Tumgik
chocolali · 2 years
Text
Sketchnoting de l'entretien entre Jonathan Cureil et le journal Le point
Tumblr media
1 note · View note
chocolali · 2 years
Text
 Compte-rendu de l’article le design thinking : un état d'esprit pour une révolution silencieuse 
Le design thinking est une démarche centrée sur l'utilisateur. En se plaçant à son point de vue, cela permet de mieux cernée sa problématique afin de mieux y répondre. Le design thinking peut s'appliquer dans tout les domaines. Il offre une grande possibilité de réponse.
Le design thinking n'applique pas seulement dans l'innovation mais aussi dans l’entreprenariat dans la gestion et l'organisation.
Rémi Edart est un design thinker. Il a déjà travaillé dans le domaine du marketing et de l'innovation, il y a beaucoup de similitudes avec les étapes de processus du design thinking. Comme la réflexion centrée sur le besoin de l'utilisateur. Afin de pouvoir vendre un produit fiable qui correspond à l’attente du consommateur. Le prototypage permet d'investir quand les clients seront prêts à payer. La répétition du processus permet d'arriver avec prototype optimisé, prêt à être lancé sur le marché.
Rémi veut évoluer autour de l'innovation, la transformation et la gestion/cohésion de groupe. Il se retrouve dans les valeurs du design thinking. Ainsi il va se former à la d.school de Potsdam afin de développer sa propre activité la dthinking.academy. Il se forme également au coaching d'équipe et propose des ateliers, il accompagne des start-up.
Rémi aide les organisations, les équipes à concevoir des produits ou des services plus centrée sur l'utilisateur. Il décide de créer des parcours de transformation basée sur le design thinking pour les accompagner aux changements.
Rémi Edart, face aux enjeux environnementaux et sociétaux souhaite trouver des solutions en étant << présent aux besoins des personnes >> cela présente un intérêt économique pour tous. Cette façon de penser pourrai changer la société. Comme avec Danone en développant un mode de consommation plus sains avec des produits plus respectueux de l'environnement.
Même si les buts des entreprises est de générer du profit si l'humain est au cœur de la démarche elle aura souvent un impact positif. << Le système de co-voiturage de Blablacar [...] génère du profit et permet de recréer du lien social >> en encourageant une plus grande mobilité des uns vers les autres, désenclaver des régions.
Rémi Edart travail 2 aspects, faciliter et coacher en favorisant << l'apprentissage par le faire >> avec des ateliers certifiants.
Rémi ajoute << le design thinking amène à vraiment prendre conscience des besoins de ce monde par la prise en compte des besoins de chacun >> << émerger en nous des solutions qui vont pouvoir répondre à ces besoins fondamentaux.
1 note · View note
chocolali · 2 years
Text
Compte-rendu Etapes magazine n°266 Pour une science de l'imaginaire
Luigi Serafini a imaginé le " Codex Seraphinianus " édité par Franco Maria Ricci en 1981 ce livre se rapproche des ouvrages scientifiques, des encyclopédies. Présentant un monde lointain et imaginaire, avec différents thèmes allant du jardinage à l'anatomie en passant par la mode, les mathématiques ou l'architecture. Les dessins sont détaillés, schémas , mesures, annotations. Avec une écriture indéchiffrable car celle-ci n'existe pas. Luigi Serafini est fasciné par la métamorphose depuis son plus jeune âge, en citant par exemple " les métamorphoses d'Ovide " 
Serafini a suivi une formation classique et scientifique à l'école puis à l'université, il se passionnait pour le grec et la philosophie. Mais il était aussi fasciné par la nature et connaissait toutes les espèces d'oiseaux.
Pour Luigi Serafini écrire et dessiner le rend libre. On peut ressentir cette atmosphère joyeuse tant par les couleurs, que par la liberté d'expression que possède Serafini. Pour lui << le dessin et l'écriture sont deux éléments qui se mélangent >>. Son alphabet imaginaire lui permet de garder un univers cohérent celui-ci possède de nombreuses courbes, boucles. On peut trouver des similitudes avec des écritures existantes telles que le grec, le cinghalais et le géorgien.
1 note · View note
chocolali · 2 years
Text
Compte-rendu de l'article Pour une esthétique de la pop culture par Matthieu Letourneux
Les films produit par des grands blockbusters sont-ils des créations culturelles ou des objets de consommation. Aujourd’hui qu'est-ce qu'on peut appeler << pop culture >> ?
La Culture pour vivre est un essai écrit par Jacques Rigaud sorti en 1975. Il était directeur de cabinet du ministre de la Culture sous Pompidou. Pour lui << Consommer, c'est consumer ; mais cultiver, c'est faire naître ; c'est travailler. >> que peut-on dire de cela aujourd'hui.
La culture a pu évoluer grâce aux personnes qui on pu sortir des stigmatisations culturelles. c'est pourquoi les blockbusters, la musique pop, les jeux vidéo se sont démocratisés au fil du temps pour constituer le cœur de notre culture actuel.
Depuis la fin du XIXe siècle le modèle moderniste avait servi de socle idéologique, sur lequel reposait la représentation de la culture. Entre la haute culture et la culture de masse, entre culture savante et culture populaire ce ne sont plus que des fantômes resurgissant de temps à autre mais plus personne n'y croit sérieusement.
Pourtant dans les années 70 la bande dessinée était considérée comme une production pour enfants et adolescents attardés. La littérature de genre (science-fiction, polar, fantasy), comme de la sous-littérature, les séries télévisées aussi n'était pas très bien vu cela vaut aussi pour le rock et la musique pop. Ceci n'étaient pas considérer comme la culture. Il y avait une frontière assez clair entre la culture de consommation et de divertissement et la haut culture. Cette classification décrit par Bourdieu avait sa hiérarchie. De nos jour lire des BD ou encore regarder des séries télévisées est devenu commun tout, comme écouter de la musique pop ou du rap ou encore jouer à des jeux vidéos. La question des valeurs et des hiérarchies de goûts, varie selon les contextes sociaux.
Il y a un changement de vision. Avec la montée en puissance d'une culture de consommation, l'esthétisation des marchandises, et une mise en avant médiatique. Ces mutations majeure on prit de l'ampleur avec l'absorption du vocabulaire, l'intégration globale de la pop culture dans la sphère artistique. La nature des objets, ce que nous considérons comme << artistique >> a changé, nous le considèrerons plus de la même manière, nous n'attendons plus la même chose de leurs auteurs.
On peut voir ses transformations au travers d'exemples tel que des séries, constitué de 3 piliers de la création : L’œuvre, l'auteur, et le jugement esthétique. Afin de déterminer concrètement l'intégration dans le champ esthétique des productions des industries culturelles.
Il y a eu un changement dans la relation aux productions de la culture de masse et ce peu importe le média de diffusion (que celui-ci soit un roman, un film, ou une bande dessinée) il y a désormais des personnages récurant tel que tintin, James Bond ou encore Sherlock Holmes avec des cycles romanesques prolongeant la quête des héros avec une structure épisodiques. Ces univers de fiction sont aussi devenu des produits dérivés (livres, jouets, goodies).
1 note · View note
chocolali · 2 years
Text
Compte-rendu du texte Plaire et toucher. essai sur la société de séduction, de Gilles Lipovetsky
Gilles Lipovetsky a écrit un essai sur l'hyper-individualisme de nos sociétés actuelles.
L'auteur évoque le besoin omniprésence de séduire au travers de l'époque postmoderniste. Gilles Lipovetsky insiste sur l'aspect universelle de séduire, phénomène inextricablement biologique et culturel.
L'hyper-individualisme touche et les hommes et leurs créations que ce soit l'économie, la politique, l'éducation, l'esthétique, l'information, la culture consumériste. Celle-ci peut avoir des conséquences négatives comme du mal-être psychologique, des frustrations, une infantilisation universelle, une addiction aux achats inutiles même si les consommateurs sont capable de rationaliser leur choix faire la part des choses, renoncer, épargner, comparer...
La société de séduction étant à l'origine de différentes problématiques, a affaibli l'estime de soi et a accentué l'insécurité psychique, les sentiments d'échec personnel, les malaises existentiels. Nos liens avec les autres se sont affaibli devenant une << sociabilité dominée par des liens de faibles intensité >> autrement dit que nos rapport avec les autres soit et deviennent superficiels et que ceci de devienne une généralité pour tout nos liens. Néanmoins il souligne que les << liens faibles >> n'empêchent pas les << liens profonds >>.
Pour finir selon Gilles Lipovetsky on peut essayer de lutter contre cette société mais cela reste un combat difficile voir perdu d'avance.
Elisabeth Woloszyn
2 notes · View notes