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Déjà 4 mois ma petite paupiette ❤️

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Une semaine que tu as bousculé ma vie. Je t'aime déjà tant ❤️ S ❤️

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Ce n'est plus qu'une question de semaines, voire de quelques jours ❤️

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Dans quelques mois tu vas venir à ma rencontre, mon petit d'homme ❤️

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Petit week-end détente à Vittel, à deux pas de Contrexéville. La dernière fois que je suis allée là bas c'était pas vraiment pour le mieux. C'était hors du temps, un moment retrouvaille creusant paradoxalement la distance.

Là le plan c'était nature rando. Une blessure ayant décidé autrement ça sera chill, jeu de sociétés et séries. Ça va le faire aussi. Et mercredi un nouveau pas, on croise les doigts pour que ça dure 🤞

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Chaque jour passé est un espoir de réussite. Encore quelques jours à attendre, c'est si long ...

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Avoir de la chance dans la malchance.

L'utérus n'est pas touché, c'est une bonne nouvelle mais ça ne veut pas dire que c'est parfait. Ovaires, paroie rectale, vessie ... Il y en a partout et c'est profond ... Les chances d'être maman sont quand même favorable mais à terme, si ça se développe trop il faudra "retirer"...

Un peu moins de stress immédiat c'est déjà ça

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Dans le flou. Un peu moins que ce dernier mois, mais toujours assez pour n'y voir pas assez clair.

J'ai patienté tellement de temps seule dans cette salle. Attendre que quelqu'un entre et me libère de ce voile généré par le stress. Une heure de solitude à imaginer les pires scénarios...

Je n'y vois toujours pas comme en plein jour. J'y vois juste assez pour savoir que ce n'est pas "le pire". C'est tellement subjectif... "Le pire" au vu de quoi ?! Ce n'est pas "le pire" pour ma santé physique OK mais pour le reste ?

Je n'y vois toujours pas assez, mais le chemin vers "mon pire" reste une possibilité.

Attendre. Dans cette salle d'attente aseptisé sans personne ni moyen de communiquer.

Attendre. Comme un fantôme jusqu'au prochain contact, un couperet au dessus de la tête, prêt à s'abattre.

Attendre. Attendre de voir enfin ce qu'il en est, une vérité que je ne veux peut être pas voir.

"On ne vous donne pas le compte rendu, le spécialiste prendra directement contact avec vous pour discuter de ce qui est possible ou non"

Attendre. Qu'on vienne détruire la seule chose que j'ai toujours voulu au plus profond de mon coeur...

Je suis toujours dans le flou, peut être en chemin vers le pire qui est le mien.

Et même si je sais que le sang n'est pas le plus important, je rêve toujours d'être une maman ... Biologiquement.

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Un peu plus de deux semaines à attendre seulement et pourtant l'impression que c'est une éternité. L'excitation mais aussi la peur remuent en moi ... Et si cet examen pouvait tout changer ?

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La charogne a la peau dur.

C'est ce que vous ne cessiez de répéter. Toujours la phrase pour piquer, le sourire en coin, fière de vos traits d'humour.

Je me revoie la première fois que je suis venue chez vous. Vous m'avez demandé de partir au bout de 5 minutes car vous étiez accompagné ce soir là. On m'avait prévenu que vous étiez particulier, intraitable, difficile.

Et vous l'étiez. Ca oui vous étiez à part.

Un caractère bien trempé, un franc parlé incomparable, une gentillesse inégalable pour ceux qui ont eu la chance de vous connaître.

C'était hier il me semble. Nos escapades clandestines à Andorre pour acheter vos cigarettes, le passage au centre équestre pour voir le concours de votre nièce, le court séjour dans votre famille qui m'a accueillis comme si j'en faisait parti. On a falsifié tellement de pointages.

J'étais votre auxiliaire de vie comme on dit. Vous étiez bien plus qu'un travail, vous étiez un ami.

C'était hier il me semble...

Je vous imagine à table, impatient. Même là haut je vous imagine mangeant votre pâté en entrée. Un friand ou des oeufs au plat en guise de repas. Un yaourt nature sucré, un chocolat liegeois et une banane (le seul fruit que je vous ai jamais vu manger). Pas de médicament pour ce soir, vous n'en avez plus besoin ...

Et même si ça fait pas professionnel, les plus gênés s'en vont

Je vous aime.

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Nancy, bientôt le retour.

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C’est si difficile pour vous, un non ne peut jamais vous arrêter. La première fois ne suffit pas, ni même la seconde… il faut sans arrêt relancer, rien lâcher, persévérer en espérant qu’au final ça va changer. Je suis si fatiguée d’avoir à vous dire non. Si fatiguée de devoir me justifier encore et encore en répétant inlassablement les mêmes arguments. Pourquoi vous ne pouvez pas juste accepter que la vie se passe pas toujours comme vous voulez ? Je suis fatiguée de me sentir coupable de vivre ma vie d’adulte. 50 ans ça arrive qu’une fois c’est vrai. Mais 50 ans c’est toute l’année. Etre là c’est pas juste un restaurant une fois l’an… c’est constant, c’est du partage permanent pas simplement une bougie sur un gâteau et une photo réunis … mais vous comprenez pas les choses comme ça. Pour vous il n’y a qu’en posant un jour de congé à la dernière minute et faire 600km que je serai à la hauteur de ce jour festif. Un bouquet et un petit mot ne serviront à rien, ça ne sera jamais assez …

Non.

Je reste sur un non. Même si votre acharnement me blesse.

Même si j’ai envie de hurler et de pleurer la haine que je vous porte dans ces moments là. Je ne céderai pas.

Et si je m’en veux dans cette histoire c’est de me sentir coupable … car je ne devrais pas.

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Vous savez il existe de nombreux actes manqués, certains qui auraient pu changer votre vie légèrement et d’autres qui auraient pu totalement la réinventer.

J’ai tellement la poisse que quand mes parents ont joué leur loto j’ai dit « j’ai plus d’argent sur mon FDJ c’est un signe que ça sert à rien que je joue ». Savez quoi ? C’est la pire erreur de ma vie 😔

Je les ai vu sortir, en direct, les uns après les autres, tous mes numéros ...

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Les œuvres de cette artiste me touchent toujours beaucoup. Ce matin j’ai vu cette vidéo et je me suis dit que j’allais la mettre ici, pour ne jamais l’oublier.

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“Quelqu'un que l'on aime, que l'on aime vraiment, il faut parfois oser le laisser partir loin. Ou savoir l'attendre longtemps. C'est une vraie preuve d'amour, la seule, peut-être.”

— Michel Bussi

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Première fois que je l’entend et je l’aime déjà beaucoup cette chanson.

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Je le savais pourtant. Je savais à quel point vous saviez être cruels, tant dans vos propos que dans vos actes. Que ce soit volontaire ou non le mal est fait. Vos mots sont si puissants. Vos propos sont si durs que mes larmes ont coulé alors même qu’ils ne me sont pas adressés. Vous rendez-vous compte ? Le sentez-vous ne serait-ce qu’un peu, ce trou béant que vous provoquez en lui ? Cette lame que vous avez planté et que vous poussez chaque jour un peu plus ... vous le faites se sentir coupable d’aimer. Vous le culpabilisez d’un amour que vous condamnez simplement parce que vous n’êtes pas capable de le comprendre. Vous me faites mal.C’est arrivé si souvent et pourtant c’est différent cette fois, vous me faites mal par le mal que vous lui faites.

J’ai honte de vous... et ça aussi c’est douloureux.