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Combien te disent qu'ils sont là mais combien le sont réellement..

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Elle disait que ça reviendrai, que ça allait me claquer dans la figure, qu’un souvenir allait revenir à toute allure, sans prévenir, que je me prendrai un mur. Elle disait que j’avais trop de vecu, pas de soutient, pire qu’un détenu, délaissé par les siens. Puis elle a laissé tombé. Parce qu’un soldat, c’est endurant. Parce que je montre pas mes sentiments. Mais je le sens. Ça bout. C’est qu’une question de temps. Je suis debout, mais plus pour longtemps.

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Elle ne guérira pas. Elle a grandit trop vite, elle est trop mature mais pas assez mûre. Elle a vu trop de choses en trop peu de temps. Elle a trop de vécu, pas assez de cran. Elle est terrorisée, mais dans un corps de vaillant. Regarde la, pleurer en montrant les dents. Elle est traumatisée, un soldat en sang, sur le front, les mains attachées, mais le regard tranchant. Elle est revenue vivante de l’enfer, mais certainement pas entière.

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On avait l’impression qu’elle allait s’effondrer dans la seconde. Et pourtant, elle était là, debout, plus forte que les autres, plus virulente plus agressive plus optimiste plus souriante. Tout pour combler le vide. C’était tellement faux. Factice. Elle changeait de personnage, cachait son passé dans l’humour bien chargé. Mais dans sa tête, c’était le carnage. On l’avait brisée cette gamine, et elle s’était sauvé toute seule de ce naufrage.

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J’ai jamais été douée pour mélanger les univers, je me suis trop souvent retrouvée par terre. Un coeur trop fragile et un cerveau trop solide. Deux entités immiscibles. De l’ambition ne veut pas dire coeur en glaçon. Séductrice ne veut pas dire que j’aime tous les garçons. Je suis un oxymore, je suis gentiment compliquée, silencieusement déchirée, incroyablement cassée. Ce monde me rejette dès que j’essaie de rentrer dans le moule, et je suis trop brisée pour en ressortir. Fatiguée d’essayer de m’en sortir.

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Elle part jamais cette putain de dépression

Elle reste la tapis dans l'ombre attendant la moindre faiblesse

Tel un vautour attendant son prochain repas

Elle est toujours là elle ne partira jamais cette putain de dépression

Je me bat constamment tout le temps sans cesse

Mais qui, dites moi qui tiens aussi longtemps aussi durement, ma chère dépression pourquoi je me sens vivante uniquement quand je t'ouvre mes bras

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Un de plus qui s'en va et ne reviendra peut être pas. Est ce moi ? Est ce moi qui leur fait cette effet là ? Pourquoi j'ai encore ce goût amer du plus jamais..

Un de plus qui s'en va, et me revoilà face à moi même, mes démons et mes peurs.

Pourquoi j'ai encore cette impression que tout n'était qu'un leur..

Un de plus qui s'en va, Comment pourrait on m'aimer de toute manière? Vraiment regardez moi mais putain regardez moi !

Non en fait non ne me regardez pas, par pitié oubliez moi effacez moi ..

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“Je pense qu'elle a vraiment voulu s'en sortir. À un moment en tout cas. Mais ça faisait partie d'elle. Se sentir seule, incomprise, mise à l'écart, qui peut comprendre ça ? […] Quand quelque chose te fait si mal que ça t'empêche de respirer, toutes les personnes qui t'entourent n'existent plus. Si elles te disent qu'elles te soutiennent, qu'elles seront toujours là pour toi, au final t'es seul, tout seul. Comment on peut prétendre connaître la souffrance des gens ? Chaque douleur, chaque cicatrice, chaque souvenir, c'est propre à chacun de nous.”

— desbleusaucoeur (via antropophobe)

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Le soleil s'est éteint, me revoilà face à moi même..

Ta pénombre me torture telles des milliers d'aiguilles dans ma tête.

C'est ironique de se sentir si mal et pourtant si vide à la fois.

C'est ironique de se sentir si mal et pourtant de ne se sentir soit même qu'ainsi

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J'oublie parfois le calme de ta pénombre, la douceur de ta voix qui résonne au plus pronfond de moi. Ce toi enfouis si longtemps, ce toi qui n'appartient qu'à moi, celle que jamais personne ne connaîtra..

Il n'y a que dans ta noirceur tard le soir ou je peux enfin devenir celle que je suis.. c'est un mal appaisant, un mal qui me ramène à toi ma merveilleuse et terrifiante moi. Je trinque à toi, ce soir tu n'appartient qu'à moi, ce soir c'est dans tes bras que je me perdrais.

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N’oublie pas qui tu es, et n’oublie surtout pas ce que tu désirais à tout prix étant enfant. Tes rêves, c’est tout ce qui compte dans ce monde de brutes. Apporte de la douceur à tous ceux qui sont tourmentés, apporte ta touche d’originalité. Tu n’as pas besoin d’être ce que les autres veulent que tu sois, tu n’as pas à faire comme eux. Sois ce que tu veux être, peu importe les conséquences… tu ne peux compter que sur toi-même. Souviens-toi de ça.

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là, tout d'suite, j'ai envie de prendre une couette, deux trois joints, et aller me poser sous les étoiles. les regarder, jusqu'à en voir le soleil se lever. et j'ai envie d'être avec quelqu'un aussi. quelqu'un d'assez fort pour entendre tout ce que j'ai à dire, quelqu'un qui m'écouterai juste, pas quelqu'un qui essaierai de me résonner. j'dirai tout, tout c'que j'ai jamais dit, tout ce qui m'fait mal, tout cqui fait que jtiens plus trop debout. et pis jpleurerai sûrement, mais cette personne mdira que c'est pas grave, que jsuis plus belle comme ça. j'y croirai pas trop, mais ça mfera rire. et pis, peut être qu'après cette nuit passée sous les étoiles, j'me sentirai mieux. peut être un peu.

(via rl27j)

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Mes nuits sont soit blanches ou trop noircies de cauchemars.

Sheryne59 (via sheryne59)

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-Elle a toujours été pas bien tu sais. Avant elle se niquait les bras et tout ce qu'elle pouvait, maintenant elle se nique juste la santé.

(via 23volt)

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On ne sort jamais de la dépression, on marque seulement des temps de pause.

Sheryne59

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Dans le fond vous crèverez tous de votre débilité chronique et de votre incroyable capacité merdique à vous regardez le nombril !!

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Ce que l'homme ne peut pas apprendre par la sagesse, il l'apprendra par la souffrance

(via leshautsnord)