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Coulisses, vidéos, actualité... tout sur la série diffusée sur France 2 (saison 4 sur France 2 depuis le 6 janvier)
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Fouëd Amara: « Malek va beaucoup perturber Cherif »
Dans les épisodes 5 et 6 de la saison 4 de Cherif, Kader et Adeline vont être confronté à un malfrat avec un parcours bien particulier. Son interprète, également apparu dans le film Le Convoi, de Frédéric Schoendoerffer, nous en dit plus.
Votre personnage apparaît dans deux épisodes de la saison 4. Pourriez-vous nous le présenter?
“Mon personnage s’appelle Malek Rouha. Il a été petit délinquant mais est parvenu à s’en sortir pendant un temps. Il a su s’insérer et faire des études. Il vient d’en bas mais il est éduqué. Le problème, c’est qu’il a perdu son boulot du jour au lendemain. Il est retombé dans le banditisme… et il est allé plus loin sur ce chemin. Il se retrouve dans une histoire de trafic de faux billets. C’est comme ça qu’il va se retrouver confronté à Cherif.”
Qu’est-ce qui vous a plu dans ce rôle?
“J’avais déjà joué ce genre de voyous. Akim (Isker, réalisateur des épisodes 4 à 7 de la saison 4, NDLR) m’avait découvert dans la saison 5 d’Engrenages. Je jouais un indic de la Brigade de la Répression du banditisme. C’était un nouveau riche qui vient de banlieue. Dans Cherif, Malek est aussi un personnage qui connaît les deux côtés de la loi. Il a du relief, il n’a pas qu’une couleur. Il peut avoir un discours assez posé et partir dans quelque chose de très violent. Il a vraiment deux visages. Ce qui m’a plu, c’est de pouvoir jouer deux personnages en un. Cet homme va en tout cas beaucoup perturber Cherif avec ce qu’il va faire. Il y a de gros rebondissements à découvrir.”
Quels souvenirs gardez-vous du tournage de cette saison 4?
“Oui. Ce qui me plaît, c’est d’avoir quelque chose à défendre. Dans Cherif comme dans Engrenages, j’ai la chance de jouer des personnages qui sont un peu des serpents. Qui plus est, j’ai été très bien accueilli par Carole et Adbelhafid. Je suis arrivé dans une superbe équipe et Akim a été parfait. Il m’a donné beaucoup de confiance. Je savais pourquoi il me voulait dans le rôle de Malek et on était raccord sur ce qu’on avait compris du personnage. Tout s’est donc très bien passé.”
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Les musiques de la saison 2 de Cherif (épisodes 6 à 10)
Tandis que le tournage de la saison 4 se poursuit du côté de Lyon, nous vous proposons un petit voyage dans le temps et avec quelques mélodies… Fête de la Musique, oblige ! Nous poursuivons ce petit voyage dans les airs en nous intéressant cette fois aux cinq derniers épisodes de la saison 2. Pour rappel, un premier billet a été déjà consacré aux cinq premiers épisodes et il est en ligne.
Episode 6 :
Funky Street (Arthur Conley)
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Episode 7 :
My Girl (Otis Redding)
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Episode 8 :
Could It Be I’m Falling in Love (The Spinners)
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Episode 9 :
I Can’t See Myself Leaving You (Aretha Franklin)
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Episode 10 :
Across 110th Street (Bobby Womack)
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Vous en voulez encore plus ? Alors n’hésitez pas à consulter les autres billets consacrés à la même thématique :
Les musiques de la saison 1 (épisodes 1 à 5)
Les musiques de la saison 1 (épisodes 6 à 8)
Les musiques de la saison 3 (épisodes 1 à 6)
Les musiques de la saison 3 (épisodes 7 à 10)
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Les musiques de la saison 2 de Cherif (épisodes 1 à 5)
Alors que le tournage de la saison 4 se poursuit du côté de Lyon, nous vous proposons un petit voyage dans le temps et avec quelques mélodies… Fête de la Musique, oblige ! Nous poursuivons ce petit voyage dans les airs en nous intéressant cette fois aux cinq premiers épisodes de la saison 2.
Episode 1 :
“Santa Maria” (Gotan Project)
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“A Natural Woman” (Aretha Franklin)
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Episode 3 :
“Magic Moments (Ronnie Hilton)
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Episode 4 :
“House of the Rising Sun” (The Animals)
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Episode 5 :
“Let’s Dance” (David Bowie)
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Bonne écoute à tous !
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Les musiques de la saison 1 de Cherif (épisodes 6 à 8)
Alors que le tournage de la saison 4 se poursuit du côté de Lyon, nous vous proposons un petit voyage dans le temps et avec quelques mélodies… Fête de la Musique, oblige !
Après un coup de projecteur mélodique sur les épisodes 1 à 5, voici un récapitulatif de toutes les chansons qui illustrent les trois derniers épisodes de la saison 1 de Cherif.
Episode 6 : “Celebration” (Kool and the Gang)
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Episode 7 :
“Heaven must be missing an Angel” (Tavares)
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Episode 8 :
“Diving with Andy” (Sugar Sugar)
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“Clair de Lune” (Debussy)
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Bonne écoute à tous !
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Les musiques de la saison 1 de Cherif (épisodes 1 à 5)
Alors que le tournage de la saison 4 se poursuit du côté de Lyon, nous vous proposons un petit voyage dans le temps et avec quelques mélodies... Fête de la Musique, oblige ! Voici donc un récapitulatif de toutes les chansons qui illustrent les cinq premiers épisodes de Cherif. La suite arrive en cours de matinée. Episode 1 : “Mr Big Stuff” (Jewel Bass)
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Episode 3 :
“Non, je ne regrette rien” (Edith Piaf)
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Episode 5 :
"Walker” (Cascadeur)
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Bonne écoute à tous !
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Final de la saison 3 de Cherif : "L'idée était de créer une vraie surprise"
La diffusion de la saison 3 vient de s'achever sur un double épisode haletant. Lionel Olenga, co-créateur et co-directeur de collection de la série, par ailleurs co-auteur des épisodes 9 et 10 avec Marine Gacem, revient sur la construction de l'intrigue.
Comment avez-vous construit la fin de saison 3 ?
Très tôt, on savait que l'on allait aborder la question de l'érotomanie. Avant même le début de la saison. Ce qui me plaisait, c'est que cela nous offrait la possibilité d'un final policier fort où l'on mélange le professionnel et le personnel. C'est la marque de fabrique de CHERIF. Il y avait un vrai jeu d'équilibriste à mettre en place avec Nathalie Blanc (qui interprète le personnage de Christelle, NDLR) pour donner juste ce qu'il faut d'indices. Ni trop ni pas assez. NYPD BLUE et THE PRACTICE ont des fins de saison 3 très fortes : ce sont des épisodes qui m'ont marqué et j'espérais qu'on arrive, à notre niveau, à avoir un final qui soit le plus fort possible et qui récompense la fidélité des téléspectateurs.
Et puis il y a le très attendu baiser…
On a su, là aussi, très tôt qu'il arriverait à la fin de la saison. La question était "Comment faire en sorte que ça intervienne comme un point d'orgue ?". Nous avons rapidement compris qu'il fallait que l'intrigue policière soit complètement imbriquée avec le fil personnel de nos héros. C'est ce que nous a amené à emprunter cette direction.
Côté casting, comment le choix de Christelle s'est-il porté sur Nathalie Blanc ?
Son casting est intervenu très tôt, même si nous savions que les scènes importantes à jouer auraient lieu en fin de saison. Il fallait qu'elle soit présente assez tôt. Du coup, la séquence du toit a été écrite bien en amont, pour passer les auditions. Plusieurs comédiennes ont signé de très belles performances mais Nathalie a été vraiment très impressionnante.
Justement, cette séquence du toit est très forte. Comment l'idée de cette scène est-elle venue ?
On en revient à l"érotomanie. J'ai eu cette idée en repensant à un épisode de L'Amour du Risque, avec une femme qui est complètement folle de Jonathan Hart (Robert Wagner, NDLR). Toujours avec l'idée d'entrelacer le plus possible professionnel et personnel, il nous paraissait intéressant que Kader puisse ouvrir son coeur à Adeline... tout en donnant l'impression qu'il parle à Christelle. Nous en avons longuement discuté avec Julien Zidi, le réalisateur de l'épisode, qui a très bien rendu cet effet. Les téléspectateurs comprennent ce qui se joue. David Milch (co-créateur de la série NYPD BLUE) disait dans un commentaire audio de la première saison que les séquences de déclarations privées en public marchent toujours. Il a raison. Voilà comment, avec Marine (Gacem, NDLR), lorsque l'on a écrit cet épisode ensemble, nous avons imaginé ce double-discours, avec Kader qui parle à Christelle mais s'adresse en vérité à Adeline.
Rétrospectivement, quel regard portez-vous sur cette saison 3 ?
Au sein de l'équipe de CHERIF, depuis le début et chacun à notre niveau, dans l'écriture, la réalisation, la production ou l'interprétation, nous essayons de monter une marche supplémentaire en terme de qualité à chaque nouvelle saison. Nous voulons continuer avec des enquêtes plus ludiques, avec des enjeux encore plus forts pour les personnages aussi. C'est ce vers quoi nous tendons pour la prochaine saison.
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Nathalie Blanc : "Jouer le personnage de Christelle, c'était un double challenge"
Le personnage de Christelle Laurent est au centre du final de la saison 3 de Cherif. Son interprète nous explique la façon dont elle s'est approprié un personnage à la fois fort et complexe.
Vous connaissiez la trajectoire de Christelle dès le départ. Comment avez-vous donné vie à ce personnage ?
"A l'origine, j'assimilais les symptômes de l'érotomanie (le trouble de son personnage,; NDLR) à ceux de la nymphomanie. Mais cela n'a rien à voir : l'érotomanie, c'est croire que l'on est aimé d'une seule personne et jeter son dévolu sur elle. C'est du fanatisme sur un seul objet. Cela m'a interpellé que l'amour, sous une certaine forme, pouvait être une maladie. Ou en tout cas, sujet à psychose. Je suis partie sur l'idée que c'était une femme malade mais qu'il ne fallait absolument pas que les spectateurs le voient. Les scènes dans lesquelles apparaissent le personnage sont courtes donc je devais être très attentive. De sorte que s'il revoit la saison une seconde fois, le téléspectateur se dise : "c'est cohérent". C'était un double challenge : il fallait que la maladie soit là et qu'en même temps, que cela ne se voit pas. Je trouve à ce propos que l'équipe artistique a bien géré la fin, sur le montage notamment : au moment de la révélation, on redécouvre de précédentes séquences où j'apparaissais de dos pour capter des regards que l'on n'avait pas vu".
La scène finale pour votre personnage, dans la salle d'interrogatoire, est également très forte. Christelle apparaît comme une femme profondément souffrante et complètement perdue…
"Nous avons eu une longue conversation avec l'équipe de la série à ce propos. Avec Julien Zidi, le réalisateur, mais aussi Stéphane Drouet, le producteur, et Lionel Olenga, le co-scénariste avec Marine Gacem. Nous ne voulions pas que Christelle soit une méchante primaire. On voulait que justement elle soit touchante. Pour ça, il fallait qu'il n'y ait plus que l'amour dans ce qu'elle confie, que l’on ne se retrouve pas face aux symptômes. Cette femme reste cependant malade, elle est hors de la réalité. Lors de cette dernière scène, elle est encore persuadée de retrouver son amant, plus tard. Il fallait donc pencher plus vers l'émotion que vers la violence. Au moment de la jouer, j'ai interprété cette déclaration comme si elle était légitime. Je me suis appuyée sur la sincérité de ses sentiments. Elle est vraiment persuadée de ce qu'elle raconte".
Quel souvenir garderez-vous de cette expérience de tournage ?
"Dans une série, c'est toujours plus chouette de construire sur la durée ; de pouvoir s'installer dans la profondeur. Lorsqu’on travaille un personnage plusieurs mois, le temps nous offre une meilleur appréhension de ses traits de caractère et de ses particularités. Le dessin se fait plus net, la composition plus précise. Et puis cela restera un merveilleux souvenir, avec une superbe équipe, dynamique, qui aime ce qu'elle fait".
Cherif vient de s'achever. Où pourra-t-on vous voir dans les prochains mois ?
"Je suis dans une autre série : je joue un procureur de la République qui intervient de manière récurrente dans la série Origines, sur France 3".
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Les musiques de la saison 3 de Cherif, épisodes 7 à 10
La saison 3 de Cherif vient de s’achever sur France 2. Restent les souvenirs... et les mélodies qui ont ponctué les épisodes. Petit récapitulatif des titres entendus dans la série, entre le 29 janvier et le 5 février.
Vous en voulez encore plus ? n’hésitez pas à consulter notre billet consacré aux épisodes 1 à 6 !
Episode 7 :
Soul Wagon (A MUSIC)
Episode 8 :
“I Say A Little Prayer” (Aretha Franklin)
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Game Boy (A MUSIC)
Episode 9 :
Pas de titre spécifique.
Episode 10 :
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Bonne écoute à tous !
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Les musiques de la saison 3 de Cherif (épisodes 1 à 6)
En faisant la part belle aux mélodies soul et au groove des années 70, la musique de la série est aussi cool que son héros. Gros plan sur les titres utilisés dans les épisodes diffusés du 8 au 22 janvier 2016.
Episode 1 :
"Oh No, Not My Baby" (Aretha Franklin)
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Episode 2 :
"I Get Lifted" (KC and The Sunshine Band) Ce titre est également utilisé en bande annonce par France 2.
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Episode 3 :
"I'll Be Around"" (The Spinners)
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Episode 4 :
"After Laughter" (Wendy René)
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"You Take Me There" (K MUSIC)
Episode 5 :
"You're The Reason" (A MUSIC) "You Got The Look" (A MUSIC) "Shadows" (Violetta Spring)
Episode 6 :
"Walk On By" (Dionne Warwick)
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Rendez-vous à la fin de la saison 3 pour découvrir tous les titres utilisés pendant les dix épisodes. Bonne écoute !
#Cherif#Musique#France2#Dionne Warwick#The Spinners#Aretha Franklin#Wendy Rene#KC and The Sunshine Band#Soul#Seventies
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François Bureloup : "La blague de Baudemont est souvent le fruit d'une improvisation"
Le brigadier Joël Baudemont est un des chouchous du public de Cherif et son humour plait beaucoup. Derrière ce personnage haut en couleur se trouve un acteur multicartes, François Bureloup. Ce dernier évoque avec un plaisir évident son expérience dans la série de France 2.
Cette saison, on voit plus votre personnage. Comment s'est passé le tournage ?
"On va me voir encore plus dans les derniers épisodes ! J'ai une nouvelle coéquipière et il va se passer pas mal de choses. Le tournage de cette saison s'est très bien passé : les récurrents étaient cette année plus en présence les uns avec les autres. Baudemont a plus de scènes avec Dejax, avec Deborah ou avec Doucet. Pendant les deux premières saisons, je n'avais tourné aucune scène avec Greg Germain, par exemple. A l'époque, on voyait surtout Baudemont lors de la découverte des corps de victime. Maintenant, il apparaît plus pendant les enquêtes. Il me semble que le ton de la série a un peu évolué : il y a toujours des crimes à résoudre, des affaires empreintes de gravité, mais il y a aussi des séquences plus légères, plus douces, et l'amalgame fonctionne bien. J'aime aussi le côté plus feuilletonnant des intrigues. Dans la relation entre Adeline et Cherif mais aussi, parfois, dans les enquêtes".
C'est la première fois que vous incarnez aussi longtemps un personnage de télévision. On vous parle souvent de Baudemont, aujourd'hui ?
"C'est la deuxième fois que cela m'arrive, en fait. Je faisais partie de la distribution de "Caméra Café : la boite du dessus" un programme court pour lequel 400 épisodes ont été tournés. La diffusion a toutefois été arrêtée au bout de dix jours. Pour ce qui est de Baudemont, on commence à me parler un peu plus de la série. Mais je crois que quand on est comédien récurrent dans une série télé, c'est sans doute à partir de la saison 4 que le public commence à bien vous repérer. Et puis, c'est Cherif le héros, c'est lui que l'on reconnaît ! Même si ça m'est arrivé récemment alors que j'étais sur un bateau-mouche. On m'a dit "Vous êtes celui qui dit toujours quelque chose de rigolo lorsque l'on découvre les morts"."
La blague de Baudemont est d'ailleurs devenue un classique...
"C'est quelque chose que j'ai amené la première fois sous forme d'improvisation. Dans toutes les séries policières, on entend toujours un peu le même type de dialogues lorsque les héros arrivent sur la scène de crime. Baudemont est un vieux de la vieille, bourru dans le bon sens du terme et capable de dédramatiser un peu la séquence avec une remarque. Au départ, j'ai tenté une boutade et ça a bien plu. L'idée a été gardée. A la fois, ça campe le personnage, qui a un côté inattendu, et ça permet de ne pas rester dans une ambiance trop anxiogène. L'essentiel, c'est que ce ne soit pas irrespectueux. La production me laisse aussi tenter des improvisations dans cet exercice".
Quels sont vos prochains projets ?
"Je suis en train d'écrire mon nouveau spectacle seul en scène et plusieurs films auxquels j'ai participé vont sortir dans les prochaines semaines. Il y a La Vache avec Jamel Debbouze, qui arrive sur les écrans en février et a raflé plusieurs prix au festival de comédie de l'Alpe d'Huez. C'est un film très drôle, qui fait sourire et fait du bien. Je joue aussi dans un film à sketches réalisé par Ivan Attal et dans le nouveau volet des Visiteurs". J'apparais enfin dans un épisode de "Section de recherches" réalisé par Julien Zidi, qui travaille aussi sur Cherif, dans un rôle très différent de ce que je fais d'habitude".
Cherif, dans laquelle on espère vous retrouver pour une saison 4...
"Oui, avec un tournage à partir du printemps si tout va bien. J'avais fait des pronostics sur les audiences de la saison 3. J'avais dit que le premier vendredi, on ferait 4,3 millions de téléspectateurs et la production m'a répondu "On te paie un dîner si on fait aussi haut". La série a rassemblé 4,2 millions de personnes, cette fois-là. La semaine suivante, j'ai dit : "On va battre TF1". On m'a répondu "On t'offrira un deuxième dîner". C'est ce qui s'est passé. J'ai donc droit à deux dîners et je vous remercie de l'écrire (rires)".
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Les petits secrets de Cherif (saisons 3, épisodes 1 et 2)
Anecdotes, détails et autres petites histoires… découvrez de nouvelles infos sur les épisodes de Cherif saison 3. Les affaires d'Alex Mondi Dans Therapie mortelle, lorsque Kader et Adeline se rendent chez Samuel Roussel, Kader découvre une porte fermée d'un cadenas. Porte que le héros ouvre grâce à un passe qu'il dit avoir confisqué à un certain "Alex Mondi, quand il sévissait à Lyon". Il s'agit d'un clin d'oeil à Alex Mundy, le héros de la série Opération vol incarné par Robert Wagner. "Depuis le début, je voulais que Kader ait une trousse à outils pour ouvrir les portes", confie Lionel Olenga, co-scénariste et co-créateur de la série. Et qui de mieux que Mundy pour avoir le meilleur matériel pour cela ? Voleur professionnel qui a fait de la prison, ce dernier est, dans la série produite par Glen A. Larson (Magnum), sollicité par un service, la SIA, pour utiliser ses talents dans le cadre d'opérations qui rappellent un peu celles de Mission : Impossible. Ce clin d'oeil est aussi l'occasion de rendre hommage à l'acteur Robert Wagner qui a joué à plusieurs reprises des héros malins et décontractés… comme Cherif. Donnell et Fils Toujours dans Therapie Mortelle, il est question de Donnell & Fils, cabinet spécialisé dans la retranscription des notes prises par les thérapeutes pendant des séances de psychanalyse. Ce nom est un clin d'oeil à Bobby Donnell, le héros de The Practice : Donnell & Associés, série judiciaire américaine de David E. Kelley (Ally McBeal). Ce n'est pas la première fois que la série de France 2 rend un petit hommage à l'univers de cet auteur. En saison 2, Deborah, l'ex-femme de Kader, est approchée par une firme américaine du nom de Crane, Poole & Schmidt… le nom du cabinet d'avocats au centre de la série Boston Jostice, du même David E. Kelley.
La gifle d'Adeline Dans Le Cri du Silence, lorsque Kader, Adeline et Ariane (Ariana Rivoire) se rendent sur les lieux du crime pour que la jeune femme donne des informations supplémentaires sur le crime, les deux capitaines simulent une dispute. Dispute au cours de laquelle Briard donne une gifle à Cherif. Ce n'était pas dans le script au départ : c'est une idée d'Abdelhafid Metalsi pendant la lecture collective du scénario. Il a proposé qu'Adeline mette une vraie baffe à Cherif au lieu de la simuler. Ce qui marche très bien à l'écran.
#cherif#France 2#Série#Soren Prevost#Abdelhafid Metalsi#Carole Bianic#Lionel Olenga#Opération Vol#The Practice : Donnell & Associés#Boston Justice
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Carole Bianic : "Parler en langue des signes, c'était un nouveau challenge"
Incontournable partenaire de Kader Cherif, le capitaine Briard gagne en complexité dans la saison 3. Notamment dans l'épisode 2, "Le Cri du silence". Son interprète nous en dit plus.
L'épisode "Le Cri du silence" évoque l'univers des personnes sourdes. Connaissiez-vous la langue des signes avant le tournage ?
"Je ne connaissais pas du tout cet univers. J’ai donc été coachée avant le tournage de l’épisode. (Avec Joel Chalude) Travailler avec un malentendant demande énormément de patience et d’écoute. L’atmosphère du plateau en est transformée. Le calme s’installe pour laisser Ariana (Rivoire, la comédienne qui joue la jeune Ariane, NDLR) communiquer avec ses interprètes, ses partenaires de jeu ainsi que le réalisateur. Si quelqu’un souhaite intervenir, il le fait savoir et on lui donne la parole. Plus de respect et plus d’écoute. Donc oui, c'était un challenge : apprendre mon texte en langue des signes, celui d’Ariane pour le traduire et ensuite, interpréter tout ça! Ca me motive, ça me donne de l'énergie".
Beaucoup de choses passent par les regards dans cet épisode...
"Les malentendants communiquent beaucoup à travers leurs corps et leurs regards. Adeline s’en sert puisque ses notions en langue des signes ne lui suffisent pas pour faire passer tout ce qu’elle aimerait exprimer. Et puis…un regard en dit parfois plus que des mots.
Dans cet épisode, Adeline donne à voir un éventail d'émotions assez large. Elle fait preuve de beaucoup d'empathie...
"On ne connaît pas encore beaucoup Adeline. On prend le temps de la découvrir progressivement. A chaque saison, il y a une valeur ajoutée sur ce personnage. On sort peu à peu du côté très strict qui la caractérise dans la saison 1. Elle a pris ses marques, désormais, et se laisse même parfois surprendre par elle-même".
Comment, au fond, décririez vous votre personnage à quelqu'un qui ne la connaît pas ?
"C'est un personnage qui a du se battre pour exister dans un milieu d'hommes. Elle a une vraie carapace et a besoin de se faire un prénom dans ce métier, à cause de son père notamment. C'est une travailleuse, autoritaire et parfois austère, professionnellement. C'est aussi un personnage très émotif et qui le cache. Elle s'est imposée beaucoup de barrières, en fait. Mais ces barrières commencent à sauter. Notamment grâce à Cherif. On va peu à peu la découvrir sentimentale et peut-être un peu fragile ".
La saison 3 de Cherif est aussi plus feuilletonnante. Qu'est-ce que cela change pour vous ?
"Ce type de récit permet de glisser plus de détails. De construire les sentiments, de les faire évoluer. C'est ce qui permet d'aller plus loin dans la caractérisation des personnages".
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“La saison 3 de Cherif reprend exactement là où on a laissé les héros”
Co-directrice de collection et scénariste, Marine Gacem a coordonné avec Lionel Olenga, co-créateur de Cherif, l'écriture de la saison 3. Elle explique ce que va découvrir le public pendant ces dix épisodes.
Qu'est-ce qui attend les spectateurs dans les deux premiers épisodes de la saison 3 ?
Le public va tout de suite retrouver le jeu de séduction qui existe entre Kader et Adeline à côté d’intrigues policières toujours plus tendues. Les questions posées à la fin de la saison 2 trouveront des réponses dès la première soirée. La saison 3 reprend exactement là où on a laissé les héros en fin de saison 2. Le premier épisode débute le lendemain du "dérapage" entre Kader et Deborah. On assiste a la réaction d'Adeline et des autres personnages en direct. L'audience est véritablement "récompensée" pour avoir attendu la suite de leurs aventures pendant un an. Sans oublier qu'il y aura des acteurs invités très chouettes : Soren Prevost pour le côté humour mais aussii Laurent Natrella de la Comédie Française et Ariana Rivoire (Vue dans le film "Marie Heurtin", NDLR) pour de belles "séquences émotion".
Que pouvez-vous nous dire sur ces guests ?
Soren Prevost joue un comédien qui rêve d’incarner un flic comme Kader… mais n'est pas Cherif qui veut. Ca donne lieu à des séquences pleine d'humour. Laurent Natrella et Ariana Rivoire emmèneront nos héros dans l'univers des sourds et de la langue des signes. Un gros travail a été effectué pour que ce qu'on voit à l'écran soit fidèle à la réalité.
Quels sont les thèmes au coeur de la saison 3 ?
Affronter son passé, d'abord. Le public va en apprendre plus sur Kader et Adeline. La figure du père est aussi très présente dans les intrigues. En résumé: quel père est Kader, quel(s) père(s) il a eu et quel père il veut être. Cette année, les épisodes sont plus feuilletonnants, c'est ce qui permet d'approfondir les personnages et leur parcours.
Quelles sont vos séquences ou épisodes préférés de cette saison ?
Tous ceux que Lionel n'a pas écrit. Quand il était au badminton, au ski ou en voyage… ceux-là sont bons ! (au fond de la pièce, on entend Lionel Olenga rire: il promet de prendre sa revanche à la prochaine interview, NDLR) Plus sérieusement, et sans langue de bois, je les aime tous. Il portent tous la présence des scénaristes qui ont participé à chaque épisode. Ce sont de très bons souvenirs d'écriture et de travail. J'aime particulièrement la fin de la saison. Très sincèrement, j'ai eu un grand plaisir à être directrice de collection sur cette série. Tous les co-auteurs ont écrit de très chouettes épisodes que les acteurs et réalisateurs ont su encore amplifier et embellir".
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