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15/03 Je suis dans l’avion du retour, et comme j’ai 15 HEURES à tuer je me suis dis que j’allais bloguer. Mon aventure au Cambodge s’achève donc, j’ai trouvé ce pays fantastique. J’ai rencontré des cambodgiens vraiment très chaleureux, leur sourire et bonne humeur constante m’a interpelé, d’autant que nombre d’entre eux vivent avec presque rien. Le Cambodge c’est le pays de la débrouille, du bidouillages, de la récup, des magouilles, pas toujours très honnêtes envers les étrangers d’ailleurs. Avec un smic aux alentours de 130$/ mois, le moindre dollars négocié au marché est important, 10 fois plus important que pour nous, littéralement. J’ai pu rencontrer des professionnels de santé et m’intégrer à leur équipe pour être immergée dans la culture cambodgienne. J’ai aimé beaucoup de chose, vraiment, bon j’ai pas TOUT aimé, les odeurs de poisson/ œufs / viande pourris dans les rues à certains endroits par exemple j’ai pas particulièrement kiffé, ni la pollution de l’air, des eaux et de tout en fait. C’était une expérience formidable et je remercie du fond du cœur toutes les personnes qui m’ont soutenues durant les démarches pour mener à bien ce projet. J’ai ramené tout sorte de souvenirs, Bouddha, Ganesh, fleur de lotus, bracelets et éléphants, mais le plus beau, et j’espère en avoir pris un peu avec moi, c’est cette joie de vivre qui se lit sur leur joli visage rayonnant comme le soleil du Cambodge.
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10/03 Ce matin nous avons été au vieux marché de Siem Reap, très similaire au marché russe de Phnom Penh mais avec quelques articles inédits que nous tâcherons d’examiner plus en profondeur demain après-midi, car la mission de la matinée était de se faire tatouer au henné ! Et qui dit tatouage au henné dit handicap physique de plusieurs heures, surtout pour les filles qui l’ont fait sur les mains. Moi j’ai fais simplement un bracelet sur le bras, mais bien entendu j’ai quand même réussi à en foutre partout. C’est les même lois universelles qui s’appliquent ici que lors de l’application de vernis à ongles. L’après midi nous avons été visiter les alentours avec une école, une pagode, le village flottant, la ferme aux crocodiles et l’école flottante, c’était cool ! Après nous avons été pendant la soirée faire un tour en ville et nous nous sommes laissé tenté par une fish pédicure, ce qui consiste à laisser des poissons te sucer les pieds, miam miam ! C’était drôle ! Nous avons littéralement HURLÉ lors du premier contact avec les poissons, ce qui a alerté la rue entière, mais avec le temps on s’y fait !
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06/03 Aujourd'hui nous avons passé l’après-midi à l’ile de la soie, ou Silk Island, à quelques kilomètres de Phnom Penh. Nous avons donc pris un tuk tuk pour nous y rendre. Le chauffeur nous a donc supporté TOUT l’après-midi, le pauvre. Pour y aller nous avons pris le ferry tuk, c’est le tuk tuk en ferry en fait, un nouveau concept que je viens de breveter. Sur cette île nous avons pu rencontrer une famille qui fabriquait ses propres foulards en soie et coton, une semaine de travail manuel intensif pour un foulard ! Vendu une 10aine d’euros… clairement ils ne doivent pas être payés à l’heure là-bas. Nous avons eu un guide qui nous a expliqué comment se formaient les cocons et comment 90% des cocons avec les papillons ÉTAIENT SAUVAGEMENT ÉBOUILLANTÉS. C’est alors avec un grand sourire qu’il nous à naturellement proposé une larve de papillon entière, et que suite à notre refus il a croqué la bestiole devant nous. J’ai vomi intérieurement. Nous avons également vu des singes, dragons de komodo, écureuils et porcs epics. C’était une après midi très intéressante ! Ça me fait penser que nous avons eu l’occasion de voir au cœur de Phnom Penh, il y a quelques jours, un singe marchant sur les fils électriques de la ville, spectacle plutôt atypique !
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05/03 Ce matin nous avons été voir une jolie cascade près de Sen Monorom. Nous n’avions pas beaucoup de temps avant notre départ pour Phnom Penh donc nous sommes restées une petite heure à profiter de ce super cadre avant de rentrer au pays des tuks tuks. Oui parce qu’à Sen Monorom il n’y a pas de tuk tuk, les terrains sont bien trop pentus, ça n’avancerait pas ! La route jusqu’à Phnom Penh s’est bien passée, pour nous du moins… Arrivée à mi chemin notre van à ralenti et nous avons commencé à entendre des soupirs de désolation de la part de nos compagnons de voyage ainsi qu’à voir des amas de personnes. Puis 2 véhicules, un van comme le notre et une camionnette, percutés l’un dans l’autre. Enfin c’est ce que nous croyions avant de voir qu’une motobike, comme celles que l’on voit par millier ici, avait été prise en sandwich entre les deux véhicules. Quelques mètres plus loin, au milieu de la foule, allongés sur un tapis, les corps des trois jeunes hommes de notre âge environs, probablement qui étaient sur la moto lors de l’accident. C’est une scène qui a durée quelques secondes pour nous, le van a ralenti pour ne pas percuter de personnes, donc disons 20 secondes, mais 20 secondes qui tournent en boucle. En France nous cachons tellement la mort, les accidents de la route sont directement pris en charge et évacués, mort ou pas, au plus vite. Ici les commémorations semblaient commencer avec tout le village sur le lieu même de l’accident. Des gerbes de fleurs avaient même été apportées. La sécurité routière ici est un vrai problème, les enfants de 10 ans voir moins conduisent allègrement des motos/scooters. Des familles de 4 personnes s’entassent sur ces engins faits pour deux personnes, avec les enfants à l’avant. Même dans les vans nous ne sommes pas vraiment en sécurité, outre la conduite dangereuse, les ceintures ne sont pas toujours présentes, et même si nous tâchons de nous attacher tant bien que mal, aucun cambodgien ne le fait, même les mères n’attachent pas leurs enfants et les laissent jouer dans le van. Je pense, et je dis ça aussi parce que des locaux m’en ont parlé, qu’il y a un sérieux problème d’éducation au Cambodge, non seulement concernant la sécurité routière, mais aussi l’environnement (gestion des déchets inexistante) ou encore la contraception. Ces petites choses qui nous semblent être des évidences mais qui nous ont été apprises. Beaucoup de personnes ici n’ont pas conscience des risques qu’ils prennent, font prendre aux autres ou à la planète. Il y a de nombreuses écoles à Phnom Penh et nous en voyons aussi dans les campagnes, beaucoup moins bien sûr. Les enfants vont de plus en plus à l’école, mais il reste une très grande partie d’entre eux qui restent plutôt à la ferme pour aider la famille qui travaille dans l’agriculture. Je ne suis pas vraiment renseignée sur le taux de scolarisation des enfants cambodgiens, mais j’espère qu’il augmentera vite, car je suis convaincu que le développement d’un pays passe un tout premier lieu par l’éducation de sa population.
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03-04/03 Hier c’était notre dernier jour de stage. Nous sommes parties du service le cœur gros après avoir remercié autant que possible cette équipe merveilleuse qui nous à beaucoup donné. Nous avons été accueillies, encadrées, et accompagnées au quotidien par des professionnels qui s'intéressaient beaucoup à nous et qui nous ont beaucoup appris de leurs pratiques mais aussi de leur culture. Le service en lui-même était très intéressant, je suis vraiment contente d’avoir désormais une expérience auprès des bébés et futures/jeunes mères. Bref ces 3 premières semaines se sont déroulées de façon idéales et j’ai hâte de rencontrer les enfants de l’orphelinat dans lequel nous allons travailler les 2 prochaines semaines. En attendant nous sommes en week-end, et week-end = repos ! Non je rigole. Week-end = debout encore plus tôt que la semaine pour parcourir le Cambodge de fond en comble. Au programme Mondulkiri, le pays des éléphants ! Après un voyage en van de 6h (une broutille pour nous désormais), nous sommes arrivées dans cette province presque frontalière avec le Vietnam, et très en altitude. D’ailleurs nous l’avons vite remarqué au niveau température puisqu’il fait bien 10 degrés de moins la nuit, donc c’est beaucoup plus agréable (sauf pour la malchanceuse qui partage mon lit bien entendu). Nous avons choisi de partir la journée du samedi dans la jungle avec les éléphants avec une association appelée Mondulkiri Project, qui rachète des éléphants maltraités pour leur redonner une chance de profiter de la vie en liberté. Ainsi l’association, assez récente, à racheté 3 éléphants que nous avons pu rencontrer, nourrir, caresser et même laver dans une cascade d’eau. Nous pouvions sentir qu’ils étaient heureux et non contraints à quoique ce soit, seul l’appât de la nourriture nous permettait de rentrer en contact avec eux, pas de violence, de bâtons munis de métal pour les piquer et les forcer à aller vers nous ou à rester immobiles. Vraiment c’était une journée formidable, être aussi près de ces énormes animaux, c’était dingue, et les guides étaient très attentionnés envers nous et leurs bêtes. Le soir nous sommes allées manger avec de la famille à Aurore qui se trouvait sur Mondulkiri à ce moment, c’était sympa de partager nos expériences.
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01-02/03 Ces deux derniers jours ont été très communs. Stage le matin pour hier et repos l’aprem et aujourd'hui stage le matin et rebelotte l’aprem parce qu’on est des folles. J’ai une dette de sommeil d’environs 10 jours donc j'ai décidé qu’a mon retour en France je vais dormir 10 jours d’affilés pour compenser, ça me semble correct. Il est 20h, je suis un zombie, bonne nuit, argh.
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28/02 Aujourd'hui Julie et Aurore sont venues passer une journée dans notre service, bien entendu, pour l’occasion, l’intégralité du service était COMPLÈTEMENT mort. D’habitude il y a plus d’une vingtaine de bébés à laver, ce matin il y en avait QUATRE. Non mais quatre quoi, la prochaine étape c’est on se lave entre nous pour s’occuper ? M’enfin, les filles ont bien aimé quand même le peu qu’elles ont vu, il y avait quand même des échos et quelques soins à la mère ainsi que le très apprécié tour des injections ! Après le stage nous avons décidé de partir à la conquête de l’Ouest, ou plutôt de la poste, ce qui finalement était assez proche. En effet, à cause d’une erreur d’aiguillage de notre GPS, nous nous sommes retrouvées à faire 25min de vélo dans des conditions encore jamais vues (embouteillages ++, voitures ++, chaleur ++++++, traversée d’un pont en pente très rude sur un trottoir large de moins d’un mètre EN VÉLO à éviter les passants) pour nous rendre compte que nous n'étions ABSOLUMENT pas au bon endroit. Pour être plus précise, le théorème de la porte d’aéroport (rappel : ta porte d’embarquement se trouvera toujours à l’opposé de ta position dans l’aéroport à partir du moment où tu es très pressé) s’est appliqué puisque nous étions pressées par l’horaire de fermeture qui était assez tôt. Bref, après avoir fait UNE HEURE de vélo/embouteillage/presqu’accidents, nous sommes arrivées dégoulinantes de sueur à la poste. Les cartes sont envoyées, il y a approximativement 0% de chance qu’elles arrivent avant notre retour, mais c’est le geste qui compte, non ? Alors, après nous être rafraîchie avec un smoothie, nous sommes allées au marché nocturne. C’est sympa, c’est globalement surtout des vêtements et de la nourriture. Alors nous avons voulu manger là bas, et quand nous avons vu que chaque aliment contenait dans sa friture environs 2 insectes, nous nous sommes dis que nous allions peut être plutôt essayer le restaurant « Le Lion doré » à côté. J’ai enfin essayé le amok de poisson, c’était très/trop épicé, comme d’hab, mais le goût derrière était plutôt bon. Nous avons eu la chance de prendre notre repas à côté d’une prostituée de notre âge entourée de vieux tromblons dégoûtants. Bon appétit bien sûr. Pour finir cette journée, plutôt épuisante du coup, nous avons mangé une glace chocolat et fruits dans une noix de coco sur un tapis par terre au marché nocturne, c’était TROP bon et super agréable cette ambiance! Nous voilà maintenant de retour à la maison après notre virée en vélo de nuit, du coup. Nous sommes claquées, je vais m’endormir dans 34secondes précisément.
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27/02 Aujourd'hui pas de trek dans la jungle ni de dégustation d’araignées, ni encore même quoique ce soit de bizarre. Nous avions besoin de nous ressourcer un peu, en terme de nourriture, donc nous sommes allées manger une bonne gaufre bien européenne sans fruits confits, sans sauce bizarre, ni morceaux suspect. Une gaufre quoi. C’était trop bon. Et après nous avons passé pas mal de temps à arpenter les allées d’un magasin d’alimentation européenne / américaine. Tellement de choses françaises nous manquent, nous ne savions plus ou donner de la tête, et on s’est vite calmées quand on a vu les prix. OMAGAD, plus de 9€ le camembert, à ce prix on se le réserve pour Noël, voir en cadeau de mariage quoi.
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26/02 Est-ce que la malédiction des terreurs nocturnes se serait levée ? Ou bien l’alcool de riz m’a cassé, mais en tout cas j’ai dormi de 22h à 6h d’une traite ! Dans de telles conditions ça relève du miracle. Le matin nous avons été faire une balade à vélo autours de l’ile, c’était top. Nous sommes passés en vélo en plein milieu d’un mariage, puis avons été voir des jardins remplis d’herbes aromatiques. Il y avait aussi une jeune forêt replantée par des étrangers où chaque arbre avait un nom, ouais ça fait beaucoup de noms du coup. Oh, aussi nous avons vu un petit village vietnamien flottant, nous allons sûrement en voir beaucoup plus le week end où nous irons à Siem Rep donc je ne vais pas m’étaler dessus pour l’instant. Ensuite nous sommes rentrés en bus à Phnom Penh. Vraiment j’ai ADORÉ ce week end. Nous avons vu très très peu d’européens sur cette île et les habitants nous ont accueilli avec une bonne humeur sans égale. Nous avons vu plein de belles choses et nous avons vécu comme les habitants pendant ces 48h (dormir dans des cabanes avec les araignées, se doucher avec un sceau, faire pipi au milieu des grenouilles !).
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24/02 Je suis malade ; note pour plus tard -> ne pas manger des trucs faits dans la rue, c’est caca. Sinon le stage c’était TRÈS calme aujourd'hui car il y avait des américains qui sont venus visiter la maternité, sans doute dans l’optique de faire des dons. Alors soudainement toutes les mamans qui étaient sur des brancards ou lits dans le couloir avaient disparues. Il n’y a eu aucun accouchement (mesdames on se retient aujourd'hui, le sang ça fait pas propre), il y avait moitié moins de bébés que d’habitude à laver, et globalement il ne se passait RIEN dans le service. Heureusement après le stage nous sommes allées donner des crayons, cahiers, peluches et autres fournitures scolaires à des orphelins. Nous avons pu visiter leur établissement, ils semblaient très heureux de nous accueillir pour ce petit moment d’échange. Le soir nous avons ENFIN pu manger une vraie bonne pizza bien grasse, ça fait du bien d’avoir le bide plein ! Au fait, les résultats du semestre sont tombés, j’ai validé avec 15,82 de moyenne ! La vie est belle !
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23/02 Nous avons donc notre petite routine à l’hôpital. Ce matin un petit garçon a flashé sur nous aujourd'hui. Il a pris plein de photos de nous, du coup, avec l’accord de la maman, nous en avons prise une de lui. Quelle petite loutre. Journée calme finalement, avec balade au marché russe, et encore des achats. Nous ne sommes pas très raisonnables mais nous aimerions ramener le Cambodge entier pour vous le montrer, malheureusement la limite de poids des valises est de 23kg donc c’est un peu juste. Ce soir, enfin, vers 17 :45, car c’est à cette heure là qu’on dîne ici, j’ai acheté un genre de galette frites, produit local pour goûter. Impossible de connaître la composition car tout ce que savait dire la dame c’était « 2000 riels » (le prix). Bref, c’était sans doute un mélange de pâte de riz, d’herbes et de BEAUCOUP d’huile. Pas trop mauvais.
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21/02 Aujourd’hui, la guest house avait organisé une après midi « city tour » pour nous faire voir quelques coins mémorables de Phnom Penh. Nous avons commencé par le stade olympique, qui apparemment était prêt à accueillir les JO, mais ça ne s’est pas fait finalement. Donc maintenant c’est juste un stade normal avec beaucoup beaucoup de gradins. Ensuite nous sommes allées dans une pagode bouddhiste dans laquelle nous avons pu recevoir un bracelet porte bonheur (rouge, celui que de très nombreux bouddhistes possèdent) béni par un moine devant nous. C’était une très bonne expérience ! Après un rapide passage au marché central de Phnom Penh que nous avons trouvé moins sympa que le marché russe, nous avons été dans un restaurant où ils servaient en apéritif des ARAIGNÉES, CRIQUETS ET CIGALES ! Contre toute attente, Margaux et Aurore ont eu la grande bravoure d’essayer des criquets et n’ont pas trouvé ça trop mauvais. Vraiment pour moi c’était juste impossible. Pour finir nous sommes allées au champs de la mort. Nous avons volontairement choisi de ne pas prendre de guide audio et simplement de nous balader sur le site avec les quelques pancartes pour nous expliquer les grandes lignes car nous avions eu beaucoup de mal à supporter la prison visitée la semaine dernière et nous savions qu’ici ça allait être VRAIMENT pire. Là bas sur les fosses communes, de nombreuses personnes ont déposé des bracelets sur les rondins. De la même manière, un arbre est célèbre là bas pour avoir contribué à la mort de très nombreux enfants que les Khmers rouges frappaient à mort contre le tronc. Désormais des bracelets sont aussi accrochés dans chaque bout d’écorce de cet arbre. All monsters are human…
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