clemmninho

[clemmninho]

⚖ Jerzy Lec à dit : - "La légèreté à, elle aussi, son poids specifique".

• Sur terre, tout n'est qu'une question de poids et de mesures. Tout ce rapporte a un chiffre, un nombre, tout le monde veut toujours savoir combien. Et comme dans mon cas, il yen a a ne pas dépasser, autant vers le haut que vers le bas. Mesurer le poids de vos mots, ils sont le poids de votre conscience de demain, les mots peuvent tuer, rien n'est jamais définitif, jamais.

💥 J'éviterais désormais tous ce qui fait Maigrir : Miroir, Balance et Conard.

[clemmninho]

Je me sens tellement loin de là personne que j’essaye de devenir.

[clemmninho]

Ce bruit terrifiant mais à la fois tellement apaisant

Certains n’entendent rien, alors que moi j’entends le silence.

[clemmninho]

Je ne sais pas faire semblant.. quand j'aime cesg entièrement 😔

Parfois, je me dis que je parle trop. Que j'en dis trop sur moi, sur mes sentiments. Mais comment on fait ? Je ne sais pas faire autrement. Je ne sais pas aimer sans être bouleversée.

[clemmninho]

j'attends que tu viennes me parler comme si tu tenais à moi mais tu m'appelles que quand ça va pas parce que tu sais que je serais toujours là

[clemmninho]

#parceque ici c'est chez moi.

ma place est ici, l'idée de partir me retourne l'estomac

[clemmninho]

“J'suis fatiguée. J'ai plus d'appétit, j'ai plus de désir, j'supporte plus les gens, j'arrive à plus rien endurer. Et puis j'ai réalisé tellement de choses desquelles j'arrive pas à me défaire. Tu savais que pire n'était jamais sûr ? Ca veut dire que même quand tu penses avoir touché le fond, t'es jamais certain de c'qui peut arriver après. Et c'est généralement là que tu t'retrouves dans ce cercle vicieux. Celui où tu finis par tout foutre en l'air, décisions de merde après décisions de merde, tes dominos s'effondrent les uns après les autres. Puis tu te retrouves quelques années après à chercher le pourquoi du comment t'as tout gâché, pourquoi t'as laissé les autres penser qu'il pouvait te pourrir. Le pire, tu sais jamais c'que c'est. C'est quand ton coeur se brise, quand tu réalises qu'on t'as dupé ; ou quand tu finis encore par pleurer mais cette fois sur les trottoirs d'une autre ville. C'est quand tu dérapes, quand tu te retrouves arrachée et complètement paumée à 4h du mat’, que tu sais pas rentrer chez toi et puis que tu sais même pas où c'est, chez toi. C'est quand tu trouves plus de sens, quand tes sentiments sont estropiés à force qu'ils aient joué avec, quand tu sais même plus poser les mots sur c'que tu ressens. C'est parfois, c'est souvent, c'est quelques fois, c'est peut-être jamais. C'est quand t'es loin de tout, de tous ; quand tu sais plus ce que tu fais, quand tu regardes en arrière et que tu sais pas où t'as le plus merdé. C'est quand tu creuses, tu creuses, que tu creuses encore et que tu continues de creuser, c'est quand tu sais pas quand tu touches le fond, encore moins si tu vas remonter.”

— onoublietout