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Question de la semaine !
Entre ta dernière année de primaire et celle de lycée, de laquelle gardes-tu les meilleurs souvenirs ?🌚
Va falloir attendre pour avoir mon avis perso🥺
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Bonjour, bonsoir !
Je suis Digi-Dol ou DD, et aujourd'hui je me pointe par ici afin de parler d'un sujet qui touche à la sensibilité. Le premier d'une longue série de sujets... enfin peut-être 👀
Un sujet un peu trop tabu à mon goût et qui fairait peut-être du bien à quelqu'un en passant par là, de le voir mentionné.
*Dépression*
Qu'est-ce que la dépression ?
Je ne vais pas vous sortir la définition surfaite du dico, nan ! Si vous la voulez y'a Wiki qui se fait un plaisir de vous en fournir une très jolie en quelques secondes, lol. Je vais en parler en tant que simple humaine ayant vécue ce fléau mental à tout casser.
On va faire super simple : pour moi, une dépression est un état psychologique affectant les capacités, physiques et mentales de la personne atteinte. Lui arrachant toute envie de vivre ou de se battre pour les choses et les rêves ou même les gens qu'il ou elle chérissait. C'est un état de profonde douleur psychologique rongeant l'esprit et parfois même le corps d'une personne. Je ne sais pas si j'ai envie de dire que c'est une maladie, parceque je ne pense pas vraiment que ce soit le cas. Tout comme je suis totalement contre la prise de médicaments afin de combattre cette dernière. La dépression n'est pas comparable à une grippe non, loin de là même !
Mais vous allez voir, selon la médecine le trouble dépressif est bien une maladie... Mais bon, passons.
Enfin ce n'est que mon avis hein. Je ne vais pas me fatiguer à l'expliquer à des gens qui n'en ont pas connaissance, je m'adresse à ceux qui me comprennent. À toi qui peut me comprendre parceque tu vis cette situation mentale. Et en même temps je vais m'adresser à toute personne ayant un proche dépressif dans son entourage.
Peut-être que même en lisant ceci tu continueras à te sentir seul/e au monde comme dans ta tête, tu te diras peut-être encore que personne ne peut te comprendre, et que personne ne le veut vraiment.
Sache que tu n'es pas si seul/e que ça, que moi aussi j'ai pleurée dans le noir dans le plus grand des silences, uniquement pour que personne ne sache que je verse des larmes de culpabilité, de tristesse, de colère, de chagrin à cause de choses qu'ils ou elles trouveraient totalement banales... Voir stupide.
Une dépression ne doit jamais être prise à la légère. JAMAIS.
Toi-même ne le prends pas à la légère, car « à partir du moment où une chose nuit à ta santé (mentale ou physique) c'est important ». Quand ça te fait pleurer sous l'oreiller à minuit passé, c'est important.
Il est vrai que c'est difficile de bien vouloir prendre soin de soi lorsqu'on est abattu psychologiquement. On en a plus rien à faire de nous même, que l'on maigrisse ou grossisse ça ne nous concerne plus. On s'en contre fiche même, on pourrait bien en mourir à petit feu que ça ne nous inquiéterait même pas. Les nuits blanches et les insomnies deviennent le quotidien, et la fatigue une lourde amie.
Mais poses toi un peu la question de savoir, ce qui te tue réellement de l'intérieur.
Si l'on devait un instant considérer une dépression comme une maladie, alors elle doit bien avoir une source, une origine. Les maladies ne se créés pas dans le corps du jour au lendemain, nan. Alors d'où provient ta douleur ? À cause de quoi souffres-tu ? De qui ?
Moi j'ai fait cet examen de conscience, et j'ai compris que ma douleur remontait à des années de souffrances répétitives.
Du jour au lendemain toute la peine et les plaies accumulées au fil des années, finissent par exploser et t'enfermer automatique dans ta propre tête. Car c'est ce sentiments là, celui d'être piégé dans son esprit à ressasser chaques nuits tout ce que ton cœur saturé avait pu subir et cacher sans jamais réussir à extérioriser sérieusement.
Voilà que tu te mets à remettre en question le “soi-disant” amour de tout ton entourage, tu ne crois plus en leurs mots, quelqu'ils soient. Tu ne veux même plus qu'ils t'approchent ou te touchent. Tu as peur de dire ce qui se passe dans ta tête car tu sais qu'on va se moquer de ça et le banaliser. Et ça fait mal, vraiment mal. Tu te sens bête, ridicule, à la porte du gouffre et près à en finir avec cette torture. Eh oui, les douleurs mentales sont pires que celles physiques. Tellement que t'essaies de t'en débarrasser par les pires moyens qui soient.
Tu te lacères la peau avec ce qui fera l'affaire, tentant par tout les moyens d'atténuer la douleur mentale par celle physique. Mais c'est pas du tout fe qu'il te faut. Même si on te conseillait de beaucoup rire de t'en foutre de tes soucis, ça ne marche pas. C'est plus fort que soit. Et tu sais pourquoi ?
Parceque en réalité tu as besoin d'aide.
Mais tu ne te l'avoueras peut-être jamais, c'est humiliant d'une certaine manière. Mais c'est vrai. Je parle surtout pour les dépressifs en dépendance affective. Si tu es de ce cas là, tu as besoin qu'on t'aide à tout prix mais ta conscience ne veut peut-être pas l'admettre. Tu as besoin d'une oreille, d'un câlin, d'un sourire, de réconfort et de tendresse. Les personnes en dépendance affective en ont le plus grand besoin, mais là j'en parlerai en profondeur dans un autre poste.
Un/e dépressif/ve a besoin d'être entendu/e et non jugé/e d'une manière ou d'une autre. Ces personnes n'ont pas besoin de commentaires du genre :
« C'est juste ça qui t'inquiètes ? Mais c'est pas grave toi aussi ! T'es bien comme t'es hein, pleures pas pour ça »
Ou
« Dépression ? Mais c'est une maladie de blanc ça, t'es triste à cause de ça ? C'est moi qui devrait pleurer même, avec tout ce que je vis et pourtant regardes je m'en fous ! »
Les gars évitez vraiment de sortir ce genre de choses à une personne souffrant de dépression, surtout si ce dernier vous confit un tel problème dans sa vie. Ça détruit plus que vous ne le pensez, croyez-moi.
Non seulement vous allez accentuer son mal mais en plus vous allez diminuer le degré de confiance que cette personne a en vous, d'une manière significative. Une personne ayant un trouble dépressif est plus sensible que la normale et prend plus à cœur la moindre réflexion que vous lui ferez parceque, inconsciemment, elle a besoin d'être sûr que vous vous inquiétez vraiment pour elle, que vous en avez quelque-chose à faire de ses sentiments, et que vous pourriez lui donner un peu d'amour car elle-même n'en n'est plus capable. Mais elle ne le dira jamais.
Une personne dépressive ne s'aime plus, et n'a plus la force d'aimer les autres ou ce qui l'entoure. Rien ne l'intéresse plus.
D'une certaine manière, le ou la dépressive se rejette la faute de son malheur. Les personnes au cœur le plus sensibles ont la forte tendance à s'accuser elle-même pour tout ce qui se passe dans leur tête. Sa peine, sa haine, sa colère sont dirigées vers elle-même et non envers les autres ou quelqu'un d'autre.
« Tout est de ma faute ! Je mérite ce qui m'arrive »
Un sentiment de culpabilité intense rongeant l'esprit.
Les Africains, mes frères et sœurs, évitez de sortir le «maladie de blanc» à quelqu'un qui en souffre, oui, moi aussi j'ai longtemps pensée comme ça jusqu'à en souffrir à mon tour. Et je vous le dis les gars, ça tue, ça flingue, ça blesse🥺 ayez le cœur rempli de compassion, voyez la douleur dans le regard des autres et faites attention aux grands sourires mensongers.
Une personne dépressive s'isole et refuse d'avouer son mal au risque d'être traité comme un faible et être incomprise. Surtout pour un africain. Alors choisissez vos mots face à quelqu'un d'aussi blessé. Ou même juste triste, au moment où ça fait pleurer la personne face à vous, c'est grave.
Lorsque l'on souffre de la sorte sans vraiment savoir pourquoi, que l'on a des crises de larmes incontrôlées alors que tout semblait aller bien ; c'est souvent parceque son enfant intérieur a besoin de s'exprimer. C'est incontrôlable.
Oprah Winfrey a dit un jour : « Nous avons tous un enfant blessé en nous » et elle avait bien raison. Temps que cet enfant demeure meurtri et brisé, notre conscience ne pourra pas vivre indéfiniment dans la joie et la paix. Cet enfant finira par trouver un moyen de s'exprimer.
Il met personnellement arrivé des moments où je me manquait à moi-même, je désirais plus que tout pouvoir voir ma “mini-moi” et la prendre très fort dans mes bras en lui soufflant que je l'aime et je serai toujours là pour elle. Et aujourd'hui je tiens cette promesse faite dans une visualisation au fond de mon esprit, puisque je ne peux pas la voir je m'imagine et lui donne une dimension réelle dans ma tête.
Alors toi qui souffre, souffles un bon coup et vas te réconcilier avec ton enfant intérieur 😔 il ou elle a besoin d'affection et personne d'autre que toi ne pourra lui en offrir assez. Malheureusement personne ne peut te comprendre mieux que toi-même malgré tout les efforts du monde, alors même si tu n'arrives pas encore à accepter ton reflet dans la glace, au moins parles-toi, et ne le fais pas pour t'insulter cette fois, mais pour te demander pardon car à tes yeux tu es fautif/ve pour tout.
Voilà ce que j'avais à dire sur ce sujet assez large, je pense qu'on va s'arrêter là. J'espère mettre assez bien débrouillée afin de vous plonger un peu dans ce sujet délicat qui me tenait à cœur. Si jamais toi qui lis ceci, tu éprouve le besoin d'en parler eh bien sache que je suis toujours prête à tendre l'oreille et à aider, étant une peacemaker🥹 aidons-nous vivant les gars, le suicide n'est pas une option, JAMAIS. Alors écris-moi ! Sois peace ☮️
@Digi-D mon insta si tu préfères ☮️
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