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Le Cameroun dans 10 ans

                             Le Cameroun est un pays d'Afrique centrale. Il est cependant très étendu en latitude : riverain du bassin du Congo au sud, il atteint au nord les rives sahéliennes du Lac Tchad. Bordé par l'océan Atlantique, le pays est dominé par l'un des massifs montagneux les plus hauts d'Afrique.

C’est un pays qui héberge plusieurs nationalités étrangères sur son sol.  Le pays dispose d’un sol fertile qui concoure à son essor économique.

Vu sa situation économique actuelle, selon le dernier bilan fait par la CEMAC à Yaoundé en janvier 2017, le Cameroun est le seul pays en Afrique central qui n’est pas complètement touché par la crise financière. De ce fait, son futur sur le plan économique dans 10 ans est meilleur, à condition que le pays maintienne le rythme.

Dans 10 ans, vu la croissance démographique du pays, le Cameroun sera confronté à un véritable problème comme le manque d’habitation et d’alimentation.

Le taux de chômage sera élevé car le Cameroun à plus de jeunes diplômés sans emploi, cela risque de provoquer un problème à la gouvernance. Ces jeunes diplômés sans emploi pourront se rebeller contre le pouvoir en place et créer un désordre au sein du pays.

En plus, le réchauffement climatique selon la Cop 22 risque de se répertorier sur le pays et défavoriser son essor économique.

Le Cameroun dans 10ans a moins de chance d’être le Cameroun d’aujourd’hui.

                                                                             HADJE HAOUA ABAKAR

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Terrorisme

            Le Cameroun face à la lutte contre Boko Haram

 Frappé par d’énormes attentats provoqués par la secte islamique Boko haram dans les régions du Nord et de l’Extrème-Nord, durant les cinq dernières années, le Cameroun fait face.

Après le premier attentat kamikaze sur son sol le 12 juillet 2015 au marché de Fotokol au Nord, le gouvernement camerounais déploie ses forces de l’ordre sur le terrain pour combattre Boko Haram. Le bilan de l’attentat est de 16 morts dont les deux kamikazes vêtus en burqa.

Sur le terrain, considéré comme fief de Boko Haram, l’on trouve des armées camerounaises telles que les gendarmes, Bir (Brigade d’Intervention Rapide) et milliaires. En plus de ces hommes en kaki, les pays membre du bassin du Lac Tchad ont mis sur pied la force mixe et une partie de cette dernière est logée au Nord Cameroun pour lutter et chasser Boko Haram.

Le système le plus utilisé par la force mixe est le renforcement de la vigilance avec les drones et les bombardements des zones peuplées par les terroristes. Le gouvernement camerounais a aussi mis sur pied de comités de vigilance dans chaque village au Nord. Ces personnes ne font pas partie de l’armée mais surveillent des faits et gestes de la population et interpellent l’armée si un habitant a un lien avec les terroristes. Plusieurs attentats ont été déjoués grâce au comité de vigilance selon les rapports de la presse camerounais.

Dans son message de nouvelle année 2017 à la nation, le président de la République a déclaré que : « l’année 2016 de pousser ce groupe terroriste ses derniers retranchements ». Cette évolution est observable dans tous les pays de la ligne de front située au tour du bassin du Lac Tchad. Au Cameroun, le constat est que la lutte contre Boko Haram est devenue une affaire de tous. Les  forces de défense nationale soutenues  par les populations, les comités de vigilance et la force multinationales mixes avec l’apport de la coopération internationale ont favorisé au recul de Boko Haram, jusqu’à là on entend peu des attentats terroriste au Cameroun dans les médias traditionnels.

                                                                          HADJE HAOUA ABAKAR                                                                      

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Terrorisme

            Le Cameroun face à la lutte contre Boko Haram

 Frappé par d’énormes attentats provoqués par la secte islamique Boko haram dans les régions du Nord et de l’Extrème-Nord, durant les cinq dernières années, le Cameroun fait face.

Après le premier attentat kamikaze sur son sol le 12 juillet 2015 au marché de Fotokol au Nord, le gouvernement camerounais déploie ses forces de l’ordre sur le terrain pour combattre Boko Haram. Le bilan de l’attentat est de 16 morts dont les deux kamikazes vêtus en burqa.

Sur le terrain, considéré comme fief de Boko Haram, l’on trouve des armées camerounaises telles que les gendarmes, Bir (Brigade d’Intervention Rapide) et milliaires. En plus de ces hommes en kaki, les pays membre du bassin du Lac Tchad ont mis sur pied la force mixe et une partie de cette dernière est logée au Nord Cameroun pour lutter et chasser Boko Haram.

Le système le plus utilisé par la force mixe est le renforcement de la vigilance avec les drones et les bombardements des zones peuplées par les terroristes. Le gouvernement camerounais a aussi mis sur pied de comités de vigilance dans chaque village au Nord. Ces personnes ne font pas partie de l’armée mais surveillent des faits et gestes de la population et interpellent l’armée si un habitant a un lien avec les terroristes. Plusieurs attentats ont été déjoués grâce au comité de vigilance selon les rapports de la presse camerounais.

Dans son message de nouvelle année 2017 à la nation, le président de la République a déclaré que : « l’année 2016 de pousser ce groupe terroriste ses derniers retranchements ». Cette évolution est observable dans tous les pays de la ligne de front située au tour du bassin du Lac Tchad. Au Cameroun, le constat est que la lutte contre Boko Haram est devenue une affaire de tous. Les  forces de défense nationale soutenues  par les populations, les comités de vigilance et la force multinationales mixes avec l’apport de la coopération internationale ont favorisé au recul de Boko Haram, jusqu’à là on entend peu des attentats terroriste au Cameroun dans les médias traditionnels.

                                                                            HADJE HAOUA ABAKAR