Tumgik
hurfordglobal · 6 months
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Diddy Accuser Drops UMG & Lucian Grainge From Abuse Lawsuit: ‘No Legal Basis for the Claims’
Universal Music Group (UMG) and CEO Lucian Grainge have been dismissed from a lawsuit claiming they “aided and abetted” Sean “Diddy” Combs in his alleged sexual abuse — a move that came after the lawyer who filed the case admitted there had been “no legal basis for the claims.”
The sudden reversal came two months after attorneys for the music giant argued that the accusations were so “offensively false” that they planned to take the unusual step of seeking legal penalties directly against the accuser’s lawyer, Tyrone Blackburn, over his decision to name them in the lawsuit.
In a sworn declaration filed in court Monday (May 13), Blackburn said that after reading UMG’s objections, he had “concluded that there is no legal basis for the claims and allegations that were made against the UMG defendants.” He asked that they be dismissed immediately and “with prejudice” — meaning he cannot refile them later.
In his own court filing on Tuesday, UMG’s lead attorney, Donald Zakarin, agreed that the accusations against his clients should be dropped. But he once again sharply criticized Blackburn for bringing those claims in the first place.
“As we have repeatedly said from our very first communication with counsel for the plaintiff on March 4, 2024, there was no basis, not legal and not factual, for the claims and accusations that were alleged,” Zakarin wrote. “The UMG defendants should never have been named in any of these complaints and we should never have been required to make motions to dismiss the complaints in this action.”
When reached for comment by Billboard, Blackburn declined to answer specific questions about what had led him to drop the case: “I would strongly advise you not to reach out to me for any comment on any case that I have. I have no respect for you as a journalist. You are a mouth piece for [Combs’ attorney] Shawn Holley, and UMG. You should reach out to them for comment.”
Filed in late February, the lawsuit against Diddy claims that he sexually assaulted and harassed a producer named Rodney “Lil Rod” Jones while he was working as a producer on the rapper’s 2023 The Love Album. The lawsuit is one of several abuse cases filed against Combs over the past six months, in addition to an apparent federal criminal investigation. Combs has strongly denied all allegations of wrongdoing.
But the case filed by Jones went far beyond a simple sexual assault claim against Diddy. Naming Grainge, UMG and numerous others as defendants, the case alleged that they operated a sweeping conspiracy that violated the Racketeer Influenced and Corrupt Organizations Act — the federal RICO statute that’s more often used in criminal cases against mobsters and drug cartels. He also accused the various defendants of violating federal sex trafficking laws.
In a scathing response to those allegations in March, attorneys for UMG and Grainge said that those claims were “entirely invented by Mr. Blackburn.”
“The [complaint] hurls accusations of criminal racketeering and criminal sex trafficking against the UMG defendants, respected individuals and companies having utterly nothing to do with plaintiff’s claims,” Zakarin wrote at the time. “These accusations are recklessly false and, but for the fact that they are embodied in a complaint, would be libelous.”
In addition to seeking to have the claims dismissed, UMG’s lawyers also took aim directly at Blackburn. They accused him of filing “knowingly false allegations” and said they would ask the judge to punish him for doing so.
“A license to practice law is a privilege,” Zakarin wrote at the time. “Mr. Blackburn, plaintiff’s lawyer, has misused that license to self-promote, gratuitously, falsely and recklessly accusing the UMG defendants of criminal behavior.”
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hurfordglobal · 4 years
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Bénin: mandat d’arrêt dans le dossier SECURIPORT, Abdou Raman Soumanou clarifie
Abdou Raman Soumanou, l’un des responsables de la société SECURIPORT a réagi suite à l’information annonçant un mandat d’arrêt contre sa personne et ses partenaires. Dans un texte publié ce dimanche 24 janvier 2021, il a apporté des clarifications sur le dossier et promet revenir à la charge avec des éléments de preuves.
« Suite à votre article relatif au dossier SECURIPORT, publié ce vendredi 22 janvier 2021, je tiens à apporter les précisions et clarifications suivantes :
Je confirme qu’un mandat d’arrêt infondé et arbitraire a été bien émis à mon encontre et à  l’encontre de mes partenaires, mais il n’est que national. Il a été émis par la Cour de Répression des Infractions Economiques et du Terrorisme (CRIET).
Sur le fond, le dossier est totalement vide : le Procureur de la CRIET prétend qu’au nom de SECURIPORT, j’aurais illégalement obtenu des ministres en charge des négociations, des documents confidentiels.
Des arbitres internationaux (dont un choisi par le Bénin) ont constaté que ces allégations étaient fausses, ce que la Cour d’Appel de Paris a confirmé.
Ces mandats d’arrêt nationaux, et plus généralement la procédure lancée devant la CRIET, constituent donc une tentative d’intimidation.
Ces mandats d’arrêt sont la réaction de l’Etat béninois à la condamnation, juste, prononcée à son encontre par les Juridictions Internationales, qui l’ont condamné le 24 janvier 2019 à 100 millions de dollars d’indemnisation au bénéfice de SECURIPORT pour avoir irrégulièrement expulsé SECURIPORT de l’aéroport de Cotonou.
SECURIPORT n’est pas condamnée par la CRIET. Nos avocats se battent pour contester cette procédure devant la Cour Suprême au Bénin. Je n’ai aucun doute que si la Cour Suprême est indépendante, elle censurera toutes les décisions de la CRIET. A défaut, nous engagerons les recours nécessaires devant les Juridictions Internationales.
Des mesures d’exécution de la condamnation de l’Etat béninois ont été entamées devant le refus incompréhensible du gouvernement de Patrice TALON d’engager des discussions franches pour trouver une solution alors même qu’au final, ce sont les contribuables Béninois qui paieront.
L’addition déjà élevée s’alourdit de jour en jour compte tenu des intérêts qui avoisinent déjà les 30 millions de dollars, ajoutés aux 100 millions déjà dûs depuis deux ans !
J’apporterai prochainement plus d’éléments, preuves à l’appui, sur :
toute la période de négociations jusqu’à la signature du contrat,
l’installation et le fonctionnement du système à l’aéroport de Cotonou,
la résiliation du contrat,
les médiations initiées par mes soins avant la procédure d’arbitrage,
la procédure d’arbitrage et le procès proprement dit.
Fait à Paris, le 24 janvier 2021
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hurfordglobal · 5 years
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Condamnation du Bénin dans l’affaire SECURIPORT à 55,5 milliards: Qui va payer la facture ?
Gardée avec beaucoup de circonspection dans le registre des dossiers confidentiels de la Marina, la condamnation du Bénin par le Tribunal de commerce international à verser la bagatelle de 55,5 milliards F cfa à la société Sécuriport est désormais sur la place publique. Le gouvernement qui se voit dans l’obligation de payer est confronté à un dilemme. Doit-il payer à partir des deniers publics ou son chef, Patrice Talon de sa poche pour respecter une décision du conseil des ministres prise il y a quelques mois ?Un os dur dans la gorge du gouvernement ! Alors qu’il se bat sur le front politique pour soigner l’image du pays entachée depuis les dernières élections législatives, le gouvernement Talon a une nouvelle braise. Cette fois-ci sur le plan économique. Depuis Janvier, la Chambre du commerce international de Paris a rendu une décision condamnant le Bénin à payer la faramineuse somme de 55,5 millions de francs Cfa à la société americano-argentine Securiport chargée du contrôle des passagers à l’aéroport de Cotonou.
Courant 2016, une fois arrivé au pouvoir, Patrice Talon et son gouvernement se sont empressés de résilier le contrat qui liait cette société à l’Etat béninois sans le moindre respect des clauses de résiliation. Et sans appel d’offres, ils l’ont confié à Morpho Dys, une société dirigée par un proche du président de la République.
En Janvier dernier, la sentence tombe telle une pilule que le gouvernement a du mal à avaler. En effet, il est condamné à payer 55,5 milliards F Cfa à Sécuriport. Mais depuis, la société n’a toujours pas réussi à entrer en possession des fonds. Estomaqué par cette décision qu’il n’a pu empêcher, le pouvoir Talon tente de négocier une résolution plus douce et plus consensuelle avec la société Sécuriport qui n’exige que le paiement de cette somme.
Talon ou l’Etat
De son côté, le gouvernement continue à hésiter. Ses tergiversations viennent d’abord du fait qu’il lui sera très difficile de justifier un tel paiement devant l’opinion. Accepter de payer une si importante somme et la payer à une société prestataire à cause du non respect des termes d’un contrat sonne comme une fausse note musicale dans le concert des discours de transparence budgétaire, de rationalisation des dépenses de l’Etat et des d’autres paradigmes similaires ventilés depuis des mois par le gouvernement.
Il est aussi peu honorable pour un tel gouvernement d’avoir à justifier cela dans un contexte national et international de morosité économique et pendant qu’on harcèle les citoyens sur le plan fiscal. Mais enfin, une autre raison plus forte que les autres expliquent les tergiversions actuelles. Au cas même où se déciderait à payer Sécuriport, le gouvernement devrait lever un grand dilemme entre la provenance de cette somme. Qui doit payer ? L’Etat ou le chef de l’Etat Patrice Talon.
En effet, au cours d’une séance du conseil des ministres, le gouvernement a pris lui-même la décision de faire payer à des cadres de l’administration, les préjudices de leurs légèretés surtout quand cela entraîne des paiements ressources financières. Si donc cette décision de résiliation a été prise par le chef de l’Etat, il devrait lui-même payer de ses poches cette décision au regard des décisions que le gouvernement a prises. Ou, tout au moins, le cadre qui est doigté comme responsable de cette faute va devoir payer de sa poche.
Le gouvernement finira par payer, sauf si, pas extraordinaire, il réussissait à trouver un terrain d’entente avec Sécuriport comme le cas du contentieux entre l’Etat et Benin Control devant la Cour commune de justice et d’arbitrage de l’Ohada qui a condamné l’Etat à 129 milliards. Talon qui a renoncé à prendre les milliards a repris tranquillement son marché de Programme de vérification des importations(Pvi) sans aucune formalité.
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hurfordglobal · 6 years
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Vasyl Slipenchuk
Pervert trying to talk to a child under the age of 16
I am writing this article because Vasly Slipenchuk is a sick perverted person who goes on a gay apps called grindr, adam4adam, trying to pay underage boys for sex. He asked me, if I was 18 and I said no I am 16 turning 17 next month and he says to me that’s fine I love them young. He also asked me if I wanted to piss in his mouth and feed him feces. He was willing to pay me up to $500.00 I still said no. He kept asking and asking and asking. I told him to please leave me alone.  I had to block multiple times due to the fact that, he kept creating new profiles to try to get in touch with me.  The only info I got from him is that he did mention he worked as a Regional Manager at Labour Solution VIP Labour Solution. Please fire this guy and keep him away he’s a sick perverted person and deserve to be in jail. He did Also mention he was messing around with people in the hotel industry. This guy is a sick and needs to be stopped. Please take down this pedophile
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hurfordglobal · 7 years
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Reddit Title Suggestion
litigation about big law is my favorite brief read (linked)
Will Mayo defends sexual allegations on Instagram
Anyone know what’s going on with Will Mayo on instagram?
Has Will Mayo lost his mind?
Another survivor of Solstice RTC abuse tried to post this in reviews, but it got deleted. It has great information so I’ll relay it here. I’m not going to include the part with their own experience in order to protect their privacy.
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