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Les images de cette série ont été prises dans des bâtiments de banlieue et modélisées en 3D par des utilisateurs de Google Earth cherchant à laisser une trace dans le monde numérique. Thibault Brunet recueille des fragments de ce monde virtuel - centres commerciaux, logements sociaux publics et sièges de grandes entreprises commerciales - qui appartiennent à une typologie architecturale globale, sans rapport avec le territoire lui-même. En ajoutant une ombre portée définie avec la date et l'heure de sa création, l'artiste ancre ces fragments à un moment et un lieu spécifiques. Il recontextualise l'image en la reliant à l'action de son créateur, et devient ainsi un nouveau lien dans une chaîne de création collective. Avec le titre de sa série, un principe de catalogage dépourvu d'expression personnelle, et une composition dictée par une procédure fixe, Thibault Brunet fait référence aux «sculptures anonymes» ou à la «typologie des bâtiments industriels» des photographes Bernt et Illa Becher.
Ce que je trouve intéressant dans ce projet est le fait que cet artiste réutilise des images déjà existante issu des vastes documents disponible sur internet pour créer une chaîne de création collective. C’est une oeuvre “collective”malgré le fait qu’il nait aucun lien entre l’artiste et les utilisateurs de google earth. De plus ces oeuvres nous focalisent sur l’architecture des bâtiments très géométrique hors de leur contexte, le fait de les décontextualiser les rendent donc beaucoup plus virtuelle je trouve.
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Les images de cette série ont été prises dans des bâtiments de banlieue et modélisées en 3D par des utilisateurs de Google Earth cherchant à laisser une trace dans le monde numérique. Thibault Brunet recueille des fragments de ce monde virtuel - centres commerciaux, logements sociaux publics et sièges de grandes entreprises commerciales - qui appartiennent à une typologie architecturale globale, sans rapport avec le territoire lui-même. En ajoutant une ombre portée définie avec la date et l'heure de sa création, l'artiste ancre ces fragments à un moment et un lieu spécifiques. Il recontextualise l'image en la reliant à l'action de son créateur, et devient ainsi un nouveau lien dans une chaîne de création collective. Avec le titre de sa série, un principe de catalogage dépourvu d'expression personnelle, et une composition dictée par une procédure fixe, Thibault Brunet fait référence aux «sculptures anonymes» ou à la «typologie des bâtiments industriels» des photographes Bernt et Illa Becher.
Ce que je trouve intéressant dans ce projet est le fait que cet artiste réutilise des images déjà existante issu des vastes documents disponible sur internet pour créer une chaîne de création collective. C’est une oeuvre “collective”malgré le fait qu’il nait aucun lien entre l’artiste et les utilisateurs de google earth. De plus ces oeuvres nous focalisent sur l’architecture des bâtiments très géométrique hors de leur contexte, le fait de les décontextualiser les rendent donc beaucoup plus virtuelle je trouve.
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Janus,2013
Miguel chevalier est un artiste français né au Mexique, il utilise l’informatique comme moyens d’expression dans( le champ des arts plastique depuis 1978. Il est considéré comme l’un des pionniers de l’art virtuel et du numérique.
Janus est une sculpture réalisée par impression 3D en sable de silice et résine. Elle représente deux visages opposés l'un à l'autre, Janus est un Dieu ambivalent qui regarde aussi bien devant que derrière, vers le passé que vers le futur. Dieu des portes, qu'il ouvre et ferme, il est également le dieu des départs et des retours et incarne la double dimension de la cité, à la fois asile protecteur et lieu ouvert sur le monde.
Cette sclupture de 1 mètres par 1 est particulièrement intéressante car je trouve que représenté une sculpture antique issu d’un artisanat de qualité avec une des dernière technologie est paradoxalement intéressant . En effet, cette démarche montre peut-être que l’action de la main de l’homme ne peut pas être remplacé par une machine. De plus la sculpture est voxelisée( pixels en 3d) , cela montre que le language graphique pixelisé est quelque chose de normal à notre époque étant donné que l’on reconnait sans peine la célêbre sculpture janus. Cela montre a quel point la culture numérique dans notre societé est omniprésente et est un art a part entière dans la continuité de l’histoire de l’art.
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« Des smartphones thérapeutiques »
Le designer Klemens Schillinger a imaginé une série de smartphone thérapeutiques. Ce designer de produits basé a Vienne a créer une série d’objets aux formats de smartphones. Ces objets sont munies de billes de marbres placées de façons différentes selon chaque objet de la série. Ces dernières tournent sur elles-mêmes. Ces objets sont des substituts de smartphone. En effet, ce designer tente d’aider les personnes accros à leur smartphone en créant des objets dont la gestuelle de l’utilisation, (ce balayage que nous effectuons des milliers de fois) est similaire à celle des smartphone.
Je trouve ce projet très intéresaant car c’est une problématique dont je suis victime. Je surutilise mon téléphone de façon inutile lors de mes nombreux allés-retours notamment. Je trouve ce projet très pertinent, c’est très actuel comme thème car la majorité des gens vivant dans notre type de société sont surement accros à leurs téléphones. Je pense que cet objet pourrait aider notamment la nouvelle géneration à assouvir l’envie d’être sur son téléphone . C’est quelquechose d’essentielle je pense surtout chez les jeunes.
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