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vestis, berenice, poster, festival castell de peralada, carmen
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Michal Batory
blog 13
Michal Batory est né en 1959 à Lodz. ll fait partie des artistes-graphistes contemporains les plus célèbres. Il a également reçu de nombreux prix dans le domaine des arts graphiques. Il vit et travaille à Paris. Michal Batory est considérer comme un maître de l'illusion. Il jongle avec une grande dextérité entre les objets du quotidien et les différents motifs pour créer une nouvelle série, qu’il décrit comme "objets particuliers". Dans sa vision artistique, de simples cotons-tiges deviennent une partie intégrante d'une clarinette, un mannequin semble avoir des vrais seins, tandis que les extrémités des gants et des chaussures prennent la forme de doigts humains. Présentant ces motifs atypiques, de manière réelle, et en s'engageant dans un dialogue avec les spectateurs, Michal Batory tente de les convaincre qu'une affiche, indépendamment de leur fonction d'information et de publicité, peut-être la source d'une expérience esthétique ou même poétique.
Ses œuvres nous impose une réflexion, cela nous arrachent de l'imagerie.
La plupart de ces oeuvres qui sont souvent sombre, sont la pour engourdir notre capacité à percevoir. Michal Batory, nous présente des questions, plutôt que des réponses, une réflexion au lieu d'une lassitude, de l'idéalisme à la place d'une banale réalité. Peu importe si elle ne dure qu'un bref instant.
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Catherine Zask
blog 12
(Graphiste, affichiste, artiste, auteur…) Catherine Zask est aussi multiple que ses écritures et les matériaux à partir desquels elle développe son langage visuel.
Catherine Zask est née en 1961 à Paris. Diplômée de l’ESAG Penninghen en 1984, elle s’installe à son compte en 1985. Elle a été pensionnaire de la Villa Médicis, Académie de France à Rome, en 1993-1994.
Elle travaille avec des institutions culturelles et des entreprises du secteur privé dont elle conçoit l’identité visuelle et l’ensemble du matériel de communication, la plupart du temps dans le cadre de collaborations à long terme. Parmi elles : l’université de Franche-Comté, la Scam Société civile des auteurs multimédia, L’Hippodrome scène nationale de Douai, le ministère de la Culture, l’école supérieure des beaux-arts de Nantes…
Depuis 1985, Zask travaille simultanément, hors commande, en utilisant parfois la lettre comme moyen. Elle a créé Alfabetempo en 1993, lors de son séjour à la Villa Médicis à Rome. Ce travail est le prolongement d’une recherche engagée dix ans auparavant autour du tracé, du signe, de l’écriture. Elle mêle l’écriture, dessins, films, photographies.
Une exposition rétrospective elle son honneur appeller (« Zask’s the question ») a eu lieu à la Galerie Anatome en 2004 ; au Museum für Gestaltung Zürich en 2005 ; à la Galerie Artazart (« Kaléidozask ») en 2006 ; au Design Center of the Czech Republic (« CZ in CZ ») de Brno en 2006 ; de Prague en 2007.
Catherine Zask a reçu le Grand Prix de la 20e Biennale internationale de design graphique de Brno en 2002. Elle est membre de l’AGI, Alliance graphique internationale.
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Index grafik, centre de creation industrielle, Centre Pompidou
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Jean Widmer
Blog 11
Jean Widmer, créateur de nombreuses identités visuelles, est un graphiste d’origine Suisse, né en 1929 à Frauenfeld. Son parcours, truffé de noms aussi populaires que celui du Centre Georges Pompidou, qui est une de ses réalisations les plus connues, a marqué le paysage visuel français. Il à également réalisé de nombreux projets sur la signalétique, le plus vaste d’entre eux étant la conception des pictogrammes touristiques des Autoroutes françaises.
Arrivé en France en 1953, à l'âge de vingt-quatre ans, Jean Widmer, né en 1929 à Frauenfeld en Suisse alémanique, est de ceux qui ont contribué à modeler le paysage graphique français au cours de la seconde moitié du XXe siècle. Les nombreuses identités visuelles conçues avec son agence Visuel Design ont en particulier introduit cette approche réglée, objective et mesurée caractéristique de la création helvète, dont la France était jusque-là peu familière.
Formé à l'école d'art appliqué de Zurich, Widmer a bénéficié d'un d'héritage direct du Bauhaus et de la Nouvelle Typographie. À Paris, il devient directeur artistique aux Galeries Lafayette, où il succède à son compatriote Peter Knapp, puis au magazine Jardin des modes. Widmer commence par ailleurs à enseigner en 1960 à l'École nationale supérieure des arts décoratifs, où il participera de façon décisive à la formation de plusieurs générations de graphistes.
En 1969, il est sollicité par François Barré afin de concevoir la ligne graphique du tout nouveau Centre de création industrielle (C.C.I.), voué à la promotion du design au sein de l'Union centrale des arts décoratifs. L'image du C.C.I. compte parmi les premiers logos que dessine Widmer. Celui-ci élaborera par la suite, avec son agence, de nombreuses chartes graphiques, notamment celles du musée d'Orsay (1983-1987) avec Bruno Monguzzi, de la Galerie nationale du Jeu de Paume (1991) et de la Bibliothèque nationale de France (1994) à Paris, ou à Bâle celle du Museum für Gestaltung Basel (1990).
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Étienne Robial
Dixième Blog
Étienne Robial est un homme jovial et grisonnant au physique de père Noël qui compte en hippopotames, il est le graphiste, peintre de lettre, directeur artistique à l'origine d'une multitude de logos ayant construit le paysage graphique et audiovisuel français.
Il est né à Rouen le 20 novembre 1945. En 1962, il est Diplômé des Beaux-Arts de Rouen puis part étudier en Suisse aux Arts et Métiers à Vevey. Déjà à l'époque il se passionne pour les systèmes graphiques. Sa thèse sera consacrée aux dominos. Comment faire rentrer des ronds blancs dans des carrés noirs.
Il se lance en 1970 en tant que DA pour Barclay et les éditions Filipacchi. Il s'occupera de nombreux numéros zéro de magazines, comme "Mademoiselle âge tendre"; il rentre très rapidement dans le système.
En 1972 il cofonde Futuropolis avec Florence Cestac, une maison d'édition de bandes dessinées et de livres d'images. Ils achètent une librairie spécialisée en bande dessinée. Elle est baptisée Futuropolis en hommage à la bande dessinée de science-fiction créée par Pellos. Cette librairie leur permet de financer leurs publications. Et petit à petit, ils se mettent à publier Tardi, Mœbius et de nombreux auteurs qui deviendront des géants.
Info importante qu’il le compare au autre créateur de bande dessinée.
Il n'aime pas le terme BD, pour lui il faut dire la "Bande dessinée", la BD c'est comme du fast-food, ca lui publie de la gastronomie.
Ils enverront leurs amis afin qu’ils achètent leurs exemplaires de premières bande dessinées, dès lors qu’ils sont en rayon, de cette façon ils convaincs les librairies d’en commander encore plus.
Étienne Robial fait sa première expérience audiovisuelle avec Les enfants du Rock dont il crée le générique en 1982, après plusieurs années dans le monde de l'édition. On lui doit ensuite les logos habillages et ou génériques de La Sept (1986), M6 (1987), Arte (lequel n'est pas retenu) en 1993, iTeleb (1993), RTL9 (1994) et bien sûr Canal+. Il demeure directeur artistique pendant 24 ans pour la chaîne câblée, depuis sa création en 1984.
Il doit son plus grand succès à une chaîne pour laquelle il travaille d'abord gratuitement.
Étienne a toujours un petit tour de magie dans son sac. Peu avare, très bavard, il aime transmettre sa connaissance.
Il aime se faciliter la vie.
Robial n'aime pas les répétitions. Son objectif est de lutter contre la mémorisation. En effet, quand on voit la même émission chaque jour, et que les habitudes visuelles arrivent, on ne voit même plus son travail. Pour lui “c'est un peu comme si votre femme mettait les mêmes habits tous les jours”.
Le goût de Robial pour les formes géométriques et un système typographique simple est omniprésent, au point devenir sa signature personnelle. Il crée ainsi un système créatif presque constructiviste (et répétitif) à grand coup de couleurs primaires, de rectangles, de triangles et de ronds accompagnés de variations de la typo Futura. Un système qu'il applique à tout va en réalisant des logos parfois très similaires (Planet Banque, la relation équitable, des Films...).
C'est que Robial fait danser les lettres en jouant avec les formes et la géométrie, comme pour rompre la monotonie inhérente à l'alphabet. Il nous explique que ses lettres sont découpées et placées de travers exprès pour que les compositions soient équilibrées à l'oeil, et non au millimètre près. Sous une apparente simplicité, comme l'alphabet Futura utilisé pour Canal+, il ajoute alors une touche vibrante et humaine à ses compositions. Celle qui fait la différence.
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Philippe Apeloig
Neuvième Blog
Né à Paris en 1962, Philippe Apeloig est un designer graphique et typographe français, membre de l’Alliance Graphique Internationale.
En 1985, il est engagé au Musée d’Orsay, deux ans après, il crée une de ses plus célèbres affiches : Chicago. Naissance d’une métropole. Pour cet artiste qui n’a pas peur de revendiquer ses sources d’inspiration, la grille est une fondation, un plan initial à transcender. Il détecte rapidement le potentiel de ce système qui permet d’organiser le visuel. Philippe Apeloig impose à la typographie une forme architecturale qui crée de la lisibilité et de la poésie. De 1993 à 1994, il sera pensionnaire de la Villa Médicis à Rome, où il se concentrera sur des recherches personnelles dans la plus grande liberté. C’est au cours de cet épisode qu’il mettra au point les quatre polices : Carré, Aleph, Octobre et Cursive. L’artiste, depuis ses débuts, a une véritable fascination pour les grilles avec lesquelles il aime jouer, qu’il s’amuse aussi à déformer, à fusionner. Apeloig aime ce qui est maladroit, il découvre d’ailleurs avec les logiciels un véritable vivier d’approximations à la beauté inattendue..
Il a aussi bien travaillé pour des institutions culturelles que des éditeurs en passant par de grandes marques.
Le designer a su faire de ses premières maladresses (calculées), sa signature. Ses caractères sont imprévisiblement beaux et spontanés. Philippe Apeloig réinterprète, à la façon d’un peintre, les mêmes thèmes, en apportant à chaque fois une touche sans cesse renouvelée de fraîcheur et d’inattendue. La grille, quant à elle, reste en trame de fond sur l’ensemble de son œuvre. C’est à partir d’elle que tout le reste voit le jour : lettres, formes, magie
Récemment, il signe les affiches des expositions Yves Saint Laurent au Petit Palais à Paris en 2010 et celle de L’art de l’automobile chefs d’œuvre de la collection Ralph Lauren au Musée des Arts Décoratifs, Paris.
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ville de Lyon, identité visuelle, Ruedi et Vera Baur, the New School
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Ruedi Baur
huitième blog
Ruedi Baur est un artiste designer qui apprend le métier de graphiste chez Michael Baviera, en Suisse, pendant son enfance.
En 1979, il obtient son diplôme de design graphique. Après avoir créé l’atelier BBV à Lyon, il confonde en 1989 un réseau interdisciplinaire intégral concept et y dirige depuis les ateliers integral Ruedi Baur Paris, Zurich et Berlin.
Il enseigne régulièrement depuis 1987. De 1989 à 1996, il coordonne le département design de l’École des Beaux-arts de Lyon.
En 1995, il est nommé professeur à la Hochschule für Grafik und Buchkunst de Leipzig, dont il a assuré le rectorat de 1997 à 2000.
En 2004, il crée l’institut de recherche Design2context à la Zürcher Hochschule der Künste (ZHdK) qu’il codirige depuis avec Stefanie-Vera Kockot et Clemens Bellut.
Depuis 2011 il est enseignant à la Haute école d'art et design de Genève au sein du master "Espaces et Communication".
Il enseigne aussi à l’École des Arts décoratifs à Paris ainsi que régulièrement en Chine à la Luxun Academy de Shenyang, la CAFA de Pékin, et l’École internationale de Percé, liée à l’Université Laval à Québec qui lui a attribué un doctorat honoris causa en 2007.
Membre de l’Alliance graphique internationale (AGI) depuis 1992, il participe à de nombreux workshops, jurys, donne régulièrement des conférences. Ses travaux sont publiés dans différents pays et présentés dans diverses expositions.
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Index Graphik, Maiavalenzuela, still moving, Karel Martens and the power of restraint
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Karel Martens
septième blog
Karel Martens est né le 8 mars 1939 (80 ans)
Karel Martens expérimente la superposition et les jeux de transparence de couleurs, à l’affut de combinaisons inattendues. Encres fluorescentes et vieux papiers jaunis fusionnent dans d’élégantes textures. Et de cette union émane une étonnante beauté. Tout en s’amusant, Martens développe une nouvelle forme de sensibilité. Karel Martens est un graphiste néerlandais qui occupe une place essentielle dans le paysage du graphisme, de l’art et du design d’aujourd’hui. L’un des praticiens les plus importants de sa discipline, Martens a développé depuis 1961 un travail à la fois appliqué et autonome, personnel et expérimental.
Ses contributions au graphisme incluent des timbres et des cartes téléphoniques, des revues et des livres, mais également de la signalétique et des interventions spécifiques dans des bâtiments. Sa pratique d’artiste, intimement liée à celle du graphiste, se développe autour d’une fascination pour la matérialité du papier, l’impression d’artefacts industriels et des constructions géométriques et “ kinétiques”›.
Il a gagner de nombreux prix, parmi ses nombreuses distinctions: le prix H.N. Werkman (1993) pour la conception graphique de la revue OASE, le prix Dr A.H. Heineken de l’art (1996), la médaille d’or à la Foire du livre de Leipzig (1998) et la Gerrit Noordzijprijs (2012). Martens enseigne à la Yale School of Art, et a co-fondé l’école Werkplaats Typografie en 1997.
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Né à Kempen, en Allemagne (près de Cologne) en 1380, il est mort près de Zwolle en 1471. Son nom de famille était Hemerken, ce qui signifie « petit marteau » en bas-allemand.
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Thomas a Kempis
Sixième Blog
En 1395 il fut envoyé à Deventer, à l'école des Frères de la vie commune. Il devint un copiste talentueux, capable de subvenir à ses besoins. Plus tard, il fut admis au couvent des Augustiniens du Mont Sainte-Agnès près de Zwolle, où son frère Jean l'avait précédé et avait été élevé à la dignité de prieur. Thomas fut ordonné prêtre en 1413 et fut nommé sous-prieur en 1429.
Thomas mena une vie paisible, partageant son temps entre des exercices de dévotion, l'écriture, et la copie. Il a copié quatre exemplaires de la Bible, et l'une de ces copies est conservée à Darmstadt, en cinq volumes. Ses enseignements étaient très lus, et ses travaux abondent en citations bibliques, particulièrement celles du Nouveau Testament.
Un monument fut érigé à sa mémoire en l'église Saint-Michel de Zwolle, aujourd'hui démolie.
Thomas a Kempis appartenait à l'école des mystiques qui s'étendait sur les rives du Rhin, de la Suisse à la Hollande, en passant par Strasbourg et Cologne. Il était disciple de Gérard Groote et de Florent Radewijns, fondateurs des Frères de la vie commune.
Tous ses écrits sont marqués par la dévotion et comprennent des billets, méditations, lettres et sermons, des vies de saints et diverses biographies. Des œuvres semblables à L'Imitation de Jésus-Christ, animées par le même esprit, ainsi qu'un livre sur l'Incarnation. Tous ses travaux expriment son adoration débordante pour le Christ.
Thomas a Kempis a été béatifié par l'Église catholique. Il est fêté le 25 août. Ses restes reposent depuis la Pentecôte 2006 dans la basilique Notre-Dame-de-l'Assomption de Zwolle.
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