis vont, par exemple, mettre des skis plus polyvalent sur le marché. D'après l'article « La crise ? Quelle crise ? » du magazine « Référence Ski », pour l'hiver 2013, on nous explique qu'il y a 2 ou 3 saisons de là, le skieur polyvalent possédait en moyenne 3 à 4 paires de skis pour chaque discipline qu'il pratiquait (cf. Ski de piste, slalom, freeride, freestyle, etc.), à savoir que chaque discipline nécessite un ski adapté pour profiter pleinement ; nous développerons cela plus tard. Le freeski étant de plus en plus en vogue dans les stations et les skieurs étant également plus polyvalent, les marques de skis sortent des modèles sur le marché qui ressemble à ces derniers. On peut désormais pratiquer la discipline de notre ski en possédant qu'une seule paire ! Ou presque... « devant la ''polyvalence efficace'' proposée cet hiver par certains modèles, on peut aujourd'hui affronter absolument toutes les conditions (du dur à la poudre sans fond) avec seulement deux paires de skis, là où il en fallait 3 minimum il y a quelques hivers. [...] il reste (tout de même) casi impossible de se faire plaisir dans toutes les conditions avec la même paire. » Le marché essaie quand même avant tout de satisfaire la demande et s'adapte au temps de crise..
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« Le ski de randonnée, longtemps refuge des anti-domaines skiables et à coup sûr berceau des anti-héliski, vacille quelque peu sur ses bases à cause de la mode du freerando qui en peu de temps, a déversé sur ses plates-bandes bon nombre de freerideurs décomplexés. Avant, le monde était bien fait et chaque communauté avait son domaine réservé : le respect de la nature et les valeurs saines de l'effort pour les adeptes de la peau de phoque, l'adrénaline et le plaisir de la vitesse pour les rideurs transgresseurs de règles et de règlements. Et puis, tout équilibre étant amené à se briser, la frontière imperméable qui séparait ces mondes parallèles s'est mise à prendre l'eau, les premiers transfuges entre les pratiques aussi. Tel le mur de Berlin s'effondrant en quelques heures alors que des dizaines d'années n'avaient même pas pu l'ébrécher, la randonnée est quasiment devenue la pratique la plus tendance du ski alpin grâce à l'évolution spectaculaire du matériel qui permet enfin de skier sans concession à la descente tout en pouvant remonter à la force du mollet. Ces skieurs peuvent donc aussi facilement monter dans un hélico que coller les peaux lorsqu'ils ne sont pas sur un domaine skiable: bref, ils sont devenus apolitiques ! Ils n'ont plus que d'autres chapelle que celle du plaisir de skier. Les opérateurs du voyages héliski ont d'ailleurs bien senti cette tendance puisqu'ils proposent l'hélirando, mélange de déposes et de rando. Le principe : être déposé le matin au sommet d'une belle pente, loin dans les grands espaces vierges du Canada ou d'ailleurs, rando le reste de la journée sur les sommets alentour, et une dernière dépose avant le retour à la base, à l'heure où hurlent les loups. C'est moins coûteux, plus sauvage, mais tout aussi exceptionnel. La magie de la nature doublée de la magie de l'hélicoptère, celle qui fait que bien peu de personnes ont refusé une invitation pour une dépose... Finalement cet équilibre du bon sens m'apparaît sain et moins caricatural que les postures jusqu'alors tenues par les uns, les autres. Il n'y a pas de domaines réservés en montagne, juste des manière différentes de l'appréhender, et des pratiques qui cohabitent aisément pour peu que le civisme soit de la partie. On ne peut que se féliciter lorsque les esprits s'ouvrent et que le bon sens prend le pouvoir. En espérant que cela ne reste pas un vœu pieux même si, associer l’hélicoptère et ski de randonnée dans cet édito ne va pas aller sans réaction... »
Laurent Belluard
SKIEUR magazine, édition décembre 2012.
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Le rôle des évenements et des compétitions de freeski.
Le monde du freeski, comme tout autre sport, est poussé par des compétitions et des évenements. Ceux ci se sépare en trois catégories; ceux du freestyle, ceux du freeride et ceux où ces deux disciplines se réunissent. Dans le cas de ce dernier, c'est une chose difficile d'organiser et ils sont en général pas "officiels" à cause du fait que le freestyle est prit en compte par la FIS (fédération internationale de ski) tandis que le freeride ne l'est pas.
Les compétitions de ski freestyle sont mieu connu par le publique et les plus gros sont très médiatisés. Pour prendre un exemple on peut parler des X Games qui ont lieu aux États-Unis à Aspen dans le Colorado, puis ensuite en France dans la station de Tignes en Haute-Savoie. Autrement, pour la première fois en 2014 le ski freestyle est admis au Jeux Olympique d'hiver à Sotchi (un évènement à ne pas manquer!). Ces compétitions ont tous lieu en station et cela rend difficile pour des non-skieurs d'être présents et pouvoir apprendre plus sur ce sport. Heureusment il y a des évènements tel que le Freestyle.ch à Zürich en Suisse qui bénéficie d'un terrain local accessible à tous et se montre comme étant un moyen très effectif pour répandre ce sport.
Dans le cas du ski freeride, le plus gros organisateur des compétitions est Swatch; il organise le Giant X Tour, le Freeride World Tour (avec comme partenaire Nissan, the Swatch Skiers Cup
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