Tumgik
jchclement · 6 years
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28 février, journée sans Facebook
Demain (28 février) c’est la journée sans Facebook, l’occasion de quitter définitivement l’univers de Mark Zuckerberg. Avant de supprimer mes comptes, je vais attendre de pouvoir récupérer mes données Facebook, Messenger, Instagram et WhatsApp – soit un petit sursis de 48 à 72 heures au maximum.
Une seule bonne raison suffit mais en voilà six : 1) Mark Zuckerberg ne cessera jamais son exploitation frauduleuse de nos données personnelles. En atteste ce nouveau scandale qui implique désormais des données financières et des données de santé. https://www.macg.co/ailleurs/2019/02/confidentialite-une-fois-encore-facebook-pris-la-main-dans-le-sac-105343 2) Ne pas collaborer à la colonisation digitale de notre pays par ce nouvel expert de l’optimisation fiscale qui refuse de rétribuer, par son impôt, les millions de bénéfices qu’il fait sur notre dos. https://lexpansion.lexpress.fr/high-tech/facebook-france-seulement-1-9-millions-d-euros-d-impots_2026838.html 3) Sortir de l’influence du réseau social qui a démontré sa capacité à pouvoir influencer les comportements électoraux de ses utilisateurs. http://premium.lefigaro.fr/vox/politique/2018/11/29/31001-20181129ARTFIG00286--a-vote-quand-facebook-influence-les-elections.php 4) Couper l’herbe sous le pied de cet acteur de la publicité qui vampirise tout un marché sans aucun état d’âme. https://www.journaldunet.com/ebusiness/publicite/1421104-2018-encore-un-bon-cru-publicitaire-pour-facebook-le-mobile-et-le-search/ 5) Ne pas laisser Facebook manipuler notre attention, notre cerveau, nos émotions en travaillant sur les biais cognitifs de l’addiction afin de nous rendre accroc à ses services. https://www.1843magazine.com/features/the-scientists-who-make-apps-addictive Ma libre retranscription en français de cet article : http://jchclement.tumblr.com/post/183094827154/neurohacking-et-dangers-du-design-comportemental 6) Dénoncer un acteur qui bafoue la législation française sur la liberté de culte en venant traquer les personnes qui versent leur denier à l’église catholique et peut-être d’autres cultes. Cf. le mouchard Facebook dans le code de la page : https://denier.diocese92.fr/donner/~mon-don
Il est important de savoir s’extraire des sphères digitales qui nous oppressent. En théorie, nous avons tous la faculté de nous sortir de ces successions malveillantes d’incitations et de récompenses qui nous manipulent. Peu d'entre nous choisissent toutefois de le faire. Il est tellement plus facile de rester sans rien faire et de continuer à se connecter. Si nous restons captifs de la captologie, c’est bien que nous le souhaitons. De mon côté le choix est fait.
Pour continuer à échanger : - messageries instantanées : https://telegram.org & https://www.signal.org - mon blog (peu actif) : http://jchclement.tumblr.com - mon fil Twitter : https://twitter.com/jeanch
Bonne journée sans Facebook !
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jchclement · 6 years
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Neurohacking et dangers du design comportemental
Une libre retranscription en français des articles : https://www.1843magazine.com/features/the-scientists-who-make-apps-addictive https://www.helloopenworld.com/economie-de-lattention-vers-changement-de-cap-geants-numerique-8454
Nous n’en sommes pas forcément conscients, mais nous sommes les premières victimes de la bataille de l’attention qui a été initiée par les géants du numérique depuis la Silicon Valley. Leur objectif est de maintenir notre attention captive le plus longtemps possible. C’est le retour de la notion de « temps de cerveau disponible ». En avril 2018, la société Impact Mémoire, souligne que notre attention automatique (exogène) par opposition à l’attention volontaire (endogène) permet à notre cerveau de se déconnecter en une demi-seconde de ce sur quoi il est concentré afin de se consacrer à une autre sollicitation et décider de s’y attacher ou non.
À l’université de Stanford, les biais cognitifs qui constituent la base de l’économie de l’attention font l’objet de recherches avancées et d’un enseignement prodigué par le Stanford Persuasive Technology Lab (http://captology.stanford.edu). Ce laboratoire dédié aux technologies de la captologie et à la psychologie de la persuasion a été créé par le Docteur B.J. Fogg en août 1999 (http://captology.stanford.edu/about/about-bj-fogg.html  / https://www.bjfogg.com). Depuis, les étudiants qui ont suivi ses cours mettent en pratique leur expertise au sein des différents mastodontes digitaux comme Google (ex. Reeta Banerjee, Experience Researcher), Uber (ex. Shailendra Rao, Navigation experience), Facebook (ex. Ann Hsieh, UX Research and Strategy Lead / Manager), Airbnb (ex. Stephanie J. Carter, Experience Research Manager), Walmart (ex. Jason Hreha, Global Head of Behavioral Sciences), Apple (ex. Terrie Chan, Designer) et surement de nombreux autres…
La captologie se base sur la mise en œuvre de « dark patterns ». Ces modèles de conception visent deux objectifs : 1. Le premier objectif est de travailler sur les biais cognitifs de l’addiction pour nous rendre accroc à ces services en ligne. Parmi les moyens détournés, on retrouve différents composants de la pyramide de Maslow : estime de soi, besoin de reconnaissance, etc. Tout ceci est amplifié par de stratégiques libérations de dopamine, provoquant, et c’est le but, un effet de manque et par conséquent d’addiction… 2. Le premier objectif est de faire le maximum pour nous dissuader de quitter les réseaux sociaux, les applications mobiles, les jeux sur console et ultimement de nous désinscrire de ces services (création d’un sentiment de culpabilité, amplification du phénomène de Fear Of Missing Out, travail sur la dette émotionnelle, complexification de la suppression du compte, etc.)
L'intersection de l'informatique et de la psychologie a été appelé « captologie » par BJ Fogg. Les réseaux sociaux se basent sur l'un de nos plus puissants ascenseurs émotionnels. Le cerveau humain libère des hormones addictives de plaisir en réponse aux interactions sociales. Ce phénomène se produit également suite à de simples leurres ou simulacres. Les déclencheurs les plus puissants sont les relations aux autres. Nous, nos amis et ceux qui nous suivent nous conduisent constamment à utiliser toujours davantage ces outils.
Facebook, Pinterest et consorts exploitent nos besoins fondamentaux d’appartenance, d’estime et d’accomplissement en vue de distribuer aléatoirement des récompenses virtuelles. Chaque fois que nous ouvrons Instagram, Snapchat ou autre, nous ne savons pas si quelqu'un aura aimé notre photo, laissé un commentaire, mis à jour son statut, ou nous aura tout simplement envoyé un message. Nous ne cessons alors pas de débloquer notre smartphone, faire défiler les différentes applications de social média pour en actualiser inlassablement le contenu… L’objectif de ces entreprises est de nous rendre accrocs, ce qu'elles réussissent parfaitement à accomplir en détournant nos vulnérabilités psychologiques.
Facebook donne par exemple une importance toute particulière à notre nouvelle photo de profil – publique par défaut – dans le fils d’actualité de nos amis, car il sait très bien que c'est un moment où nous allons être particulièrement vulnérable à l'approbation des autres. Les likes et les commentaires obtenus permettent de nous faire replonger continuellement. LinkedIn, de son côté, nous envoie des propositions de connexion qui se traduisent par une décharge de dopamine : « combien je dois être important pour que l’on s’intéresse à moi ! ». De son côté, la personne a probablement juste cliqué sur une liste de suggestions de contacts sans même y réfléchir. Toutes ces impulsions inconscientes se transforment en devoirs sociétaux, qui contraignent notre attention, et sont revendus pour se transformer en cash, à notre insu.
Plus les produits technologiques exercent d'influence sur notre comportement, moins nous avons de contrôle sur nous-mêmes. Ces acteurs affirment qu’ils améliorent leurs algorithmes pour fournir à leurs utilisateurs ce qu'ils souhaitent. Pour autant, chacun vérifie son smartphone en moyenne 150 fois par jour. Est-ce réellement un choix conscient de chacun ? Nous pouvons en douter. Ces entreprises sont devenues des experts dans l’art de nous inciter à réaliser les choix que, eux, veulent que nous fassions.
Les grands acteurs du numérique ne sont pas pour autant engagés dans un complot malsain dont nos esprits seraient les instruments. Google et Apple n’ont pas entrepris de concevoir des smartphones en vue de créer des machines à cash qui annihilent notre volonté. Pour autant, les objectifs de rentabilité nécessitent de maximiser le temps passé sur ces appareils, et il s’avère que la meilleure façon de le faire est de distiller aléatoirement et arbitrairement des récompenses pour notre cerveau.
Sur un smartphone, ce qui n’est pas nécessairement important pour nous est mélangé à des informations très importantes. Ainsi, l’appareil qui nous permet de jouer ou lire des news people est également celui qui va nous informer que notre enfant est malade. Il n’est alors pas possible de l’éteindre complètement et le laisser derrière nous. D’autre part, nous prendrions le risque de ne pas pouvoir photographier un instant magique à diffuser sur les réseaux sociaux ou shazamer un hit que nous rêvons de réécouter sur iTunes Music.
Certains s’inquiètent du danger de l'intelligence artificielle. Ils s’interrogent sur la maximisation de son potentiel sans pour autant menacer les intérêts humains. Ce piège s’est malheureusement déjà refermé sur nous et porte le nom d’Internet. Nous avons ouvert la boite de Pandore qui s’enrichit constamment de nouveaux moyens pour nous convaincre de réaliser des choses que nous ne ferions pas autrement en nous faisant passer d’un état de transe hormonal à un autre.
Il est important de savoir s’extraire des sphères digitales qui nous oppressent. En théorie, nous avons tous la faculté de nous sortir de ces successions malveillantes d’incitations et de récompenses qui nous manipulent. Peu d'entre nous choisissent toutefois de le faire. Il est tellement plus facile de rester sans rien faire et de continuer à se connecter. Si nous restons captifs de la captologie, c’est alors bien que nous le souhaitons…
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jchclement · 10 years
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Best of des poissons d'avril 2014
Samsung > Samsung Introduces its first wearable glove, Samsung Fingers http://global.samsungtomorrow.com/?p=35430
  SNCF > A nous de vous faire préférer l’avion https://twitter.com/OlivierBossut1/status/450926525668663296/photo/1
  Auchan Drive > DriveNose, sentir vos produits pour mieux les choisir https://twitter.com/AuchanDriveFr/status/450890559167533056
  Mylittleparis > Réserver sa place dans le metro http://www.mylittleparis.com/le-metro-qui-change-tout.html
  Parrot > The future of MOOC by Sorbonne Innovation Master : http://youtu.be/4XmLzau6f0A
  Orange annonce des lunettes connectées pour chat https://twitter.com/orange/status/451071710624641024
  01net > Google lancera bientôt son Google Bike, un vélo autonome http://www.01net.com/editorial/617248/google-lancera-bientot-son-google-bike-un-velo-autonome/
  Gizmodo > Xavier Niel devrait succéder à Fleur Pellerin au poste de Ministre délégué en charge des PME, de l'Innovation et de l'Économie http://www.gizmodo.fr/2014/04/01/xavier-niel-devrait-devenir-ministre-de-linternet.html
  Nokia > Nokia 3310 gets 41-megapixel, Windows Phone makeover http://conversations.nokia.com/2014/04/01/nokia-3310-gets-41-megapixel-windows-phone-makeover/
  HTC > HTC Gluuv : un gant dans le style « powerglove » pour le HTC One M8 http://www.htc.com/www/go/gluuv/
  Gmail > Introducing Gmail Shelfie http://gmailblog.blogspot.fr/2014/03/introducing-gmail-shelfie.html
  Office.com : le trombone fait son grand retour http://www.tomsguide.fr/image/Office-Assistant,0101-429402-0-2-3-0-jpg-.html
  LDLC > LDLC lance MeeGeek, son site de rencontre pour les geeks http://www.ldlc.com/meegeek/
  Inside Golf > Apple lance les clubs iGolf ! http://inside-golf.fr/apple-lance-les-clubs-igolf-59523451/
  Charenza > N°1 de la Chat-ssure sur Internet http://www.charenza.com
  France TV Sport > Le GP de France sur le périph' parisien http://www.francetvsport.fr/f1-le-gp-de-france-sur-le-periph-215391
  Google > La chasse aux Pokemon sur Google Maps http://www.spi0n.com/blague-1-avril-google-2014/
  Domino’s Pizza > la boite à pizza comestible http://www.dominos.co.uk/blog/edibox-revolutionises-pizza-delivery/
  Google+ > Introducing Auto Awesome Photobombs with David Hasselhoff http://googleblog.blogspot.fr/2014/03/introducing-auto-awesome-photobombs.html
  Airbnb's > Propose de mettre en location votre bureau avec votre job pour quelques heures http://blog.airbnb.com/introducing-airbrb/
  Orbotix > Orbotix announce the SelfieBot http://www.oxgadgets.com/2014/04/orbotix-announce-the-selfiebot.html
  Caen > Les noms de 11.6 millions de visiteurs de sites à caractère pornographiques français publiés par des hackers chinois http://www.caen.maville.com/actu/actudet_-les-noms-de-11.6-millions-de-visiteurs-de-sites-a-caractere-pornographiques-francais-publies-par-des-hackers-chinois_fil-2520235_actu.Htm
  Metronews > La belle histoire du jour : il a capté de la 3G dans le métro parisien ! http://www.metronews.fr/info/la-belle-histoire-du-jour-il-a-capte-de-la-3g-dans-le-metro-parisien/mncE!akejC5WMWspyU/
  Le progrès > Transformez votre iPad en table à induction http://www.leprogres.fr/economie/2014/03/01/transformez-votre-ipad-en-table-a-induction
  Pixmania > Livraison instantanée - Tous vos produits imprimables en 3D, livrés par mail ! http://www.pixmania.fr/1er_avril-30304-ho-commercial.html
  Google > Introducing AutoAwesome for Resumes http://youtu.be/8IeWkXmPqpA
  Uniqlo > Ouverture d’un magasin au sommet du Mont Fuji https://www.facebook.com/uniqlo/photos/a.238866942813736.68940.146309392069492/741472305886528
  Kayak > Annonce un comparateur de salles de bains http://www.kayak.com/bathrooms/
  ZDNet > Free lance la fusée 4G-Advanced http://www.zdnet.fr/actualites/free-lance-la-fusee-4g-advanced-39799229.htm
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jchclement · 11 years
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Et si le ciel était devenu un média ?
Vous vous souvenez certainement du buzz du 27 juin 2012 qui se voulait être le jour où Marty Mc Fly atterrit dans le futur – Le véritable jour étant le 21 octobre 2015.
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http://mashable.com/2012/06/27/back-to-the-future-hoax/
  En 1985, overboard, chaussures auto-lassantes, hologrammes 3D et four à hydratation nous semblaient pouvoir se démocratiser avant 2015. Nous avons réalisé l’année dernière à quel point l’avenir n’est jamais celui auquel on s’attend.
Et pourtant, il semble aujourd’hui envisageable qu’il y ait demain des embouteillages dans le ciel. Non à cause de De Lorean et autres voitures volantes, mais certainement plus à cause d’une multitude de drones ayant envahi le ciel.
  Quand le géant Amazon annonce qu’il travaille sur un service basé sur des drones qui effectueront des livraisons depuis les air, au mieux à partir de 2015, on se dit que le ciel ne sera jamais plus comme avant.
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http://www.cbsnews.com/news/amazon-unveils-futuristic-plan-delivery-by-drone/
  Derrière Amazon, c’est peut être toute la logistique du dernier kilomètre et de la distribution des petits colis qui va changer. Finalement le spot "So Colissimo" de la Poste diffusé dès 2010 n’était pas si utopiste.
Heureusement pour le personnel de la Poste ce seront des drones qui rendront ce service et non les employés.
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http://www.socolissimo.fr/particuliers.php/service/film
  L’impression 3D apportera peut-être sa pierre à l’édifice en permettant de faire voler à peu près n’importe quel objet. Avec son projet Drone It Yourself, un designer hollandais propose ainsi de transformer en drone l’objet de votre choix : roue de vélo, clavier, livre…
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http://jaspervanloenen.com/diy/
  Ces trois exemples nous montrent à quel point le ciel n’a pas perdu de son attractivité et reste un enjeu pour demain. Au cœur des stratégies militaires au moment de la guerre froide, l’intérêt du ciel s’est renouvelé ou renforcé. On peut alors se demander si le ciel n’est pas en train de devenir un média à part entière.
Dans tous les secteurs d’activité
Depuis quelques années tous les secteurs d’activité ont su tirer profit du ciel : boisson énergisante, politique, énergie, cinéma, sport ou encore grande distribution.
  Dans le domaine des boissons énergisantes, comment ne pas mentionner le succès mondial de Red Bull et du saut depuis la stratosphère de Felix Baumgartner à 39,45 km au-dessus de nos têtes. Cet évènement a permis à YouTube de rassembler plus de 7 millions de téléspectateurs le 14 octobre 2012 (sc. Wikipédia).
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http://www.redbullstratos.com/
  Dans le domaine du Cinéma, le ciel de Londres a été le théâtre d’une campagne de lancement peu ordinaire à l’occasion de la promotion de Star Trek Into Darkness. Le logo de la saga s’est alors dessiné dans le ciel de la capitale anglaise le 23 mars 2013 à l’aide de 30 drones commandés depuis le sol.
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http://youtu.be/ajxClEq_vv8
  Le sport n’est pas en reste et les jeux olympiques nous emmènent chaque fois un peu plus loin. En 1996, les États-Unis avaient envoyé la flamme à bord d'une navette à l’occasion des JO d’Atlanta. Cette année la Russie a décidé d’aller plus loin en organisant une sortie de la torche olympique dans l’espace le 9 novembre depuis la Station Spatiale Internationale.
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En s’éloignant un peu moins loin, la politique trouve sa place dans le ciel avec cet avion qui a survolé les plages de France cet été. Ou, plus innovant, ce ballon en Corée du sud qui distribuait, au printemps dernier, des coupons dans Séoul depuis un réseau Wi-Fi gratuit émis depuis les airs.
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http://marketingunwired.com/1922/wifi-balloons-spreads-mobile-coupons-in-south-korea/
  Pour finir, et pas des moindres, Carrefour organise à l’occasion de son cinquantième anniversaire, un jeu concours pour faire gagner 30 places en apesanteur à bord d’un Airbus A300 Zero-G avec l’agence Arena.
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http://youtu.be/aaQlrvOte20
Avant qu'il nous tombe sur la tête
Est-il encore nécessaire de démontrer que le ciel est devenu un média à part entière, voir un média d'avenir ? Les drones peuvent être de vrais vecteurs d’ingéniosité et permettre de monter des opérations innovantes et spectaculaires.  Le Earn qui en découle n’est pas en reste sans forcément avoir besoin d’un budget aussi important que celui de Red Bull. Il existe aujourd’hui de nombreuses possibilités de métriques associées à ce type d’opérations et de génération de data qui peuvent être mises à profit des annonceurs au bénéfice du client final.
Jean-Charles.
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