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J. Debecker
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debeck-blog1 · 7 years ago
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La senteur des femmes
Une mère qui travaille est souvent brûlée de s'efforcer de trouver un équilibre entre sa carrière et la famille qu'elle finit par ne pas avoir le temps pour elle-même. Si vous êtes une mère qui travaille, alors vous savez combien il peut être difficile de répondre aux besoins des autres et de gagner du temps pour satisfaire vos intérêts personnels.  Mais le besoin d'une maman ne devrait pas être placé sur le backburner - en fait, il devrait être sur votre liste de choses à faire tous les jours. Voici 10 conseils pour vous aimer sans abandonner vos fonctions de maman et de femme de carrière:  Rappelez-vous vos bons points lorsque vous commencez à vous sentir déprimé. En cours de route, les gens vous loueront pour les choses que vous avez faites. Cependant, la louange réelle qui peut vous aider à long terme est l'éloge que vous vous donnez. Vous louer n'est pas arrogant - cela signifie simplement que vous savez que vous avez fait du bon travail. Et vous pouvez toujours revenir à cette affirmation lorsque vous commencez à vous sentir déprimé.  Prenez toujours le temps de faire quelque chose que vous aimez. Oui, vous êtes peut-être occupé, mais vous devez trouver le temps de faire les choses que vous aimez faire. Lorsque vous partez pour cette fois chaque semaine, oubliez tous les problèmes que vous avez au travail ou à la maison. Au lieu de cela, concentrez-vous sur vos besoins et vos désirs et aimez vraiment ce que vous faites. Optez pour un massage relaxant, visitez un spa ou simplement prenez soin de vous. Lorsque vous vous donnez la liberté d'être simplement, vous entrez en contact avec qui vous êtes en tant que personne et vous vous détendez en même temps.  Gardez-vous en compagnie des gens qui vous aiment. Passer du temps avec les backbiters et les opposants ne fera que réduire votre positivité. Pire, vous allez commencer à les croire. Efforcez-vous plutôt de vous entourer de penseurs positifs - ces gens qui vous encouragent et vous font croire que vous êtes une personne merveilleuse. Et même si les meilleurs amis peuvent vous critiquer, vous devez apprendre à n'écouter que les personnes en qui vous avez pleinement confiance.  Avoir un état d'esprit positif. Tout comme vous resteriez en compagnie des personnes qui exsudent la positivité, vous devez également avoir un état d'esprit positif. Si vous n'avez pas une attitude positive à propos des choses, il sera très difficile de croire en vous. Ecrivez les choses que vous aimez et mettez-les dans un endroit où vous pouvez toujours les voir. Les affirmations positives vont travailler pour augmenter votre confiance quand vous le faites régulièrement. Acceptez vos erreurs. On a toujours dit qu'accepter soi-même est la première étape pour s'aimer soi-même. Personne n'est parfait et une fois que vous vous en rendez compte, vous commencez à voir vos défauts comme faisant partie de votre être merveilleux. Faites une introspection et apprenez de vos erreurs. Regardez-le d'un autre point de vue et utilisez-le pour vous renforcer et améliorer pour le mieux.  Cherchez l'approbation de vous-même. Tandis que l'approbation des autres vous fait vous sentir bien dans votre peau, c'est votre conviction en vous qui fait toute la différence. Arrêtez de prendre des décisions basées sur l'opinion d'une autre personne. Si vous sentez que quelque chose vous permettra de s'épanouir en tant que personne, faites-le.  Vivre dans le présent. Parfois, l'attente des autres vis-à-vis de vous peut être trop exigeante. Mais vous n'avez pas à répondre à leurs attentes. Cessez de vous préoccuper de l'avenir et de ce que les gens vont dire de vos actions. Vivez dans le présent et prenez des risques. N'ayez pas peur d'essayer de nouvelles choses pour votre croissance personnelle. Pour en savoir plus, allez sur le site spécialiste de cette session pour créer son parfum à Lyon.  
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debeck-blog1 · 7 years ago
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Conduire... bien.
Sur toutes les voitures, un phénomène physique s’applique : l’intensité cinétique. C’est l’intensité de l’automobile lorsqu’elle est en mouvement. Afin de donner cette force à l’automobile, un peu d’essence doit être consommée. Tandis que l’on freine, cette force est reconvertie en chaleur, donc complètement et fondamentalement envoyée dans l’air. Donc il faut restreindre si possible les coups de freins, et de maximiser le rétrogradage. En plus de ralentir le véhicule, cela convertie la puissance cinétique en électricité pour la batterie. Autre point qu’il est également important de comprendre, est qu’un pilotage sportif conduit à une croissance de la consommation de 35%. De fait, il faut de conduire de allure léger et coulée, en anticipant le mieux possible les coups de freins, ainsi qu’en annihilant les accélérations soudaines et surtout vaines. Il convient également de maximiser sa vélocité. Une vitesse excessive entraîne une augmentation de consommation notable. grande route, en plus de maintenir énormément la sécurité, l’unique acte de conduire à 110 au lieu de 130 km/h permet une économie environ de  ving cinq pour cent. Beaucoup de véhicules sont produites pour avancer à des cadences moyennes, correspondant d’avantage à des vitesses autour de 110km/h. Sur petite route, conduire à 80km/h entraine une chute de consommation d’environ dix pour cent. Les pneus ont également un rôle clef. Le premier effet d’un pneu sous gonflé est principalement la dangerosité. Ainsi un pneumatique sous contracté va surchauffer, pouvant provoquer jusqu’à l’éclatement. La tenue de route est tout autant affectée. La deuxième conséquence est l’augmentation de la consommation de pétrole. Peu le savent, mais un pneumatique est fondamentalement acqueux. Le pneu perd en conséquences et normalement de la pression. Cet épiphénomène est accrue si la roue n’a pas de bouchons de valves. Donc, il convient de contrôler 2 fois par mois cette pression pneumatique. La pression avertie par le constructeur de la voiture est souvent définie sur un endroit, aposé sur le côté de la portière de l’auto. Il est aussi intéressant d’utiliser le régulateur. Il équipe de plus en plus de véhicules. Le régulateur de vitesse permet de maintenir votre permis, et le régulateur peut vous guider à optimiser le fonctionnement de votre véhicule. Davantage d'information est disponible sur le site des plus belles voitures du monde.
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debeck-blog1 · 7 years ago
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Focus sur les zones humides
Les zones humides se répartissent dans le monde entier, depuis les tropiques équatoriaux jusqu’aux plaines glacées de Sibérie. Qu’elles soient intérieures ou côtières, elles disparaissent : une récente étude internationale a ainsi estimé à pas moins de 87 % la proportion des zones humides perdue ces 300 dernières années (Davidson, 2014). La perte des zones humides — principalement à cause des drainages et des défrichements réalisés pour les besoins agricoles (Junk et coll., 2013) — continue à un rythme plus rapide que jamais. L’indice Natural WET, qui exprime les changements de l’ensemble des zones humides naturelles (Dixon et coll., 2016), enregistre quant à lui un recul de 30 % depuis 40 ans, conséquence du déclin respectif de 27 % et de 38 % des zones humides intérieures et littorales. La réduction de la surface occupée par les zones humides a des répercussions immédiates sur les espèces en dépendant, confrontées d’une part, à une diminution de la disponibilité de l’habitat, et d’autre part, à une concurrence accrue pour l’alimentation et autre ressource. Au sein de l’IPV, les espèces liées aux zones humides (au sens des catégories d’habitats définies dans la Liste rouge de l’UICN) ont vu leur abondance chuter de 39 % entre 1970 et 2012, soit l’équivalent d’un déclin annuel moyen de 1,2%. Cet indice a été établi à partir de 706 populations de 308 espèces d’eau douce peuplant exclusivement les zones humides intérieures. Depuis 2005, l’indice est légèrement reparti à la hausse. Plusieurs espèces d’oiseaux enregistrent en effet une dynamique favorable à l’heure actuelle : ainsi les oiseaux d’eau, et tout particulièrement les oies, bénéficient-ils de la multiplication des possibilités d’alimentation suite à l’évolution des pratiques agricoles dans les zones de ravitaillement et d’hivernage bordant leurs itinéraires de migration en Amérique du Nord et en Europe (Fox et coll., 2005 ; Van Eerden et coll., 2005). Comme les données des populations d’oiseaux établies dans ces zones représentent une proportion élevée de celles servant à calculer l’IPV, il est très probable qu’elles pèsent sur la tendance générale les années où les données sont rares, ce qui a souvent été le cas récemment.
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debeck-blog1 · 7 years ago
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Vers une meilleure formation
Cette tendance générale dans les pays de l’OCDE (moins de femmes que d’hommes parmi les jeunes dont le niveau de formation est inférieur au deuxième cycle de ‘enseignement secondaire) s’explique par le fait que les femmes se sont émancipées au cours des dernières décennies. Parmi les_55-64_ans, les femmes sont plus nombreuses que les hommes parmi les individus dont le niveau de formation est inférieur au deuxième cycle de l’enseignement secondaire dans la majorité des pays membres ou partenaires de l’OCDE, contrairement à ce qui s’observe parmi les_25-34_ans (OCDE, 2016b). Au cours des dernières décennies, en effet, le pourcentage d’individus dont le niveau de formation est inférieur au deuxième cycle de l’enseignement secondaire a dans l’ensemble diminué à un rythme plus soutenu chez les femmes que chez les hommes. Dans les pays et entités infranationales de l’OCDE qui ont participé à l’Évaluation des compétences des adultes, les niveaux de compétences en littératie et en numératie des adultes dont le niveau de formation est inférieur au deuxième cycle de l’enseignement secondaire sont plus faibles que chez les adultes plus instruits. Ce constat vaut également pour les compétences en technologies de l’information et de la communication et la volonté de les utiliser pour la résolution de problèmes (voir les tableaux_A.1.6_[L], A1.6_[N] et A1.6_[P] disponibles en ligne). Le_pourcentage d’individus très performants en littératie est ainsi peu élevé dans l’ensemble parmi les adultes dont le niveau de formation est inférieur au deuxième cycle de l’enseignement (2_%), alors qu’il atteint 7_% chez les diplômés du deuxième cycle de l’enseignement secondaire et même 21_ % chez les diplômés de l’enseignement_ tertiaire Il est établi que les programmes éducatifs pour adultes sont associés à de meilleurs niveaux de compétences (voir l’indicateur_C6)_; l’amélioration de l’accès à ces possibilités d’apprentissage pourrait aider les adultes moins instruits à renforcer leurs compétences dans des_domaines tels que la littératie et la numératie.
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debeck-blog1 · 7 years ago
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Le changement par la mobilité
Le changement se cristallise, selon Robert Castel, autour de « ce que l’on pourrait appeler des configurations problématiques, c’est-à-dire des nœuds de questions sur lesquels se cristallisent la plupart des tensions, des conflits et des enjeux qui affectent les membres d’une société. Elles sont problématiques parce qu’elles posent problème à la fois à des sujets sociaux dont elles perturbent l’existence, aux sociologues qui voudraient les comprendre et aussi aux responsables administratifs et politiques qui tentent de les maîtriser » (Castel et Martin 2012, p. 38). La mobilité constitue sans nul doute l’une de ces « configurations problématiques ». Qu’elle soit associée à un changement de lieu – au sens de mobilité spatiale – ou à un changement de position, de rôle ou d’identité – au sens de mobilité sociale –, la mobilité est toujours envisagée comme un facteur de désorganisation ou de rupture d’équilibre, bref comme un vecteur de changement. Depuis de nombreuses années, le groupe de travail « Mobilités Spatiales et Fluidité Sociale » (MSFS) de l’Association Internationale des Sociologues de Langue Française (AISLF) étudie ces liens entre mobilité, changement social et changement spatial. Le LAET (CNRS-ENTPE-Université Lyon 2) a organisé, à dix ans d’intervalle, deux colloques du groupe MSFS, dont le premier avait fait l’objet d’une Traverse[1] dans la revue EspacesTemps.net. À l’occasion de la tenue du second colloque, le LAET propose une nouvelle Traverse, afin de mesurer le chemin parcouru dans la façon d’appréhender les liens entre mobilité, changement social et changement spatial. En 2005, le colloque organisé par le LAET s’intitulait « Mobilités, différenciations et inégalités ». À l’époque, l’accès à l’automobile s’imposait comme une norme en matière de mobilité quotidienne : en France, huit ménages sur dix étaient motorisés et la multi-motorisation ne cessait de progresser. Le colloque s’était intéressé aux effets paradoxaux de la diffusion de l’automobile en matière de changement social et spatial : la réduction des disparités sociales observée en matière de mobilité quotidienne s’accompagnait d’une accentuation des disparités spatiales, liée notamment aux choix résidentiels des ménages en faveur des espaces périurbains (Gallez, Orfeuil et Polacchini 1997). Le paradoxe n’était toutefois qu’apparent : la « motorisation des modes de vie » (Dirn, 1995) avait certes permis de rapprocher les conditions de mobilité quotidienne du plus grand nombre, mais elle avait parallèlement contribué à modeler les espaces et à réduire les possibilités alternatives d’accès aux activités du quotidien (emploi, services, équipements commerciaux ou de loisirs). Les liens entre mobilité, changement social et changement spatial avaient été observés à l’aune des relations entre la position sociale et les pratiques de mobilité quotidienne ainsi que résidentielle, dans le contexte des espaces périurbains. Le colloque ouvrait sur la nécessité de saisir la mobilité des personnes à travers une multiplicité d’échelles spatiales et temporelles, et soulignait notamment la forte diffusion de formes de mobilité encore atypiques, comme la bi-résidentialité. Le colloque organisé en 2015 s’est intitulé « Mobilités en changement, changement par les mobilités ». Il est parti du constat que les différentes formes de mobilité spatiale sont traversées par des changements importants. Sur le plan de la mobilité quotidienne, contrairement à ce qui s’observait en 2005, l’usage de l’automobile semble désormais stagner voire décroître, en particulier chez les plus jeunes, dans nombre de pays de l’OCDE (Kuhnimhof et al. 2012) (Kuhnimhof, Zumkeller et Chlond 2013). Parallèlement, des formes de mobilités alternatives émergent (marche, vélo, covoiturage, autopartage) (Marzloff, 2005) (Vincent, 2008). On observe également un dynamisme important des voyages (Armoogum et al. 2010) et un développement de pratiques de mobilité atypiques comme les pratiques de multirésidence (Imbert et al. 2014) (Ortar 2011) (Ortar 2015) (Stock 2006) ou les pendularités de longue distance liées au travail (Vincent-Geslin et Kaufmann 2012). Les mobilités résidentielles, pour leur part, apparaissent plus complexes (Authier, Bonvalet et Lévy 2010) et semblent jouer un rôle de plus en plus déterminant dans les dynamiques de développement des territoires. Enfin, des changements apparaissent aussi dans le champ des migrations, avec la mise en évidence du caractère réversible ou circulatoire des flux internationaux et de leurs interactions croissantes avec les mobilités résidentielles intra-métropolitaines et les déplacements quotidiens (Dureau et al. 2015). L’objectif de ce colloque était de faire le point sur la connaissance que nous avons aujourd’hui de ces changements qui traversent les mobilités spatiales et de s’interroger sur leurs conséquences en matière de changement social et spatial. Les liens entre mobilité, changement social et changement spatial ont été observés à partir d’angles d’analyse différents. Le changement social, par exemple, a davantage été analysé à travers les « phénomènes de confrontation, négociation, rejet, détournement, accommodation, subversion, rapports de force, compromis, transactions… » (Olivier de Sardan 1995) suscités par l’évolution des pratiques de mobilité spatiale. Une attention particulière a ainsi été accordée à l’étude des processus d’expérimentation, à leur progressivité, leurs effets ambivalents et incertains, leurs conséquences en matière d’évolution des représentations ou du rapport identitaire. Le changement spatial, pour sa part, a été analysé à travers les pratiques de mobilité quotidienne et de mobilité résidentielle, mais aussi à travers les pratiques de bi-résidence ou les migrations, et une place importante a été accordée à l’analyse de leurs interactions. Enfin, si les mobilités spatiales continuent de jouer un rôle important dans l’évolution des territoires périurbains, elles semblent également structurantes pour d’autres types de territoires, comme les territoires industriels ou les grandes villes latino-américaines qui entrent dans des phases de croissance plus ralenties et plus endogènes. Ce colloque du groupe MSFS, organisé en 2015, a montré la nécessité d’adopter une définition large de la mobilité et d’étudier davantage les interactions entre les différentes formes de mobilité (sociale, spatiale), ce qui nécessite de croiser les disciplines et les méthodes. D’autres chercheurs ont souligné depuis longtemps ces deux nécessités (Urry et Scheller 2006) (Imbert et al. 2014) (Lévy et Dureau 2002) (Courgeau 1988), mais force est de constater que le cloisonnement des champs de recherche reste important. Cette traverse appelle à faire modestement un pas supplémentaire dans cette direction, en invitant une communauté de chercheurs venant d’horizons différents, débutants comme confirmés, intéressés par ces questions de mobilité, à partager leurs connaissances, à échanger, à faire part de leurs interrogations pour avancer dans la compréhension des changements liés aux mobilités.  
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debeck-blog1 · 7 years ago
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Florence et le cauchemar Trump
Je n'ose imaginer le cauchemar que doivent vivre les élus républicains aux Etats-Unis en ce moment, face aux errements quotidien de leur président. La semaine dernière, j'ai fait un congrès à Florence, lors duquel j'en ai un peu discuté de la situation avec d'autres participants. Et nous étions tous atterrés par ce qui se passe actuellement à Washington. Le président américain ne cesse d'accumuler les bourdes, toutes plus graves que les autres. Le patron du FBI, Jim Comey, a en premier lieu été limogé par ses soins, et ce pour des motifs assez troublants. Ce même Trump a ensuite partagé des informations hautement classifiées qui avaient été livrées par Israël. Ces informations, qui concernent la capacité du groupe Etat islamique à armer de manière sophistiquée des ordinateurs portables, sont si sensibles qu’elles n’ont pas été partagées au sein de l’alliance des « Five Eyes », composée des Etats-Unis, du Royaume-Uni, d’Australie, du Canada et de Nouvelle-Zélande), selon le Wall Street Journal. Et l'on apprend aujourd'hui qu'il a demandé mi-février à ce qu'on stoppe l'enquête du FBI surson ancien conseiller à la Sécurité nationale ! Toutes ces casseroles font que là-bas, c'est aujourd'hui la débandade du côté des républicains. Et l'on parle aujourd'hui de plus en plus ouvertement de destitution. Certains pensent que les choses n'en arriveront pas là. Mais je ne serais pas aussi catégorique, pour ma part. Les représentants de la Chambre des Représentants ont déjà de quoi lancer une procédure de destitution. Et Jason Chaffetz, président d'une commission de la Chambre, a d'ores et déjà dit que cette affaire concernant le mémo de Jim Comey n'en resterait pas là. Bien entendu, l'impeachment peut encore être empêché : les représentants de la Chambre doivent y être favorables, et à ce jour, les chefs républicains y sont fermement opposés. Néa nmoins, cela peut changer d'un coup s'ils voient leur président comme un boulet pour les législatives en 2018. Quoi qu'il en soit, j'ai été séduit par ce congrè :: l'organisation était vraiment top. Vous pouvez jeter un oeil à l'agence qui nous l'a concocté, si vous voulez voir quelques photos. Retrouvez toutes les infos sur ce séminaire à Florence en suivant le lien.
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debeck-blog1 · 8 years ago
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Une pilule pour remplacer le sport ?
Régulièrement, de nouvelles études vantent les mérites du sport pour la santé, notamment ceux de la course à pied. Pourtant, beaucoup de personnes, en raison de leur âge avancé, de problèmes de santé ou de poids, rencontrent des difficultés pour pratiquer un sport. Alors, pourquoi pas un médicament qui procurerait tous les bienfaits du sport sans avoir besoin de courir ou de pédaler pendant des heures ? C'est ce que propose une étude du Salk Institute parue dans Cell Metabolism. Précédemment, les chercheurs avaient identifié une voie moléculaire activée par la course à pied(la voie PPARD) et une molécule (GW1516 ou GW) capables d'activer cette voie chez des souris sédentaires. Des souris chez lesquelles le gène PPARD était constamment activé couraient de longues distances, ne grossissaient pas et répondaient très bien à l'insuline. Toutefois, lors de ces premières expériences, GW ne modifiait pas l'endurance de souris normales. Dans cette nouvelle étude, l'équipe a donné à des souris normales sédentaires des doses plus élevées de GW, sur une plus longue période (huit semaines au lieu de quatre). Des tests ont été effectués sur des tapis d'entraînement. Résultats : les souris qui ne prenaient pas la molécule GW couraient environ 160 mn avant d'être épuisées ; celles qui avaient pris GW couraient environ 270 mn, soit 70 % plus longtemps. Pour savoir ce qui se passait au niveau moléculaire, l'équipe a analysé l'expression des gènes dans un muscle de la souris. Ils ont trouvé 975 gènes dont l'expression changeait en réponse à GW. Les gènes dont l'expression augmentait étaient par exemple des gènes impliqués dans l'utilisation des graisses, mais aussi des gènes antioxydants. Parmi les gènes dont l'expression diminuait, certains permettaient l'utilisation des glucides comme carburant énergétique.  
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debeck-blog1 · 8 years ago
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Portugal: seul au monde
La semaine dernière, j'ai assisté à un incentive à Faro au Portugal où toutes les personnes présentes ont évoqué à un moment ou à un autre l'actualité du Brexit : il faut dire que l'événement venait juste d'arriver, et que le triomphe des nationalistes a pris tout le monde de court. Pourtant, à force de discuter avec certains de mes collègues, j'ai réalisé que pour eux, c'est le peuple sans éducation qui est à l'origine de ce désastre. Ils estiment que les britanniques ont été bercés par des illusions, et que ce sont les plus modestes qui ont plébiscité la sortie de l'Europe. Pourtant, il suffit d'observer les chiffres pour comprendre que ce n'est en rien ce qui s'est passé. De nombreux votants de la classe aisée ont fait le choix du Brexit pour recouvrer leur indépendance. Les résultats démontrent plutôt que ce Brexit s'est conclu par un Leave du fait de la peur de l'immigration. On sait à quel point cette difficulté dans toutes les élections en occident : c'est ce sujet qui explique le succès des partis d'extrême-droite partout en Europe. Les chiffres révèlent que ce sont les individus les plus exposés à une culture cosmopolite qui ont souhaité rester dans l'Europe. A l'inverse, ceux qui ont voté pour l'indépendance sont ceux qui vivent le plus loin des immigrés. Et la meilleure preuve que ce référendum était en lien avec l'immigration, c'est que les violences contre les populations immigrées se sont aggravées de plus de 50% du côté britannique depuis ce jour-là ! Il n'y a donc en rien un vote du peuple non éduqué, comme beaucoup trop de médias l'ont présenté. Les anglais, quelle que soit leur appartenance sociale, ont opté pour le repli plutôt que pour l'ouverture. Nulle fracture sociale n'a conditionné le choix de vote : c'est une vision du monde qui en est responsable. En dépit de pas mal de débats un peu agités sur l'avenir britannique, j'ai éprouvé beaucoup de plaisir à participer à cet incentive au Portugal. Voilà d'ailleurs un lien vers l'agence qui s'en est occupée : j'ai particulièrement apprécié la qualité des animations. Certaines d'entre elles nous ont tellement fait rire que le cas britannique est soudain devenu secondaire, même s'il risque de ralentir notre propre activité.
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debeck-blog1 · 8 years ago
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Les «droits fondamentaux» mis à mal dans les prisons françaises
  Les craintes de 2015 se sont confirmées. Dans son rapport annuel, la Contrôleuse générale des lieux de privation de liberté (CGLPL), Adeline Hazan, a mis en garde contre «un recul important des droits fondamentaux des personnes privées de libertés». Établi à partir des 146 visites d’établissements effectuées au cours de l’année 2016 mais également à partir des dispositifs législatifs en vigueur, ce rapport dresse un bilan alarmant dû notamment au contexte terroriste qui touche le pays depuis plusieurs mois.  La contrôleuse des prisons pointe du doigt les nouvelles lois restrictives votées sous l’état d’urgence. Notamment celle du 3 juin 2016, qui avait pour objectif de simplifier la procédure pénale. «Au fil des débats parlementaires, le texte a profondément évolué pour aboutir à un assemblage de dispositions qui concernent aussi bien le crime organisé que le terrorisme, et qui apparaissent fort peu soucieuses du respect de l’équilibre déjà vacillant entre sécurité et libertés individuelles», explique le rapport. «Il y a un socle sur lequel on ne doit pas transiger: c’est l’équilibre entre les mesures répressives et les libertés. Cet équilibre-là n’existe plus», a tranché Adeline Hazan, lors d’une conférence de presse.  Avec cette loi, les conditions et la durée de la période de sûreté ont été élargies, tandis que celles de la libération conditionnelle ont été restreintes. D’autres mesures, comme la retenue de quatre heures dans un local de police, sans avocat, en cas de soupçons d’un comportement «lié à des activités à caractère terroriste», sont jugées floues «et donc dangereuses, dans un État qui se veut un État de droit», précise le CGLPL.  
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debeck-blog1 · 8 years ago
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Plus de 3000 pompiers battent le pavé
 Lassés de tirer un signal d’alarme que personne ne semble écouter, les sapeurs-pompiers professionnels battent le pavé pour dire leur ras-le-bol. Mardi après-midi, ils étaient plus de 3.000 – 4.000 selon les organisateurs – à descendre dans les rues de la capitale à l’appel de sept organisations syndicales. Du jamais-vu dans les annales des soldats du feu. Bravant les interdictions de défiler en uniforme, ils sont venus en treillis, parfois avec bottes et casques, pour décrire une situation inquiétante. Au pied de la statue de la place de la République, où le slogan «Population en danger» s’étale au long d’une banderole rouge, André Goretti, responsable de la Fédération autonome, égrène les raisons de la colère alors que le nombre des interventions a bondi de 21% en dix ans, pour atteindre les 4,4 millions en 2015. Pourfendant une «absence totale de reconnaissance et de perspectives de carrière», «beaucoup de souffrance, de colère et d’incompréhension», ce dernier déplore que «les candidats à l’élection présidentielle ne fassent rien pour défendre un service de secours de qualité». Au milieu des fumigènes, des pétards et des sirènes qui envahissent les rues menant à la Bastille puis vers la place de la Nation, les pompiers dénoncent tous un manque cruel de moyens dont souffrent les 42.000 sapeurs professionnels. «Il y a un grand écart insupportable entre les discours sécuritaires que l’on entend à longueur de semaines et notre situation qui se dégrade tant sur le plan budgétaire que des effectifs, clame Jérôme François, secrétaire général de l’UNSA-SDIS (services départementaux d’incendie et de secours) de France. Les fourgons, qui embarquaient jusqu’à huit pompiers dans les années 1980, ne sont plus désormais armés.
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debeck-blog1 · 8 years ago
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Jour 0
Et paf. Moi qui ai créé ce Tumblr pour y causer actualité, on peut dire que je suis servi. A part Fillon, qui remplit à lui seul la moitié du fil d’actualité (et c’est bien normal, au vu de toutes les affaires dans lesquelles il semble tremper (je sais bien qu’il y a la présomption d’innocence, mais quand on est accusé d’autant de choses à la fois, il ne saurait y avoir de fumée sans feu (et oui, j’ai conscience qu’en français l’on n’imbrique pas les parenthèses les unes dans les autres ; non seulement parce que c’est inesthétique, mais surtout parce que quand on arrive au terme des parenthèses, on ne se souvient plus du début de la phrase ; comme ici, par exemple))), il y aurait déjà bien des choses à commenter. La démission de Bruno Le Roux face aux révélations de Quotidien, par exemple. Le ministre est soupçonné d’avoir employé fictivement ses filles mineures à l’assemblée nationale. On appréciera la quintuple faute du monsieur : employer sa famille à l’assemblée nationale ; faire travailler des collégiennes en tant qu’attachées parlementaires ; les payer sans les faires travailler (elles étaient alors en stage ailleurs, pour certaines dates) ; se moquer à ce point du contribuable ; et avoir le culot, durant l’affaire Fillon, de déclarer face caméra que les élus ne devraient pas pouvoir embaucher leur famille !!!
Mais il y aurait bien d’autres choses à commenter encore : la journée de commémoration des attentats de Belgique ; les costumes de luxe de Moscovici (qui, comme Le Roux et Fillon, a commencé par dire qu’il n’y avait là aucun problème, que tout était légal et qu’il n’y avait pas de délit d’influence en la demeure) ; les révélations de Cash Investigation sur la pédophilie au sein de l’Eglise... 
Vous savez quoi ? Je crois que je vais avoir du travail, et sans doute pas assez de temps pour tout traiter ! Et quand l’on n’a même plus assez de temps pour réagir à tout, ça donne une idée de l’état dans lequel est notre monde !
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