clotnpdesign
Clothilde
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Étudiante en DN MADE créateur verrier
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clotnpdesign · 2 years ago
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Sketchnoting sur “ Le cerveau peut faire des merveilles lorsqu’il est apaisé “ Entretien de Jonathan Curiel, DG adjoint dans le groupe M6, appelant à ralentir sur ce qu’il appelle “la société de l’immédiateté“
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clotnpdesign · 2 years ago
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GLOSSAIRE de l’article « Le luxe est-il immoral ? »
LUXE : C’est un nom masculin qui vient du latin luxus qui exprime quelques choses qui est coûteux, raffiné, somptueux ou qui désigne des objets coûteux ou une manière de vivre coûteuse. On peux parler aussi de superflu. Le luxe c’est aussi un mors utilisé dans des expressions françaises pour exprimer la chance que certains ont de pouvoir acheter en sur consommation ou de pouvoir se faire plaisir.
IMMORAL : adjectif qui exprime la violation de principe de la moral établie par sa conduite ou sa pensée. Par le luxe on peut en venir à dépasser les limites, à faire des actions qui sont au delà de la moral, dans les pires cas. C’est un questions qu’ont peut se poser.
ULTRA-RICHE : c’est un nom commun venant du français qui exprime le d’être ou que des personnes soit extrêmement riche, c’est un niveau de vie et une manière de vivre en opulence.
RICHESSE NATIONALE : c’est la valeur total de l’ensemble des biens économiques obtenus par les membres d’une économie donnée. L’enrichissement de l’économie par le biais de la consommation et des possessions de biens des membres d’un groupe de personnes vivant dans la meme économie.
DÉBAUCHE : c’est un nom féminin qui au figuré exprime l’usage excessif. C’est une profusion. Dans la phrase « debauche indécente » on comprend que c’est un profusion d’une consommation qui en dépasse les limite de l’entendement.
ACQUÉRIR : verbe qui dit que quelqu’un devient propriétaire d’un bien, d’un droit par un achat, un échange ou d’une succession. Le luxe dans c’est cas c’est une satisfaction d’obtenir et d’avoir en ses mains un bien de valeurs. Qui amène souvent à en avoir envie en opulence pour montrer « sa valeur ».
GASPILLAGE : nom masculin qui exprime l’action de faire des dépense inutiles, une consommation inutile. Vouloir acquérir des biens luxueux en quantité amène souvent au gaspillage. Ce sont des dépense qui peuvent être irréfléchis et donc non essentielle.
VICE ET VERTU : Vice : nom masculin qui est un ensemble de pratique du mal. Nos défauts, nos « démons » comme on les appelle communément. Ce qui nous poussent à faire des choses qui peuvent être considérées comme des actions malhonnêtes ou malfaisante. Vertu : nom féminin qui est la disposition spirituelle a agir avec persévérance en accord avec la loi divine ou sois même. Le luxe mènent autant aux vices qu’à nos vertus. Le souhait d’être celui qui possède les plus grandes richesses, les biens les plus coûteux. Et où encore le souhait d’être celui qui en consomme avec bonne vertu.
EXCÈS : nom masculin qui exprime ce qui dépasse la quantité considérée où ce qui dépasse la mesure moyenne ou jugée normal. Mais c’est aussi ce qui dépasse les limites permises et convenable. Dans le besoin d’obtenir du luxe, il y a aussi de l’excès, cela peut faire comme de l’addiction. En vouloir toujours plus.
POSSESSION : nom féminin qui exprime le fait d’avoir obtenu quelque choses qui en devient un biens qui nous appartient. C’est synonyme de matérialisme ou de possessivité dans d’autre cas. C’est une satisfaction que d’avoir pour nous et en notre possession des biens de de grandes valeurs économiques.
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clotnpdesign · 2 years ago
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Le Codex Seraphinianus
Le codex seraphinianus à été publier par Franco Maria Ricci en 1981, c'est un écrit qui décrit les différentes facettes d'un monde lointain et imaginaire. On y trouve par exemple des échelles végétales qui poussent vers le ciel et le soleil, une faune habitant les arc-en-ciel etc Les thème évoquer sont très vastent délivrant un savoir encyclopédique. Tous les schéma, dessins..sont accompagnés d'un texte bien que personne n'est jamais réussi à le lire. L'écriture est indechiffrable, ce n'est pas un alphabet. Il s'agit d'un langue et d'une écriture imaginaire. La première et dernière de couverture sont crème, cela a évoluer avec le temps, avant la couleur était moins classique.
Caroline Bouige : Vous enrichissez le Codex à chaque édition ? Comment vous plonger vous et replongez vous dedans ?
Luigi Serafini : Le Codex s'écoule comme un flux au fil du temps. Je crois avoir gardé quelques chose de ma jeunesse en cela.
CB : En 2016 vous avez été nommé satrape du Collège de pataphysique. Quels sont pour vous les liens entre l'écriture et le dessin ?
LS : Le besoin d'écrire m'a toujours hanté. Ce sont deux éléments qui se mélangent. Chaque personne à une pratique du dessin dans sa façon d'écrire.
CB : On sent la recherche de plaisir dans les gestes et le mimétisme des courbes, des angles, et des mouvements qu'induit l'action manuscrit. Mais vos dessins ressemble plus a des écriture parfois.
LS : En effet c'est exactement ce que vous décrivez. Le codex récent un besoin de lié l'écriture et le dessin. L'écriture du codex incarne le rêve d'une écriture cachée.
CB : Une forme d'écriture hybride en somme. Comment naissent ces hybrides ?
LS : Les Métamophoses d'Ovide.
CB : Le Codex détourne et s'éloigne des ouvrages scientifique et encyclopédique. Ou avez vous puisé votre curiosité ?
LS : j'ai suivis une formation classique et scientifique à l'école puis à l'université. Je me passionnais pour le grec et la philosophie. J'ai aussi dessiner avant de parler, je crois.
LS : j'étais fasciner par la nature.
CB : Votre trait est réaliste et coloré. Plongez-vous dons ce monde avec bonheur ?
LS : Oui, je dessiner dans une atmosphère joyeuse. Je suis libre.
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clotnpdesign · 2 years ago
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Le design thinking : un état d'esprit pour une révolution silencieuse
Le design thinking est un outils et une méthode innovante centré sur l'utilisateur avec le quel on rentre en empathie, elles sont viables économiquement et fiables techniquement et le design thinking s'applique a tous les domaine.
L'utilisateur est la clé de la problématique.
Cette démarche ouvre les voies vers l'inconnu et les résultats est incertain, mais la réponse sera ajustée a l'utilisateur.
En France le design thinking est adopté depuis des dizaine d'année. Il vit un véritable engouement (objet de nombreux articles, formations, meetups...) C'est une ressources pour les entreprises.
Remi Edart est un design thinker qui dit que le design thinking est une révolutions silencieuse, petit a petit elle peut changer le monde. Sa réflexion est centrée sur le besoin utilisateur, un besoin réel, il délivre aussi de la valeur au consommateur. Il pratique le prototypage que si le client est prêt a payer. Après avoir quitter son dernier post en high tech il décide de ce consacrer a trois de ses axes principaux, l'innovation, la transformation et la collaboration. Il pour démarche de créer ça propre activité dans le design thinking. Il va finir par fonder la thinking.academy et co fonder une start-up digitale. IL reviens ensuite dans l'hexagone pour pérenniser son activité. Il décide de créer des parcours de transformation suite au succès de ça pratique, ou le travail d'équipe en est la clé. L'innovation est le coeur de son métier mais Remi Edart but réaliser quelque chose de plus fondamental. face au enjeux sociaux il veut que l'on trouve des solutions pour les besoins aux personnes. c'est ce qu'il appelle la révolution silencieuse.Il pronne le respect de l'environnement, il veut les consommations soit plus saines et plus durable. Pour lui la révolution silencieuse est ce qu'on appelle avoir le responsabilité social et sociale de l'entreprise, à partir du moment ou l'humain restau centre de la démarche. le système de co-voiturage de Blablacar est le bonne exemple. Son activité a deux facettes : celle de facilitateur et de coach d'équipe, il favorise l'apprentissage par le faire.Pour ceux qui n'ont pas forcement les moyen de ce payer la formation Remi propose un parcours atypique : un webinaire, un meet-up d'initiation gratuits. Pour y participer il faut juste être inscrit a Pôle Emploi. Il parle aussi de gratitude, la gratitude d'être dans un pays comme la France et de prendre conscience des besoin de ce monde par la prise de position de chacun, est son enthousiasme.
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clotnpdesign · 2 years ago
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Pour une esthétique de la pop culture. Matthieu Letourneux 
Dans le texte écrit par Matthieu Letourneux on apprend que dans La Culture pour vivre, un des essais de Jacques Rigaud, il propose une formule qui résumait bien les conception dominantes de la culture. « Consmmer, c’est consumer ; mes cultiver, c’est faire naître ; c’est travailler »
Mais aussi que Star Wars, Marvel et Disney sont entre créations culturelles et objets de consommation.
Les blockbusters, les jeux vidéos, la pop musique sont le coeur de notre culture.
Le modèle moderniste qui a longtemps servis de socle idéologique dans nos société depuis le XIX eme siècle. L’opposition entre haute culture et culture de masse, culture savante et culture populaire, est bien mal en point.
De nos jours tout le monde ou quasiment tout le monde consomme de la culture de masse (BD, séries télévisées, la pop musique..) alors que encore «hier» en 1970 les bandes dessiner était encore considérer comme une production pour enfants et adolescent attardés. 
Comme l’ont démonter Bernard Lahire, Philippe Coulangeon et Hervé Glévarec, aujourd’hui les goût culturel ne sont plus hiérarchiser mais plutôt en fonctions des différents contextes sociaux.
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clotnpdesign · 2 years ago
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Texte « Plaire et toucher. » de G.Lipovetsky
Gilles Lipovetsky s’intéresse depuis une trentaine d’année à l’évolution de mentalités, des pratiques et des mœurs, et à restituer la signification de ces phénomènes sociaux. Ces travaux portent sur l’hyper-individualisme. Dans l’ouvrage Plaire et Toucher, cette postmodernité qui est tendue vers la consommation et le toujours plus est considéré avec un regard bienveillant. Gilles Lipovetsky n’optent pas pour les postures catastrophiques qui voient dans le consumérisme débridé un abrutissement culturel.
La postmodernité se caractérise par le souci de séduire. Si les rituels de séduction ont toujours existé mais sont restreints par des obligations collectives dans la postmodernisté tout le monde est libre de les interpréter à sa manière. le plaire et toucher cher à Racine qui se développe avec l’individualisme n’est plus seulement une règles de représentation, mais une exigence permanente de fabrication de désire qui s’infiltre partout tout en remplaçant tous cadres et règles traditionnels.
L’approche de Lipovetsky n’est pas uniquement descriptive. Elle n’opte pas non plus pour une vision apocalyptique de la séduction. Au contraire, elle permet une personnalisation . Les consommateurs qui savent rationaliser leurs choix, faire la part des choses etc garde leurs esprits critique.
L’hyperindividualisme s’il amène une part de malaise ne débouche cependant pas forcément sur une sociabilité superficielle. Par ailleurs, si la société de séduction amène son lot de désarrois, Lipovetsky ne bascule pas dans le moralisme qui consiste à dire que la séduction et l’individualisme : c’est mal. L’individualisé n’empêche pas la profondeur des liens.
Ceux qui aspirent à résister à ce règne de la séduction ont le droit. Ils doivent néanmoins garder en tête que la séduction règne en maître. Même ceux qui veulent construire une société plus humaine n’échappent pas à cette logique de la séduction.
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